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15/04/2010

Eruption d'un volcan en Islande : 800 personnes évacuées

Et encore un volcan en éruption !

Eruption d'un volcan en Islande : 800 personnes évacuées

14.04.2010, 22h00 | Mise à jour : 23h25

Près de 800 personnes ont été évacuées mercredi en Islande après l'éruption d'un volcan sous un glacier. Si aucune victime n'est à déplorer, le sud de l'île est menacé de fortes inondations.

L'éruption, dans la partie sud-ouest du cratère au sommet du glacier Eyjafjallajokull, déjà touché par une éruption le mois dernier, a provoqué de nombreux tremblements de terre dans la région.

«La fonte du glacier a provoqué deux importantes coulées d'eau», a expliqué un porte-parole de la police locale. Jusqu'ici, «aucune vie n'est en danger mais nous avons évacué toute la zone et les routes sont fermées. Entre 700 et 800 personnes ont dû quitter leurs habitations, par précaution». Ces civils ont été ont dirigés vers des centres de la Croix-Rouge.

En Norvège, les autorités aéroportuaires ont annoncé avoir fermé une partie de leur espacé aérien, entre Bodoe et Tromsoe, dans l'extrême nord du pays. «Nous envisageons de le faire plus au sud jusqu'à Trondheim (centre), mais la décision n'a pas encore été prise», a déclaré un porte-parole de l'autorité aéroportuaire nationale Avinor, Sindre Aanonsen. Aucun problème du à l'éruption n'était encore observé en Norvège, mais «mieux vaut être en sécurité qu'avoir des regrets», a-t-il ajouté.

Le mois dernier, la première éruption de volcan depuis 1823 au glacier Eyjafjallajokull avait entraîné une brève évacuation de 600 personnes. L'éruption s'était terminée mardi, selon un géophysicien local, Magnus Tumi Gudmonsson. La nouvelle éruption semble se situer plus à l'ouest et «rien n'indique à ce stade qu'elle sera importante», a-t-il ajouté. Le 21 mars, tous les vols aériens d'Islande avaient été brièvement annulés, mais aucun vol n'a jusqu'ici été annulé mercredi.

La région concernée, qui est reculée et peu peuplée, est située à 125 kilomètres à l'est de Reykjavik, la capitale islandaise.

Le Parisien :

14/04/2010

Les Illuminati (v.e.v.d.i)

La société secrète des "illuminati"

 

Les Illuminati (v.e.v.d.i)

http://www.tagtele.com/videos/voir/16439/

 

Météo Chemtrails, un présentateur balance.

Enfin un journaliste météo courageux ! A quand le tour des journalistes français ?

 

Météo Chemtrails, un présentateur balance.

http://www.dailymotion.com/video/xcxlhc_meteo-chemtrails-...

23:45 Publié dans Empoisonnement, USA, Israël | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

Solutions locales pour un désordre global

Coline SERREAU - documentaire France 2010 1h55mn - avec entre autres le génial Pierre Rabhi, les incroyables microbiologistes Claude et Lydia Bourguignon, les magiciens des semences oubliées Kokopelli et plein d’autres intervenants passionnants...

Le site du film : http://www.solutionslocales-lefilm.com/

Du 28/04/10 au 11/05/10

SOLUTIONS LOCALES POUR UN DÉSORDRE GLOBAL


C’est un sacré chouette film pour donner envie de déplacer les montagnes ! C’est l’histoire des petits ruisseaux qui font les grandes rivières, du grain de sable qui enraye la machine libérale, de la souris (verte ?) qui fait peur à l’éléphant machiste… C’est un film pour faire savoir que tous les espoirs seront permis tant qu’il y aura des hommes et des femmes (plein de femmes) un peu partout dans le monde pour faire la démonstration qu’il est possible de résister à la machine à décerveler, à stériliser les sols, à déboussoler le climat en refusant la politique du pire que nous tricotent depuis des décennies politiciens, industriels, médias au nom de la Sainte Croissance. Il sont partout, dans tous les pays du monde, ces résistants heureux qui plaident pour une autre politique agricole, prouvant chaque jour de leur vie non seulement qu’elle est possible mais nécessaire et urgente pour sauver une planète martyrisée, exploitée… La preuve : Coline Serreau les a rencontrés ici, en Inde, au Brésil… celles et ceux qui combattent pesticides, engrais chimiques, OGM et autres saloperies produites par Monsanto et autres multinationales semeuses de mort.


