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28/11/2015

Turquie: le chapitre 17 du processus d'adhésion à l'UE ouvert "mi-décembre"

Et comme La Turquie n'est pas assez arrosée par l’argent de l’Union européenne soit par les citoyens européens, l'UE se prépare à ouvrir mi-décembre le chapitre 17 du processus d'adhésion de la Turquie à l'UE, sous couvert qu'Erdogan partagera le "fardeau des réfugiés syrien" qu'il crée lui-même en alimentant le terrorisme de Daesh en Syrie, au profit de sa famille ! 

Et maintenant que le monde entier sait qui est Erdogan, croyez-vous que l'UE insistera pour faire rentrer la Turquie dans l'UE et nous faire participer à alimenter le terrorisme ?

Extrait : "Ce qu'on nous a dit en dernier lieu, c'est qu'on va nous donner 3 milliards d'euros sur un an (...) vers fin 2016, on parle d'une libération des visas pour les citoyens turcs", a déclaré jeudi soir M. Erdogan. 

"Mais pour nous, le fond du problème, c'est qu'on puisse partager le fardeau de cette question des réfugiés. Plus nous pourrons partager ce fardeau, plus facilement nous pourrons contrôler le flux de réfugiés", a déclaré l'homme fort de la Turquie. 

 

Turquie: le chapitre 17 du processus d'adhésion à l'UE ouvert "mi-décembre"

Par AFP , publié le , mis à jour à
afp.com/MICHAEL KAPPELER

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Drapeaux de l'UE et de la Turquie, à Berlin, le 16 juin 2004

Ankara - Le chapitre 17 des négociations pour l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne (UE) sera ouvert "à la mi-décembre", a affirmé jeudi le président turc Recep Tayyip Erdogan, à trois jours d'un sommet à Bruxelles sur la crise des migrants.

"On nous a dit que le dix-septième chapitre des négociations sera ouvert vers le mi-décembre", a déclaré lors d'un entretien accordé à la chaîne d'information France 24. 

"Nous ouvrirons, si Dieu le veut, ce chapitre le 14 ou le 15 décembre à Bruxelles", avait assuré un peu plus tôt jeudi le ministre turc des Affaires européennes Volkan Bozkir lors d'une conférence de presse à Ankara. 

Le chapitre 17 porte sur les politiques économique et monétaire. 

"Nous ne nous contenterons pas de cela et nous allons travailler ensemble à l'ouverture de cinq ou six chapitres supplémentaires en 2016", a poursuivi M. Bozkir. 

Les dirigeants européens et le Premier ministre turc Ahmet Davutoglu doivent se réunir dimanche à Bruxelles pour un sommet extraordinaire visant à "redynamiser" leurs relations et surtout à "freiner le flux migratoire" vers l'UE, confrontée à sa plus grave crise de réfugiés de ces dernières décennies. 

Les Européens espèrent obtenir une coopération accrue des Turcs sur les réfugiés, notamment syriens, qui partent en majorité depuis les côtes turques pour rejoindre la Grèce, avant de poursuivre leur route au nord. 

La Turquie, qui accueille officiellement 2,2 millions de Syriens, souhaite en retour une augmentation de l'aide financière européenne, une libéralisation du régime des visas d'entrée dans l'UE pour ses citoyens et un coup de fouet au processus d'adhésion à l'UE. 

"Ce qu'on nous a dit en dernier lieu, c'est qu'on va nous donner 3 milliards d'euros sur un an (...) vers fin 2016, on parle d'une libération des visas pour les citoyens turcs", a déclaré jeudi soir M. Erdogan. 

"Mais pour nous, le fond du problème, c'est qu'on puisse partager le fardeau de cette question des réfugiés. Plus nous pourrons partager ce fardeau, plus facilement nous pourrons contrôler le flux de réfugiés", a déclaré l'homme fort de la Turquie. 

