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20/10/2016

Syrie : Vladimir Putin interview media Français 14.10.2016

 

Vladimir Poutine répondait aux questions d'un journaliste français lors d'un des rares entretiens que le Président russe accorde aux médias internationaux. Le vendredi 14 octobre 2016.

Avec la situation tendue actuelle en Syrie le leader russe accorde une entrevue à un média français espérant pouvoir communiquer son point de vue qui est très légitime dans l'état actuel des choses.

Les États-Unis, la France et autres ont une position très dure face à la Russie, qui désire seulement préserver la constitutionnalité et l'intégralité de la Syrie.

 

Vladimir Putin interview media Français 14.10.2016


 

Poutine voit rouge et se fâche face à François Hollande ! 11/10


 

Vladimir Poutine explique ce qui s’est réellement passé entre la France et la Russie

Au lendemain de l'annulation par Moscou d'une rencontre prévue à Paris entre François Hollande et Vladimir Poutine, le président russe a expliqué chronologiquement ce qui n’avait pas fonctionné dans les relations diplomatique entre les deux pays.




Syrie : Le corridor humanitaire à Alep vu du ciel (Live Vidéo)

Le corridor humanitaire à Alep vu du ciel

 

https://cdn.rt.com/french/images/2016.10/article/58087a75c36188d4628b45ee.PNG

Pour faciliter les évacuations à l'est d'Alep, une trêve humanitaire a été décrétée conjointement par la Russie et la Syrie. Le ministère russe de la Défense a installé des caméras pour permettre de visionner en direct un des corridors.


 

Lire aussi : Alep : les terroristes tirent sur les corridors humanitaires alors que les civils tentent de sortir

 

Le départ des combattants d’Alep diffusé en direct

Le site du ministère russe de la Défense permet d’observer comment les combattants quittent la partie orientale de la ville syrienne d’Alep par des couloirs humanitaires.

La route de Castello sur la carte

La route de Castello sur la carte © Photo. Ministère russe de la Défense La route de Castello sur la carte

Quatre caméras diffusent en temps réel la situation sur les points de contrôle près de la route de Castello, dans le quartier d'al-Macharka


Le site du Ministère de la Défense russe, diffuse les vidéos en Live en 3 langues : en Russe, en Anglais et en Français.

http://syria.mil.ru/syria/livecam.htm

Pour suivre en Français : http://fr.syria.mil.ru/

 

 

 

17/10/2016

Nice : le rapport de l'IGPN omet de préciser que des gendarmes protégeaient le président à Avignon

On SE MOQUE DE QUI ???? !!!!

Il fallait bien un prétexte pour aller bombarder la Syrie !

Ensuite, ils nous feront croire que ce n’était pas prémédité.

Comme par hasard, l’attentat se produit dans la SEULE ville de France où il n’y a AUCUN GENDARME alors que la France est depuis près d’1 an sous le statut d’état d’urgence ?

Et ils étaient où les GENDARMES DE NICE ? DEVINONS ? A près de 300 kms de Nice !

Comme par hasard en train de protéger Hollande à AVIGNON qui était en « visite privée » !

On rêve ! Il n’y a pas d’unité de Gendarmerie plus proche que celle de Nice près d’Avignon pour protéger celui qui nous entraîne vers la 3ème guerre mondiale  ?


Il fallait combien de milliers de Gendarmes pour protéger Hollande qui était en visite privée à Avignon ?

Et Hollande qui va nous faire croire aussi qu’en mobilisant les Gendarmes de Nice, il ne savait pas non plus que la ville n’était pas protégée avec les 30 000 personnes qui fêtaient le 14 juillet ?

Et visite privée avec qui du reste, le soir du 14 juillet ?

Avec qui parlementait-il ?

Il n’y avait pas non plus les blocs de béton qui bloquent traditionnellement les accès, les soirs de fêtes sur la Promenade des Anglais ?

Un autre hasard aussi  l’IGPN oublie de signaler dans son rapport que les Gendarmes étaient à Avignon pour protéger le caniche des USA !

Nice Avignon 2 h 36 min (261,9 km) via A8

Afficher l'image d'origine

 

Nice : le rapport de l’IGPN omet de préciser que des gendarmes protégeaient le président à Avignon

 

https://fr.rt.com/french/images/2016.10/article/5803df51c36188f9448b46c2.jpg

 

Le soir de l’attentat de Nice, contrairement aux précédents 14 juillet, aucune unité de gendarmes mobiles n’a été déployée sur place. L’une d’entre elles protégeait un déplacement privé du président à Avignon, comme a oublié de le préciser l’IGPN.

