Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

27/09/2015

Syrie. L’aviation russe a bombardé ISIS dans l’Est d’Alep

Et le bal des faux-culs commence à l'ONU !

Extrait : Syrie: les Occidentaux se tournent vers l’Iran

La stratégie occidentale dans le conflit syrien donnait samedi l'impression de plus en plus patiner, confrontée à la montée en puissance russe et au dernier fiasco du programme de rebelles syriens formés par le Pentagone.

En marge de l'Assemblée générale des Nations unies, c'est une nouvelle fois vers leurs interlocuteurs iraniens que ce sont tournés le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, et ses homologues européens.

A l'heure où Moscou semble marquer des points et où de nombreuses chancelleries commencent à envisager d'inclure le président syrien Bachar al-Assad dans la recherche d'une solution, l'Iran chiite reste incontournable par son soutien constant, politique et militaire, au chef du régime de Damas.

Et le siège de l'ONU pourrait selon M. Kerry être l'endroit où commencer à dénouer l'équation et mettre fin à une guerre civile qui a fait plus de 240.000 morts et chassé des millions d'autres.

"Je considère que cette semaine (d'Assemblée générale) offre une occasion majeure à tous les pays de jouer un rôle important pour résoudre certains des problèmes aigus du Moyen Orient", a déclaré samedi le chef de la diplomatie américaine, aux côtés du ministre des Affaires étrangères iranien, Mohammad Javad Zarif.

 

Syrie. L’aviation russe a bombardé ISIS dans l’Est d’Alep

 
Syrie. L’aviation russe a bombardé ISIS dans l’Est d’Alep

L’aviation russe a bombardé ISIS dans l’Est d’Alep pour permettre l’avancée de l’armée syrienne vers la base aérienne de Kweres

Pour la première fois depuis son arrivée en Syrie, la force aérienne russe a lancé une série de raids aériens sur la région orientale du gouvernorat d’Alep, ciblant l’Etat islamique positionné le long de la route Deir Hafer tandis que l’armée arabe syrienne (AAS) attaque le groupe terroriste au sol.

Jeudi matin, l’armée arabe syrienne – en coordination avec les Forces de défense nationale (FDN) ont mené un assaut puissant sur « des positions de l’EI à Ayn Sabl, entraînant la prise du périmètre sud-ouest de cette ville qui se trouve à l’est de Tal Rayman et d’Al-Salihiyah

Les forces armées syriennes ont été aidées par les forces aériennes russes qui ont frappé des positions ISIS » dans l’est d’Alep avec une précision remarquable et une férocité implacable; ces frappes aériennes ont également montré pour la première fois que la Russie a physiquement participé à ce long conflit syrien de quatre ans.

L’aviation russe a également été observée en vol au-dessus des gouvernorats de Rif Dimashq, Lattaquié et Hama, jeudi matin, mais l’ensemble de ses avions serait retourné à l’aéroport militaire Hmamiyat dans la ville côtière syrienne de Jableh.

Selon un officier supérieur de l’armée arabe syrienne, ces frappes aériennes russes ont été coordonnées avec la Force arabe syrienne Air (FAAS), qui ont lancé leurs propres raids le long de la route Ezzor Deir-Raqqa.

Leith Fadel

Traduction : Avic – Réseau International

Source : almasdarnews.com

 

 

La France a mené ses premières frappes en Syrie contre le groupe Etat islamique

Provocation à la guerre de la Russie par la France/Israël dans un communiqué officiel de l'Elysée !

Les frappes de la France et des membres de la coalition criminelle en Syrie, sont considérées comme étant illégales au regard du Droit International ! Aucune frappe ne peut se faire sur un pays étranger sans l'accord de son président qui doit en informer l'armée régulière de son pays !

Le vendu sioniste a décidé à l'encontre des demandes de Poutine de laisser Assad à son poste et de laisser le peuple lui-même décider du maintien de leur Président, pour insister au profit des US/Israël à le faire remplacer par l'un de leur pion sioniste qui permettrait de faire avancer le projet du Grand Israël et du Grand Moyen Orient !

Attendons-nous à des réactions de Moscou face à cette ingérence de la France qui renforce les positions des mercenaires de l'EI payés par les US/Sionistes et Rothschild en Syrie, la Russie étant l'alliée de la Syrie depuis 50 ans !

