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12/01/2014

VIDEO. Le jour où Dieudonné a abandonné son spectacle interdit, Le Mur !

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Après le 3ème refus d'autoriser le spectacle "Le Mur" à Orléans par le  Conseil d'Etat qui a rejeté y compris une Question Prioritaire de Constitutionnalité, et le refus opposé à Dieudonné de jouer son nouveau spectacle "Asu Zoa" à Orléans.

Ce qui laisse à supposer que contrairement aux effets d'annonces faites par les politiques et la presse aux ordres que ne serait pas interdit que le spectacle "Le Mur", mais que Dieudonné serait interdit de spectacle tout court !

En effet, si Me Hervé Hazan, avocat du maire d'Orléans, a jugé que l'arrêté de l'édile, qui concernait exclusivement le spectacle "Le Mur", pouvait ne plus avoir lieu d'être, la représentante hystérique du ministère de l'Intérieur Pascale Leglise n'a pas eu la même approche.


"C'est une manipulation, c'est de la provocation, c'est un artifice", a-t-elle martelé, estimant qu'on ne pouvait pas considérer que Dieudonné "avait créé un nouveau spectacle en trois nuits avec une baguette magique". "Il est évident que ce sera le même spectacle qui sera diffusé ce soir", a-t-elle lancé.

Samedi matin, Dieudonné annonçait sur sa page Facebook qu'il comptait donner à 14 heures à la Main d'Or une représentation d'un nouveau spectacle appelé "Asu Zoa". Un avocat de Dieudonné a annoncé plus tard dans la journée que son one-man-show "Le Mur", interdit par les autorités, était "définitivement abandonné" au profit d'un autre spectacle à "la thématique différente".

Indiquant l'avoir écrit "en trois nuits", il le décrit comme un spectacle "de danse et de musique, de mime et même de quelques mouvements de taï-chi","s'inspirant de mythes ancestraux et de croyances primitives". Son affiche représente un éléphant dans la savane. Ce nouveau spectacle, pas nommément visé par les interdictions, devait permettre à Dieudonné de contourner les décisions de justice.

Peu avant 14 heures, un attroupement s'est formé devant le théâtre parisien et l'accès à la salle était bloqué par les CRS. Du côté du Faubourg-Saint-Antoine, une poignée de partisans de Dieudonné, surtout de jeunes hommes, étaient bloqués par les CRS. Quelques cris se sont élevés, raconte l'AFP: "Dieudo, Dieudo"'. 

Dieudonné a donc fait une conférence de presse dans son Théâtre de la Main d'Or pour annoncer l'abandon de son spectacle interdit "Le Mur" et a annoncé son nouveau spectacle "Asu Zoa".

Nous notons dans la vidéo ci-dessous que ses avocats se chargeront d'analyser son dossier sur le plan juridique afin de déterminer les responsabilités de chacun.

Fuseront donc des plaintes pénales et la saisine de la CEDH.

Conclusions : les politiques boivent et c'est le Peuple Français qui trinquera si la France est condamnée par la CEDH.

Le jour où Dieudonné a abandonné son spectacle interdit, Le Mur !

 

http://www.francetvinfo.fr/societe/dieudonne/video-le-jour-ou-dieudonne-a-abandonne-son-spectacle-interdit_502743.html

 


Dieudonné à Orléans: le Conseil d'Etat confirme l'interdiction du spectacle

Saisie en référé, la plus haute juridiction a validé l'interdiction du spectacle de Dieudonné, prévu dans la soirée de samedi à Orléans.

M.G. avec AFP
Le 11/01/2014 à 17:41
Mis à jour le 11/01/2014 à 18:59

Le Conseil d'Etat a validé samedi l'ordonnance du tribunal administratif d'Orléans confirmant l'interdiction par le maire de la ville du spectacle du polémiste Dieudonné qui était prévu dans la soirée dans cette ville.
    
La plus haute juridiction administrative avait été saisie par les avocats de Dieudonné qui contestaient l'ordonnance du tribunal administratif d'Orléans.

Parmi leurs arguments, les avocats ont expliqué que l'on ne pouvait interdire un spectacle en invoquant un trouble à l'ordre public de manière préventive, avant qu'il ne se soit déroulé.

"Un risque sérieux"

Ils ont également fait valoir que Dieudonné s'était engagé à ne plus jouer le spectacle controversé "Le Mur", interdit par la justice pour ses sorties antisémites au profit d'un autre spectacle à "la thématique différente".
    
