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02/01/2015

[Vidéo] TV Lobotomie - La vérité scientifique sur les effets de la télévision ou l'idiocratie à l'oeuvre !

Voici les résultats scientifiques des effets de l'un des organes de propagande ou de l'un des outils de manipulation mentale qu'est la télévision pour ceux notamment qui considèrent que parce que c'est dit à la télé ou à la radio "c'est forcément vrai" ! Et ce, sans chercher la vérité ailleurs, sans lire eni s'informer personnellement et sans connaître l'histoire du monde, la géopolitique ou l'histoire tout court, sans chercher à savoir qui mène le monde depuis des millénaires, sans procéder à des analyses des informations de manière objective par flemme, par peur de découvrir et de reconnaître leur ignorance ou par facilité. Ce qui fabrique quelques millions d'idiocrates que le système corrompu peut parfaitement manipuler et faire adhérer à ses théories mensongères et fumeuses  à mille lieux de la vérité !  

Mais je suis content, je regarde la télé et je gobe tout ce que les merdias aux ordres des lobbies me disent et qu'ils veulent que je sache sans ne jamais me poser  aucune question, ce qui est plus confortable en qualité d'idiot utile du système parce que je suis un parfait mouton prêt à aller à l'abattoir pour les Illuminati  ! !

 

[Vidéo] TV Lobotomie – La vérité scientifique sur les effets de la télévision

Pour les spécialistes, tel Michel Desmurget, il n’y a plus de doute : la télévision est un fléau. Elle exerce une influence profondément négative sur le développement intellectuel, les résultats scolaires, le langage, l’attention, l’imagination, la créativité, la violence, le sommeil, le tabagisme, l’alcoolisme, la sexualité, l’image du corps, le comportement alimentaire, l’obésité et l’espérance de vie.

TV Lobotomie - La vérité scientifique sur les effets de la télévision


Analyse du livre de Michel Desmurget : TV Lobotomie

Ce livre gagnerait sans doute le prix de la couverture la plus laide s’il existait, mais, malgré cette erreur de l’éditeur, il vaut tout de même la peine d’être lu. Michel Desmurget, chercheur à l’INSERM, dans TV Lobotomie. La vérité scientifique sur les effets de la télévision (Paris : Max Milo, 2011) nous propose rien de moins qu’une synthèse de tout ce que les scientifiques savent sur les liens entre la consommation télévisuelle et les attitudes, comportements, capacités, des êtres humains qui consomment de la télévision. Ce bilan scientifique, à partir de 4000 articles selon l’auteur, serait en fait effrayant. Plus on regarde la télévision,  plus on a regardé la télévision, plus on l’a fait jeune, plus on augmente toutes choses égales par ailleurs les probabilités d’événements défavorables pour soi-même  à tous les âges de la vie.  De fait, pour croire aux résultats cités de cette étude, il faut fondamentalement être accessible à la pensée statistique. Comme le montre, le “débat” organisé le 7 février 2011 autour de ce livre sur Europe 1 et la réaction d’une auditrice qui cite son propre cas de téléphagie ne l’ayant pas empêchée d’être, à l’en croire, un génie, c’est un point fondamental.

Ainsi, si l’on a accès au raisonnement en probabilité, typique en épidémiologie par exemple, Michel Desmurget établit à partir de la littérature disponible que :

