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19/11/2010

News de l’espace: 1ère planète extragalactique et poussière d’astéroïde

Pour reprendre la phrase du journaliste :

"Les yeux des téléscopes voient de plus en plus précisément dans l’espace, y compris des petits corps à de très grandes distances."

Nous pensons pour notre part que ce ne sont pas les instruments sophistiqués de la Nasa ou des agences spatiales qui permettent de voir plus précisément dans l'espace. Mais que comme notre système solaire est en train d'ascensionner vers le centre de la Galaxie et que notre environnement cosmique change, leurs instruments enregistrent donc ces changements.

18 novembre 2010

News de l’espace: 1ère planète extragalactique et poussière d’astéroïde

Les yeux des téléscopes voient de plus en plus précisément dans l’espace, y compris des petits corps à de très grandes distances. Jusqu’à présent, les presque 500 exoplanètes se recrutaient dans notre galaxie.

 

fourneau-568710.jpgUne planète hors de la Voie Lactée

Nous sommes cette fois conviés une première grâce à l’Observatoire européen austral de La Silla, au Chili. Les astronomes ont découvert une exoplanète d’une fois et demie la taille de Jupiter en dehors de notre galaxie.

«Cette planète exo-galactique baptisée HIP 13044 b a une masse une fois et demie plus grande que celle de Jupiter, la plus grosse planète du système solaire. Elle tourne autour de l'étoile HIP 13044 qui se trouve à 2 200 années-lumière (une année-lumière équivaut à 9 460 milliards de km) de la Terre, dans la constellation australe du Fourneau. Cette étoile faisait partie à l'origine d'un groupe stellaire qui appartenait à une galaxie naine dévorée par la Voie lactée, lors d'un acte de cannibalisme galactique, il y a six à neuf milliards d'années.

La planète est proche de son étoile et de ce fait très chaude. Au point le plus proche de son orbite elliptique, elle passe à un dizième de la distance séparant la Terre du Soleil, précisent les auteurs de cette communication parue dans la revue américaine Science. Elle boucle son orbite en seulement 16,2 jours.»



astéroïde6 of Hayabusa on Itakowa asteroid.jpgHayabusa et la poussières d’astéroïde

Contrairement aux informations qui ont circulé récemment, la sonde Hayabusa a bien ramené de la poussière d’astéroïde sur Terre. Le système n’a pas fonctionné comme prévu mais d’infimes grains de poussières ont pu être captés lors du choc avec la surface de Itokawa. C'est un peu plus de poussière d'étoile qui nous arrive.

«Jamais poussières n'étaient revenues de si loin. Ils ne pèsent que quelques millionièmes de grammes, mais ces 1 500 infimes grains minéraux ont été prélevés à plus de 300 millions de kilomètres de la Terre. Mardi 16 novembre, l'agence spatiale japonaise (JAXA) a annoncé que sa sonde Hayabusa avait réussi à arracher ces particules de la surface de l'astéroïde Itokawa, puis à les ramener sur Terre. Un des compartiments de la capsule, larguée par le vaisseau spatial, en juin, au-dessus de l'Australie, contenait cet infime trésor, identifié au télescope électronique comme de la matière extraterrestre.

Après les kilos de poussières rapportées de la Lune par les missions Apollo des Américains et celles, robotisées, des Soviétiques, après les particules de la queue de la comète Wild2, saisies par la sonde Stardust de la NASA, les Japonais, débutants de l'exploration spatiale, ont donc réussi pour la quatrième fois à ramener sur Terre des échantillons de matière céleste. En établissant, au passage, un record de distance et de difficultés.»


La grande épopée de l’espace continue. Notre époque est difficile mais aussi passionnante.

Images: Nasa et Jaxa.

http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2010/11/18/news-de-...


18/11/2010

Bombe à retardement stellaire

Les Univers Gémellaires par Jean-Pierre PETIT
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2009/11/04/les-un...

17:27 

Plusieurs système d'étoiles binaires, composés de deux naines blanches, devraient fusionner et déclencher des supernova dans ...100 millions d'années.

