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08/02/2010

Eruptions solaires du moment !

Depuis quelques jours le Soleil s'en donne à coeur joie avec ses éruptions solaires à répétition puissance M.

Ici, les éléments pour comprendre la puissance des éruptions et le rayonnement magnétique.

Introduction aux Eruptions solaires : ICI

Les éruptions (Flares) : ICI

Les éjections de filaments : ICI

Ejection de masse coronale : ICI

Voici les éruptions solaires du moment :

Les plus grosses éruptions de classe M  depuis un bon moment.
Regardez ce qui nous qui arrive dessus!













Le Soleil vu de face par Soho , on voit très bien la vague coronale.

La nuit dernière nous avons eu 3 explosions de classe M de plus (cela fait donc 4 en 2 jours).




Sur spacewaether, il semble que l'activité solaire produise des ondes radio qui ont été écoutées par un radio-téléscope amateur.

Citation
RADIO-ACTIVE SUNSPOT: Behemoth sunspot 1045 is crackling with M-class solar flares--and that's not all. "There have been many loud shortwave radio bursts over the past two days," reports amateur radio astronomer Thomas Ashcraft of New Mexico. "Some of the bursts have completely saturated my receivers."

Le son du Soleil.

Le son en question :
http://www.heliotown.com/Sun_20100207_Ashcraft.html

http://spaceweather.com/archive.php?view=1&day=08&...

Feb 07, 2010 2125 UT Type III solar emissions 2 minutes 38 seconds 2.4 MB

Channel A: 24 MHz Channel B : 21.1 MHz Click for Audio

:

Feb 07, 2010 1849 UT Type III solar burst : 2 min 3 sec 1.9 MB . Stereo

Channel A: 21.1 MHz Channel B: 24.2 MHz Click for Audio

:

Feb 07, 2010 1721 UT Type V burst amidst Type III Bursting 3min 29 sec 3.2 MB

21 MHz mono Click for Audio

:

Feb 07, 2010 1839 UT Type III burst: 21 MHz mono 1 minute 900 KB : Click for Audio

More specimens to follow.

Thomas Ashcraft 35.50 N 105.89 W New Mexico Mail

Radio Sun Specimen Collection from Last Solar Cycle

Heliotown and more various observations

 

06/02/2010

Le Crack qui s'en vient...

La crise que nous vous avions annoncée pour la mi-février en vue d'instaurer le Nouvel Ordre Mondial en 2010, se précise en même temps que les évènements qui se produisent dans le cosmos.

Voyez plutôt !

Le Crack qui s'en vient...

http://www.dailymotion.com/video/xc4h9u_le-crack-qui-sen-...

 

http://www.mecanopolis.org/?p=13388
LIESI: http://www.scribd.com/doc/26449319/Lettre-LIESI-199
http://changementclimatique.over-blog.com/
http://www.jovanovic.com/blog.htm
http://www.liesi-editions-delacroix.com/

 

04/02/2010

Un OVNI chez les astéroïdes


NOUVELOBS.COM | 02.02.2010 | 18:36

Un objet curieux aux allures de comète a été photographié par Hubble dans la ceinture d'astéroïdes. Il s'agirait du résultat d'une collision.

Le télescope Hubble a fourni les images d’un curieux objet croisant dans la ceinture principale d’astéroïdes, à 140 millions de kilomètres de la Terre. Ses allures de comète sont trompeuses : il s’agirait en fait du reliquat d’une collision frontale entre deux astéroïdes, selon les chercheurs de la Nasa qui commentent ces images.

Appelé P/2010 A2, l’objet a d’abord été repéré par un programme américain de recensement d’astéroïdes (LINEAR) le 6 janvier, puis observé par Hubble les 25 et 29 janvier. Le noyau, qui mesurerait 140 mètres de diamètre, est situé en dehors de la trainée de poussières et de débris. Cette ‘queue’ serait le résultat d’un impact entre astéroïdes, sachant que leurs collisions se produisent à la vitesse moyenne de 5 kilomètres par seconde, précise le communiqué de la Nasa.
Zoom sur le X formé par les débris à l'avant de cet étrange objet.

Zoom sur le X formé par les débris à l'avant de cet étrange objet. (NASA, ESA, & D. Jewitt, UCLA)

L’objet a une apparence curieuse, avec ce X formé à l’avant de la queue. Cela ne ressemble en rien aux images de comètes prises par Hubble, soulignent les chercheurs.

C.D.
Sciences-et-Avenir.com
02/02/10

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/sciences/espace...

 

 

La plus grande éruption solaire en 2,5 ans enregistrée par les chercheurs russes


La plus grande éruption solaire en 2,5 ans enregistrée par les chercheurs russes
La plus grande éruption solaire en 2,5 ans enregistrée par les chercheurs russes
15:17 20/01/2010
© TESIS (FIAN)
MOSCOU, 20 janvier - RIA Novosti

La plus grande éruption solaire depuis juin 2007 a été enregistrée mardi par l'observatoire solaire russe TESIS, ont annoncé les chercheurs de l'Institut de physique Lebedev de Moscou sur le site internet de TESIS.

