Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

16/03/2009

Basculement des pôles : Modifications du champ géomagnétique terrestre

BASCULEMENT DES POLES
Modifications du champ géomagnétique terrestre

Les déplacements erratiques de nombreux corps célestes à travers le système, solaire influent sans doute sur l'orbite et l'axe de rotation des planètes. On a observé que certains changements climatiques coïncidaient avec des modifications du champ magnétique terrestre, mais on ignore encore pourquoi. Il est possible que la brusque disparition d'espèces animales entières (les dinosaures en sont l'exemple le plus connu) ait coïncidé avec de brusques bouleversements du champ magnétique terrestre, désormais prouvés.

Une grande partie de l'Amérique du Nord était couverte de forêts tropicales humides.
A l'inverse, les régions ouest de l'Australie et de l'Afrique du Sud étaient sous les glaces.

Ces modifications ne sont pas des phénomènes perdus dans la nuit des temps géologiques. Les chercheurs ont découvert, dans les cendres de feux de camp d'aborigènes australiens, des preuves irréfutables que les pôles Nord et Sud occupaient des positions très différentes de celles d'aujourd'hui, et une inversion complète des pôles n'est pas exclue non plus. Ces modifications magnétiques, et les bouleversements qu'elles auraient entraînés, dateraient d'une époque relativement récente.

Une inversion soudaine des pôles magnétiques comparable à celle qui s'est produite dans le passé provoquerait une série de séismes le long des lignes de faille tectoniques et de gigantesques raz de marée consécutifs à des bouleversements subocéaniques. Des îles seraient englouties, des régions côtières et des plaines disparaîtraient sous les flots, tandis que des fonds marins surgiraient des profondeurs. De nombreux pays connaîtraient des inondations comparables au Déluge de la Bible. Des prédictions semblables avaient déjà été faites, par Edgar Cayce notamment, mais on ne les avait pas prises au sérieux. Ces nouveaux éléments feront que l'on prêtera peut-être désormais plus d'attention à ces prédictions.

Un basculement axial de la Terre générerait ouragans et raz de marée. De tels bouleversements cataclysmiques se sont sûrement déjà produits dans le passé. Les importants gisements de charbon de la Grande-Bretagne prouvent qu'à l'ère carbonifère la région connaissait un climat tropical, avec de vastes étendues de fougères et de marécages. De même, une grande partie de l'Amérique du Nord était couverte de forêts tropicales humides. A l'inverse, les régions ouest de l'Australie et de l'Afrique du Sud étaient sous les glaces.

Alfred Wegener, dans les années 20, avait avancé une explication fondée sur la dérive des continents, mais elle supposerait une dérive de grandes masses continentales sur des milliers de kilomètres. Le scénario d'un basculement de l'axe de la Terre semble plus plausible, et permet, par exemple, de comprendre comment des troupeaux de mammouths paissant paisiblement dans une Sibérie chaude ont pu être pris dans les glaces après un brutal changement climatique. La congélation fut si rapide que l'on retrouva des fleurs non digérées dans l'estomac de l'un d'eux ! Une thèse opposée soutient que les mammouths ont toujours habité l'Arctique, mais cela est assez improbable, car un environnement aussi défavorable ne pouvait fournir une végétation suffisante à des animaux de cette taille.

Des expériences menées à l'aide de gyroscopes montrent que ceux-ci oscillent après avoir subi l'impulsion adéquate, mais ne tardent pas ensuite à retrouver un nouvelle stabilité dans leur rotation. Ce modèle théorique gyroscopique pourrait être appliqué à la Terre le passage d'un corps céleste ( Vénus ou un astéroïde ) pourrait donner une impulsion gravitationnelle suffisante pour faire osciller notre planète.

En 1967, l'ingénieur électricien Hugli Brown suggéra que l'axe de la Terre s'était incliné de 90° il y a 7 000 ans à peine. Si sa thèse sur les oscillations polaires régulières est difficile à défendre, celle de la petite oscillation axiale reste fort plausible.

