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Mardi soir, un Mirage de Cambrai fait « bang » et nos coeurs font « boum » !

L'explication du bruit sonore qui s'est produit dans le Nord de la France dans la nuit de mardi.

On se demande d'ailleurs à quoi servent ces exercices à 22 h 30 ?

 

jeudi 04.02.2010, 05:06 - PAR OLIVIER BERGER

 

INFOGRAPHIE GIEM
INFOGRAPHIE GIEM 

| AVIATION |

L'énorme détonation entendue d'Armentières à Arras et Cambrai, jusqu'en Belgique, mardi à 22 h 35, a eu une onde de choc bien supérieure à la réalité. Le Mirage 2000-C, de la base aérienne de Cambrai, auteur du « bang » du mur du son, a affolé la moitié de la région et Internet !

Les militaires préfèrent en général la discrétion. Raté mardi soir quand un Mirage 2000-C, avion de chasse monoplace, de la BA 103 de Cambrai-Épinoy, a dépassé brièvement la vitesse du son (340 m/s au sol) à un peu plus de 6 000 m d'altitude au nord-ouest de Lille, dans une zone transfrontalière dévolue à l'entraînement au combat.

Quatre chasseurs cambrésiens menaient un exercice d'interception de nuit, à deux contre deux, lors de l'incident sonore, un épisode transsonique, c'est-à-dire légèrement supérieur à Mach 1, l'unité de mesure des avions supersoniques.

Internet fait « buzz »

Soyons clair, ces avions, en charge de la sécurité de notre espace aérien, ont l'autorisation de voler à cette vitesse et de franchir le mur du son. Ça fait partie de leur entraînement. Mais le commandant de la base, le colonel Gernez, assure : « Notre philosophie générale est de limiter les nuisances, nos procédures cadrent les limites, notamment la nuit. S'il y a violation délibérée, il y a sanction. Là, au vu des éléments, ce n'est pas le cas. » Selon le chef de la BA 103, le pilote a agi de manière involontaire : « C'est un sous-chef de patrouille au milieu de sa progression professionnelle avec 300 heures de vol et plus de deux ans à Cambrai. » Un reproche, il a manqué de vigilance en ne voyant pas son cadran de machmètre approcher la limite du son.

Seulement, la mésaventure aérienne a affolé la moitié sud de la région. Outre la déflagration, les vitres et certaines habitations ont tremblé. En raison de l'humidité ambiante, qui régnait mardi soir sur la terre comme dans le ciel, l'onde de choc a été plus violente et s'est dispersée, dans le sens inverse du Mirage 2000, d'Armentières jusqu'à Arras et Cambrai.

Beaucoup de gens ont cru à l'explosion d'une conduite de gaz. Les pompiers, la police ont été submergés d'appels. Une équipe d'urgence de GDF s'est même déplacée à Lille, à l'appel de riverains inquiets de la rue de Douai !

Internet a aussitôt lancé la machine à rumeurs (OVNI, avion secret, attentat). Et à humour plus ou moins fin : « Moi, je crois plutôt à la théorie du sumo tombé dans ses escaliers. » Un groupe Facebook « Toi aussi, t'as entendu un gros boum aux alentours de Lille ? » était créé dès 22 h 40 mardi et comptait hier soir plus de 11 000 membres.

Nos informations sur www.lavoixdunord.fr, elles, étaient consultées dans la journée par un record de 60 000 personnes.

http://www.lavoixdunord.fr/Region/actualite/Secteur_Regio...


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05/02/2010 | Lien permanent

Les sondes Voyager résolvent une énigme de notre banlieue interstellaire

Réchauffement : vous avez dit Co2 ou ascension de notre système solaire vers le centre de la Galaxie ?

 Le 4 janvier 2010 à 09h02

Par Laurent Sacco,

Grâce aux données fournies par les sondes Voyager, en train de sortir du système solaire, une énigme astrophysique est en passe d'être résolue : celle de la stabilité du nuage interstellaire local à travers lequel fonce notre système solaire. Le champ magnétique local y est plus intense que prévu, protégeant le nuage du souffle des supernovae.

Les astrophysiciens savent depuis longtemps que notre système solaire est plongé dans un nuage d’hydrogène et d’hélium d’une trentaine d’années-lumière de diamètre et porté à une température comparable à celle de la surface du Soleil, c'est-à-dire 6.000 kelvins. Or, ils savent aussi que ce nuage interstellaire local (ainsi l’appelle-t-on) est lui-même plongé dans une série de bulles de gaz coronal portées à des températures de plusieurs millions de degrés. Ce sont les restes des explosions de plusieurs supernovae datant d'une dizaine de millions d’années environ.

Ces observations sont paradoxales. En effet, le souffle des explosions des supernovae aurait dû volatiliser le nuage local depuis longtemps. Comment expliquer sa remarquable stabilité ? En faisant intervenir de la matière noire comme pour le gaz intergalactique entourant les amas de galaxies ?

Une explication bien plus probable et qui plus est directement soutenue par des observations vient d’être avancée dans un article de Nature par un groupe de chercheurs utilisant les données sur les champs magnétiques mesurées par Voyager 1 et surtout Voyager 2 dans leur périple au-delà de l’héliopause de notre système solaire.

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Le nuage local avec les étoiles Sirius, Procyon entourant le Soleil. En jaune, la direction du mouvement du Soleil et en bleu la direction du centre de la Galaxie. Crédit : Linda Huff (American Scientist) Priscilla Frisch (University of Chicago)

Une bulle de plasma de 650 années-lumière nous entoure

Contrairement à ce que l’on pensait, le nuage local est particulièrement magnétisé par un champ dont l’intensité dépasse les 4 microgauss (celui de la Terre est de l’ordre de 0,5 gauss, c'est-à-dire 50 microteslas). Il y a donc une densité d’énergie magnétique qui peut s’opposer à la pression exercée par les bulles de gaz coronal chaud des supernovae ayant explosé récemment dans le voisinage du nuage local.