a) “la télévision est un véritable désastre ontogénétique” (p.136) (conclusion du chapitre II La télé étouffe l’intelligence, p. 71-137), autrement dit des preuves solides existent que, toutes choses égales par ailleurs, le développement intellectuel des enfants se trouve profondément affecté par la consommation de télévision, avec un effet d’autant plus fort que la consommation s’effectue massivement très  jeune (dans les toutes premières années 0-3 ans). Des études montrent même qu’à cet âge précoce, le simple fait d’avoir la télévision allumée dans une pièce  sans la regarder aurait des effets sur le développement intellectuel. La raison profonde de cette déficience en matière de maturation de l’intelligence ne serait pas liée à la qualité déficiente (ou non) des programmes, mais à la nature non interactive de la télévision. Dans le fond, notre chercheur retrouverait dans la littérature savante contemporaine la vérité marxienne selon laquelle la vérité de l’homme (comme de tout animal) n’est autre que la praxis, et que la télévision constitue une forme extrêmement appauvrie d’(in)activité.  En tant que professeur d’université, je dois dire que la courbe historique des scores obtenues aux tests d’admission dans les universités américaines, corrélé avec un retard d’une vingtaine d’années avec la pénétration de la télévision dans les foyers  (p. 92),  m’a plutôt impressionné. L’auteur cite quelques exemples d’études ayant pu montrer que l’introduction de la télévision détraque les comportements enfantins, et qu’inversement, le sevrage télévisuel peut avoir des effets positifs assez rapides (si l’on valorise la réussite scolaire, le sommeil, le calme, etc.).

b) la consommation de télévision est un facteur déterminant d’augmentation des risques de santé suivants : obésité, tabagisme, alcoolisme, sexualité mal contrôlée chez les adolescents, et j’en oublie quelques autres dont la sénescence précoce (cf. chap. III, “La télé menace la santé”, p. 139-201). Sur le tabagisme par exemple, des études montrent que, pour des adolescents, le simple fait de voir des films plutôt anodins dans lesquels apparaissent massivement des cigarettes fumées par des acteurs sympathiques augmentent la probabilité de devenir soi-même fumeur. En conclusion, indirectement, la télévision tue purement et simplement, et, avant cela, coûte cher en dépenses de santé – mais rapporte beaucoup aux entreprises qui manipulent ainsi nos comportements.

c) Enfin, la consommation de télévision rend violent et /ou anxieux (chap. IV“La télévision cultive la peur et la violence”, p. 203-238). Pour l’auteur, sur le premier point, à savoir le fait de voir de la violence et de devenir en conséquence soi-même, toutes choses égales par ailleurs, plus violent et/ou indifférent à la violence, aurait atteint un tel point de consensus parmi les scientifiques que les recherches se sont ralenties sur ce point depuis quelques années. Inutile de continuer à prouver que la terre est ronde. Pour l’anxiété, due au visionnage massif de la télévision, elle s’exerce d’autant plus puissamment sur les plus jeunes esprits.

En résumé, à en croire l’auteur, la communauté scientifique se trouve sur les divers effets négatifs de la télévision dans un consensus semblable par son ampleur que celui que connaissait cette même communauté sur les effets cancérigènes du tabac  alors que l’industrie du tabac et ses affidés  et idiots utiles niaient encore farouchement tout lien – avec la même difficulté donc, à savoir que cette “vérité scientifique” n’arrive pas du tout à s’imposer  dans l’espace public. La plus grande partie des études citées se trouvent être nord-américaines, et l’on découvrira que, sur la foi de ces recherches, les sociétés savantes des Etats-Unis ont multiplié les avis sur les différents points évoqués, sans à ma connaissance aucun effet sur la civilisation télévisuelle de ce pays. Pisse dans ce violon, camarade savant, tu nous intéresses!