Hollande et sa clique de sionistes nous entraînent volontairement vers la 3ème guerre mondiale contre la Russie ! Il faut bien favoriser le projet d'Israël et des USA pour créer leur Grand Moyen Orient et leur Grand Israël !

Le général Dunford nouveau plus haut responsable militaire américain

Pourquoi Israël craint-il la présence militaire russe, en Syrie ?

 

La France a mené ses premières frappes en Syrie contre le groupe Etat islamique

C'est ce qu'annonce l'Elysée dans un communiqué publié ce dimanche.

Un avion Rafale décolle pour des vols de reconnaissance en Syrie en vue de frappes aériennes contre des positions de l'Etat islamique, le 8 septembre 2015.

Par Francetv info avec AFP et Reuters

Mis à jour le 27/09/2015 | 09:03 , publié le 27/09/2015 | 08:20

Après deux semaines de vols de reconnaissance menés par l'armée de l'air, la France a réalisé ses premières frappes aériennes en Syrie contre le groupe Etat islamique, annonce l'Elysée dans un communiqué, dimanche 27 septembre.

Les frappes ont été décidés "sur la base de renseignements collectés au cours des opérations aériennes engagées depuis plus de deux semaines, dans le respect de notre autonomie d'action, en coordination avec nos partenaires de la coalition", écrit la présidence de la République. L'annonce de ces premières frappes intervient alors que François Hollande est à New York, dimanche et lundi, pour la 70e Assemblée générale de l'ONU.

Une transition associant éléments du régime et opposition 

Le président français avait ouvert la voie à des frappes françaises en Syrie contre l'EI, le 7 septembre, tout en excluant une intervention terrestre. Considérant cependant que "le chaos syrien doit trouver une réponse globale" et que "les populations civiles doivent être protégées contre toutes les formes de violences, celles de Daech et des autres groupes terroristes, mais aussi contre les bombardements meurtriers de Bachar el Assad", l'Elysée estime que "plus que jamais, l'urgence est à la mise en place d'une transition politique".

La France souhaite travailler activement à la réalisation de cette transition, avec l'ensemble des acteurs impliqués. Elle associerait notamment "des éléments du régime et de l'opposition modérée", poursuit le communiqué.

 

Pourquoi Israël craint-il la présence militaire russe, en Syrie ?

Y-a-t-il de quoi s'arracher les cheveux pour Netanyahu?

Y-a-t-il de quoi s'arracher les cheveux pour Netanyahu?

IRIB- Le régime israélien craint que le renforcement de la présence militaire russe, en Syrie, n’ait un effet négatif, sur ses systèmes militaires et défensifs, jusqu’à les rendre inutiles et inefficaces.

Le site d’informations et d’analyses israélien, Walla, a publié une analyse, sur les craintes du régime de Tel-Aviv, par rapport à l’installation d’armements et d’équipements militaires sophistiqués russes, en Syrie.

Walla a ajouté : «La délégation israélienne, présidée par le Premier ministre Netanyahu, s'est rendue, à Moscou, pour s’entretenir avec les autorités russes. Le chef d’état-major de l’armée israélienne a accompagné Benyamin Netanyahu, pendant ce voyage. Cela indique que les pourparlers avec les autorités russes sont très sensibles et portent sur la sécurité des frontières du Nord d’Israël. Cette sensibilité augmentera, quand on sait que la Russie développe sa présence, sur le territoire syrien, pour se battre contre les membres de Daech».

Citant des sources proches des services de sécurité d’Israël, le site Walla estime que l’une des inquiétudes de Tel-Aviv est liée à la possibilité de l’installation de systèmes d’alerte, en Syrie, par l’armée russe.

L’armée russe aurait installé, récemment, un système d’alerte, en Syrie, et aurait obtenu des informations importantes concernant les mouvements et les manœuvres des militaires israéliens, dans le Nord de la Palestine occupée. Après la révélation de cette nouvelle, une source israélienne a fait entendre que le gouvernement de Tel-Aviv s’est dit prêt à négocier avec les responsables militaires russes. Dans ce cadre, les adjoints des chefs d’état-major des armées russe et israélienne se rencontreront, dans deux semaines.

