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26/04/2017

Quand Rothschild sponsorise Macron, le candidat d'Israël et des Banksters !

La bonne question à se poser était celle de savoir comment et par qui MACRON avait-il financé sa campagne présidentielle avec son nouveau parti :

En Marche... vers le Nouvel Ordre Mondial ?

Comme il ne s'est jamais présenté à aucune élection en France, il avait donc O électeur. D'où sont sortis ces 24 % d'électeurs et qui a financé sa campagne, surtout qu'il a refusé de dire qui étaient ses sponsors Présidentielle : Macron refuse de donner le nom de ses donateurs et qu'il y a une loi pour financer les partis ? 17/02/2017 : Comment Emmanuel Macron finance-t-il sa campagne électorale ? De la démocratie des partis à la démocratie du public… [par un nouvel auteur, Julien Bonnivard]

En plus de tous les politiques qui ont tourné leur veste à commencer par Fillon,  et ICI, Valls, Hamon, Hollande et sa clique de traîtres à la Nation, le patron sioniste Patrick DRAHI, de la chaîne Israël 24NEWS sponsorise MACRON par le biais de l'association SOS RACISME, appelle à boycotter Marine LE PEN qui mettrait en danger la République Judéo-maçonnique. "Les Juifs tentés par le FN mettent la République en danger" (UEJF à i24NEWS)Quand internet a de la mémoire : Emmanuel Macron est-il le candidat de SFR Presse et Altice ? 

Et comme il est question pour MACRON, le candidat d'Israël, de demeurer dans l'UE et d'aller vers l'instauration du Nouvel Ordre Mondial, après avoir fabriqué le chaos mondial et lancé la 3ème guerre mondiale notamment contre la Russie, il fallait que leur candidat soit contre ASSAD et POUTINE quitte à continuer de violer le Droit International.  

 

[COULISSES POLITIQUES] Quand Rothschild sponsorise Macron

Par valeursactuelles.com / Jeudi 9 mars 2017 à 11:20
 
 
 
David de Rothschild avec Emmanuel Macron. Plus de trois ans comme banquier d'affaires pour la "maison". Photo © SIPA
 
Aucune entreprise n’a financé le mouvement [En marche!, NDLR], aucune structure juridique, se défendait Emmanuel Macron sur BFM TV le 24 février.

Certes. Mais il semblerait que ses anciens patrons sponsorisent tout de même l’enfant de la “maison” en toute discrétion. En témoigne ce texto envoyé il y a quelques mois par la direction de Rothschild à un listing très sélect de banquiers d’affaires de la place parisienne :

« Chers amis, un cocktail dînatoire de levée de fonds est organisé pour Emmanuel Macron le 27 septembre à 20 heures à la Terrasse Martini, 50 avenue des Champs-Élysées. À cette occasion, Emmanuel vous fera part de sa vision et de ses propositions, cela sera aussi l’occasion de discuter avec lui de façon informelle. Si vous souhaitez vous joindre à nous, pourriez-vous le confirmer en répondant à ce SMS, en indiquant si vous serez accompagné. Pour des raisons de confidentialité, nous vous demandons une très grande discrétion autour de cet événement. »

Selon En marche!, 6,5 millions d’euros de dons ont été récoltés auprès d’environ 20 000 particuliers. Seulement 3 % de ces dons seraient supérieurs à 5 000 euros. 

 

 

 

COUP D'ETAT : Élections de la honte : radiations, irrégularités, bugs, les témoignages s’accumulent

ANNULATION PURE ET SIMPLE DE CE COUP D'ÉTAT  DIRIGÉ CONTRE LE PEUPLE FRANÇAIS !