Le diamètre de la bulle locale entourant le système solaire est d'environ 650 années-lumière. Elle est située dans le bras d’Orion de la Voie lactée et il est probable qu’elle a été laissée par la supernova à l’origine du pulsar Geminga.

La pression exercée par le nuage local est compensée par celle de l’héliosphère solaire et l’influence du champ magnétique du Soleil. Cette découverte implique donc que la taille de l’héliosphère pourrait changer de façon substantielle lors de son voyage autour du bulbe de la Voie lactée et ses collisions avec d’autres nuages interstellaires fortement magnétisés. Ces nuages pourraient en effet l’être plus que l’on ne le pensait jusqu’à maintenant puisqu’on a l’exemple même du nuage local. Or les limites de l’héliosphère influencent le flux de rayons cosmiques bombardant le système solaire. On pourrait donc s’attendre à des surprises dans le futur, ou inversement dans l’histoire passée du système solaire.

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Les bulles de gaz coronal dont celle entourant le Soleil (Représentation d'artiste). Crédit : Wikimedia commons

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/les...

 

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08/01/2010 | Lien permanent

Une taxe carbone pour ”préparer l'après-pétrole”

Ben tiens ! Il fallait bien un évènement médiatique pour préparer ça, non ?

Le fim Home de YAB a atteint tous ses objectifs au profit des multinationales et de l'état, et au détriment des grands cons.ommateurs que nous sommes !


Une taxe carbone pour "préparer l'après-pétrole"

Près de trois ans après le lancement du Pacte écologique par Nicolas Hulot, qui avançait l'idée d'une taxe carbone, le gouvernement a rouvert le débat sur ce sujet, mercredi 10 juin. Les ministres de l'écologie, Jean-Louis Borloo, et de l'économie, Christine Lagarde, ont présenté le Livre blanc de la Contribution climat énergie (CCE, dite "taxe carbone").

La loi issue du Grenelle de l'environnement, actuellement en deuxième lecture à l'Assemblée nationale, prévoit que "dans les six mois suivant [sa] publication, l'Etat étudiera la création d'une contribution dite 'climat-énergie' en vue d'encourager les comportements sobres en carbone et en énergie". C'est la raison pour laquelle le gouvernement organise, les 2 et 3 juillet, une "conférence de consensus" qui réunira experts, associations et syndicats pour définir cette CCE ainsi que sa mise en place.

Selon Benoît Faraco, coordinateur "changements climatique et énergie" à la Fondation Nicolas Hulot, les réflexions et débats s'articuleront principalement autour de la proposition de Nicolas Hulot, à savoir la mise en place d'une taxe sur les émissions de gaz à effet de serre liés à la consommation d'énergie, et qui concernerait tout le monde : particuliers, entreprises et administrations.

Le principal enjeu des débats concernera, selon M. Faraco, les modalités d'application de la CCE pour "bien faire comprendre qu'il ne s'agit pas de créer une nouvelle taxe ou de renflouer les caisses de l'Etat".

Car la fondation propose de redistribuer le produit de la taxe sous forme d'une allocation climat annuelle pour les particuliers – un chèque de 130 € selon les estimations – et de compenser avec un abaissement des charges sociales pour les entreprises. Au total, cela devrait générer un flux d'argent circulaire d'environ 8 milliards d'euros par an.

L'objectif de la taxe n'est donc pas de créer un impôt supplémentaire, mais d'établir un "cercle vertueux" qui aurait pour but de dissuader l'achat d'énergie fossile. Mais, comme le dit M. Faraco, "on pourrait se dire, à première vue, que si on rend l'argent aux Français, cela ne sert à rien".

Dans la proposition de la fondation, chaque ménage recevra, quelle que soit sa consommation d'énergie fossile, un chèque du même montant. Mathématiquement, plus la taxe d'un ménage sera élevée – due à sa forte consommation d'énergie "non propre" –, moins il gagnera à la fin de l'année. Et inversement. "Les ménages à forte consommation seront incités à réduire leur consommation, tandis que les ménages vertueux, eux, se verront récompensés, explique M. Faraco. Le but est de préparer la hausse du prix de l'énergie qui, de toute façon, est inévitable."

Ainsi, logiquement, la CCE devra suivre de manière proportionnelle la hausse du prix des énergies fossiles pour "préparer progressivement l'après-pétrole". "Nous n'allons pas attendre que le pétrole atteigne 200 dollars le baril pour réagir. A terme, l'idée est, d'ici à 2030, de multiplier par trois le montant de la taxe", précise, en conclusion, Benoît Faraco.


Source : http://www.lemonde.fr/planete/article/2009/06/10/une-taxe...

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10/06/2009 | Lien permanent

Alerte : Dictature en marche. Grippe, juste l'info officielle. Blogs coupés. ”11/9”

                 

Spécial désinformation :  tremplin de la dictature.
Introduction, par Eva R-sistons. Morceaux choisis. Sélection de liens.
Désinformation, dictature, par Eva R-sistons

Alerte ! Nous avions les prémices d'une dictature.. en France, via Sarkozy, mais aussi au niveau de la planète.  Maintenant, nous allons y entrer de plain-pied ! 

Avec la grippe, pardon la gripette, une chance pour le Futur Désordre Mondial criminel, ou plus exactement ce qu'on appelle "Le Nouvel Ordre Mondial", un euphémisme ! Comme pour la "modernité", chaque fois que le mot est employé, alerte, souriez, vous êtes roulés ! Modernité, cela signifie en réalité régression, casse sociale, des services publics, etc, vous êtes intelligents, vous savez de quoi il en retourne. 

