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20/07/2010

Des moustiques OGM pour éradiquer le paludisme ?

C'est du grand n'importe quoi !

Quand vont-ils arrêter leurs manipulations génétiques ?

Et pourquoi pas avec une puce RFID dedans pour mieux nous fliquer et nous massacer ?

Et bien sûr c'est pour votre santé !

Le 19 juillet 2010 à 08h57

Le moustique <em>Anopheles stephensi</em> est un des vecteurs du paludisme. Son remplacement dans la nature par un moustique non vecteur du parasite <em>Plasmodium</em> devrait éradiquer la maladie. © Wikimedia <em>Commons</em>

Par Claire Peltier, Futura-Sciences

Des moustiques génétiquement modifiés, résistants au paludisme et qui remplaceraient les moustiques de la nature : c’est le rêve de chercheurs de l’Université d’Arizona, qui l’ont d’ailleurs presque accompli.

Le paludisme est une maladie infectieuse retrouvée principalement dans les pays tropicaux, qui tue environ 1 million de personnes par an. Elle risque d’être encore plus dévastatrice, à cause de la résistance accrue aux médicaments et aux insecticides. L’agent responsable de la maladie est un organisme unicellulaire, nommé Plasmodium, parasite du moustique et transmis à l’Homme par les insectes femelles lors de leurs prises alimentaires sanguines, autrement dit lorsqu’elles nous piquent.

C’est dans l’insecte qu’a lieu la reproduction sexuée du parasite. Lorsque le moustique se nourrit sur un animal impaludé, les gamètes de Plasmodium ingérées se fécondent et les ookinètes obtenues traversent la barrière intestinale de l’insecte. Elles se transforment en oocystes, qui mettront environ 12 jours pour libérer les sporozoïtes, cellules mobiles qui rejoindront la glande salivaire du moustique. Ainsi, 16 jours après son infection, l'insecte peut réinjecter le parasite à d’autres animaux lors de ses prochains repas.

Afin d’éradiquer la maladie, plusieurs solutions existent : des pesticides (de moins en moins efficaces), un vaccin (qui se fait attendre), ou la création de moustiques 100% résistants au parasite, une stratégie possible par génie génétique. Trois paramètres sont essentiels dans une telle lutte contre le paludisme : une résistance maximale du moustique, une diminution de la durée de vie de l’insecte (en général, elle tourne autour de deux semaines, seuls ceux qui vivent plus longtemps peuvent donc transmettre la maladie), et un avantage du moustique modifié par rapport au sauvage pour qu’il le remplace spontanément dans la nature.

Les chercheurs de l’Université d’Arizona ont tenté de modifier génétiquement Anopheles stephensi, un des moustiques vecteurs de la maladie, afin qu’il devienne totalement résistant au Plasmodium. Les résultats sont présentés dans le journal Plos Pathogen.

Images de l'intestin de moustiques transgéniques exprimant la protéine Akt (à gauche) et non-transgéniques (à droite). La protéine Akt est visualisée par immunolocalisation grâce à des anticorps fluorescents spécifiques (vert). Les flèches montrent les membranes cellulaires de l'épithélium. Les images du bas sont une superposition des deux images supérieures, prises au microscope optique (haut) et à fluorescence (milieu).

Images de l'intestin de moustiques transgéniques exprimant la protéine Akt (à gauche) et non-transgéniques (à droite). La protéine Akt est visualisée par immunolocalisation grâce à des anticorps fluorescents spécifiques (vert). Les flèches montrent les membranes cellulaires de l'épithélium. Les images du bas sont une superposition des deux images supérieures, prises au microscope optique (haut) et à fluorescence (milieu). © Université d'Arizona / Plos Pathogen

Deux des objectifs atteints

Les scientifiques ont introduit, dans des embryons de moustique, un gène déjà présent dans l’insecte, mais ont augmenté son taux d’expression spécifiquement dans l’intestin, grâce à des séquences d’ADNkinase du nom d’Akt, est impliqué dans divers mécanismes cellulaires, dont la voie de signalisation de l’insuline et l’immunité promotrices uniquement activées dans les cellules intestinales. Ils ont également légèrement modifié le gène, de telle manière à ce qu’il soit encore plus actif. Ce gène, codant pour une innée des moustiques. De plus, de précédentes analyses avaient permis de montrer son rôle dans la variation de la durée de vie des insectes.