Le 6 septembre 2016, le député Eric Ciotti a interrogé la patronne de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN), Marie-France Monéger-Guyomarc'h, sur le fait que le rapport de la police des polices ne mentionnait pas le motif du déploiement d’une unité de gendarmes mobiles à Avignon dans le cadre d’un déplacement de François Hollande, le soir de l’attentat de Nice.

En effet, le 14 juillet, lorsqu’un camion a déboulé dans la foule y tuant 86 personnes, aucune unité de forces de gendarmerie mobile n’était présente sur place en dépit de l’état d’urgence alors que c'était le cas en 2015 et en 2014, a souligné le député devant la Commission des lois de l'Assemblée nationale.


Nice : une information a ressurgi sur le dispositif de sécurité du 14 juillet



Cinq unités de la zone de défense et de sécurité sud (qui comprend notamment la ville de Nice) avaient alors été déployées respectivement à Carcassonne, Montpellier, Toulouse, Marseille et Avignon, précise le rapport de l’IGPN, qui précise le motif des quatre premières affectations.

Le motif du déploiement d’Avignon, où François Hollande s’était rendu le 14 juillet dans le cadre d’une «visite privée» comme l’avait alors rapporté l’AFP, n’est pourtant pas précisé, s’étonne Eric Ciotti, qui interroge Marie-France Monéger-Guyomarc'h à ce sujet.

Cette dernière confirme que l’unité de gendarmes mobiles protégeait «le festival [de théâtre d’Avignon] et un déplacement du président de la République».

L’IGPN évoque un oubli

«Pourquoi dans le rapport n’était pas précisée l’affectation d’Avignon, alors que vous l’avez fait pour les quatre autres villes ?», insiste alors le député. Après de longues secondes, il obtient finalement une réponse de la part de la patronne de l’IGPN : «Cela a pu nous échapper, n’y voyez […] aucun souhait de cacher quoi que ce soit et aucune malice.»

Ce n'est pas la première incohérence du genre

A la fin du mois de septembre dernier, alors que le ministère de l’Intérieur affirmait que c’est l’intervention de la police qui avait arrêté la course du camion conduit par le terroriste de Nice, le 14 juillet, un rapport de la sous-direction anti-terroriste avait présenté une toute autre version.

Le camion aurait en fait «calé» et non pas été arrêté par les forces de police, comme l'affirmait pourtant le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve. Ce dernier assurait en effet que c’était l’intervention des forces de l’ordre qui avait permis de «mettre un terme» à la «course meurtrière» du terroriste Mohamed Lahouaiej Bouhlel qui a, ce jour-là, tué 86 personnes et fait plus de 400 blessés.

Lire aussi : Trois mois et un jour après l’attentat du 14 juillet, Nice rend hommage aux victimes

 

 

14/01/2016

L’État français complice de groupes criminels de Jean Loup Izambert - TOME 1

Des dirigeants politiques et hauts fonctionnaires à la tête de l’État français soutiennent des criminels et terroristes. Hier, ils ont protégé certains d’entre eux des recherches d’Interpol, aujourd’hui ils en soutiennent d’autres pour renverser le gouvernement syrien. De la « génération Mitterrand » à la « république exemplaire » de François Hollande, en passant par celle de Nicolas Sarkozy, 56 d’entre eux sont impliqués.

Avant-propos : Au cœur de l’État, ils protègent et arment des criminels

Chapitre 1 : « Confidentiel. À l’usage exclusif de la police et de l’autorité judiciaire »
De François Mitterrand à François Hollande en passant par Nicolas Sarkozy, les relations de dirigeants français avec des groupes criminels n’ont cessé de se développer.

Chapitre 2 : Frères musulmans, des dirigeants néocolonialistes
L’organisation criminelle des Frères musulmans soutenue par Paris est au cœur des conflits contre les pays arabes laïcs.

Chapitre 3 : Les deux faces de l’« opposition » anti-syrienne
La répartition des rôles au sein des organisations qualifiées d’« opposition » par les dirigeants français.

Chapitre 4 : Une « opposition » façonnée par des tueurs
Les principaux dirigeants de l’ « opposition » sont tous liés aux Frères et/ou aux milieux atlantistes et sionistes.