Walla a ajouté que le gouvernement américain a compris, quant à lui, qu’il n’y a pas d’autre chose à faire que d’essayer de faire les coordinations nécessaires avec la Russie, sachant que Washington ne pourra plus peser sur la décision du Kremlin.

L’inquiétude principale des commandants militaires israéliens vient du fait que, dans un proche avenir, les systèmes très sophistiqués que les Russes ont installés, en Syrie, pourront affecter les systèmes radar d’Israël, et créer des interférences, pour perturber les systèmes de télécommunication, en Palestine occupée. Les nouvelles installations des Russes pourront viser, directement, des systèmes d’alerte et de contrôle des Israéliens.

Le renforcement de la présence de la marine russe, en Méditerranée orientale, est une autre source d’inquiétude, pour les dirigeants du régime sioniste, notamment, en ce qui concerne les mesures que les Russes pourront prendre, pour perturber les opérations de l’armée israélienne, pour collecter des informations. En outre, une présence renforcée de la marine russe, dans cette région, réduira la marge de manœuvre de la marine israélienne, dont l’une des missions principales est de collecter les informations nécessaires, dans le domaine de la sécurité. Pire encore, la survenance d’affrontements éventuels entre les forces militaires russes et israéliennes.

A ce propos, une source militaire russe a estimé que la Russie et Israël ont un intérêt commun, c’est-à-dire, la lutte contre les groupes terroristes extrémistes, dans la région, et que les dirigeants du régime sioniste doivent investir, dans ce domaine, afin d’empêcher une confrontation avec Moscou. Pour le moment, les experts israéliens estiment que l’armée russe préfère, pour le moment, gérer le combat contre Daech, en comptant sur les capacités de son armée de l’air, sans intervenir, directement, dans les combats, en Syrie.

En revanche, les éléments de Daech, qui sont présents, aux alentours de Damas, et essaient de se rapprocher des zones côtières de la Syrie, pourront essayer d’infliger des dégâts aux forces armées russes, en Syrie.

Les dirigeants israéliens s’inquiètent d’une autre chose, aussi : les experts militaires russes sont, régulièrement, en contact avec les experts militaires syriens, iraniens et du Hezbollah libanais, c’est-à-dire, les forces qu’Israël considère comme ses ennemis.

 

La première cyberguerre opposera-t-elle la Chine aux Etats-Unis ?

Entre la Corée du Nord et la Chine, les USA sont servis et nourris aux cyberattaques !

Pour suivre les cyberattaques en direct sur la carte en instantané : http://map.norsecorp.com/

La Chine y va fort ! Des hackers chinois interceptent une base de données US sensible

La première cyberguerre opposera-t-elle la Chine aux Etats-Unis ?

12 sept. 2015, 14:55

http://cdn.rt.com/french/images/2015.09/article/55f4203ec461887d4c8b4627.jpg

Avant la visite du président chinois Xi Jinping aux Etats-Unis, le président américain Barack Obama a déclaré que les cyberattaques chinoises n’étaient pas acceptables et qu’il entendait le dire personnellement à son homologue chinois.

«Nous avons été très clairs avec les Chinois sur le fait que certaines pratiques dans lesquelles ils sont engagés et qui émanent de la Chine ne sont pas acceptables», a déclaré Barack Obama.Le président américain veut convenir de règles concernant le cyberespace avec son homologue chinois. Mais cela ne l’a pas empêché d’affirmer que les Etats-Unis étaient prêts dans le cas d’une cyberguerre avec l’Empire du Milieu. «Je vous garantis que nous pouvons gagner si nous sommes obligés de lancer des attaques informatiques», a menacé Barack Obama.

Xi Jinping doit arriver aux Etats-Unis la fin du mois, autour du 25 septembre, avant le début de l'Assemblée générale des Nations unies à New York.

Cyberattaque dévastatrice : des hackers auraient saisi les données d’agents secrets américains

 

Inquiétudes avant le lancement «imminent» d'un satellite par la Corée du Nord

Encore une menace pour les USA, de la Corée du Nord, en pleine assemblée de l'ONU et qui ne se gêne pas y compris pour les menacer et les attaquer sur leurs réseaux de communication !

