Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

26/12/2008

Apocalyse 2012 : Livre

Apocalypse 2012

Lawrence E. Joseph est journaliste au New York Times.  Il vient de publier un ouvrage intitulé Apocalypse 2012 aux éditions Morgan Road Books.  Partant du postulat que les Mayas ont souligné la date du 21 décembre 2012 comme celle de la fin d'un monde, ce journaliste questionne d'éminents scientifiques qui lui font part des menaces, tout à fait réelles, étudiées et calculées, qui pèsent actuellement sur la terre, et par le fait même, sur l'humanité.

Il semble que le 21 décembre 2012, le fond de la voie lactée ne sera pas visible de la terre.  Il s'agirait d'une position astronomique très particulière et quon ne revit que tous les 26,000 ans. Pour les Mayas, éminents astronomes, cette date marque la fin d'un monde par le sang et l'agonie et bien sûr, le début d'un nouveau monde.

Quelles sont donc ces menaces que ce journaliste relate?

L'activité solaire de plus en plus tumultueuse

Depuis 1940, et plus particulièrement depuis 2003, l'activité du soleil est de plus en plus tumultueuse. Cela ne s'était pas vu depuis 11 000 ans, date de la dernière glaciation.  Les physiciens prévoient une augmentation croissante de l'activité solaire qui atteindra son apogée en 2012. De plus, il semble que les gros ouragans sont directement reliés aux tempêtes du soleil.  La grande vague des ouragans en 2005 a coïncidé avec les semaines les plus actives au plan des tempêtes solaires.

Le champ électromagnétique de la terre s'affaiblit considérablement

Le champ électromagnétique terrestre, notre défense contre les radiations solaires dangereuses, a commencé à s'affaiblir et on dénote actuellement une fissure dans l'Atlantique sud aussi grande que l'état de la Californie. Les scientifiques envisagent avoir peut-être affaire à un renversement des pôles lors duquel la protection du champ magnétique tombe à zéro.

Notre système solaire pénètre dans un nuage de turbulence interstellaire

Les géophysiciens russes croient que notre système solaire est sur le point de pénétrer un gros nuage de turbulence interstellaire. Ce nuage aurait pour effet de déstabiliser la terre et l'atmosphère des planètes.  Leurs prédictions concernant une éventuelle catastrophe résultant de la rencontre de notre système solaire avec ce nuage de turbulence interstellaire varient entre les années 2010 et 2020.

Le danger de voir une comète ou un astéroïde tomber sur la terre

Les physiciens de l'université de Berkeley qui ont découvert que les dinosaures et 70 % de toutes les espèces vivant sur terre furent exterminés par l'impact d'une comète ou d'un astéroïde, il y a de cela 65 millions d'années, croient avec certitude qu'un événement similaire pourrait survenir plus rapidement qu'on pense.

L"irruption du super-volcan Yellowstone

Le super-volcan Yellowstone, situé dans le Montana, aux États-Unis,  entre en irruption de façon catastrophique tous les 600,000 à 700,000 ans. Sa dernière irruption remonte à environ 640,000 ans et ce volcan avait alors craché dans l'atmosphère 1,000 kilomètres/cubes de cendre.

Actuellement, des scientifiques ont remarqué que le chaudron du volcan, dont la périphérie est de 50 kilomètres de long par 20 kilomètres de large, s'est soulevé de deux pieds depuis l"été 1979. Ce chaudron est assis sur des réserves considérables d"uranium. De plus, les autorités ont constaté, très récemment, que la température des lacs du parc Yellowstone a augmenté de façon anormale.  Depuis ce constat, certains secteurs du parc ont été fermés au public.

Des reporters de la BBC ont tenté de dépeindre dans un docudrame télévisé l'impact d'une éventuelle explosion du Yellowstone. Ils dépeignent un événement très similaire à un hiver nucléaire, obscurcissant le ciel pour une décennie et plongeant des régions populeuses dans la famine, le désastre et la maladie.

La dernière irruption comparable à l'éventuelle irruption du Yellowstone fut celle de Lac Toba, en Indonésie, il y a de cela 74,000 ans. Elle a mené à la destruction de 90 % de la population de ce temps.

Yellowstone webcam

Nouvelles sur Yellowstone

Le site officiel de Lawrence E. Joseph



 

Apocalypse 2012

16/12/2008

Spiritualité : Changeons-nous pour changer le monde !

POUR LES PASSEURS DE LUMIERE OU D'ENERGIE
 
Lorsqu'il vous semble que tout est perdu.
Que vous êtes impuissant(e) à changer le monde et les choses qui nous entourent.
 
