Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

05/06/2009

H1N1 : «Il va falloir vacciner tout le monde»

L'intoxication médiatique continue !

Propos recueillis par Martine Perez
04/06/2009 | Mise à jour : 16:57
|

Le Pr Sylvie Van der Werf


Le Pr Sylvie Van der Werf Crédits photo : AFP

INTERVIEW - Le Pr Sylvie Van der Werf, directeur d'une unité de recherches à l'Institut Pasteur et du Centre national de référence pour la région Nord, estime, dans un entretien au « Figaro », que toute la population devra être vaccinée contre le virus H1N1 dès que le vaccin, en cours de préparation, sera disponible.

 Est-on dans une situation inédite avec ce virus A/H1N1 qui a émergé au Mexique ?

Oui, clairement, nous sommes face à un virus nouveau, qui circule dans la «communauté» (c'est-à-dire à partir de foyers autonomes et non plus importés de l'étranger, NDLR), sur plusieurs continents. Nous sommes au bord de la phase 6 d'alerte pandémique de l'Organisation mondiale de la santé. En réalité, la phase 6 se caractérise par la transmission «communautaire» du virus sur au moins deux continents. Nous y sommes. Sauf que ces niveaux d'alerte ont été définis dans l'optique d'une pandémie liée au virus H5N1 de la grippe aviaire, bien plus virulent. Alors que la pathogénicité de ce nouveau virus est pour l'instant modérée. Cela explique la temporisation de l'OMS sur ce sujet.

Est-ce que l'arrivée de l'été va arrêter la circulation du virus en Europe ?

C'est vrai, il y a des facteurs climatiques plus ou moins favorables à la transmission de la grippe. La forme saisonnière se transmet plutôt l'hiver, mais ce n'est pas un critère absolu. En zone tropicale, les virus grippaux circulent toute l'année, avec deux pics, notamment pendant la saison humide. En Europe, l'épidémie démarre plutôt en décembre. Mais nous sommes actuellement dans une situation particulière puisque ce nouveau H1N1 diffuse actuellement aux États-Unis et au Canada, alors que c'est l'été, et donc hors des périodes classiques de circulation. Sans doute, le fait que la population est vierge de toute immunité, la rend plus susceptible. Mais nous ne sommes pas dans des conditions normales de transmission actuellement.

Comment voyez-vous l'évolution de la situation ?

Je n'imagine pas une seconde que la diffusion s'arrête et que ce nouveau virus disparaisse comme par enchantement. Il circule activement notamment dans l'hémisphère sud, avec une situation complexe puisqu'il y a une co-diffusion avec celui de la grippe saisonnière. Jusqu'à présent, chaque fois qu'un nouveau virus apparaissait, il se substituait au saisonnier. Ce n'est pas le cas actuellement. Nous sommes dans une situation nouvelle. Nous ne savons pas s'il y aura une circulation des deux virus ou d'un seul, à l'automne dans l'hémisphère nord. Cela va dépendre de ce qui se passera dans le Sud. En Australie, comme en Amérique du Sud, la transmission communautaire est active. L'Afrique est surveillée de près. Tout laisse à penser que ce virus touchera l'ensemble de l'hémisphère Nord, avec une transmission communautaire. Fin juin? Fin août? Fin septembre? On ne peut pas exclure que le virus se mette à circuler à une période inhabituelle.

La virulence est-elle inquiétante ?

Pour l'instant, le taux de décès est de l'ordre de un pour 1000 malades. Cela reste proche du taux de décès de la grippe saisonnière. Sauf, que habituellement, ce sont des personnes âgées qui sont concernées et que la population est largement immunisée, soit naturellement, soit par le vaccin. Le nombre de malades potentiel pourra donc être très élevé. Pour l'instant nous n'avons pas mis en évidence de marqueurs de virulence. On sait que les virus grippaux mutent en permanence. Et nous ne sommes pas à l'abri d'un changement qui augmenterait sa virulence et sa transmissibilité. Nous sommes en train de répertorier toutes les mutations «dangereuses» possibles. Par ailleurs, notre laboratoire examine la structure génétique chaque virus de cette grippe pour chaque cas français, afin d'en surveiller au plus près l'évolution, comme d'autres labos dans le monde. Nous redoutons aussi des réassortiments génétiques entre ce virus et ceux de la grippe saisonnière, et notamment avec un autre H1N1 majoritairement résistant au Tamiflu.

Va-t-on vers une vaccination systématique de la population contre ce nouveau virus ?