Entretien avec Coline Serreau



C’est une positive, la Coline, on le sait depuis le premier jour où elle était venue à Utopia Avignon avec, sous le bras, les bobines de son épatant premier film Mais qu’est-ce qu’elles veulent. Formidable avocate du vivant, du respect de la vie, des gens, de la nature, elle irradie le plaisir de rencontrer de belles personnes et la réciprocité crève ici l’écran. On les connaissait déjà, les Pierre Rabhi, Lydia et Claude Bourguignon… mais elle leur laisse dans son film le temps d’être drôle, séducteurs, convaincants pour nous parler de cette passion de vie qu’ils partagent avec elle et, image après image, nous transmettent un peu de leur formidable instinct vital.
Si les villes françaises garantissaient encore jusqu’au début du siècle leur souveraineté alimentaire par une ceinture maraîchère, des vaches heureuses paissant dans des prés verdoyants et des beaux champs de blés… il n’en est plus de même aujourd’hui et les élus, main dans la main avec les industriels, continuent à massacrer de belles terres agricoles pour ajouter encore de nouveaux centres commerciaux ou des aéroports pour hommes d’affaires, tout en promettant des cantines bio à la pelle pour les petits nenfants, alors que dans la région de Toulouse comme ailleurs, les paysans continuent à disparaître plus vite que ne meurent les abeilles et seraient bien incapables de répondre à la demande… Qui dans cette foutue campagne électorale (peut-être Europe écologie ? Le NPA ? Le Front de gauche ? Who else ?) ose dire les choses vraiment : une simple pénurie de pétrole, une petite catastrophe de rien du tout et plus personne ne pourra se nourrir : une fois les supermarchés pillés, tous les paysans de la région réunis ne pourront subvenir plus de 4 jours aux besoins d’une ville comme Toulouse… Nous sommes dans un monde absurde où l’on fait parcourir à notre alimentation des centaines de milliers de kilomètres (souvenez vous les perches du Nil, la viande d’Argentine…), l’organisation mondialisée du Commerce et de l’agriculture continue à foutre en l’air des populations jadis autosuffisantes (ahhhrr la révolution verte indienne tant vantée, qui concourt aujourd’hui au suicide quotidien de centaines de paysans !).

Mais bon, on n’est pas là pour causer triste ! Foin de toutes ces histoires d’horreur, ce qui intéresse la belle madame Serreau, c’est de montrer que les solutions existent, même boudées par les médias, dont on sait qu’ils dépendent économiquement de la manne des Publicis et autres, qui pèsent de toute leur idéologie sur un journalisme pollué lui-même jusqu’au trognon. Alors qu’est-ce qu’on fait maintenant ? On commence par regarder autour de nous et on se rassemble avec tous ceux qui pensent, disent vrai et bougent… on n’en est plus à couper les cheveux en quatre, bordel de Zeus !



15:48 Publié dans Reprendre le pouvoir | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

Etats-Unis : Aujourd'hui la crise touche aussi les plus fortunés et leurs pharaoniques demeures.

Courrier International - 09/04/10 - Craig Karmin, James R. Hagerty | The Wall Street Journal

De nombreux Américains modestes ont perdu leurs logements en raison de la crise. Aujourd'hui, celle-ci touche aussi les plus fortunés et leurs sompteuses demeures.

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L'acteur américain Nicolas Cage

Célébrités et nantis ont désormais un point commun avec des centaines de milliers d’Américains des classes moyennes et inférieures : la banque s’apprête à saisir leur domicile. Le nombre de saisies de maisons sur lesquelles pèsent des hypothèques de 5 millions de dollars ou plus devrait être en nette augmentation cette année, selon une étude RealtyTrac pour The Wall Street Journal.

La première semaine du mois d’avril, un manoir de style Tudor du quartier de Bel Air, à Los Angeles, appartenant à l’acteur Nicolas Cage, a été mis aux enchères après saisie et finalement attribué à l’organisme prêteur. Mercredi 7 avril, Richard Fuscone, un ancien dirigeant de Wall Street, s’est déclaré en faillite personnelle, ce qui lui a permis d’éviter la vente aux enchères de sa propriété de 6 hectares à Westchester, dans l’Etat de New York. Le mois dernier, un immeuble d’habitation de Manhattan appartenant au producteur de cinéma italien Vittorio Cecchi Gori a été vendu aux enchères 33,2 millions de dollars. Durant le seul mois de février, pour l’ensemble des Etats-Unis, 352 logements de luxe devaient être mis aux enchères, dernière étape avant le rachat par la banque. C’est le plus fort taux mensuel d’avis de ventes aux enchères pour des biens de ce type depuis le début de la crise financière. Pour comparaison, il n’y en avait eu que 1 312 sur toute l’année 2009.