Que vous vous désolez d'entendre parler de guerre, de voir l'état dans lequel nous nous trouvons et se trouvent notre Chère Planète Terre, et l'Humanité tout entière.
 
Que vous ne vous reconnaissez plus dans ce monde de violence sans aucun repère, et qu'il vous arrive de souhaiter que tout s'arrête.
 
Il vous reste encore un espoir et une chance : VOUS !
Vous êtes la personne la plus importante au Monde pour notre Créateur, car grâce à la puissance qui est en Vous et à la FORCE de vos pensées créatrices, NOUS pouvons tous ENSEMBLE faire en sorte que le Monde change.
 
TOUS ENSEMBLE CHANGEONS NOTRE ETAT DE CONSCIENCE POUR CHANGER NOTRE FUTUR !
 
Construisons notre EDEN pour NOUS et pour NOS enfants, dès MAINTENANT !
Acceptons de devenir les PASSEURS DE LUMIERE ou d'ENERGIE pour nous apercevoir que Notre Créateur ne nous a jamais abandonnés, mais que nous avions simplement perdu le lien avec l'ESSENTIEL !
 
Un petit quart d'heure de votre temps, tous les soirs à 21 h, pour faire la Prière Universelle et envoyer la Lumière sur l'Humanité, Notre Terre et toute la Galaxie.
 
Toute notre Galaxie compte sur NOUS TOUS pour nous ouvrir à la conscience spirituelle et Universelle, et nous offrir NOTRE NOUVEAU MONDE. Nous devons le choisir dès MAINTENANT !
 
Quelles que soient votre religion ou vos croyances, ESSAYEZ et vous ne serez pas déçu(e).
 
ACCEPTEZ CE CADEAU QUE LE CIEL NOUS OFFRE  !
 
Les outils pour nous changer et changer le Monde :
http://lumiere-universelle.cabanova.fr/

11/12/2008

Réchauffement climatique ou Alignement galactique ?

http://www.lepouvoirmondial.com/media/01/01/1291972683.jpghttp://www.lepouvoirmondial.com/media/01/00/953682133.jpg

Alignement galactique, sursauts gamma et dédoublement quantique du système solaire en vue d’un « décollage » à fin 2012

L'article complet ici :  

(par Denis Bloud – mise à jour du vendredi 21 novembre 2008)

Site de Denis Bloud  :  http://dbloud.free.fr

Albert Einstein a prédit que l’humanité n’aurait plus que 4 ans à vivre en cas de disparition des abeilles (cliquer sur ce lien afin de visionner un diaporama détaillé confirmant ce délai). Or c’est ce qui est en train de se produire, dans la plus grande discrétion et dans le plus grand silence: 2008+4 =2012. Mais d’autres phénomènes allant dans le même sens se produisent à plus grande échelle, comme les suivants.

1)  La bande photonique issue du trou noir de notre galaxie se rapproche du Soleil

 

Comme indiqué clairement par le schéma ci-dessus, le plan écliptique de notre système solaire est à angle droit avec le plan équatorial de la galaxie, qu'il traverse verticalement (nord-sud-nord) tous les 34 millions d'années à la vitesse de 5-7 km/s. En même temps, notre Soleil gravite autour du centre de la galaxie à la vitesse de 217,215 km/s (soit un tour en 226 millions d’années). Dans ce mouvement, le Soleil se rapproche (comme actuellement) puis s'éloigne du bras spiral de Persée à la vitesse de 20 km/s (soit un cycle de 140 millions d'années entre traversées de bras spiral). La vitesse de révolution galactique du Soleil (217,215 km/s) est supérieure à la vitesse de rotation de la Galaxie. Il passe ainsi de bras spiral en bras spiral et rencontre alternativement des régions pauvres en poussières et d'autres riches en nuages moléculaires froids. C'est ainsi que dans un passé récent (5 millions d'années) le Soleil a quitté le bras Sagittaire-Carène pour revenir vers le bras de Persée, qu'il atteindra 10 millions d'années plus tard.

