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06/09/2009

L'OMS prépare en secret une vaccination de masse forcée

Argumentation de Jane Burgeimester

http://www.dailymotion.com/video/x9z472_loms-prepare-en-s...

L'OMS prepare en secret une vaccination de masse forcée

envoyé par cubalt. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

05/09/2009

Virus ? En finir avec Pasteur !......

Un siècle de mystification scientifique !
Pour en Finir avec Pasteur.jpg


Le docteur Éric Ancelet a rédigé, en 1998, un ouvrage passionnant sur les vaccins et la médecine en général, dont nous vous conseillons chaudement l'acquisition. "Pour en finir avec Pasteur" démonte, en 250 pages, plus d'un siècle de dogmes autour des vaccins et de la médecine allopathique, maintenues en place par les dirigeants religieux, scientifiques, étatiques et industriels, grâce à l'ignorance et la peur. La maladie est dans la majorité des cas le symptôme d'un conflit, un signal d'alarme que quelque chose ne va pas dans notre vie. Faire la guerre aux virus, aux microbes, aux cancers est aussi absurde que la guerre chimique qui se déroule dans notre agriculture, où les sinistres camps de concentration de l'élevage intensif des animaux. À l'heure où la propagande bat son plein au sujet d'une supposée grippe porcine, peste noire de 2009, que l'OMS et ses amis industriels vont tenter d'éradiquer à coup de vaccin, ce livre est d'une actualité brûlante.

Extraits :

"Les rares médecins restés fidèles à la tradition, qui s'évertuent à redonner à leurs malades les moyens de retrouver la santé, butent chaque jour sur un obstacle colossal, quasi insurmontable, lourd, rigide et épais, comme tous les dogmes : le mythe pastorien de l'origine bactérienne des maladies."

[...]

"Cette bévue fondamentale, grandiose par l'universalité de sa totale acceptation, a verrouillé pour un siècle l'éducation patiente des foules à la Santé. Désormais figée dans la certitude matérialiste, la Médecine a suivi le chemin facile des petits esprits, de ceux qui voient l'ennemi partout, le tuent à l'arme antibiotique ou le trompe par ruse vaccinale."

[...]

"L'éducation parentale, scolaire, universitaire, comme l'information civique et médico-sociale, nous ont tôt appris à considérer tout microbe comme potentiellement pathogène et toute maladie comme potentiellement microbienne."

[...]

"Celui, celle ou ce qui est pur, propre, prospère, sain, hygiénique, qui par ailleurs sent bon et que l'on peut toucher ou ingérer sans risques, est par définition indemne de germes, autrement dit non contaminé, parfaitement aseptique."

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"Celui, celle ou ce qui, par contre, est douteux, négligé, sale, "caca", souillé, insalubre, puant, répugnant, infect est forcément septique, grouillant de microbes responsables de toutes les pestes et prêt à sauter au nez de qui s'en approche."

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"Il faut donc réagir, tenir propre, laver, récurer, ébouillanter, empoisonner, désinfecter, pasteuriser, stériliser, antibiothérapiser et bien sûr vacciner pour prévenir, éviter, rejeter, neutraliser, détruire l'Autre, et corrélativement immuniser, défendre, isoler, garantir, assurer et sécuriser, préserver, perpétuer, conserver, immortaliser, momifier le Moi."

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"Selon Rudolf Steiner, « le matérialisme moderne est né de la peur. » Et « les êtres qui ont peur sont d'involontaires tyrans, des fanatiques de l'ordre, obnubilés par l'idée de devoir éduquer, discipliner les hommes et les choses qui les entourent, de devoir à chaque instant en garder le contrôle et la vue d'ensemble. »"

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"C'est la peur qui, bien plus que le microbe, est redoutablement contagieuse et pathogène. Si la médecine universitaire crée et entretien l'anxiété en agitant en permanence l'épouvantail terrifiant de la maladie, il est certainement aberrant et stérile de se contenter d'agiter en face celui des vaccins, dans un sordide rapport de force à qui terrorisera le plus."

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"Sauf si l'information sur les effets délétères des vaccinations s'accompagne d'une éducation susceptible de générer un véritable changement de conscience, une évolution intérieure positive qui transcende la peur, toutes les peurs."

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"Le lien actuellement restauré de la Médecine avec la Métaphysique, ou ce qu'il convient de nommer avec prudence "spiritualité", amène de plus en plus de médecins et chercheurs en biologie à renouer avec l'antique tripartition humaine (corps, âme, esprit), par l'intermédiaire d'une démarche thérapeutique globale, holistique, centrée sur l'écoute du patient et le recours à des méthodes non iatrogènes (diététique, homéopathie, acupuncture, ostéopathie)."

[...]

"Les nations modernes ont fait de la Science une religion universelle, qui permet à ses promoteurs de faire triompher certains concepts ou idées par tous les moyens de tirer profit des circonstances sociales, d'imposer pragmatiquement, et même politiquement, certaines croyances et certaines pratiques. Ainsi la Science peut s'emparer des inconscients collectifs, intimider, semer la confusion, et les scientifiques façonner le monde au détriment de ses habitants. Mais est-il sûr que les méthodes employées mènent à la vérité ?"

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"Pasteur disait que l'intuition ne vient qu'aux gens préparés à la recevoir. Mais contrairement à Pasteur, Jenner est un homme de terrain confronté à un fléau qui tue un demi-million de personnes chaque année en Europe, surtout les enfants des grandes villes. Il remarque que les vachers atteints de cow-pox (ndlr : maladie de la vache) n'attrapent jamais la variole, ou seulement des formes bénignes. Il tente l'inoculation, qui s'avérera d'emblée un succès : la maladie vaccinale est toujours bénigne, la protection contre la variole excellente, le risque de propagation nul. Après des siècles d'épidémie, c'est véritablement un choc historique que connaît l'humanité, tandis que Jenner prophétise la disparition prochaine de la variole, effectivement réalisée en 1980. Le succès lui monte très rapidement à la tête. Il croit avoir saisi une loi de la nature et pose pour principe que « les opérations de la nature sont généralement uniformes. » Voici l'erreur grossière. L'exception n'est pas généralisable !"

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"En ces temps héroïques, sa "vaccination" va se répandre comme une traînée de poudre, remplaçant partout la dangereuse variolisation. Cette vaccination est pratiquée dans le monde entier dans la première moitié du dix-neuvième siècle, par passage de bras en bras, en l'absence de vaches malades. Dès 1800, soit 22 ans avant la naissance de Pasteur, elle devient un modèle historique pour le raisonnement médical, un archétype qui fera que toute vaccination ultérieure sera plus facilement imposée aux populations. Et c'est bien là que le bât blesse, lorsqu'une technique empirique, dans une situation épidémiologique unique, devient le fondement d'une théorie universelle. La concrétisation de cette très grave erreur conceptuelle, nous la devons à Pasteur."

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"Prêtre et médecin, Collet affronte en 1870 les massacres de la Commune et les fléaux de santé au cours de la guerre civile. Face à une épidémie de variole et ne disposant que d'une dose infime de vaccin, il recourut à la méthode économique de la dilution infinitésimale. Les malades guérirent et aucun cas de contagion ne fut constaté, à partir du cinquième jour de la prise par chacun du vaccin dilué. Cette histoire authentique nous montre qu'il existait, dès cette époque, une alternative pour la prévention et le traitement des maladies infectieuses, une autre médecine et une autre façon de concevoir la relation de l'homme à son environnement. Nous aurions pu alors faire d'autres choix. Et nous pouvons toujours faire ces choix, car la méthode est toujours disponible."

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"Les idées de Pasteur ou Darwin vont servir la cause d'un rationalisme résolument athée, devenu aujourd'hui un véritable obscurantisme scientifique. Ce n'est pas le lieu ici de formuler des hypothèses sur ce refus brutal d'un principe immatériel, cette volonté des savants de couper tout lien avec la philosophie et la métaphysique. Nous dirons que c'est dans l'air du temps. Aurions-nous pu faire autrement ? Le fil de la tradition n'est pas coupé depuis Hippocrate et Paracelse, puisque dans le même temps de grands penseurs vont eux aussi poser les fondements d'une médecine originale, proposer la vision rénovée d'un homme créatif à sa juste place dans un univers sensible, libre et responsable de son évolution individuelle au sein de sociétés lucides. Il s'agit notamment de Samuel Hahnemann (1755-1843), père de l'homéopathie, qui expérimente sur l'homme, à commencer par lui-même, des remèdes analogiques dont l'action est de nature purement énergétique, ou vibratoire. Il s'agit aussi de Rudolf Steiner (1861-1925), à l'origine de l'anthroposophie qui fait de l'éducation l'agent thérapeutique par excellence. L'un et l'autre proposent une philosophie médicale tolérante et profondément humaine, qui à l'époque ne put s'imposer."

[...]

"Destiné à l'enseignement, Louis Pasteur entre à l'École Normale en 1843. Il en sortira Docteur ès sciences, agrégé de physique et de chimie. Autour de 25 ans, des travaux de cristallographie lui permettent d'établir les principes de la dissymétrie moléculaire du vivant."

[...]

"La négation par Pasteur d'une "génération spontanée" à partir de manière inerte était justifiée en son temps, mais elle l'a amené à nier en bloc toute possibilité de transformation de la matière organique, et à conceptualiser la théorie erronée du monomorphisme bactérien. Les espèces au sens darwinien, et tout particulièrement les "espèces microbiennes", sont pour lui et ses successeurs des entités immuables, susceptibles de muter, mais en aucun cas de se transformer en autre chose. Or Béchamp, puis Tissot, ont justement proposé la thèse inverse, les possibles transformations réversibles de virus en bactéries et de bactéries en mycobactéries (champignons), en fonction du contexte psychobiologique. La science redécouvre actuellement le bien-fondé d'une telle approche élargie, en constatant la fragilité voire l'inexistence d'une barrière d'espèces. D'incessants flux de gènes parcourent toute la biosphère, tout particulièrement dans le monde microbien qui ne peut dès lors être strictement caractérisé. Des multitudes de virus dormants sont inclus dans nos chromosomes sous forme d'ADN, et peuvent être réactivés par un stress émotionnel ou physique."

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"Depuis plus d'un siècle quatre dogmes faux, introduits dans la science par Pasteur, et qu'on peut qualifier de catastrophiques, ont arrêté les progrès de la bactériologie et de la lutte contre les maladies des êtres vivants, animaux et végétaux. Ces quatre dogmes sont : la panspermie atmosphérique, l'asepsie des organismes vivants, la contagion et le monomorphisme.
Panspermie : En premier lieu, tous les germes sont transmis par l'air ambiant, car ils existent uniquement dans l'environnement et ne peuvent en aucun cas naître et se développer à partir du milieu intérieur des êtres complexes. Aseptie des organismes vivants : s'ils pénètrent et se développent à l'intérieur d'un être vivant considéré a priori comme sain, ils génèrent obligatoirement un état pathologique. Ainsi sont posés les dogmes de la panspermie atmosphérique et de l'aseptie des organismes vivants, dont découle celui de la contagion. Or ces axiomes sont faux, dans le sens où ils affirment contenir la totalité de la réalité et non seulement certains de ses aspects. Ils sont faux, tant qu'ils considèrent le germe pathogène comme une entité monomorphe et seule responsable de telle ou telle maladie. Ils sont faux, lorsqu'ils cherchent à démontrer que toutes les maladies sont dues à un micro-organisme. Ce qui était pardonnable hier ne l'est plus aujourd'hui. Les microbes de l'ulcère de l'estomac, du diabète, du cancer ou de la dépression sont des chimères obsessionnelles, dignes des médecins de Molière. Les germes existent bien dans le milieu environnant (panspermie), mais aussi dans un organisme sain sous forme de virus gènes, inclus dans les chromosomes. Les uns et les autres sont susceptibles de changer de forme et d'être activés, si la situation psycho-psysiologique du porteur nécessite un réajustement. Autrement dit, le conflit à l'origine de la "maladie" est antérieure à toute "infection" et le système immunitaire va moduler le travail des microbes en phase de guérison, afin de restaurer ce que nous nommons terrain."