Les chercheurs ont ensuite présenté de la nourriture infectée aux insectes génétiquement modifiés. Les moustiques hétérozygotes (possédant une version normale du gène Akt, et une version modifiée) sont, d’une part, moins nombreux à être infectés par les parasites que les moustiques sauvages (10,5 contre 58,5%), et d’autre part, ceux qui sont infectés contiennent comparativement beaucoup moins de parasites (diminution de 95,6%).

Lorsque le même test est effectué sur les moustiques homozygotes, c'est-à-dire contenant les deux allèles modifiés du gène Akt, plus aucun Plasmodium n’est retrouvé dans les insectes. De plus, la durée de vie des moustiques modifiés est significativement réduite. Par contre, le taux de reproduction semble identique à celui des insectes sauvages.

Deux des trois objectifs ont donc été atteints. Mais le dernier, le gain d'un avantage reproductif des moustiques modifiés, sera certainement plus difficile à réaliser. De plus, l’utilisation de cette stratégie de remplacement des moustiques sauvages pose d’autres problèmes : d’un point de vue éthique, comment l’homme peut-il lancer dans la nature une espèce d’insecte modifiée, sans qu’il puisse contrôler son devenir ? Pour l’instant, les moustiques modifiés sont gardés sous haute surveillance dans un laboratoire très sécurisé, sans aucune chance de s’échapper.

Futura Sciences

 



Une pluie de météores pourrait endommager la Station Spatiale Internationale et le télescope Hubble

Là encore tout va bien ! Dormez tranquilles braves gens en attendant que le Ciel vous tombe sur la tête ! Nibiru n'existe pas et ni son cortège d'astéroïdes, n'est-ce pas !?

lundi 28 juin 2010 par NewsOfTomorrow

(Source : Zigonet)

États–Unis - Selon les scientifiques de la NASA une pluie de météorites, qui serait la plus puissante depuis une dizaine d’années, pourrait endommager fortement la Station Spatiale Internationale ainsi que des satellites.

Les scientifiques de la NASA ont fait savoir qu’une pluie de météores appelé Draconides (qui survient chaque année au mois d’octobre) pourrait sérieusement endommager la Station Spatiale Internationale mais également plusieurs satellites se trouvant en orbite.

Ainsi en 1933 et 1946, ce sont des pluies de plusieurs milliers de météores par heures qui avaient pu être observées. Celle qui se tiendra en 2011 inquiète fortement les scientifiques. Elle serait la plus importante pluie de météores depuis celle qui a eu lieu en 1998 avec des centaines de météores par heure. La NASA envisage déjà de prendre certaines mesures afin d’éviter tout problème. L’agence spatiale pourrait réorienter la station spatiale et le télescope Hubble. L’un des scientifiques a ajouté devant les journalistes du Daily Telegraph que "si vous êtes touchés par un météore sporadique c’est un acte de Dieu, si vous êtes touchés par une pluie de météores c’est un acte de négligence."

http://www.newsoftomorrow.org/spip.php?article8558

 

Anomalie dans la Thermosphère

Tout va bien, n'est-ce pas ?
En avez-vous entendu parlé dans la presse ?

Et rien ne va affecter nos vies qu'ils ont dit les scienfiques, n'est-ce pas ?
Ils se fichent de qui ?

Ils peuvent toujours chercher à comprendre ce qu'il se passe, tant qu'ils n'auront pas accepté le fait que nous soyons en train d'ascensionner vers le centre de la Galaxie et que nous soyons actuellement en train de traverser la ceinture de photons.

Forcément notre environnement cosmique change !

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lundi 19 juillet 2010 par LOLOpsw

 

(Source : CNN) , Traduit par LOlopsw pour N.O.T.

