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07/10/2015

Bachar Al-Assad démonte la Propagande Occidentale sur la TV Portugaise

Les vérités de Bachar Al-Assad qui démontent la Propagande Occidentale sur la TV Portugaise et dans un parfait anglais, ce qui n'est pas le cas pour Holl'andouille, le VRP des banskters/sionistes, parachuté à la tête de la France/Israël pour faire avancer leurs intérêts au détriment de ceux du Peuple Français  !

Bachar dénonce l'imposture de l'ONU de laisser se propager volontairement les guerres sans intervenir pour permettre au rétablissement de la Paix !


 

06/10/2015

La guerre secrète de la Russie contre la CIA en Syrie

La guerre secrète de la Russie contre la CIA en Syrie

La guerre secrète de la Russie contre la CIA en Syrie

Géopolitique globale: Comprendre le lien entre l’intervention russe en Syrie, Al CIAda, l’Ukraine et l’implosion programmée de la zone Euro…

La Russie cible des groupes d’Al Qaïda soutenus par les Etats-Unis, leur “opposition modérée”…

Ce matin Fox News a rapporté l’intention du Pentagone de formuler une stratégie pour bloquer la campagne de bombardement de la Russie autour de la ville d’Idlib, près de la frontiere de la Syrie avec la Turquie. Des éléments clef américains y sont massacrés, pas des “rebelles modérés”, mais clairement, comme le dit le Pentagone, des djihadistes importants soutenus par les Etats-Unis et combattant le président Assad.

Des leaders militaires d’expérience ainsi que des officiels de la défense américains débattent afin de savoir si la force militaire devrait être employée pour protéger les rebelles syriens soutenus par Washington, qui sont en train d’être attaqués par les raids aériens russes ces derniers jours.

L’agence Associated Press a rapporté vendredi que la question faisait partie d’un débat plus vaste au sein du Pentagone, débat ayant pour sujet le comment le gouvernement et l’administration devraient répondre à ce que le secrétaire de presse de la Maison Blanche Josh Earnest a décrit comme “des opérations militaires sans discrimination contre l’opposition syrienne” de la part de la Russie.

Le problème est le suivant: les “éléments” américains en Syrie sont Al Qaïda, le groupe Jabbhat al Nosra, qui contrôle complètement cette région de la Syrie et qui s’étend au-delà en Turquie, car ils ont vaincus ceux que l’on appelle les “rebelles modérés” et une douzaine de groupes en émanant et ce plus tôt en 2015.

La campagne de bombardement des Etats-Unis en Syrie a soigneusement évité Al Nosra. La presse elle-même évite de les mentionner, alors qu’ils sont responsables de plus de morts civiles, estimées à environ 150 000, que les autres groupes terroristes. Il y a une raison à cela. On peut voir Al Nosra ici bombarder des villes syriennes en état de siège en utilisant des obus chimiques au gaz sarin.

~ Voir vidéo dans l’article original ~

AQES ou Al Qaïda en Syrie est constitué essentiellement de combattants étrangers recrutés par la CIA, envoyés en Turquie, entraînés par l’Arabie Saoudite et le Qatar avec le soutien logistique permanent du régime islamiste d’Erdogan à Ankara.

L’attaque aérienne russe d’aujourd’hui sur un centre de commandement d’Al Qaïda n’a pas tué beaucoup de leaders d’Al Qaïda mais pas mal d’officiers qataris, saoudiens et turcs, plus d’une douzaine, probablement plus, d’après les unités de reconnaisse syriennes qui évoluent dans la région.

Le poste de commandement a été touché par les attaques d’un Su34 armé de bombes conventionnelles anti-bunkers. Ce centre de commandement, construit par des ingénieurs turcs en 2013, sous environ 12m de roches, 3 ètages en profondeur était capable de soutenir jusqu’à 300 combattants étrangers et leurs commandants turcs.