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Val-de-Marne: 81 305 électeurs radiés des listes n'ont pas pu voter au premier tour

 

Des dizaines de milliers d'électeurs radiés des listes : frustration, colère et recours en justice 

 

Élections de la honte : radiations, irrégularités, bugs, les témoignages s’accumulent  

 

 

Une fois de plus, la France se retrouve dans ce qu’on pourrait appeler un deuxième tour de l’absurde. À peine les résultats sont-ils exprimés que les leaders d’opinion appellent à faire barrage contre Marine Le Pen dans un consensualisme « pro-Macron » assumé ou par défaut. Mais cette effervescence rend inaudible une crise de la démocratie qui se déroule sous nos yeux. Des milliers de citoyens crient leur colère. Leur désespoir n’émane pas du résultat, mais de la manière même dont ces élections se sont déroulées. Des élections entachées d’irrégularités, de bugs, de radiations de masse et de zones d’ombres si nombreuses que certains estiment légitimes de questionner la validité des résultats. Alors que les témoignages s’accumulent par milliers, venons-nous de passer dans autre dimension ? [ Article entièrement libre de droit ]

 

Des inscriptions non prises en compte

Tout a commencé quand l’une de nos rédactrices nous a fait part de son sentiment un peu étrange. En novembre dernier, elle s’était inscrite sur les listes électorales, via le site service-public.fr avec la confirmation électronique que tout était validé dans les règles. Inquiète de ne pas voir sa carte électorale arriver, elle prend contacte avec sa mairie. Finalement, le 22 avril, la veille des élections, elle apprendra qu’elle n’était pas inscrite sur les listes électorales suite à des bugs sur le site gouvernemental qui n’avait pas assuré la transmission aux mairies (voir le document). Une histoire qui pourrait sembler anecdotique si elle ne faisait pas écho à des centaines, des milliers de témoignages exprimant la même chose : une impossibilité de voter au premier tour pour différentes raisons. Suite à la diffusion de la lettre qu’a reçue notre rédactrice, sur Facebook, une vagues de témoignages s’est abattue sur notre réseaux. Plus de 5000 commentaires, des centaines d’e-mails, tous témoignant de situations très similaires, uniquement pour notre média.

 

 

« Bonjour, j’ai eu le même problème que votre rédactrice, sans justification écrite. Bien que j’aie effectué toutes les démarches en temps et en heure, je n’ai jamais reçu ma carte électorale, ni de confirmation de mon inscription dans ma nouvelle circonscription, malgré quatre emails de relance et une assurance que tout était « en route » il y a dix jours. » exprime une lectrice. « Je me suis inscrite sur internet avant le 31 décembre 2016. N’ayant pas reçu ma carte électorale j’ai contacté la mairie qui m’a assuré que je pouvais me présenter au bureau de vote sans ce document. J’y suis donc allée les mains dans les poches et pleine d’espoir mais je me suis heurtée à un mur. Personne n’a rien voulu savoir et je suis repartie dégoûtée et extrêmement énervée ».

À l’heure actuelle, il est encore très difficile de prendre la mesure de l’ampleur de ces inscriptions oubliées du site service-public.fr. Ce qui est troublant, en revanche, c’est que ce « dysfonctionnement » était bien identifié et que, pourtant, aucune mesure ne semble avoir été prise pour prévenir les personnes s’étant inscrites sur le site. À cet instant, 2 jours après les élections, des centaines de témoignages continuent d’affluer dans nos boites. Un même sentiment est partagé de tous, le sentiment de s’être fait voler le droit de vote, ce droit tant chéri par nos institutions républicaines. Peut-on simplement rétorquer à ces masses d’individus qu’ils sont les malheureuses victimes de défauts matériels et humains ? De simple statistiques vites oubliées de l’histoire ?

Des radiations sans notifications

À côté des ces inscriptions disparues dans de mystérieuses failles du système, il y a le scandale des radiations de milliers de personnes, sans qu’elles en aient été averties. Et là, les chiffres ont de quoi faire frémir.

À Strasbourg, 15 000 personnes ont été dans l’incapacité de voter car elles se sont aperçues le jour même du premier tour qu’elles n’étaient pas sur les listes. Des cas similaires ont été rencontrés dans d’autres villes comme Nancy, Clichy, Le Havre, La Queue-en-Brie (Val-de-Marne), Créteil, Le Mans… Au Mans par exemple, c’est 4079 personnes qui ont été radiées depuis les dernières élections de 2015. 5 000 électeurs radiés pour le Havre, et pas moins de 81 305 électeurs pour le département du Val-de-Marne. Et ceci ne concerne que les régions dont les chiffres furent publiés. Comment expliquer cela ? Pourquoi ces informations ne font-elles pas la une de tous les journaux ?

