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19/10/2015

En cinq mois, les drones américains ont tué 90% de civils plutôt que des terroristes

Voilà les crimes de guerre que commettent délibérément les nazis !

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15 oct. 2015

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Les Etats-Unis auraient ciblé délibérément l’hôpital de MSF à Kunduz lors de la frappe qui a tué 22 patients et membres du personnel, alors qu’ils savaient qu’il s’agissait bien d’un site médical protégé, rapportent des analystes américains.

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En cinq mois, les drones américains ont tué 90% de civils plutôt que des terroristes

Par LEXPRESS.fr avec AFP , publié le 16/10/2015 à 08:29 , mis à jour à 08:48

En luttant à l'étranger contre le terrorisme, les Etats-Unis frapperaient parfois à l'aveuglette, quitte à tuer des innocents.

En luttant à l'étranger contre le terrorisme, les Etats-Unis frapperaient parfois à l'aveuglette, quitte à tuer des innocents.

AFP PHOTO / Noorullah Shirzada

Un site d'investigation publie des documents édifiants sur les méthodes des Etats-Unis lors d'opérations extérieures. Ils montrent que l'administration a sous-estimé le nombre de civils tués avec ses drones, notamment en Afghanistan.

"La machine à tuer." Voilà le titre d'un dossier publié jeudi par le site d'investigation The Intercept et qui est accablant pour les Etats-Unis. Basé sur une série de documents secrets, remis par un professionnel du renseignement américain, il montre que les pertes civiles liées aux frappes de drones américaines sur les terrains d'opérations extérieures sont sous-estimées par l'administration. Alors même que ces attaques visent normalement des extrémistes identifiés. 

Les documents font référence, par exemple, aux ratés de l'opération Haymaker, lancée dans le nord-est de l'Afghanistan entre janvier 2012 et février 2013. Les drones des forces spéciales américaines y ont tué plus de 200 personnes, dont seulement 35 étaient les cibles visées. 

9 out of 10 people killed in drone strikes over 5-month period weren't intended targets. http://t.co/0Smi5hR9Bf pic.twitter.com/HkZ66d3G3c

Des victimes civiles qualifiées de "combattants"

Sur une sous-période de cinq mois pendant cette opération, 90% des personnes tuées n'étaient pas des personnes visées, poursuit The Intercept. Les documents montrent aussi que les militaires américains ont désigné ces victimes dans leurs statistiques comme des "ennemis tués au combat". Qualifier ces hommes de combattants, sauf preuve du contraire, est "folle", estime le professionnel du renseignement cité par le site. Celui qui est qualifié de "lanceur d'alerte" poursuit: "Mais nous nous sommes habitués à cela. Les agences de renseignement, le JSOC (forces spéciales américaines procédant aux frappes), la CIA (qui effectue aussi des frappes de drones), et tous ceux qui aident et soutiennent ces programmes, ils n'ont pas de problème avec ça".  

Interrogé jeudi sur cette enquête, le porte-parole de la Maison Blanche Josh Earnest a estimé que le président Obama tentait d'être "aussi transparent que possible sur les opérations antiterroristes" dans le monde. "Et le fait que ces opérations vont très loin pour éviter les victimes civiles", a-t-il ajouté, "c'est un contraste assez saisissant avec des organisations comme les talibans qui clairement mènent des opérations contre des civils innocents, dans une stratégie coordonnée pour fomenter la violence et les troubles". 

"Des pouvoirs divins"

Dans son enquête foisonnante, The Intercept détaille également les rouages du processus de décision de la machine bureaucratique, avant une élimination par drone. Le site présente ainsi les "cartes de base-ball" créées par les professionnels du renseignement, sur le modèle des cartes que s'échangent les passionnés de sport sur leurs joueurs préférés. 

Un portrait de la cible, la menace qu'elle représente pour les Etats-Unis, ses liens avec d'autres extrémistes... Tout est cela combiné à des renseignements opérationnels dans un dossier qui voyagera jusqu'au bureau du président Obama, pour qu'il donne son feu vert à la frappe. Un processus qui, selon la source aux renseignements du site, font croire aux personnes qui choisissent les cibles d'avoir des "pouvoirs divins". 

Une fois lancé, le processus d'autorisation par le président prend en moyenne 58 jours. Le feu vert est ensuite valable pour 60 jours. 

 

Bush et Blair se sont entendus sur la guerre en Irak un an avant le début de l'invasion

Une autre preuve que les attentats du 11 septembre 2001 aux USA étaient bien fabriqués par les USA/GB/CIA/Mossad qui cherchaient le prétexte pour aller envahir l’Irak, massacrer les populations, incorporer les mercenaires de l’EI/CIA/Mossad, et leur voler leur pétrole !