Le complexe de bunkers touché aujourd’hui n’est pas dissemblable de ces complexes qu’Al Qaïda était supposé avoir en Afghanistan et pour lesquels les Etats-Unis ont envahi ce pays et doivent toujours les y trouver 15 ans plus tard…
La Russie ment vraiment, elle n’est pas honnête, en bombardant Al Nosra et en les étiquetant EIIL. Al Nosra est 10 fois pire que l’EIIL. En profitant de leur artillerie lourde, d’un approvisionnement sans limites en munition de la Turquie, de convois entiers de camions d’armes modernes américaines comprenant des missiles TOW anti-chars and Stinger sol-air, de havres de paix dans des bases en Turquie et un financement sans limites ni fin en provenance du Qatar et de l’Arabie Saoudite, le front Al Nosra s’est engagé dans la massacre sytématique du peuple syrien.

L’intérêt de la Russie dans le front Al Nosra réside dans le partenariat de ce groupe avec les groupes extrémistes en ukraine. Les Djihadistes d’Al Nosra, plus de 3000, servent actuellement en Ukraine et sont responsables de la plupart des violations des accords de Minsk. Le régime de Kiev s’est volontairement rangé du côté d’Al Qaïda (NdT: parce qu’Al Qaïda en réalité est Al CIAda et ce depuis le départ dans les années 1980…) et ce faisant, bénéficie des coffres ouverts et généreux de la CIA, de containers d’argent liquide utilisés pour corrompre le régime de Kiev tout en achetant les gouvernements dans des pays comme la Roumanie, la Géorgie, la Bulgarie et l’Azerbaïdjan, qui tous ont fourni des bases pour les groupes terroristes d’Al Qaïda, groupes dont la cible est l’Europe occidentale.

Ceci est “Gladio No2” (NdT: comme nous l’avions dit précédemment, Duff et VT ne font que confirmer ce que nous avions pressenti avec d’autres il y a quelque temps déjà…)

Tous les réfugiés qui affluent vers l’Europe proviennent des zones de Syrie sous contrôle combiné de la Turquie et d’Al Nosra/Al Qaïda. Gladio 2 nous dit-on, dont l’objectif est l’explosion de la zone Euro est de mettre en place des gouvernements d’extrème-droite “néo-nationalistes” à travers l’Europe.

Mais une fois de plus, faut pas être sorti de St Cyr pour piger cela non?

Gordon Duff

url de l’article original: http://www.veteranstoday.com/2015/10/02/russias-secret-wa...

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Photo: frappe de l’armée syrienne sur la ville d’Ariha dans la province d’Idlib

https://resistance71.wordpress.com/2015/10/05/geopolitiqu...

Etats voyous et grandes voyoucraties par Michel Raimbaud - Ancien ambassadeur de France au Soudan

Ancien ambassadeur de France au Soudan

Etats voyous et grandes voyoucraties par Michel Raimbaud

On le savait déjà, il y a désormais deux camps dans la communauté des nations : celui du droit international œuvrant en faveur d’un nouvel ordre mondial multipolaire en gestation, et celui de l’hypocrisie et de l’arrogance qui cherche à préserver son hégémonie en installant le chaos partout où il rencontre de la résistance.

L’univers arabe et musulman et ses abords d’Afrique, d’Asie ou d’Europe sont le lieu d’une entreprise de destruction et d’asservissement conduite conjointement par l’empire atlantiste sous haute influence israélienne et ses clients islamistes radicaux. La Syrie est devenue le centre de gravité et l’enjeu d’une guerre inédite et perverse, mais aussi, pour ses promoteurs criminels, une cible emblématique. La « mère de la civilisation », qui combat en première ligne les terroristes sauvages du soi-disant « Etat Islamique » et du front Al Nosra/al Qaida, est donc présentée comme « l’Etat voyou » par excellence par ceux-là mêmes qui financent, arment et soutiennent le gangstérisme sanglant des djihadistes. Dans nos « grandes démocraties », l’inversion des rôles est devenue si naturelle que nul ne songe plus à s’en offusquer : c’est la base même du « false flag », omniprésent dans la narrative atlantiste.

