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15/03/2011

Japon : Tokyo, Deux nouvelles répliques et de la nervosité en Russie

Lisez tout le suivi des opérations : HALLUCINANT !

 
Et chez nous tout va bien, sauf qu'ils vont vérifier toutes les centrales nucléaires !
Au fait, on se demande si l'urgence aujourd'hui était celle de vérifier les centrales nucléaires qui sont toutes défectueuses comme nous le savons, et qui sont données pour être les plus sûres au monde ou s'il était plus urgent de vérifier si la radioactivité nous touche ou doit nous toucher ?

On rigolerait si ce n'était pas si grave ! Bref !
S'ils vérifient toutes les centrales nucléaires aujourd'hui c'est que nous allons connaître prochainement de cataclysmes dont les populations n'ont pas été prévenues !

  
Deux nouvelles répliques frappent le nord-est du Japon
 

Deux nouvelles répliques ont frappé mardi soir le nord-est du Japon à quelques minutes d'intervalle, faisant trembler les immeubles de Tokyo.
La première secousse, d'une magnitude 6,2 sur l'échelle de Richter, a été enregistrée mardi soir au large de la préfecture de Fukushima, à 325km au nord-est de la capitale, non loin de l'épicentre du puissant séisme de vendredi dernier. Trois minutes plus tard, une réplique de magnitude 6 a été recensée sous la préfecture de Shizuoka, à 90km au sud-ouest de Tokyo.
 
Nervosité en Russie

La nervosité s'est emparée mardi de l'Extrême-Orient russe, les habitants de Vladivostok surveillant en temps réel le niveau de radiation alors que les militaires se préparaient à évacuer les îles près du Japon en cas de détérioration de la situation.

En dépit des assurances officielles sur le niveau de radiation qui reste pour le moment dans les normes, l'armée russe a prévu de mobiliser les navires de la flotte du Pacifique et des avions militaires en cas d'évacuation de la population des îles Kouriles et de Sakhaline, qui disposent de moyens de transport limités.
  
 
Nous vous rappelons qu'aujourd'hui nous avons un alignement planétaire et vous vérifierez par vous-mêmes par ce lien :
 
Qu'un nouveau volcan s'est réveillé en Indonésie le 13 mars 2011 alors qu'il était endormi depuis 1815. Et de 4 !
  
Mount Tambora - 7 - Indonesian -  Archipelago - Indonesia - Sumbawa Island - 1815 - 13.03.2011
(Voir l'image ci-dessous)

Volcan Indonésie.JPG

 

Par ailleurs, il y a eu aujourd'hui nombre d'incidents d'avions sur les USA, qu'ils se sont chargés de censurer immédiatement.
Ce sont des icônes jaunes avec un avion noir
dessus !
 
 
 
 
 

Nucléaire : l’accident de Fukushima classé niveau 6

Info rédaction, publiée le 15 mars 2011

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Fukushima (Crédit photo : NHK)

Le président de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), André-Claude Lacoste, a déclaré ce mardi que l’accident nucléaire en cours à la centrale japonaise de Fukushima avait atteint le niveau 6 de gravité sur l’échelle internationale, qui en compte 7 au total.

"On est dans une catastrophe tout à fait évidente", a déclaré ce mardi André-Claude Lacoste lors d'une conférence de presse à Paris. L’accident nucléaire qui a lieu à la centrale de Fukushima est bien plus grave que prévu initialement. "Il est tout à fait clair que nous sommes à un niveau 6, qui est un niveau intermédiaire entre ce qui s'est passé (à la centrale américaine de) Three Mile Island (en 1979) et à Tchernobyl", a affirmé le président de l'ASN.

Samedi, l’accident de Fukushima avait été classé au niveau 4 par les autorités japonaises, au lendemain du plus violent séisme de l’histoire du pays, et du tsunami qui a frappé la côte nord-est de l’archipel.

Le niveau 7 sur l’échelle internationale n’a été atteint qu’une seule fois dans le monde, en 1986, lors de l’accident nucléaire de la centrale ukrainienne de Tchernobyl.

En vidéo sur Maxisciences, l’explosion du réacteur n°3 de Fukushima survenue hier

http://www.maxisciences.com/seisme-au-japon/nucleaire-l-a...


Comment le séisme japonais a transformé la Terre ?