Selon les économistes, si les superriches sont généralement les derniers à perdre leur logement, c’est parce qu’ils possèdent beaucoup d’épargne et ont un meilleur accès aux prêts et à d’autres moyens leur permettant d’éloigner le spectre de la saisie. Cependant, ils sont aussi nombreux à travailler dans les services financiers et d’autres secteurs particulièrement touchés par la crise et à avoir vu leur fortune s’effondrer lors du krach boursier. Richard Fuscone, ancien directeur du secteur Amérique latine chez Merrill Lynch, avait mis sa demeure en vente en novembre dernier à 13,9 millions de dollars.

Mais elle n’a pas trouvé acquéreur. Un tribunal avait donc prévu de mettre aux enchères de cette propriété de 1 716 m2 possédant deux piscines, deux ascenseurs, six cheminées, 11 salles de bains et un garage pour sept véhicules. La mise en faillite personnelle de Fuscone est venue suspendre temporairement la procédure de saisie. Nicolas Cage avait lui aussi mis en vente sa maison de 1 100 m2 à Bel Air pour 35 millions de dollars, sans recevoir la moindre offre, raconte James Chalke, un agent immobilier. Lors d’une vente aux enchères organisée le 7 avril, la propriété n’a pas davantage trouvé preneur et a donc été acquise par le créancier ayant demandé la saisie. Ce phénomène ne se limite pas à New York ou à Los Angeles. Les banques ont remis la main sur des propriétés de plus de 5 millions de dollars en Géorgie, en Caroline du Nord et dans le Colorado. En Floride, les trois plus grandes saisies immobilières des dix derniers mois ont concerné une maison de 432 m2 à Sunset Islands, une autre de 784 m2 à Coral Gables et un appartement sur Miami Beach. Les emprunts contractés étaient compris entre 3,5 millions et 4 millions de dollars.

Les cessations de paiement ont commencé à se multiplier fin 2006, surtout chez les propriétaires devant rembourser des prêts à haut risque, ces prêts accordés aux acheteurs sans réelle assise financière, voire déjà endettés. Puis les difficultés de remboursement ont gagné les classes plus aisées, notamment les personnes qui avaient obtenu des prêts sans déclaration de revenu préalable. Fin 2009, près de 8 millions de foyers, soit 15 % de ceux ayant contracté un prêt immobilier, avaient du mal à rembourser leur prêt ou étaient sous le coup d’une procédure de saisie immobilière. Les gens les plus fortunés peuvent se permettre de retarder le plus possible la procédure, parfois pendant des années.

“Il leur est extrêmement difficile d’admettre leurs revers de fortune”, explique Maggie Navarro, agent immobilier à Pasadena, en Californie. Marc Carpenter, spécialiste des saisies immobilières à San Diego, souligne que s’il est beaucoup plus difficile aujourd’hui pour les acheteurs potentiels d’emprunter de l’argent, il y a encore moins d’acheteurs capables de s’offrir des propriétés aussi luxueuses.

Dans sa déclaration de faillite, M. Fuscone a fourni une liste des dettes contractées notamment auprès d’American Express, de Mercedes-Benz, d’une quincaillerie, d’une animalerie et d’une boutique de vêtements de luxe. “Je viens du monde de la finance et j’ai été personnellement ruiné par la crise financière qui a éclaté en mars 2008”, a écrit M. Fuscone dans sa déclaration de faillite. “J’ai été poursuivi en justice par la Patriot National Bank dans le cadre d’une procédure de saisie. Je n’ai actuellement aucun revenu pour les trente jours à venir.”

C.W. Kelsey, propriétaire de la quincaillerie Greenwich Hardware, fait partie des commerçants qui ont fait crédit à M. Fuscone. “Jusqu’à présent, la majorité de nos problèmes d’argent venaient de nos prestataires, observe-t-il. A présent, nous avons maille à partir avec des clients à qui on faisait crédit les yeux fermés il y a encore deux ou trois ans, des gens qui vivent dans des propriétés qui valent des millions.”


http://inventerre.canalblog.com/archives/2010/04/14/17567715.html

15:43 Publié dans Crise Financière & Mondiale, USA, Israël | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |