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02/01/2016

La catastrophe financière imminente. PIERRE JOVANOVIC sonne le glas de la finance (Vidéo)

Et l'Europe, dont la France, sont des colonies qui appartiennent à qui ?

Devinons !!

PIERRE JOVANOVIC sonne le glas de la finance, préparez vous à la chute !

TVLibertés – Nous, c'est vous LA CATASTROPHE FINANCIÈRE IMMINENTE

1ère partie – Des attentats aux élections

  • Etat d’urgence : page facebook de Jovanovic censurée veille du 1er tour.

  • Vote contestataire aux frontières par peur de l’immigration et du chômage.

  • Goldman Sachs a écrit une note sur la France : veut la disparition de son armée, de ses départements, de ses communes et veut le bipartisme.

  • Le management orwellien de la terreur.

 

2e partie – La vraie guerre est financière

  • Avec 18 000 milliards $ de dettes, le $ US ne vaut rien.

  • Ayn Rand : « le papier monnaie est un chèque tiré par des voleurs légaux ».

  • L’or américain a disparu. Bernanke a interdit l’accès aux coffres de la Fed.

  • L’Amérique rachète l’Europe avec des faux billets.

  • Corruption des eurocrates soumis au pouvoir des ploutocrates américains.

  • L’Assurance vie ne vaut rien. Les comptes bancaires seront saisis.

  • Les banksters de Wall street ont volé l’or du Rhin.

  • Bourse française, visa Europe, nos barrages : rachetés.

 

3e partie – Effets de la planche à billets

  • La Yougoslavie de Milosevic, banquier keynésien, bon exemple : ruine totale.

  • 100 millions d’Américains « pauvres ». Prix de la dinde a explosé par rapport aux revenus. Leasing passé de 2 à 7 ans.

  • Hillary Clinton financée par les banques.

  • L’Etat spectacle : la télé impose son candidat.

  • Lloyds, Bank of America, Deutsch Bank licencient en masse, fin des liquidités, taux négatifs : preuves d’une catastrophe imminente.

 

23/12/2015

Dialogue avec Vladimir Poutine. (extrait de" L'Ordre mondial"). Vidéo censurée par Youtube

Dialogue avec Vladimir Poutine. (extrait de" L'Ordre mondial")

Dans un documentaire du célèbre journaliste russe Vladimir Soloviev intitulé "L’ordre mondial" et diffusé le 20 décembre 2015, Vladimir Poutine évoque certaines questions concernant les relations internationales. Vidéo censurée par youtube. Publiée sur un réseau social elle a été visionnée 60 000 fois en une demi-journée.

15/12/2015

La mise en place de la dictature en France - Entretien avec Maître Danglehant (Vidéo)

La mise en place de la dictature en France – Entretien avec Maître Danglehant

Maître François Danglehant évoque les actes gravissimes dont les pouvoirs exécutif et judiciaire se rendent coupables en France et dont ils devront un jour répondre.


 

 

                                 

03/12/2015

URGENT : EN DIRECT : Vladimir Poutine prend la parole devant l’Assemblée fédérale de Russie

EN DIRECT : Vladimir Poutine prend la parole devant l’Assemblée fédérale de Russie

3 déc. 2015, 09:56

Jeudi 3 décembre, le président s’adresse au Parlement russe pour son discours annuel. Dans son message, le dirigeant fera le bilan de la politique intérieure et extérieure de l’année 2015 et présentera sa vision pour 2016.

Même si le contenu de l’intervention du chef d’Etat n’est pas connu à l'avance, certains experts estiment qu’il portera surtout sur les menaces extérieures auxquelles font face la Russie et ses citoyens au Moyen-Orient, surtout en ce qui concerne les relations avec la Turquie. La situation économique du pays et la balance budgétaire seront un autre point important du discours de Vladimir Poutine, d’après les commentateurs politiques.

Plus de 500 journalistes venus du monde entier, y compris ceux de RT, assistent à cet évènement.



Turquie: La fuite en avant d’Obama et le rôle de l'Otan

Turquie: La fuite en avant d’Obama

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Quand Erdogan a donné l’ordre d’abattre un bombardier Russe il ne se doutait probablement pas des conséquences qui allaient en découler.

Sur le plan économique d’abord, la Russie a en quelques jours à peine coupé quasiment tous les contacts avec la Turquie: Citoyens turcs expulsés de Russie ou/et interdits d’entrée, annulation des contrats prévus, embargo sur les produits turcs, fermeture des centres culturels turcs en Russie, etc etc.

