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12/10/2014

Terre creuse et l'Amiral BYRD, ET & OVNIS, Bases nazies, Denver, les raisons du Vatican d'entretenir le secret sur l'existence des ET et des Ovnis

Pour trouver les références collectées depuis des années sur notre blog, concernant l'article précédent :

Sur Hitler, les OVNIS, la Terre creuse, les bases nazies et le voyage sur Mars en 1945

Hitler avait déjà fait le voyage sur Mars en 1945.
Ils vont dire aussi qu'ils ne le savent pas ?

Sur la Terre Creuse précisément :

Sur le Paradis occulté en Arctique

Sur ce que nous cachent la Nasa et les USA

Sur les raisons religieuses et notamment celles du Vatican en 1ère place pour freiner la divulgation

Quand le Vatican s'oppose à la révélation sur l'existence des extraterrestres et pour causes. Il perdrait tout contrôle sur les masses naïves et ignorantes et ce serait l'écroulement de tous leurs faux dogmes religieux dans le cas où nous pourrions apprendre que les religions ont bien été inventées par les hommes.

Sur l'aéroport de DENVER et sa région

Interview de l'ex ministre de la défense Canadien sur les ovnis et les extraterrestres

Ex ministre de la défense Canadien sur les ovnis et les extraterrestres

Documents Russes déclassifiés montrant des Ovnis pris en chasse par des Migs

La terre creuse, Le journal de L'Amiral Byrd!!!

Source : Depuis l’aube des temps.com

Voici la plus grande expédition de toute l’histoire humaine, mais aussi la plus censurée.

L’amiral Richard Evelyn BYRD, Grand Chancelier de l’Ordre de la Fayette et de la Croix du Mérite, secrétaire perpétuel de l’Académie Fédérale de la Marine et des Sciences

Chaque planète est vivante et apporte au système en fonction de ses aptitudes, chaque planète étant comme un organe à l’intérieur d’un corps qui est le système solaire dont le soleil est le cœur.

Voici son expédition:

“Je dois tenir ce journal en cachette et dans le secret le plus absolu. Il concerne mon vol antarctique du 19 Février 1947. Un temps viendra où la rationalité des hommes devra se dissoudre dans le néant, et où l’inéluctabilité de la Vérité devra alors être acceptée. Je n’ai pas la liberté de diffuser la documentation qui suit ; peut-être, ne verra-t-elle jamais la lumière ; cependant, je dois faire mon devoir : la rapporter, ici, avec l’espérance qu’un jour tous puissent la lire, dans un monde où l’égoïsme et l’avidité de certains hommes ne pourront plus mettre la Lumière sous le boisseau.”.

…”Sur les étendues de glace et de neige en dessous de nous, on remarque des colorations jaunâtres aux dessins linéaires. La vitesse de croisière est ralentie en vue d’un meilleur examen de ces configurations colorées. On relève aussi des colorations violacées et rosées”.

…”Aussi bien la boussole magnétique que le gyrocompas commencent à tourner, puis à osciller ; il n’est pas possible de maintenir notre route à l’aide des instruments. Nous relevons la direction avec le compas solaire ; tout semble encore être en ordre. Les contrôles semblent lents à répondre et à fonctionner ; cependant, nous ne relevons pas d’indication de congélation”.

…”29 minutes de vol se sont écoulées depuis le premier repérage de montagnes, Non, il ne s’agit pas d’une hallucination : une petite chaîne de montagnes se dresse là ; jamais, auparavant, nous ne l’avions remarquée”.

…”Outre les montagnes, une vallée semble être façonnée par un petit fleuve, ou ruisseau, qui coule vers la partie centrale. Aucune vallée verte ne devrait se trouver ici, en dessous de nous ! Décidément, Il y a quelque chose d’étrange et d’anormal ici ! Nous ne devrions survoler que neige et glace ! Sur la gauche, les pentes des montagnes se parent de grandes forêts. Nos instruments de navigation oscillent, comme fous”.

…”Je limite l’altitude à 1.400 pieds, puis j’exécute un virage en rase-motte, à 180° sur la droite, afin de mieux examiner la vallée située au-dessous. Mousse et herbe très fine lui confèrent une coloration verte. Ici, la lumière semble différente. Je ne parviens plus à voir le Soleil. Je vire à nouveau, cette fois sur la gauche, afin de faire un second tour. Nous apercevons un animal énorme qui ressemble à un éléphant ! NON ! C’est un mammouth ! Cela est incroyable ! Pourtant, il en est bien ainsi ! Nous descendons à 1.000 pieds d’altitude ; j’utilise les jumelles pour mieux observer l’animal. Je le confirme, il s’agit bien d’un animal semblable à un mammouth”.

…”Nous rencontrons d’autres collines verdoyantes. L’indicateur de température extérieure marque 24 degrés centigrades. Nous maintenons le cap. A présent, les instruments de bord semblent réagir normalement. Je demeure perplexe quant à leurs réactions. Je tente de contacter la base. La radio ne fonctionne pas !”.

…”Le paysage alentour parait nivelé et normal. Devant nous, nous repérons… une ville !!! Cela est impossible ! L’avion semble léger et très flottant. Les contrôles refusent de répondre ! Mon Dieu !! A notre droite et à notre gauche, des appareils d’un type étrange nous escortent. Ils s’approchent : quelque chose rayonne de ces appareils. Désormais, ils sont suffisamment proches pour nous permettre de voir leurs armoiries. Il s’agit d’un symbole étrange. Où sommes-nous ? Que s’est-il passé ? Une fois encore, je tire les manettes avec décision. Les commandes ne répondent pas ! Nous sommes solidement maintenus par une sorte d’étau d’acier invisible”.

…”Notre radio grésille : une voix nous parvient, qui s’exprime en anglais avec un accent plutôt nordique ou allemand ! Le message est le suivant : – Bienvenue sur notre territoire, Amiral. Nous vous ferons atterrir exactement d’ici à sept minutes. Relaxez-vous, Amiral, vous êtes en bonnes mains. – Je réalise que les moteurs de notre avion sont éteints. L’appareil est sous un contrôle étrange ; maintenant, il vire de lui-même”.

…”Nous recevons un autre message radio. Nous sommes sur le point d’amorcer la procédure d’atterrissage ; rapidement, l’avion vibre légèrement ; il commence à descendre, comme soutenu par un ascenseur énorme et invisible”.

…”A pieds, quelques hommes s’approchent de l’appareil. lis sont grands ; leurs cheveux sont blonds. Au loin, une grande ville scintille ; elle vibre des couleurs de l’arc-en-ciel. Je ne sais pas ce qui va se passer désormais. Toutefois, je ne remarque aucune trace d’armes sur ceux qui s’approchent de nous. J’entend une voix qui, m’appelant par mon nom, m’ordonne d’ouvrir la porte. J’exécute”.