Adam Barber, qui soutint la théorie de Brown dans une brochure intitulée Arrivée d'une catastrophe pire que la bombe H, avait prédit qu'un basculement axial de 135° se produirait dans les prochaines décennies, mais pas avant l'an 2005. Si cette prédiction n'est pas à prendre à la lettre, les écrits de Peter Warlow sur le même sujet, publiés en 1978 dans le journal de physique, méritent, eux, d'être pris au sérieux. Son hypothèse est celle d'un basculement axial à 180° les pôles Nord et Sud permutant. il démontra sa thèse à l'aide d'une maquette, et la confirma par une série de calculs. Selon lui, ce basculement se produirait tous les 2 000 ans environ. Warlow, qui, à l'instar de Velikovsky, prend les mythes très au sérieux, soutient que les Égyptiens ont enregistré à quatre reprises une telle interversion des pôles. Les plus récentes auraient eu lieu en 700 et en 1500 av. J.-C., cette dernière date correspondant à celle avancée par Velikovsky, ainsi qu'à celle de la destruction de la civilisation minoenne de Crète. Aussi, si le Soleil, avant le déluge se levait à l'ouest. Cela expliquerait plusieurs mystères:

Le glissement rapide de l'écorce terrestre.
La présence de mammouths parfaitement conservés dans les glaces de Sibérie, l'herbe ingérée non putréfiée.
Des géologues ont trouvé des roches dont le sens d'orientation cristalline était inversé et ceci ne peut pas s'expliquer que par l'inversion du sens de rotation de la terre ( ou une inversion des pôles ), sinon cela voudrait dire que ces roches sont vraiment trés anciennes et la dérive des continents les ont déplacées trés loin de leur latitude d'origine.
Les anguilles qui traversent l'océan jusqu'à la mer des Sargasses pour revenir se reproduire, comme les saumons, en suivant tout simplement au fond de l'océan, le lit des cours d'eau engloutis.

Des paléobiologistes ont découvert des traces fossiles qui indiquent que « la vie semble avoir été inscrite, gommée et réécrite quatre ou cinq fois, depuis le Cambrien. Ce qu'ils ont constaté, c'est qu'à différentes époques de l'histoire, la vie s'est développée pour être ensuite presque instantanément gommée. A chaque cycle, il s'en est suivi une période où la Terre a été dépourvue de toute vie pendant des millions d'années. Les grandes extinctions de masse sont prouvées. Là encore, elles n'ont jamais été expliquées clairement. Rentrent-elles également dans ce schéma de mort et de résurrection cyclique ?

La Terre, comme une toupie, tourne de moins en moins vite sur elle-même. Elle boucle son tour aujourd'hui en 24 h mais il ne lui en fallait que 22 il y a 400 millions d''années. Le champ magnétique terrestre serait-il en train de s'inverser ? Sur les 150 dernières années, l'intensité de la composante Nord-Sud du champ magnétique a décru de 10%. De plus, le pôle nord magnétique a été sérieusement perturbé ces trente dernières années.

La Terre n'a pas toujours été bleue. Il y a environ 750 millions d'années, elle aurait été entièrement recouverte de glace. Des pôles à l'équateur, une énorme couche de glace aurait recouverte toute sa surface. C'est du moins ce que pensent de nombreux climatologues. Toute trace de vie aurait été éliminée pendant cette longue période. Il y a 800 millions d'années, les continents actuels se regroupent en un seul bloc, la Rodinia. Puis, ce super continent se fissure sous leffet d'une intense activité volcanique. Des mers s'ouvrent et de gigantesques quantités de basalte son libérées ce qui piège une quantité de dioxyde de carbone. L'effet de serre perd alors son efficacité et les températures s’effondrent, provoquant la plus grande période glaciaire de tous les temps.

Des études en paléomagnétisme ont établi que la polarité magnétique de la Terre "s'était inversée plus de 170 fois pendant les derniers 80 millions d'années". Selon un article du géologue S.K Runcorn, Professeur à l'Université de Cambridge, "il ne fait aucun doute que le champ magnétique de la Terre est déterminé directement ou indirectement par la rotation de la Terre". Donc, l'axe lui-même de la Terre aurait changé. Plus simplement, la planète aurait basculé sur elle-même, ce qui aurait entraîné un changement de la localisation des pôles géographiques. Selon des articles parus dans Nature, la dernière inversion géomagnétique a eu lieu il y a 12 400 ans, au onzième millénaire avant notre ère. On sait que cette période est marquée de grandes extinctions dans le monde animal. (Nature 234,27/12/71). Certains scientifiques estiment que la prochaine inversion des pôles magnétiques terrestres aura lieu vers 2030. (article paru dans Nature 12/2/76).

On sait aujourd'hui que les pôles Nord et Sud du champ sont susceptibles de s’inverser. Les laves solidifiées sont là pour en témoigner puisqu’elles pointent alternativement vers les régions australes ou boréales. Depuis quelques décennies, on a d’ailleurs observé l’extension croissante d’une anomalie du champ magnétique dans l’Atlantique Sud. (article paru dans Sciences&Vie N°229).

Selon les lois de la mathématique et de la physique, la Terre ne peut subitement tourner dans l'autre sens à cause de la conservation du moment cinétique ( c'est ce qui fait qu'une ballerine tourne plus vite quand elle raproche ces bras le long du corps ). Il faudrait une collision violante pour que ça se produise ou l'arrivée d'une planete dans notre systeme solaire ( la planete
Nibirudes sumériens? ) dereglant tout sur son passage. Une inversion des pôles est alors plus probable plutôt qu'un changement de rotation de la terre.

LE GRAND CATACLYSME EGYPTIEN

Le Grand Cataclysme se déroule pendant l'ère du Lion, aussi les égyptiens ont ils gravé deux lions dos à dos entre eux, le soleil coincé entre l'hiéroglyphe du ciel l'un vers le haut, l'autre vers le bas, c'est à dire le ciel d'avant et le ciel d'après. L'adolescent repésente surement l'humanité très appauvrie après le déluge.


LA SCIENCE AUJOURD'HUI

Il y a quelques 10 000 ans, l'axe de la terre aurait basculé provoquant un glissement des pôles, créant un cataclysme planétaire. Cet évènement les Égyptiens, ( héritiers des Atlantes? ), l'ont appelé " Le Grand Cataclysme". L'observation du zodiaque de Dendérah, ( aujourd'hui au musée du Louvre ), prouve que les egyptiens avait connaissance de ce déluge. Afin que nul n'en ignore, ils ont pris la peine de le graver, de le peindre et de le sculpter dans les temples, notament dans le temple de Dendérah. Ce zodiaque de Dendérah est infiniment plus vieux que celui du Louvre, daté aux environs de 50 / 150 ans avant JC qui est en fait la sixième reproduction.

L'astrologie que pratiquaient les Atlantes, continueront à l'être dans la colonie refuge d'égypte. Cette astrologie prenait en compte le mouvement de précession des équinoxes, redécouvert par Hyparque ( mathématicien grec ), environ 150 ans avant JC.

Voir:
Atlantide et Egyptiens


QUESTIONS SUR LE CHAMP MAGNETIQUE TERRESTRE

1-Qu’est-ce-que le champ magnétique terrestre?
La terre agit comme un énorme aimant sphérique et est entouré d’un champ magnétique appelé champ magnétique terrestre ou champ géomagnétique. Le champ magnétique terrestre ressemble au champ d’un aimant dipolaire (aimant cylindrique ou en forme de barreau avec des pôles N et S aux extrémités) situé au centre de la terre et incliné approximativement de 11° par rapport à l’axe de rotation de la terre. Cette représentation est trop simple car le champ observé est beaucoup plus complexe et varie non seulement dans l’espace mais également dans le temps. En chaque point le champ géomagnétique est caractérisé par sa direction et son intensité.

2- Le champ magnétique terrestre varie-t-il d’un endroit à l’autre?
Oui, le champ varie d’un endroit à l’autre d’une manière irrégulière ce qui nécessite des mesures en de nombreux endroits pour obtenir une image satisfaisante de sa distribution géographique. Cela est fait en le mesurant dans environ 200 observatoires magnétiques opérationnels sur les continents, complétés par des mesures sur les océans et des mesures par satellite.

3- Que sont les pôles magnétiques?
Les pôles magnétiques sont définis par les endroits où une aiguille aimantée librement suspendue s’oriente verticalement, autrement dit où l’inclinaison du champ est 90°. Ces endroits sont difficiles à déterminer parce que les pôles magnétiques ne sont pas fixes mais se déplacent de plusieurs centaines de kilomètres à cause de la variation diurne du champ et d’avantage encore pendant des orages magnétiques. Des observations récentes en 1990 par le Canadian Geological Survey et le U.S. Naval Oceanographic Office les situent à : 78,5 ° N et 103,4 ° W près de l’île Elef Ringes (Canada) 65 ° S et 139 ° E dans la baie Commonwealth (Antarctique) Les pôles basés sur une analyse globale du champ observé en se limitant aux termes dipolaires (modèle dipôle) sont appelés pôles géomagnétiques. Les pôles géomagnétiques qui correspondent au champ géomagnétique de référence international IGRF (IGRF = International Geomagnetic Reference Field) de 1995 sont situés à : 79,3 ° N, 71,5 W 79,3 ° S, 108,5 W

4- Comment convertir les lectures faites avec une boussole en azimut vrai ou azimut géographique?
La connaissance de la déclinaison du champ de l’endroit pour la période concernée (contacter le Centre de Physique du Globe de l’IRM ou consulter cartes de la déclinaison ou cartes topographiques) permet de convertir la lecture en azimut vrai. L’azimut vrai est obtenu en ajoutant la déclinaison à la lecture (ou azimut magnétique) en suivant les conventions : déclinaison en degrés W ou négative, déclinaison E ou positive). Quand la déclinaison n’est pas connue pour la période concernée, mais pour une autre période, une correction en se basant sur la variation séculaire est nécessaire (contacter le Centre de Physique du Globe de l’IRM ou consulter cartes de la variation séculaire de la déclinaison ou cartes topographiques). On peut aussi ?décliner? la boussole, c’est à dire faire une visée à la boussole dans une direction d’azimut géographique connu (selon une route rectiligne ou d’un point connu vers un repère figurant sur la carte). On peut ainsi déterminer la correction à apporter aux lectures de la boussole.

5- Qu’est-ce que l’équateur magnétique?
L’équateur magnétique est l’ensemble des points où l’inclinaison I est zéro et où la composante verticale V du champ est nulle. Contrairement à l’équateur géographique, l’équateur magnétique est irrégulier et n’est pas fixe. Au nord de l’équateur magnétique l’extrémité nord d’un aimant suspendu librement plonge en dessous du plan horizontal local et I et V sont comptées positives. Au sud de l’équateur magnétique l’extrémité sud de l’aimant plonge en dessous du plan horizontal et I et V sont comptées négatives.

6- Le champ varie-t-il beaucoup en quelques années?
Le champ magnétique varie dans le temps. Le spectre des variations est très large et s’étend de fractions de seconde jusqu’à quelques millions d’années. On distingue les variations d’origine interne des variations d’origine externe. La variation diurne, saisonnière et annuelle sont d’origine externe et trouvent leur origine dans l'activité solaire. Le soleil émet des particules et des radiations; elles provoquent des ionisations dans l’ionosphère qui donnent naissance à des courants électriques accompagnés de champs magnétiques. La plus grande cyclicité d’origine externe connue est d’environ 11 ans liée à la cyclicité des tâches solaires. Les variations d’origine interne ont des périodes plus longues allant de quelques années à des millions d’années. On appelle par définition les variations du champ principal d’origine interne la variation séculaire. Pour des raisons pratiques on appelle variation séculaire la variation d’une année à l’autre. Cette variation n’est donc pas complètement d’origine interne mais contient encore des composantes d’origine externe.

7- Est-ce que le champ géomagnétique s’inversera bientôt?
Bien que l’on observe une décroissance de l’intensité du champ géomagnétique on ne peut affirmer que le champ s’inversera bientôt. A partir des mesures de l’intensité depuis le milieu du 19e siècle certains chercheurs estiment que le moment magnétique dipolaire du champ s’annulera dans environ 1300 ans. Mais la valeur actuelle du moment dipôle est toujours plus importante qu’elle ne l’a été pour la plupart du temps pendant les dernières 50.000 années et la tendance à la décroissance peut basculer à n’importe quel moment. Même si le champ commence à s’inverser, il faudra quelques milliers d’années pour qu’il s’inverse complètement. Le champ ne s'annule pas entièrement lors d’une inversion mais il est plus faible que normalement, avec probablement des pôles multiples. La navigation à l’aide d’une boussole magnétique serait difficile et les animaux migratoires pourraient rencontrer quelques problèmes. Les inversions sont bien connues et bien datées pour les 5 derniers millions d’années à partir de mesures paléomagnétiques et des datations absolues; la dernière inversion a eu lieu il y a 780.000 années. Il est possible, et même probable, que des inversions de courte durée se soient produites depuis.