Cependant, bien que Michel Desmurget ne fasse pas la différence, il faut distinguer deux séries d’effets : le plus grave, celui du média télévision en soi, par la passivité qu’il implique et qui s’avère  en tout point imparable  dans ses effets à tous les âges de la vie (point a));  et les plus remédiables, ceux qui sont liés au contenu des programmes (incitation à la malbouffe, à la violence, etc.) (point b) et c)). On peut remarquer de fait qu’il existe déjà beaucoup de règlementations pour limiter ce qui est montrable à la télévision. Par exemple, aucun pays n’autorise à ma connaissance de la  vraie pornographie en clair sur des chaînes accessibles à tous; beaucoup de pays disposent d’un système de classification des œuvres selon  le degré de violence; des programmes pour enfants sont conçus et diffusées; on limite ou on interdit la publicité visant les enfants, etc. ; autrement dit, sur les points b) et c), on pourrait, à la limite, imaginer de règlementer en vue d’une télévision qui éviterait les principaux écueils repérés par la recherche. Cela serait sans doute un peu ennuyeux pour beaucoup de gens (plus de séries criminelles, plus de sexe suggéré, plus de fumeurs positifs, etc.) et ressemblerait aux recommandations en la matière de laVie (encore) catholique en 1968 – ou, au contenu de la télévision actuellement gérée par le Patriarcat de Roumanie. Comme le montre l’auteur avec soin (dans le premier chapitre I, p. 33-69), les enfants regardent en gros la même chose que les adultes; donc, à moins de supposer des parents devenus tous raisonnables et ne laissant voir à leurs enfants que ce qui est de leur âge, il faudrait revenir à un terrible degré de censure des programmes. (Dans le cas des Etats-Unis, le principe intangible de la liberté d’expression rend toute réflexion en ce sens largement caduque, mais en Europe, des avancées seraient possibles.)

En revanche, sur le point a), la télévision en soi (quelque soit le contenu) s’avère un désastre ontogénétique pour les enfants (et, accessoirement, tend à aider les adultes à devenir sénile avant l’heure), les perspectives d’action publique me semblent  plus limitées; de fait, l’objectif de l’ouvrage semble être bien essentiellement d’obtenir que les parents, prévenus par l’auteur, arrêtent de laisser la télévision à disposition de leurs jeunes enfants (cf. la conclusion en ce sens p. 246 : “pendant les cinq ou six premières années de vie, toute exposition audiovisuelle devrait être strictement proscrite par les parents tant la télévision trouble le sommeil, promeut l’obésité à long terme et interfère avec le développement intellectuel, affectif, physique et social de l’enfant.” ), et, ensuite, contrôlent strictement la qualité et la quantité de ce qui est regardé par ces derniers. Or, comme il croit pouvoir le montrer, ce sont les adultes eux-mêmes  qui veulent que les (très) jeunes enfants s’intéressent à la télévision (ou à des DVD) afin d’obtenir du répit dans la lourde tâche de l’éducation qui leur incombe. Bien que n’ayant pas d’enfants, cela m’a rappelé que des amis, n’ayant d’ailleurs pas la télévision chez eux pour des raisons fort semblables à celles invoquées par l’auteur,  amis avec lesquels je passais des vacances il y a quelques années, utilisaient sciemment en dernier recours la télévision (cachée jusque là dans un coin du logement)   pour paralyser littéralement leur chère progéniture, plutôt remuante par ailleurs, en cas de nécessité absolue (faire les bagages et le ménage à la fin du séjour). Cela m’avait plutôt amusé à l’époque que de voir cet effet de fascination – un peu le rayon paralysant des séries télévisées de mon enfance -, mais je me rends compte à la lecture de Michel Desmurget que là se trouve largement la clé du problème. Tous les adultes n’ont pas l’énergie pour interagir tout le temps avec  leur progéniture. Se passer de fait de la télévision supposerait une réorganisation des vies familiales.

Plus généralement, si l’on admet que Michel Desmurget, chercheur à l’INSERM, a fait correctement son travail de compilation et engage ainsi sa responsabilité de savant, on peut en tirer trois conclusions.

Tout d’abord, le peu de sympathie exprimée par quelques grands penseurs du siècle dernier à l’égard de la télévision, Karl Popper, Pierre Bourdieu, et Giovanni Sartori, pour citer des grands noms, semble recevoir une confirmation empirique forte de toutes ces études  si l’on partage l’idéal d’une humanité forte et adulte.