Après ces notes, extraites du ’journal de bord’, l’Amiral annote ce qui s’est passé ensuite :

…”A partir de là, je décris les événements en faisant appel à ma mémoire. Les faits frôlent l’imaginaire ; leur description pourrait être tenue comme relevant de la folie s’ils ne s’étaient pas réellement produits. Une fois extraits de l’appareil, mon mécanicien et moi, nous fûmes accueillis de façon cordiale. Puis, nous fûmes embarqués à bord d’un petit appareil de transport semblable à une plate-forme, mais sans roues ! Il nous conduisit à grande vitesse vers la ville scintillante. A mesure de notre approche, la ville apparaissait faite de cristal. En peu de temps, nous parvînmes à un grand édifice, d’un genre encore jamais vu. Il semblait sortir des dessins de Frank Liloyd Wright ou, peut-être plus précisément, d’une scène de Buck Regers !

Une boisson chaude à la saveur inconnue nous fut offerte. Elle était délicieuse. Environ 10 minutes après, deux de nos hôtes étonnants entrèrent dans notre cabine. lis m’invitèrent à les suivre. Je n’avais pas d’autre choix que celui d’obéir. Je laissai mon mécanicien-radio. Nous marchâmes jusqu’à ce qui me paraissait être un ascenseur. Nous descendîmes durant quelques instants, puis l’ascenseur s’arrêta ; la porte glissa silencieusement vers le haut. Nous allâmes au long d’un couloir éclairé par une lumière rose qui semblait émaner des murs ! L’un des êtres nous fit signe de nous arrêter devant une grande porte, surmontée d’un écriteau que je n’étais pas en mesure de lire. La grande porte disparut sans bruit. Je fus convié à m’avancer. L’un des hôtes dit : – N’ayez pas peur, Amiral, vous allez avoir un entretien avec le Maître. – J’entrai. Mes yeux s’adaptèrent lentement à la coloration merveilleuse qui semblait envahir complètement la pièce. Alors, je commençai à entrevoir ce qui m’entourait. Ce qui s’offrit à mes yeux était la vision la plus extraordinaire de toute ma vie. Elle était trop magnifique pour être décrite. Elle était merveilleuse. Je ne pense pas qu’il existe des termes humains à même de la décrire avec justesse dans tous ses détails. Mes pensées furent doucement interrompues par une voix chaude et mélodieuse : “Bienvenue sur notre territoire, Amiral”. Je vis un homme aux traits délicats qui portait les signes de l’âge sur son visage. Il était assis à une grande table. Il m’invita à m’asseoir sur une chaise. Dès que je fus assis, il unit les bouts de ses doigts, puis il sourit. Il s’exprima à nouveau avec douceur : – Nous vous avons laissé entrer ici parce que vous êtes d’un caractère noble, et aussi parce que vous êtes bien connu dans le monde de surface, Amiral ! – Monde de surface ! Je restai sans souffle !

“Oui – ajouta le Maître avec un sourire – vous vous trouvez sur le territoire des Aryens : le monde submergé de la Terre. Je ne retarderai pas longtemps votre mission ; en toute sécurité, vous serez escortés lors de votre retour à la surface, et même un peu plus loin. A présent, Amiral, je vous ferai connaître la raison de votre convocation ici. Notre intérêt débuta tout de suite après l’explosion des premières bombes atomiques lancées par votre race, sur Hiroshima et Nagasaki, au Japon. En ce moment inquiétant, nous avons envoyé nos engins volants, les “Flugelrads”, sur votre monde de surface pour enquêter sur ce que votre race avait fait. D’évidence, il s’agit là d’une histoire ancienne, Amiral ; cependant, permettez-moi de poursuivre. Voyez-vous, jamais, nous ne sommes intervenus avant l’heure dans les guerres et les barbaries de votre race, Pourtant, à présent, nous nous trouvons contraints à le faire, étant donné que vous avez appris à manipuler un type d’énergie, atomique, qui n’est pas du tout fait pour l’homme. Nos émissaires ont déjà remis des messages aux puissances de votre monde. Elles ne s’en sont pas préoccupées. Vous avez été choisi pour être témoin, ici, que notre monde existe. Voyez-vous, notre culture et notre science ont des milliers d’années d’avance sur les vôtres, Amiral”. Je l’interrompis : “Mais qu’est-ce que tout cela a à voir avec moi, Seigneur !”. Les yeux du Maître semblèrent pénétrer profondément mon esprit, Après m’avoir étudié un peu, il répondit : “Votre race a atteint le point de non-retour, parce que certains, parmi vous, détruiraient votre monde tout entier plutôt que de renoncer au pouvoir tel qu’ils le connaissent…”.

J’acquiesçais. Le Maître poursuivit : “Depuis 1945, nous avons tenté d’entrer en contact avec votre race, Nos efforts ont toujours été accueillis avec hostilité : on a tiré sur nos flugelrads. Oui, ils furent même poursuivis avec agressivité et animosité par vos avions de combat. Aussi, vous dirai-je, mon fils, qu’une grande tempête se profile à l’horizon de votre monde : une furie noire qui ne s’épuisera pas des années durant. Vos armes ne serviront aucunement à votre défense ; votre science ne vous garantira aucune sécurité. Cette tempête sévira aussi longtemps que toute fleur de votre culture n’aura pas été piétinée, toute création humaine dispersée dans le chaos. Pour votre race, la récente guerre n’a été que le prélude à ce qui doit encore survenir. Ici, nous pouvons nous en rendre compte plus clairement à chaque heure qui passe… Pensez-vous que je me trompe ?”. “Non – répondis-je – cela est déjà survenu par le passé ; les années obscures viendront ; elles dureront cinq cent ans”. “Oui, mon fils répliqua le Maître – les années obscures qui viennent pour votre race recouvriront la Terre comme une couverture. Toutefois, je crois que certains survivront à la tempête, je ne sais rien d’autre ! Nous voyons, dans un futur lointain, des ruines de votre race, émerger un monde nouveau, à la recherche de ses trésors légendaires perdus ; ils seront en sûreté, mon fils, ici, en notre possession. Lorsque le moment viendra, nous nous avancerons à nouveau pour aider votre culture et votre race à vivre. Alors, peut-être aurez-vous appris la  futilité de la guerre et de ses luttes… Dès lors, une partie de votre culture et de votre science vous sera restituée, afin que votre race puisse recommencer son évolution. Vous, mon fils, vous devez retourner dans le Monde de Surface, porteur de ce message…”. Ces dernières paroles semblaient devoir conclure notre entretien. Un instant, j’eus l’impression de vivre un rêve… pourtant, je le savais, il s’agissait bien de la réalité. Pour quelque étrange raison, je m’inclinais légèrement ; je ne sais si ce fut par respect ou par humilité. Tout à coup, je réalisai que les deux hôtes étonnants qui m’avaient conduit ici se trouvaient de nouveau à mes côtés. “Par ici, Amiral”, m’indiqua l’un d’Eux. Avant de sortir, je me retournai encore une fois ; je regardai le Maître. Un doux sourire se dessinait sur son délicat visage de vieillard. “Adieu, mon Fils”, me dit-il en esquissant un geste très doux de sa main frêle, un geste de paix. Ainsi, prit fin notre rencontre. Nous sortîmes doucement par la grande porte de la pièce où se tenait le Maître, puis nous entrâmes de nouveau dans l’ascenseur. La porte s’abaissa silencieusement ; aussitôt, l’ascenseur s’éleva.