Récemment, une couche supérieure de l’atmosphère terrestre s’est rétrécie tellement que les chercheurs sont perdus pour l’expliquer avec une juste proportion, a dit la NASA jeudi.

La thermosphère, qui bloque les rayons ultraviolets nocifs, augmente et se contracte régulièrement en raison des activités du soleil. À mesure que l’anhydride carbonique augmente, il a un effet de refroidissement à de telles hautes altitudes, qui contribue également à la contraction de la couche.

Mais même ces deux facteurs n’expliquent pas entièrement la contraction extraordinaire qui, bien que peu susceptible d’affecter le temps, peut affecter le mouvement des satellites, ont dit les chercheurs.

« C’est la plus grande contraction de la thermosphère depuis au moins 43 années, » dit John Emmert du laboratoire de recherche navale, qui a été cité en tant que rapporteur dans le rapport de la NASA.

Emmert est l’auteur important d’un papier annonçant une conclusion pour la question du 19 juin des "lettres géophysiques de recherches" du journal.

« Nous ne pouvons pas expliquer les densités anormalement faibles, qui sont environ 30 pour cent inférieurs » que les contractions précédentes, Emmert a dit à CNN.com.

" La thermosphère se trouve haut au-dessus de la surface terrestre, à la limite d’où l’atmosphère finit et l’espace commence. Elle s’étend de l’altitude de 55 milles (90km) à 370 milles (600km) au-dessus de la terre — le royaume des météores, des aurores, des navettes spatiales et de la Station Spatiale Internationale.

La thermosphère interagit avec cette limite, et fortement avec le soleil et par conséquent est considérablement influencée par l’activité solaire, qui se produit par cycles."

Quand l’activité solaire est haute, les rayons ultraviolets extrêmes solaires chauffent et augmentent la thermosphère. Quand elle est basse, l’opposé se produit.

"L’effondrement s’est produit pendant ce qui est connu comme « minimum solaire » 2007-2009, où le soleil a plongé dans un minimum sans précédent d’inactivité. Les taches solaires étaient rares et les éruptions chromo sphériques étaient inexistantes", rapporte la NASA.

En tout cas, l’effondrement de la thermosphère a été plus grand que seule l’activité du soleil peut l’expliquer.

Emmert propose que les quantités croissantes d’anhydride carbonique transformant à sa manière l’atmosphère pourraient avoir joué un rôle dans l’anomalie.

L’anhydride carbonique agit en tant que liquide réfrigérant dans la haute atmosphère, à la différence de l’atmosphère inférieure, qui rejette la chaleur par l’intermédiaire du rayonnement infrarouge. Pendant que les niveaux d’anhydride carbonique s’accumulent sur terre, elle transforme sa matière aux niveaux supérieurs et magnifie l’action du refroidissement du minimum solaire, a dit Emmert.

Pendant que l’anhydride carbonique s’accumule graduellement, « nous pensions que chaque minimum solaire était un peu inférieur (NDT : par rapport au maxima), et puis ce minimum solaire long est arrivé, mais à la place il est très inférieur. Et c’est assez étonnant, » a dit Stanley Solomon, un scientifique senior au centre national pour la recherche atmosphérique qui n’a pas été directement impliqué dans cette recherche.

Mais, dit Emmert, même en prenant en considération l’activité solaire et la montée d’anhydride carbonique n’explique pas entièrement cet effondrement anormal.

En dépit de l’anomalie incompréhensible, l’effondrement de la thermosphère est peu susceptible d’exercer un effet direct sur nos vies quotidiennes, a dit l’homme.

" Il ne va pas affecter le temps, ou vous ne pourrez pas dire que ceci continue en regardant le ciel. Il ne va pas devenir plus foncé, mais la contraction de la thermosphère peut affecter la direction des satellites et les débris spatiaux orbitant à ces niveaux."

Les « débris qui sont vers le haut resteront en haut plus longtemps. La quantité de débris orbitaux est un souci pour la navigation dans l’espace. Il y a le souci que les débris spatiaux s’accumulent, » dit Emmert.