[...]

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"Pour Pasteur, chaque famille de micro-organismes est clairement individualisée, comme le sont les espèces de mammifères. Un staphylocoque ne peut pas se transformer en autre chose : virus, bactérie ou champignon, comme un éléphant ne peut devenir une girafe. Il s'agit ici du dogme du monomorphisme microbien. Voir les choses ainsi, c'est méconnaître l'extraordinaire plasticité des procaryotes. D'incessantes mutations, comme celle des virus de la grippe, de l'hépatite ou du sida, qui désespèrent les fabricants de vaccin, en font des êtres protéiformes impossibles à caractériser définitivement."

[...]

"C'est une vision rétrécie et erronée du microcosme qui est enseignée, génération après génération, aux responsables de la santé. Il en découle un certain nombre de préjugés et de peurs qui se sont profondément incrustés dans l'inconscient collectif humain : le microbe est forcément un ennemi."

[...]

"La guerre a démarré au 19e siècle, avec pour toile de fond la rivalité qui opposa le champion français Pasteur à son homologue allemand Koch. Elle est toujours largement pratiquée de nos jours, avec ses applications techniques auxquelles nous payons un lourd tribut sanitaire et financier. « À chaque maladie son vaccin. »"

[...]

"L'endogenèse microbienne décrit l'apparition spontanée de micro-organismes, à partir des structures internes de cellules saines ou en souffrance. C'est la négation de la panspermie (ndlr : venant de l'extérieur) et de l'asepsie (ndlr : stérilisation) des êtres vivants. [...] La biologie moderne a pulvérisé les cloisonnements entre virus et gène, par la découverte de gènes vagabonds (les transposons) et la troublante analogie entre rétrovirus et rétrotransposons. L'activation du microbe n'est alors plus la cause, mais la conséquence d'un déséquilibre, dont il faut chercher l'origine ailleurs."

[...]

"Dans la première moitié du vingtième siècle, le professeur Jules Tissot refait et prolonge les expériences de Béchamp. Il démontre qu'il suffit de modifier certains paramètres, pour obtenir des transformations réversibles virus-bactérie-champignon. Il démontre ainsi que les manipulations in vitro, notamment l'ensemble des préparations permettant l'observation microscopique, dénaturent les fragiles structures internes des bactéries ou des cellules. On ne peut, dès lors, observer que des décombres, qui n'ont plus rien à voir avec la vie. Cette remarque fut faite à Pasteur, qui n'en tint aucun compte. De nos jours Gaston Naessens, biologiste lillois émigré au Québec, depuis que la communauté médicale française a censuré ses travaux, visualise grâce à un microscope de son invention (somatoscope) ce qu'il appelle les somatides, formes de vie ultra-archaïques et indestructibles, polymorphiques (ndlr : plusieurs formes) notamment lors d'agression et impliquées dans la régulation des divisions cellulaires. Les somatides apparaissent comme des particules brillantes très mobiles. Si cela s'avère exact, ce que nous observons classiquement entre lame et lamelle n'a que peu à voir avec le milieu vivant en situation, et, dès lors, toute la biologie cellulaire est dans l'erreur."

[...]

"Nous redécouvrons aujourd'hui ce que Béchamp et d'autres ont tenté de montrer, à savoir que la vie microscopique est essentiellement polymorphe et réagit instantanément à toute perturbation environnementale, y compris de nature psycho émotionnelle."

[...]

"Contrarié par ses échecs pour son vaccin contre la rage, Pasteur mit au point un traitement intensif qui consiste à inoculer très rapidement les moelles les plus virulentes, parfois en 24 heures, sans attendre la mise en place progressive d'une certaine tolérance. Mordu le 8 octobre 1886, inoculé selon cette technique intensive, un enfant de 12 ans meurt le 26 novembre. Le père porte plainte, alors que Pasteur est absent de Paris. L'autopsie est confiée à un médecin légiste, doyen de la faculté de médecine de Paris et ami de Pasteur, le professeur Brouardel. Le bulbe et la moelle de l'enfant, prélevés par Brouardel, sont inoculés par le Docteur Roux (ndlr : adjoint de Pasteur) à des lapins, qui ne tardent pas à mourir enragés. Si l'enfant est bel et bien mort de la rage, le délai entre la morsure et la mort est trop court, pour qu'il s'agisse de la rage due à la morsure, dont l'incubation est toujours longue. Ce virus vaccinal a acquis, artificiellement, une durée d'incubation très courte. De plus, les morts suite à une inoculation sont tous atteints d'une forme de paralysie, caractéristique de la rage du lapin. Il n'y a donc aucun doute : l'enfant est décédé suite à la vaccination. Que vont faire nos pastoriens ? C'est très simple : un faux témoignage, afin de sauver la confiance du public dans la médecine scientifique et la prévention vaccinale. Brouardel, pourtant chargé d'une expertise officielle suite à une plainte, va déclarer que l'enfant est mort d'une crise d'urémie (ndlr : taux élevé d'urée dans le sang). « Si je ne prends pas position en votre faveur, c'est un recul immédiat de cinquante ans dans l'évolution de la science. Il faut éviter cela. »

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"Reconnu d'utilité publique en 1887, le nouvel Institut Pasteur est mis sous tutelle du ministère du commerce et de l'industrie. Ceci révèle clairement les espoirs très ambitieux que la France place dans l'Institut Pasteur. Louis Pasteur est ainsi le premier savant au monde qui soit devenu une entreprise."

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"Le cas Jenner a servi de référent à Pasteur pour établir le vaccin contre la rage, ses risques et ses mensonges. De même aujourd'hui, le cas Pasteur sert de référent à ceux qui se permettent les risques et les pieux mensonges du premier vaccin recombiné contre une maladie CHRONIQUE : l'hépatite B."

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"De 1980 à 1995, environ 65 000 enfants en Inde ont contracté une poliomyélite paralytique à la suite d'une vaccination DTC (Diphtérie Tétanos Coqueluche). Comment l'injection DTC peut-elle provoquer une forme grave, iatrogène de poliomyélite ? La plupart des enfants du tiers-monde sont mal nourris, porteurs latents ou chroniques de nombreux virus, notamment en incubation d'une forme non paralytique de polio. L’OMS recommande que tous les enfants fiévreux amenés dans les hôpitaux et dispensaires soient vaccinés, tant qu'on les a sous la main, alors que la fièvre, la malnutrition et l'existence de maladies infectieuses chroniques constituent une contre indication majeure à toute vaccination. Dans le but de la "soigner", ces enfants reçoivent dans une seule séance : antibiotique, adrénaline, cortisone, et chloroquine avec des aiguilles non stériles."

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"Dans ses formes graves spontanées, la polio touche principalement de très jeunes enfants dénutris, en particulier non allaités, car l'incidence de toute maladie infectieuse sévère de l'enfant est toujours étroitement corrélée à un défaut d'allaitement maternel et plus globalement à la destruction mondiale des structures tribales et familiales traditionnelles, avec la malnutrition généralisée des mères du tiers-monde et le recours à des laits maternisés industriels, hautement pathogènes pour les enfants."

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"La santé n'est pas l'absence de maladie, mais une façon de venir, puis d'être au monde, qui intègre la maladie dans la biographie humaine et la dynamique générale de l'évolution. La maladie a donc un sens, une signification évolutive sur le plan individuel et collectif, qu'il nous faut réapprendre à connaître, apprendre à reconnaître."

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"LE MICROBE N'EST PAS UN ENNEMI !" C'est sans doute le dogme le plus difficile à ébranler et le dernier à tomber. Pourtant, seule la remise en cause de ce dogme, pourra nous permettre de comprendre l'état déplorable de la santé mondiale."

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"Le système immunitaire n'est pas un système de défense, mais un système de communication et d'information, essentiel pour l'évolution humaine."

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"Les êtres vivants que nous nommons microbes sont invisibles à l'œil nu, constitués d'une seule cellule sans noyau, des procaryotes par opposition aux eucaryotes unicellulaires ou pluricellulaires, constitué de cellules à noyaux, dont nous faisons partie. Leur importance est telle que la division fondamentale ne se situe plus entre règne végétal et règne animal, mais bien entre eucaryotes et procaryotes. C'est ce que nous expose la microbiologiste américaine Lynn Margulis, en nous ouvrant les yeux sur un monde fabuleux, omniprésent autour de nous et en nous, sans lequel aucune vie ne serait apparue et ne se maintiendrait sur Terre. Nous sommes infiniment loin du microbe ennemi de Pasteur, vision réductrice et simpliste qui a totalement faussé notre appréhension de l'écologie planétaire, donc de l'équilibre des êtres qui peuplent la biosphère. Nous sommes aujourd'hui conviés à redécouvrir un univers vivant, dont tous les éléments sont étroitement interconnectés, indispensables les uns aux autres."

[...]

"L'avènement des mammifères, puis de l'homme, n'a naturellement éliminé aucun embranchement, aucune classe, aucun ordre, aucune famille et surtout aucun microbe. Tous sont nécessaires à l'équilibre de la biosphère. Seul l'homme moderne se permet l'inconséquence de détruire des centaines d'espèce chaque année, ou de poursuivre à outrance une guerre perdue d'avance contre les procaryotes. Or nous disparaîtrons forcément avant eux, puisque nous n'existons que grâce à eux. Darwin et Pasteur dans tout cela ? Que signifie la survie du plus apte ? Apte à quoi et pour combien de temps ? Un écosystème est d'autant plus stable que le nombre d'individus différents est important. Le darwinisme classique aboutit ainsi fatalement à une tautologie : seul celui qui est apte survit, donc tous les survivants sont aptes, donc seuls les survivants survivent ! Contrairement à ce que l'on croit, l'évolution ne consiste pas à remplacer des faibles par des forts, ou des simples par des complexes. Il y a, et il y aura toujours, des proies et des prédateurs, des petits et des grands, des très simples et des très compliqués, tous interconnectés et constitutifs de l'organisme géant qu'est cette planète, elle-même constitutive de cet infini qu'est notre Univers."

[...]

"Impuissantes et terrorisées, les foules écoutent les devins promettre des jours meilleurs grâce à la thérapie génique et aux futurs vaccins à ADN nu, si toutefois les offrandes sont suffisantes. À date fixe, le troupeau va donc en masse verser son obole lors de la grand-messe du "Téléthon", sans songer que cet argent alimente grassement les recherches sur le transgénisme et le clonage. Faisons à nouveau un peu d'histoire. En 1865, le moine jardinier Gregor Mendel met en évidence la transmission verticale des caractères en hybridant des petits pois. Mais, il ignore le support de ces caractères et parle alors de "réalités idéelles". Le rôle des chromosomes dans cette transmission sera suggéré en 1910. Dès lors les biologistes jugent inutile de chercher plus loin, et en 1944 il est décidé que l'ADN est effectivement l'unique support moléculaire de la transmission de l'hérédité. Il n'est tenu aucun compte de l'eau, des protéines et encore moins de supports purement vibratoires comme les biophotons. La cause est entendue, c'est la consécration de l'homme machine de Descartes, la porte ouverte à l'eugénisme génétique né des fantasmes de Darwin et de son cousin Galton. Le rationalisme triomphe. Le destin biologique de l'homme est inscrit dans la matière, réductible à des processus physico-chimiques, accessible à la technologie et susceptible d'être modifié selon notre bon plaisir."

[...]