L’un de mes hôtes reprit la parole : “Maintenant, nous devons nous dépêcher, Amiral ; en effet, le Maître ne veut pas retarder davantage votre programme ; vous devez retourner parmi votre race avec Son message”. Je ne répondis pas. Tout cela était inconcevable. L’arrêt de l’ascenseur interrompit mes pensées. J’entrai dans la salle où se tenait toujours mon mécanicien radio. L’anxiété marquait son visage. Je m’avançai vers lui en disant : “Tout va bien, Howie, tout va bien”. Les deux êtres nous firent un signe montrant l’appareil en attente. Nous sortîmes pour regagner rapidement notre avion. Les moteurs tournaient au ralenti ; nous embarquâmes immédiatement. Un certain état d’urgence planait dans l’atmosphère. Dès que la porte se fut refermée, une force invisible transporta l’avion vers le haut, jusqu’à une altitude de 2.700 pieds. Deux de leurs appareils nous escortaient à bonne distance. lis nous firent planer sur le chemin du retour. Je dois souligner que le compteur de vitesse n’indiquait rien, bien que nous nous déplacions à grande vitesse.

…Nous reçûmes un message radio : “A présent, nous allons vous quitter, Amiral ; vos contrôles sont libres. Wiedersehen !!!”. Un instant, nous suivîmes du regard les flugelrads, jusqu’à ce qu’ils disparaissent dans un ciel bleu glacier. L’avion sembla capturé par un courant ascensionnel. Immédiatement, nous en reprîmes le contrôle, Nous gardâmes le silence durant un certain temps ; chacun de nous était immergé dans ses propres pensées.

…De nouveau, nous survolâmes des étendues de glace et de neige, à environ 27 minutes de notre base. Nous envoyâmes un message radio. On nous répondit. Nous rapportâmes des conditions normales… normales. Le camp de base exprima un grand soulagement lorsque le contact fut établi de nouveau.

…Nous attirâmes doucement sur la base. J’avais une mission à accomplir.
…11 Mars 1947. Je viens d’avoir un entretien à l’Etat Major du Pentagone. J’ai entièrement rapporté ma découverte ainsi que le message du Maître. Tout fut soigneusement enregistré. Le Président fut mis au courant. Des heures durant (6 heures et 39 minutes, très exactement), je fus soumis à la question. Les Top Security Forces, assistées d’une équipe médicale menèrent un interrogatoire très poussé. Quel calvaire !!! Les forces de la Sécurité Nationale des Etats Unis d’Amérique me placèrent sous contrôle rigoureux. Il me fut rappelé qu’en tant que militaire, j’avais l’obligation d’obéir aux ordres.

Il raconte que des atlantes s’y sont installés il y a un peu plus de 12 000 ans avec leur technologie. De là, ils nous surveillent de très près, usant parfois de leurs véhicules spatiaux pour visiter la surface extérieure. Nous les prenons pour des extraterrestres quand nous les observons.

http://stopmensonges.com/les-reptiliens-histoires-temoign...

 

 

N.O.M. : origines, développement, mise en place/Plan Illuminati d'asservissement global [End game]

En préambule, il faut nous rappeler que l'idéologie dite religieuse pour l'instauration du Nouvel Ordre Mondial, remonte au moins à la civilisation Sumérienne et que la seconde guerre mondiale, tout comme la 1ère du reste, a été désirée par les ROTHSCHILD et les membres de la FED,  dès les années 1916/17 suite à la déclaration du Balfour qui promettait la Palestine à Rothschild et à la fédération sioniste. Il fallait entraîner les USA dans la seconde mondiale et torturer les juifs pour :

1  - justifier de la nécessité de s'accaparer la Palestine pour en faire l'état colonial et terroriste d'Israël,

2 - provoquer les guerres mondiales, les financer, tuer des millions de vies humaines innocentes, endetter les pays européens sous couvert d'une aide généreuse au redressement des pays et  pour ensuite proposer de créer les Nations Unies pour soi-disant éviter que les guerres ne se reproduisant dans le monde.

Sauf que l'ONU constitue depuis, le siège du Gouvernement Mondial qui a fait perdre leur souveraineté à nombre de pays qui y ont adhéré, tout comme l'Europe du reste qui a fini par sabrer toutes nos libertés et notre souveraineté nationale.

Ajoutée le 12 juil. 2014

Ce film d'Alex Jones (End Game), très détaillé, et étayé par de nombreux faits historiques, expose de façon claire et progressive, depuis ses débuts et point par point, la mise en place du nouvel ordre mondial ; nous sommes maintenant dans l'étape finale ;

Il nous dévoile, entre autres :

- comment le monde est réellement gouverné,

- comment des groupes de réunion hautement secrets s'entrecroisent pour former un réseau de renseignement global ; ces groupes ont dirigé les affaires du monde depuis des centaines d'années,

- les diverses expériences menées en secret sur les populations ; le programme de dépopulation (virus du sida, ébola, stérilisation, etc..)

- l'eugénisme et l'obsession de l'élite pour créer un homme supérieur.....

Le début :

"Dans un futur proche, la terre est dominée par un puissant gouvernement mondial. Les anciennes nations libres sont esclaves de la volonté d'une petite élite. L'aube d'un nouvel âge sombre couvre l'humanité. Les nations appartiennent désormais au passé.

Toutes les formes d'indépendance sont attaquées, la famille et les individus mêmes disparaissent. Près de 80% de la population mondiale a été éliminée. Les survivants de l'ancienne humanité libre sont forcée de vivre au sein de villes-prisons compactes et hautement contrôlées.