  



Comment le séisme japonais a transformé la Terre

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Le Point.fr - Publié le 14/03/2011 à 16:41 - Modifié le 14/03/2011 à 16:42

Le très puissant tremblement de terre a eu des conséquences sur la position de l'archipel et sur l'axe de rotation de la planète.

 
 La Terre a été très légèrement transformée par le séisme au Japon. © Osiris / European Space Agency

Le très puissant tremblement de terre a eu des conséquences sur la position de l'archipel et sur l'axe de rotation de la planète.

 
Par Guerric Poncet 

Le tremblement de terre qui a frappé vendredi le Japon a été si puissant qu'il a modifié la planète. Résultat d'un mouvement de cisaille entre deux plaques tectoniques (Pacifique et Amérique du Nord), le séisme était de magnitude 8,9 ou 9 selon les mesures, un record pour le pays. La catastrophe aurait déplacé l'île principale japonaise (Honshū) de 2,4 m, et aurait modifié l'axe de rotation de la Terre de dix centimètres.

Pour mesurer le déplacement des terres nippones, les experts de l'institut de géophysique américain (USGS) ont utilisé des données satellites. "Nous savons qu'une station GPS a bougé de 2,4 m et nous avons vu sur la carte de l'Autorité japonaise d'information géospatiale (GSI) que ce déplacement correspondait à un glissement de la masse terrestre de la même ampleur", a expliqué un porte-parole, interrogé par CNN. Habituellement, la plaque Pacifique grignote 83 millimètres par an sur la plaque nord-américaine.

Autre conséquence du séisme, l'axe de rotation de la Terre aurait été déplacé de dix centimètres, selon des résultats préliminaires de l'Institut national italien de géophysique et de vulcanologie (INGV). Si c'était confirmé, cela n'impacterait pas fondamentalement le rythme de vie de la planète, puisque les journées ne seraient allongées ou réduites que de quelques millionièmes de seconde. Les séismes importants ont souvent des répercussions sur la planète, comme celui de 2010 au Chili ou de 2004 à Sumatra. Le tremblement de terre d'Haïti, en 2010, était, quant à lui, plus faible que certaines répliques du récent séisme au Japon, selon l'USGS.

http://www.lepoint.fr/science/comment-le-seisme-japonais-a-transforme-la-terre-14-03-2011-1306242_25.php

 

Tokyo se prépare à la prochaine catastrophe

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Tokyo se prépare à la prochaine catastrophe

La menace d'une violente réplique plane sur Tokyo. © Feng Wuyong / Xinhua / Sipa

De notre envoyé spécial à Tokyo, Sébastien Falletti

Tokyo retient son souffle. Sur les avenues du quartier chic de Ginza, quelques couples endimanchés font du lèche-vitrine comme si de rien n'était. Deux jours après le violent séisme qui a fait tanguer les immeubles de la mégalopole japonaise, la vie tente de reprendre timidement son cours, mais le coeur n'y est pas.

Une nouvelle catastrophe

Dans les supermarchés, les étalages sont dévalisés : les biscuits, le lait, l'eau, les soupes instantanées ont été raflés par les habitants. Car les Tokyoïtes se préparent avec flegme à une nouvelle catastrophe. Ikumi, employée dans une grande entreprise européenne, fait ses courses et s'apprête à reprendre le travail comme chaque lundi. "Mais j'ai préparé une valise d'urgence en cas d'évacuation", ajoute la jeune femme.

Après le tremblement de terre de 8,9 sur l'échelle de Richter qui l'a frappée vendredi, la mégapole attend dans le calme une réplique de forte puissance pour les heures ou les jours à venir. L'agence météorologique nationale a jeté un froid en affirmant qu'il y avait 70 % de chances qu'un séisme de niveau 7 frappe la mégalopole dans les trois prochains jours. "Séisme de niveau 7, c'est Haïti", prévient Pierre Mouroux, expert à l'Association française du génie parasismique. De quoi convaincre la France d'appeler ses ressortissants à quitter la capitale.

Traumatisés par le nucléaire

"Bien sûr, il y a la peur du big one. Mais ce qui m'inquiète vraiment, c'est une catastrophe nucléaire", explique Shogo Hagiwara, traducteur de 37 ans. Le big one, c'est le cataclysme que les experts prédisent à la capitale depuis des décennies, une répétition du terrible tremblement de terre du Kanto en 1923 qui avait fauché plus de 150 000 personnes.