Ensuite, on possèderait là un exemple supplémentaire d’écart abyssal entre ce qu’exigeraient les résultats scientifiques et les pratiques socioéconomiques en vigueur. Bien qu’il ne l’ait pas calculé, l’externalité négative de la télévision comme activité sociale parait au total énorme – surtout si l’on compte les effets de long terme qui semblent étonnamment forts. Même si Michel Desmurget se montre très prudent dans ses interventions médiatiques en visant surtout à protéger les enfants d’aujourd’hui et à se présenter comme quelqu’un qui n’est pas contre la télévision en soi, la conclusion logique de son travail serait en fait une suppression pure et simple de la télévision, ou, tout au moins,  dans une société de liberté d’entreprendre, la fin de tout soutien public à cette activité économique nocive. Par exemple, si la télévision en soi creuse la tombe de la performance scolaire et nous promet en plus des générations d’obèses, il n’est peut-être pas nécessaire de financer cela sur fonds publics. Ou, du moins, pourrait-on se limiter à une seule chaine exempte de tout effet nocif par le contenu et ne visant que les plus de six ans. Bien évidemment, on  n’en fera rien! C’est là un aspect fascinant de nos sociétés, cette capacité à payer des gens pour savoir qu’on se détruit en faisant telle ou telle chose, tout en s’en souciant peu au total. Je pourrais aussi citer la prison comme institution criminogène, ou les deux roues comme cause de mortalité massive sur les routes. Mais, dans le fond, après tout, nous pouvons (encore) nous payer ces luxes.

Dernier point :  M. Desmurget nomme sans aménité aucune “pipeaulogue” les spécialistes des médias ou  les essayistes qui nient ou minimisent les effets qu’il décrit à la suite de cette littérature qu’il a dépouillé.  Son livre prend en effet parfois le ton d’un pamphlet, mais c’est sans doute un choix de sa part pour atteindre un plus vaste public qu’avec un rapport de synthèse et pour rendre le contenu moins austère.  Au delà des termes dépréciatifs utilisés à l’encontre de quelques-uns cités dans l’ouvrage, je suis confondu par la divergence entre les conclusions qu’il tire à partir de cette littérature, trouvée essentiellement dans les revues de médecine, d’épidémiologie, de psychologie, et ce que j’avais perçu comme le consensus présent des spécialistes des médias, qui insistent plutôt sur les filtres sociaux à la réception, sur le côté anodin de toute ces contenus.  Par exemple sur le cas de la violence et de la sexualité, l’écart me parait énorme. Il est vrai que le souhaitable que dessine en creux le consensus scientifique auquel se réfère Michel Desmurget ressemble fort à la bonne vieille morale éducative de la bourgeoisie  catholique du début du siècle dernier. L’auteur s’en défend et s’en amuse même parfois, mais il reste qu’il casse totalement le lien entre “progressisme” (entendu comme recherche de l’autonomie pleine et entière de l’individu) et “libéralisme culturel” (entendu ici comme extension du domaine du montrable). Finalement, cela voudrait dire que des films-culte comme Pulp Fiction ou simplement  Avatar sont porteurs de maux pour les jeunes qui en sont les plus friands consommateurs. Si la violence, le sexe et le tabagisme montrés aux masses adolescentes ne sont plus aussi anodins que cela, où va-t-on arriver ma brave petite dame? Chez Benoit XVI? Chez les talibans? Et puis, par ailleurs, si l’on n’a plus de faits divers bien gores pour le JT, de quoi peut-on parler alors? Où sera l’émotion?

Source : Bouillaud’s Weblog

Michel Desmurget

Michel Desmurget : l'impact de la télé sur notre santé

 
P.S. Dans un autre registre, comme signalé en commentaire, je vous conseille le film Idiocracy (Planet Stupid “en français”, de 2007). Au 1er degré, ça ne vole pas super haut, mais au second, c’est une critique assez radicale et bien vue…

Idiocracy trailer Bande-annonce

P.P.S. : et pour le coup, sans aucun rapport avec tout ça, je vous conseille vraiment d’aller voir au cinéma le film La famille Belier, c’est remarquable de sensibilité et une belle façon de commencer l’année… :)

La Famille Bélier – Bande annonce HD

 

 

 

 

 

 

31/12/2014

L’UPR demande au gouvernement de s’expliquer sur sa surveillance des Français et sa passivité face à l’espionnage américain

Un seul qui bouge en France !