"L'éruption a commencé vers 16h00, heure de Moscou (13h00 GMT) pour atteindre son maximum à 16h41 (13h41 GMT). Elle a duré jusqu'à 17h57 (14h57 GMT), soit presque deux heures. L'intensité du rayonnement X du Soleil a atteint, en son point le plus élevé, le niveau M2.3 sur l'échelle GOES. La dernière éruption d'une telle intensité avait été enregistrée le 4 juin 2007", est-il indiqué dans un communiqué de l'Institut.

Deux autres éruptions importantes - de classe C4.9 et C5.2 - ont précédé cette dernière forte éruption solaire le 19 janvier. Elles se sont produites respectivement vers minuit et vers midi. Les chercheurs du laboratoire TESIS estiment qu'il s'agit d'une nouvelle intensification de l'activité solaire. Les éruptions deviennent toujours plus fortes et les intervalles entre elles sont plus courts.

Les éruptions solaires sont classées, en fonction de la puissance du rayonnement X, en 5 classes - A, B, C, M, et X. Chaque classe correspond à une éruption solaire d'une intensité dix fois plus importante que la précédente. La classe minimale, notée A0.0, correspond à une puissance de rayonnement sur l'orbite de la Terre de 10 nanowatts par mètre carré. Au sein d'une même classe, les éruptions solaires sont classées de 1 à 10 selon une échelle linéaire (ainsi, une éruption solaire de classe X2 est deux fois plus puissante qu'une éruption de classe X1). Des éruptions accompagnées d'un flux de rayonnement de plus d'un million de nanowatts, classées X17, ont été enregistrées fin octobre 2004, lors du maximum solaire précédent.

http://fr.rian.ru/science/20100120/185886867.html

08/01/2010

Les sondes Voyager résolvent une énigme de notre banlieue interstellaire

Réchauffement : vous avez dit Co2 ou ascension de notre système solaire vers le centre de la Galaxie ?

 Le 4 janvier 2010 à 09h02

Par Laurent Sacco,

Grâce aux données fournies par les sondes Voyager, en train de sortir du système solaire, une énigme astrophysique est en passe d'être résolue : celle de la stabilité du nuage interstellaire local à travers lequel fonce notre système solaire. Le champ magnétique local y est plus intense que prévu, protégeant le nuage du souffle des supernovae.

Les astrophysiciens savent depuis longtemps que notre système solaire est plongé dans un nuage d’hydrogène et d’hélium d’une trentaine d’années-lumière de diamètre et porté à une température comparable à celle de la surface du Soleil, c'est-à-dire 6.000 kelvins. Or, ils savent aussi que ce nuage interstellaire local (ainsi l’appelle-t-on) est lui-même plongé dans une série de bulles de gaz coronal portées à des températures de plusieurs millions de degrés. Ce sont les restes des explosions de plusieurs supernovae datant d'une dizaine de millions d’années environ.

Ces observations sont paradoxales. En effet, le souffle des explosions des supernovae aurait dû volatiliser le nuage local depuis longtemps. Comment expliquer sa remarquable stabilité ? En faisant intervenir de la matière noire comme pour le gaz intergalactique entourant les amas de galaxies ?

Une explication bien plus probable et qui plus est directement soutenue par des observations vient d’être avancée dans un article de Nature par un groupe de chercheurs utilisant les données sur les champs magnétiques mesurées par Voyager 1 et surtout Voyager 2 dans leur périple au-delà de l’héliopause de notre système solaire.

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Le nuage local avec les étoiles Sirius, Procyon entourant le Soleil. En jaune, la direction du mouvement du Soleil et en bleu la direction du centre de la Galaxie. Crédit : Linda Huff (American Scientist) Priscilla Frisch (University of Chicago)

Une bulle de plasma de 650 années-lumière nous entoure

Contrairement à ce que l’on pensait, le nuage local est particulièrement magnétisé par un champ dont l’intensité dépasse les 4 microgauss (celui de la Terre est de l’ordre de 0,5 gauss, c'est-à-dire 50 microteslas). Il y a donc une densité d’énergie magnétique qui peut s’opposer à la pression exercée par les bulles de gaz coronal chaud des supernovae ayant explosé récemment dans le voisinage du nuage local.

Le diamètre de la bulle locale entourant le système solaire est d'environ 650 années-lumière. Elle est située dans le bras d’Orion de la Voie lactée et il est probable qu’elle a été laissée par la supernova à l’origine du pulsar Geminga.

La pression exercée par le nuage local est compensée par celle de l’héliosphère solaire et l’influence du champ magnétique du Soleil. Cette découverte implique donc que la taille de l’héliosphère pourrait changer de façon substantielle lors de son voyage autour du bulbe de la Voie lactée et ses collisions avec d’autres nuages interstellaires fortement magnétisés. Ces nuages pourraient en effet l’être plus que l’on ne le pensait jusqu’à maintenant puisqu’on a l’exemple même du nuage local. Or les limites de l’héliosphère influencent le flux de rayons cosmiques bombardant le système solaire. On pourrait donc s’attendre à des surprises dans le futur, ou inversement dans l’histoire passée du système solaire.

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Les bulles de gaz coronal dont celle entourant le Soleil (Représentation d'artiste). Crédit : Wikimedia commons

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/les...