La plupart de ces radiations ont été effectuées officiellement pour cause de changement d’adresse. Chaque année les municipalités sont tenues de mettre à jour leurs listes électorales et de procéder aux radiations qui s’imposent. Rien d’étonnant, donc… si ce n’est que, dans beaucoup de cas, les déménagements en questions remontaient à plusieurs années en arrière et que les concernés avaient pu voter à toutes les dernières élections sans être inquiétés. C’est le cas de Partick L. interviewé par Le Monde à Strasbourg, qui avait changé d’adresse il y a sept ans mais qui avait pu voter aux quatre dernières élections dans le bureau de vote rattaché à son ancien domicile. Sur nos réseaux, des centaines de témoignages vont en ce sens, parfois parlant de 10 à 15 ans sans déménagement. Pourquoi ce revirement de situation à l’échelle nationale ? Et surtout, comment se fait-il qu’aucune information ne leur ait été communiquée à ce sujet ? Une purge de grande échelle aurait-elle pu être menée sans en informer la population, créant une situation inédite et la surprise générale pour des milliers de votants ?

Beaucoup de témoignages allant dans ce sens, parfois même de personnels de mairies, affluent depuis lundi. S’il ne nous est pas possible d’en citer les centaines répertoriées, quelques cas symbolisent la problématique. « J’habite dans les Pyrénées Orientales, j’ai toujours habité cette commune, payé mes impôts et voté à toutes les élections. Et hier j’ai été radié des listes électorales sans explication. On m’a refusé l’accès aux urnes et j’aimerais connaître la procédure à effectuer pour pouvoir voter au second tour. » exprime cet internaute dépité.

L’un des témoignages est particulièrement troublant quant à la raison de ces radiations de masse. Jean (nom d’emprunt) nous explique « Je travaille en mairie et j’ai participé à la logistique d’un bureau centralisateur. J’ai entendu parler à plusieurs reprises de « purges » des listes afin de faire baisser le taux d’abstention. Je cite : « On a bien épuré les listes cette année, c’est difficile de faire mieux sans avoir de représailles. On devrait avoir un taux d’abstention plus faible que les précédentes » Voilà comment manipuler les chiffres… » S’il n’y a aucun moyen de vérifier sa déclaration, les faits exceptionnels vont en ce sens et posent nécessairement question.

Un demi-million d’électeurs qui voient double ?

Parallèlement à la question de ces empêchés de vote, environ 500 000 personnes ont été inscrites sur deux listes différentes et ont reçu deux cartes électorales. Parmi ces cartes, certaines sont destinées à une adresse identique comme en témoignent les clichés. Avec une forte amende et courte peine de prison, on admettra que la tentation n’a pas dû germer dans l’esprit de tous. Pour autant, nous voilà donc encombrés d’un « dysfonctionnement » de plus qui s’ajoute à la liste des irrégularités. Cette problématique est d’autant plus importante qu’aucune mesure supplémentaire n’a été prise pour vérifier le vote unique de chacun et que le porte-parole du Ministère de l’Intérieur exprime en conscience qu’il nous faut compter sur l’honnêteté et la peur du gendarme, en attendant qu’un répertoire unique des électeurs ne soit opérationnel… d’ici 2019 ! En attendant, techniquement, rien n’empêchaient ces 500 000 personnes de voter deux fois si ce n’est la peur de la justice. Mais ceci est loin d’être la dernière irrégularité qui entache ce vote jugé de tous historique.

 

Une élection rendue difficile ou impossible en dehors des frontières

Deux heures d’attente à Montréal, c’est en moyenne ce qu’ont vécu les ressortissants français pour déposer leurs voix dans l’urne. À 20h, heure de fermeture, environ 3500 personnes étaient toujours sur place et des centaines ont dû tout simplement abandonner l’idée de voter. Même chose à Londres et dans d’autres villes dans le monde entier. À nouveau, il ne s’agit pas de quelques individus concernés, mais des milliers de personnes, et autant de votes potentiels. Quand ceux-ci ont encore le droit de voter…

Car la situation ne fut pas plus enviable pour ceux qui avaient choisi la solution de la procuration légale. De mauvaises surprises attendaient également ces personnes un peu partout dans le monde. En Nouvelle-Calédonie, par exemple, plusieurs centaines de procurations ne sont tout simplement jamais arrivées aux autorités compétentes. France Télévisions 1ère a recensé un florilège de témoignages parmi ces 400 personnes qui n’ont pas pu voter ou faire voter leurs proches. Principalement visés, des étudiants.