Mais c'est l'accident à la centrale nucléaire de Fukushima, à 200 kilomètres au nord de la capitale, qui plonge l'archipel dans l'inconnu. En cas d'explosion nucléaire, des vents défavorables pourraient répandre des particules radioactives sur la capitale en quelques heures.

Surtout, la population ne croit pas aux propos rassurants des autorités, soupçonnées de minimiser la gravité de la situation afin d'éviter un mouvement de panique. "Sur le nucléaire, le gouvernement ne dit pas la vérité", assène Makiko Wakai. Au lendemain du séisme, cette jeune trentenaire est rentrée en catastrophe dans l'archipel pour retrouver sa famille. "Si nous devons tomber, je préfère être avec les miens", conclut-elle en souriant.

http://www.lepoint.fr/monde/tokyo-se-prepare-a-la-prochaine-catastrophe-13-03-2011-1305799_24.php?xtor=EPR-6-[Newsletter-Quotidienne]-20110314

 

Accident nucléaire au Japon : nouveau risque d'explosion

Dépêchez-vous d'acheter et de stocker des Algues et du Miso avant que le nuage radioactif n'arrive chez nous !
Comme vous l'avez compris, les cataclysmes vont aller en s'amplifiant et les risques d'accidents nucléaires risquent de se multiplier dans un futur proche.
Vous avez donc tout intérêt à faire des réserves pour quelques temps pour vous et vos enfants.

Dans le bon de commande ci-dessous vous pourrez commander des flacons de 200 gélules contrairement au conditionnement des gélules d'algues que vous trouverez à beaucoup plus cher dans les pharmacies pour seulement 40 gélules par flacon.

Bon de commande pour acheter vos algues ou vos produits naturels, en PDF :
http://www.lepouvoirmondial.com/media/00/02/1299742412.pdf
L'iode est un produit contingenté en France et n'est délivré que par les pharmacies sur Ordre de l'Etat.
N'attendez pas qu'il soit trop tard !
Lisez bien ce que nous disent les criminels de l'OMS. Pour le vaccin contre le virus imaginaire de la GrippeA/H1N1, ils nous ont mené une campagne médiatique terroriste durant des mois, et là, le risque de contamination radioctive est faible selon eux.

L'organisation mondiale de la santé  (OMS), la référence en matière de santé publique, avait emboîté le pas samedi aux autorités japonaises et européennes en estimant peu préoccupants les risques d'émanations radioactives de la centrale de Fukushima suite au premier incident. "A l'heure actuelle, il semble que les risques pour la santé publique soient assez faibles. Nous constatons que le niveau de radiations émises par une centrale nucléaire est très bas", a déclaré Gregory Hartl, porte-parole de l'OMS.
  
Sauf que l'atome ne connaît pas de frontières et que la radioactivité se déplace avec les vents.
La particule de Césium a une durée de vie trentenaire. Ce qui veut dire en clair, que si elle est véhiculée par les vents et rabattue sur les terres avec les pluies, nous la trouverons durant 30 ans, dans nos aliments et les nappes phréatiques.

Accident nucléaire au Japon : nouveau risque d'explosion

le 12 mars 2011 à 23h01, mis à jour le 12 mars 2011 à 23:25

 

Dossier : Le Japon après le séisme

L'opérateur d'une centrale nucléaire du nord-est du Japon a déclaré dimanche matin (heure locale) qu'un deuxième réacteur donnait des signes de problèmes, avec risque d'explosion, dans la même centrale où une explosion s'était produite la veille. Dimanche au petit matin (heure locale), la compagnie Tokyo Electric Power (Tepco), propriétaire de la centrale de Fukushima, tentait de trouver d'urgence  un moyen d'acheminer de l'eau vers le troisième réacteur de sa centrale de Fukushima, son système de refroidissement étant inopinément tombé en panne. C'est dans cette même centrale qu'une explosion avait fait, la veille, s'effondrer le toit du bâtiment sur un premier réacteur.  

L'organisation mondiale de la santé  (OMS), la référence en matière de santé publique, avait emboîté le pas samedi aux autorités japonaises et européennes en estimant peu préoccupants les risques d'émanations radioactives de la centrale de Fukushima suite au premier incident. "A l'heure actuelle, il semble que les risques pour la santé publique soient assez faibles. Nous constatons que le niveau de radiations émises par une centrale nucléaire est très bas", a déclaré Gregory Hartl, porte-parole de l'OMS.
 