Si Me Hervé Hazan, avocat du maire d'Orléans, a jugé que l'arrêté de l'édile, qui concernait exclusivement le spectacle "Le Mur", pouvait ne plus avoir lieu d'être, la représentante du ministère de l'Intérieur Pascale Leglise n'a pas eu la même approche.
    
"C'est une manipulation, c'est de la provocation, c'est un artifice", a-t-elle martelé, estimant qu'on ne pouvait pas considérer que Dieudonné "avait créé un nouveau spectacle en trois nuits avec une baguette magique". "Il est évident que ce sera le même spectacle qui sera diffusé ce soir", a-t-elle lancé.

Dans son ordonnance, le Conseil d'Etat a notamment estimé que "le juge des référés de première instance (avait) pu estimer, à bon droit, qu'au regard du spectacle prévu, tel qu'il a été annoncé et programmé, les allégations selon lesquelles les propos pénalement répréhensibles de nature à porter de graves atteintes au respect (...) de la dignité de la personne humaine et à provoquer la haine et la discrimination raciales (...) ne seraient pas repris à Orléans, ne (suffisait) pas pour écarter le risque sérieux que le spectacle prévu constitue".

"Une QPC" rejetée par le Conseil d'Etat

Le Conseil d'Etat ajoute que "l'allégation, qui ne peut être regardée comme établie par l'instruction, selon laquelle M. M'bala M'bala pourrait jouer un spectacle différent à Orléans, est sans incidence sur la légalité de la décision d'interdiction du spectacle Le Mur".
    
Les avocats du polémiste ont également présenté une question prioritaire de constitutionalité (QPC), estimant que la notion de "respect de la dignité humaine composante de l'ordre public", invoquée dans cette affaire, ne pouvait l'être qu'après une modification de la loi, sous peine d'inconstitutionalité. Cette QPC a également été rejetée par le Conseil d'Etat.
    
Après Nantes et Tours, c'est la troisième fois que le Conseil d'Etat, statuant en référé (procédure d'urgence), confirme l'interdiction du spectacle controversé de Dieudonné.    

 

 http://www.bfmtv.com/societe/dieudonne-a-orleans-co...

 


Éric Zemmour : "Il y a un partenariat entre Valls et le CRIF", Dieudonné de quoi est-il le nom ?

Tout est dit !

Publié le : samedi 11 janvier 2014

 

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Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo
 

Eric Zemmour : «De quoi Dieudonné est-il le nom ?

https://www.youtube.com/watch?v=ABH0B6lFvRM


 

Israël: "Des enfants palestiniens mis en cages !"

Ceci, se passe dans l’Etat sioniste, celui qui a décrété SEUL, être l’unique Pays démocratique du Moyen-Orient !

Qui dit mieux ?

C'est cela que l'on vous nous cacher ? Et on veut aussi venir nous donner des leçons de morale en France ?

Est-ce que l'on doit la fermer aussi ?

Israël: “Des enfants palestiniens mis en cages !”

Internationalnews

Mondialisation 6 janvier 2014

 

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Une organisation israélienne défendant les droits de l’homme a accusé le pays de torturer des mineurs palestiniens et elle a produit un rapport sur des cas de mise en cage publique ainsi que sur des menaces et des passages à l’acte de violences sexuelles.

 « La majorité des enfants palestiniens détenus sont accusés d’avoir lancé des pierres, et 74 % d’entre eux sont soumis à des violences physiques lors de leur arrestation, de leur transfert ou de leur interrogatoire ” (photo ism-france)

Le Comité public contre la torture en Israël (Public Committee Against Torture in Israel, PCATI) a condamné Israël qui ne protège pas les mineurs palestiniens de la torture arbitraire . Le groupe exige des autorités qu’elles introduisent dans le droit national israélien des dispositions spécifiques protégeant tous les enfants de la torture.

Le groupe de défense des droits de l’homme déclare que [les dispositions du] droit international contre la torture, inscrites dans le Protocole d’Istamboul (« Manuel pour enquêter efficacement sur la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants »), n’ont pas été transcrites dans la législation nationale israélienne.

Le PCATI argue que « le terme “torture” désigne tout acte par lequel une douleur ou des souffrances aiguës, physiques ou mentales, sont intentionnellement infligées à une personne », selon les termes mêmes du Protocole d’Istamboul. En outre, « chez les enfants, la torture peut avoir un impact direct ou indirect, selon qu’ils ont eux-mêmes subi la torture ou la détention, que leurs parents ou d’autres proches en ont été les victimes, ou qu’ils ont été les témoins d’actes de torture ou autres formes de violence ».