Les deux naines blanches entreront en collision dans 100 millions d'années Crédit: Ellis Clayton (CfA)
Les deux naines blanches entreront en collision dans 100 millions d'années Crédit: Ellis Clayton (CfA)

L'équipe d'astronomes du Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics qui avait déjà repéré les étoiles fugueuses de la Voie Lactée annonce cette fois la découverte d'une douzaine de systèmes d'étoiles binaires. Dans la moitié d'entre eux, les étoiles sont proches de fusionner ce qui déclencherait une supernova dans un avenir astronomique pas si lointain que ça.

Dans ces systèmes, les deux étoiles binaires sont des naines blanches. Une naine blanche est le reliquat d'une étoile de masse moyenne ayant achevé son cycle. Il en résulte un corps d'une densité spectaculaire : une masse équivalente au Soleil dans une sphère de la taille de la Terre.

Les naines blanches dans cette étude, font partie des « poids légers » parmi les naines blanches. Elles sont composées presque entièrement d'hélium, à la différence des naines blanches habituelles contenant du carbone et de l'oxygène.

Fait remarquable, les étoiles orbitant à des distances très rapprochées, il se crée des perturbations de la structure de l'espace entre elles, appelées ondes gravitationnelles qui attirent les deux étoiles, l'une vers l'autre. La moitié des systèmes devraient fusionner à terme, les premiers dans à peine 100 millions d'années (c'est peu à l'échelle astronomique !).

 Lorsque deux naines blanches fusionneront, leur masse totale peut dépasser un point de bascule, les faisant exploser en supernova de type Ia. Les auteurs, qui publient dans la revue Monthly Notices of the Royal Astronomical Society, suggèrent que les binaires qu'ils ont découvert pourraient être une source de supernovae rares, environ 100 moins énergétiques que celles de cette classe.

Simulation de la fusion des deux étoiles

http://www.dailymotion.com/video/xfntin_simulation-de-la-...

Joël Ignasse
Sciences et Avenir.fr
17/11/2010

http://www.sciencesetavenir.fr/actualite/espace/20101116....

13/11/2010

Agitation dans la bande équatoriale sud de Jupiter

Décidemment ça bouge beaucoup dans notre système solaire !

 

Le 12 novembre 2010 à 17h37

Par Jean-Baptiste Feldmann, Futura-Sciences 

Quelques mois après sa disparition, la bande équatoriale sud de Jupiter, la plus grosse planète du Système solaire, montre des signes annonciateurs de sa prochaine réapparition.

Si vous admirez Jupiter dans un télescope d'amateur, vous observez en temps normal deux bandes ocre qui ceinturent la planète parallèlement à l'équateur. Ces bandes équatoriales nord (NEB) et sud (SEB) sont des formations nuageuses assez stables dont la couleur serait produite par des composés complexes de phosphore et de soufre. Mais cette vision a changé il y a quelques mois. Comme nous l'annoncions en mai dernier, Jupiter, la gigantesque planète gazeuse dont la circulation nuageuse intrigue les scientifiques depuis 4 siècles, a perdu sa bande équatoriale sud.

Pour être précis, il semblerait que cette bande soit devenue invisible en raison de la formation de nuages blancs de glace d'ammoniac qui recouvrent la SEB. Ce phénomène n'est pas exceptionnel et a déjà été observé dans le passé selon un cycle très irrégulier qui peut varier de 3 à 15 ans. Si les planétologues ont du mal à l'expliquer, ils ont remarqué que cette disparition correspond généralement à un renforcement de la coloration de la Grande Tache Rouge. Cette immense formation cyclonique observée depuis le XVIIe siècle serait peut-être de temps en temps à l'origine d'une interruption de la circulation habituelle des vents d'est en ouest, favorisant la condensation de l'ammoniac gazeux en cirrus au-dessus de la SEB.

Du changement à venir ?

Lors des précédents épisodes de disparition de la SEB, des signes annonciateurs ont précédé son retour. La zone commence par connaître une agitation atmosphérique importante sous forme de tourbillons qui se rejoignent et finissent par former une grande tempête. Cette dernière nettoie en quelques jours la SEB en faisant le tour de la planète, poussée par les vents qui ont retrouvé leur régime habituel d'est en ouest. L'astronome Christopher Go vient de signaler sur son site l'apparition d'un panache blanc et brillant sur la SEB, sans doute l'un de ces tourbillons à l'origine de la tempête qui va raviver les couleurs de cette bande. Cet amateur philippin n'en est pas à son coup d'essai : passionné par l'observation planétaire, c'est déjà lui qui avait repéré un nouvel impact sur Jupiter au début du mois de juin.