8- Quel est l’origine du champ magnétique terrestre?
Le champ géomagnétique trouve son siège dans le noyau externe liquide de la terre. L'hypothèse la plus probable, généralement admise actuellement, est que le champ géomagnétique est généré par interaction entre un champ magnétique et le mouvement du liquide dans le noyau externe. Cette hypothèse a été formulée par une théorie que l'on appelle la théorie dynamo. La séismologie nous a appris que le noyau externe de la terre se comporte comme un liquide. Ce liquide est un conducteur électrique et quand il est en mouvement dans un champ magnétique (champ interplanétaire par exemple) des courants électriques prennent naissance accompagnés d'un champ magnétique. A cause de la résistance ohmique ces courants décroissent rapidement et ont donc une durée de vie relativement petite. Il doit donc exister un mécanisme de régénération des courants électriques qui maintient le champ. Un des ces mécanismes est une dynamo auto-excitée.

9- Comment se fait-il que le champ magnétique soit enregistré par les terres cuites?
Les terres cuites contiennent des minéraux magnétiques (principalement des oxydes de fer) qui sont porteurs d’une aimantation rémanente. Lors de la cuisson, quand une température suffisante (température de Curie ou de Néel) est atteinte, cette rémanence disparaît. Pendant le refroidissement, sous cette température critique, une nouvelle aimantation rémanente guidée par le champ magnétique ambiant apparaît. Cette aimantation rémanente est donc un enregistrement du champ pendant le refroidissement.

10- Quelle est la précision de la datation archéomagnétique?
La précision de la datation archéomagnétique dépend de nombreux facteurs: fidélité de l’enregistrement dans les terres cuites, absence de déplacement de la structure, taux de variation du champ magnétique terrestre, précision des diagrammes de référence qui dépend elle-même de la précision de la datation des terres cuites sur lesquels ils sont basés. Dans les cas favorables on peut atteindre une précision de 25 ans.

11- Est-ce que le champ magnétique terrestre a beaucoup varié pendant les périodes archéologiques?
Dans nos régions, au cours des deux derniers millénaires, la déclinaison a varié d’environ 50° (de + 25° W à + 25° E) et l’inclinaison de 20° (de + 55° à + 75°).

21 décembre 2012 : La Purification par le Feu, Le point zéro

21 DECEMBRE 2012
La Purification par le Feu
Le point zéro
 
Au lever du Soleil du 21 décembre 2012 et pour la première fois depuis 26.000 ans,
le Soleil se lèvera pour se joindre à l'intersection de la Voie lactée et du plan écliptique.

Puis le déluge revint et celui qu'on appelait Marduk, Apep, Seth, Typhon, Némésis, Shiva, Gung-gung, La grande Noire, Le Dragon Rouge, Le grand Phoenix, Yahweh, Quetzalcoatl, Lucifer, Wormwood, Étoile Bleue, Étoile Rouge, Fier Messager, Grande Étoile, Grande Comète, La Comète du Jugement Dernier, The Day of the Lord, Le Jugement Dernier, Le Perturbateur, l'Intrus, Christos, l'Invité Céleste, Nibiru, revint encore une fois imposer son cycle à la terre et aux hommes ..

! AVERTISSEMENT !
LE 21 DECEMBRE 2012 N'EST PAS LE JOUR DE LA FIN DU MONDE !

Au lever du Soleil du 21 décembre 2012 et pour la première fois depuis 26.000 ans, le Soleil se lèvera pour se joindre à l'intersection de la Voie lactée et du plan écliptique. Cette croix cosmique est considérée comme une incarnation de l'Arbre Sacré, l'Arbre de la Vie, un arbre reconnu dans toutes les traditions spirituelles du monde. A ce moment-là notre planète est censée enregistrer de très violents séismes terriblement dévastateurs.

Le 20 mai 2012 il y aura une Éclipse annulaire du Soleil, le 6 juin 2012 ce sera le Second et dernier transit de Vénus du siècle, le 13 novembre 2012 nous pourrons voir une Éclipse totale de Soleil ( visible dans le nord de l'Australie et dans le Pacifique sud ) puis le 21 décembre ce sera la fin du grand cycle 13-baktun dans le Calendrier maya (soit plus de 5125 ans).
 

