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17/02/2010

Le plan secret du Président du Conseil Herman van Rompuy (The Independant)

Le Nouvel Ordre Mondial arrive à grands pas !

Comme nous l’indiquions dans notre article publié hier matin, l’idée centrale, pour Bruxelles, est d’utiliser cette « crise des Etats » afin contraindre au fédéralisme économique la majorité des pays membres qui s’y refusaient jusqu’ici. Cela par la mise en place d’un « gouvernement économique » qui aura pour but d’unifier les budgets des Etats membres de l’UE, afin de pouvoir disposer de leurs ressources, où plus exactement de mettre fin à leur souveraineté économique.

Le quotidien britannique The Independant confirme nos craintes les plus sombres en publiant une note secrète du président du Conseil Herman van Rompuy, dont nous vous proposons la traduction.

Nous publierons en fin de soirée un autre document qui explique très précisément quels Etats et institutions sont à l’origine de cette crise.

Mecanopolis

vanrompuy

TheIndependentMasthead


Le nouveau président du Conseil européen, Herman Van Rompuy, s’appuie sur la crise financière dans l’euro-zone pour pointer audacieusement la question du pouvoir sur les budgets nationaux. Des fuites sont révélées.

The Indépendant a pris connaissance d’ une annexe secrète à la lettre envoyée par M. Van Rompuy aux chefs de l’Union Européenne de gouvernement les invitant au sommet tenu demain à Bruxelles.

Dans une assertion majeure et musclée sur les gouvernements nationaux et sur la Commission d’UE, Van Rompuy note : « les membres du Conseil européen sont responsables de la stratégie économique dans leur gouvernement. Ils devraient l’assumer à l’échelle de l’UE. Si on appelle à la coordination des politiques et des gouvernances économiques, seul le Conseil européen est capable de fournir une stratégie européenne commune pour plus de croissance et plus d’efficacité. »

M. Van Rompuy déclare que « la crise a révélé nos faiblesses« , en ajoutant : « les plans budgétaires, les programmes de réforme structurels et les rapports concernant le changement climatique devraient être présentés simultanément à la Commission. Cela fournirait une vue d’ensemble complète.«

Une source d’UE dévoile : « Il est devenu clair à chacun que cette crise économique ne peut pas être résolue par différents états membres, tels que l’Allemagne dépannant la Grèce. Ce dont nous avons besoin est le même genre de mécanisme que nous avons maintenant imposé à la Grèce afin de surveiller et analyser la situation de certains pays en zone Euro. Donc l’idée est de mettre toutes les économies européennes sous surveillance. Vous pouvez vous attendre à ce qu’à quelques décisions importantes soient prises très bientôt. »

Très inhabituellement, le président de la Banque centrale européenne, Jean-Claude Trichet, a interrompu une réunion de gouverneurs de banques centrales à Sydney pour revenir en Europe.

La pression sur l’euro s’est atténuée dans l’attente supposée que l’autorité du responsable politique et économique de U.E apaise les marchés.

Le gouvernement de centre-gauche de M. Papandreou a annoncé qu’une austérité de quatre années jugulerait un déficit budgétaire abyssal. Cependant, des doutes persistent. Après une situation tragico-comique, les percepteurs d’impôts de Grèce se sont mis en grève la semaine dernière. Aujourd’hui tous les vols en partance et vers la Grèce seront gelés par les contrôleurs de trafic aérien et des grèves interviendront aussi dans les hôpitaux et les écoles.

Bien que pas directement affecté, compte tenu que la livre sterling est hors de la zone Euro, Gordon Brown s’est ému que n’importe quelle faille dans l’économie européenne pouvait mettre aussi le Royaume-Uni en danger.

L’inquiétude affichée aux plus hauts niveaux de l’UE quant à une contagion passant par la Grèce, l’Espagne et le Portugal est aussi clairement confirmée par la note confidentielle de M. Van Rompuy : « La crise a révélé nos faiblesses. Notre taux de croissance structurel est trop bas pour créer de nouveaux emplois et soutenir nos systèmes sociaux. »

Se rapportant au fait que l’UE n’a aucune solution pour résoudre une crise budgétaire qui affecte d’autres Etats membres, M. Van Rompuy continue : « les développements récents dans la zone euro accentuent le besoin urgent de renforcer notre gouvernement économique. Dans nos économies imbriquées, nos réformes doivent être coordonnées pour optimiser leur effet. »

Le Pacte de Croissance et de Stabilité européen et le Traité Maastricht ont été conçus pour prévenir le type de crise budgétaire que l’euro-zone connaît actuellement.

Les règles de Maastricht – le fait de limiter des Etats membres à un déficit budgétaire annuel de 3 pour cent par an et à une dette nationale totale à un rapport de PIB de 60 pour cent – ont été balayées pendant la crise financière. Même pendant les années d’avertissement, les pays les ont le plus souvent négligées.