Voyager est extrêmement restreint.

Des supers autoroutes relient les mégapoles et empêchent la population de pénétrer dans des zones non autorisées.

Aucune activité humaine n'est privée. Les super-ordinateurs I.A. (intelligence artificielle) analysent et catégorisent chaque action ; une planète-prison dominée par un impitoyable gang d'adorateurs du contrôle dont le pouvoir ne peut jamais être contesté.

Ceci est la vision de l'élite globale, leur objectif. Un programme de déshumanisation totale où la science de la tyrannie fait la loi. Une grille de contrôle mondiale créée afin d'assurer pour toujours le monopole du pouvoir aux seigneurs ;

Notre espèce sera condamnée à ce cauchemar, à moins que les masses découvrent le plan général du nouvel ordre mondial et se mobilisent pour le vaincre."

"Érigées par un groupe secret, les Georgias Guidestones, sont un testament du plan des élites pour une religion mondiale, une loi mondiale avec une cour de justice mondiale, et une armée pour l'appliquer. Et gravé dans le marbre, il est écrit que la population ne doit jamais dépasser 500 millions d'individus"


04/10/2014

Fritz Haber ou quand un juif participe à fabriquer le gaz ZIKLON pour tuer les juifs !

Et qui l'on retrouve encore dans les mauvais coups ?
Devinons ? Surtout ne riez pas, hein ?

Nous avons découvert aujourd'hui, Bruce Benamran qui
 est le créateur d'e-penser depuis 1 an et qui fait des vidéos ts éducatives et instructives avec l'humour et le talent qui sont les siens, qui n'hésite pas à mettre toutes les références historiques ou scientifiques sous ses vidéos et que nous vous invitons à découvrir.


Sauver l'humanité en cherchant à la détruire
La preuve par vieux - Fritz Haber


Ajoutée le 7 sept. 2014

Fritz Haber est un chimiste incroyable - en cherchant à tuer en masse, il a sauvé l'humanité, et en cherchant à améliorer la condition humaine, il a permis le plus grand massacre de son siècle. Et bien sûr, restez curieux, et prenez le temps d'e-penser.

http://e-penser.com/
http://youtube.com/epenser1
http://facebook.com/epenser

http://twitter.com/epenser

© e-penser | Bruce Benamran

Liens :
- sur la bataille d'Ypres :
http://artois1418.skyrock.com/3070431215-SECONDE-BATAILLE...

http://www.museedelaguerre.ca/cwm/exhibitions/guerre/second-ypres-f.aspx

- sur les gaz de combat et l'armement pré-WW1:
http://fr.vikidia.org/wiki/Course_aux_armements_avant_1914
http://fr.wikipedia.org/wiki/Crise_de_Tanger

http://fr.wikipedia.org/wiki/Gaz_de_combat_de_la_Premi%C3...

http://fr.wikipedia.org/wiki/Zyklon_B

- sur William Crookes :
http://fr.wikipedia.org/wiki/William_Crookes
http://archive.spectator.co.uk/article/10th-september-189...

http://paperspast.natlib.govt.nz/cgi-bin/paperspast?a=d&a... (son discours de 1898)

- sur Fritz Haber :
http://www.bbc.com/news/world-13015210
http://www.theglobalist.com/seven-billion-humans-the-worl...

http://people.idsia.ch/~juergen/haberbosch.html

http://science.howstuffworks.com/dictionary/famous-scient...

http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article464

http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/algues-vertes...

http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_du_proc%C3%A9d%C3%A...

- sur la controverse du nobel de Haber :
http://www.nobelprize.org/nobel_prizes/chemistry/laureate...

- sur James Franck :
http://fr.wikipedia.org/wiki/James_Franck

http://fr.wikipedia.org/wiki/Exp%C3%A9rience_de_Franck_et... (son expérience avec Hertz)

Pour savoir qui est Bruce Benaman ?

 

 

01/09/2014

Jérusalem : Le cours en Direct-Live de Rav Ron CHAYA : Eloul & Machia’h

A l'occasion du mois d'Eloul et en prévision du jour de Roch Hachana, Yéchiva du Rav Ron CHAYA, le VRP sioniste à l'oeuvre, de la manipulation mentale des pauvres juifs  en live aujourd'hui à partir de Jérusalem, territoire occupé !

Comme nous le savons les Juifs Orthodoxes soutiennent que dans la Torah il n'a jamais été écrit qu'il appartenait aux Juifs, de s'accaparer et de coloniser la Palestine pour en faire l'état sioniste d'Israël ! Et bien ce n'est pas grave selon Ron CHAYA qui parle à partir de Jérusalem occupée et soutient qu'Israël est l'état que les juifs devaient conquérir par la force, en provoquant le génocide du Peuple Palestinien. Mais tuer ses semblables ce n'est pas commettre des crimes contre l'humanité, c'est accomplir un acte Divin et religieux que d'avoir conquis la Palestine !

Sauf que l'idéologie d'instauration de l'état sioniste d'Israël n'est pas un projet religieux mais un projet géo-politique des sionistes/Illuminati/Reptiliens pour fabriquer le Grand Israël et instaurer leur Nouvel Ordre Mondial.

Aussi le commandement qui dit que tu ne tueras point est encore un commandement à utiliser à géométrie variable pour les sionistes qui prient pour leur étoile/soleil noir ou Nibiru ainsi que pour leurs Dieux Annunakis ! Des Dieux criminels qui pratiquent le racisme contre les arabes, les musulmans, les chrétiens et les goyims, ainsi que la discrimination entre les peuples ou entre tous les enfants Divins pour décider de nous faire croire que parmi tous les peuples que l'humanité abrite il y aurait qu'un peuple élu auquel tout serait permis !

Ainsi, c'est normal d'occuper la Palestine, c'est normal de tuer les Palestiniens pour s'accaparer leurs terres et leurs richesses, avec la grâce et la bénédiction de leurs Dieux Annunakis/Reptiliens que Nibiru abrite.

Les français en prennent plein la figure parce qu'il semblerait que la France ait un problème, (sûrement pour continuer à abriter les sionistes au gouverne-ment et à l'Europe, dans les loges maçonniques sionistes, dans les banques privées dont celles des Rothschilds, dans les merdias aux ordres et dans les institutions).

Attendons-nous à être tous sévèrement punis par "SATAN-REPILIENS" pour ne pas nous être tous convertis au sionisme/reptilien et pour vouloir aimer et défendre nos semblables !

