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16/11/2015

Poutine : Daesh est financé par 40 pays, y compris par des pays-membres du G20

Que la France et ses alliés criminels, cessent leurs mensonges et leur hypocrisie, car ils sont coupables d'avoir financé et armé leurs mercenaires soi-disant modérés en Syrie !

Les seuls coupables des attentats sont les gouvernements criminels qui connaissent parfaitement leurs mercenaires et qui auraient pu éviter les massacres non seulement en France mais aussi de partout dans le monde, s'ils n'étaient pas intéressés à voler le pétrole et à faire avancer les plans des Banksters Illiminati !

Poutine : Daesh est financé par 40 pays, y compris par des pays-membres du G20

Au sommet du G20, qui s’est tenu du 14 au 16 novembre en Turquie, le président russe a souligné que la Russie avait présenté des exemples de financement des terroristes par des personnes physiques venant de 40 pays, y compris des pays-membres du G20.

Lors du sommet «j’ai donné des exemples basées sur nos données du financement de Daesh par des individus privés. Cet argent vient de 40 pays, parmi lesquels participent des pays-membres du G20», a précisé Vladimir Poutine.

Vladimir Poutine a aussi évoqué la nécessité urgente d’empêcher la vente illégale de pétrole.

«J’ai montré à nos partenaires de nombreuses photos prises depuis l’espace et depuis les aéronefs sur lesquelles on voit clairement le volume que représente la vente illégale pétrolière effectuée par Daesh».

Lire aussi : Le G20 veut une résolution sur la Syrie pour surmonter les problèmes du Moyen-Orient

Le président russe a aussi précisé que ce n’était pas le moment de rechercher quel pays était le plus efficace dans la lutte contre Daesh. «Il vaut mieux unir les efforts internationaux pour combattre ce groupe terroriste», a déclaré Vladimir Poutine.

«Nous avons besoin du soutien des Etats-Unis, des pays européens, de l’Arabie saoudite, de la Turquie et de l’Iran», a-t-il poursuivi.

A propos des relations avec les Etats-Unis, le président Poutine a mis en évidence que la position de Washington avait changé après les attentats de Paris.

«Nous avons besoin d’organiser un travail qui se concertera sur la prévention des attaques des terroristes à l’échelle globale. Nous avons proposé d’unir nos efforts avec les Etats-Unis dans la lutte contre Daesh. Malheureusement, nos partenaires américains ont refusé. Ils nous ont envoyé une note écrite qui dit : "Nous rejetons votre proposition". Mais la vie change toujours assez vite, en nous donnant des leçons. Et je crois que maintenant tout le monde commence à comprendre qu’on ne peut combattre effectivement Daesh qu’ensemble», a précisé le président russe.

[Vidéo] Mélenchon met une claque aux 2 journalistes de “Public Sénat” concernant la Syrie

«  En Syrie, Al-Qaïda est l’allié des alliés (…) de François Hollande, de M. Obama et de quelques autres (…). Al-Qaïda est allié sous le nom Al-Nosra, les mêmes nous les bombardons en Afghanistan car ils sont méchants, mais en Syrie ils sont gentils  »

Invité de la chaîne politique « Public Sénat » ce mardi, Jean-Luc Mélenchon a abordé le conflit en Syrie, dénonçant l’hypocrisie de la coalition américaine menant une opération en Syrie.


Attentats de Paris Passeport : le retour par Jean-Claude Paye

Attentats de Paris Passeport : le retour par Jean-Claude Paye

| Bruxelles (Belgique) 


Faut-il en rire ou en pleurer : depuis le 11 septembre 2001, il n’est pas d’attentat terroriste sans que les coupables, sensés se cacher, ne se fasse identifier en laissant derrière eux leurs papiers d’identité. Pour le sociologue Jean-Claude Paye, l’apparente stupidité répétitive des terroristes doit être interprétée comme un artifice rhétorique du Pouvoir pour sidérer les citoyens. C’est parce que le récit officiel est absurde qu’on ne peut pas, qu’on ne doit pas le contester.