"Jean-Claude Perez, chercheur pluridisciplinaire, a découvert un ordre numérique dans l'ADN, fondé sur des suites mathématiques, comme celle de Fibonacci, et révélant l'omniprésence du nombre d'or (phi = 1,618) dans l'agencement des nucléotides. Si cet ordre traduit la stabilité et la cohésion de l'ADN acquises au cours de millions d'années d'évolution, quel peut être l'effet d'un transgène introduit au hasard, grâce aux techniques du génie génétique ? Dans le meilleur des cas, l'organisme receveur peut détruire ou rejeter cette greffe, qui n'a aucun sens homéostatique ou évolutif. Toutefois, il existe d'autres scénarios possibles. Du fait des échanges de gènes entre tous les êtres vivants interconnectés, le risque de contamination de l'environnement par les organismes génétiquement modifiés est énorme. Une rupture brutale des myriades de résonances numériques de l'ADN d'une plante ou d'un animal peut engendrer instantanément des mutations multiples et désordonnées, totalement incontrôlables. Un véritable chaos biologique. Il ne s'agit pas ici d'un danger à long terme, mais d'une catastrophe possible à très court terme, qui peut signifier la destruction de toute la biosphère."

[...]

"L'ADN propose, l'ARN dispose. Dès lors, les fonctions de l'ARN sont infiniment plus importantes que celle de l'ADN. Une découverte qui anéantit, en un instant, toute prétention à modifier à coup sûr le génome dans un but eugénique ou thérapeutique. Inclure ou modifier un gène est non seulement dangereux, mais de plus inutile, si les ARN et le cytoplasme décident en fonction des informations antérieurement mémorisées, ou reçues de l'environnement actuel, de ne pas exprimer la protéine attendue. Car détenir la clé de la synthèse protéique, c'est détenir la clé de la vie. Autrement dit, nous ne guérirons aucune maladie génique en bricolant le génome, mais seulement en reprogrammant nous-mêmes nos acides nucléiques, par la prise de conscience des agressions qui les ont altérés. C'est la seule voie possible vers la santé. Tout le reste n'est qu'un leurre."

[...]

"Au-delà des acides nucléiques, à un niveau d'intégration supérieur, les cellules confédérées, à leur tour, en organisme complexes ont une réelle autonomie métabolique grâce à une mémoire, localisée dans le cytoplasme et transmise de proche en proche, depuis les toutes premières cellules germinales éveillées dès la vie fœtale. Ce n'est donc pas l'ADN qui impose un programme aux cellules, mais les cellules qui utilisent l'ADN et peuvent modifier l'expression des gènes, en fonction des paramètres de leur environnement. Le mystère de la morphogenèse embryonnaire s'en trouve quelque peu éclairci. C'est un nouveau «on croyait que» qui s'effondre. Le noyau cellulaire n'est pas isolé, et il y a une communication permanente entre les milieux extérieur et intérieur, entre l'univers et l'ADN, et, nous allons le voir, entre les virus et l'ADN. On croyait que le code génétique ne fonctionnait que dans un seul sens : ADN->ARN->protéines. Mais, on se trompait, ce qui bouleverse totalement nos conceptions déjà fragiles de l'inné et de l'acquis. Les mandarins s'énervent et la répression commence aussitôt. Le prix Nobel Jacques Monod nous donne un bon exemple «d'objectivité» scientifique lorsqu'il congédie son élève Beljanski, qui démontre, avec une grande rigueur scientifique, que le maître s'est lourdement trompé. Il est possible de passer de l'ARN à l'ADN ! Et même d'obtenir des acides nucléiques à partir de protéines !"

[...]

"Si les "microbes" échangent librement leur matériel génétique sans dépendre de la sexualité, très complexe qui caractérise les êtres supérieurs, il ne peut donc exister d'espèces au sens strict dans le monde bactérien. Ceci rend caduque le premier dogme de Pasteur, le monomorphisme et éclaire parfaitement le polymorphisme de Béchamp. Si un éléphant ne peut effectivement se transformer en girafe, dans le monde microbien tout est possible."

[...]

"C'est pour cette raison que les antibiotiques, après avoir surpris le microcosme, ont favorisé l'émergence de formes résistantes, contre lesquelles nous sommes totalement désarmés."

[...]

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"Sans doute demain pourrons-nous enfin dire, écrire, diffuser le plus largement possible à tous les humains : on croyait que les virus n'étaient là que pour nous rendre malades et nous détruire, or il semblerait qu'il s'agisse d'une messagerie très perfectionnée, dont le rôle est capital dans le processus de guérison, par la reprogrammation des acides nucléiques au cours de la biographie humaine."

[...]

"Ce jeu de rôles, où l'Autre est toujours mauvais, est un exutoire aux tensions sociales, nées des vrais problèmes d'ordre politique, économique et social. C'est la fonction même du bouc émissaire. Or, là se situe aujourd'hui le problème central de la science, le fait que ces métaphores soient incapables de décrire ce que les microbes font en réalité. Si rien ne semble bouger dans les mentalités et dans la pratique médicale, c'est que la métaphore guerrière est très puissante. Elle détermine depuis plus d'un siècle notre façon de regarder le microcosme et le macrocosme, le monde naturel et le monde culturel. Sa permanence est soigneusement entretenue, car elle est un moteur puissant de l'économie libérale. De même que les marchands d'armes ne peuvent s'enrichir que s'il y a des guerres, les marchands de médicaments et de vaccins ne peuvent survivre que s'il y a des maladies."

[...]

"Voyons à présent la fonction des virus. Ces étranges structures cristallines porteuses d'une information, deviennent actives après avoir pénétré dans une cellule. Tous les êtres vivants, des plus simples aux plus complexes, accueillent des virus : mammifères, oiseaux, reptiles, poissons, mollusques, insectes, plantes, champignons, bactéries, etc. Tous les êtres vivants accueillent des virus pour communiquer les uns avec les autres, échanger des nouvelles et coordonner leur effort évolutif. Pour effectuer sa mission le virus doit pénétrer à l'intérieur d'un organisme infiniment plus complexe, a priori, défendu par un système immunitaire très élaboré, franchir de multiples barrières comme la peau et les muqueuses où s'activent des millions de bactéries associées à des millions de cellules, emprunter les trajets nerveux, sanguins ou lymphatiques, parfois à l'intérieur de cellules mobiles, qui lui servent de taxi. Tout cela dans un but unique : trouver sa cible, l'organe, le tissu, la cellule auquel son information est destinée, où il pourra la reproduire, pour ensuite la transmettre à d'autres cellules, tissus, organes appartenant à d'autres êtres vivants. Il faut un certain courage et une volonté à toute épreuve. À moins que le virus ne soit guidé. Comment expliquer qu'au cours de l'évolution, confrontées à des parasites qui pillent leur cytoplasme, les cellules aient développé des récepteurs membranaires très sophistiqués qui permettent l'adhésion puis la pénétration d'un certain type de virus ? Si celui-ci n'est qu'un tueur aveugle, violeur de membranes et pilleur de cytoplasme, comment se fait-il que le système immunitaire le véhicule jusqu'aux cellules ?"

[...]

"Nous sommes à chaque seconde en contact avec des milliards de virus, sans même nous en apercevoir, et beaucoup ont pourtant une attirance pour notre espèce, nos organes, nos cellules. Nous croisons quotidiennement des "malades", des porteurs sains de virus, prétendument mortels. Si nous sommes en bon équilibre, sans stress ni conflit majeur et si nous n'avons pas peur, il y a aucune raison d'activer un programme de survie se traduisant par une "maladie". Il n'y aura pas de contagion, ni par la salive, ni par le sperme, ni par le sang, car ces informations virales ne nous concernent pas. Peut-être les avons-nous déjà intégrées, à la suite, par exemple, d'une maladie infantile, et dans ce cas notre système immunitaire les refuse."

[...]

"Si la vie est perçue comme un combat perpétuel, alors le système immunitaire sera perçu comme une armée destinée à nous protéger d'une multitude d'ennemis, qui sans cesse assaillent notre territoire. À quoi est confronté Pasteur au cours du dix-neuvième siècle ? À la peur de l'Autre, à la guerre perdue, à l'épidémie qui tue, à la nécessité impérative de réaffirmer la légitimité nationale et l'intégrité du soi, fortement ébranlées par la menace étrangère. Menace permanente, séculaire, obsédante, juste au-delà de ces frontières, qui sont comme la peau d'un pays.""

[...]

"Le contact puis l'incorporation de quelque chose d'étranger sont beaucoup plus compréhensibles en terme de digestion et d'assimilation d'une information, qu'en terme d'élimination d'un agresseur. Le système immunitaire ne se bat pas : il s'instruit."

[...]

"Naître est un événement considérable, dont l'un des aspects majeurs est l'irruption dans le monde des microbes. L'intestin du nouveau-né est alors parfaitement perméable, vierge de toute flore symbiote et de structures immunitaires. Non contrôlés, les microbes ambiants pourraient envahir envahir le corps immature, y induire des phénomènes de tolérance préjudiciables pour l'avenir, ou occasionner des dégâts irréversibles. La protection va venir du lait maternel, qui prend le relais du filtre placentaire. Le premier lait n'est pas vraiment un aliment, mais plutôt un concentré de cellules et de molécules immunitaires fabriquées par la mère, en particulier des anticorps spéciaux, dont la fonction est de tapisser les muqueuses."

[...]

"Aux alentours de 38-38,5° C la fièvre favorise le développement microbien. Dans quel but ? Si le microbe est un ennemi, il est évident que la fièvre facilitante doit être combattue par tous les moyens. Si, par contre, le microbe est une information, cette facilitation prend le sens d'une amplification, destinée à mieux voir de quoi il s'agit, avant une éventuelle intégration. Vers 39,5°C la fièvre est bactériostatique, elle stoppe la multiplication microbienne. Le message est reçu, l'information intégrée, ou jugée sans importance. Il est dès lors inutile de poursuivre l'amplification du message. À 40-40,5°C la fièvre est bactéricide, elle détruit les microbes excédentaires devenus sans intérêt. Mais la fièvre a d'autres fonctions. Elle augmente le métabolisme de base et favorise à la fois les synthèses (croissance, anabolisme) et les éliminations toxiques."

[...]

"La responsabilité individuelle, face à un choix éthique, implique la non-ingérence du pouvoir et l'accès de tous à l'ensemble des informations nécessaires à ce choix. Le piège du libéralisme est la manipulation sournoise de l'information, qui peut être dissimulée, déformée ou amplifiée, soutenue par des experts inféodés à l'industrie, afin de canaliser l'individu vers une seule possibilité, un conseil alors analogue à une obligation. Intentionnellement désinformé, le citoyen est toujours amené à se considérer comme incompétent et inapte à toute décision. Le recours à un paternalisme sévère mais juste consiste à imposer une stratégie, en faisant croire que l'intérêt de chacun est confondu à celui de tous, en fait celui des dominants. Il s'agit bien de faire de la société une prison modèle, où les gardes sont inutiles. Chacun est à la fois juge et suspect pour son voisin, dénoncé et exclus à la moindre manifestation de non-conformisme.[...] Afin d'asseoir son autorité, l'État crée des habitudes, qui maintiennent ses sujets dans l'impuissance et une dépendance totale."

[...]

"En 1974, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et l'Unicef lancent le PEV (Programme Élargi de Vaccination) pour promouvoir la santé pour tous en l'an 2000. [...] Un quart de siècle après le démarrage du PEV, observez la situation sanitaire du tiers-monde et demandez-vous sincèrement si l'aspect strictement médical est atteint ? Sur le plan financier se fut en revanche une réussite exemplaire. [...] Ces enfants sont, avant tout mal, nourris, immunodéficients et atteints d'infections ou parasitoses chroniques, ce qui constitue des contre-indications absolues à toute vaccination. La survaccination accélère le processus de dénutrition et les tue, notamment en provoquant un déficit massif en vitamine C et en zinc. Le scorbut aigu pourrait être la cause de la mort subite du nourrisson, ici comme là-bas. La destruction des structures sociales traditionnelles provoque le recul de l'allaitement maternel, peu à peu remplacé par des laits maternisés dévitalisés, généreusement distribués par l'aide humanitaire. Nos dons financent l'achat de ces laits indigestes, aux multinationales qui les produisent. Or l'allaitement maternel est le meilleur garant de la santé de l'enfant confronté à des maladies infectieuses."