Ainsi, il semblerait que nous ayons un Dieu qui serait tout amour, mais qui nous punirait pour ne pas soutenir l'état sioniste, pour ne pas nous être convertis au Sionisme-reptilien et pour ne pas croire à toutes leurs balivernes pour apeurer les peuples du monde  !

La religion est l'opium des Peuples car nous avons tous l'ADN Divin en nous de manière naturelle et nul besoin d'aller le chercher dans les religions ni dans les églises !

1 - le péché n'existe pas dans la vraie spiritualité car Dieu ou les Dieux nous ont laissé notre libre-arbitre et nous avons le Droit de travailler soit pour la lumière ou les ténèbres,
2 - le jugement et la condamnation Divines n'existent pas car en vertu libre-arbitre, nous nous jugerons par nous-mêmes au moment de faire le bilan de notre expérience de vie, mais l'évolution continuera pour nos âmes éternelles qui sont faites de pure lumière et d'énergie,
3 - dans ce même ordre d'idées, le purgatoire et l'enfer n'existent pas, car nous ne voyons pas comment enfermer une âme qui s'est libérée et qui est faite de pure lumière et d'énergie, dans une cellule ou en enfer !

Essayez un peu d'enfermer un rayon de lumière  dans une cellule pour voir si vous arrivez à l'emprisonner !

4 - Satan n'existe pas et n'a jamais été une création Divine ainsi qu'il n'a jamais déchu un quelconque Ange sur Terre, toujours en raison de la règle universelle du respect du libre-arbitre de chacun de nous.

 

En revanche en matière d'Anges déchus, nous avons affaire ici avec les Illuminati/Sionistes/Reptiliens/ à la race hybride Humano/Reptilienne friande depuis quelques millénaires de notre ADN Divin (le Paradis d'Eden) pour pratiquer le clonage entre humains et reptiliens afin de leur permettre de prendre une apparence humaine en fonction de leurs besoins et pour demeurer invisibles à nos yeux ! Nous sommes donc leur garde-manger et ce jusqu'à ce qu'ils réussiront à dépeupler la planète, à nous mettre complètement sous leur tutelle et qu'ils arrivent à s'accaparer la Terre et toutes ces richesses, qu'ils aient placé leurs pions/VRP dans tous les pays colonisés pour leur permettre d'instaurer leur Nouvel Ordre Mondial !

 

Tout comme le terme d'un Dieu unique ou le monothéisme qui a été inventé par Abraham alors qu'il a toujours existé plusieurs Dieux,  et ce pour nous obliger à aller rechercher la part de Divinité que nous avons tous en nous, à l'extérieur de nous-mêmes.

De même le terme de Satan a été inventé par les reptiliens pour tromper l'humanité et lui faire croire qu'il existait une entité distincte des reptiliens afin de nous masquer l'existence des Reptiliens/Hybrides sur Terre.. 

Satan = Les reptiliens !

Nous nous sommes incarnés pour venir justement les chasser de notre planète ! Il serait temps de commencer le travail d'élimination et de libération de la Terre de cette race prédatrice de l'humanité avec l'aide de la Lumière et des Hiérarchies Angéliques que nous pouvons appeler pour venir nous aider.

Quant à nous dire que certains attendent le Messie pour venir les sauver.
Les sauver de quoi au juste ? De leur ignorance ?
La mort n'existe pas car il n'existe que le passage de l'âme vers une autre dimension de lumière quand la mission terrestre pour l'évolution de notre âme est terminée.

Le corps nest que le véhicule ou le temple de Dieu ou des Dieux qui abrite provisoirement l'âme ou la parcelle Divine que nous avons en nous tous.

Il n'y a donc rien à sauver seulement à évoluer par nous-mêmes et à affectuer la mission que nous nous étions fixée avant notre incarnation.Eliminer les intrus et rétablir la lumière pour les générations futures.

Personne ne viendra donc nous sauver pour violer notre libre-arbitre, mais nous pouvons uniquement demander l'aide de la Lumière et des Hiérarchies Angéliques.

Le messie c'est l'éveil de l'ensemble de l'humanité ou l'éveil de tous les Christs pour chasser de concert,  les intrus de notre planète.

 On commence quand le travail tous ensemble sur la base de ces outils ?

Voir nos précédents articles sur les Reptiliens/Illuminati/Sionistes

Ecoutons le cours délirant de RAV RON CHAYA !

Les fêtes juives :

Commence au coucher du soleil du  Mercredi 24 septembre 2014
S'achève à la tombée de la nuit le  Vendredi 26 septembre 2014

Il n'est pas permis de travailler !

Jour du jugement de toutes les créatures et du couronnement de Dieu comme Roi de l'univers, Roch Hachana est la "tête" de l'année, le jour duquel tout dépend...

Direct-Live de Rav Ron CHAYA : Eloul & Machia’h

 

Direct-Live de Rav Ron CHAYA : Eloul & Machia’h

Ce Dimanche 31 Août à 20h30 (heure française) un Direct-Live sera retransmis depuis la Yéchiva du Rav Ron CHAYA à Jérusalem à l’occasion du mois d’Eloul.

Pendant le cours il vous sera possible de poser vos questions au Rav.

Au programme :

Eloul & Machia’h (20min)

Questions-Réponses en direct (20min) : interagissez en posant vos questions au Rav par écrit pendant la conférence.

[Direct-Live] Eloul & Machia'h - Rav Ron CHAYA

https://www.youtube.com/watch?v=TcigF8tuwqA#t=186

Quelques questions posées au cours du live :

Direct-Live de Rav Ron CHAYA : Eloul & Machia’h: COMMENTAIRES

 

David, le 31.08.2014

D

YAEL, le 31.08.2014

Y

ALLET-BELLUL/BOUAZIZ/BENLOLO/COHEN, le 31.08.2014

A

NAOURI ERIC, le 31.08.2014

N

Nathalie, le 31.08.2014

N

Yitzhak, le 31.08.2014

Y

brigitte, le 31.08.2014

b

baroukh, le 31.08.2014

b

LAURENT ALLET BELLUL/ BOUAZIZ/ BENLOLO/ COHEN, le 31.08.2014

LA

Anonyme, le 31.08.2014

 

La suite des questions :

 

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31/08/2014

Les Secrets de la Réserve Fédérale au service du Nouvel Ordre Mondial par Eustace Mullins - Livre & Vidéos

LISEZ CE LIVRE PARCE QUE L'IGNORANCE TUE !

Voilà quelles sont les cibles à abattre pour l'humanité pour qu'elle ait enfin la paix dans le monde ! Les Rothschilds et tous ses acolytes Illuminati/Sionistes/Reptiliens/Satanistes !

Les hybrides humano/reptiliens qui mènent le monde !