La suite ici :http://dbloud.free.fr/decollage.htm

 

10/12/2008

L'imposture du réchauffement global et de l'effet de serre

L'imposture du réchauffement global et de l'effet de serre

L'Agora, vol 5, no 4 (1998)
En kiosque le 17 juillet

par Yan Barcelo

Du même auteur, dans le même numéro
La grand'peur informatique de l'an 2000
L'accélération technologique
Le décrochage scientifique et technique des jeunes

On parle partout de "réchauffement global" et "d'effet de serre" comme s'il s'agissait de choses acquises et universellement entendues. Une faction extrémiste du lobby écologique, de puissants départements gouvernementaux et toute la machine "ONUsienne" ont convenu que la planète était en danger de mort, que les principaux coupables sont l'appareil de production industriel et la surpopulation, et qu'il faut maintenant sabrer radicalement dans l'industrialisation et dans la population pour tout ramener à des proportions "raisonnables".Or, rien n'est moins sûr. Le noeud du mouvement écologique qui lutte contre l'hypothétique réchauffement global se trouve dans un puissant lobby international qui s'est constitué autour des "constatations" de l'IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change), bureau activiste du Programme Environnemental des Nations-Unies (UNEP). La base de tout l'argument de l'IPCC c'est que le taux de CO2 en suspension dans l'air soit passé de 280 particules par million (ppm) vers 1860, à 360 ppm aujourd'hui.

Cette hausse, affirme l'IPCC, est due à l'accroissement constant de la consommation de carburants fossiles (pétrole et charbon surtout). Si l'humanité continue sur sa lancée actuelle, prévoyait le premier rapport de 1990 de l'IPCC, la concentration de CO2 atmosphérique va passer à 500 ppm d'ici l'an 2050. Et ce sera la catastrophe! Déjà, au cours de ce siècle, la hausse de la température produite par cette plus haute concentration de CO2 a été de 1.2 à 1.5° Celsius. En l'an 2050, annonçait le rapport de l'IPCC, la température croîtra encore de 3° à 4° Celsius. Et il y aura des inondations côtières majeures, suite à une hausse des océans allant jusqu'à six mètres. Par ailleurs, des zones entières à l'intérieur des continents souffriront de désertification accélérée.

Conclusion: a) il faut réduire notre consommation d'énergie, ce qui équivaut à sacrifier des pans entiers de nos économies et b) il faut mettre une halte à la croissance des populations. Quel est le niveau de réduction de consommation énergétique envisagé? Soixante pour cent, dit l'IPCC. Bill McKibben, dans l'article "A Special Moment in History", paru dans la revue Atlantic Monthly de mai 1998, donne la mesure d'une telle coupure en calculant qu'en l'an 2025, pour maintenir un niveau acceptable de consommation d'énergie - question d'éviter la catastrophe - l'Américain moyen en sera réduit à avoir une ration de production de trois livres de CO2 par jour: tout juste ce qu'il faut pour faire fonctionner un réfrigérateur. Adieu téléviseurs, ampoules électriques, ordinateurs, automobiles, bref, à peu près toute l'infrastructure technologique sur laquelle repose la civilisation occidentale.

Or, il s'avère que toutes les données avancées par l'IPCC sont extrêmement tendencieuses, et les projections, hautement spéculatives. Tout d'abord, la hausse annoncée du CO2 dans l'atmosphère relève d'une décision unilatérale de ne retenir dans les lectures d'atmosphère emprisonnée dans les glaces que les lectures de ppm les plus basses, alors que les échantillons correspondant au XIXe siècle ont des variations qui vont de 250 à 550 ppm En fait, une lecture plus véridique et exacte établirait que les niveaux du milieu du XIXe siècle ne sont pas beaucoup plus bas que ceux d'aujourd'hui ("Ice Core Data Show No Carbon Dioxide Increase, Zbigniew Jaworowski", 21st Century Science and Technology, November 1997, pp. 62 à 72).

En outre, Jaworowski établit qu'il n'existe aucune corrélation fiable entre les niveaux de CO2 contenus dans l'atmosphère à un moment donné et les résidus qu'on retrouve enfermés dans les échantillons de glace. En d'autres termes, on n'a jamais pu démontrer d'une façon concluante qu'une concentration de 350 ppm de CO2 se traduisait par une concentration identique enfermée dans une bulle de glace. En effet, comment expliquer qu'à une époque où la concentration moyenne était de 280, il y ait eu des échantillons montrant des concentration de 550? Quant aux hausses de température annoncées, comment croire qu'elles augmenteront autant que le prédit l'IPCC quand aucune hausse réelle n'a été décelée au cours du dernier siècle, ni dans l'air ni dans les mers. Selon Robert Balling, éminent climatologue à l'Université de l'Arizona, de 1979 à 1990, alors qu'on devait assister à la plus forte accumulation de gaz à effet de serre dans l'atmosphère, les mesures de température établies par les satellites étéorologiques ont montré un réchauffement de seulement 0,001°C. Pourtant, les modèles courants de simulation informatique des climats, sur lesquels se basait l'IPCC, prévoyaient pendant la même période une hausse des températures de 0,3°C.