[...]

"Les nouvelles vaccinations ne seront vraisemblablement pas obligatoires, il faut donc créer puis entretenir la demande en terrorisant (hépatite B) ou en affublant n'importe quelle maladie d'un microbe (diabète, ulcère de l'estomac, dépression, cancer). Si, du jour au lendemain, les gens n'avaient plus peur et comprenaient le sens profond de la maladie, ce sont des milliards d'euros qui resteraient dans nos poches."

[...]

"Le problème central est en effet celui de l'acceptabilité, car vacciner est un viol. La violence des bons sentiments, donnant une protection en échange de la soumission. Comment domestiquer les masses et rendre les victimes consentantes, surtout celles qui manquent avant tout d'eau potable et de nourriture ? Avec Pasteur, le scientifique a remplacé le prêtre et le guerrier dans l'adoration des foules. Irrecevable sur le plan scientifique, la vaccination doit devenir un acte de foi. Irrecevable sur le plan éthique ou politique, la vaccination doit être imposée par la force, ce que révèle la forme militarisée et policée des campagnes vaccinales."

[...]

"Les pays en voie de développement ont été successivement investis par la force, pillés puis laissés à eux-mêmes, dans une situation politique économique et sociale épouvantable. Les savoirs traditionnels ont été dépréciés, marginalisés et détruits par ceux qui détiennent la vraie religion et la "vraie science". L'allaitement maternel a été remplacé par du lait en poudre industriel. Les cultures vivrières ont été remplacées par la monoculture industrielle de denrée destinée aux pays riches. Les miettes laissées aux producteurs leur ont permis d'acquérir des biens de consommation comme l'alcool, les armes ou les médicaments. Conséquence ? Une lente déchéance morale et physique, un désespoir chronique ponctué de maladies infectieuses invalidantes ou mortelles car plus aucun système immunitaire n'est capable de les apprivoiser. Peut-on survivre à une dévalorisation permanente, au génocide, à la guerre civile ? Aucune plante ne survit sans racines. Alors le colon revient avec son aide humanitaire, non pas pour redonner à ces peuples une dignité et une autonomie, mais pour créer des marchés et "dealer" le surplus de sa production. Dans un premier temps, les ONG reconnues d'utilité publique, soutenues par la finance internationale, sont chargées d'éduquer les pays du sud, leur donner accès à la formation technique et à la formation technique."

[...]

"L'hydroxyde d'aluminium a été introduit dans des milliards de doses de vaccins contre le tétanos, la poliomyélite, la diphtérie et la coqueluche. Or, d'une part, les adjuvants à l'aluminium augmentent le taux d'anticorps de la classe des immunoglobulines E, pouvant entraîner des réactions allergiques indésirables. Ainsi la progression rapide de l'asthme allergique chez l'enfant est la résultante d'une profonde détresse émotionnelle et de la survaccination précoce. D'autre part la toxicité de l'aluminium est aujourd'hui fortement suspectée, puisque ce métal serait coresponsable de troubles neurologiques et de démences type maladie d'Alzheimer, la maladie du siècle avec 100 000 nouveaux cas par an."

[...]

"Que dire de l'hépatite B ? La vaccination des enfants contre cette affection virale bénigne est un crime contre l'humanité, une erreur colossale, qui va précipiter le déclin d'une idéologie, parvenue au faîte de l'absurdité et du paradoxe. C'est probablement l'acte le plus stupide, le plus inutile, le plus dangereux et le plus lucratif de toute l'histoire de la médecine. Pour la première fois au monde, on a utilisé un pur produit du génie génétique pour une vaccination de masse, contre une infection virale essentiellement chronique."

[...]

"L'immense majorité des infections virales sont asymptomatiques, c'est-à-dire inapparentes et bénignes. Le virus n'intervient qu'en phase de guérison, pour extraire de nos mémoires les conflits affectifs, qui auraient tendance à perdurer. La chronicité implique donc la pérennité d'une information virale en relation avec un conflit latent, persistant, sans cesse réactivé. Ainsi les virus herpès interviennent, vraisemblablement, au moment des séparations, des sevrages difficiles, parfois impossibles à accepter."

[...]

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"Depuis la seconde moitié du dix-neuvième siècle et la révolution industrielle, au nom du progrès et de la science, la civilisation des Lumières a parachevé son œuvre, la destruction systématique des cultures traditionnelles, des peuples minoritaires, des milieux naturels. La disparition de la tribu ou de la famille élargie a dispersé l'aréopage féminin, qui entourait et protégeait toute grossesse. Les anciennes sages-femmes, parentes ou amies, femmes mûres riches de leur maternité, ont dû céder la place au médecin accoucheur détenteur du savoir objectif. Quelles peuvent être les conséquences de la conquête et de la mise à sac de cette terre inconnue de la féminité ?
Pourquoi l'immense majorité des femelles mammifères s'isolent-elles pour mettre bas, amener en douceur un être nouveau sur Terre ? La gestation, la naissance et l'allaitement appartiennent à la vie sexuelle, donc à l'intimité la plus profonde de l'être, soumis aux pulsions archaïques. Pulsions qui proviennent d'un cerveau très ancien, celui-là même qui se trouve étouffé et réduit au silence, par cette maladie mentale qu'est le rationalisme.[...] Dans notre espèce et notre culture, la future mère est la proie d'un système médical ultra-sophistiqué, où règne la froide asepsie néocorticale des mâles. À peine fécondée, elle est placée de gré ou de force sur la case départ d'un parcours parfaitement balisé, dans un contexte de surassistance, qui génère dépendance et soumission. Un état de stress chronique très néfaste à l'épanouissement du bébé. Cette médecine virile fait de sa grossesse une maladie sexuellement transmissible, de son ventre un champ d'investigation et une corne d'abondance, pour les multiples spécialistes de la procréation assistée."

[...]

"Il semblerait que le risque de toxicomanie aux opiacés soit en relation avec l'administration de narcotiques à la mère durant le travail, comme la morphine, les barbituriques ou le protoxyde d'azote."

[...]

"Le suicide par asphyxie est corrélé avec une anoxie (ndlr : manque d'oxygène) néonatale. Un suicide par moyens mécaniques violents et en relation avec une extraction très traumatique. Les enfants qui ont connu des complications à la naissance et/ou qui ont été rejetés très tôt par leur mère, ont trois fois plus de risque de devenir des criminels violents."

[...]

"Le cancer serait-il une maladie de l'âme ? Nous touchons ici à un sujet tabou, un territoire réservé de la médecine orthodoxe, au même titre que le sida. Toute tentative d'interpréter, de prévenir ou de traiter ce type de pathologie autrement est punie, avec une extrême sévérité. Il nous faut accepter de force, et contre toute logique, que le sida est dû à un virus, que le cancer est une maladie qui a pour mécanisme une prolifération cellulaire anarchique, incontrôlée et incessante."

[...]

"L'un de ceux qui sont sortis des sentiers battus, fut le docteur Michel Moirot, décédé en mars 1997, dans la déréliction (ndlr : l'abandon) la plus totale, après un enfermement pour cause psychiatrique. Cet homme a été détruit, pour avoir effectué des recherches remarquables pendant plus de quarante ans, qui lui ont permis d'écrire que le cancer est toujours corrélé à une détresse émotionnelle, chez les sujets ayant vécu dans leur enfance des événements existentiels à caractère hautement aliénant. Le Dr Moirot avait lu Groddeck, il avait entrepris des études minutieuses et il avait compris comment un individu angoissé et dépressif peut se rendre malade pour survivre, dissoudre une obsédante culpabilité et même s'autodétruire, afin d'échapper à ses fantasmes. Il avait aussi compris que le système immunitaire, les microbes et toutes les cellules du corps sont contrôlés par cet inconscient, qui peut générer la maladie si celle-ci est utile, mais aussi et surtout induire un processus d'auto-guérison, lorsque le langage des symptômes a été correctement interprété. Le cancer, comme d'ailleurs toute maladie, exprime le refus d'une vie devenue intolérable. Moirot affirmait : « le seul remède est de renaître. »
En 1978, sept ans avant la parution du livre de Moirot, saisi par la justice jusqu'en 1993, le docteur Ryke Geerd Hamer perd son fils Dirk, âgé de 19 ans, dans des conditions dramatiques. Un accident imprévisible qui génère une souffrance d'une intensité telle, qu'il est impossible de l'atténuer de la dépasser, de la gérer psychologiquement. À qui confier une telle douleur, ressassée jour après jour, nuit après nuit ? Peu de temps après, lui est sa femme sont atteints d'un cancer. Une soudaine illumination lui permet d'établir le lien. La maladie est la solution parfaite du cerveau biologique, commun à tous les mammifères, qui agit en dehors de notre conscience pour notre survie immédiate."

[...]

"Que nous dit Hamer ? Nous avons complètement perdu le sens et la notion du déroulement naturel des maladies. Si un individu est impliqué trop durement ou trop longtemps dans un conflit, alors il y a danger de mort et le cerveau va soulager l'ensemble de l'organisme, en localisant le conflit dans un organe. Le symptôme devient symbole, le cancer du testicule ou de l'ovaire, la manifestation organique d'un conflit de perte. Tant que le conflit est actif le sujet est en résistance et ne peut pas guérir. Si par contre la résistance est vaincue par la prise de conscience, la parole dite et reçue au cours d'un accompagnement thérapeutique compatissant, alors le cancer organique guérit spontanément et instantanément. La prolifération des cellules n'est donc ni anarchique, ni incontrôlée, ni incessante.
Le Dr Hamer va mettre en pratique ce qu'il a élucidé, étudier des milliers de cas, obtenir des guérisons absolument incompréhensibles, pour la médecine orthodoxe. Peu à peu, il découvre et expose certaines lois biologiques qui sous-tendent l'expression de toutes les maladies organiques. Le choc émotionnel initiateur a d'abord un impact au niveau du cerveau, de localisation variable, selon la nature du conflit et décelable par un scanner. Cette altération du tissu cérébral va induire la cancérisation de l'organe correspondant."

[...]

"Après de multiples examens et des semaines d'attente, le médecin annonce : « Vous avez un cancer et statistiquement votre espérance de vie est de quelques mois, au mieux quelques années. » Quel peut être alors le ressenti du patient, au moment où le médecin lui dit : « Tu-meurs. » Sans doute une immense détresse, car dans notre société le cancer est une maladie grave, en plein essor et le plus souvent incurable. Une maladie irréversible qui signifie hôpital, chimiothérapie lourde, radiothérapie, chirurgie, brûlures, perte des cheveux, mutilations, infirmité, invalidité permanente et la mort.
Le conflit de diagnostic provoque le désespoir, la peur, une profonde affliction, une intense dévalorisation, un souci aigu pour les proches et bien sûr de nouveaux cancers qui seront attribués aux fameuses métastases. Ainsi, si la maladie primaire est la manifestation d'un vécu douloureux, l'immense majorité des aggravations est des récidives sont souvent iatrogènes, générés par un système médical qui persiste à ignorer la subjectivité des malades. Le thérapeute devrait toujours avoir conscience de son pouvoir et le désir de ne pas en abuser."

[...]

"Nous devons prendre conscience que la santé est subversive, car elle rend les hommes difficiles à manipuler."

Rédigé par Julien

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Alerte : Dictature en marche. Grippe, juste l'info officielle. Blogs coupés. "11/9"

                 

Spécial désinformation :  tremplin de la dictature.
Introduction, par Eva R-sistons. Morceaux choisis. Sélection de liens.
Désinformation, dictature, par Eva R-sistons

Alerte ! Nous avions les prémices d'une dictature.. en France, via Sarkozy, mais aussi au niveau de la planète.  Maintenant, nous allons y entrer de plain-pied ! 