 

Dans le cadre de l’enquête sur les massacres à Paris, un passeport syrien a été retrouvé près de l’un des kamikazes du Stade de France. Après avoir été désigné comme responsable des attentats par le président Hollande, « l’État islamique », a reconnu être à la base de ces actions. Pour l’Exécutif français qui avait déclaré vouloir intervenir en Syrie contre l’ÉI, en réalité contre la République arabe syrienne et son président constitutionnel Bachar el-Assad qui « doit partir », il s’agit là d’un indice important devant conforter une opération militaire. La procédure du double discours, soutenir une organisation que l’on désigne comme ennemi et nommer comme terroristes des personnes que l’on a préalablement appelés « combattants de la liberté », n’est pas l’apanage du gouvernement français. Produire son ennemi est devenu un axe de la stratégie occidentale, nous confirmant que dans la structure impériale, il n’y a pas de séparation entre intérieur et extérieur, entre le droit et la violence pure, entre le citoyen et l’ennemi.

En Belgique, le prédicateur musulman Jean-Louis Denis est poursuivi « pour avoir incité de jeunes gens à partir faire le djihad armé en Syrie », car il est soupçonné d’avoir eu des contacts avec Sharia4Belgium, un groupement qualifié « terroriste », ce que le prévenu nie. Son avocat a fait ressortir la double pensée de l’accusation dans cette affaire, en lançant devant le tribunal correctionnel de Bruxelles : « On a envoyé des gamins dans les bras de l’État islamique en Syrie et ce sont vos services qui l’ont fait » [1]. Il a appuyé ses accusations en faisant ressortir le rôle dans cette affaire d’un agent infiltrant de la police fédérale.

Le retour du signifiant

Concernant les massacres parisiens, il semblerait qu’une des premières préoccupations des terroristes soit d’être identifiés le plus rapidement possible. Cependant ce paradoxe nous étonne à peine. Un papier d’identité, trouvé miraculeusement et désignant l’auteur des attentats venant d’être commis, est devenu un classique. Il s’agit d’un évènement qui se répète, une compulsion de répétition désignant à chaque fois un coupable appartenant à une « mouvance jihadiste ».

Dans la version officielle du 11 septembre, le FBI affirmait avoir retrouvé le passeport intact de l’un des kamikazes à proximité d’une des deux tours complètement pulvérisées par des explosions, dégageant une température capable de faire fondre l’acier des structures métalliques d’un building, mais préservant intact un document en papier. Le crash du quatrième avion, s’écrasant en rase campagne à Shanksville, a également permis à la police fédérale de retrouver le passeport de l’un des terroristes présumés. Ce document partiellement brûlé permet quand même d’identifier la personne, grâce à la présence de son nom, de son prénom et de sa photo. Cette possibilité est d’autant plus troublante que du crash de l’avion ne subsistait qu’un cratère d’impact, point de morceau de fuselage ou de moteur, seul restait ce passeport partiellement brûlé.

L’invraisemblable comme mesure du vrai

Dans l’affaire Charlie Hebdo, les enquêteurs ont retrouvé la carte d’identité de l’aîné des frères Kouachi dans la voiture abandonnée dans le nord-est de Paris. À partir de ce document, la police s’aperçoit qu’il s’agit d’individus connus des services antiterroristes, des « pionniers du djihadisme français. » La « traque » peut alors commencer. Comment des tueurs, commettant un attentat avec un sang froid et une maîtrise qualifiés de professionnels, peuvent-ils commettre une telle erreur. Ne pas s’encombrer de ses papiers fait pourtant partie de l’abc du simple cambrioleur.

Depuis le 11-Septembre, l’invraisemblable fait partie de notre quotidienneté. Il est devenu le fondement de la vérité. La Raison est bannie. Il ne s’agit pas de croire ce qui est dit, mais bien d’adhérer à ce que dit la voix qui parle, quelque soit le non sens de l’énonciation. Plus celui-ci est patent, plus la croyance en ce qui est affirmé doit être indéfectible. L’invraisemblable devient ainsi la mesure et la garantie du vrai.

Le discours portant sur les affaires Merah ou Nemouche en atteste. Merah, encerclé par des dizaines de policiers, serait parvenu, en trompant la surveillance des forces spéciales, à sortir de son domicile et ensuite à y retourner, afin de se faire tuer par un « sniper » qui aurait tiré en « légitime défense » avec des « armes non létales ». Il serait sorti de chez lui pour téléphoner d’une cabine publique, afin de « dissimuler son identité », lors de sa reconnaissance de culpabilité à une journaliste de France 24 [2].