Mais c’est sur le plan des relations internationales que l’ouragan ne fait que se lever: La Russie a en effet publié hier, en direct devant plusieurs dizaines de journalistes, les preuves formelles attestant que non seulement la Turquie mais aussi directement la famille Erdogan, trafique le pétrole volé et revendu par Daesh, financant ainsi l’Etat Islamique.

La réaction d’Erdogan est normale pour un voyou de cette envergure: Tel un braqueur pris en flag dans le sas d’une banque, il nie. On peut le comprendre, son poste est en jeu bien que sa promesse de démissionner immédiatement si ces informations étaient prouvées n’engage que les naïfs y ayant cru. Mais sa vie même est en jeu car certains Services ne vont peut-être pas s’embarrasser de considérations légales pour liquider un des principaux financiers du terrorisme mondial…

Ce qui peut paraitre plus étonnant est la réaction quasi immédiate de Washington, qui « dément l’implication de la Turquie« . Face à une multitude de vidéos et photos satellites, les américains n’ont « vu aucune preuve à l’appui de telles accusations », a indiqué la porte-parole du Pentagone. Cette brave dame, qui semble avoir besoin soit de lunettes, soit d’un cerveau basique capable d’analyser un ensemble de photos et vidéos, parle au nom des Etats Unis, et il est donc clair qu’à travers elle, c’est Obama qui prend position.

Il est certain que venant d’un Président des Etats-Unis ayant fait du mensonge sa ligne de conduite – depuis le mensonge sur son lieu de naissance -, une telle position est elle aussi « normale »: Quand on est pris en flag, quand ses alliés sont pris en flag, une seule attitude: Nier. On a vu cela récemment avec l’affaire du vol civil abattu au-dessus de l’Ukraine, ou mystérieusement aucun satellite américain n’a été capable de détecter le coupable. Nier donc, mais aussi lancer une gigantesque offensive médiatique pour faire passer les coupables pour les victimes de l’abominable « Russie de Vladimir Poutine ».

Dans cette affaire du financement de Daesh, le but des Etats-Unis en soutenant ses alliés contre toute évidence – contre toute preuve! – est bel et bien de maintenir un front uni non pas contre l’Etat Islamique, mais contre la Russie. Il est à prévoir que les organes de propagande US vont accuser la Russie de vouloir briser la coalition contre Daesh, d’ailleurs le porte-parole du Pentagone ajoutait hier que « la Turquie déploie en commun avec ses partenaires internationaux des efforts pour renforcer le contrôle à sa frontière avec la Syrie. »

On sait bien entendu qui fait quoi en Syrie, c’est d’ailleurs bel et bien la suprématie Russe et sa position de pointe dans la lutte contre Daesh qui irrite les américains. D’une part ils perdent leur aura de « gendarme du monde », mais aussi et surtout ce sont leurs alliés terroristes, « modérés » ou non (!) qui sont durement frappés par l’Ennemi: La Russie.

On peut alors se demander jusqu’où est prêt à aller Obama dans sa haine contre la Russie. Soutenir la Turquie, financier de l’Etat Islamique, est d’un autre niveau que de soutenir la junte de Kiev, contre qui la Russie n’est quoiqu’on en dise pas en guerre. Mais la Russie EST en guerre contre Daesh. Donc contre ses financiers et ses soutiens.

On se souvient que les jours suivant la destruction par les turcs du jet Russe, Obama avait dit à Erdogan que ceci « ne devait plus se reproduire ». On pouvait considérer alors qu’il s’agissait d’une mise en garde à la Turquie, mais hier soir certains responsables à l’Etat Major Russe ont été surpris de la position du Pentagone, soutenant la Turquie encore APRES que les preuves aient été divulguées et la question se pose clairement: Jusqu’où Obama est-il prêt à soutenir son allié turc?

Car ne nous leurrons pas: Loin d’adopter un profil bas, la Turquie continue ses gesticulations tant verbales que militaires, par exemple les jets turcs violent régulièrement l’espace aérien grec, hier encore au-dessus de la Mer Égée. En Syrie, il est douteux que la Turquie, forte du soutien américain, cesse d’un coup son trafic de pétrole avec Daesh. Et il est plus que probable qu’un autre « incident » aérien surviendra au-dessus du territoire syrien, ceci posant clairement la question: Que fera Obama si un jet turc est abattu par la Défense Russe?

L’OTAN a déjà affirmé qu’elle « défendrait » ses membres en cas d’attaque, et la réaction américaine hier ne laisse guère de doute: Soutenir ses alliés, fussent-ils en tort, au risque d’une confrontation directe avec la Russie.

Voir aussi :