Nous allons être conduit à vacciner tout le monde, au Nord, comme au Sud, dans les pays riches comme dans ceux en voie de développement. Et mon avis est que le plus vite sera le mieux, compte tenu de l'évolution actuelle. Mais il y a des délais incompressibles. L'OMS a donné à tous les laboratoires investis dans les vaccins la souche de virus de base. Si tout va bien, si les rendements sont bons, si cette souche se comporte sans imprévu, il faudra compter quatre à six mois, avant de disposer de vaccins. Par ailleurs, c'est un vaccin nouveau, avec une population naïve, nous ne sommes pas dans des conditions classiques. Il va falloir faire des essais cliniques pour vérifier l'efficacité et l'absence d'effets secondaires. Il faudra sans doute deux doses contre ce nouveau virus. Tout cela prolonge les délais d'obtention. Les travaux de préparation d'un vaccin contre une pandémie liée au H5N1 représentent une aide notable.

Faudra-t-il se faire vacciner contre ce nouveau virus et contre la grippe saisonnière ?

Les stocks contre la grippe saisonnière sont pratiquement déjà constitués. Les laboratoires s'attellent donc au nouveau vaccin. Aucun élément ne permet de dire que la grippe saisonnière, comme ce nouveau H1N1, va arrêter de circuler. Et il y a donc toutes les raisons de prévoir une double vaccination. Mais les décisions prises sont à réévaluer en permanence au regard de l'évolution de la situation.

Source : http://www.lefigaro.fr/sante/2009/06/03/01004-20090603ARTFIG00515-h1n1-il-va-falloir-vacciner-tout-le-monde-.php

 

04/06/2009

H1N1 : pourra-t-on refuser une vaccination obligatoire ? Vos droits !

H1N1 : pourra-t-on refuser une vaccination obligatoire ?

H1N1 : Il va falloir vacciner tout le monde ! Voilà ce que vient de déclarer la professeure Van der Werf, DR à l’Institut Pasteur. Cette annonce confirme la déclaration il y a une semaine d’Antoine Flahaut alors que la ministre Bachelot affirmait qu’en la matière, aucune décision n’a pour l’instant été arrêtée. Mais que faire en cas de vaccination obligatoire, peut-on refuser ?

Deux questions se posent en cas de pandémie. Celles relevant de la sphère médicale et celles concernées par le volet juridique et social. Ce dernier volet est évident car une vaccination étant un acte médical, et donc un acte, éventuellement contraint et susceptible de voir une opposition d’un individu, alors la sphère juridique est concernée. Et si ce n’était pas le cas, alors nous ne serions pas dans un Etat de droit mais une dictature.

(pour info, lien vers propos de Van der Werf:
http://www.lefigaro.fr/sante/2009/06/03/01004-20090603ARTFIG00515-h1n1-il-va-falloir-vacciner-tout-le-monde-.php )

Pour ce qui est du volet médical, deux volets sont à prendre en compte. D’une part les faits et d’autre part les conclusions des experts de l’OMS. Sur le plan des faits, on ne sait pas encore quelle est l’incidence du virus H1N1 excepté le taux de mortalité dû à cette infection. Si les chiffres sont fiables, le virus aurait fait une dizaine de mort pour 15 000 cas recensés ce qui représente un taux proche de celui de la grippe saisonnière. Avec une différence mise en avant par les autorités ; la grippe touche essentiellement des personnes âgées voire très âgées, en fin de vie, alors que la grippe A emporte des sujets (qu’on doit définir comme étant) d’âge moyen (et non pas valides, car on sait très bien qu’à 40 ou 50 ans, un sujet peut être plus fragile qu’un octogénaire). L’OMS maintient pour l’instant le niveau 5 sur une échelle de 6. Mais il y a un biais, c’est que cette échelle a été étalonnée pour un autre virus, connu pour être plus dangereux, le H5N1, alias grippe aviaire. Notons également l’imprécision sur l’incidence. Flahaut déclara il y a trois semaines que le risque était de 30 000 décès avec un taux de contamination de 35 % ; ce qui erroné, faites le calcul, on est plus proche de 15 000. En plus, comment accorder une fiabilité des chiffres alors que par le monde, seulement dix décès ont été constatés et que de plus on ne sait rien sur les antécédents pathologiques de ces sujets.