Avec la grippe, pardon la gripette, une chance pour le Futur Désordre Mondial criminel, ou plus exactement ce qu'on appelle "Le Nouvel Ordre Mondial", un euphémisme ! Comme pour la "modernité", chaque fois que le mot est employé, alerte, souriez, vous êtes roulés ! Modernité, cela signifie en réalité régression, casse sociale, des services publics, etc, vous êtes intelligents, vous savez de quoi il en retourne. 

Cette gripette, dont la dangerosité est inversement proportionnelle au bruit fait dans les Médias, est la dernière trouvaille de nos bienfaiteurs, vous savez, les marionnettistes qui manipulent en coulisses les événements pour avoir d'encore plus gros comptes en banque, encore plus de résidences, des baignoires en diamant et des yachts plus longs... Et beaucoup, beaucoup de repas aux Fouquet's de la planète... Et cette gripette permettra à l'Oligarchie, entre autres, d'accroître sa domination sur nous. Jolie société, "démocratie irréprochable" comme dit notre ami Sarkozy !  Nos moindres faits et gestes sont épiés et consignés, nos médias sont des courroies de transmission des Seigneurs de la planète (hé, hé, on a fait 1789 pour en arriver là ?), nous imposons notre charmante démocratie à tous ceux qui n'en veulent pas, d'accueillants camps de concentration sont en préparation pour ceux qui ne se pâment pas devant les changements qui nous attendent, la Police se voit contrainte de renoncer à ses missions de proximité pour des opérations plus musclées, les délinquants en herbe sont criminalisés et les vrais criminels, mais en col blanc, sont...blanchis, etc etc, vous êtes au parfum.




"Selon que vous serez puissant, ou misérable", même bébés...
Le talent de Laplote, courez voir ses derniers chefs-d'oeuvre, ici:
http://laplote.over-blog.fr
(dessin spécialement POUR les lecteurs de R-sistons)


Et maintenant, avec notre grippe porcine (on a eu le veau aux hormones, la vache folle, le poulet à la dioxine, le porc aux antibiotiques, etc, jolie société !), voici s'ouvrir devant nous une nouvelle étape : Hortefeux, notre sympathique et souriant Ministre de l'intérieur, vient de signer une convention avec les médias... "dans quelques temps, les médias ne diffuseront que des infos type Tchernobyl 1986.... les gens du ministère et les adoubés seront les seuls à parler" !

Tchernobyl ! J'étais journaliste sur une de nos grandes chaînes de télévision, quand la catastrophe se produisit. Chouette ! Le nuage a eu le bon goût de s'arrêter à la frontière. Je venais de mettre au monde un fils, et je faisais avec lui de beaux châteaux avec un sable arrosé par le nuage arrêté à la frontière. Las ! Un chercheur du CNRS me contacta. Il était un brin méfiant, ou un brin curieux, et il venait de faire ses propres analyses qui coïncidaient avec celles de nos voisins allemands, mais pas du gouvernement français. J'en informais aussitôt mon Rédacteur en Chef... et tout continua comme avant. Silence médias !! Et tant pis pour notre santé, ça c'est un détail !

Procédure pénale : un texte de loi "début 2010"

Pour quelles raisons parle-t-on d'Eric de Montgolfier dans cette affaire ?
Pressions ?

La demande d'ouverture d'enquête criminelle par SOS JUSTICE & DROITS DE L'HOMME ?
Grippe A/H1N1 : Vaccin ou arme de destruction massive ?

Eric de Montgolfier serait-il le seul Procureur de la République de France à s'exprimer sur ce projet de Loi visant à supprimer le Juge d'Instruction ?

Michèle Alliot-Marie (Sipa)

Michèle Alliot-Marie (Sipa)

NOUVELOBS.COM | 03.09.2009 | 15:52
 
La chancellerie indique la création de deux groupes de travail chargés de se pencher sur les propositions du rapport Léger pour réformer la procédure pénale. "l'idéal" serait d'aboutir à un texte de loi pour "début 2010".
 
La garde des Sceaux, Michèle Alliot Marie, a défendu mercredi 2 septembre la mesure de suppression du juge d'instruction prônée par le comité Léger pour réformer la procédure pénale, et jugé "insultant" pour les procureurs qu'on puisse y voir la fin d'une justice indépendante.

A la Chancellerie, deux groupes de travail vont désormais se pencher sur ses propositions, et "l'idéal" serait d'aboutir à un texte de loi pour "début 2010", a-t-on indiqué dans l'entourage de la ministre.
Le flot de critiques, émanant du monde politique ou des professionnels de la justice, ne tarissait pas au lendemain de la remise à Nicolas Sarkozy du travail du comité présidé par le haut magistrat Philippe Léger.

"Faire une réforme complète"


Michèle Alliot-Marie a par ailleurs tonné contre les critiques focalisées sur la fin présumée des investigations indépendantes, si le procureur, hiérarchiquement subordonné à la Chancellerie, est effectivement appelé à devenir l'unique directeur de l'enquête.
 

"C'est totalement faux et je dirais que c'est insultant pour les magistrats (...) c'est faire peu de cas à la fois de leur honneur et de leur indépendance", a-t-elle lancé sur Europe 1.

Elle a assuré qu'en tant que garde des Sceaux elle n'avait "nullement la possibilité de donner une instruction de classer une affaire ou de ne pas poursuivre". "Je ne peux donner d'instruction que de poursuivre au contraire".
 
Le procureur de Nice Eric de Montgolfier a estimé que ce problème de l'indépendance de la justice était actuellement "mal posé" car il laissait complètement de côté l'indépendance de la police et de la gendarmerie, "véritables acteurs de la procédure pénale".

"Croyez-vous que dans une affaire délicate, ces services, qui ne dépendent pas de l'autorité judiciaire mais du pouvoir exécutif, vont agir en toute indépendance, sans en informer leur hiérarchie? (...) Si l'on souhaite vraiment une réforme de la procédure pénale, il est temps d'en faire une complète", a-t-il dit.

Perte d'indépendance


Côté politique, le Front national et le NPA d'Olivier Besancenot, une fois n'est pas coutume, ont tenu un discours proche, fustigeant la disparition du juge d'instruction.

"C'est de la folie (...) L'instruction doit continuer à être confiée à des juges du siège, inamovibles, donc indépendants", a fait valoir le FN.
"Le transfert au parquet des affaires pénales, qu'elles soient criminelles, politico-financières, de corruption, environnementales ou mettant en cause l'Etat, aujourd'hui instruites par le juge d'instruction, signifie la fin du peu d'indépendance qu'il restait à la justice", a dénoncé le NPA.

Une association de défense des victimes, l'Institut pour la Justice, s'est dite "déçue" par le rapport Léger, contestant notamment l'introduction du "plaider coupable" en cour d'assises pour réduire la durée du procès. (Nouvelobs.com)
Source : NouvelObs

03/09/2009

La Peste au Mexique ? Oui bien sûr...


J’ai été témoin de l’épidémie de grippe de 1918

Eleanor McBean




Tous les médecins et les gens qui ont vécu à l’époque de l’épidémie de grippe espagnole de 1918 disent que ce fut la maladie la plus terrible que le monde ait jamais connue. Des hommes vigoureux et robustes pouvaient ainsi mourir du jour au lendemain. La maladie présentait les aspects de la peste noire, comme aussi de la fièvre typhoïde, de la diphtérie, de la pneumonie, de la variole, des maladies paralytiques, comme d’autres maladies contre lesquelles les populations avaient été vaccinées juste après la première guerre mondiale. On avait administré quantité de vaccins et de sérums toxiques à pratiquement toute la population. La situation devint réellement tragique quand éclatèrent tout d’un coup ces maladies engendrées par la médecine.

La pandémie s’éternisa deux ans, nourrie par les médicaments toxiques que les médecins prescrivaient pour supprimer les symptômes. Pour autant que j’aie pu l’observer, la grippe atteignait essentiellement les vaccinés. Ceux qui avaient refusé la vaccination échappaient à la maladie. Ma famille avait refusé toutes les vaccinations. C’est ainsi que nous sommes restés tout le temps en excellente santé. Nous savions de par les enseignements de Graham, Trail, Tilden et d’autres qu’on ne peut contaminer le corps avec des poisons sans que celui-ci ne devienne malade.

Quand l’épidémie atteignit son paroxysme, tous les magasins, les écoles, les entreprises étaient fermés et même jusqu’à l’hôpital. Les infirmières et les médecins qui s’étaient fait vacciner étaient terrassés par la maladie. On ne voyait plus personne dans les rues. La ville était devenue une ville fantôme. Comme notre famille (qui n’avait pas accepté les vaccinations) semblait être une des rares familles à ne pas avoir attrapé la grippe, mes parents couraient de maison en maison pour s’occuper des malades, vu qu’il était impossible de trouver un médecin. Si c’étaient les germes, les bactéries, les virus ou les bacilles qui devaient en fait provoquer la maladie, ils auraient eu cent fois l’occasion de s’attaquer à mes parents qui passaient plusieurs heures par jour dans les chambres de malades. Pourtant mes parents ne contractèrent jamais la grippe et ne rapportèrent à la maison aucun germe qui aurait pu s’attaquer aux enfants. Aucun membre de notre famille ne fut atteint par la grippe. Il n’y eut même pas le moindre rhume alors que l’hiver était rude et la neige épaisse.

On a dit que l’épidémie de grippe de 1918 avait tué 20 000 000 de personnes dans le monde. Mais en fait ce furent les médecins qui occasionnèrent cette hécatombe avec leurs traitements grossiers et meurtriers. C’est une terrible accusation, mais elle n’en demeure pas moins vraie, s’il faut en juger par les succès obtenus par les médecins n’utilisant pas les médicaments.

Alors que pour les médecins et les hôpitaux traditionnels, les décès s’élevaient à 33 %, les autres hôpitaux (non traditionnels) comme Battle Creek, Kellogg, Macfadden's Health Restorium obtenaient pratiquement 100 % de guérisons avec des méthodes naturelles simples comme les cures d’eau, les bains, les lavements, le jeûne, des régimes alimentaires très bien étudiés comprenant essentiellement de la nourriture naturelle. Un médecin que nous avons connu n’a pas perdu un seul patient de la grippe en huit ans...

Si les médecins classiques avaient été aussi éclairés que les thérapeutes utilisant les méthodes naturelles, on n’aurait sûrement jamais parlé de 20 000 000 morts suite au traitement médical officiel de la grippe.

Chez les militaires vaccinés, la maladie a frappé sept fois plus que chez les civils non vaccinés. Ces soldats souffraient en fait des maladies contre lesquelles ils avaient été vaccinés. Un soldat qui, en 1912, était rentré des territoires d’outre mer m’avait confié que les hôpitaux militaires étaient remplis de cas de paralysie infantile et il se demandait comment il était possible que des adultes puissent contracter une maladie d’enfance. Nous savons maintenant que la paralysie est une suite classique d’un empoisonnement vaccinal. Chez nous la paralysie n’est apparue qu’après la campagne de vaccination massive de 1918.



Les vaccins : protection ou illusion ?
Marjolaine Jolicoeur
AHIMSA

La médecine officielle est obsédée par la vaccination. Cette vaccinomanie est, pour elle, la solution incontournable pour prévenir les maladies, une protection contre presque tous les maux. Cette course effrénée pour trouver un vaccin contre toutes les calamités pesant sur l’humanité nous apportera peut-être un vaccin contre les accidents d’autos... Refuser de faire vacciner nos enfants ou nous-mêmes, on nous taxe, le plus souvent, d’irresponsables, de mal renseignés ou d’un manque de civisme. Un médecin m’a déjà dit que mon fils non vacciné était une menace pour les autres enfants... Les parents des nouveau-nés subissent eux aussi une pression médicale et sociale. On prophétise, à intervalles réguliers, une épidémie de rougeole ou de méningite et les écoles se transforment en « piqueries. »

Avant de partir pour l’étranger, les cliniques de vaccination conseillent parfois plus de sept vaccins ou rappels, de quoi bousiller complètement le système immunitaire, avant même de partir en vacances. Le succès, auprès du public, d’un livre comme "La mafia médicale", de Guylaine Lanctôt, plonge certains médecins dans une crise d’hystérie, proche de la transe fanatique. On s’étonne presque que des bûchers ne soient pas encore prêts pour tous ces hérétiques qui osent remettre en question la validité des vaccins.