Le changement anormal de la thermosphère peut également affecter d’autres couches de l’atmosphère, et cependant moins certain, peut avoir comme conséquence de légères ruptures des communications par satellites, y compris le système de positionnement global de signal (GPS), dit Solomon.

Emmert a dit qu’il restait d’autres possibilités inexpliquées qui pourraient avoir contribué à ce phénomène.

« Cela pourrait être que nous sous-estimons les effets [de l’anhydride carbonique] d’une façon ou d’une autre. Cela se pourrait parce qu’il y a des lois de la physique que nous ignorons dans la région de l’atmosphère au-dessous de la thermosphère, qui affecte rapidement la thermosphère, » dit-il.

Les chercheurs disent qu’ils continueront à surveiller l’atmosphère, qui rebondit déjà.

http://www.newsoftomorrow.org/spip.php?article8636


« Ainsi nous allons probablement travailler dans les prochaines années pour tester et démêler tout ceci, » affirme Emmert.

17/06/2010

Que se passe-t-il sur Jupiter?

Une énorme bande de nuages qui disparait, un flash lumineux aussi bref que puissant..  La planète Jupiter est depuis plusieurs semaines le lieu de phénomènes intrigants. Premiers résultats de l’enquête menée avec le télescope Hubble.

A gauche Jupiter telle qu'on pouvait la voir depuis plusieurs décennies (image prise par Hubble le 23/07/09) et à droite Jupiter vue le 7 juin juin 2010, privée de la ceinture brune de l'hémisphère sud. (NASA, ESA, M. H. Wong (University of California, Berkeley), H. B. Hammel (SSI , Boulder), A. A. Simon-Miller (GSFC) /Jupiter Impact Science Team)

A gauche Jupiter telle qu'on pouvait la voir depuis plusieurs décennies (image prise par Hubble le 23/07/09) et à droite Jupiter vue le 7 juin juin 2010, privée de la ceinture brune de l'hémisphère sud. (NASA, ESA, M. H. Wong (University of California, Berkeley), H. B. Hammel (SSI , Boulder), A. A. Simon-Miller (GSFC) /Jupiter Impact Science Team)

Le 3 juin dernier, un événement suffisamment énergétique pour être repéré depuis la Terre, à 770 millions de kilomètres, s’est produit devant le disque de la planète Jupiter. C’est un astronome amateur chevronné, l’Australien Anthony Wesley, qui a le premier signaler le flash lumineux, visible sur les vidéos réalisées avec son télescope.

Que s’est-il passé? Un astéroïde est-il entré en collision avec l’atmosphère de Jupiter, comme en juillet 2009? Ou bien des fragments de comète comme en juillet 1994 avec le passage de la comète Shoemaker-Levy 9?

Météorite

D’après les images prises par le télescope spatial Hubble le 7 juin, soit trois jours après le signalement du flash, il n’y a pas eu d’explosion dans les nuages de Jupiter. Aucune trace, aucun débris n’est visible, contrairement à 2009 et 1994, d’après les observations des chercheurs rapportées par l’ESA.

jupiter hubble 7 juin 2010

Gros plan sur le site du flash lumineux du 3 juin dernier sur l'image prise par Hubble trois jours après: pas de traces noires visibles.

L’équipe internationale qui a analysé les données de Hubble penche plutôt pour l’hypothèse d’une météorite beaucoup plus petite qui aurait brûlé au-dessus des nuages de Jupiter mais sans plonger dans l’atmosphère de la géante gazeuse.

Disparition de nuages

L’enquête sur le flash du 3 juin fournit également de belles images de Jupiter privé d’une de ses bandes de nuages sombres, la ceinture équatoriale sud. Depuis plusieurs mois cette ceinture a totalement disparue. Elle est occultée par des nuages clairs plus élevés, des nuages formés de cristaux de glace d’ammoniac, visibles sur les clichés pris par Hubble, toujours selon l’ESA.