Pour l’avenir, M. Van Rompuy explicite , « nous allons nous concentrer sur l’impact de politiques nationales sur l’ensemble de l’U.E , tout particulièrement quant aux déséquilibres macroéconomiques et aux divergences de compétitivité. »

La crise financière met en compétition les trois présidents de l’UE qui luttent pour la première place. M. Van Rompuy , président permanent du Conseil européen (Une fonction pensée pour Tony Blair), le premier ministre espagnol, José Zapatero, président du Conseil de l’Union Européenne et José Manuel Barroso , président de la Commission européenne.

Le Président Barack Obama a rembarré récemment un sommet d’U.E-Etats-Unis pour le printemps prochain au titre de cette troïka ingérable.

Le sommet va être tenu loin des bureaucraties habituelles, dans la bibliothèque Solvay de Bruxelles. « Van Rompuy a voulu créer une atmosphère bien plus intime, sans une armée de conseillers, » révèle une source. « Il y a actuellement beaucoup de tensions entre les Etats membres, ce pourquoi il a été décidé de les faire se rencontrer dans un cadre ouvert, sympathique, apéros à l’appui. L’idée est d’avoir des sessions de travail convenable , conviviables. »

Lire l’article original sur le site de The Independant

Reproduction autorisée avec indication des sources

http://www.mecanopolis.org/


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15/02/2010

Fonctionnaires : les pays de l’UE attaqués en justice

On peut savoir à quoi ils nous servent les fonctionnaires de la Commission Européenne à part nous coûter de l'argent ?

mercredi 06 janvier 2010, 15:24

La Commission européenne a décidé d’attaquer en justice les pays de l’UE, pour annuler leur décision de diviser par deux la hausse salariale légale des fonctionnaires des institutions européennes.

Fonctionnaires : les pays de l’UE attaqués en justice

© Archive Le Soir, Alain Dewez

« La Commission a confirmé la décision d’aller devant la Cour (de justice européenne de Luxembourg) pour un recours contre la décision » des 27 pays européens, a annoncé la porte-parole de la Commission, Pia Ahrenkilde Hansen.

Cette décision a été prise à l’unanimité, a-t-elle précisé.

Le Conseil des 27 États européens avait décidé à l’unanimité en décembre l’octroi d’une revalorisation salariale brute de 1,85 % pour les quelque 50.000 fonctionnaires et contractuels (au statut plus précaire) des institutions européennes. Soit la moitié de la hausse légale de 3,7 % qui leur était mécaniquement promise.

La revalorisation salariale annuelle des fonctionnaires, proposée par la Commission européenne, est régie par une méthode gravée dans la loi, au moins jusqu’en 2012.

Elle est calculée mécaniquement sur l’évolution des salaires de la fonction publique de huit États (représentant 76 % du PIB de l’UE), durant l’année précédente, ainsi que sur l’inflation à Bruxelles.

La Commission a donc estimé que la décision des pays de l’UE n’est pas en conformité avec la loi.

Nombre de pays ont refusé avec véhémence la hausse prévue de 3,7 %, en pleine crise économique. Certains ont en effet récemment réduit les salaires de leur fonction publique pour réduire leur déficit.

Une fois saisie, la Cour européenne de justice (CEJ), basée à Luxembourg, met en moyenne 16 mois pour rendre une décision. En attendant, les fonctionnaires obtiendront seulement la hausse réduite à 1,85 %.

(D’après AFP)

http://www.lesoir.be/actualite/monde/2010-01-06/salaires-...

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14/02/2010

Grèce : ce que risquent les banques

Allez bientôt ce sera à notre tour de dérouiller et de crouler sous l'endettement !  Nous croulons déjà !
C'est bien ce qui est voulu n'est-ce pas par les Maîtres du Monde pour instaurer le Nouvel Ordre Mondial ?


Par Guillaume Guichard
12/02/2010 | Mise à jour :
Les banques françaises, suisses et allemandes sont les plus exposées à l'économie grecque.
Les banques françaises, suisses et allemandes sont les plus exposées à l'économie grecque. Crédits photo : REUTERS

Les banques françaises et allemandes cumulent plus de 115 milliards de dollars (84 milliards d'euros) d'exposition en Grèce et six fois plus dans l'ensemble de l'Europe du Sud. L'Espagne, probable prochaine cible des marchés, inquiète beaucoup plus.

La France et l'Allemagne ont finalement pris les devants pour venir en aide à la Grèce. Symboliquement du moins. Si les détails du plan ne sont pas encore connus, une chose est sûre : les relations économiques, et notamment via les systèmes bancaires, forcent les Etats européens à agir.