Un livre qui vous ouvrira les yeux sur tous ceux qui dirigent le monde en secret, les créateurs et adeptes de la secte du Dollar et les élites de la Franc-maçonnerie sioniste !

Grands promoteurs du Grand Israël et du Nouvel Ordre Mondial !

Ils commencent par inventer la monnaie de papier puis ils provoquent les guerres génocidaires d'invasion et de colonisation, ils financent les deux parties en guerre, ils endettent les peuples et leurs pays, et ils s'accaparent les pays sur la base de leurs dettes.

Quand un particulier ou une société ne peuvent plus payer leurs dettes, leurs biens appartiennent aux Banques Privées.

C'est pareil pour les pays endettés, ils appartiennent d'emblée aux banques privées et la dictature nazie s'installe dans les pays endettés !

Ensuite ils ont beau jeu pour installer leurs pions et leurs VRP dits politiques dans tous les pays du monde qu'ils doivent s'accaparer ainsi que leurs richesses avant d'instaurer leur Nouvel Ordre Mondial !

 

Les Secrets de la Réserve Fédérale par Eustace Mullins

Table des Matières

Préface de Michel Drac
Avant-propos de l’auteur
Introduction
Chapitre I - Jekyll Island
Chapitre II - Le Plan Aldrich
Chapitre III - The Federal Reserve Act
Chapitre IV - Le Comité Consultatif Fédéral
Chapitre V - La Maison de Rothschild
Chapitre VI - La Connexion Londonienne
Chapitre VII - La Connexion Hitlérienne
Chapitre VIII - La Première Guerre Mondiale
Chapitre IX - La Crise Agricole
Chapitre X - Les Créateurs de Monnaie
Chapitre XI - Lord Montagu Norman
Chapitre XII - La Grande Dépression
Chapitre XIII - Les Années 30
Chapitre XIV - Exposé Parlementaire
Addenda
Appendice 1
Biographies
Bibliographie

  Les Secrets de la Réserve Fédérale par Eustace Mullins

 

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Les Secrets de la Réserve Fédérale

par Eustace Mullins
préface de Michel Drac
traduction : Jean-François Goulon

éditeur : le retour aux sources
436 pages



"Le livre le plus important jamais écrit pour comprendre comment l'oligarchie bancaire domine le monde."— Alain Soral
"Des choses, j’'en ai appris en abondance en lisant « Les secrets de la Réserve fédérale » !"


—Guillaume de Thieulloyns le reste du monde, pensent que les dollars en circulation sont créés par le gouvernement américain. Que le nom de « Réserve Fédérale », mentionné sur chaque billet, désigne une administration gouvernementale. Or, il n’'en est rien : la « Réserve Fédérale » est une institution privée, possédée par des banques commerciales.

Ce livre, traduit pour la première fois en français, a représenté quarante années de travail pour son auteur. C’est probablement un des ouvrages les plus importants du XX° siècle. C’est le seul livre brûlé en autodafé, par décision de justice, en Europe après 1945. C'’est une enquête minutieuse, servie par l’'honnêteté et la compétence. C’est, aussi et surtout, une révélation sur la manière dont fonctionne réellement le monde, depuis un siècle.

Dans ce livre, vous apprendrez, entre autres choses, que : Le système de Réserve Fédérale n’est pas fédéral. En outre, il ne possède pas les moindres réserves. C'’est un syndicat de l’'émission monétaire, dont les membres se sont octroyé le privilège exorbitant de fabriquer l’'argent que vous gagnez durement. Sans ce système, il est très probable que les deux guerres mondiales n'’auraient pu être déclenchées, ni financées.

Et surtout, vous apprendrez que, pour citer Henri Ford, un grand capitaine d’'industrie et un VRAI américain : « L’'unique objectif de ces financiers est le contrôle du monde par la création de dettes inextinguibles. » Des mots qui, à l'’heure actuelle, prennent une actualité brûlante…


Table des Matières

Préface de Michel Drac
Avant-propos de l’auteur
Introduction
Chapitre I - Jekyll Island
Chapitre II - Le Plan Aldrich
Chapitre III - The Federal Reserve Act
Chapitre IV - Le Comité Consultatif Fédéral
Chapitre V - La Maison de Rothschild
Chapitre VI - La Connexion Londonienne
Chapitre VII - La Connexion Hitlérienne
Chapitre VIII - La Première Guerre Mondiale
Chapitre IX - La Crise Agricole
Chapitre X - Les Créateurs de Monnaie
Chapitre XI - Lord Montagu Norman
Chapitre XII - La Grande Dépression
Chapitre XIII - Les Années 30
Chapitre XIV - Exposé Parlementaire
Addenda
Appendice 1
Biographies
Bibliographie


Extrait

En cette soirée du 22 novembre 1910, un groupe de journalistes se trouvait à la gare de Hoboken, dans le New Jersey. Ils avaient la mine déconfite. Ils venaient juste de voir une délégation constituée des financiers les plus importants du pays quitter la gare en mission secrète. Cela se passait de nombreuses années avant qu'’ils découvrissent en quoi consistait cette mission ; et, même lorsqu'’ils le surent, ils ne comprirent pas que l'’histoire des Etats-Unis avait subi un changement drastique après cette nuit-là à Hoboken.

La délégation était partie dans une voiture de chemin de fer hermétiquement fermée, rideaux baissés, pour une destination non divulguée. Le Sénateur Nelson Aldrich, le chef de la Commission Monétaire Nationale, conduisait cette délégation. Deux ans plus tôt, en 1908, après la panique tragique de 1907 qui déclencha un tollé général pour que le système monétaire de la nation soit stabilisé, le Président Théodore Roosevelt avait promulgué la loi qui allait créer la Commission Monétaire Nationale. Aldrich, lui, avait emmené les membres de la commission dans une tournée européenne de deux ans, dépensant quelques trois cent mille dollars d'’argent public. Il n’'avait pas encore établi le compte-rendu de ce voyage et il n'’avait pas non plus proposé le moindre projet pour une réforme bancaire.

À la gare de Hoboken, le Sénateur Aldrich était accompagné de son secrétaire particulier, Shelton, d’A. Piatt Andrew, le Secrétaire-adjoint au Trésor et assistant spécial de la Commission Monétaire Nationale, de Frank Vanderlip, le président de la National City Bank of New York, d’Henry P. Davison, l’associé principal de J.P. Morgan Company et généralement considéré comme l’émissaire personnel de Morgan, et de Charles D. Norton, le président de la First National Bank of New York dominée par Morgan. Juste avant le départ du train, le groupe fut rejoint par Benjamin Strong, connu aussi pour être un lieutenant de J.P. Morgan, et par Paul Warburg, un récent immigré d’'Allemagne qui avait rejoint la maison bancaire Kuhn, Loeb & Co. à New York, en tant qu'’associé rémunéré cinq cent mille dollars par an.