Drapeaux de l'UE et de la Turquie, à Berlin, le 16 juin 2004Drapeaux de l'UE et de la Turquie, à Berlin, le 16 juin 2004Drapeaux de l'UE et de la Turquie, à Berlin, le 16 juin 2004Drapeaux de l'UE et de la Turquie, à Berlin, le 16 juin 2004

27/11/2015

La Turquie arrosée par l’argent de l’Union européenne

C'est-à-dire que ce sont les citoyens européens qui paient pour la Turquie et qui financent indirectement les mercenaires de l'EI, Daesh et Cie, pour que la famille ERDOGAN s'enrichisse et qui supportent les frais de l'immigration pendant qu'ERDOGAN continuent à alimenter le terrorisme à son profit !

De plus Hollande et Merkel avaient promis de l'argent à Erdogan pour soi-disant limiter l'immigration Syrienne en Europe et avait proposé d'accélérer la procédure pour faire rentrer la Turquie dans l'UE.

La Turquie arrosée par l’argent de l’Union européenne

Les drapeaux de la Turquie et l'Union européenne

Les relations entre l’Union européenne et la Turquie posent des questions sérieuses concernant le financement énorme de cette dernière par les structures européennes. Dario Rivolta, ex-député du parlement italien et chef adjoint de la commission des Affaires étrangères, a évoqué ce sujet dans un entretien accordé à Sputnik.

 

M.Rivolta souligne l'importance des négociations récentes entre la chancelière allemande Angela Merkel et les autorités turques sur l'accueil des réfugiés arrivant en Europe du Proche-Orient via la Turquie. Selon l'interlocuteur de Sputnik, il s'agit de deux conditions importantes présentées par la Turquie à l'Allemagne et à l'Union européenne: l'octroi immédiat de 3 milliards d'euros pour l'aménagement des camps de réfugiés et aucune objection contre l'entrée de la Turquie dans l'UE.

L'homme politique se demande pourquoi la Turquie exprime un tel désir de devenir membre de l'Union européenne? Selon M.Rivolta, en tant que candidate à l'UE, la Turquie devrait effectuer des changements dans ses structures administratives, et cette nécessité avait été utilisée par les autorités turques dans leurs intérêts.

Mais ce qui est le plus important, d'après l'ex-député, ce sont les flux financiers énormes qui sont transvasés de l'Union européenne vers la Turquie depuis 2004. En 2004, le pays a reçu 250 millions d'euros, en 2005 — 300 millions, et encore 500 millions en 2006. C'était de l'argent lié aux procédures de transition en vue de l'entrée future de la Turquie dans l'UE.

Dans le même temps, le programme MEDA garantissait à la Turquie un soutien financier de 900 millions d'euros dans la période de 2000 à 2006.

M.Rivolta souligne que cet argent ne constitue pas tout. Lors des années 2007 à 2013, le soutien financier à la Turquie, envisagé par le système d'aide à l'entrée IPA I, s'élevait à 2,5 milliards d'euros. Le programme IPA II pour les années 2014 à 2020 prévoyait 4,5 milliards d'euros supplémentaires.

La Banque européenne des investissements via d'autres fonds avait octroyé 11,5 milliards d'euros, et la Commission européenne, pour sa part, 2,3 milliards de plus destinés à soutenir la compétitivité des moyennes et petites entreprises turques sur le marché international, conclut M.Rivolta.

 

Le rebelle qui a tué le pilote russe en Syrie, un ultra d’origine turque ? (VIDEO)

Le rebelle qui a tué le pilote russe en Syrie, un ultra d’origine turque ? (VIDEO)

27 nov. 2015, 21:56

William Whiteman, journaliste de RT

William Whiteman, journaliste de RT

Des détails cruciaux ont été révélés par les médias concernant le soi-disant commandant syrien qui a affirmé avoir tué le pilote du SU-24 russe abattu par la Turquie : il semble qu’il s’agit plutôt d’un citoyen turc au parcours ultranationaliste.

En savoir plus : Qui sont les Turkmènes de Syrie ?



Le rebelle qui a tué le pilote russe en Syrie... par RTFrance

 

Politiques : Ils ont plus peur du peuple que des "terroristes" !

Voilà pourquoi, l'on nous impose la Loi Martiale qui ne porte pas son nom, mais ceux de l'état d'urgence et du renoncement par la France à la Convention européenne des droits de l’homme !