L’Assemblée Générale des Nations Unies a consacré la journée du lundi 28 septembre dernier à la Syrie. Les puissants de ce monde ont utilisé cette tribune pour réaffirmer leurs positions sur l’interminable conflit. A la lumière des déclarations, il n’y a pas photo.


Obama dénonce la logique (russe) consistant à soutenir un « tyran » sous prétexte que l’alternative « serait pire ». Le tyran, c’est Bachar Al Assad, qui « massacre des enfants innocents ». Kerry, colombe repentie, précise : « Après tant de sang versé et de carnages, il ne peut y avoir un retour au statu quo d’avant la guerre ». Le Nobel de la Paix ne manque pas d’air : s’il a peut-être apaisé les relations avec Cuba et anesthésié jusqu’à sa fin de mandat le dossier nucléaire iranien, s’il a renoncé aux « frappes punitives » en Syrie en raison de ses réticences et/ou devant la détermination de l’adversaire, il a allumé ou entretenu au moins autant de conflits que George Debeliou et il est à la tête d’un Etat responsable de la mort de millions d’enfants et d’adultes, de la destruction d’Etats et de sociétés entières, de dizaines de millions de vies brisées, sans même remonter aux centaines de milliers de victimes d’Hiroshima et Nagasaki. Heureuse Amérique, bienheureuses « grandes démocraties », toujours sûres de leurs valeurs, plus souvent boursières que morales !

Il faut le répéter, il n’appartient pas aux maîtres occidentaux, à Erdogan l’apprenti calife, ou aux potentats pétroliers, de prescrire l’avenir de la Syrie après l’avoir détruite : c’est au peuple syrien et à lui seul d’en décider, sans ingérence étrangère. C’est ce principe de souveraineté que rappelle le Président chinois, Xi Jin Ping, clamant haut et fort que l’ère unipolaire est révolue et que le monde est désormais multipolaire.


Vladimir Poutine se place lui aussi dans le cadre de la légalité internationale et soutient l’Etat syrien et son gouvernement, ainsi que « les forces armées du président Al Assad qui sont les seules à combattre réellement l’Etat Islamique ». Il propose une « large coalition antiterroriste » en Syrie et en Irak, dans laquelle les pays arabes « joueraient un rôle clé » et qui devrait inclure le gouvernement syrien et l’Iran, son allié. Les décisions du Président russe suscitent la colère des Occidentaux, qui ont refusé la résolution déposée au Conseil de Sécurité par le Kremlin. Ils sont agacés par la référence appuyée à un droit international qu’eux-mêmes traitent avec légèreté.

Pour perpétuer leur hégémonie, les dirigeants atlantistes avancent à l’ombre des faux drapeaux de la démocratie, de la justice, de la morale et du droit. Ils diabolisent les pays qui font obstacle à leurs ambitions en les reléguant dans la géhenne des Etats « préoccupants » ayant vocation à être dépecés en entités « démocratiques » à la mode de l’Oncle Sam : en bref, les « Etats voyous ». Ce concept a joué un rôle essentiel dans la stratégie américaine plusieurs décennies durant, et c’est en jouant de cet épouvantail que les Etats-Unis, encourageant leurs alliés à faire de même, ont violé et violent systématiquement le droit international.

Ce droit est fondé sur la Charte des Nations-Unies qui, dans son article 51, attribue au seul Conseil de Sécurité le pouvoir de prendre les mesures adéquates qu’il juge nécessaires au maintien de la paix et de la sécurité internationales « une fois constatée l’existence d’une menace contre la paix, d’une rupture de la paix ou d’un acte d’agression (…) ». Mais les néocons de Washington se moquent de la légalité onusienne. Seules comptent « les menaces contre nos intérêts », qui sont le fait des « Etats voyous » et rendent nécessaires « des interventions militaires directes » et « le maintien de forces de projection considérables », particulièrement en direction du Proche-Orient. Pour ces faucons, le fondement du droit n’est pas la Charte de l’ONU, mais la Constitution américaine.

