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26/10/2016

Le monde au seuil d'une troisième guerre mondiale, selon Chevènement

 
 
Le monde au seuil d'une troisième guerre mondiale, selon Chevènement
Si les États-Unis optent pour une politique de renversement des gouvernements élus par le peuple, un troisième conflit mondial pourrait éclater.

Notre planète se trouve au bord d'une troisième guerre mondiale, prévient l'ex-ministre français de la Défense et de l'Intérieur Jean-Pierre Chevènement. « Je qualifie la situation comme assez dangereuse. Car, parmi nous, certains sont prêts à aller jusqu'au bout. Je n'ai pas d'intention de dire que toute l'élite politique des États-Unis est en proie à de telles opinions. Par exemple, ce n'est pas le cas de John Kerry. Par contre, les néoconservateurs prônent une politique visant à renverser des gouvernements étrangers. Et nous avons vu que c'est inadmissible, notamment en Irak, en Libye et en Syrie », a tranché l'homme politique français.
 
Selon lui, une action similaire contre la Russie serait inacceptables.

« Cela est devenu évident lors des législatives russes en septembre dernier, où le parti au pouvoir Russie unie de Vladimir Poutine a obtenu la majorité des votes », a indiqué M. Chevènement, ajoutant qu'en réalité personne ne doute des résultats des législatives. D'après Jean-Pierre Chevènement, il faut s'accommoder du fait que chaque peuple détermine lui-même son propre destin.
 
 
 
 

25/10/2016

Meyer Habib : "Une soixantaine de députés à l’Assemblée nationale" ont le passeport franco-israélien

Entre les lobbies sionistes, les merdias aux ordres des lobbies et les députés franco-israéliens à l'Assemblée Nationale et ailleurs, vous avez compris pourquoi, la France qui est occupée de l'intérieur est entraînée dans des guerres messianiques qui ne concernent pas les français !

Occupation décomplexée ou erreur de calcul ?

Meyer Habib : "Une soixantaine de députés à l’Assemblée nationale" ont le passeport franco-israélien

Interview de Meyer Habib, par Audrey Pulvar sur la chaîne i>Télé le 15 février 2015, où le député UDI des Français de l’étranger confirme qu’il possède un double passeport franco-israélien, « comme une soixantaine de députés à l’Assemblée nationale »... 

Israël "est le certificat de survie du peuple juif" pour Meyer Habib

https://www.youtube.com/watch?v=9kZ_4IcaLEE


 

Ajoutée le 15 févr. 2015

Meyer Habib, député UDI des Français de l'étranger, était l'invité d'Audrey Pulvar dimanche soir. Il a réagi aux propos de Benjamin Netanyahu appelant les juifs d'Europe à immigrer en Israël. Selon Meyer Habib, "l'écrasante majorité des Français juifs resteront en France" même si ils sont nombreux à avoir peur. Le député estime que "le sionisme ne doit pas être une solution dans une situation d'angoisse mais un choix politique". Il a déclaré que "beaucoup de gens auraient aimé qu'Israël existe en 1939", "l'Etat juif est le certificat de survie du peuple juif".

 

Nations unies : plus de 80 ONG appellent à l'exclusion de la Russie du Conseil des droits de l'homme

Et bien sûr il doit y avoir du Georges SOROS là-dessous !

 

Nations unies : plus de 80 ONG appellent à l'exclusion de la Russie du Conseil des droits de l'homme

©Denis Balibouse/Reuters

 

Des dizaines d'organisations non gouvernementales ont exhorté les Nations unies à priver la Russie de son siège au Conseil des droits de l'homme de l'organisation internationale, mettant en cause les actions de la Russie contre Daesh en Syrie.

A quelques jours des élections qui permettront de renouveler 14 des 47 membres du Conseil des droits de l'homme des Nations unies, des dizaines d'organisations non gouvernementales (ONG) ont exhorté les pays membres de l'Organisation des Nations unies (ONU) à en exclure la Russie, rapporte l'agence AFP.

Les ONG signataires exhortent les membres à «considérer si le rôle de la Russie en Syrie, qui consiste en particulier à soutenir et entreprendre des activités militaires qui ont ciblé systématiquement des civils et des objectifs civils, l'autorise à siéger à la principale instance intergouvernementale de l'ONU chargée des droits de l'homme».

Le Conseil des droits de l'homme, institution controversée

Mais après un rapport de 2005 des Nations unies elles-mêmes, qui établissait que «des Etats ont cherché à se faire élire à la Commission non pas pour défendre les droits de l'Homme mais pour se soustraire aux critiques ou pour critiquer les autres», le Conseil des droits de l'homme continue de poser question. En septembre 2015, WikiLeaks avait par exemple révélé que le Royaume-Uni et l'Arabie saoudite s'étaient entendus pour s'attribuer des sièges au sein de l'organe de l'organisation internationale.