Cette gripette, dont la dangerosité est inversement proportionnelle au bruit fait dans les Médias, est la dernière trouvaille de nos bienfaiteurs, vous savez, les marionnettistes qui manipulent en coulisses les événements pour avoir d'encore plus gros comptes en banque, encore plus de résidences, des baignoires en diamant et des yachts plus longs... Et beaucoup, beaucoup de repas aux Fouquet's de la planète... Et cette gripette permettra à l'Oligarchie, entre autres, d'accroître sa domination sur nous. Jolie société, "démocratie irréprochable" comme dit notre ami Sarkozy !  Nos moindres faits et gestes sont épiés et consignés, nos médias sont des courroies de transmission des Seigneurs de la planète (hé, hé, on a fait 1789 pour en arriver là ?), nous imposons notre charmante démocratie à tous ceux qui n'en veulent pas, d'accueillants camps de concentration sont en préparation pour ceux qui ne se pâment pas devant les changements qui nous attendent, la Police se voit contrainte de renoncer à ses missions de proximité pour des opérations plus musclées, les délinquants en herbe sont criminalisés et les vrais criminels, mais en col blanc, sont...blanchis, etc etc, vous êtes au parfum.




"Selon que vous serez puissant, ou misérable", même bébés...
Le talent de Laplote, courez voir ses derniers chefs-d'oeuvre, ici:
http://laplote.over-blog.fr
(dessin spécialement POUR les lecteurs de R-sistons)


Et maintenant, avec notre grippe porcine (on a eu le veau aux hormones, la vache folle, le poulet à la dioxine, le porc aux antibiotiques, etc, jolie société !), voici s'ouvrir devant nous une nouvelle étape : Hortefeux, notre sympathique et souriant Ministre de l'intérieur, vient de signer une convention avec les médias... "dans quelques temps, les médias ne diffuseront que des infos type Tchernobyl 1986.... les gens du ministère et les adoubés seront les seuls à parler" !

Tchernobyl ! J'étais journaliste sur une de nos grandes chaînes de télévision, quand la catastrophe se produisit. Chouette ! Le nuage a eu le bon goût de s'arrêter à la frontière. Je venais de mettre au monde un fils, et je faisais avec lui de beaux châteaux avec un sable arrosé par le nuage arrêté à la frontière. Las ! Un chercheur du CNRS me contacta. Il était un brin méfiant, ou un brin curieux, et il venait de faire ses propres analyses qui coïncidaient avec celles de nos voisins allemands, mais pas du gouvernement français. J'en informais aussitôt mon Rédacteur en Chef... et tout continua comme avant. Silence médias !! Et tant pis pour notre santé, ça c'est un détail !

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05/09/2009 | Lien permanent

L'Islande, ce pays qui n'a pas peur d'envoyer les banquiers en prison

Aux USA et en Europe, ce sont les Banksters qui choisissent leurs représentants politiques pour placer leurs pions aux gouvernements !

Ils ne risquent pas d'être délogés de leurs postes, ni les uns et ni les autres !

 

L’Islande, ce pays qui n’a pas peur d’envoyer les banquiers en prison

22 oct. 2015, 21:07

Le pays fait figure d'exemple dans la lutte contre la délinquance financière.

Source: Reuters

Le pays fait figure d'exemple dans la lutte contre la délinquance financière.

La petite île de l’Atlantique-nord a condamné vingt-six banquiers à des peines de prison fermes pour leurs rôles dans la crise financière.

C’est un contraste saisissant entre d’un côté des responsables américains et européens peu inquiétés après la crise et la manière dont l’Islande traite ses propres cas. Vingt-six «banksters» verront les portes des pénitenciers de l’île. Pour la majorité des cas, les peines vont de deux à cinq ans. En Islande, la sentence maximum pour délit financier est de six ans.

Manipulations et … condamnations

Les délinquants en col blanc ont été jugés pour des manipulations du marché financier islandais. Le pays avait dérégulé son secteur financier en 2001. Une accumulation de dettes étrangères aggravée par la crise a conduit à une fusion de l'entièreté du secteur bancaire en 2008.

A propos de cette affaire, l’Iceland Magazine écrit : «Dans deux décisions séparées la semaine dernière, la Cour suprême d’Islande et la Cour fédérale de Reykjavik ont condamné trois cadres supérieurs de Landsbankinn et deux top managers de Kaup þ Ing pour des crimes commis peu avant le krach financier de 2008. Avec ces décisions, le nombre d’acteurs de la finance impliqués dans la crise et punis par la justice se montent à 26 pour des peines accumulées portant à 74 ans de prison.»

Des dettes massives ont été souscrites au nom du peuple islandais afin de permettre au pays de continuer à tourner. Il vient tout juste de rendre son argent au FMI. Certaines dettes sont en cours de remboursement à d’autres nations, huit ans après la terrible crise économique qui a frappé le pays. A l’inverse de la très grande majorité des pays occidentaux, la petite île a tenu à respecter la loi et à chatier ceux qui ont manipulé son système financier.

Les Etats-Unis souffrent grandement de la comparaison

Du côté de l’Oncle Sam, presque aucun des responsables de la crise financière de 2008 n’a été jugé coupable. Un comble lorsque l’on sait que les plus grandes fraudes financières ont été commises outre-Atlantique, fraudes qui ont participé grandement à l’effondrement économique mondial.

Au contraire, le Congrès a soutenu les banques en difficulté à hauteur de 700 milliards de dollars en faisant participer les contribuables américains.

Lorsque l’on demande au président islandais, Olafur Ragnar Grimmson, comment son pays se remet de l’hécatombe, voici sa réponse : «Nous avons été assez sages pour ne pas suivre l’exemple du monde financier occidental ces trente dernières années. Nous avons introduit le contrôle de notre monnaie, fourni de l’aide aux gens et n’avons pas mis en place de mesures d’austérité comme vous le voyez en Europe.»

 

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23/10/2015 | Lien permanent

Nibiru, une planète rouge visible dans le ciel d'Hawaï le 20 août 2015

 

Dans cette vidéo Nibiru est visible dans le ciel d'Hawaï, le 20 août 2015, mais elle semble être visible de partout dans le monde !

Abonnez-vous à la chaîne vidéo de saša lučić pour voir d'autres apparitions de Nibiru dans le monde !

 

Dans l'image apparaissant sur un compte Facebook, en bas de l'article qui a été mis en ligne par Ben Garneau sur son site, un internaute qui semble être domicilié au Canada a placé une photo de Nibiru faisant relation au système solaire dénommé Immâru auquel Nibiru appartiendrait. Contact pris avec l'internaute, celui-ci nous confirme que la photo est réelle et qu'elle a été prise le 20 août 2015.