Enfin, n'importe quel climatologue sérieux vous dira qu'une température de 2 degrés celsius supérieure aux températures actuelles représente en fait l'équivalent du climat qu'on retrouvait il y a environ 600 ans. Et la science de la climatologie s'entend pour identifier cette période comme étant "l'optimum climatique", condition où on pouvait faire pousser la vigne dans les îles britanniques et au Groënland, par exemple, et où le Sahel était une grande plaine verdoyante.

Une autre donnée fondamentale de la climatologie, qui tient aux cycles de glaciation de 100,000 ans établis par Milankovitch et Wegener, veut qu'après avoir connu un court intermède interglaciaire au cours des 16,000 dernières années, nous cheminions présentement vers une nouvelle aire glaciaire. La planète, à cause des transformations subtiles qui s'exercent dans le cycle de son orbite solaire, est appelée non pas à se réchauffer, mais à se refroidir, situation qui, selon plusieurs observations, est déjà amorcée. C'est la juxtaposition de ces deux données (optimum climatique et nouvelle ère glaciaire) qui a amené, en 1990, un grand climatologue russe (dont le nom nous échappe en ce moment), à déclarer, lors d'un symposium international d'écologistes commandité par l'IPCC, que la meilleure chose qui puisse arriver à l'humanité serait un nouveau réchauffement de deux ou trois degrés celsius, question de retarder autant que possible l'arrivée de la prochaine glaciation. Il recommandait, en supposant un lien causal entre l'industrialisation et le réchauffement planétaire, que nous brûlions le plus de combustibles fossiles possible, et que nous nous empressions d'en trouver de nouvelles réserves. Ce climatologue ne fut plus jamais invité aux événements de l'IPCC. Chose intéressante, au fur et à mesure que les modèles informatiques se raffinent et commencent à reproduire très modestement et très partiellement le comportement réel du climat, les prévisions de croissance du CO2 et du réchauffement s'amenuisent sensiblement. Dans son dernier rapport de 1995, l'IPCC en était rendu à ne prévoir qu'une hausse d'un degré Celsius jusqu'en l'an 2050. Pourtant, même s'il n'y avait plus lieu de crier à la catastrophe, l'organisme persévérait dans le même ton d'urgence que dans son premier rapport de 1990.

Par ailleurs, Sallie Baliunas, astrophysicienne à l'Université Harvard, remettait en question la théorie actuelle qui veut que les événements climatiques extrêmes augmentent. Certes, on possède des données de l'industrie des assurances qui affirment que ces événements s'avèrent de plus en plus coûteux, mais aucune donnée ne montre d'une façon convaincante que de tels événements connaissent une hausse significative.

Notons pour finir que, dans son rapport de 1995, l'IPCC prévoyait un réchauffement sensible des océans. Or, une assemblée générale de l'"International Association for the Physical Sciences of the Oceans", en 1994, établissait qu'on n'avait noté aucune tendance à la hausse de la température des océans au cours des 50 dernières années. Or, supposons qu'un quelconque réchauffement se vérifie dans les années à venir, pourra-t-on affirmer qu'il est causé par un excès d'activité industrielle? Rien n'est moins sûr, surtout quand on sait, comme l'établissait en 1992 le climatologue T.V. Segalstad, de l'Université d'Oslo, que l'humain ne produit que 4% du CO2 atmosphérique, l'autre 96% provenant de l'activité normale de la nature (émanations marines, jeunes volcans).

Mais reste la question ultime: pourquoi le climat semble-t-il actuellement si instable? On ne le sait pas. On ne le sait tout simplement pas. Une des hypothèses les plus plausibles de l'heure, que le lobby "éco-hystérique" s'empresse évidemment de rejeter dans l'ombre, met de l'avant une activité désordonnée du fameux courant El Nino, activité elle-même causée par une recrudescence aiguë de conflagrations solaires, constatée depuis quelques années. Bref, les observations qui jettent le doute sur l'état d'urgence environnemental que réclament l'IPCC et ses cohortes écologistes sont légion... et laissent songeur. Si d'éminents spécialistes des climats refusent de se plier au simulacre de "consensus" scientifique que l'IPCC prétend avoir établi, on peut se demander qu'est-ce qui est ici à l'oeuvre.

Source : http://agora.qc.ca/textes/barcelo3.html