Voir les deux précédents articles : ICI et ICI

 

Inquiétudes avant le lancement «imminent» d'un satellite par la Corée du Nord

 AFP agence

Publié le 24/09/2015 à 17:50

La Corée du Nord pourrait envoyer de «nombreux satellites» dans l'espace.

 

A quelques semaines du 70ème anniversaire du parti unique au pouvoir, la Corée du Nord assure que l'envoi de «nombreux satellites» dans l'espace est «imminent». La communauté internationale redoute l'utilisation de missiles balistiques.

La Corée du Nord a confirmé l'envoi «imminent» de plusieurs satellites dans l'espace. Dans un interview exclusive accordée par les autorités nord-coréennes à la chaîne américaine CNN, deux directeurs de l'agence nationale de développement aérospatial (NADA) ont même déclaré que l'envoi de roquettes et de «nombreux satellites» dans l'espace était «imminent».

Devant un centre de contrôle des satellites flambant neuf, les militaires ont assuré vouloir explorer l'espace dans un objectif purement pacifique, désireux de balayer les soupçons de Séoul et Washington d'un tir de missile balistique, à quelques semaines seulement d'un important défilé militaire pour célébrant le 70ème anniversaire du parti unique au pouvoir. «Nous scientifiques, suivons les instructions du Maréchal Kim Jong Un et travaillons très dur, vous ne pouvez imaginer à quel point, pour développer dans un délai le plus court possible, des satellites d'observation de la Terre multi-fonctionnels et fiables», a déclaré Hyon Gwang, directeur du développement scientifique de la NADA.

A l'issue de deux jours de discussions, la Corée du Sud et les États-Unis ont mis en garde Pyongyang jeudi contre un éventuel lancement de fusée qui constituerait selon eux une violation de plusieurs résolutions de l'ONU. Réunis à Séoul, de hauts responsables des ministères américains et sud-coréen de la Défense se sont engagés à coopérer étroitement contre les «provocations potentielles du Nord», a indiqué dans un communiqué le ministère sud-coréen de la Défense. «Les responsables américains et sud-coréens (...) ont également réaffirmé leur position selon laquelle tout tir nord-coréen de missile qui utiliserait la technologie des missiles balistiques constituerait une violation de nombreuses résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU», selon un communiqué. Attentifs aux projets de Kim Jun Un, les deux pays ont réaffirmé la nécessité que Pyongyang démantèle de façon complète, vérifiable et irréversible ses programmes d'armes nucléaires.

Une provocation «grave»

La semaine dernière déjà, dans un entretien à l'agence de presse étatique KCNA, le directeur de l'agence spatiale nord-coréenne avait déclaré que Pyongyang avait atteint la «phase finale» du développement d'un nouveau satellite géostationnaire. «Le monde verra très clairement une série de satellites (…) s'envoler dans le ciel à la date et au lieu déterminés par le comité central» du Parti des travailleurs au pouvoir. Le développement de l'exploration spatiale est un droit souverain que la Corée du Nord entend exercer «quelle que soit l'opinion des autres sur le sujet», a-t-il ajouté.

Devant les ambitions spatiales de Kim Jong Un, la Corée du Sud avait mis en garde son voisin contre le lancement éventuel d'un satellite qu'elle considérerait comme une provocation «grave» qui violerait les résolutions de l'ONU. Il y a trois ans, le lancement d'une fusée Unha-3 avait entraîné de nouvelles sanctions contre le pays , menant à une aggravation des tensions militaires entre les deux Corées.

La Corée du Nord, qui vient d'annoncer que son principal complexe nucléaire était pleinement opérationnel, pourrait s'être lancée dans l'élaboration de bombes atomiques bien plus puissantes et perfectionnées que celles qu'elle a déjà, selon des experts américains. Le directeur de l'Institut de l'énergie atomique (IEA) de Corée du Nord, a indiqué la semaine dernière que le complexe de Yongbyon avait «repris des opérations normales». Ce centre compte en particulier une usine d'enrichissement d'uranium et un réacteur de cinq mégawatts considéré comme la principale source nord-coréenne de plutonium de qualité militaire.

La rédaction vous conseille :

http://www.lefigaro.fr/international/2015/09/24/01003-201...