«Un certain nombre d'économies au sein de l'Union européenne pourraient gravement souffrir d'un défaut de la Grèce sur sa dette, c'est pourquoi ils ont intérêt de lui venir en aide afin de sécuriser leurs positions», analysent les économistes de Credit Suisse dans une note.

Les Etats de l'Union européenne sont d'abord les premiers consommateurs de dette grecque. Le Royaume-Uni et l'Irlande détiennent 23% des obligations émises par Athènes, la France 11% et l'ensemble Allemagne, Suisse et Autriche 9%, selon les chiffres de Credit Suisse.

L'imbrication des systèmes financiers va plus loin. Les banques européennes ont prêté plus de 252 milliards de dollars à l'économie grecque, selon les chiffres de la Banque des règlements internationaux datant de septembre 2009. Les établissements français sont les plus exposés, avec 75 milliards de dollars (55 milliards d'euros) d'encours. Les établissements suisses ont investi 63 milliards de dollars (46 milliards d'euros), les Allemands 43 milliards (31 milliards d'euros).

Ces chiffres ne recouvrent cependant pas la réalité de l'implication des banques. «On peut aisément imaginer que de nombreux gérants d'actifs ont récemment pris des positions à court terme sur la dette grecque afin de profiter des taux d'intérêt élevés», estime un économiste parisien. «Si les taux se relèvent encore plus, la valeur de leur portefeuilles risque de se dégrader et d'affecter les banques.»

«Il faut relativiser les chiffres : les expositions des banques à la Grèce, si elles sont importantes, ne représentent pas des montants monstrueux comparé à la totalité des engagements des banques européennes de par le monde», estime Michala Marcussen, économiste en chef chez Société Générale CIB.

Risque de contagion

Si la Grèce reste un petit pays à l'échelle européenne, le risque réside dans une contagion de la crise à l'Espagne, au Portugal, à l'Irlande. Or, «beaucoup de banques européennes sont lourdement exposées à l'Europe du sud», observent les économistes de Société Générale. Et les montants investis, rapportés à cet ensemble des pays, s'élèvent, pour les établissements français et allemands, à 600 milliards d'euros, calcule la Société Générale. Difficile de rester les bras croisés.

Surtout, l'Espagne, probable prochaine cible des marchés, inquiète beaucoup plus les analystes. «L'Espagne est une plus grande cause de soucis que la Grèce», selon les économistes de Credit Suisse. Et pour cause, précisent-ils : les niveaux d'endettement y sont très supérieurs, le marché immobilier est encore surévalué et les déficits publics ont explosé. Protéger la Grèce, c'est donc protéger l'Espagne.

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2010/02/12/04016-20100...


11/02/2010

Crise financière : La Grèce est paralysée

Bientôt notre tour aussi ?
Ils n'attendent que ça que les peuples européens se révoltent pour instaurer la loi martiale, ce que le Traité de Lisbonne les autorise à faire !

 

14 minutes

Comme annoncé la veille, des milliers de personnes ont répondu à l'appel à la grève lancé par l'Adedy, le principal syndicat de la fonction publique (300 000 membres).

Environ 5000 personnes ont manifesté en fin de matinée mercredi dans la capitale et environ 3000 à Salonique, la grande ville du nord.

Les fonctionnaires protestent contre le gel prévu des salaires, la baisse annoncée de 10 % des primes, la diminution de 30 % des heures supplémentaires et l'arrêt total des embauches en 2010, sauf dans les secteurs de la santé, de l'éducation et de la sécurité: mesures réitérées mardi soir par le ministre des Finances Georges Papaconstantinou.

« On ne doit pas payer la crise! » proclamait un calicot tendu par les manifestants tandis que d'autres banderoles appelaient à faire « grève contre les spéculateurs » et appelaient les fonctionnaires à « résister maintenant ».

En parallèle, le Front de lutte syndical (PAME), émanation du parti communiste (KKE), avait appelé ses membres à se joindre au mouvement. Environ 5000 militants se sont rassemblés à Athènes.

« La ploutocratie doit payer pour la crise », indiquaient des banderoles portées par les manifestants communistes.

Par ailleurs, des dizaines de milliers de fonctionnaires ont entamé la grève de 24 heures décidée par de l'Adedy pour dénoncer des « sacrifices injustes et inefficaces ».

Plusieurs secteurs sont paralysés par ce mouvement de grève.

Cependant, un personnel d'astreinte a été mis en place dans les hôpitaux publics pour répondre aux urgences.

La grève n'a pas touché les transports urbains.

La puissante Confédération générale des travailleurs grecs (GSEE, 600 000 membres) a appelé à une grève nationale le 24 février pour protester contre la réforme du système des retraites.

Le ministre du Travail, Andreas Loverdos, a proposé de retarder de deux ans d'ici 2015 l'âge moyen de départ à la retraite pour le porter à 63 ans.