Bush et Blair se sont entendus sur la guerre en Irak un an avant le début de l'invasion

18 oct. 2015, 19:19

Tony Blair et George W. Bush

Source: Reuters - Tony Blair et George W. Bush

Le Daily Mail a publié une note de la Maison Blanche qui révèle que Tony Blair, qui se prononçait publiquement pour la solution diplomatique en Irak, soutenait l’action militaire américaine, un an avant de solliciter le vote du Parlement britannique.

Le document fait preuve du contraste entre la position publique de Blair au début de 2002, quand il indiquait à l’opinion britannique qu’il ne comptait pas s’engager militairement, tandis que les commentaires américains estimaient en privé que le Premier ministre britannique allait «suivre notre exemple».

«En ce qui concerne l’Irak, M. Blair sera avec nous si l’opération militaire est nécessaire. Il est convaincu sur deux points : la menace est réelle et le succès contre Saddam assurera une réussite régionale», lit-on sur ce document de la Maison Blanche à destination de l’ancien président George Bush.

La lettre, écrite par l’ancien secrétaire d’Etat américain Colin Powell datée de mars 2002 indique que Blair présenterait à Bush «des liens d’affaire stratégiques, tactiques et publiques qui d’après lui, renforceront le soutien de l’opinion à notre cause commune».

La note ajoute que Blair disposait des compétences pour «rendre crédible les menaces actuelles de l’Irak à la paix internationale».

La lettre reçue par le Daily Mail, a été rédigée avant le sommet Crawford entre Bush et Blair, qui a toujours nié que les deux pays étaient sur le chemin irrésistible vers la guerre à ce moment-là. Cependant, les journaux de l’époque ont souvent rapporté que Blair jugeait inévitable le déclenchement de la guerre en Irak.

Néanmoins, à ce stade, Tony Blair insistait sur la nécessité de considérer toutes les options au conflit irakien. Il assurait également à ses électeurs qu'il n'approuvait pas une éventuelle opération militaire dans la région.

Tous les documents du gouvernement américain portant sur les discussions entre George W. Bush et Tony Blair avaient été placés dans la bibliothèque présidentielle. Or en 2014, ils sont entrés dans le domaine d'application de la loi de la liberté d'information, obligeant dès lors le gouvernement américain à les rendre publics.

 

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Des armes américaines "perdues" retrouvées chez Daech

Pas perdues pour tout le monde, puisqu'ils continuent à armer leurs mercenaires de l'EI, CIA/Mossad !

Des armes américaines "perdues" retrouvées chez Daech

19:43 16.10.2015 (mis à jour 20:14 16.10.2015)

 

Les forces de sécurité irakiennes affichent un drapeau d`État islamique et des munitions confisquées

 

Des armes et des munitions "perdues" par les Américains ont été retrouvées par des soldats irakiens dans les régions débarrassées des terroristes de l'Etat islamique.

Lors d'une opération visant à libérer les territoires occupés par l'Etat islamique (Daech), des militaires irakiens ont découvert un hangar rempli d'armes américaines, rapporte le magazine en ligne Alles Schall und Rauch (ASuR).

Et bien que le Pentagone affirme que ces armes "ont disparu l'année dernière", personne, semble-t-il, n'accorde foi à cette allégation, souligne le magazine.

"Le Pentagone a confirmé lundi que l'armée irakienne avait découvert un vaste entrepôt appartenant à Daech et contenant un grand nombre de munitions américaines, ainsi que des roquettes antichars sophistiqués TOW-2. Cette cache d'armes a été découverte au moment où les militaires irakiennes ont repris des régions auparavant contrôlées par l'Etat islamique", indique l'ASuR.

"Interrogé par les journalistes, le porte-parole du Pentagone a reconnu qu'il s'agissait d'armes «disparues» l'année dernière, mais a nié que les Etats-Unis les avaient délibérément livrées à Daech", constate le magazine.

Les médias irakiens rapportent toutefois que les munitions et les roquettes avaient été parachutées par les Américains. Les porte-paroles de l'US Army nient cette information et la qualifient de "propagande", affirme l'ASuR.

"Oui, oui, niez tout et faites comme si vous étiez innocents. Personne ne vous croira", écrit le magazine, ajoutant que le stock découvert atteste que les Etats-Unis fournissaient à Daech non seulement des armes et des munitions, mais aussi des médicaments et même des denrées alimentaires.