Ils ont plus peur de la révolte du peuple que des terroristes !

Politiques : Ils ont plus peur du peuple que des "terroristes" !

26 novembre 2015


Le 18 novembre dernier, quelques jours après les attentats islamistes de Paris, la Commission européenne s’est réunie afin de renforcer le contrôle des armes à feu au sein de l’UE.

Déjà considérés par tous les amateurs d’armes et les tireurs sportifs comme particulièrement restrictive, la directive de l’Union européenne sur les armes à feu a donc été renforcée de la façon suivante :

  • Des règles plus strictes concernant l’interdiction de détention de certaines armes à feu semi-automatiques par des particuliers, même si elles ont été neutralisées de manière permanente;
  • Des conditions plus strictes pour l’achat en ligne d’armes à feu, afin d’éviter l’acquisition de ces armes, de pièces détachées ou de munitions sur l’internet;
  • Des règles communes pour le marquage des armes à feu dans l’UE afin d’améliorer la traçabilité des armes;
L’amélioration de l’échange d’informations entre les États membres, notamment sur les refus d’autorisation de détention d’armes à feu décidés par une autre autorité nationale et l’obligation d’interconnecter les registres nationaux de détention d’armes;
  • Des critères communs concernant les armes d’alarme (comme les feux de détresse et les pistolets de starter) afin d’empêcher leur transformation en armes à feu complètement opérationnelles;
  • Des conditions plus strictes pour la circulation des armes à feu neutralisées;
Le renforcement des conditions applicables aux collectionneurs, afin de limiter le risque de vente à des terroristes.

Traduction : toutes les armes semi-automatiques, prisées sur les stands de tirs en France (160 000 licenciés à la FFT) ressemblant à des armes de guerre (elles sont très nombreuses, dont la fameuse Kalachnikov) seront désormais prohibées. Les possesseurs d’armes à feu de collection sont également visés par ces restrictions et certaines armes datées pourraient faire les frais de la nouvelle réglementation. Une étude exhaustive de cette directive résume d’ailleurs parfaitement les décisions prises, sur le site de l’Union française des amateurs d’armes (UFA).

Néanmoins, pas de quoi s’affoler, puisque plusieurs étapes sont nécessaires à la mise en œuvre de ce processus : « concrètement aucun changement immédiat. C’est une proposition de modification de la directive qui doit soumise au parlement. Avant elle doit être finalisée, puis soumise aux 30 membres et 27 suppléent du SEDE qui est le commission de Sécurité et de Défense du Parlement. Puis enfin de nouveau soumis au Parlement.» explique Jean-Jacques Buigne, président de l’UFA avant de préciser : « si par malheur le parlement suivait la commission, il faudrait encore que le parlement français transpose dans notre législation. Alors dans l’immédiat personne n’est dans l’illégalité.»

Sur Internet, c’est toutefois la colère qui règne chez les chasseurs comme chez les tireurs sportifs . « Des fonctionnaires de la Commission européenne sont visiblement tentés d’instrumentaliser les dramatiques événements de ces derniers jours et de faire un énième amalgame douteux entre la détention légale d’armes semi-automatiques par des citoyens respectueux des lois et la détention illégale d’armes automatiques par des terroristes. (…) Cette prohibition des armes légales n’a évidemment aucune chance d’avoir le moindre impact sur les risques induits par l’arrivée d’armes illégales au travers des frontières poreuses de l’espace Schengen » écrit l’Union Nationale des Propriétaires d’Armes de Chasse et de Tir (UNPACT). « C’est une déclaration de guerre, il faut une réponse forte et unanime. TOUS les tireurs et armuriers ainsi que les associations doivent s’y mettre. Nous devons nous concerter et leur rentrer dedans, il en va de la survie de notre passion.» écrit un internaute sur un forum spécialisé.