 

Pôles magnétiques terrestres : La Terre pourrait perdre le Nord magnétique

On nous prévient du phénomène possible de l'inversion des pôles magnétiques terrestres depuis 2000.
Ce qui expliquerait la fonte des banquises par déplacement du bouclier magnétique terrestre vers l'équateur avant inversion complète des pôles magnétiques terrestres.

Que fait-on pour prévenir les populations ? Rien !!!!
Continuons à dormir !!!!

 
LE MONDE | 24.04.02 | 12h44

Des variations importantes du champ magnétique, observées par des satellites dans certaines régions du  globe, préfigurent peut-être une inversion des pôles. Ce phénomène s'est déjà produit plusieurs fois dans  l'histoire de la planète. 

 
La terre est-elle en train de perdre la boussole ? C'est ce que pourrait amener à penser une étude de chercheurs du  département de géomagnétisme et paléomagnétisme de l'Institut de physique du globe de Paris (IPG), qui viennent de publier leurs travaux dans la revue Nature.

 Nous baignons tous dans le champ magnétique terrestre, sans nous en apercevoir.
 
Nous en prenons conscience essentiellement lorsque nous devons nous orienter à l'aide  d'une boussole. C'est la manifestation la plus évidente de l'existence du magnétisme terrestre, qui existe depuis plus de 3 milliards d'années et qui est engendré, à   3 000 kilomètres sous nos pieds, par l'agitation du noyau de fer liquide de notre    planète. Du fait de la présence de ce fer liquide (qui se transforme en une graine solide à partir de 5 000 km de profondeur), celle-ci se comporte comme un gigantesque  aimant dont les lignes de champ sont actuellement bien organisées en un dipôle, avec   un pôle nord et un pôle sud magnétiques orientés, peu ou prou, dans l'axe de rotation   de la Terre.
Mais cette configuration dipolaire n'est pas permanente. Elle varie en fonction  des mouvements du noyau liquide terrestre et, dans le passé, il est arrivé à plusieurs reprises que la position des pôles magnétiques soit complètement inversée. De tels changements ont  été mis en évidence par les études paléomagnétiques réalisées sur les basaltes volcaniques anciens. Ces derniers contiennent en effet des grains magnétiques qui ont conservé l'orientation et l'intensité du champ magnétique terrestre de l'époque de leur solidification.

 Or une inversion, avant de se produire, est annoncée par une série d'étapes intermédiaires, qui se manifestent  par des anomalies du champ magnétique. Ce sont peut-être de tels événements que vient de mettre en    évidence l'équipe de l'IPG, dirigée par Gauthier Hulot.

Au terme de son étude, elle conclut que "le   mécanisme mis en œuvre dans les variations constatées pourrait être similaire à celui des inversions   magnétiques". Sans toutefois pouvoir affirmer avec certitude qu'un tel phénomène est en préparation. 
QUATRE GRANDES RÉGIONS 

Les chercheurs - parmi lesquels Mioara Mandea, de l'IPGP, et Nils Olsen, de l'Institut de recherches   spatiales danois de Copenhague - ont accumulé les indices. Ils ont observé l'évolution du champ magnétique  terrestre depuis vingt ans, à partir des mesures prises par le satellite américain Magsat en 1980 et par le  satellite danois Oersted (qui embarquait des instruments du CNES) en 2000.

Le magnétisme terrestre peut en   effet être mesuré soit par des observatoires répartis à la surface du globe, soit par des satellites. Une telle   observation est possible car le manteau entourant le noyau liquide de la Terre, formé de silicates, constitue  un médiocre conducteur électrique par rapport au noyau et est donc "transparent" pour le champ magnétique.

Les scientifiques ont constaté des variations du champ magnétique dans quatre grandes régions du globe. La première, située sous l'océan Pacifique, dans l'hémisphère Nord, est sujette à un changement assez faible.
C'est aussi "l'endroit où le champ magnétique terrestre est le plus intense et le plus proche d'une structure  dipolaire", constate Gauthier Hulot.

Les trois autres régions, en revanche, sont le siège de modifications  beaucoup plus importantes. L'une d'elles se trouve dans l'hémisphère Sud, sous l'Afrique - dans cette zone,  "le champ est moins intense et présente une structure beaucoup plus éloignée de la structure dipolaire"- et les deux autres sont situées aux pôles.