Les chercheurs estiment que ces nuages devraient s’estomper d’ici quelques mois, comme cela s’est déjà produit par le passé. Quelques points noirs apparaissent à la limite de la zone tropicale or ces ‘trous’ sont généralement les signes avant-coureur de la dissipation des nuages d’ammoniac, expliquent-ils. Ces changements météorologiques titanesques ont été observés pour la dernière fois au début des années 70. Davantage de détails sont attendus des observations actuelles.


C.D.

Sciences et Avenir.fr

17/06/10

http://www.sciencesetavenir.fr//actualite/espace/20100617...l

01/06/2010

Climat : Le CO2 lié à la fin de la dernière glaciation...Tiens donc, nous ne sommes pas les coupables !!!


Voilà quelque chose qui n'a pas été crié sur les toits par nos chers médias ; alors, vous les croyez toujours ?? Etes-vous toujours sûrs que les médias disent réellement les informations ??

A FAIRE SUIVRE..........NOUS NE SOMMES PAS LES COUPABLES !!

Le CO2 lié à la fin de la dernière glaciation

Des scientifiques ont fait une découverte au fond de l'océan antarctique. Qu'est-ce donc ? Les premières indications d'une énorme émission de dioxyde de carbone il y a environ 18.000 ans qui a contribué à la fin de la dernière période glaciaire. Ces résultats fournissent aussi la première indication concrète que le CO2 était piégé efficacement dans les grands fonds océaniques pendant la dernière glaciation.

Les émissions de CO2Ces chercheurs ont analysé une carotte de sédiments récupérée au fond de l'océan entre l'Antarctique et l'Afrique du Sud. Ils ont pu ainsi dater au carbone 14 les coquilles laissées par des foraminifères, de petites créatures marines, qui se trouvaient dans cette carotte.

Après avoir comparé la teneur du carbone 14 dans ces coquillages avec celle contenue dans l'atmosphère à la même époque, ils ont pu déterminer la durée pendant laquelle le CO2 était resté piégé dans l'océan, explique Luke Skinner de l'Université de Cambridge (GB). "Nos résultats montrent qu'au cours de la dernière glaciation, il y a environ 20.000 ans, le CO2 était dissous dans les eaux profondes circulant autour de l'Antarctique durant des périodes beaucoup plus longues qu'aujourd'hui" ajoute-t-il.

Les auteurs de cette étude, parue dans le journal Science daté du 28 mai, estiment que de vastes dégagements de CO2 provenant des fonds de l'océan Antarctique se sont produits tous les cent mille ans environ, contribuant à la fin de toutes les périodes glaciaires depuis les deux derniers millions d'années, soit la période qui correspond à l'ère quaternaire. L'ampleur de chacun de ces énormes "rots" de CO2 provenant des eaux situées dans les fonds antarctiques équivaut à l'accroissement de ce gaz observé depuis le début de l'ère industrielle, précisent les chercheurs.

L'océanL'alternance de période glaciaire et interglaciaire pendant ces deux millions d'années a correspondu à des variations de l'orbite terrestre autour du soleil, selon la théorie de Milankovic sur les changements climatiques.
Ces changements d'orbite ont provoqué des modifications dans l'équilibre énergétique global de la Terre, dans lesquelles les changements de la quantité de CO2 dans l'atmosphère jouent un rôle important, mais dont les scientifiques ne parvenaient pas jusqu'alors à vraiment expliquer le mécanisme.

Dans la mesure où les océans sont de gigantesques réservoirs de CO2, les climatologues suspectaient depuis longtemps que des changements dans la circulation des courants devaient jouer un rôle majeur dans le dégagement rapide de vastes quantités de gaz carbonique.

ENVIRONNEMENT - CO2 : Le CO2 lié à la fin de la dernière glaciation - Info de la planète - Ushuaia, la Terre et nous

Le CO2 océanique lié à la fin de la dernière glaciation

7s7 Sciences - Le CO2 océanique lié à la fin de la dernière glaciation (1110988)

Le CO2 océanique lié à la fin de la dernière glaciation - Ecololand

Comme "ils" devaient être informés avant que l'information ne sorte, ils doivent prendre l'argent autre part........Où donc ? .........Nul besoin de beaucoup chercher !!