L’UPR demande au gouvernement de s’expliquer sur sa surveillance des Français et sa passivité face à l’espionnage américain

Qu'est-ce que le projet Indect ?

COMMUNIQUÉ DE PRESSE DE L’UNION POPULAIRE RÉPUBLICAINE

= Dimanche 28 décembre 2014 =

OBJET : L’UPR demande au gouvernement de s’expliquer sur la surveillance étroite qu’il exerce à l’encontre de la population française et sur sa passivité face aux actes d’espionnage des États-Unis d’Amérique et de plusieurs de leurs alliés.

TEXTE  :

Incapable de regarder les Français en face, le gouvernement a pris en catimini, le jour de Noël, de nouvelles mesures liberticides destinées à étendre la surveillance de la population. [http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/guerric-ponce...]

Le décret publié ce 24 décembre 2014, qui précise les modalités d’application de l’article 20 de la loi de programmation militaire du 18 décembre 2013, autorise un vaste accès des services de l’État aux télécommunications des Français – téléphone, SMS, Internet principalement – et à toutes les informations qui transitent par les réseaux nationaux. [http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JOR...]

Ces dispositions, justifiées comme d’habitude de manière très vague, au nom de la « lutte contre le terrorisme », s’ajoutent à celles votées, par la procédure accélérée, le 4 novembre 2014 au sein d’une énième loi antiterroriste, qui permet au gouvernement d’interdire la sortie du territoire national aux Français qu’il juge suspects. [http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/11/04/97001-201411...]

L’attitude du gouvernement est d’autant plus troublante qu’il a, de façon certaine, armé et entrainé des combattants qui ont fait allégeance à des groupes islamistes radicaux en Syrie. [http://www.wnd.com/2014/06/officials-u-s-trained-isis-at-...]

La multiplication de mesures liberticides témoigne de la tendance de plus en plus fascisante des gouvernements européistes, gouvernement français en tête. L’UPR note d’ailleurs que ces mesures s’accompagnent d’un silence médiatique et politique quasiment absolu alors qu’elles contreviennent aux libertés les plus fondamentales proclamées par la Constitution de la République. Ces derniers jours, les médias de grande diffusion ont préféré, par exemple, focaliser l’attention des Français sur la nouvelle chienne Labrador de François Hollande ou sur l’insignifiante affaire du film « The interview », pure opération de propagande, plutôt que de les alerter sur la mise en danger du secret de leur vie privée.

Dans le même temps, le gouvernement laisse complaisamment des puissances étrangères – au premier rang desquelles les États-Unis d’Amérique – espionner les institutions européennes ainsi que les intérêts français, quand ce n’est pas directement la population.

  • - Comme l’a révélé une enquête conduite par trois journaux et publiée le 13 décembre 2014, les services secrets britanniques, américains et canadiens ont conjointement piraté dès 2008, et d’une façon spécialement agressive, les télécommunications des institutions européennes. [http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/guerric-ponce...].

Cette cyberattaque, conduite à l’aide du virus ultra perfectionné « Regin », n’a été découverte qu’en 2013 et a ainsi permis à Washington de mettre la main sur des documents sensibles relatifs à la négociation du Grand marché transatlantique (GMT).