L'Adedy a annoncé son intention de participer à ce prochain mouvement de grève.

Sommet européen

Le sommet de l'Union européenne de jeudi sera consacré aux aspects politiques d'un soutien à la Grèce.

« Jean-Claude Juncker (le président de l'Eurogroupe) fera le point avec les chefs d'États et de gouvernements au sujet des discussions qu'il a eues mercredi avec les ministres des Finances », selon une source citée par Reuters.

Par la suite une autre réunion des ministres des Finances de la zone euro aurait lieu lundi.

http://qc.news.yahoo.com/s/10022010/3/world-crise-financi...

 

Réunion d'urgence de l'Eurogroupe pour évoquer la Grèce

La France n'est pas assez endettée apparemment !
Les impôts doivent être augmentés selon le rapport de la Cour des Comptes rendu hier, et nous allons continuer à payer pour tous les pays qui sont en difficultés financières ! Et qui paiera encore pour enrichir les banquiers privés ?

Nous !

Sortons de la prison de l'Europe, reprenons notre identité et notre souveraineté nationale, et revenons au bon vieux FRANC !

Marre d'engraisser les banquiers Illuminati, de financer leurs guerres perpétuelles et de leur donner les moyens sur la base de l'endettement des pays européens d'instaurer leur Nouvel Ordre Mondial !

La dictature mondiale des banquiers Illuminati-reptiliens, ça suffit !

Crise

Réunion d'urgence de l'Eurogroupe pour évoquer la Grèce

L'Expansion.com - 10/02/2010 13:00:00
Reuters / Alex Grimm
Le logo de l'euro devant la Banque centrale européenne à Frankfort.

Les ministres des Finances de la zone euro doivent se réunir ce mercredi par téléconférence pour parler de la situation en Grèce. La perspective d'une aide financière se précise.

Les ministres des Finances de la zone euro prévoient de se réunir ce mercredi par téléconférence pour parler de la situation en Grèce, ont indiqué mercredi plusieurs sources diplomatiques, alors qu'un plan d'aide financier pour ce pays en crise budgétaire se précise.

"Une réunion est prévue dans l'après-midi des ministres des Finances de la zone euro" sur le sujet, a déclaré à l'AFP une des sources diplomatiques, confirmant des informations du quotidien français Le Monde.

Selon le journal, le président de la Banque centrale européenne, Jean-Claude Trichet, et le président de l'Eurogroupe, le forum des ministres des Finances de la zone euro, Jean-Claude Juncker, se joindront aux discussions.

Le porte-parole du commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires, le Finlandais Olli Rehn, a pour sa part fait état de la tenue d'une réunion des ministres de la zone euro en précisant que M. Rehn y participerait, mais sans préciser son contenu.

"D'après ce que je sais il y aura quelque chose comme une vidéo-conférence et bien sûr le commissaire Rehn y participera", a-t-il dit.

Cette réunion se tiendra à la veille d'un sommet des dirigeants de l'UE consacré à la question à Bruxelles.

A ce stade, il n'y a "pas encore d'accord" sur un plan d'aide à la Grèce, en pleine tourmente en raison de l'ampleur de ses déficits qui font craindre sur les marchés des difficultés d'Athènes à pouvoir emprunter sur les marchés, a indiqué une autre source diplomatique européenne, sous couvert de l'anonymat.

Les signes toutefois d'un mécanisme de soutien en faveur de ce pays se multiplient. Un responsable parlementaire du parti conservateur de la chancelière allemande Angela Merkel, Michael Meister, a ainsi affirmé que des préparatifs étaient en cours au sein du gouvernement allemand pour un plan d'aide.

Il pourrait prendre la forme de mises à disposition de prêts bilatéraux de certains pays de la zone euro en faveur de la Grèce, pour l'aider à faire face au renchérissement pour elle du coût de l'emprunt sur les marchés depuis le début de la crise.

L'option d'un versement anticipé de subventions de l'UE à la Grèce est également envisagée.

Il n'est toutefois pas sûr qu'une annonce soit faite dès l'issue du sommet européen jeudi. "C'est un sujet compliqué car si on commence à montrer qu'on panique en disant qu'on va aider la Grèce, les marchés vont spéculer encore plus", a fait valoir une source gouvernementale européenne de haut rang.

Mais "on ne sortira pas (du sommet) sans un texte commun sur la Grèce", a-t-elle ajouté, en soulignant qu'il fallait avant tout écarter l'idée d'un besoin d'intervention du Fonds monétaire international pour la Grèce, qui serait humiliant pour l'Europe.

"On ne peut pas donner ça comme signal", a-t-il dit.

http://www.lexpansion.com/economie/actualite-economique/r...