Le rapport de l’ONG a été publié en préambule à l’audition de mardi dernier par la Commission des Pétitions Publiques de la Knesset sur des sujets connexes. Le PACTI a fondé sa plainte sur les données de rapports enregistrés d’abus sur des enfants, collectés ces dix dernières années.

La pratique consistant à placer les enfant dans des cages à l’extérieur avait été stoppée par la ministre de la Justice Tzipi Livni à la suite de sa découverte, rapporte le Jerusalem Post.

Le PCATI affirme qu’il continue d’enquêter activement sur les cas relatifs à la torture et aux mauvais traitements d’enfants par des soldats et des interrogateurs des Forces de Défense Israéliennes (IDF). Ils enquêtent sur les menaces et actes de violence sexuelle, la mise en cage de prisonniers dans des cages métalliques (y compris des enfants), le comportement militaire au cours de la détention et de l’arrestation de Palestiniens.

Par ailleurs les données collectées par le PACTI sont appuyées par un certain nombres d’ONG également impliquées dans la collecte des preuves d’allégations de tortures. Selon le « Bureau du Défenseur Public » israélien, la découverte de personnes enfermées dans des cages métalliques remonte à l’inspection nocturne d’une prison au plus fort d’une récente tempête hivernale.

Des enfants ont été découverts à l’extérieur, sous des températures glaciales, enfermés pendant des heures pendant la nuit suivant leur arrestation, en attendant d’être inculpés le lendemain matin.

« Pendant notre visite, laquelle se passait au cours d’une violente tempête qui a frappé le pays, les avocats ont rencontré des détenus qui leur ont décrit un tableau choquant : en pleine nuit, des dizaines de détenus sont transférés dans les cages métalliques construites à l’extérieur des installations carcérales de transit de l’IPS [Israël Prison Service] à Ramla », écrit le Défenseur Public dans son site web.

« Il apparaît que cette procédure consistant à faire attendre des prisonniers dans des cages à l’extérieur durait depuis de nombreux mois et elle a été avérée par d’autres responsables officiels ».

Le PCATI souligne que : « ne pas autoriser l’enfant ou le mineur arrêté à jouir pleinement de ses droits, notamment ne pas permettre un avocat ou un adulte accompagnant, au moment de l’arrestation et de l’interrogatoire, met l’enfant dans un état de désarroi, de détresse, et augmente la pression exercée sur l’enfant par les forces de sécurité en vue de parvenir à des aveux ou à des informations au cours de l’interrogatoire ».

Selon le PCATI, le seuil de « l’acte d’abuser » par Israël doit être abaissé quand il s’agit d’enfants. L’ONG croit par ailleurs qu’enfants et adultes ont droit à une réhabilitation. Le Comité estime aussi que les cas d’abus ont droit à bénéficier d’un examen exhaustif de leurs plaintes et d’être « accompagnés d’un représentant de leur choix quand ils témoignent devant un enquêteur israélien ».

Citant le rapport de 2013 par Defense of Children International (DCI-Palestine) et par Lawyers for Palestinian Human Rights (LPHR), le PACTI réaffirme que :


« Israël est la seule nation à poursuivre automatiquement et systématiquement des enfants devant des tribunaux militaires d’où sont absentes les garanties basiques et fondamentales pour un procès équitable ».

L’association de défense des droits humains estime que quelque 700 enfants palestiniens, dont certains n’ont que 12 ans, subissent chaque année le système de détention militaire israélien.

« La majorité des enfants palestiniens détenus sont accusés d’avoir lancé des pierres, et 74 % d’entre eux sont soumis à des violences physiques lors de leur arrestation, de leur transfert ou de leur interrogatoire » selon les preuves collectées par Defence for Children International Palestine.

Il faut ajouter « qu’aucun enfant israélien n’entre en contact avec le système des tribunaux militaires ».

1er janvier 2014 – Russia Today

Article en français : http://french.irib.ir/component/k2/item/308795-«-des-enfa...

Titre original: Israël: “Des enfants dans des cages !”

 

Dossier Gaza

http://mounadil.files.wordpress.com/2012/11/ranan-youssef-arafat.jpg?w=450&h=299

 

http://www.internationalnews.fr/article-israel-des-enfants-dans-des-cages-121944948.html 

 

Interdiction de Dieudonné : La France qui dérape n’est pas celle qu’on nous montre du doigt

Une réaction du Dr Christophe OBERLIN, aux interdictions de spectacles de Dieudonné qui se passe de commentaires.

Un grand remerciement pour avoir le courage de remettre les choses à leur  place !