Ce véritable acte de guerre, commis par Washington avec la complicité de Londres, rappelle combien la « solidarité européenne » est une fiction et le « lien transatlantique » une relation de vassal à suzerain. Il n’a bien entendu donné lieu à aucune réaction, ni des institutions européennes ni du gouvernement français et n’a pas entravé le moins du monde l’avancée des négociations du GMT. Le scandale des écoutes de la NSA et du dispositif PRISM ainsi que le piratage de l’Élysée en 2012 n’avaient pas suscité davantage de réaction des autorités françaises [http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2012/11/20/01007...] ;

  • - Selon l’ex rapporteur du Conseil de l’Europe et ancien parlementaire suisse, Dick Marty [http://fr.wikipedia.org/wiki/Dick_Marty], dans une interview qu’il a accordée à la RTS le 10 décembre 2014, les pays européens se sont engagés, en application de l’article 5 du Traité de l’Atlantique nord, à accorder l’immunité totale à la CIA, en particulier dans les cas de torture reprochés à l’agence américaine [http://www.rts.ch/info/monde/6374144-les-pays-europeens-s...].


Dick Marty s’était fait connaître pour avoir porté à la connaissance du public le scandale des prisons secrètes de cette même CIA en Europe. Le gouvernement français a observé un silence absolu sur les dernières révélations – ahurissantes – de Dick Marty, lesquelles illustrent, d’ailleurs, l’urgence de faire sortir la France de l’OTAN ;

  • - Un rapport parlementaire de décembre 2014 a révélé la vulnérabilité des entreprises françaises face au dispositif d’espionnage et de pillage d’informations sensibles mis en place par les États-Unis d’Amérique, ainsi que le manque criant de dispositif de défense en la matière du côté du gouvernement français, qui n’a programmé aucune action vigoureuse et urgente depuis. [http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2014/12/18/20002-20141...]

La mise sous surveillance de la population française et l’absence de réaction face aux actes de guerre perpétrés par les États-Unis d’Amérique et plusieurs de leurs alliés contre la France est un nouvel acte de haute trahison du gouvernement français. Ces faits confirment la justesse de l’analyse que François Mitterrand livra, au soir de sa vie, au journaliste Georges-Marc Benamou :

« La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort… apparemment. Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde… C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort ! »

L’UPR demande au gouvernement français de s’expliquer sur le contrôle étroit auquel il soumet la population française et sur sa passivité et son indifférence face à l’espionnage intense – véritable acte de guerre – qu’exercent les États-Unis d’Amérique et plusieurs de leurs alliés à l’encontre des intérêts français.

Si MM. Hollande et Valls ne répondent pas à cette demande parfaitement légitime, les Français auront une nouvelle preuve que la France n’est plus une République et que leurs dirigeants se rendent coupables de haute trahison.

 

============= FIN DU COMMUNIQUÉ ============

NE LAISSEZ PAS DÉTRUIRE VOTRE LIBERTÉ ET LA LIBERTÉ DE CEUX QUE VOUS AIMEZ !

N’oubliez jamais cette formule de l’essayiste suisse du XXe siècle, Max Frisch : dans une dictature, « IL Y A PIRE QUE LE BRUIT DES BOTTES, C’EST LE SILENCE DES PANTOUFLES. »

C’est aujourd’hui qu’il faut la mettre en pratique collectivement : car pour triompher, ceux qui veulent détruire la France n’ont besoin que de votre inaction.

C’est aujourd’hui qu’il faut se rassembler pour faire échec à la destruction programmée de la patrie de Saint-Louis, Henri IV, Louis XIV, Montesquieu, Gambetta, Jaurès, Clemenceau, Charles de Gaulle.

C’est aujourd’hui qu’il faut s’opposer résolument à la soumission à l’empire euro-atlantiste qui est en train de ruiner notre niveau de vie, de transformer la France en dictature et de nous entraîner dans des guerres terrifiantes avec le reste du monde.

https://www.upr.fr/communiques-de-presse/espionnage-ameri...http://www.crashdebug.fr/

 

Le cadeau de Noël du Gouvernement aux Français : la surveillance !

NOUS SOMMES TOUS DES TERRORISTES !