Une pétition , déjà signée par 50 000 personnes, a même été lancée au niveau européen afin de faire faire marche arrière à la Commission Européenne. Elle demande l’abrogation de la directive ainsi que le changement de priorité pour la direction de l’Union Européenne:

« Nous, les citoyens demandons que l’Europe se concentre sur les vrais problèmes:

  • – les frontières extérieures de l’Europe ne sont pas protégées.
  • – certains groupes à l’intérieur de notre population refusent de partager nos valeurs démocratiques et notre culture.
  • – le trafic des armes illégales prospère à l’intérieur de l’Europe.
  • – les criminels et terroristes ont plus facilement accès aux armes illégales, que les possesseurs d’armes légitimes ont accès aux armes légales.»

La France compte 160 000 tireurs et 1,4 million de chasseurs. En Bretagne, nous avions récemment recensé les endroits où il était possible d’apprendre à tirer et à se servir d’une arme en toute légalité. A l’heure actuelle, tous les armuriers s’accordent à dire que les ventes d’armes de défense explosent (certains sites sont même en rupture de stock) . Plusieurs clubs de tirs sont obligés de refuser des inscriptions , victimes de leur succès et de leur rareté à certains endroits.

L’état d’urgence décrété par François Hollande au nom de la lutte contre le terrorisme permet, si l’Etat le décide, la confiscation de toutes les armes à feu, y compris celles détenues en toute légalité par les citoyens.

A l’opposé de cette politique visant à désarmer les citoyens européens, Donald Trump, candidat républicain à la présidentielle aux USA, n’a pas hésité à déclarer suite aux attentats du 13 novembre : « Regardez Paris, avec les lois sur le port d’armes les plus restrictives du monde, personne n’avait d’armes sauf les méchants. On peut dire ce qu’on veut, s’ils avaient eu des armes, si nos gens étaient armés, s’ils avaient le droit de porter des armes, la situation aurait été très, très différente ».

Faute de lobby aussi puissant que la NRA ( National Rifle Association) aux USA, les citoyens européens risquent donc d’avoir de plus en plus de difficultés à se procurer des armes de défense dans les années à venir. « La France n’est pas les Etats Unis. Il n’y a pas de culture de l’arme. Quand à un rassemblement des associations, je vous rappellerais une phrase de De Gaulle : “comment peut on gouverner un pays qui a 350 fromages différents ? » conclut Jean-Jacques Buigne. .

Photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2015, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.
Source
 
Dans les cités on doit pouffer de rire, n'importe qui peut se procurer une kalash pour 500 à 600€.... De notoriété publique...

France en Hollandie : 42.000 chômeurs de plus en un mois, du jamais vu depuis 2013. 5,74 millions de chômeurs en France entière.

Des attentats, un état d'urgence de 3 mois et un renoncement à la Convention européenne des droits de l’homme qui tombent à pic pour empêcher les citoyens de se révolter contre les crimes de l'état dictatorial et pour masquer la gestion calamiteuse de la France par le gouvernementeur de la Hollandie, notamment à quelques jours des élections régionales pour faire remonter sa popularité !

Il est vrai qu'il était plus urgent en tant que caniche des USA/Sionistes, de vendre des armes, d'instrumentaliser les sanctions contre la Russie, les guerres génocidaires des US/Israël tous azimuts, Syrie, Irak, Mali, etc..., d'armer et de financer les mercenaires de l'EI/Daesch, au profit des promoteurs criminels du Nouvel Ordre Mondial, et d'insister pour le départ d'Assad que de s'occuper essentiellement du bien-être des français !

Le plus important aujourd'hui c'est de s'armer d'un drapeau maçonnique pour rendre un hommage aux victimes des attentats dont les dirigeants sont les seuls responsables, coupables !

France : Forte hausse du chômage en octobre: 42 000 demandeurs d'emploi de catégorie A

Publié le 26-11-2015 à 18h05Mis à jour le 27-11-2015 à 07h40

Après un net repli en septembre, le nombre de demandeurs d'emploi a connu en octobre sa plus forte hausse depuis 2013.