10 janvier 2014 | Thèmes (S.Cattori) : Etat juif d’Israël Lobbies Liberté d’expression Désinformation

 

Dr Christophe Oberlin

Interdiction de Dieudonné : La France qui dérape n’est pas celle qu’on nous montre du doigt

C’est au nom d’un état juif à majorité juive, censé accueillir les juifs du monde entier, que les autochtones, les Palestiniens sont martyrisés depuis soixante ans. Pourtant certains n’hésitent pas à condamner les Palestiniens, les Arabes en général, et tous ceux qui les soutiennent pour un « antisémitisme » supposé. Les Palestiniens devraient déclarer aimer les juifs et insister à tout moment sur la distinction entre juifs et sionistes. C’est évidemment déloyal. En 1942 les Français n’aimaient pas les « boches » et aucune association anti raciste n’a jamais protesté.

Lorsqu’on dit aujourd’hui en France « qu’on n’aime pas les Américains », tout le monde comprend qu’il ne s’agit évidemment pas de tous les Américains en tant qu’individus, mais qu’on désigne par-là la politique et les guerres américaines qui ont fait un million de morts en quelques décennies. Et « ne pas aimer les Américains », ne tombe pas sous le coup de la loi. Quand on dit qu’on n’aime pas les Corses, ce n’est évidemment pas très intelligent, mais tout le monde comprend qu’on entend par là une certaine ambiance xénophobe qui règne en Corse. Ca ne tombe pas sous le coup de la loi.

Quand on dit qu’on n’aime pas les juifs, il est évident que cela désigne ceux qui soutiennent un état raciste dans ses lois et ses actes. Ce qui veut dire qu’on n’aime pas les juifs racistes, rien d’autre. C’est le message de Dieudonné. Et voilà qu’on voudrait faire tomber cela sous le coup de la loi. C’est déloyal et stupide.

J’ai personnellement des gens de ma famille qui sont morts en déportation. Quand Desproges dit « On se demande pourquoi les juifs se précipitaient à Auschwitz ? D’abord parce que c’était gratuit ! » C’est du deuxième degré, ça me fait rire, et ça ne porte en rien atteinte à la mémoire de ma famille. Quand quelqu’un se fait photographier devant Auschwitz en faisant une quenelle, ça ne porte pas atteinte à ma dignité ni à celle de ceux qui sont morts en déportation. Par contre c’est un geste fort à l’encontre de tous ceux qui tentent de masquer les crimes d’Israël derrière les crimes nazis. C’est à eux que ce discours s’adresse.

Et voilà que nos politiques, les plus tristes que la France ait connus depuis longtemps, voudraient expliquer à un humoriste ce qui est drôle et ce qui ne l’est pas ! Et on voudrait nous faire croire que les millions de personnes qui rient sont des idiots ou des antisémites, y compris ceux qui soutiennent les Palestiniens dans leur lutte contre l’apartheid ! C’est méprisant, et aussi effrayant. Et les commentaires à sens unique de nos radios et télévisions nationales donnent le frisson.

Ceux qui condamnent Dieudonné n’ont pas assisté à ses spectacles, et n’ont pas réalisé qui est son public : un public de jeunes, extraordinairement diversifié, qui représente une France fraternelle, fondamentalement antiraciste, la France de demain.

Alors il y a heureusement quelques poches de résistance dans les tribunaux. Et le jugement prononcé à Nantes, cassant l’interdiction d’un spectacle de Dieudonné, rassure. Toutes les barrières n’ont pas cédé.

Et voilà qu’un juge unique du Conseil d’Etat, sur simple convocation du gouvernement, dans un texte d’une pauvreté affligeante, dépourvu du moindre fondement juridique, impose son opinion à toutes les lois existantes, à tous les arrêts précédents français et européens !

La France qui dérape, elle est là.

Christophe Oberlin
10 Janvier 2014
URL de cet article :
http://www.silviacattori.net/article5272.html


Christophe OBERLIN, né en 1952. est chirurgien des hôpitaux et professeur à la faculté Denis Diderot à Paris ; il enseigne l’anatomie, la chirurgie de la main et la microchirurgie en France et à l’étranger. Parallèlement à son travail hospitalier et universitaire, il participe depuis 30 ans à des activités de chirurgie humanitaire et d’enseignement en Afrique sub-saharienne, notamment dans le domaine de la chirurgie de la lèpre, au Maghreb et en Asie. Depuis 2001, il dirige régulièrement des missions chirurgicales en Palestine, particulièrement dans la bande de Gaza où il a effectué près d’une trentaine de séjours. Il est le coauteur avec Jacques-Marie Bourget de Survivre à Gaza, (éditions Koutoubia, 2009) la biographie de Mohamed al-Rantissi, le chirurgien palestinien frère du dirigeant historique du HAMAS assassiné par l’État d’Israël… Il est également le traducteur du livre Gaza, au carrefour de l’histoire du journaliste anglais Gerald Butt (aux éditions Encre d’Orient).

http://www.silviacattori.net/article5272.html

Voir aussi du même auteur :

Christophe Oberlin : Israël ... est un état mafieux


11/01/2014

Relation avec Julie Gayet : Hollande "déplore" la une de "Closer"

Et voilà à quoi pense Hollande au lieu d'oeuvrer aux intérêts du Peuple Français qui croule sous les dettes, le chômage et les taxes !