D'autres observateurs ont confirmé la brillance de cette zone dans toutes les longueurs d'onde qui vont de l'infrarouge à l'ultraviolet. Pour John Rogers, président de la section Jupiter de la BAA, il faut s'attendre à d'impressionnantes perturbations dans la SEB au cours des 3 prochains mois. Les astronomes du monde entier ont déjà pointé leurs télescopes en direction de la géante gazeuse, en espérant pouvoir suivre en direct la réapparition de la bande équatoriale sud.

Premier signe de la prochaine réapparition de la bande équatoriale sud de Jupiter, un spot brillant est apparu sur la SEB le 9 novembre. © Christopher Go
Premier signe de la prochaine réapparition de la bande équatoriale sud de Jupiter, un spot brillant est apparu sur la SEB le 9 novembre. © Christopher Go

FUTURA SCIENCES

Deux bulles géantes au coeur de notre galaxie intriguent les astrophysiciens

La presse officielle commence à en parler ! Il était temps !

Quant
a
ux   astrophysiciens ,  ils vont commencer à comprendre que contre les merveilles de l'Univers ils ne peuvent rien comprendre. Il va falloir que dans quelques temps, ils revoient leurs copies !

Quant à l'humanité, il serait temps qu'elle se réveille. Au lieu de regarder le sol, elle ferait mieux de regarder ce qui se passe dans le Cosmos en ce moment, car ce n'est pas fini, cela ne fait que commencer les découvertes !

Deux bulles géantes au coeur de notre galaxie intriguent les astrophysiciens

La découverte de deux bulles géantes mystérieuses liées l'une à l'autre et émettant de puissants rayonnements gamma au coeur de notre galaxie, la Voie Lactée, intrigue les astrophysiciens, qui supposent qu'elles seraient des résidus de l'éruption d'un énorme trou noir.

La découverte de deux bulles géantes mystérieuses liées l'une à l'autre et émettant de puissants rayonnements gamma au coeur de notre galaxie, la Voie Lactée, intrigue les astrophysiciens, qui supposent qu'elles seraient des résidus de l'éruption d'un énorme trou noir.

AFP - La découverte de deux bulles géantes mystérieuses liées l'une à l'autre et émettant de puissants rayonnements gamma au coeur de notre galaxie, la Voie Lactée, intrigue les astrophysiciens, qui supposent qu'elles seraient des résidus de l'éruption d'un énorme trou noir.

Cette structure s'étend sur 50.000 années-lumières (une année lumière équivaut à 9.460 milliards de km) et daterait de plusieurs millions d'années.

"Ce que nous voyons, ce sont deux bulles émettant des rayons gamma s'étendant sur 25.000 années-lumière respectivement au sud et au nord du centre de la Voie Lactée et nous ne comprenons pas totalement leur nature ou leur origine", explique Doug Finkbeiner, un astronome du centre d'astrophysique de l'Université Harvard à Cambridge (Massachusetts).

Il a été le premier à détecter cette structure, qui s'étend sur plus de la moitié du ciel visible, de la constellation de la Vierge à celle de la Grue.

Outre Doug Finkbeiner, Meng Su et Tracy Slatyer de l'Université Harvard ont également contribué à cette découverte réalisée en analysant des données accessibles au public provenant du télescope Fermi à champ large (LAT) lancé en juin 2008 par la Nasa, l'agence spatiale américaine.

Ce télescope spatial, fruit d'une collaboration internationale, est le plus sensible aux émissions de rayons gamma grâce à un détecteur à très haute définition et balaie le ciel entièrement toutes les trois heures.

Les rayons gamma sont les rayonnements lumineux ou électromagnétiques dotés de la plus haute énergie.

D'autres astrophysiciens qui étudient ces rayonnements n'avaient pas détecté ces bulles, en partie à cause de l'abondance de ces émissions qui se produisent partout dans le ciel et créent une sorte de brume interstellaire.

Ce phénomène se produit quand les particules, se déplaçant à une vitesse proche de celle de la lumière, inter-agissent avec la lumière et les gaz interstellaires dans la Voie Lactée.