Six ans plus tard, l'’auteur financier Bertie Charles Forbes, qui fonda par la suite le magazine Forbes (l'é’diteur actuel, Malcom Forbes , est son fils), écrivait : “Imaginez un groupe constitué des plus grands banquiers de la nation quittant subrepticement New York dans un train privé. Cachés par l’'obscurité, ils sont partis à toute allure, furtivement, à des centaines de kilomètres au sud. Ils se sont embarqués sur une vedette mystérieuse, se sont faufilés sur une île désertée de tous, sauf de quelques serviteurs, et ont vécu là toute une semaine dans un secret si rigide que pas un seul de leurs noms ne fut mentionné une seule fois, de peur que les serviteurs n'’apprennent leur identité et rapportent au monde cette expédition des plus étranges et hautement secrète dans l’'histoire de la finance américaine. Ceci n’est pas une fiction : je livre au monde entier, pour la première fois, la véritable histoire sur la manière dont le célèbre rapport monétaire d’'Aldrich, la fondation du système monétaire actuel des Etats-Unis, fut écrit.

“Le secret le plus total fut prescrit à tous. En aucun cas le public ne devait glaner le moindre indice sur ce qui allait être accompli. Le Sénateur Aldrich avait intimé à chacun de se rendre discrètement dans un wagon privé que la compagnie de chemin de fer avait reçu l’'ordre de tracter vers un quai non-fréquenté. Le groupe est parti au loin. Les reporters new-yorkais omniprésents avaient été déjoués.…

“Nelson Aldrich avait confié à Henry, Frank, Paul et Piatt qu'’il allait les garder enfermés à Jekyll Island, loin du reste du monde, jusqu’'à ce qu’ils aient mis au point et rédigé un système monétaire scientifique pour les Etats-Unis. Ce fut la véritable naissance du Système de la Réserve Fédérale actuel, projet établi à Jekyll Island dans une conférence avec Paul, Frank et Henry […] Warburg est le lien qui unit le système d’'Aldrich au système actuel. Lui, plus que tout autre, a rendu ce système possible, devenu une réalité qui fonctionne.”

Voici ce qui est exposé dans la biographie officielle du Sénateur Nelson Aldrich :

“En automne 1910, six hommes s’'en allèrent chasser le canard : Aldrich, son secrétaire Shelton, Andrews, Davison, Vanderlip et Warburg. Des journalistes attendaient à la gare de Brunswick, en Géorgie. M. Davison alla les voir et leur parla. Les journalistes se dispersèrent et le secret de cet étrange voyage ne fut pas divulgué. M. Aldrich lui demanda comment il avait réussi ce tour de force et ce dernier ne fournit pas spontanément cette information.”

Davison avait l’'excellente réputation d’être quelqu’'un qui pouvait concilier des factions en guerre, un rôle qu’il avait accompli pour J.P. Morgan durant le règlement de la Panique Monétaire de 1907. Un autre associé de Morgan, T.W. Lamont, a déclaré :

“Henry P. Davison a servi de médiateur dans l’'expédition de Jekyll Island.”

À partir de ces références, il est possible de reconstituer cette histoire. Le wagon privé d’'Aldrich qui avait quitté la gare de Hoboken tous rideaux baissés emmenait ces financiers à Jekyll Island, en Géorgie. Quelques années auparavant, un groupe très exclusif de millionnaires, emmenés par J.P. Morgan, avait acheté cette île comme lieu de retraite pour l’hiver. Ils s’'étaient baptisés « Le Club de Chasse de Jekyll Island » et, au départ, ils utilisaient cette île uniquement pour des expéditions de chasse, jusqu’'à ce que les millionnaires réalisent que son climat agréable offrait une retraite clémente contre la rigueur des hivers new-yorkais. Ils commencèrent donc à construire de splendides demeures qu’'ils appelaient « chaumières » pour les vacances d’'hiver de leurs familles. Le bâtiment du club lui-même, plutôt isolé, était parfois réservé à des sorties entre hommes ou autres activités n’'ayant rien à voir avec la chasse. En de telles occasions, il était demandé aux membres du club qui n’'étaient pas invités à ces sorties spécifiques de ne pas y venir pendant un certain nombre de jours. Avant que le groupe de Nelson Aldrich ne quittât New York, les membres du club avaient été avertis que celui-ci serait occupé pendant les deux prochaines semaines.

Le Club de Jekyll Island fut choisi comme lieu pour élaborer le projet destiné à contrôler l’'argent et le crédit du peuple des Etats-Unis, non seulement à cause de son isolement, mais aussi parce que c’'était le lieu de la chasse privée de ceux qui élaboraient ce projet. Plus tard, le 3 mai 1931, le New York Times nota dans une chronique funéraire après la mort de George F. Baker, l'’un des plus proches associés de J.P. Morgan, “le Club de Jekyll Island a perdu l’'un de ses membres les plus distingués. Un-sixième de la richesse totale du monde était représentée par les membres du Club de Jekyll Island”. La qualité de membre était exclusivement héréditaire.

Le groupe d'Aldrich ne s'’intéressait pas à la chasse. Jekyll Island fut choisie comme site pour la préparation de la banque centrale, parce qu’'elle offrait une intimité totale et qu’'il n'’y avait aucun journaliste à quatre-vingts kilomètres à la ronde. Le besoin de secret était tel que les membres de la délégation ont accepté, avant d’arriver à Jekyll Island, qu’'aucun nom de famille ne fût prononcé à quelque moment que ce soit durant leur séjour de deux semaines. Plus tard, lorsqu'’ils parlaient d’eux-mêmes, les membres du groupe se référaient au Club des Prénoms, puisque les noms de Warburg, Strong, Vanderlip et des autres avaient été prohibés durant leur séjour. Les domestiques habituels se virent offrir par le club deux semaines de vacances, et l'’on fit venir du continent, pour cette occasion, de nouveaux serviteurs qui ne connaissaient pas les noms des personnes présentes. Même s'’ils avaient été interrogés après le retour de la délégation d’'Aldrich à New York, ils n'’auraient pu livrer aucun nom. Cet arrangement s’'avéra si satisfaisant que les membres, limités à ceux qui avaient été réellement présents à Jekyll Island, tinrent plus tard un certain nombre de petites rencontres informelles à New York.