Nous représentons un grand danger pour les Illuminati/Sionistes/reptiliens, car jusqu'à présent en revendiquant le secret maçonnique, ils pouvaient travailler dans l'ombre et le silence pour tromper les peuples en faisant dériver notre attention vers leurs VRP/pions/espions/collabos/marionnettes, soi-disant élus ! Depuis quelques années déjà, les médias alternatifs les ont mis en plein  jour et dévoilé leurs plans machiavéliques d'instauration du Nouvel Ordre Mondial, et les masses commencent à se réveiller et ne sont plus dupes de leurs mensonges et manipulations mentales. Il faut donc faire taire la Vérité et réprimer la résistance à l'oppression de nos prédateurs. Quoi de mieux que de nous museler sur le net et ailleurs ! Bientôt ils ne tarderont pas à nous instaurer la Loi martiale pour nous empêcher de manifester ! Vous appelez cela comment, si ce n'est de la dictature ? 

Croyez-vous qu'il y ait un seul de ces traîtres/collabos qui conteste cette loi liberticide légalement ?

 

Voir aussi : Surveillance du net : la mainmise de l’État sur vos télécommunications

Le cadeau de Noël du gouvernement aux internautes : la surveillance

 

Le Point.fr - Publié le 26/12/14 à 17h45

Le 24 décembre, Matignon a publié un décret sur une mesure très contestée permettant aux agents de l'État de surveiller le Net français. Habile.

 

Manuel Valls, Premier ministre. Manuel Valls, Premier ministre. Guerric Poncet / Creative Commons by-nc-sa 2.0 via Flickr

 

Par Guerric Poncet

 

C'est un cadeau de Noël dont les internautes et les opérateurs français se seraient bien passés. Le gouvernement a publié mercredi 24 décembre, à la faveur des fêtes de Noël, le décret d'application du très contesté article 20 de la loi de programmation militaire (LPM). Ce texte prévoit un accès très vaste des services de l'État aux télécommunications (téléphone, SMS, Internet, etc.) des Français, et à toutes les informations qui transitent par les réseaux nationaux.

 

La mesure de surveillance, pudiquement nommée "accès administratif aux données de connexion", avait été votée fin 2013 et entrera en vigueur le 1er janvier 2015. Dénichées par notre excellent confrère Next INpact, qui évoque "un décret qui sent le sapin", ce sont les modalités de sa mise en oeuvre, tout aussi importantes, qui ont été dévoilées pour Noël.

 

Comme dans de nombreuses démocraties, le spectre terroriste permet au gouvernement de faire passer des mesures très floues et de tirer pleinement parti des systèmes d'information de plus en plus performants afin de surveiller la population.

 

Qui chapeaute le système ?

 

Le décret du 24 décembre présente "le groupement interministériel de contrôle [...], un service du Premier ministre chargé des interceptions de sécurité et de l'accès administratif aux données de connexion". Ce groupement est chargé de centraliser les demandes des agents et de les transmettre aux opérateurs concernés, en les épurant de toute information sensible.

 

En effet, si les services de l'État doivent justifier leurs requêtes auprès du Premier ministre (qui nomme une "personnalité qualifiée"), il est hors de question de transmettre ces explications aux opérateurs. Les fournisseurs d'accès ne sauront même pas de quel service ou ministère émane une demande, ni à quelle date elle a été formulée.

 

Quelles données sont concernées ?

 

Sans surprise, le décret se réfère à l'article 20 de la LPM, sans vraiment le préciser. Peuvent donc être interceptés les "informations ou documents traités ou conservés par les réseaux ou services de communications électroniques, y compris les données techniques relatives à l'identification des numéros d'abonnement ou de connexion à des services de communications électroniques, au recensement de l'ensemble des numéros d'abonnement ou de connexion d'une personne désignée, à la localisation des équipements terminaux utilisés ainsi qu'aux communications d'un abonné portant sur la liste des numéros appelés et appelants, la durée et la date des communications".