La crise et les manifestations ne sont que pour le Peuple comme vous l'aurez compris !


Où est la morale qu'il entend imposer aux autres par la voie du Conseil d'Etat à Dieudonné ?

Relation avec Julie Gayet : Hollande "déplore" la une de "Closer"

La Une de "Closer" (

Relation avec Julie Gayet : Hollande "déplore" la une de "Closer"

Le magazine people consacre un dossier à "l'amour secret du président" avec l'actrice Julie Gayet. Le chef de l'Etat va "examiner les suites judiciaires".

François Hollande a "déploré profondément", vendredi 10 janvier auprès de l'AFP, "les atteintes au respect de la vie privée", et annoncé "examiner les suites, y compris judiciaires" à apporter à la parution du magazine "Closer".

Le magazine people fait état vendredi d'une relation entre le président François Hollande et l'actrice Julie Gayet dans un dossier de 7 pages accompagné de photos. "Closer" affiche ainsi en Une le titre évocateur "L'amour secret du président".

Hollande "examine les suites, y compris judiciaires"

S'exprimant en son nom propre et non pas en tant que président de la République, François Hollande "déplore profondément les atteintes au respect de la vie privée auquel il a droit comme tout citoyen" en ajoutant qu'il "examine les suites, y compris judiciaires, à apporter à cette parution" de "Closer".

"Closer" se base sur plusieurs photos où l'on voit un homme casqué entrer dans un immeuble parisien. "Autour du jour de l'an, le chef de l'Etat, casque sur la tête, rejoint à scooter la comédienne dans son pied-à-terre où le président a pris l'habitude de passer la nuit", écrit le magazine. "Des photos étonnantes", poursuit l'hebdomadaire, "qui posent la question aussi de la sécurité du président. Le chef de l'Etat est accompagné d'un seul garde du corps qui protège le secret de ces rencontres avec la comédienne et apporte même les croissants !" ----------Qui c'est qui paie ce garde du corps et les croissants ?

"C'est un président qui a un coup de coeur"

Pour Laurence Piau, directrice de la rédaction du magazine "Closer", François Hollande "est un président normal, une personne normale. C'est un président qui a un coup de coeur et une histoire. Il faut vraiment dédramatiser autour de ces images", a-t-elle déclaré sur Europe 1.

Décrivant les photos publiées dans un dossier de 7 pages, Laurence Piau a expliqué : "On voit le président qui rentre dans un immeuble, accompagné par son garde du corps. Et Julie Gayet qui rentre, quelques temps après, dans le même immeuble. Et puis, l'un et l'autre qui sortent le lendemain". "Le lendemain, le même motard qui a déposé le président la veille revient le chercher en scooter", a-t-elle ajouté.

A la question de savoir si le magazine avait contacté l'Elysée, Laurence Piau a répondu "absolument pas, non, non. On n'a pas l'habitude de contacter qui que ce soit avant de publier des images".

Plainte de Julie Gayet

Officiellement, le chef de l'Etat a pour compagne la journaliste Valérie Trierweiler, après avoir longtemps vécu avec l'ancienne candidate à la présidentielle Ségolène Royal, avec qui il a quatre enfants.

Julie Gayet, âgée de 41 ans, actuellement à l'affiche du film "Ames de papiers", avait porté plainte fin mars 2013 auprès du parquet de Paris pour identifier les auteurs d'une rumeur diffusée sur internet qui lui prêtait une liaison avec François Hollande. 

Actrice inclassable, elle alterne entre les films d'auteur et à gros budget (elle était à l'affiche de "Quai d'Orsay" de Bertrand Tavernier, mais aussi de "Delphine 1, Yvan 0" de Dominique Farrugia). En 2012, l'actrice avait participé à un clip de campagne de François Hollande où elle qualifiait le candidat à la présidentielle d'homme "humble", "formidable" et "vraiment à l'écoute". (Ah bon ? Et à l'écoute de qui ?).

http://obsession.nouvelobs.com/people/20140110.OBS1919/re...