Pourquoi tout ce secret ? Pourquoi ce voyage de plusieurs milliers de kilomètres dans un wagon de chemin de fer privé vers un club de chasse isolé ? Apparemment, c’'était pour accomplir un programme de service public, afin de préparer la réforme bancaire qui offrirait un avantage précieux au peuple des Etats-Unis et qui avait été commandée par la Commission Monétaire Nationale. D'ordinaire, les participants n’'étaient pas opposés à ce que publicité soit faite de leur générosité. En général, leurs noms étaient inscrits sur des plaques de bronze ou à l’'extérieur des immeubles qu'’ils avaient offerts. Ce ne fut pas la procédure qu’'ils suivirent à Jekyll Island. Aucune plaque de bronze n’'a jamais été érigée pour marquer les actions désintéressées de ceux qui se rencontrèrent en 1910 à leur club de chasse privé pour améliorer le sort de tous les citoyens des Etats-Unis.

En fait, aucun désintéressement ne se produisit à Jekyll Island. Le groupe d'’Aldrich y a séjourné à titre privé pour écrire la législation bancaire et monétaire que la Commission Monétaire Nationale avait reçu l’'ordre de préparer en public. Le futur contrôle de la monnaie et du crédit des Etats-Unis était en jeu. Si jamais une véritable réforme monétaire avait été préparée et présentée au Congrès, elle aurait mit fin au pouvoir des créateurs élitistes de l'unique monnaie mondiale. Jekyll Island permit que la banque centrale qui serait établie aux Etats-Unis donnât à ces banquiers tout ce qu’'ils avaient toujours désiré.

Comme il était le plus compétent sur le plan technique parmi les présents, Paul Warburg fut chargé de réaliser la plus grande partie de la conception de ce projet. Son travail était ensuite discuté et passé en revue par le reste du groupe. Le Sénateur Nelson Aldrich était là pour s’'assurer que le projet, une fois achevé, sortirait sous une forme qu'’il pourrait faire voter par le Congrès, et les autres banquiers étaient là pour inclure tous les détails nécessaires afin d’être sûrs d’'obtenir tout ce qu’ils voulaient dans un avant-projet complet composé au cours d’un seul séjour. Après leur retour à New York, il ne pouvait y avoir de deuxième réunion pour retravailler sur leur projet. Ils ne pouvaient espérer un tel secret pour leurs travaux lors d’'un deuxième voyage.

Le groupe de Jekyll Island séjourna au club pendant neuf jours, travaillant avec acharnement afin de mener sa tâche à bien. Malgré les intérêts communs de ceux qui étaient présents, ce travail ne se fit pas sans frictions. Le Sénateur Aldrich, perpétuel dominateur, se considérait comme le leader naturel du groupe et il ne put s’empêcher de donner des ordres à tout le monde. En tant que seul membre non-banquier professionnel, Aldrich se sentait aussi quelque peu mal à l’aise. Il avait eu des intérêts bancaires importants durant toute sa carrière, mais seulement en tant qu’'actionnaire tirant profit des actions bancaires qu’'il possédait. Il ne connaissait pas grand chose aux aspects techniques des opérations financières. Tout à son opposé, Paul Warburg pensait que chaque question soulevée par le groupe nécessitait un cours et non une simple réponse. Il perdit rarement une occasion de faire un long discours aux membres, dans le but de les impressionner par l’'étendue de sa connaissance des opérations bancaires. Les autres en prirent ombrage et Aldrich fit d'’acerbes commentaires. Le sens inné de la diplomatie dont était pourvu Henry P. Davison s’'avéra être le catalyseur qui les maintint au travail. Le fort accent étranger de Warburg leur écorchait les oreilles et leur rappelait constamment qu’'ils devaient accepter sa présence si un projet de banque centrale devait être inventé, qui leur garantît leurs futurs profits. Warburg fit peu d’'efforts pour atténuer leurs préjugés et les contesta à chaque occasion possible sur les questions techniques bancaires, qu’'il considérait comme sa chasse-gardée.

“Dans toute conspiration il faut conserver un très grand secret.”

Le projet de « réforme monétaire » préparé à Jekyll Island devait être présenté au Congrès comme un travail réalisé par la Commission Monétaire Nationale. Il était impératif que les véritables auteurs de cette loi restent cachés. Depuis la panique de 1907, le ressentiment populaire contre les banquiers était tel qu’'aucun parlementaire n’'aurait osé voter pour une loi portant la marque de Wall Street, peu importe celui qui avait contribué à ses dépenses de campagne électorale. Le projet de Jekyll Island était un projet de banque centrale et, aux USA, il y avait une longue tradition de lutte contre le fait d’imposer une banque centrale aux citoyens. Cela avait commencé avec le combat de Thomas Jefferson contre le projet d’'Alexander Hamilton, soutenu par James Rothschild, pour créer la Première Banque des Etats-Unis. Ce combat s'’était poursuivi avec la guerre victorieuse que le Président Andrew Jackson avait livrée contre le projet d’Alexander Hamilton pour une Deuxième Banque des Etats-Unis, dans lequel Nicholas Biddle agissait en tant qu'’agent de James Rothschild de Paris. Le résultat de ce combat fut la création de l’'Independent Sub-Treasury System, qui gardait les fonds des Etats-Unis soi-disant hors de portée des financiers. Une étude sur les paniques de 1873, 1893 et 1907 indique que celles-ci furent la conséquence des opérations des banquiers internationaux de Londres. Le public exigea en 1908 que le Congrès promulguât une loi afin de prévenir la réapparition de paniques monétaires artificiellement provoquées. Une telle réforme monétaire semblait alors inévitable. C'’était pour barrer la route à ce genre de réforme et pour la contrôler que la Commission Monétaire Nationale avait été créée, avec Nelson Aldrich à sa tête, puisqu’'il était le chef de la majorité [républicaine] au Sénat.

Le principal problème, ainsi que Paul Warburg en avait informé ses collègues, était d'’éviter le nom de « Banque Centrale ». Pour cette raison, la dénomination qu'’ils choisirent fut celle de "Federal Reserve System". Ceci tromperait les gens et les inciterait à penser qu’'il ne s’agissait pas d’'une banque centrale. Toutefois, le projet de Jekyll Island était bien celui d’'une banque centrale, remplissant les fonctions principales d’'une banque centrale ; elle serait possédée par des personnes privées qui tireraient profit de la propriété de ses actions. En tant que banque émettrice, elle contrôlerait la monnaie et le crédit de la nation.

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Secret de la réserve fédérale 0
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Secret de la réserve fédérale 1
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Secret de la réserve fédérale 2
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Secret de la réserve fédérale 3
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Secret de la réserve fédérale 4
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