 

Après de premières recherches sur le système solaire Immâru auquel Nibiru appartiendrait, elle serait accompagnée de 6 planètes et de 2 lunes qui graviteraient autour de Nibiru, à confirmer par d'autres recherches.

 

A vous de vous y mettre aussi aux recherches et de nous les communiquer.

 

Voici ce que nous avons trouvé sur le net avec le mot clé Immâru ou système solaire Immaru :

 

: Une vidéo qui donne les noms des planètes qui font partie du même système solaire que Nibiru.

Les noms des planètes de ce système solaire :

1ère planète : Isatum,

2ème planète : Sarru,

3ème planète : Napisiti,

4ème planète : Urri,

5ème planète : Matim,

6ème planète : Nibiru qui aurait 2 lunes : Nanna & Amelserru,

7ème planète : Atu

 

NIBIRU - Planet / Star System

 


 

2 : Un livre en Anglais portant comme par "hasard" sur le thème de la climatologie : Climatological Data, Annual Summary: Florida

 

3 : Voici ce que pensaient les Anciens Egyptiens sur la "Démon Star" ou étoile du Diable : How the Ancient Egyptians understood the 'Demon Star' 3,200 years ago - and their calculations have helped solve a modern dilemma


Traduction Google : Comment les anciens Egyptiens ont compris le «Démon Star" il y a 3200 ans - et de leurs calculs ont permis de résoudre un dilemme moderne

La théorie selon laquelle nous puissions évoluer sous l'influence d'un système solaire binaire et que notre soleil aurait un frère a déjà été évoquée , et elle est parfaitement plausible compte tenu du fait que nous savons d'après les recherches du scientifique Français, Jean-Pierre Petit qui a développé la Théorie des Univers Gémélaires ou Univers Jumeaux, que nous savons désormais qu'il existe des Univers Pallèles, que notre Univers est Holographique, ou qu'il n'est qu'une projection de ce qui peut exister dans la matière dite noire, mais qui pour nous est la matière supralumineuse, non encore connue, que  l'Univers est électrique, découverte que nous devons à Nicolas TESLA, que l'Univers est Fractal, qui ne sait que dupliquer les ADN qu'il a mémorisés dans ses matrices et qui font que tout ce qui est en haut et tout comme ce qui est en bas, et inversement, que les astres naissent de rencontres électriques,  etc.. et que la science ne connait encore rien à la matière dite noire de l'Univers, tout est possible !

Passons donc à l'article mis en ligne par Ben Garneau

22 Août 2015

Commençons par cette image extraite d'une vidéo, la planète rouge qui se reflète dans l'eau, prouvant qu'il ne s'agit pas d'un reflet de lentille, mais d'une planète bien réelle.

Nbiru , une planète rouge visible dans le ciel

Voici la vidéo,

Ajoutée le 20 août 2015

ALERT ! SEE RED PLANET X NIBIRU!!
hawaiian 2015-08-20 Oahu, Hawaii (HST) Sunrise 6:11am
JUST FOR YOU PEOPLE !
I would ask you if you want to subscribe for my channel. THANK YOU.BY.SAŠA

ALERT ! SEE RED PLANET X NIBIRU! Oahu, Hawaii 2015-08-20


Dans le même ordre d'idées, cette image qui circule sur Facebook va dans le même sens, il y a une planète rouge que les chemtrails ont de plus en plus de difficulté à cacher.

Cliquez sur l'image pour la voir en taille originale

Conclusion : Nibiru ou la Planète X, est bien réelle, de plus en plus de photos et de vidéos le prouvent.

Cette planète n'est pas toujours facilement visible, il y a encore beaucoup trop de chemtrails et de pollution pour qu'on puisse la voir en permanence. Mais ça s'en vient ... plus que quelques mois, et personne ne pourra nier ce que tous peuvent facilement voir dans le ciel , ce qui devrait se faire au plus tard en fin d'année 2015 - début 2016.

À suivre ...

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23/08/2015 | Lien permanent

La LDJ provoque des débordements aux abords d’une synagogue

Qui sont imputés aux musulmans et aux Français, bien sûr, qui manifestaient pacifiquement à Paris, samedi dernier ! 

Il fallait bien trouver un prétexte fallacieux pour que le CRIF ordonne de faire cesser les manifestations en faveur du Peuple Palestinien,

Le CRIF dénonce les attaques violentes des synagogues à Paris et demande l'interdiction de manifestations en faveur du Hamas

15 juillet 2014

Dimanche dernier, des partisans de la cause palestinienne et des extrémistes juifs sionistes de la LDJ (Ligue de Défense Juive) se sont affrontés aux abords de la synagogue de la Roquette à Paris, en marge de la manifestation pacifique en soutien à la Palestine, suite aux provocations de la milice juive sur les réseaux sociaux, souhaitant régler leurs comptes avec ceux qu’ils considèrent comme leurs ennemis.

provoc 1

Les associations antiracistes, le Premier ministre zélé Carlos Manuel Valls ainsi que toute la presse se sont ainsi emparé de ce fait divers afin de manifester en chœur leur solidarité vis à vis de la communauté juive, face à ces « hordes d’antisémites ».

De tels actes qui visent des lieux de culte sont inadmissibles

Carlos Manuel Valls

Pourtant, il parait clair que les violences ont été commanditées par la LDJ, qui attise le brasier avant de donner l’alerte incendie. Certains témoignages de militants pro-palestiniens sur le terrain font état de provocations multiples de ces voyous sionistes qui invectivaient les manifestants pacifiques avant de rebrousser chemin vers la synagogue, poursuivis par quelques militants ayant bêtement cédé au défi lancé par la milice.

Le traitement de ce fait divers a une nouvelle fois pour effet d’inverser les rôles auprès de l’opinion publique qui prendra en compassion les agresseurs, comme en Palestine occupée, où l’agresseur est présenté comme victime et la victime désignée comme l’agresseur.