À Toulouse également, nombre de personnes n’ont pas pu voter à cause de procurations arrivées trop tard à cause d’un bug informatique, a reconnu la ville. À nouveau, la raison du « bug » indéterminé est avancé À échelle nationale, un groupe Facebook s’est créé pour recenser les personnes dont la procuration n’a pas marché. Mais pour beaucoup, déjà, la déception fait place à la résiliation.

Parmi les nombreux témoignages que nous avons reçus sur nos réseaux (et nous n’avons pas la prétention de toucher plus qu’un très petit pourcentage du web français), voici trois exemples qui attestent de ce bug mystérieux dans la réception des procurations :

« Bonjour, j’ai également été radié des listes suite à une erreur informatique (petite commune du nord). Aucun courrier pour me l’annoncer, ils m’ont appelé cinq jours avant le premier tour pour me dire que la procuration n’était donc pas valable et que n’étant pas en France je ne pouvais pas déposer de recours (pas de présidentielle ni de législative donc!) »

« Depuis 10h30 hier matin, je me suis démené pour pouvoir exercer mon droit de vote. Depuis 10h30 : une bonne quinzaine de coups de téléphone à ma mairie, à mon bureau de de vote, au commissariat dans lequel j’ai fait ma procuration, au commissariat général et à ma mère qui était censée voter pour moi. Et enfin, un aller retour au commissariat où la dernière parole que j’ai entendue était : « de toute façon dites-vous que c’est mort pour l’instant et que vous ne voterez pas ». Le commissariat a perdu ma procuration et bien d’autres puisqu’on m’a impunément dit que de toute façon je n’étais pas la seule et qu’ils en avaient plein à chercher. Je me trouve donc dans l’incapacité de voter. Je comprends maintenant ce que c’est de se faire priver de ses droits et je dois dire que je trouve cela tout à fait scandaleux. »

« Je vis à Barcelone et il y a de cela un mois je suis allé dans ma mairie où je suis inscrit afin de confirmer que j’étais bien sur les listes électorales (car je n’avais toujours pas reçu ma carte d’électeur). La secrétaire me trouve directement sans aucun problème et me rassure en me disant « Ne vous inquiétez pas, je vous vois, vous recevrez votre carte d’électeur dans peu de temps ». Je file au commissariat pour faire la procuration pour ma mère, tout en règle et tout va bien. Vendredi dernier (21 avril) ma mère reçoit une lettre expliquant que la procuration est nulle et que je ne peux pas voter. C’est une lettre qui a été rédigée le 06/04, postée le 18/04 et qui est arrivée le vendredi 21/04 ».

On constate que les témoignages concernent majoritairement des personnes avec une réelle volonté d’exprimer leur voix au suffrage. Le choix même du candidat ne rentre pas dans la substance des réclamations. Le plus souvent, toutes les démarches légales ont été réalisées dans les règles et le « couac » semble provenir d’un problème administratif ou informatique, donc de la responsabilité des autorités compétentes. Il s’agit donc d’irrégularités manifestes et nombreuses qui émanent du chef d’une autorité compétente, pourtant garante du bon fonctionnement des élections. Nombre de déçus se sont tournés par dépit vers les réseaux sociaux en quête de solutions, et on peut lire un peu partout des posts d’électeurs déroutés, comme celui de Simon Bigo, sur Facebook.

 

Et maintenant ?