En réalité, Washington combat aux côtés de l'Etat islamique. Quant aux Russes, on les traite de "méchants", car ils mènent une lutte efficace contre les terroristes. Le magazine considère la politique médiatique américaine comme une "déformation complète des faits".

"Washington et l'Occident en général montrent chaque jour qu'ils sont du côté des terroristes de l'Etat islamique. Un exemple? Les Etats-Unis et leurs laquais européens ont refusé de soutenir la déclaration du Conseil de sécurité de l'Onu dans laquelle le bombardement de l'ambassade de Russie à Damas était qualifié d'acte terroriste", rappelle l'ASuR.

Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a commenté ce comportement dans les termes suivants: "Il est dommage que nos collègues américains ne se mettent pas du côté de ceux qui se battent contre le terrorisme et qui condamnent les attaques terroristes. Deux poids deux mesures! Nous devons malheureusement le constater de nouveau".

 

 

Inferno: Le règne des fortunés et des privilégiés est désormais terminé

Et si la peur changeait de camp ?

«L'autocensure de dernière minute».


Gardez vos préjugés, les Dieux c'est nous maintenant, nous somme votre châtiment ! ....
Il est temps de traîner leurs carcasses jusqu'à la maison de la mort.

Inferno: Le règne des fortunés et des privilégiés est désormais terminé

 

 

Syrie: le Pentagone dément avoir livré des armes aux Kurdes

Eh oui, il ne faut pas frustrer la Turquie, par contre qu'ils entravent les missions militaires russes, en continuant à armer leurs mercenaires, c'est tout à fait normal !

Le président russe Vladimir Poutine avait auparavant prévenu que les armes livrées par les Etats-Unis à l'Armée syrienne libre (ASL) risquaient de tomber encore entre les mains des djihadistes de l'EI.

 

Syrie: le Pentagone dément avoir livré des armes aux Kurdes

18:55 16.10.2015

Rebelles syriens

Les forces de la coalition internationale conduite par les Etats-Unis ont largué dimanche dernier 50 tonnes de munitions à des rebelles anti-EI dans le nord de la Syrie, la Turquie craint que ces armes ne tombent entre les mains des Kurdes.

Les munitions parachutées dimanche étaient destinées uniquement aux "groupes arabes" soigneusement sélectionnés de l'opposition syrienne modérée combattant les djihadistes de l'Etat islamique (EI) et non aux Kurdes, a précisé le Pentagone, soucieux d'éviter les frictions avec son allié turc. 

"Les munitions larguées depuis des avions cargo C-17 ont été reçues par des groupes arabes, dont les chefs ont été soigneusement vérifiés. Ces groupes font partie de la +Coalition arabe syrienne+ qui mène des combats dans le nord-est de la Syrie où se trouve le bastion de l'EI", a annoncé à RIA Novosti un représentant du service de presse du Pentagone sans mentionner les peshmergas (combattants kurdes). 

Pourtant, le porte-parole du Pentagone Peter Cook avait auparavant supposé qu'une partie des munitions larguées dans la province syrienne d'Hassaké aurait pu tomber entre les mains des Kurdes combattant l'EI, ce qui a provoqué un tollé à Ankara. 

A l'heure actuelle, les Kurdes en Irak et en Syrie mènent une lutte armée contre l'EI. En Irak, ils bénéficient régulièrement d'une assistance militaire des Etats-Unis et de leurs alliés, ainsi que de la Russie qui le fait à la demande officielle de Bagdad. 

Bien que la Turquie où vivent plusieurs millions de Kurdes soit un allié des Etats-Unis dans la lutte contre l'EI dans la région, elle craint que les armes ne tombent entre les mains des combattants du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) qu'Ankara qualifie d'organisation terroriste.  

Le premier ministre turc Ahmet Davutoglu a prévenu Washington et Moscou de l'inadmissibilité d'une assistance militaire aux Kurdes syriens. La Russie a répondu ne pas accorder de telle assistance.

Le programme de formation et d'équipement, lancé début 2015 et doté de 500 millions de dollars, devait concerner environ 5.000 rebelles syriens. Au final, il n'a permis de former que quelques dizaines de combattants. Les militaires américains ont notamment été forcés de reconnaître que certains de ces combattants avaient remis une partie de leur équipement au Front al-Nosra, la branche syrienne d'Al-Qaïda.

Le président russe Vladimir Poutine avait auparavant prévenu que les armes livrées par les Etats-Unis à l'Armée syrienne libre (ASL) risquaient de tomber encore entre les mains des djihadistes de l'EI.