Une routine pour ces rois de la manipulation qui bénéficient du soutien sans faille des médias de masse et des pouvoirs publics, comme en atteste une vidéo diffusée sur YouTube où l’on voit des extrémistes juifs sauvagement saccager la rue de la synagogue en question avant de fuir les représailles de leurs proies en sous-nombre en se réfugiant comme des rats derrière le cordon de CRS affrété par El Blancos afin de prendre la défense des délinquants à kippa.

En utilisant le slogan : Palestine on t'encule !

Des pro-israéliens qui cassent tout devant la synagogue de la rue de la Roquette

http://www.youtube.com/watch?v=geye3CS3e0A

Au rayon manipulation, notons également cette vidéo captée par un partisan du sionisme, où des slogans tels que « Hollande complice ! » ou encore « Sionistes, fascistes, c’est vous les terroristes ! » deviennent respectivement « Mort aux juifs ! » et « Un juif, des juifs sont tous des terroristes ! », l’auteur de cette vidéo, certainement très intègre, devrait sûrement consulter un spécialiste des troubles auditifs.

Manif de la haine, Paris 13 juillet 2014

http://www.youtube.com/watch?v=TkWefM_qd7o

arno-klarsfeld

Arnaud Klarsfeld, le très respectable membre du Conseil d’État et soldat de Tsahal , lui aussi atteint de ces troubles auditifs comme de nombreux juifs vertueux, s’indigne même que la presse ne relève pas le fruit de leur démence.

Il faut croire que les sionistes souhaitent à tout prix que leurs opposants soient tous d’ignobles antisémites, probablement afin de cautionner leurs actes criminels auprès de l’opinion internationale.

http://croah.fr/corbeau-dechaine/la-ldj-provoque-des-debordements-aux-abords-dune-synagogue/

 

Cher «frère» qui milite à la Ligue de Défense Juive et au Betar

 

 

 

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18/07/2014 | Lien permanent

Faute de spec­ta­teurs, Bernard-Henri Lévy contraint d’an­nu­ler sa pièce de théâtre

Pour rire un peu ! Le bouffon du Roi, psychopathe, BHL s'est pris un gros bide avec sa pièce politique infâme ! Le public ne s'y est pas trompé ! Allez on ferme !!

Il est plus fort avec son lobby satanique  pour semer les guerres qu'il n'a de talent artistique avéré, tant en tant que comédien que de philosophe à 2 balles !

Document : Quand BHL vantait les mérites de Satan...

 


En 1979, à l’occasion de la publication de son livre Le Testament de Dieu, Bernard-Henri Lévy débattait dans l’émission La Part de l’ombre avec André Frossard et Georges Suffert, auxquels il livrait sa vision de Satan et de Judas.




Publié le mardi 14 octobre 2014 à 17:49 par Perrine Stenger

Le camou­flet est de taille. Selon le site Arrêt sur images, Bernard-Henri Lévy est contraint d’an­nu­ler les dernières repré­sen­ta­tions d’Hôtel de l’Eu­rope, sa dernière pièce de théâtre très enga­gée.

En cause : le manque cruel de spec­ta­teurs prêts à se dépla­cer pour voir Jacques Weber débi­ter un long mono­logue en cinq actes sur la scène du théâtre de l’Ate­lier à Paris.

Les proprié­taires de ce dernier ont fait savoir que le taux de remplis­sage étant insuf­fi­sant, la dernière de la pièce se joue­rait donc le 16 novembre au lieu de fin décembre.

Selon Arrêt sur images, la salle était correc­te­ment remplie les week-ends, mais clai­re­ment boudée en semaine, faisant perdre de l’argent aux produc­teurs. « Nous nous sommes rendus compte égale­ment que le sujet de la pièce, la poli­tique euro­péenne, n'allait pas atti­rer les foules pendant les fêtes de fin d'année. On a donc préféré arrê­ter les frais », a fait savoir le théâtre de l’Ate­lier au site.

La pièce, qui avait pu comp­ter parmi ses spec­ta­teurs de nombreux hommes poli­tiques, de Nico­las Sarkozy à François Hollande, s’était pour­tant fait descendre par la critique. Le Monde n’avait pas hésité à trou­ver le mono­logue « obscène voire bour­sou­flé ».

Plus sévère encore, le quoti­dien s’était demandé : « Comment la surface média­tique de certains person­nages de notre petite comé­die intel­lec­tuelle française peut être à ce point inver­se­ment propor­tion­nelle à leur talent ? » On a un début de répon­se…

Qu'en pensez vous ?

http://www.voici.fr/news-people/actu-people/faute-de-spectateurs-bernard-henri-levy-contraint-d-annuler-sa-piece-de-theatre-544424

 

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15/10/2014 | Lien permanent

En Italie, Giulietto Chiesa dénonce le false flag de Charlie Hebdo sous les applaudissements du public

Giulletto Chiesa, ancien député européen qui est aussi journaliste et qui enquête toujours sur les attentats du 9/11/2001 aux USA. Il a fait un travail colossal sur cette enquête et il a même écrit des livres sur ce sujet. Lui aussi, dénonce l'attentat sous faux drapeau ou le false flag chez Charlie Hebdo.

Nous ne sommes pas tous aveugles ! Nous sommes la risée du monde en ce moment !

En Italie, Giulietto Chiesa dénonce le false flag de Charlie Hebdo sous les applaudissements du public

mardi 13 janvier 2015

Le journaliste italien Giulietto Chiesa était invité à la célèbre émission talkshow de la télévision italienne La Gabbia ("La cage" en français – NdT) dimanche 11 janvier, soit le jour même de la grande manifestation dans les plus grandes villes de France après les attentats à Paris qui ont fait 17 morts.

Son analyse détonne particulièrement lors de ce débat, où il remet en cause à la fois le récit des événements qui nous a été fait, et les liens de cette affaire avec la politique étrangère occidentale en Libye et en Syrie ces dernières années.

Le plus étonnant est de voir que les journalistes et les autres participants le laissent parler sans (trop) l’interrompre, qu’il est même applaudi par le public italien, et que pour une fois, un dissident de la "pensée unique" peut s’exprimer clairement et terminer d’exposer une opinion aussi différente sans être lynché verbalement.

Merci de nous signaler toute situation comparable à la télévision française, si vous en trouvez !

Giulietto Chiesa sur l'attentat à Charlie Hebdo (TV italienne)

 

Article de Giulietto Chiesa, en lien avec cette interview

Vous ne trouverez pas l’explication à Paris
Par Giulietto Chiesa, La Voix de la Russie, 12 janv. 2015

Une avalanche de rhétoriques mielleuses et trompeuses, autour de la gigantesque manifestation à Paris, tandis que l’Europe des puissants (ces leaders du vieux continent, que certains peuvent faire chanter et ne s’en privent pas) s’apprête à faire voter à Bruxelles dès demain des mesures antiterroristes d’urgence qui seront les soeurs jumelles du PATRIOT ACT de George W. Bush en 2001 votées après les attentats du 11 septembre 2001.

La caravane médiatique des serviteurs du pouvoir a déjà archivé la première page de cette tragédie : à savoir la version officielle (ou plutôt, les versions officielles) de l’attentat sanglant contre Charlie Hebdo, qui est déjà donnée pour acquise et certaine. Comme si nous savions ce qui s’est réellement passé !  

Mais nous ne savons rien de rien. A moins de penser que tout cet immense cirque barnum d’émotions, de larmes de crocodile ou sincères, ces peurs, ces mensonges, ces discussions bêtifiantes, qui ont animé tous les gouvernements européens, en y ajoutant Netanyahou et Mahmoud Abbas, a été provoqué par la folie de trois (*) jeunes qui, soit dit en passant, étaient surveillés depuis plusieurs années par les services secrets français.  

La menace existe, et ces dirigeants, pour le moins culottés, qui ouvraient le cortège à Paris le savent.

Est-ce l’État islamique ? Bien sûr : c’est « aussi » l’État islamique, mais il faut se demander ce qu’est vraiment l’État islamique, d’où il vient, qui l’a créé, payé, organisé. Et qui le dirige, profitant de l’énorme force motrice de ces immenses populations déshéritées de par le monde.  

Ce qui a été commis à Paris est un acte de guerre contre les peuples européens. Le deuxième après la véritable agression que les États-Unis et les dirigeants européens ont déchainée contre la Russie, en Ukraine, début 2014. 

L’objectif ? Les objectifs ? Frapper les droits et les libertés individuelles sur le Vieux Continent, lier fil après fil, le destin de l’Europe à celui des États-Unis, lancer une offensive stratégique contre la Russie, la Chine, l’Iran, et les pays du BRICS.

L’Occident, emmené par les États-Unis, essaie de se remettre au centre du monde. À tout prix. La croisade chrétienne contre l’islam est l’instrument contondant avec lequel on essaie d’inverser l’inévitable chute de l’Empire.  

Traduction : Christophe pour ilfattoquotidiano.fr 

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13/01/2015 | Lien permanent

Des scientifiques découvrent par accident un moyen de convertir le CO2 en éthanol

Des scientifiques découvrent par accident un moyen de convertir le CO2 en éthanol    

 


Des scientifiques découvrent par accident un moyen de convertir le CO2 en éthanol par Gentside Découverte    

 

Des chercheurs américains de l’Oak Ridge National Laboratory (ORNL) ont découvert un peu par hasard une réaction électrochimique très intéressante. Elle permet de convertir avec des résultats tout à fait satisfaisant le dioxyde de carbone (CO2) en un carburant, de l'éthanol. Transformer un gaz à effet de serre en carburant, c'est l'étonnante prouesse que viennent de réaliser des chercheurs américains dans leur laboratoire.

Plus précisément, ils ont réussi à mettre en évidence une réaction permettant de convertir du dioxyde de carbone (CO2) en éthanol. Et comme beaucoup de grandes découvertes, celle-ci a été réalisée de manière accidentelle. A la base, les chercheurs de l’Oak Ridge National Laboratory (ORNL) travaillaient à l’étude d’un catalyseur composé de carbone, de cuivre et d’azote. Leur idée était d’électrifier l'élément de manière à attirer à sa surface les particules de CO2.

 

Des résultats inattendus

C’est en appliquant un courant de 1,2 volt que l’équipe a remarqué non seulement une attraction efficace du dioxyde de carbone dissous mais aussi une conversion de la solution en eau et en éthanol avec un rendement estimé aux alentours de 63%.

"Nous étions seulement en train de tester la première étape d'une réaction lorsque nous avons réalisé que le catalyseur avait fait tout le travail lui-même", raconte Adam Rondinone, membre de l’équipe de recherche dans un communiqué. La nouvelle réaction électrochimique a été décrite en détail dans la revue ChemistrySelect. Selon les auteurs de l’étude, elle permettrait en quelque sorte d’inverser, à température ambiante, le processus de combustion du carburant, source majeure d’émissions de gaz à effet de serre.

"L'éthanol était une surprise - c'est extrêmement difficile de passer directement du CO2 à l'éthanol avec un simple catalyseur", ajoute Rondinone.

 

Minuscules paratonnerres

Le secret du catalyseur réside dans sa structure inédite. Elle consiste en des nanoparticules de cuivre incrustées dans des pics de carbone. Ceci crée une surface irrégulière pleine de piquants qui vont servir de sites réactifs pour faciliter la conversion du CO2 en éthanol. Ces structures "ressemblent à des paratonnerres de 50 nanomètres qui vont concentrer la réactivité électrochimique à l'extrémité des pics", détaille Rondinone. La réaction présenterait de nombreux avantages dont celle de se produire à température ambiante et d'utiliser des matériaux peu coûteux. Les scientifiques suggèrent ainsi que leur approche pourrait être utilisé à plus grande échelle pour des applications industrielles. Autant dire donc que les utilisations potentielles sont nombreuses. Il pourrait en effet s'agir d’un premier pas dans le développement de systèmes potentiels permettant de lutter contre les émissions de gaz à effet de serre.