Selon Noam Chomski, « ce mépris de la primauté du droit est profondément enraciné dans la culture et les pratiques américaines ». Infiltrés au sein du « pouvoir profond », les néocons vont répandre chez les alliés occidentaux une idéologie dont le fondement reste simple : même si la guerre froide est terminée, les Etats-Unis conservent la responsabilité de protéger le monde face aux « Etats voyous ». En août 1990, Washington et Londres décrètent que l’Irak en est un, et ce ne sera que l’un des premiers d’une longue liste…


Une étude commandée en 1995 par le Strategic Command pose les « principes de base de la dissuasion dans l’après-guerre froide » : depuis que les Etats-Unis ont « remplacé l’Union soviétique par les Etats dits “voyous” », ils doivent projeter une image « irrationnelle et vindicative d’eux-mêmes », « certains éléments » du gouvernement apparaissant « comme potentiellement fous, impossibles à contrôler ».

C’est une reprise de la « théorie du fou » de Nixon qui jugeait souhaitable que l’Amérique soit dirigée par « des cinglés au comportement imprévisible, disposant d’une énorme capacité de destruction, afin de créer ou renforcer les craintes des adversaires ».

Cette prose délirante justifie en quelque sorte la transformation des « grandes démocraties » en « voyoucraties », respectant les trois critères qui, selon l’un des « nouveaux historiens » israéliens, Avraham Shlaim, professeur émérite à Oxford, définissent l’Etat voyou, le « rogue state » des anglo-saxons :

-  Violer régulièrement la légalité internationale,

-  Détenir des armes de destruction massive,

-  Utiliser le terrorisme pour terroriser les populations civiles.


C’est ainsi que Robert McNamara, ex-secrétaire américain à la défense (de 1961 à 1968), estime en juin 2000 (The International Herald Tribune) que les Etats-Unis sont devenus un « Etat voyou ». Noam Chomski fera de même au début des funestes « printemps arabes », constatant que son pays« se place au-dessus du droit international ».

A l’heure où le Grand-Moyen Orient est ravagé par l’extrémisme islamiste, patronné par les Occidentaux et leurs affidés régionaux, le débat sur l’éthique dans les relations internationales est pipé. Le conflit n’est plus entre un monde « libre » et un monde « totalitaire », mais entre les partisans du droit international et du respect mutuel entre nations et ceux qui se comportent en Etats voyous, guidés par la « théorie du fou » et la stratégie du « chaos innovateur ».

Conviction réelle pour les uns, leurre pour les autres, la référence au droit international n’a pas la même valeur pour les deux camps : les prêcheurs de guerre jouent avec l’idée d’un conflit mondial qui assurerait leur triomphe… sauf si l’équilibre militaire des forces rend leur victoire trop incertaine.
La Russie vient donc de bouleverser la donne en proposant sa « grande coalition » et en se lançant dans une lutte globale contre les terroristes, conformément aux résolutions du Conseil de Sécurité et à la demande du gouvernement de Damas, tout en recherchant une solution politique entre Syriens, en application de l’accord de Genève. C’est un pavé dans la mare où depuis un an s’ébat presque seule la coalition US, dont les frappes homéopathiques détruisent la Syrie sans beaucoup nuire aux terroristes de Da’ech. C’est un pas important en direction de la paix, conforme au droit international. Les Européens saisiront-ils la perche ?

On l’a entendu à la tribune onusienne, le représentant du « pays des lumières », François Hollande, est plongé tout entier dans ses menées obscures et nourrit une obsession pathologique qui a nom Bachar, lequel doit être « neutralisé » et exclu de toute transition politique : « On ne peut faire travailler ensemble victimes et bourreau. Assad est à l’origine du problème : il ne peut pas faire partie de la solution ». Droit dans ses bottes tordues, le grand chef de guerre fait valoir qu’il n’est pas seul sur cette position intenable : « Barack Obama s’y refuse, d’autres dirigeants (on sait lesquels – NDLR) s’y refusent. Les Russes doivent en tirer les conséquences », conclut-il, impérial. Prend-on des gants avec le chef d’un « Etat-voyou » quand on est soi-même aussi populaire ?