Ce qui a valu à l'Arabie saoudite, sa désignation très controversée à la tête du groupe consultatif du Conseil des droits de l'homme. En plus de pratiquer des exécutions par décapitation et du statut discutable réservé aux femmes et aux minorités sexuelles dans le pays, l'Arabie saoudite est fortement soupçonnée d'apporter son aide à Daesh et de commettre des crimes de guerre au Yemen, où elle dirige une coalition régionale dont les frappes font de nombreuses victimes civiles.

En savoir plus : L’Arabie saoudite coule l’enquête de l’ONU sur les crimes de guerre au Yémen, Washington reste muet

Le 30 septembre 2015, à l'appel du gouvernement de Bachar el-Assad et conformément au droit international, la Russie est intervenue auprès de l'armée régulière syrienne pour combattre les groupes terroristes, prenant pour cibles les positions militaires des organisations terroristes comme Daesh et le Front Al-Nosra, rebaptisé Front Fatah al-Cham depuis qu'il a rompu avec Al-Qaïda.

L'appel des ONG coïncide avec l'introduction. il y a une semaine, auprès du Conseil des droits de l'homme par le Royaume-Uni d'une résolution portant sur des allégations de violations des droits de l'homme en Syrie. Le Conseil y a répondu favorablement et voté pour l'ouverture d'une enquête, suscitant la colère de Moscou. La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a qualifié ces accusations de «cyniques» et de «déshonorantes».

Lire aussi : Un an d'opération antiterroriste russe en Syrie : cinq étapes marquantes

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George Soros
 
Les informations selon lesquelles 16 États américains utiliseront des machines de vote fournies par une entreprise liée au milliardaire George Soros ont provoqué l’indignation de milliers d’Américains.

Plus de 28 000 Américains ont signé une pétition contre l'utilisation des machines de vote fournies par Smartmatic, une société liée au financier George Soros, qui a été publiée vendredi dernier sur le site du Congrès américain. « Nous demandons au Congrès de tenir une session extraordinaire en vue de retirer les machines de vote appartenant à George Soros dans 16 États. Cet homme a été lié à la campagne d'une personne qui participe à l'élection et a un parti pris clair pour un candidat. Le fait qu'il possède des machines de vote dans 16 États porte atteinte à notre système électoral », lit-on dans la pétition.   
 
 
 
Réunion en 2013 des chefs d'États ou des ministres des affaires étrangères, accompagné des négociateurs en chef des pays en négociation pour le TPP.
 
L’une des plus grandes révélations de la dix-septième partie des courriels du directeur de campagne d'Hillary Clinton est un mail du conseiller du fonds Soros Fund Management adressé à M. Podesta pour fixer un rendez-vous afin de discuter du Partenariat Trans-Pacifique (TPP). Et ce n’était pas le premier, d’après le contexte. 
 
Michael Vachona, le conseiller du fonds Soros Fund Management, qui gère 30 milliards d'actifs pour le compte du financier George Soros, a adressé un mail à John Podesta dans lequel il propose de fixer un rendez-vous pour discuter de ses préoccupations majeures, dont le TPP, la crise ukrainienne et la crise migratoire.
 
 

Le meurtre de Bachar el-Assad au programme du Congrès US

 

Le meurtre de Bachar el-Assad au programme du Congrès US

 

Le meurtre de Bachar el-Assad au programme du Congrès US

 
Washington semble n’avoir jamais abandonné l’idée d’une méthode radicale pour le règlement du conflit syrien.

Le participant d'un briefing à huis clos, organisé par le Council on Foreign Relations (CFR) américain, a proposé de régler le conflit en Syrie en tuant le président syrien Bachar el-Assad, a déclaré une source, qui a également participé à la rencontre. « Et si l'on recourait au meurtre d'el-Assad ? », a demandé ce participant, cité par le magazine américain Foreign Policy, à Philip Gordon, ex-responsable du Proche-Orient au sein de la Maison Blanche. Selon l'édition, la question a laissé perplexe les autres participants et a été rapidement rejetée par M. Gordon.
 
« C'est illégal et cela ne changerait rien de toute façon. Cela s'avère d'ailleurs peu nuisible aux intérêts de la Russie en Syrie et à ceux de l'Iran notamment », a expliqué Philip Gordon.
 
Conformément à la loi de 1976, un fonctionnaire de l'État américain ne peut pas être impliqué dans un meurtre politique ou dans ses préparatifs.

« Même si el-Assad mourrait ou était tué pour une cause ou une autre, l'enjeu du conflit, qui est le régime syrien soutenu par la Russie contre l'opposition locale, ne changera pas », a répété pour sa part une source de l'édition à la Chambre des représentants. Quoi qu'il en soit, il est certain que la recherche de solutions agressives pour le règlement du conflit syrien est de plus en plus prisée à Washington.
 
 
 
 

Le complot judéo-maçonnique n’existe pas !

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