L'équipe de chercheurs auteurs de la découverte a fini par détecter les deux bulles en affinant constamment leurs modèles, un processus qui a permis d'éliminer les autres émissions diffuses de rayonnements gamma.

Les astrophysiciens continuent à analyser ce phénomène pour tenter de mieux comprendre comment cette structure jamais vue auparavant s'est formée.

Les bulles émettent des rayonnements gamma beaucoup plus puissants que ceux détectés ailleurs dans la Voie Lactée, précisent les chercheurs.

Ils notent aussi que ces deux bulles ont des bords bien définis.

Parmi les hypothèses avancées, les astrophysiciens citent des jets de particules provenant du trou noir très massif au coeur de la galaxie.

Dans un grand nombre d'autres galaxies, de tels jets sont formés par de la matière tombant vers le centre du trou noir, objet massif dont le champ gravitationnel est si intense que rien, même pas la lumière, ne peut s'en échapper.

Bien que rien n'indique que le trou noir au centre de la Voie Lactée soit la source de tels jets de particules, ils auraient pu exister il y a plusieurs millions d'années.

Ces bulles pourraient aussi s'être formées avec des gaz provenant d'explosions ayant résulté de la naissance d'étoiles, ou de groupes stellaires au centre de notre galaxie, avance l'astrophysicien David Spergel de l'Université Princeton (New Jersey, est).

"Dans d'autres galaxies, nous observons que la formation d'étoiles peut créer d'énormes flux de gaz", note-t-il.

Mais "quelle que soit la source d'énergie derrière ces gigantesque bulles, ce phénomène est lié à un grand nombre de questions fondamentales en astrophysique", selon lui.

http://www.france24.com/fr/20101110-deux-bulles-geantes-c...


NASA : une annonce de conférence de presse pour le 15 novembre

Pour la découverte d'un objet exceptionnel dans notre voisinage cosmique avec l'observatoire Chandra aux Rayons X ! On voit que 2012 approche !

Il y a quelques jours c'était des découvertes avec le télescope spatial Fermi, maintenant c'est avec Chandra !

Et toujours ce phénomène double !
Les Univers gémellaires seraient-ils en train de fusionner et d'ascensionner ?


Apparemment la NASA ne comprend pas ce nouveau phénomène magnétique !

Dieu leur fait une farce, il change les données quand il veut !


What Lies Beneath ? Magnetar Enigma Deepens
http://chandra.harvard.edu/photo/2010/sgr0418/
  
  
NASA Announces Televised Chandra News Conference
  
  
AVIS AUX MÉDIAS : M10-157
 
  
La NASA annonce une conférence de presse télévisée sur le Chandra-Ray
 
  
WASHINGTON--La NASA tiendra une conférence de presse à 12 h 30 HNE le lundi 15 novembre, afin de discuter de découverte par l'Observatoire des rayons X Chandra d'un objet exceptionnel dans notre voisinage cosmique.

La Conférence de presse sera produite à partir du studio de télévision de la NASA siège, 300 E St SW à Washington et transmise en direct à la télévision de la NASA.

Les représentants des médias peuvent assister à la Conférence, nous joindre par téléphone ou poser des questions d'endroits participants de la NASA. Pour confirmer ou obtenir des informations de connexion, les journalistes doivent envoyer leur nom, affiliation et numéro de téléphone à Trent Perrotto à: trent.j.perrotto@nasa.gov par 10 h EST le 15 novembre. Les journalistes qui souhaitent assister à la Conférence en personne doivent avoir une information d'identification valide de presse pour l'accès. Aussi les médias non-américains doivent apporter des passeports.

Les scientifiques participant à la recherche seront disponibles pour répondre aux questions. Le panel des scientifiques offrant une analyse de la recherche sont les suivants :
-Jon Morse, directeur, Division de l'astrophysique, siège de la NASA à Washington
-Kimberly Weaver, astrophysicien, Goddard Space Flight Center de la NASA, Greenbelt, MD.
-Alex Filippenko, astrophysicien, Université de Californie, Berkeley

Pour la NASA TV en flux continu de la vidéo, de liaison et de plus amples renseignements, visitez :

http://www.NASA.gov/NTV


Pour plus d'informations sur l'Observatoire de diffraction des rayons x de la NASA Chandra, visitez :

http://www.NASA.gov/Chandra


http://Chandra.Harvard.edu