Chapitre 5 : Les « modérés » du président Hollande
Les activistes anti-syriens présentés comme « modérés » par les dirigeants français sont impliqués dans des activités délictuelles et criminelles. Portrait de famille.

Chapitre 6 : D’Alger à Damas, le même plan de subversion
La stratégie de destruction de l’État et de la société par les organisations des Frères musulmans.

Chapitre 7 : L’Élysée arme la main de l’ennemi
Chronologie du crime d’agression de la présidence et du gouvernement français contre la République arabe syrienne.

Chapitre 8 : Président ou trafiquant ?
François Hollande a décidé seul, avec l’état-major de l’Élysée, d’armer des organisations terroristes. Quid de la Constitution, du droit européen et international ?

56 - Tome 1 : L’État français complice de groupes criminels de Jean Loup Izambert
2015 - IS Edition 2015
prix : 20,00 €

 

 

11/01/2016

Israël : le nouveau patron du Mossad donne la priorité à la lutte contre l'Iran

Comme quoi tout est planifié par avance pour aller s’attaquer à l’Iran qui est un allié de la Russie, notamment dans le cadre des opérations russes effectuées en Syrie pour éradiquer les mercenaires des USA et Cie.

Israël n’était pas content de la levée des sanctions contre l’Iran imposées par les USA sur la base de la fable du développement de centrales nucléaires par ledit pays, et il fallait donc trouver un moyen pour provoquer l’Iran en faisant décapiter par l’Arabie Saoudite, 47 personnes, dont le dignitaire chiite Nimr Baqer al-Nimr, figure de la contestation contre le régime saoudien, tous condamnées pour terrorisme.

 

Rappelons qu’il y avait déjà eu un précédent en septembre 2015 avec les victimes iraniennes à la Mecque :  

  1. Vladimir Poutine s'entretient avec le roi saoudien, et le massacre à la Mecque
  2. L'Arabie communique les noms des pèlerins iraniens à Israël

Voir par ce lien, ICI, tous les articles concernant l’incident survenu à la Mecque et les réactions de l’Iran contre l'Arabie Saoudite. 


Israël : le nouveau patron du Mossad donne la priorité à la lutte contre l’Iran

Le nouveau patron du Mossad parle ouvertement de l’alliance wahabo-sioniste

http://lapravda.ch/wp-content/uploads/2016/01/isreal-saudi-destruction-800x445.jpg

8 janvier 2016 Redaction

Source : libération.fr

Les dirigeants israéliens ne disent rien, mais ils se frottent les mains : la rivalité entre l’Arabie Saoudite et l’Iran, l’affaiblissement de l’Egypte, les ennuis de la Turquie avec la Russie et à la désintégration de pays tels l’Irak et la Syrie, est tout bénéfice pour l’Etat hébreu qui voit renforcé son statut de puissance régionale stable. En prenant officiellement ses fonctions mercredi, le nouveau patron du Mossad (Renseignements extérieurs), Yossi Cohen, a en tout cas désigné l’ennemi principal de l’Etat hébreu : la «menace iranienne». Une petite phrase qui ne surprend personne à Jérusalem et qui passe pour un appel du pied aux pays de la région qui, tels l’Arabie Saoudite, le Koweït, les Emirats arabes, la Jordanie et la Turquie, ont eux aussi des comptes à régler avec Téhéran.

«Nous avons intérêt à constituer une alliance formelle avec nos voisins pour combattre le radicalisme islamique» (comprenez : l’Etat islamique et l’Iran placés dans le même sac), a déclaré jeudi matin l’ex-travailliste Ehud Barak au micro de la radio de l’armée. Il a estimé qu’il suffirait qu’Israël règle son problème avec les Palestiniens pour que cette alliance d’intérêt soit officialisée. Or, le Premier ministre Nétanyahou et sa coalition ultranationaliste ne sont pas pressés de trouver un terrain d’entente avec les Palestiniens. [Ce qui veut dire : « on pourrait arrêter de pourrir la vie aux Palestiniens et leur rendre un peu de leur pays afin de consolider notre alliance avec les Wahabites mais il ne faut pas rêver non-plus » NDLR] Pour les stratèges israéliens, que le processus de paix avec les Palestiniens reprenne ou pas n’y changera pas grand-chose : les monarchies arabes sunnites ont tellement peur de l’Iran et du monde chiite qu’elles finiront de toute façon par s’allier d’une manière ou d’une autre avec Israël.

Nissim Behar