Ces variations sont en relation avec les mouvements circulaires, dans un sens et dans l'autre, qui agitent le fer liquide à la surface du noyau terrestre. L'observation directe de cette agitation étant impossible, les chercheurs ont eu recours à des simulations numériques reconstituant une Terre et un champ fictifs, à partir de modèles élaborés par l'Institut de géophysique et physique planétaire de Los Alamos (Nouveau-Mexique) et le département de sciences planétaires de l'université Johns Hopkins de Baltimore (Maryland).

Or ces simulations ne font pas apparaître la disparité constatée entre les deux hémisphères de la Terre, pour ce qui est de l'ampleur des variations récentes du champ magnétique.

Comment expliquer cette structure    asymétrique ?

D'après les mesures effectuées par les observatoires magnétiques terrestres, dont certains
existent depuis trois siècles, l'importante variation notée dans la zone africaine semble être une caractéristique relativement jeune du champ magnétique terrestre. Et elle est liée "mathématiquement au fait que l'intensité  du dipôle de la Terre a globalement diminué depuis deux mille ans", ajoute Gauthier Hulot. 

"DES PÔLES UN PEU PARTOUT"

La structure dipolaire du champ magnétique terrestre s'affaiblit en effet et l'intensité du champ magnétique  terrestre, après avoir connu un pic il y a 2 000 ans, a décru depuis de 20 % et continue de décroître de façon  accélérée. Si ce processus continue à ce rythme, l'ensemble de la structure dipolaire est appelé à disparaître,  avec pour conséquence "la disparition de la notion de pôle magnétique", prédisent les chercheurs. On   trouverait alors sur notre planète "de nombreux pôles sud et des pôles nord un peu partout". 


Tous ces indices sont-ils vraiment les signes précurseurs d'une inversion du champ magnétique terrestre ?  

Les scientifiques restent prudents. Un argument pourrait plaider en faveur de la survenue d'un tel phénomène : il n'y a pas eu d'inversion depuis 780 000 ans, alors que les études depaléomagnétisme  indiquent que, depuis 10 millions d'années, les inversions arrivent statistiquement tous les 200 000 ans environ en moyenne. Dans une certaine mesure, "l'époque actuelle est inhabituellement stable et une inversion ne serait pas aberrante", estime Gauthier Hulot.

Mais d'autres arguments vont dans le sens contraire. L'intensité du champ magnétique terrestre, même si elle  est actuellement en décroissance rapide, reste néanmoins élevée par rapport à celle de périodes passées, et elle pourrait très bien s'inscrire à nouveau à la hausse. En outre, il arrive que le champ magnétique terrestre  connaisse des "excursions", sortes d'inversions manquées qui n'arrivent pas à leur terme. Beaucoup  d'observations et d'études seront encore nécessaires avant que l'on sache si la Terre est, ou non, en train de  perdre la boule. 
Christiane Galus 

Un phénomène à fréquence variable
 
Les scientifiques supposaient, depuis le début du XXe siècle, que le champ magnétique de la Terre s'était inversé à plusieurs reprises au cours de son histoire. Mais cette hypothèse n'a pu être confirmée qu'avec la   mise au point, dans les années 1960, de la méthode de datation isotopique potassium-argon utilisant des  spectromètres de masse. Cette technique a permis de dater plusieurs coulées volcaniques vieilles de  4 millions d'années, puis d'établir la chronologie des inversions survenues pendant les 5 derniers millions  d'années. On sait aujourd'hui que la fréquence moyenne de ce phénomène évolue considérablement dans le temps, avec de longues périodes calmes. Les recherches en paléomagnétisme ont aussi servi à mieux  connaître la tectonique des plaques, grâce à l'étude du magnétisme ancien de roches de continents différents  et de même période.


ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 25.04.02

Source primaire:
http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3244--272866-,00.html
Source secondaire: http://www.jacquesfortier.com/Zweb/JF/TerreCreuse/P%C3%B4lesInversion.html

Science de la Terre : Le pôle magnétique terrestre est-il en train de s'inverser ?