L’histoire se répète, puisqu’au début des années 70, le Dr. Paul-Émile Chevrefils, fut radié des cadres de sa profession par le Collège des médecins suite à son opposition aux vaccins. Il n’hésitait pas à dire en 1965 : "Les vaccins donnent les maladies, en créent de nouvelles et propagent la mort. La preuve scientifique qu’une provocation artificielle d’une maladie empêche l’apparition d’une maladie naturelle n’a jamais été établie. Comme médecin, je m’élève contre ces vaccinations et proteste contre le mythe de Pasteur".

Depuis 1885, année où on appliqua à l’humain le premier vaccin vivant atténué contre la rage, nombre de médecins et de chercheurs s’opposèrent à cette pratique. À la fin du XIXe siècle, la "Ligue universelle des anti-vaccineurs" dénonça avec force les théories de Pasteur, pour qui les microbes (germes, virus, etc.) sont entièrement responsables de la presque majorité des affections de l’humain et des animaux.

Le monopole de la médecine officielle les fit taire et encore de nos jours, le silence est imposé aux infidèles, des thérapeutes de médecines douces, mais aussi de nombreux médecins, pédiatres, biologistes et chercheurs scientifiques. Depuis les cent dernières années, cette médecine, avec l’aide des multinationales pharmaceutiques, ignore les thérapies naturelles, écologiques ou holistiques pour faire la "guerre" aux maladies par le biais des vaccins. Les analogies pour se "battre" contre les microbes et les virus sont nombreuses dans le vocabulaire médical : l’agent, l’ennemi, l’identification de l’agent, sa neutralisation ou sa destruction, offensive, contre-offensive. Notre corps est un immense champ de bataille.

Avec sa vision mécaniste de l’humain, la médecine guerrière a provoqué une augmentation alarmante de maladies auto-immunes, telles que le Sida, les otites, l’asthme, l’herpès, les tumeurs, etc. Les infections bactériennes résistent de plus en plus aux antibiotiques et les scientifiques, depuis ces vingt dernières années, ont été confrontés à un nombre grandissant de maladies inconnues. De nouvelles formes d’hépatite ainsi que des virus entraînant la leucémie et d’autres virus hémorragiques du type Ebola ont fait leur apparition.

René Dubos dans son livre "Mirage of Health" remarque, à juste titre, que : "Le monde est obsédé par le fait que la poliomyélite peut tuer d’infortunées victimes chaque année. Mais ce qu’il y a d’extraordinaire c’est que des millions et des millions de jeunes enfants sont infectés par le virus de la poliomyélite sans souffrir de la maladie. Les virus et les bactéries ne sont pas les causes des maladies, il s’agit d’autre chose."

On peut refuser les vaccins pour d’évidentes raisons de santé, mais aussi pour des raisons philosophiques, religieuses ou pour ses liens étroits avec la cruauté de l’expérimentation animale. Après avoir été confrontée à la vaccination en tant que mère et voyageuse, suite à mes lectures de nombreux livres et rapports de différents points de vue, je ne vois aucun avantage réel aux vaccinations et je les refuse pour toutes les raisons évoquées. Nous avons tous la capacité et la responsabilité de nous poser des questions sur les vaccins. Nous n’avons pas à remettre à d’autres notre pouvoir. La santé de notre corps et celles de nos enfants nous appartient, totalement.

La vaccination, ou l’immunisation, selon les termes de la médecine officielle, est basée sur le concept que l’inoculation de bactéries. De fragments de capsules bactériennes, de toxines bactériennes, de virus ou de fragments de virus, permet de procurer au corps humain les moyens pour se défendre contre une agression biologique avant qu’elle ne survienne. Il s’agit de stimuler le système immunitaire et de provoquer une réponse par un antigène (le vaccin) qui s’exprime par la production d’anticorps (une protéine) spécifiques.




Cette vaccination=immunisation, donc protection. Cette formule ignore la variation des réactions biologiques, variations dans les réponses immunitaires. Personne ne se donne la peine de contrôler les effets immunitaires après la vaccination, pas d’examens après les vaccins pour trouver les titrages d’anticorps. Pour pallier ces variations immunitaires, on fera des rappels, on revaccinera une deuxième fois, comme ce fut le cas pour la rougeole au Québec, au printemps 1996.

Avant la vaccination, on ne s’informe pas vraiment pour savoir si elle sera bien supportée par le vacciné. Mais même si celui-ci est apparemment en bonne santé, des problèmes peuvent survenir :"Un enfant peut être en bonne santé et cependant, un dérèglement récent ou ancien, discret ou évident, souvent même non apparent, de ses systèmes neurovégétatif et hormonal est susceptible de déclencher des accidents de gravité variable" (Dr. Kalmar) Dès que quelques cas de rougeole ou de méningite pourraient faire croire à une menace d’épidémie, on vaccine massivement sans contrôle préalable sur la santé du vacciné. Chaque automne, au Canada, 4 millions d’individus se font vacciner contre la grippe, en très grande majorité des personnes âgées, parfois de peu de résistance. Après la vaccination, si on détectait la présence d’anticorps, cela indiquerait-il vraiment une protection contre la maladie ? Dans un article de "l’Australian Journal of Medical Technology", le virologue B. Allen rapporte le cas d’un groupe de soldats vaccinés contre la rubéole qui, bien qu’ils démontraient une production d’anticorps, contractèrent tout de même la maladie, dans une proportion de 80 %.

Notre système immunitaire a-t-il vraiment besoin d’agents extérieurs, d’une immunisation artificielle pour bien fonctionner ? Cette immunisation artificielle renforce-t-elle notre système immunitaire ? Des substances associées à la maladie et à la mort peuvent-elles vraiment apporter la santé ?

Les virus ou protéines étrangères des vaccins ne sont pas filtrés par le système digestif ou le foie, mais directement injectés dans le sang et le système lymphatique, leur donnant un accès direct immédiat aux organes. Les vaccins court-circuitent donc totalement nos systèmes de défense naturelle.

Pour la médecine, c’est parce que le système immunitaire du bébé est immature qu’il doit être vacciné. Mais ce bébé n’est-il pas plus vulnérable aux effets toxiques et allergènes des vaccins, justement parce que son système immunitaire est en formation ? H. Buttram et J. Hoffman, à la fois médecin et chercheur en biologie moléculaire affirme : " Les vaccinations en bas âge ne peuvent pas aider, car elles ont des effets dangereux sur le système immunitaire de l’enfant laissant peut-être ce système tellement atteint qu’il ne peut plus protéger l’enfant durant sa vie, ouvrant la voie à d’autres maladies suite à une dysfonction immunitaire".

Même son de cloche chez le professeur Pariente : "Stimuler sans cesse l’immunité n’est pas sans danger". Introduire dans un organisme des protéines étrangères à son code génétique viole l’intégrité biologique et amène l’épuisement du système immunitaire et non l’immunité. Il s’ensuit un déséquilibre écologique. Nous avons tous en nous des millions de germes microbiens plus ou moins actifs et de virus à l’état latent, qui sont en équilibre entre eux et le système immunitaire. Modifier cet équilibre peut avoir des conséquences graves : des microbes jusqu’à là non pathogènes peuvent alors devenir redoutables.

De plus, les virus des vaccins ont des propriétés tout à fait particulières de résistance et des pouvoirs de mutation. Deux virus peuvent se combiner et donner naissance à un hybride bien plus dangereux. Ces virus peuvent rester à l’état latent dans l’organisme pendant des années et ne devenir pathogènes qu’en présence d’un autre virus, d’un agent physique ou chimique ou tout simplement d’une déficience des défenses immunitaires. En 1969, la revue suisse "Médecine et Hygiène" constatait que depuis la généralisation de la vaccination contre la poliomyélite, certains virus qui jusque-là ne provoquaient que des "infections asymptomatiques" devenaient de plus en plus souvent pathogènes. En 1974, le professeur Bastin déclarait que "le vaccin contre la rougeole exalte le pouvoir pathogène des adénovirus."

Les vaccins, tel que vu précédemment, sont composés de virus ou de bactéries. Par exemple, celui pour la coqueluche provenait à l’origine, du mucus de la gorge d’enfants atteints et celui de la typhoïde, de matière fécale décomposée de patients malades. On retrouve aussi dans les vaccins différents produits chimiques, des antibiotiques, des stabilisateurs et des agents de conservation. D’autres additifs : de la gélatine hydrolysée à titre d’agent stabilisant, du phosphate d’aluminium, du phénol, du sorbitol, du formalin et du thimerosal. Tous des ingrédients toxiques, cancérigènes et allergènes.

Le thimerosal, un dérivé mercuriel est utilisé comme préservateur. En 2001, on retrouve du mercure dans les vaccins contre la méningite, l’hépatite B et la grippe. S’élimine difficilement de l’organisme. Dans une étude publiée en 1979, dans le "British Medical Journal", 26 patients reçurent un sérum d’immunoglobulines contenant du thimerosal. 19 d’entre eux (soit 73 %) virent leur taux de mercure augmenter, fait prouvé par des analyses d’urines. Le mercure est un métal toxique, s’accumule dans le cerveau et peut causer des dommages importants au système nerveux. Il traverse le placenta pour atteindre le cerveau du fœtus et contamine les nourrissons par le lait maternel. L’aluminium se retrouve dans la majorité des vaccins.

Le formalin (solution contenant 37 % de formaldéhyde) inactive le virus dans les vaccins antipoliomyélitiques, de la fièvre jaune et de la grippe. Il se retrouve aussi dans ceux de la diphtérie, du tétanos et du DCT (diphtérie, coqueluche, tétanos). La toxicité du formaldéhyde, du thimerosal et de l’aluminium est reconnue et dûment prouvée par nombre d’études scientifiques.

Les fabricants de vaccins argumenteront que ces produits chimiques se retrouvent en petites quantités dans les vaccins et que leur innocuité fut testée sur des animaux de laboratoire, ce qui n’est pas pour nous rassurer. Leurs effets toxiques, cumulatifs, leurs interactions entre eux et les virus ou microbes forment un imprévisible cocktail pour un bébé de petite taille, ou même pour un adulte.

En outre, on peut se demander si ces produits chimiques réussissent vraiment à atténuer le pouvoir pathogène des virus et des bactéries ou à les tuer. Pour justifier les vaccinations massives, certains membres de la médecine scientifique tendent à démontrer que la baisse de l’incidence des maladies est due à l’introduction des vaccins qui firent disparaître, entre autre, la variole.

La peste, qui faisait des millions de morts autrefois n’existe presque plus et ce, sans qu’un vaccin n’y soit pour quelque chose. La diphtérie a disparu en même temps dans les pays qui vaccinaient et dans ceux qui ne vaccinaient pas. En Suède, cette maladie a disparu sans aucune vaccination de masse. Selon certaines données épidémiologiques, la poliomyélite a disparu en Europe pendant les années 40 et 50 et ce, sans vaccination de masse.

Nombre de graphiques démontrent à l’évidence que le nombre de décès causés par les maladies infectieuses avait déjà commencé à diminuer avant que les vaccinations ne deviennent disponibles. Quand elles ont été implantées, le niveau était déjà rendu très bas grâce à une alimentation plus saine, des logements plus salubres, une meilleure hygiène, un statut social plus valorisant, etc.

Certains médecins préfèrent ignorer ces solutions de bon sens pour mettre en avant les vaccinations de masse. Ils affirmeront, par exemple, qu’au Mali, là où les vaccins sont pratiquement inexistants, un nouveau-né à seulement une chance sur cinq de vivre jusqu'à à cinq ans. En Afrique, la rougeole tue deux enfants sur cinq au même âge. Mais ces enfants ne meurent-ils pas plutôt à cause des conditions de vie difficiles que les vaccins ne peuvent améliorer ?