Mou face aux problèmes de l’Hexagone, Hollande aura fait preuve d’un activisme forcené face à des affaires qui ne le regardent pas, le conflit de Syrie par exemple, où la France a déjà un bilan accablant : mauvaise évaluation de la solidité de l’Etat syrien, de la crédibilité de l’opposition off shore, appui inacceptable à la rébellion armée débouchant sur la couverture du terrorisme, obsession de « neutraliser » Bachar Al Assad, volonté manifeste de casser la Syrie rebelle et acharnement dans la destruction de son identité. Qu’on le veuille ou non, notre pays est partie prenante dans l’entreprise criminelle et prédatrice de ses alliés atlantistes, de ses amis turcs, saoudiens et qataris et des mercenaires qu’ils instrumentalisent. Il est coresponsable du résultat : des millions de réfugiés, déplacés, sinistrés, morts et blessés, des millions de familles dispersées, de vies brisées, le démantèlement du patrimoine, des infrastructures, des entreprises

Il aura aussi fait preuve d’une approche très floue de la légalité internationale et d’un certain déficit de cartésianisme, les terroristes étant traités en ennemis au Mali et « faisant du bon boulot » en Syrie.
Dans les grands dossiers de ce début de millénaire – la glissade du Moyen-Orient vers le chaos, la déstabilisation de l’ex-glacis soviétique grâce à la sollicitude de l’Occident – la France est affaiblie comme jamais et a perdu sa crédibilité, car elle est en divorce avec les acteurs qui comptent. Son hypocrite diplomatie compassionnelle lui attire le mépris. Les écarts de langage font le reste. Des voix de plus en plus nombreuses s’élèvent pour réclamer le départ de Fabius, condition nécessaire mais non suffisante pour se refaire une virginité.

Fabius et Hollande étant ce qu’ils sont, on peut craindre que la France tarde à coopérer avec la Russie, l’Iran et la Syrie pour rétablir une paix juste et durable, dans le cadre d’un ordre mondial nouveau. Mais notre pays devra bien sortir de la triple impasse dans laquelle il s’est enfermé : l’entêtement à rester internationalement hors-la-loi devra céder la place à une politique plus décente et moins destructrice. En d’autres termes, il s’agira de reprendre son rôle traditionnel de faiseur de paix et non pas de fauteur de guerre.

Les citoyens des « grandes démocraties » finiront-ils par s’inquiéter de la dérive « voyoucratique » de leurs élites dirigeantes qui fait peu à peu de l’Occident arrogant une minorité honnie et haïe par le reste de la planète ? Comme on dit : ça urge.

Michel Raimbaud
Ancien ambassadeur de France au Soudan

http://comite-valmy.org/spip.php?article6401

 

Washington insiste sur le retrait des missiles Patriot de la Turquie

Allons savoir ce qu’ils magouillent encore avec la Turquie qui est l’ennemie jurée d’Assad et de la Syrie, et qui finance ISIS.

Faut-il soustraire de la vue des Russes ces missiles en Turquie ?

Voir ci-dessous :

More on Turkish Support for ISIS
Traduction Google :
Plus, sur le soutien de la Turquie envers ISIS

Russia’s Secret War on the CIA in Syria /Veterans Today
Traduction Google : La guerre secrète de la Russie contre la CIA en Syrie

 

Washington insiste sur le retrait des missiles Patriot de la Turquie

http://media.ws.irib.ir/image/4bhg0bf8f8c5e7rxt_800C450.jpg

 

Oct 03, 2015 04:15 UTC - IRIB- Le département américain à la Défense retire les missiles Patriot de la Turquie.