Il est très difficile d’avoir le recul nécessaire pour comprendre ce qu’il vient réellement de se passer lors de ce premier tour des élections présidentielles 2017. Ce que nous savons, c’est qu’une quantité importante de personnes ont réellement été empêchées de voter contre leur volonté. Ce que nous savons aussi, au regard des témoignages, c’est que ces « dysfonctionnements » étaient connus des acteurs publiques et qu’il est difficile de comprendre pourquoi les citoyens n’en ont pas été dument informés afin de réagir en conséquence. Chacun est en droit de se demander, à l’heure du progrès technologique que nous connaissons, comment ces bugs hasardeux ont bien pu se produire d’une manière si massive ? Le témoignage d’une internaute ne peut qu’exprimer l’indignation que vivent en ce moment des centaines de milliers de français dont le droit de vote a été bafoué : « Aujourd’hui j’ai été indignée parce qu’à l’heure de la 4G, de la fibre, du très haut débit, de la multiplicité de nos échanges quasi-instantanés, malgré toutes nos technologie notre système obsolète m’a fait taire, moi comme des millions d’autres. »

 

Que faire maintenant ?

Au regard de ces nombreux éléments, on comprend aisément qu’il ne s’agit pas ici de victoire ou de défaite de tel ou tel candidat. De telles irrégularités lors d’une élection présidentielle concernent l’ensemble des citoyens et l’esprit de la République, tous candidats confondus. Plusieurs pétitions ont été lancées spontanément par les citoyens. L’une réclame qu’une commission d’enquête lève le voile sur ce qu’il s’est réellement passé et pour estimer le nombre de voix volées (ici). Une autre demande dores et déjà que le premier tour des élections soit annulé, à retrouver (ici). Mais ces pétitions qui tournent en boucle sur quelques pages de réseaux sociaux militants ne peuvent atteindre le point de viralité sans être relayées par les médias mainstream déjà focalisés sur le duel Macron/Le Pen.

 

 

Par ailleurs, en cas d’irrégularité manifeste et démontrable, il appartient légalement aux candidats eux-mêmes d’entamer les démarches légales. Selon l’article 30 alinéa 3 du décret n°2001-213 du 8 mars 2001, « les candidats (du premier et du second tour) peuvent, dans le délai de 48 heures, déférer directement au Conseil constitutionnel l’ensemble des opérations électorales.«  Une période infiniment trop courte pour s’extraire du choc des résultats et analyser les milliers de témoignages. Si la page de Jean-Luc Mélenchon n’affiche rien d’officiel, nombre des militants de la France Insoumise réclament une mobilisation citoyenne en invitant les personnes à témoigner sur le formulaire de contact du candidat. Les électeurs eux-mêmes peuvent également envisager un procès verbal en cas d’irrégularité sur base du décret n°2001-213 du 8 mars 2001 portant application de la loi n° 62-1292 du 6 novembre 1962 relative à l’élection du Président de la République au suffrage universel. À Strasbourg, des dizaines de personnes ont déposé un recours au tribunal d’instance. Toutes les requêtes ont été immédiatement rejetées. Celles-ci ont désormais la possibilité de saisir la Cour de cassation…

Quoiqu’il en soit, cette crise semble faire appel à une autre question, beaucoup plus fondamentale. Celle de la légitimité même du système électoral français actuel, manifestement en bout de vie, totalement dépassé par les réalités de terrain, déconnecté d’une génération beaucoup plus mobile qu’au siècle dernier et du danger démocratique que ces irrégularités représentent. Aujourd’hui, alors que quelques pourcents séparent les candidats en tête, personne ne peut estimer quel aurait été le résultat du premier tour dans une configuration où l’ensemble de la population aurait été en mesure de s’exprimer librement. L’urgence de repenser collectivement un autre système n’a jamais été aussi grande, car ce suffrage n’inspire ni la liberté, ni l’égalité, ni la fraternité. Que personne n’oublie ces élections de la honte. 

 

 

25/04/2017

Des dizaines de milliers d'électeurs radiés des listes : frustration, colère et recours en justice

Des dizaines de milliers d'électeurs radiés des listes : frustration, colère et recours en justice

Des dizaines de milliers d'électeurs radiés des listes : frustration, colère et recours en justice 

Le 23 avril, de nombreux électeurs ont découvert qu'ils ne figuraient plus sur les listes électorales après un changement d'adresse non signalé. Frustrés, parfois en colère, certains comptent même déposer un recours pour faire annuler le scrutin.

Depuis le 23 avril, les plaintes d'électeurs radiés des listes électorales et n'ayant pas pu voter au premier tour de la présidentielle se multiplient. Plusieurs témoignages font état d'une frustration d'autant plus grande que, pour la plupart de ces citoyens privés de vote, il ne sera pas non plus possible de voter au second tour le 7 mai prochain, ni aux législatives du mois de juin.