Dans les années 80, l’objectif conjoint de l’Unicef et de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) était qu’en 1990, tous les enfants du monde soient vaccinés contre ces 6 maladies : rougeole, poliomyélite, diphtérie, tétanos, coqueluche et tuberculose. Pourtant, des enfants affamés ou mal nourris supportent mal les vaccinations. L’objectif de ces organismes devrait plutôt être de l’eau potable et une alimentation équilibrée pour tous les enfants. Voilà un objectif plus humanitaire, pour sauver ces 15 millions d’enfants de moins de cinq ans qui meurent chaque année sur notre planète. Notons que 4 millions d’entre eux meurent à cause de la diarrhée. Il est vrai que ces mesures ne rapporteraient pas grand chose aux compagnies pharmaceutiques...

La vaccination ne protège pas et, fait encore plus terrible, elle donne la maladie qu’elle est supposée enrayer. En Angleterre, en mai 1871, les autorités médicales affirmaient que 87.5 % de toute la population avait été vaccinée. L’année suivante, le pays expérimenta la pire épidémie de variole de toute son histoire, ce qui tua 44 840 personnes. En Ecosse, entre 1855-1875, plus de 9 000 enfants de moins de cinq ans moururent de la variole en dépit du fait que le pays était à cette époque l’un des plus vacciné du monde. En Allemagne, dans les années 1870-71, 100 000 personnes eurent la variole, dont 120 000 succombèrent à la maladie. 96 % d’entre elles avaient été vaccinées.

En fait, la variole sembla cinq fois plus fatale parmi ceux qui étaient vaccinés que parmi ceux qui ne l’étaient pas. Dans son livre "The Vaccination Superstition", le Dr. J.W. Hodge note : "Après une soigneuse considération de l’histoire de la vaccination ramassée à même une étude impartiale et compréhensible de statistiques vivantes et de données pertinentes provenant de source sûre, et à la suite d’une expérience à partir du fait d’avoir vacciné 3 000 sujets, je suis fermement convaincu que la vaccination ne peut être montrée comme ayant quelque relation logique avec la diminution des cas de variole. La plupart des personnes sont mortes de la variole qu’ils contractèrent après avoir été vaccinées."

Le professeur George Dic, en 1973, abonde dans le même sens en disant que lors des décennies précédentes en Grande-Bretagne, 75 % de ceux ayant contracté la variole avait été vaccinés. Des cas de poliomyélite se déclarèrent au Gabon, au Brésil et à Taiwan dans des populations à grande majorité vaccinées.

En 1987, à l’Université d’Alberta, une épidémie d’oreillons ravagea le campus malgré un taux de vaccination de 98 %. Entre janvier et mai 1989, au Québec, sur 1 600 cas de rougeole, plus de 58 % des enfants avaient été vaccinés. D.M. Johnson dans le "Journal of the American Medical Association" (1969) rapporte des cas de mort par tétanos chez des individus dûment vaccinés. En 1941, la majorité des enfants de France étaient vaccinés contre la diphtérie, ce qui n’empêcha pas les cas de diphtérie de tripler en 1943.

Les docteurs Dettman et Kalokerinos trouvèrent dans les annales du Ministère de la Santé de l’Ecosse que, durant la période allant de 1941 à 1944, 23 000 cas de diphtérie furent déclarés sur des enfants déjà vaccinés, entraînant la mort de 180 d’entre eux. Dans un essai majeur réalisé en Inde auprès de 260 000 personnes, le BCG s’avéra plus qu’inefficace : il est survenu plus de cas de tuberculose chez les vaccinés que dans le groupe placebo.

À court et à long terme, tous les vaccins présentent des effets secondaires, effets rapportés par les fabricants de vaccins eux-mêmes et décrits dans nombre de revues médicales. Convulsions, fièvre, urticaire, gonflement des ganglions, œdèmes, troubles gastro-intestinaux, apparaissent suite à l’injection du vaccin.

Les médecins conscients de ces effets secondaires ne les réfuteront pas mais concluront que "de deux maux, nous devons choisir le moindre mal". Les vaccins sont-ils vraiment le moindre mal ? Chez plusieurs enfants vaccinés (particulièrement avec le DCT- diphtérie, coqueluche, tétanos), on dénote des atteintes au système nerveux central, des cas de paralysie et d’inflammation du cerveau.



Selon une étude de Allan Hinman et Jeffrey Copelan, publiée en 1984 dans le "Journal of the American Medical Association", sur les 3,3 millions d’enfants vaccinés annuellement aux États-Unis avec le DCT, 16 038 démontrèrent des crises aiguës et des pleurs persistants - ce qui est considéré par plusieurs neurologistes comme l’indication d’une irritation du système nerveux central ; 8 484 eurent des convulsions ; 8 484 furent en état de choc dans les 48 heures suivant l’injection du DCT (Notons que des séquelles neurologiques peuvent survenir après la vaccination même en l’absence de réactions extrêmes). À long terme, les vaccins, en stimulant artificiellement le système immunitaire, ouvrent la porte aux maladies dégénératives, chroniques ou auto-immunes. G. Dettman dans "l’Australian Nurses Journal" (1977) rapporte que "certaines souches de vaccins peuvent être impliquées dans des maladies dégénératives telles que l’arthrite rhumatoïde, la leucémie, le diabète et la sclérose en plaques".

Un article dans le "British Medical Journal" (1967) par Miller abonde dans le même sens :"Plusieurs auteurs allemands ont décrit la relation entre la sclérose en plaques et les vaccinations contre la variole, la typhoïde, le tétanos, la poliomyélite et la tuberculose". R. Maskowitz, médecin et gradué de Harvard, est convaincu que les vaccins peuvent, à long terme, mener à une déficience du système immunitaire et causer : "des maladies considérablement plus graves que la maladie originale, impliquant des structures plus profondes, plus d’organes vitaux et ayant moins la possibilité de se résorber spontanément".

Le pédiatre Mendelsohn a raison de se demander : "Allons-nous échanger la rougeole contre le cancer et la leucémie ?" Les vaccins découlent directement de l’expérimentation animale, puisqu’en plus de contenir des sous-produits de l’abattoir, ils sont par la suite systématiquement tester sur des animaux. Des milliers de singes, par exemple, souffrent pour l’élaboration des vaccins contre le Sida et l’hépatite.

Les vaccins de la rougeole, de la fièvre jaune et des oreillons se cultivent sur des embryons de poulets. Celui contre l’encéphalite japonaise dans des cerveaux de souris ; ceux contre la polio, la rage, la varicelle et l’hépatite A baignent dans le sérum bovin.

Un virus a besoin de matière vivante pour se multiplier. L’embryon de poulet semble pour les multinationales de vaccins un foyer de culture idéal. Après onze jours d’incubation sous une température constante, un technicien injecte un virus dans l’embryon. On laisse le virus se multiplier à l’intérieur de l’œuf embryonnaire pendant deux ou trois jours. Le liquide dans lequel baigne l’embryon ou l’embryon lui-même est traité avec différents produits chimiques. Cette macération permet, selon les fabricants, de "digérer l’embryon". La dernière étape consiste à filtrer le liquide, opération permettant de ne conserver que le virus.

Les embryons de poulet se forment entièrement après 35 heures d’incubation et on peut voir leur cœur battre dès le cinquième jour. Ces futurs poussins proviennent de poulaillers contenant plus de 10 000 poules et près de 700 coqs. Pendant la période de production de ses vaccins contre la grippe, la compagnie pharmaceutique Bio-Vac consomme 160 000 œufs par semaines.



Les vaccins cultivés sur des cellules animales peuvent contenir des contaminants non décelés par les fabricants. Aucun laboratoire ne peut garantir l’asepsie des cellules animales servant à la culture vaccinale. Le virus de la leucose aviaire contamina la plupart des vaccins contre la fièvre jaune et la rougeole jusqu’à 1962. Dans la revue américaine "Science" (1972) le dr. Leonard Hayflick, professeur de microbiologie à l’Université de Stanford en Californie, déclarait : "Un nombre important de reins de singes (25 à 80 %) traités pour la fabrication des vaccins, doivent être écartés à cause d’une contamination étendue par un ou plusieurs de 20 virus connus. Il y a au moins plusieurs centaines de milliers de personnes aux États-Unis qui ont été inoculées avec les virus vivants SV-40 qu’on a trouvés dans des vaccins antipolios produits sur des cellules de reins de singes. Ce virus SV-40 provoque des tumeurs chez les hamsters et convertit in vitro les cellules humaines normales, en cellules cancéreuses".

Le 11 mai 1987 le "London Times" rapportait des informations concernant un représentant de l’OMS. Ce dernier affirmait avoir des preuves démontrant que l’origine et la prolifération du virus du Sida provenaient du vaccin antivariolique administré pendant les 13 années dans les pays du Tiers-Monde par l’OSM. Pour Jeremy Rifking du groupe environnemental The Fondation of Economics Trands : "Il est possible que certaines contaminations de virus animaux dans les vaccins, comme celui de la variole, ont joué un rôle dans l’émergence du sida et d’autres maladies". Cette fondation croit que le vaccin de la variole et d’autres vaccins contenant du sérum de bœuf/vache peuvent être l’hôte du "virus bovin de déficience immunitaire" et se transmettre à l’humain. Ce virus est semblable au VIH humain.

Un virus voisin, le "virus bovin de la leucémie" (VBL) se retrouve aussi chez les bovins et ressemble à un virus humain, le HTLV-I qui cause une forme rare de leucémie. Le département américain de l’Agriculture a décelé le VBL dans plus de 60 % du bétail américain.

L’antagonisme biologique entre les espèces est si puissant que les virus d’une espèce, inoffensifs pour elle (par exemple, le SV-40 est inoffensif pour les singes) peuvent devenir dangereux lorsque transférés à une espèce différente, comme l’espèce humaine, au point de devenir cancérigènes. Le Dr. Leonard Hayflick, déjà cité, fait la remarque suivante : "Les virus animaux cancérigènes les plus importants - ceux qui peuvent être isolés chez les primates, le SV-40 et les adénovirus cancérigènes - ne sont cancérigènes que quand ils passent à une autre espèce. Aucun virus cancérigène de primate ne produit des tumeurs dans l’espèce animale dont le virus est originaire, mais de tels virus peuvent produire des tumeurs dans des espèces animales hétérogènes". Bien sûr, il s’agit ici de virus connus mais il en existe une multitude, qui non décelés peuvent contaminer les vaccins.

En 1966, sept chercheurs allemands du laboratoire Behring trouvèrent la mort en travaillant sur des singes utilisés pour la fabrication des vaccins contre la poliomyélite et le typhus. Trente autres chercheurs ont été malades sans qu’on puisse identifier le virus responsable.

Comme nous venons de le voir, les vaccins ne semblent pas un signe évident de protection contre les maladies. Par-delà le côté strictement de santé, certains évoquent pour les refuser des raisons philosophiques ou religieuses. Dans les années 80, des groupes opposés à l’avortement voulaient mettre fin à l’usage d’un vaccin contre la rougeole provenant des tissus prélevés sur un fœtus obtenu lors d’un avortement. Le vaccin, nommé WI-38, avait été fabriqué en 1962, à partir de tissus de poumon prélevés sur un fœtus suédois. Les tissus originaux furent congelés pour servir à produire le vaccin partout dans le monde par culture cellulaire, Des porte-parole de ces divers groupes trouvèrent l’usage de ce vaccin offensant et répugnant, du point de vue moral. En 1984, ils affirmaient qu’au Canada, c’était le seul vaccin contre la rougeole disponible depuis 1979.

En Inde, on vaccine massivement des disciples de l’hindouisme ou du jaïnisme avec des vaccins provenant de reins de singes, ou contenant du sérum bovin. Cette population ayant une révérence religieuse pour ces animaux, ignore probablement ce fait et se soumet à la technologie de l’Occident, une autre forme de colonialisme.