Quant à Nemmouche, l’auteur de la tuerie au Musée juif de Bruxelles, il ne se serait pas débarrassé de ses armes, car ce qui comptait pour lui était de les revendre. Pour ce faire, il aurait fait le choix du mode de transport international le plus surveillé, en les transportant dans un bus assurant la liaison Amsterdam, Bruxelles, Marseille. Un « contrôle de douane inopiné » aurait permis de le confondre et de l’arrêter.

La sidération de “l’unité nationale”

Dans tous les cas, le caractère déréalisant de ce qui est présenté nous installe dans la sidération. Tel le regard de la Gorgone, il nous pétrifie. Il nous montre que quelque chose ne va pas dans le discours. Il exhibe une faille qui n’a pas pour effet de nous tromper, mais de nous morceler. Le compte-rendu du déroulement des attentats est une exhibition qui s’impose au spectateur. Elle échappe à toute représentation et a un effet de sidération. Celle-ci ne résulte pas tant du caractère dramatique des faits que de l’impossibilité de déchiffrer le réel. Le spectateur ne peut alors retrouver un semblant d’unité que par un surcroît d’adhésion à ce qui est énoncé. Une fusion s’opère avec celui qui nomme. Il convient de renoncer à se distancier avec le dit et le montré, en posant des questions ou en rétablissant une parole. L’unité nationale, la fusion entre les surveillants et les surveillés, peut alors se mettre en place.

L’exhibition des failles dans le discours du pouvoir concernant tous ces attentats a pour effet d’installer une psychose et de supprimer tout mécanisme de défense, non pas seulement face à des propos ou des actes déterminés, mais vis-à-vis de n’importe quelle action ou déclaration du pouvoir, par exemple face à des lois comme celle sur le renseignement qui rejette la vie privée hors des libertés fondamentales.

Un acte de guerre contre les populations

Votée en juin 2015, la loi sur le renseignement, ce projet vieux de plus d’une année, nous a été présenté comme une réponse aux attentats de Charlie Hebdo. La loi autorise notamment l’installation de « boites noires » chez les fournisseurs d’accès Internet permettant de capturer en temps réel les métadonnées des utilisateurs. Elle permet également la pose de micros, de balises de localisation, l’installation de caméras et de logiciels espions. Sont soumis à ces techniques spéciales de recherche, non les agents d’une puissance étrangère, mais la population française. Cette dernière est ainsi traitée comme ennemie d’un Pouvoir exécutif, auquel il revient la décision et le « contrôle » de ces dispositifs secrets. Sous couvert de lutte contre le terrorisme, cette loi légalise des mesures déjà en place, mettant à la disposition de l’Exécutif un dispositif permanent, clandestin et quasiment illimité de surveillance des citoyens. L’absence de toute efficacité dans la prévention d’attentats nous montre que c’est bien les ressortissants de l’Hexagone qui étaient l’objet de la loi et non les terroristes. En changeant la nature des services de renseignement, du contre-espionnage à la surveillance des citoyens, cette loi est un acte de guerre idéelle contre ceux-ci. Les massacres qui viennent d’avoir lieu à Paris en sont le réel.

[1] Julien Balboni, « Procès de Jean-Louis Denis : ’’Le parquet fédéral a envoyé des jeunes en Syrie" » , DH.be, le 12 novembre 2015.

[2] Lire : Jean-claude Paye et Tülay Umay, « L’affaire Merah (4/4) : Le changement en se taisant : la parole confisquée », Réseau Voltaire, le 30 octobre 2012,

Etat d'urgence de trois mois, quels changements pour les Français ?

Et pourquoi pas la loi martiale puisque l’on y est ?

Ces criminels soutiennent les terroristes, organisent des attentats pour s’octroyer le droit d’aller se confronter avec la Russie, faire partir Assad, et ce sont les français qui doivent trinquer !

Après la loi sur le renseignement voici, de quoi museler complètement les français et la presse libre !

Propagande de guerre à l’horizon !

Pour bloquer les manifestations des citoyens mécontents, bloquer les élections et faire régner la terreur sur le peuple, ils s’y connaissent un rayon !

Ensuite ils viendront nous parler de démocratie !

Etat d'urgence de trois mois, quels changements pour les Français ?