 

De nombreuses applications

A terme, les scientifiques estiment que la réaction chimique pourrait bénéficier aux centrales thermiques à combustible fossile, et pourquoi pas aux nouvelles générations de véhicules. Il pourrait également permettre de stocker l’énergie produite en surplus sous la forme d’éthanol.

 

" Un processus comme celui là pourrait permettre de consommer l'électricité en excès quand il est possible d'en faire et de la stocker sous forme d'éthanol. Ceci pourrait aider à équilibrer le réseau alimenté par des sources d'énergie renouvelable intermittentes ", précise Adam Rondinone dans le communiqué. Désormais, le chercheur et ses collègues prévoient de travailler sur leur approche afin d'augmenter le rendement de la réaction et ensuite d'étudier les propriétés et le comportement du catalyseur.

 

Publié par Maxime Lambert, le 21 octobre 2016

 

Des chercheurs américains de l’Oak Ridge National Laboratory (ORNL) ont découvert un peu par hasard une réaction électrochimique très intéressante. Elle permet de convertir avec des résultats tout à fait satisfaisant le dioxyde de carbone (CO2) en un carburant, de l'éthanol.

En savoir plus : http://www.maxisciences.com/dioxyde-de-carbone/des-scient...
Copyright © Gentside Découverte
Des chercheurs américains de l’Oak Ridge National Laboratory (ORNL) ont découvert un peu par hasard une réaction électrochimique très intéressante. Elle permet de convertir avec des résultats tout à fait satisfaisant le dioxyde de carbone (CO2) en un carburant, de l'éthanol. Transformer un gaz à effet de serre en carburant, c'est l'étonnante prouesse que viennent de réaliser des chercheurs américains dans leur laboratoire. Plus précisément, ils ont réussi à mettre en évidence une réaction permettant de convertir du dioxyde de carbone (CO2) en éthanol. Et comme beaucoup de grandes découvertes, celle-ci a été réalisée de manière accidentelle. A la base, les chercheurs de l’Oak Ridge National Laboratory (ORNL) travaillaient à l’étude d’un catalyseur composé de carbone, de cuivre et d’azote. Leur idée était d’électrifier l'élément de manière à attirer à sa surface les particules de CO2. Des résultats inattendus C’est en appliquant un courant de 1,2 volt que l’équipe a remarqué non seulement une attraction efficace du dioxyde de carbone dissous mais aussi une conversion de la solution en eau et en éthanol avec un rendement estimé aux alentours de 63%. "Nous étions seulement en train de tester la première étape d'une réaction lorsque nous avons réalisé que le catalyseur avait fait tout le travail lui-même", raconte Adam Rondinone, membre de l’équipe de recherche dans un communiqué. La nouvelle réaction électrochimique a été décrite en détail dans la revue ChemistrySelect. Selon les auteurs de l’étude, elle permettrait en quelque sorte d’inverser, à température ambiante, le processus de combustion du carburant, source majeure d’émissions de gaz à effet de serre. "L'éthanol était une surprise - c'est extrêmement difficile de passer directement du CO2 à l'éthanol avec un simple catalyseur", ajoute Rondinone. Minuscules paratonnerres Le secret du catalyseur réside dans sa structure inédite. Elle consiste en des nanoparticules de cuivre incrustées dans des pics de carbone. Ceci crée une surface irrégulière pleine de piquants qui vont servir de sites réactifs pour faciliter la conversion du CO2 en éthanol. Ces structures "ressemblent à des paratonnerres de 50 nanomètres qui vont concentrer la réactivité électrochimique à l'extrémité des pics", détaille Rondinone. La réaction présenterait de nombreux avantages dont celle de se produire à température ambiante et d'utiliser des matériaux peu coûteux. Les scientifiques suggèrent ainsi que leur approche pourrait être utilisé à plus grande échelle pour des applications industrielles. Autant dire donc que les utilisations potentielles sont nombreuses. Il pourrait en effet s'agir d’un premier pas dans le développement de systèmes potentiels permettant de lutter contre les émissions de gaz à effet de serre. De nombreuses applications A terme, les scientifiques estiment que la réaction chimique pourrait bénéficier aux centrales thermiques à combustible fossile, et pourquoi pas aux nouvelles générations de véhicules. Il pourrait également permettre de stocker l’énergie produite en surplus sous la forme d’éthanol. "Un processus comme celui là pourrait permettre de consommer l'électricité en excès quand il est possible d'en faire et de la stocker sous forme d'éthanol. Ceci pourrait aider à équilibrer le réseau alimenté par des sources d'énergie renouvelable intermittentes", précise Adam Rondinone dans le communiqué. Désormais, le chercheur et ses collègues prévoient de travailler sur leur approche afin d'augmenter le rendement de la réaction et ensuite d'étudier les propriétés et le comportement du catalyseur. Publié par Maxime Lambert, le 21 octobre 2016