Quoi qu’il arrive, la décision d’une vaccination pour tous ne sera prise que par les Etats, seules autorités à pouvoir en décider. L’OMS avec sa cohorte d’experts ne fera qu’annoncer officiellement le niveau 6, assorti de recommandations que peuvent suivre ou refuser les Etats. La question que tout citoyen se pose concerne le caractère obligatoire de la vaccination. Peut-on imposer à un sujet une vaccination en l’état actuel des textes ? Il « semble » que non. L’article 36 du code de déontologie médicale précise que tout acte médical suppose le consentement éclairé du patient. Cette disposition étant du reste transcrite dans le code médical : « Loi du 04 mars 2 002, n° 2 002-303, Art. 11, Chapitre 1er, modifiant l’Art. L 1 111-4 du Chapitre 1er du Titre 1er du Livre 1er de la Première Partie du Code de la Santé Publique : « Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment »

Certes, ce même code prévoit des vaccinations obligatoires mais cela concerne le DTP, le BCG et une population ciblée, essentiellement les enfants et des personnels relevants de certains services publics (à noter que dans la plupart des pays européens, il n’existe pas de vaccin obligatoire dans les textes, sauf pour des personnels ciblées). Si le gouvernement voulait imposer la vaccination obligatoire pour la grippe H1N1, il devrait peut-être en passer par un ajout dans le Code de santé publique. Ce qui n’est pas sorcier. Admettons que cela soit le cas. Que reste-t-il comme défense à ceux qui ne voudront pas de cette vaccination. Plusieurs moyens sont possibles, le plus trivial étant la désobéissance civile. Mais comme nous sommes dans une République de droit, la solution la plus légitime serait de trouver des artifices et autres failles juridiques pour « casser » cette obligation. Un arrêt de cassation portant sur un cas de cette espèce a fait valoir que le praticien doit fournir au patient une information loyale sur les bénéfices mais aussi les risques encourus après une vaccination. Sur ce point, on peut, au moins en légitimité, ne pas accorder confiance aux autorités et mettre en doute l’honnêteté des autorités sanitaires (La Cour des comptes de la sécu a dénoncé des liens financiers entretenus entre les experts de l’Agence du médicament et certaines firmes pharmaceutiques). On ne connaît que trop l’affaire de l’hépatite B, les risques inhérents aux vaccinations et surtout, les collusions entre quelques membres d’autorités compétentes et les laboratoires pharmaceutiques.

(dossier complet ici:
http://www.sante-solidarite.com/vaccin.htm )

Si les Etats se préparent à une situation de pandémie, nous autres, citoyens français, devons nous préparer à une résistance contre une obligation qui serait contraire aux droits les plus fondamentaux de l’homme. La déclaration de 1948 précise en effet que tout être humain a droit à son intégrité. On ne peut contraindre un individu à subir un acte médical. S’agissant de la grippe H1N1, il n’y a pas à faire campagne contre la vaccination et ce serait même illégal et surtout illégitime. Par contre, toutes les informations sur les risques doivent être précisées et pour le reste, chacun est libre d’évaluer de son propre chef s’il prend ou non le risque de refuser le vaccin. Quant aux bonnes consciences arguant que cet individu risque de contaminer son prochain, notons que si c’est le cas, alors cette personne contaminée a elle aussi pris le risque.

Pour finir, nombreux sont ceux qui voient dans la vaccination obligatoire un pas vers un contrôle des populations et une dictature du bio pouvoir et des technocrates. L’enjeu est de taille. Entre le risque de la grippe et le risque pour la République, je choisis la République et je défends le droit au non consentement face à une éventuelle vaccination obligatoire !

Source :
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/hin1-pourra-t-on-refuser-une-56985
 
A savoir

L'obligation vaccinale est contraire au droit constitutionnel.
Pour ceux qui souhaitent ne pas être vaccinés, et qui bien sûr savent pourquoi, voici les articles de loi à présenter à l'acteur souhaitant vous injecter le vaccin :

- Toute obligation est anticonstitutionnelle ; Art.3 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, du 10 décembre 1948 : « Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de la personne ».

- Toute obligation est contredite par le nouveau Code Civil qui reconnaît le « principe de respect de l'intégrité du corps humain ».

- Toute obligation est en contradiction avec l'art.36 du Code de Déontologie Médicale qui précise : « Tout acte médical requiert le consentement libre et éclairé des personnes ».

- Toute obligation est contraire aux Arrêts de la Cour du 25 février et 14 Octobre 1997, expliquant : information des patients, « Les praticiens doivent être en mesure de prouver qu'ils ont fourni au patient une information loyale, claire, appropriée et exhaustive, au moins sur les risques les plus légers. Cette information a pour but de permettre au patient de refuser la vaccination proposée en estimant que les risques sont supérieurs aux bénéfices escomptés ».