Dans certaines villes, comme Strasbourg (Bas-Rhin), il semble s'agir d'un phénomène d'ampleur. Dès le 23 avril au soir, comme le rapporte La Dépêche, la mairie a confirmé que pas moins de 16 000 personnes avaient été radiées des listes électorales, sur les quelque 270 000 habitants que compte la ville. A Asnières (Hauts-de-Seine), ce sont des centaines d'électeurs qui ont appris le jour même du vote qu'ils n'étaient plus inscrits, selon Le Parisien. Des cas identiques ont également été rapportés à Ris-Orangis (Essonne), à Nice (Alpes-Maritime), à Nancy (Meurthe-et-Moselle), à Clichy (Hauts-de-Seine) ou encore dans de plus petites villes, comme Saint-Germain-Laprade (Loire) ou La Queue-en-Brie (Val-de-Marne). Dans ce dernier département, 81 300 personnes ont été radiées, annonce la préfecture. Au Mans (Sarthe), 4 000 électeurs ont été radiés.

Ces radiations sur l'ensemble du territoire s'expliqueraient principalement par des changements d'adresse non signalés des électeurs et relèveraient donc d'une procédure administrative tout à fait normale. Selon France Bleu Alsace, d'autres cas pourraient être liés à des changements d'état civil, notamment ceux de jeunes filles ayant changé de nom après s'être mariées. Des internautes ont mis en ligne une carte collaborative permettant à chaque électeur ayant été privé du droit de voter de se signaler : outre les radiations des listes électorales, un certain nombre de cas semblent concerner des procurations non reçues.

Des électeurs radiés en colère entament des démarches au tribunal

Un certain nombre d'électeurs radiés des listes électorales ont manifesté – avec plus ou moins de finesse – leur colère de n'avoir pas pu voter. A Ris-Orangis, un homme a brisé deux vitres de son bureau de vote alors que les assesseurs lui refusaient le droit de glisser son bulletin dans l'urne, rapporte Le Parisien. D'autres ont rapidement exprimé leur frustration sur les réseaux sociaux.   

La suite ICI

 

 

 

PETITION : ANNULATION DU PREMIER TOUR CAR NOUS SOMMES TROP NOMBREUX À AVOIR ÉTÉ RADIÉS

ANNULATION DU PREMIER TOUR CAR NOUS SOMMES TROP NOMBREUX À AVOIR ÉTÉ RADIÉS 

 

Nous sommes plusieurs à avoir été radiés. Que s'est-il passé? Entre 2008 et 2012 il ne s'est pas passé une telle hécatombe, pourtant nous fûmes nombreux à changer d'adresse ou autre mais aucune radiation n'avait été faite. Pourquoi pour cette élection présidentielle, sommes-nous des milliers à avoir été radiés? 


Ce sont des milliers de voix, des milliers de gens qui n'ont pas pu voter pour une élection aussi importante que celle ci! Le droit de vote est donné à chaque citoyen et on lui enlève pour une raison administrative!!!! Les impôts nous retrouvent, pourquoi pas les mairies? Il est impossible de vivre dans une telle "démocratie" qui ne travaille pas pour le peuple et pour entendre sa voix, mais contre.

Nous demandons à être réintégrés sur les listes électorales dans les plus bref délais.

Nous demandons l'annulation du vote du premier tour ou un autre vote ouvert à tous les radiés qui sera comptabilisé pour le premier tour.

Nous demandons que nous ne souffrions plus de cette gêne administrative, en enregistrant systématiquement les changements d'adresses via les impôts.

Pour une démocratie réelle.

Nous appelons tous les radiés à se mobiliser pour un recours au tribunal de grande instance de Paris. Contactez nous pour que l'on puisse se réunir et rétablir notre droit de vote. 

Cette pétition sera remise à:


  • Entre-deux-tours

Cie MNEMOZINA a lancé cette pétition avec seulement une signature au départ et il y a maintenant 40 794 signataires. Lancez votre pétition pour créer le changement que vous souhaitez voir.

 

TRUCAGE DES ÉLECTIONS FRANÇAISES COMME EN AUTRICHE ?