 

On notera l'utilisation de la formule "y compris", qui n'est aucunement exhaustive : difficile de faire plus vaste.

 

Un contrôle démocratique insignifiant

 

Face aux critiques sur l'intrusion dans la vie privée, le gouvernement invoque la Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité (CNCIS), un organe très joli sur le papier mais qui n'a jusqu'à présent pas été doté d'un réel pouvoir. Cette commission "dispose d'un accès permanent aux traitements automatisés", et "l'autorité ayant approuvé une demande de recueil d'informations ou de documents fournit à la commission tous les éclaircissements que celle-ci sollicite", promet le décret, plein de bons sentiments.

 

Néanmoins, la CNCIS n'a toujours pas le pouvoir de sanction et ne peut même pas alerter la justice en cas de manquement sur un dossier couvert par le secret de la défense nationale. Habile...

 

Par ailleurs, le gouvernement se protège en supprimant ses archives en un temps record. Si l'on peut saluer la suppression des informations et des fichiers recueillis au bout de trois ans, on ne peut être que surpris par le fait que les registres mentionnant qui a autorisé telle ou telle surveillance soient eux aussi "automatiquement effacés" après trois ans. Le seul contrôle démocratique possible lorsqu'on jongle avec le secret défense, celui qui s'effectue a posteriori, est donc rendu impossible, pour la CNCIS comme pour la justice.

 

À quel prix ?

 

"Les coûts supportés par les opérateurs pour la transmission des informations ou des documents font l'objet d'un remboursement par l'État", précise le décret. Pas un mot sur la grille tarifaire qui sera appliquée, car ils seront définis par les ministères concernés.

 

Qui peut demander les informations ?

 

Trois ministères sont habilités à émettre des demandes. Le décret détaille le nombre impressionnant de services pour lesquels les vannes du Web français sont ouvertes :

 

- Au ministère de l'Intérieur : la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), la Direction générale de la police nationale (unité de coordination de la lutte antiterroriste, Direction centrale de la police judiciaire, Direction centrale de la sécurité publique, Direction centrale de la police aux frontières), la Direction générale de la gendarmerie nationale (sous-direction de la police judiciaire ; sous-direction de l'anticipation opérationnelle ; service technique de recherches judiciaires et de documentation ; sections de recherches), la préfecture de police (Direction du renseignement ; direction régionale de la police judiciaire ; service transversal d'agglomération des événements ; cellule de suivi du plan de lutte contre les bandes ; sûreté régionale des transports ; sûretés territoriales).

 

- Au ministère de la Défense : la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), la Direction de la protection et de la sécurité de la défense, la Direction du renseignement militaire.

 

- Au ministère des Finances et des Comptes publics : la Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières, le service de traitement du renseignement et d'action contre les circuits financiers clandestins.

 

Dans tous ces services, seuls les agents et officiers "dûment habilités" par leur directeur pourront réclamer des informations, assure le décret.

 

Des perspectives inquiétantes

La loi de programmation militaire a mis en place un outil de surveillance de la population française qui aurait fait pâlir d'envie les pires dictateurs de l'histoire. Si nous sommes très loin d'un régime totalitaire en France, il n'est pas exclu que des leaders extrémistes disent demain merci au gouvernement Valls pour leur avoir fourni un tel outil clé en main.

 

30/12/2014

HUMANITÉ EN DANGER - Les 10 stratégies de manipulation des masses

Le site Syti sur les stratégies de manipulation rédigé par Sylvain Timsit publie "Les dix stratégies de manipulation de masses". L'auteur énumère et détaille les stratégies et les techniques de la gouvernance pour la manipulation de l'opinion publique et de la société à travers les médias


 

06/12/2014

Projet Echelon : Le Pouvoir Secret, NSA

 Voici, comment les USA, l'Angleterre et les autres espionnent leurs partenaires ou alliés !

Voir aussi :