Mais les craintes d'un accident nucléaire majeur étaient vives samedi soir, notamment chez la population japonaise vivant à proximité de cette centrale, Fukushima n°1, située à 150 km de Tokyo, où est survenue une explosion samedi à la suite du très fort séisme et du tsunami. Samedi, des milliers de Japonais évacués des zones proches des installations nucléaires de Fukushima ont été passés samedi au scanner, angoissés par la crainte d'avoir été irradiés. Dans les centres d'évacuation, des secouristes, portant des masques de protection et des vêtements spéciaux, passaient les habitants de la région au scanner pour vérifier l'exposition aux radiations. "Il y a des fuites de radiation, et depuis que l'on sait que la possibilité d'avoir été exposé est grande, on est assez effrayés", confiait Masanori Ono, jeune homme de 17 ans, dans une file d'attente à Koriyama

L'explosion, qui s'est produite à 15H36 heure locale (06H36 GMT), a fait plusieurs blessés parmi les employés. Cet accident nucléaire a été classé au niveau 4 sur l'échelle de gravité des événements nucléaires et radiologique allant de 0 à 7, selon l'Agence japonaise de sécurité nucléaire et industrielle, un niveau qui qualifie les accidents n'entraînant par de risque important hors du site, selon l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).

Entre 70 et 160 personnes auraient été exposées
  
Le chef du gouvernement a ordonné l'évacuation des habitants dans un rayon de 20 kilomètres autour de la centrale, tout en appelant la population locale à garder son calme. A propos de la situation à la centrale de Fukushima N°1, le porte-parole du gouvernement, Yukio Edano, s'est voulu rassurant : citant l'exploitant, Tokyo Electric Power (Tepco), il a souligné que le caisson du réacteur n'avait pas subi de dégâts et que les radiations avaient par la suite diminué. L'Agence japonaise de sécurité nucléaire et industrielle a jugé peu probable que le caisson eût été gravement endommagé, après avoir d'abord averti qu'une fusion pourrait être en cours dans le réacteur. Du césium radioactif a en effet été détecté aux alentours de la centrale, ce qui atteste généralement qu'un tel phénomène est en train de se produire, a noté un expert.
  
Selon l'agence Kyodo, la radioactivité reçue en une heure par une personne se trouvant sur le site correspond à la limite de radioactivité à ne pas dépasser annuellement. Les autorités japonaises ont informé l'Agence internationale pour l'énergie  atomique (AIEA) qu'"il y avait eu une explosion près du réacteur N°1 de la centrale de Fukushima-Daiichi et qu'elles étaient en train d'évaluer l'état du réacteur". A la centrale proche de Fukushima-Daini, le rayon d'évacuation des riverains est de 10 km, a précisé l'AIEA. "Les autorités ont également indiqué qu'elles se préparaient à distribuer des comprimés d'iode aux habitants des zones proches des deux centrales", a ajouté l'agence onusienne. Dimanche matin, le nombre de personnes exposées à des radiations du fait des problèmes de la centrale de Fukushima Daiichi pouvait s'élever au bout du compte entre 70 et 160, selon l'agence nucléaire nippone. Neuf personnes ont montré d'ores et déjà des signes possibles d'exposition aux radiations selon la même source.

 

Le vent emporte l'éventuelle radioactivité vers la mer

La direction des vents permet de chasser une éventuelle pollution radioactive vers le Pacifique, après l'explosion survenue dans une centrale sur la côte nord-est du Japon, a indiqué samedi le président de l'Autorité française de sûreté nucléaire (ASN). "Il semble que la direction des vents éloigne pour le moment une éventuelle pollution vers le Pacifique", a déclaré André-Claude Lacoste devant la presse. "A l'évidence, la situation est grave", a-t-il estimé, tout en soulignant que ses services disposent à ce stade "d'une information parcellaire, incomplète et donc de qualité médiocre, les interlocuteurs naturels de l'ASN se concentrant sur la gestion de la crise", a-t-il expliqué. Par ailleurs, l'Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) veillera à surveiller le territoire français en temps réel pour mesurer toute anomalie. Une réunion se tiendra en fin d'après-midi samedi autour de la ministre de l'Ecologie pour faire le point sur la situation après l'explosion dans une centrale nucléaire au Japon. Et la Commission européenne va convoquer "en  début de semaine prochaine" une réunion des autorités européennes chargées de  la sécurité nucléaire et l'industrie du secteur pour tirer les leçons de l'incident nucléaire au Japon.