- Toute obligation est annulée d'office par la Loi du 4 mars 2002 n° 2002-2003, Art. 11, chapitre 1er, modifiant l'Art. L 1111-4 du Chapitre 1er de la première partie du Code de la Santé Publique : « Aucun acte médical ni aucun traitement ne peuvent être pratiqués sans le consentement libre et éclairé de la personne, et ce consentement peut être retiré à tout moment ».


De plus, sachez que la majorité des vaccins sont illégaux, car composés :

- de l'hydroxyde d'aluminium : 650 micro grammes par vaccin alors qu'il est admis que 60 micro grammes par litre de sang est dangereusement toxique pour la cellule nerveuse (Concours Médical, février 1997). Ce sel attaque le cerveau et peut entraîner autisme, chorée, Alzheimer, Creutzfeldt-Jakob).

- des sels de mercure (thiomersal) dont l'extrême dangerosité neurologique a été officialisée par la FDA américaine depuis 1997. Chaque nouveau vaccin cumule les doses d'une façon irréversible.


Ce message ne s'adresse bien sûr qu'à ceux qui désirent ne pas se faire vacciner, et qui en connaissent les avantages ou désavantages futurs.

03/06/2009

Virus, Vaccins, les mensonges

Grippe du cochon arme biologique US ?? (Alex Jones)
 
 

Les vaccins et la santé

« Nous devons réaliser que les vaccins ne sont pas des mesures qui améliorent la santé des populations mais qu’ils constituent un empoisonnement lent des individus au nom d’idées fausses. Comment avons-nous pu croire que les théories médicales d’une science encore balbutiante devant la complexité des mécanismes de la vie pouvait nous assurer la santé par une intervention extérieure, la même pour tous, alors que le propre de nos corps humains est d’être tous différents les uns des autres ?

Donner à tous le même produit, c’est comme vouloir que tous les êtres humains portent des chaussures ou des habits de même taille. Imaginez la scène ; tous dans le même uniforme et avec des chaussures de la même pointure ! Cela fait rire n’est-ce pas ? De plus les idées que l’on avait sur l’immunité ont confondu « production d’anticorps» et « protection ».

Depuis qu’on comprend mieux comment fonctionne le système immunitaire, on voit qu’il est un ensemble très complexe et très personnalisé qui agit d’une manière subtile pour maintenir l’harmonie de nos cellules et que les raisonnements élaborés par les premiers vaccinalistes étaient très limités. En fait l’immunité se forge, chez l’enfant, au contact des bactéries et virus, année après année, et les vaccins ne font que perturber cette élaboration progressive d’un capital de santé solide et stable.

Des milliers de savants payés par l’industrie vaccinale se sont appliqués à élaborer sans cesse de nouveaux vaccins sans jamais remettre en question le principe même de la vaccination. Et comme la quasi totalité des informations qui parvient aux médecins, aux politiciens et au grand public vient des multinationales, les dangers et l’inefficacité des vaccins ne sont jamais mis en évidence.»

Docteur Christian Tal SCHALLER

Source : http://www.santeglobale.info/tal/eee.html

Grippe A : bientôt la phase six ?

Il faut bien qu'ils fassent peur au peuple pour vendre leurs stocks et éliminer une partie de la population mondiale par la même occasion, en la contaminant avec de nouvelles maladies. Sans compter que la puce pourraît se trouver aussi dans les vaccins. Restez attentifs et sereins, et observez le manège et les manoeuvres des gouvernements.

Le monde "se rappproche" d'une alerte pandémique maximum de grippe porcine A(H1N1) de niveau six, a averti aujourd'hui le numéro deux de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), en faisant état de "premiers signes" d'une propagation autonome du virus en dehors du continent américain.

Des "premières propagations" du virus A(H1N1) dans la population de pays situés en dehors du continent américain sont observées, a relevé le Dr Keiji Fukuda. Le directeur général adjoint de l'OMS a notamment cité le Royaume Uni, le Japon, le Chili et l'Australie

"Cependant, nous attendons toujours une activité réellement répandue (du virus) dans la population de ces pays", a-t-il ajouté. "Au niveau mondial, nous pensons que nous sommes en phase cinq (en vigueur depuis le 29 avril, signalant une pandémie "imminente", ndlr), mais nous nous rapprochons de la phase six" d'alerte pandémique maximum, a commenté le Dr Fukuda.

Source : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/06/02/01011-200906...