Selon Reuters, la porte-parole du Pentagone a annoncé vendredi, que les missiles Patriot, déployés depuis 2013 en Turquie en vue de la protéger, seront retirés dans le but d’améliorer leur niveau en vertu d’un plan préétabli. Faisant allusion à l’impératif de rénover les missiles Patriot, Laura Seal porte-parole du Pentagone a affirmé que si nécessaire, ils seront redéployés en Turquie, en l’espace d’une semaine.

 

03/10/2015

Lutte contre l'EI: Obama souhaite bonne chance à Poutine

Ce n’est pas la première fois que les US/sionistes tentent de soudoyer la Russie : Poutine et Lavrov pour leur proposer de travailler ensemble, dans la plus totale illégalité dans leur coalition du crime international organisé en bandes et institutionnalisé par les criminels !

Les conditions seraient celles de lâcher Assad pour le remplacer par un pion sioniste de leur choix et que la Russie accepte de travailler sous la houlette et le contrôle des USA, et que la Russie supporte avec eux le poids de la responsabilité de ce qu'ils ont été les seuls à fabriquer dans le monde : le terrorisme international !

Il a raison de lui souhaiter bonne chance, car Poutine doit à présent aller nettoyer la merde qu’ils ont mise au Moyen Orient depuis quelques décennies ! A condition qu'ils ne lui mettent pas encore des peaux de bananes devant les pieds !

Comme ici par exemple : Les USA s'entêtent à soutenir les combattants anti-Daesh

Malgré le fiasco de la formation des insurgés syriens par Washington et plusieurs prières de sénateurs l'appelant à arrêter son aide à l'opposition syrienne modérée, l'administration Obama persiste dans ses efforts, en intensifiant son soutien.

Ils n’ont pas compris ce que leur à dit Poutine à l’ONU : Est-ce que vous comprenez ce que vous avez fait ?

Poutine n'a pas besoin d'eux pour faire le ménage, il a assez d'alliés dans le monde !

Lutte contre l'EI: Obama souhaite bonne chance à Poutine

13:05 03.10.2015(mis à jour 13:07 03.10.2015)

 Vladimir Poutine et Barack Obama

Barack Obama a souhaité plein succès à la Russie dans sa lutte contre le groupe terroriste EI et a exprimé son intention de travailler ensemble.

Néanmoins, Washington est prêt à coopérer avec Moscou, moyennant la participation russe, en tant que médiateur dans le processus de changement du pouvoir syrien, a déclaré le président américain lors d'une conférence de presse à la Maison Blanche.

"Je veux que l'opération russe soit couronnée de succès. Les événements en Syrie ne représentent pas une confrontation entre nos deux pays. Il est dans nos intérêts que la Russie soit un acteur efficace sur la scène internationale, qu'elle partage avec nous le fardeau de la responsabilité. Mais je crois que la seule façon de résoudre le problème syrien est d'installer un mécanisme de transition politique. Dans ce processus, il n'y a pas de place pour Bachar el-Assad, car il est impossible de le réhabiliter aux yeux du peuple", estime Barack Obama.

Néanmoins, Vladimir Poutine avait indiqué pour sa part à plusieurs reprises qu'il n'était possible de résoudre la crise en Syrie qu'en soutenant son gouvernement légitime et en l'incitant au dialogue avec la "partie saine" de l'opposition.

Mercredi dernier l'Armée de l'air russe a entamé une opération militaire contre l'EI en Syrie à la demande du président syrien Bachar el-Assad et sur décision du président russe Vladimir Poutine. Les frappes aériennes russes ciblent les sites militaires, les centres de communication, les transports, ainsi que les stocks d'armes, de munitions et de combustibles appartenant à l'EI. Les cibles sont déterminées sur la base des données fournies par les services de renseignement russes et syriens, notamment par la reconnaissance aérienne.

L'ambassadeur de Syrie en Russie Riyad Haddad a également confirmé que les frappes ciblaient uniquement des groupes terroristes armés et non l'opposition et la population civile. Selon l'ambassadeur, l'armée syrienne dispose des coordonnées exactes des islamistes.