15 nov. 2015, 20:30

Des policiers place de la République à Paris le 15 novembre 2015.

Des policiers place de la République à Paris le 15 novembre 2015.

Le président François Hollande a indiqué dimanche aux responsables parlementaires qu'il souhaitait que l'état d'urgence, décrété après les attentats du 13 novembre, dure trois mois, ont indiqué plusieurs sources parlementaires.

La mise en état d'urgence s'applique depuis samedi 00H00 «sur le territoire métropolitain et en Corse», d'après le décret daté de samedi paru au Journal Officiel.

Il convient de noter que la prorogation de l'état d'urgence au-delà de 12 jours ne peut être autorisée que par une loi, votée par le Parlement, qui en fixe sa durée définitive.

C'est pourquoi le prochain Conseil des ministres examinera un projet de modification de la loi de 1955 sur l'état d'urgence pour en revoir le «périmètre» et la «durée».

Lire aussi : François Hollande annonce la fermeture des frontières suite aux attentats

Les deux commissions des Lois de l'Assemblée et du Sénat travailleront ensemble aux «adaptations» de cette loi après les attentats, a déclaré le président du Sénat, Gérard Larcher (Les Républicains), à sa sortie de l’entrevue. «La prolongation de l'état d'urgence sera aussi l'occasion d'ajuster le texte de 1955», a précisé l'intéressé.

L'état d'urgence permet aux autorités :

  • D'«interdire la circulation des personnes»
  • D'instituer «des zones de protection ou de sécurité» où le séjour des personnes est réglementé, selon la loi de 1955, qui a instauré cette procédure exceptionnelle au début de la guerre d'Algérie.

Un second décret comporte des dispositions spécifiques applicables «à l'ensemble des communes d'Ile-de-France». Ce dernier prévoit la possiblité:

* D'assigner à résidence toute personne «dont l'activité s'avère dangereuse pour la sécurité et l'ordre public».
* D'ordonner la fermeture provisoire de salles de spectacle, de débits de boissons ou de lieux de réunion de toute nature.
* De mettre en place la confiscation de certaines catégories d'armes.

Par ailleurs, le décret ou la loi déclarant l’état d’urgence autorise les autorités administratives à :

* Ordonner des perquisitions à domicile de jour et de nuit 
* Prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer le contrôle de la presse et des publications de toute nature, ainsi que celui des émissions radiophoniques, des projections cinématographiques et des représentations théâtrales.

Plusieurs fois mis en œuvre durant la guerre d'Algérie, l'état d'urgence n'a, depuis, été décrété qu'à deux reprises : en 1985, en Nouvelle-Calédonie, lors des affrontements qui avaient alors touché l'archipel, et en 2005, face aux émeutes dans les banlieues, à l'initiative du gouvernement de Dominique de Villepin. 

 

Clinton: la Russie et la Chine principaux adversaires des USA

L’aveu de faiblesse des USA face à l’armement Russe et Chinois !

Heureusement qu’ils ne peuvent pas toujours s’attaquer à tous les pays impunément.

Clinton: la Russie et la Chine principaux adversaires des USA

12:48 15.11.2015 (mis à jour 13:32 15.11.2015)

Former US Secretary of State Hillary Clinton

La candidate à la présidentielle américaine Hillary Clinton estime que la Russie et la Chine constituent les principaux défis militaires auxquels les Etats-Unis sont confrontés.

"Certains différends persistent toujours. Notamment, en mer de Chine méridionale où la Chine poursuit la construction de bases à des fins militaires. De même, la Russie présente des problèmes. Récemment, Moscou s'est lancé dans la construction d'un sous-marin sans pilote, susceptible de transporter des armes nucléaires tactiques, ce qui a été d'ailleurs capté par nos caméras", a-t-elle martelé lors de débats du Parti démocrate.

Soulignant la nécessité de "décisions pondérées" et d'une "approche plus souple et bien ciblée", Mme Clinton s'est toutefois abstenue de tout commentaire sur les mesures à prendre pour relever ces défis.

Les débats en question, impliquant l'ex-secrétaire d'Etat Hillary Clinton, le sénateur du Vermont Bernie Sanders et l'ex-gouverneur du Maryland Martin O'Malley, se sont tenus le 14 novembre à Des Moines, en Iowa.