Malgré son rôle fondamental pour le développement de la vie sur Terre, le magnétisme terrestre demeure très mal connu

Crédits : Tracy
--------------------------------------------------------------------------------

Le pôle Nord Magnétique de la Terre se déplace et s'affaibli. C'est l'une des conclusions de l'étude des anciennes coulées de lave, qui nous offre une meilleure compréhension de ce phénomène encore mal connu.

L'origine du champ magnétique terrestre est déterminée. On ne sait pas bien comment ça marche mais on sait que le noyau incandescent de la terre y est pour quelque chose.

Tous les astres de notre système solaires ne possèdent pas de champ magnétique, certain oui, d’autres non.

On sait aussi que le champ magnétique s'inverse périodiquement, la dernière fois c'était il y a 780 000 ans. Par contre les scientifiques se demandent toujours comment et pourquoi. De plus les conséquences d'un changement de polarité pourraient être dangereuses pour notre espèce, car il nous protège diverses radiations émanant du soleil et du cosmos.

Une nouvelle étude vient apporter sa pierre à l'édifice de la compréhension du magnétisme terrestre, publiée le 26 septembre dans la revue Science. En particulier, le rôle du second champ est mis en évidence. Le champ magnétique terrestre se compose de sortes de demi cercles qui joignent un pole magnétique à un autre, ces pôles magnétiques sont d’ailleurs proches des pôles Nord et Sud traditionnels. Le second champ est donc le deuxième demi-cercle, en termes de taille. Il semble que son rôle lors d'inversion est déterminant.

Brad Singer de l'université du Wisconsin, associé à l'expert en paléomagnétisme Kenneth Hoffman nous explique ce processus, à partir d'analyses effectuées en Allemagne. « Quand la coulée de lave est éjectée puis se refroidi dans le champ magnétique terrestre, elle conserve la mémoire du champ magnétique à cet instant » précise Singer. « Il est très difficile de détruire ceci dans une coulée de lave une fois que c'est formé. Vous avez alors une trace de la direction du paléochamp magnétique qui existait sur Terre ».

Les chercheurs se sont focalisés sur les pierres qui datent d'époques d'inversement et qui peuvent donc témoigner de ce qu’il s’est passé. Ils effectuent des prélèvements sur divers sites, remontant des millions d'années en arrière. Ainsi lors de périodes troubles liées au moment de l’inversion, il existait plusieurs zones magnétiques fortes. Singer illustre son propos : « Si vous étiez présent lors des éruptions qui marquèrent Tahiti par exemple, votre boussole ne montrerait ni le pôle Sud, ni le pôle Nord, mais l'Australie ».
 
Les preuves s'accumulent pour suggérer que nous approchons l'un de ces états de transition, car le champ magnétique terrestre est faible et décroit rapidement. Les scientifiques essaient de prévoir son comportement futur. On s'attend à ce qu'il intervienne dans 1500 ans. Mais comme ce cycle n'est pas stable, les estimations sont à prendre avec des précautions. Nul ne sait vraiment quand il aura lieu.
 
J.L

Unisciences.com

01/10/2008

Source : http://www.unisciences.com/physique/news/fin_magnetisme.php2.php?id=248&page=2

23/02/2009

Menaces contre la planète : Les travaux du DR. ALEXEY DMITRIEV de l'Académie Nationale des Sciences de Russie

Bouleversements climatiques, Hivers nucléaires, Orages solaires...Vérités ou impostures ?

Les travaux du DR. ALEXEY DMITRIEV de l’Académie Nationale des Sciences de Russie
Source : http://www.apocalypse2012.com/blog/wp-content/uploads/200...


Présentation de ses travaux
PLANETOPHYSICAL STATE OF THE EARTH AND LIFE
By DR. ALEXEY N. DMITRIEV*

Professor of Geology and Mineralogy, and Chief Scientific Member,
United Institute of Geology, Geophysics, and Mineralogy,
Siberian Department of Russian Academy of Sciences.
Expert on Global Ecology, and Fast -Processing Earth Events.

Source : http://www.tmgnow.com/repository/global/planetophysical.h...

Le millénium Groupe au service de l'humanité
http://www.tmgnow.com/

Le Dr. Alexey Dmitriev et ses collègues de l’Académie Nationale des Sciences de Russie affirment que l’ensemble du système solaire a commencé à muter, ...

Source : http://www.mohr-mohr-and-more.org/downloads/BearTribune9F...