Le chômage a connu une hausse sensible au mois d'octobre. AFP

Une douche froide pour le gouvernement à dix jours des élections régionales: après un net repli en septembre, le chômage a connu en octobre sa plus forte hausse depuis 2013, avec 42.000 demandeurs d'emploi supplémentaires sans aucune activité, pour atteindre le niveau record de 3,59 millions. Le nombre d'inscrits à Pôle emploi, sans aucune activité (catégorie A), a bondi le mois dernier en France métropolitaine (+ 42.000, soit +1,2%). Il faut remonter à avril 2013 pour retrouver une telle montée du nombre de chômeurs dans cette catégorie.

Sur un an, le nombre d'inscrits à Pôle emploi sans activité a augmenté de 3,7%. En incluant l'outre-mer, il s'élève à 3,85 millions. La hausse est plus modérée si on prend en compte les demandeurs d'emploi exerçant une activité réduite (+13.100). Au total, 5,43 millions de personnes (sans aucune activité ou avec une activité réduite) sont inscrites en métropole, et 5,74 millions en France entière. 

"Ces chiffres ne sont pas satisfaisants", a commenté la ministre du Travail, Myriam El Khomri, qui nuance cependant : "ils doivent être interprétés avec prudence car les résultats de ces derniers mois connaissent de fortes variations". A dix jours du premier tour des régionales, qui s'annoncent difficiles pour la majorité, la pilule est en effet d'autant plus amère pour le gouvernement qu'en septembre, le nombre de chômeurs avait connu un net recul (-23.800)... soit la plus forte baisse depuis la crise financière, fin 2007. "On a des chiffres mensuels d'autant plus volatils qu'on est en période de reprise", commente Bruno Ducoudré, de l'OFCE.

Beaucoup de contrats courts

Il y a donc des créations d'emplois, mais qui sont surtout des contrats courts (CDD, intérim) au terme desquels "on voit un basculement des gens inscrits en catégorie B et C (activité réduite) qui retournent en catégorie A (aucune activité)", explique-t-il. L'économiste souligne que sur l'ensemble de 2015, on assiste à un "ralentissement de la hausse du chômage", avec rythme mensuel du nombre de demandeurs d'emplois supplémentaires de l'ordre de 9.000, contre "15.000 en 2013-2014, et 24.000 en 2012".

Au ministère, on "espère que la baisse s'enclenchera en 2016". "Je ne peux pas vous dire quand nous aurons une baisse durable, mais ce que je peux dire, c'est que pour faire baisser le chômage, il faut deux préalables : la croissance et que l'économie crée de l'emploi. Et les deux préalables, ils sont là", a commenté Myriam El Khomri lors d'un point presse.

Selon Philippe Waechter, de Natixis, l'activité va effectivement "continuer de s'accélérer, l'emploi va continuer de croître et progressivement la courbe des inscrits à Pôle emploi va s'infléchir, en 2016 très probablement". Mais pour l'heure, la reprise de la croissance n'est "pas suffisamment forte pour absorber les gains de productivité et la hausse de la population active et donc, faire baisser le chômage", observe l'OFCE.

Chiffres "encourageants" pour les jeunes 

La ministre a jugé "encourageants" les chiffres concernant les jeunes, dont le nombre d'inscrits en catégorie A est resté stable en octobre. Sur un an, il baisse de 2,9%. En revanche, celui des seniors bondit de 1,5% sur un mois, 9,2% sur un an. En un mois, le nombre de chômeurs de longue durée (plus d'un an), y compris ceux déclarant une activité réduite, a également progressé de 0,4%.

Pour Pierre Gattaz, président du Medef, "c'est une très mauvaise nouvelle, alors que notre pays traverse de graves événements", et "il est plus que jamais nécessaire de redresser notre économie pour faire face aux défis du terrorisme". La CGT réclame de son côté "une autre politique industrielle pour vraiment lutter contre le chômage".

Chez les Républicains, Eric Woerth, délégué général au projet du parti, a fustigé le "grand manque d'efficacité des actions". "La France ne pourra jamais vaincre le chômage de masse à coup d'emplois aidés financés sur de l'argent public", a réagi le député de l'Oise.

Le Front national juge enfin que "cette montée en flèche du chômage confirme l'arnaque des discours fabriqués par le gouvernement sur la prétendue reprise".

(Avec AFP)