Les vaccins perturbent l’écologie de notre corps, de ceux qui nous entourent et de la planète. Les laboratoires rejettent nombre de produits chimiques servant à l’élaboration des vaccins. En outre, le virus vivant de la poliomyélite, par exemple, en se répliquant dans l’intestin du sujet vacciné, est ensuite excrété en grande quantité dans le milieu extérieur. Les virus deviennent source de pollution.

Après une campagne de vaccination contre la poliomyélite au Costa Rica en 1959, les mouches véhiculaient du virus vaccinal. Tout vacciné est potentiellement capable de contaminer son entourage. La menace ne vient pas des non vaccinés mais des vaccinés ! Il peut aussi y avoir le danger qu’un virus s’échappe lors des recherches. En 1978, une femme travaillant dans un laboratoire de l’Université de Birmingham est morte après la "fuite" d’un virus porteur de la variole.

Conclusion : Le respect de maladies le plus souvent bénignes doit être envisagé. Les maladies et les dites épidémies apparaissent par cycles et disparaissent d’elles-mêmes. Nous devons fortifier notre système immunitaire - par une alimentation biologique, une bonne hygiène de vie, etc. - et non l’agresser avec des produits chimiques, des virus d’animaux malades, des substances toxiques et des débris d’abattoir.

En matière de microbiologie, il arrive que ce qu’on croit mort soit vivant. Même constitués de microbes ou de virus atténués ou tués, ces éléments que l’on tient pour inactifs peuvent se réactiver. Les vitamines A et C se révèlent très utiles contre les maladies infectieuses. Plusieurs chercheurs démontrèrent que la vitamine C par exemple, inactive le virus de l’herpès, de la poliomyélite et de la rage.




En 1937, le "Canadian Medical Association Journal", décrivait cette expérience : on administra 1 gramme de vitamine C pendant plusieurs jours à 29 patients souffrant de coqueluche. Les chercheurs trouvèrent que le "traitement abaissa l’intensité, le nombre et la durée des symptômes".

On retrouve dans la littérature médicale d’autres études semblables sur la vitamine C et ses effets thérapeutiques contre la lèpre, la fièvre typhoïde et la dysenterie. Au Québec, aucun vaccin n’est obligatoire. Tout individu peut refuser un vaccin et l’obliger à le faire contrevient aux droits reconnus à l’article 1 de la Charte québécoise et à l’article 7 de la Charte canadienne. Lors d’un jugement rendu en mars 1990, le juge Trudeau a reconnu que lors d’une "épidémie" de rougeole, les parents ne sont pas tenus de faire vacciner leurs enfants mais doivent les retirer de l’école jusqu’à ce que se résorbe la dite "épidémie".

Aucun vaccin n’est obligatoire pour voyager à l’étranger, excepté celui de la fièvre jaune que certains pays (d’Afrique ou d’Amérique du sud) peuvent demander si vous venez d’une zone d’endémie.

En Suède, la diphtérie a disparu sans aucune vaccination de masse. Dans les années 50, aux Etats-Unis, après une année de vaccination massive contre la poliomyélite, les cas de cette maladie augmentèrent de 300 % dans les états qui vaccinaient. Les cas de poliomyélite en Angleterre entre 1923 et 1953 diminuèrent de 53 % avant même l’introduction des vaccinations de masse.

En 1992 , en Grande-Bretagne, deux vaccins contre la rougeole (Pluserix, Immravax) furent bannis après avoir causé chez de nombreux enfants vaccinés la méningite, la surdité, la paralysie et des troubles de la vision.

En 1995, selon une étude publiée dans la revue médicale britannique "The Lancet", la vaccination contre la rougeole pourrait jouer un rôle dans la survenue de maladies inflammatoires des intestins comme la maladie de Croh. Le risque de maladie de Crohn est 3 fois supérieur parmi les vaccinés et 2 fois supérieur pour la rectocolite hémorragique, selon un groupe témoin.

Le "New England Journal of Medecine" (1987) dans un article de Tracy Gustafson, écrit qu’entre 1983 et 1990, des épidémies de rougeole se déclarèrent aux États-Unis chez des enfants et de jeunes adultes vaccinés et ayant démontré des anticorps contre la maladie.

Dans une épidémie de rougeole à Corpus Christie, Texas (États-Unis) en 1985, 99 % des enfants atteints avaient été vaccinés; 12% d’entre eux avaient même reçu un 2e rappel.

Le Dr. Aubrey Tingle, pédiatre et immunologiste à l’Hôpital de Vancouver a découvert que 30 % des adultes ayant été exposés au vaccin contre la rubéole, souffrirent d’arthrite allant de jointures endolories jusqu’à un handicap sévère, deux ou quatre semaines suivant la vaccination.

En 197l, à Casper, Wyoming (États-Unis) une épidémie de rubéole éclata un an après que 83 % des enfants en âge scolaire de la ville aient été vaccinés contre la maladie. À Birmingham, en Grande-Bretagne, 600 personnes âgées et vaccinées contre la grippe démontrèrent le double de problèmes respiratoires qu’un groupe similaire non vacciné. Pour diagnostiquer la tuberculose, on a recours au "test cutané à la tuberculine" (cuti-réaction). Selon le Dr. J. Pilette, ce test peut déclencher des réactions allergiques, de l’asthme, des atteintes oculaires, de la cécité et même le décès, ainsi que des tuberculoses nouvelles ou réactives (surtout en période de croissance ou en cas de tests répétés).

Un nombre impressionnant d’articles publiés dans des revues scientifiques fait état de sévères complications auto-immunes et neurologiques suite à une vaccination contre l’hépatite B : nausées, vomissements, diarrhée, fièvre, urticaire, tachycardie, palpitations cardiaques, zona, eczéma, purpura, paralysie, syndrome de Guillain-Barré, névrite optique, conjonctivite, troubles de la vision, sclérose en plaques, diabète. Aussi des cas d’arthrite, de rhumatisme, de problèmes de foie, d’asthme et même des décès.

Le vaccin contre le méningocoque groupe A, CY et W-113 (méningite) combinés comporte des effets secondaires tels que céphalées, malaises, frissons et fièvre. Celui de l’Haemophilus influenza (type B/Hib) peut induire des crises convulsives, douleurs au point d’injection, irritabilité, somnolence, diarrhée, vomissement, otite, éruption cutanée et infection des voies respiratoires supérieures. Une étude réalisée au Minnesota (États-Unis) démontre que le H.I.B augmente les risques de développer une méningite.

"Le risque de souffrir de complications sérieuses provenant des vaccins contre la grippe est beaucoup plus grand que la grippe elle-même." Dr. William Frosehaver

"C’est une grande insulte faite au système immunitaire d’un enfant que d’introduire dans son sang les protéines étrangères ou les virus vivants dont sont composés les vaccins d’aujourd’hui". Dr. Moskowitz

"Les vaccins viraux vivants contre la grippe et la polio paralytique, par exemple, peuvent dans chaque situation, dans chaque cas, causer la maladie qu’ils veulent justement prévenir; les vaccins viraux vivants contre la rougeole et les oreillons peuvent produire des effets secondaires, tel l’encéphalite... Le vaccin viral vivant contre la polio est maintenant la principale cause de la polio aux États-Unis et dans d’autres pays... Contrairement aux croyances antérieurement établies à propos des vaccins du virus de la polio, l’évidence existe maintenant que le vaccin viral vivant ne peut être administré sans risque de produire la paralysie... Le vaccin viral vivant de la polio transporte en lui-même le risque de produire la polio paralytique chez les individus vaccinés ou leurs contacts". Dr. Salk (il introduisit le vaccin original de la polio dans les années 50)

"Les vaccins peuvent causer l’arthrite chronique évolutive, la sclérose en plaque, le lupus systémique érythémateux, le Parkinson et le cancer." Professeur R. Simpson, de l’American Cancer Society

"La rubéole est une maladie bénigne qui ne requiert aucun traitement médical. Le traitement consiste en repos et en absorption de liquide"..."Les oreillons ne requièrent pas de traitement médical : du repos, une diète légère, beaucoup de boisson et des compresses glacées pour diminuer le gonflement. Les cas d’orchite (atteinte du testicule causant la stérilité) sont extrêmement rares"..."Votre enfant a, aujourd’hui, à peu près autant de chance d’attraper la diphtérie que d’être mordu par un cobra". Robert Mendelsohn, pédiatre

"Le déclin du tétanos en tant que maladie commença avant l’introduction de l’anatoxine dans la population" : "Medical Journal of Australia" (1978)

"L’évidence suggère que les personnes qui sont vaccinées contre la grippe ont approximativement 10 fois plus de chance de contracter le syndrome de Guillain-Barré que ceux qui n’ont pas été vaccinés" Center for Control Diseases (1977)

"C’est une véritable épidémie... Il est grotesque de prétendre qu’il n’existe aucun lien entre l’autisme et la vaccination sauf des coïncidences. La vérité est que des enfants sont blessés par les vaccinations". Dr. Bernard Rimland, directeur et fondateur du Autism Research Institute Of San Diego

"Pendant 23 ans, j’ai observé que les enfants non vaccinés étaient plus sains et plus robustes que les enfants vaccinés. Les allergies, l’asthme et des perturbations comportementales étaient clairement plus fréquents chez mes jeunes patients vaccinés. D’autre part, les premiers n’ont pas souffert plus souvent ou plus sévèrement de maladies infectieuses que les autres." Philip Incao, médecin

"Il n’y a pas de raison de croire que le vaccin de l’influenza (grippe) soit capable de prévenir ou de diminuer la maladie. Ceux qui fabriquent ce vaccin savent qu’il ne sert à rien mais ils continuent à le vendre tout de même." Dr. Anthony Morris - anciennement chef du Contrôle des vaccins, gouvernement des États-Unis.

"J’appelle ça de la vaccinomanie. Nous sommes arrivés à un point qui n’est plus défendable sur le plan scientifique. Introduire de nouveaux vaccins dans le corps sans savoir comment ils pourront affecter dans le temps les fonctions du système immunitaire frise la criminalité." Nicholas Regush, journaliste médical

"La présence d’un œdème cérébral chez des enfants en bas âge qui meurent très peu de temps après une vaccination contre l’hépatite B est inquiétante... Les enfants an dessous de 14 ans ont plus de chance de mourir ou de souffrir de réactions négatives après avoir reçu le vaccin de l’hépatite B que d’attraper la maladie." Jane Orient, médecin, directrice de L’Association des Médecins américains et des chirurgiens.

"Les parents d’enfants autistes rapportent couramment des désordres neurologiques immédiatement après l’inoculation avec le RRO (Rougeole, rubéole, oreillons) et le DCaT (Diphtérie, Coqueluche acellulaire et tétanos)." Dr. Vijendra Singh, professeur d’immunologie

En 1992, une étude publiée dans "The American Journal of Epidemiology" a démontré qu’un enfant a 8 fois plus de chance de mourir, trois jours après avoir reçu le vaccin DCT (diphtérie, coqueluche et tétanos) qu’un enfant non vacciné.

Une étude préliminaire du Center for Disease Control, États-Unis, sur le vaccin HIB (Haemophilus influenza type b/hip) indique qu’un enfant vacciné peut 5 fois plus contracter la maladie qu’un enfant n’ayant pas reçu le vaccin.

Le "New England Journal of Medecine" (juillet 1994) a publié une recherche concluant que 80 % des enfants en bas de 5 ans qui avaient contracté la coqueluche étaient pourtant vaccinés contre la maladie.

Au Japon, après l’introduction en 1994 d’un vaccin RRO (rougeole, rubéole, oreillons) on a vu s’accroître dans les mois suivants, une augmentation dramatique de cas de méningites chez les enfants vaccinés. Le même phénomène s’est répété en France et en Grande Bretagne. Le vaccin en cause serait celui de la rougeole.

Document source : Amessi

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