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Des chercheurs américains de l’Oak Ridge National Laboratory (ORNL) ont découvert un peu par hasard une réaction électrochimique très intéressante. Elle permet de convertir avec des résultats tout à fait satisfaisant le dioxyde de carbone (CO2) en un carburant, de l'éthanol. Transformer un gaz à effet de serre en carburant, c'est l'étonnante prouesse que viennent de réaliser des chercheurs américains dans leur laboratoire. Plus précisément, ils ont réussi à mettre en évidence une réaction permettant de convertir du dioxyde de carbone (CO2) en éthanol. Et comme beaucoup de grandes découvertes, celle-ci a été réalisée de manière accidentelle. A la base, les chercheurs de l’Oak Ridge National Laboratory (ORNL) travaillaient à l’étude d’un catalyseur composé de carbone, de cuivre et d’azote. Leur idée était d’électrifier l'élément de manière à attirer à sa surface les particules de CO2. Des résultats inattendus C’est en appliquant un courant de 1,2 volt que l’équipe a remarqué non seulement une attraction efficace du dioxyde de carbone dissous mais aussi une conversion de la solution en eau et en éthanol avec un rendement estimé aux alentours de 63%. "Nous étions seulement en train de tester la première étape d'une réaction lorsque nous avons réalisé que le catalyseur avait fait tout le travail lui-même", raconte Adam Rondinone, membre de l’équipe de recherche dans un communiqué. La nouvelle réaction électrochimique a été décrite en détail dans la revue ChemistrySelect. Selon les auteurs de l’étude, elle permettrait en quelque sorte d’inverser, à température ambiante, le processus de combustion du carburant, source majeure d’émissions de gaz à effet de serre. "L'éthanol était une surprise - c'est extrêmement difficile de passer directement du CO2 à l'éthanol avec un simple catalyseur", ajoute Rondinone. Minuscules paratonnerres Le secret du catalyseur réside dans sa structure inédite. Elle consiste en des nanoparticules de cuivre incrustées dans des pics de carbone. Ceci crée une surface irrégulière pleine de piquants qui vont servir de sites réactifs pour faciliter la conversion du CO2 en éthanol. Ces structures "ressemblent à des paratonnerres de 50 nanomètres qui vont concentrer la réactivité électrochimique à l'extrémité des pics", détaille Rondinone. La réaction présenterait de nombreux avantages dont celle de se produire à température ambiante et d'utiliser des matériaux peu coûteux. Les scientifiques suggèrent ainsi que leur approche pourrait être utilisé à plus grande échelle pour des applications industrielles. Autant dire donc que les utilisations potentielles sont nombreuses. Il pourrait en effet s'agir d’un premier pas dans le développement de systèmes potentiels permettant de lutter contre les émissions de gaz à effet de serre. De nombreuses applications A terme, les scientifiques estiment que la réaction chimique pourrait bénéficier aux centrales thermiques à combustible fossile, et pourquoi pas aux nouvelles générations de véhicules. Il pourrait également permettre de stocker l’énergie produite en surplus sous la forme d’éthanol. "Un processus comme celui là pourrait permettre de consommer l'électricité en excès quand il est possible d'en faire et de la stocker sous forme d'éthanol. Ceci pourrait aider à équilibrer le réseau alimenté par des sources d'énergie renouvelable intermittentes", précise Adam Rondinone dans le communiqué. Désormais, le chercheur et ses collègues prévoient de travailler sur leur approche afin d'augmenter le rendement de la réaction et ensuite d'étudier les propriétés et le comportement du catalyseur. Publié par Maxime Lambert, le 21 octobre 2016

En savoir plus : http://www.maxisciences.com/dioxyde-de-carbone/des-scient...
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Des chercheurs américains de l’Oak Ridge National Laboratory (ORNL) ont découvert un peu par hasard une réaction électrochimique très intéressante. Elle permet de convertir avec des résultats tout à fait satisfaisant le dioxyde de carbone (CO2) en un carburant, de l'éthanol. Transformer un gaz à effet de serre en carburant, c'est l'étonnante prouesse que viennent de réaliser des chercheurs américains dans leur laboratoire. Plus précisément, ils ont réussi à mettre en évidence une réaction permettant de convertir du dioxyde de carbone (CO2) en éthanol. Et comme beaucoup de grandes découvertes, celle-ci a été réalisée de manière accidentelle. A la base, les chercheurs de l’Oak Ridge National Laboratory (ORNL) travaillaient à l’étude d’un catalyseur composé de carbone, de cuivre et d’azote. Leur idée était d’électrifier l'élément de manière à attirer à sa surface les particules de CO2. Des résultats inattendus C’est en appliquant un courant de 1,2 volt que l’équipe a remarqué non seulement une attraction efficace du dioxyde de carbone dissous mais aussi une conversion de la solution en eau et en éthanol avec un rendement estimé aux alentours de 63%. "Nous étions seulement en train de tester la première étape d'une réaction lorsque nous avons réalisé que le catalyseur avait fait tout le travail lui-même", raconte Adam Rondinone, membre de l’équipe de recherche dans un communiqué. La nouvelle réaction électrochimique a été décrite en détail dans la revue ChemistrySelect. Selon les auteurs de l’étude, elle permettrait en quelque sorte d’inverser, à température ambiante, le processus de combustion du carburant, source majeure d’émissions de gaz à effet de serre. "L'éthanol était une surprise - c'est extrêmement difficile de passer directement du CO2 à l'éthanol avec un simple catalyseur", ajoute Rondinone. Minuscules paratonnerres Le secret du catalyseur réside dans sa structure inédite. Elle consiste en des nanoparticules de cuivre incrustées dans des pics de carbone. Ceci crée une surface irrégulière pleine de piquants qui vont servir de sites réactifs pour faciliter la conversion du CO2 en éthanol. Ces structures "ressemblent à des paratonnerres de 50 nanomètres qui vont concentrer la réactivité électrochimique à l'extrémité des pics", détaille Rondinone. La réaction présenterait de nombreux avantages dont celle de se produire à température ambiante et d'utiliser des matériaux peu coûteux. Les scientifiques suggèrent ainsi que leur approche pourrait être utilisé à plus grande échelle pour des applications industrielles. Autant dire donc que les utilisations potentielles sont nombreuses. Il pourrait en effet s'agir d’un premier pas dans le développement de systèmes potentiels permettant de lutter contre les émissions de gaz à effet de serre. De nombreuses applications A terme, les scientifiques estiment que la réaction chimique pourrait bénéficier aux centrales thermiques à combustible fossile, et pourquoi pas aux nouvelles générations de véhicules. Il pourrait également permettre de stocker l’énergie produite en surplus sous la forme d’éthanol. "Un processus comme celui là pourrait permettre de consommer l'électricité en excès quand il est possible d'en faire et de la stocker sous forme d'éthanol. Ceci pourrait aider à équilibrer le réseau alimenté par des sources d'énergie renouvelable intermittentes", précise Adam Rondinone dans le communiqué. Désormais, le chercheur et ses collègues prévoient de travailler sur leur approche afin d'augmenter le rendement de la réaction et ensuite d'étudier les propriétés et le comportement du catalyseur. Publié par Maxime Lambert, le 21 octobre 2016

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25/10/2016 | Lien permanent

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