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URGENT: Coup d'état militaire au Burkina Faso en cours : le président retenu dans son palais, des coups de feu tirés

Allons savoir qui des élites occidentales est encore derrière ce coup d'état militaire au Burkina Faso !

C'est la mode des occidentaux de fabriquer des coups d'état pour placer leurs pions, notamment en Afrique, au Moyen Orient et dernièrement en Ukraine !

C'est bizarre que cela n'arrive jamais en France ou dans les 28 pays qui ont adhéré à l'UE, non ? Du moment que les VRP des banksters, deviennent les caniches des USRaël, tout va bien !

 

Ce matin, Le président burkinabé a été arrêté en plein conseil des ministres

Michel Kafando. Archive photo

Extrait : Des membres de la Garde présidentielle ont fait irruption mercredi en plein conseil des ministres à Ouagadougou, arrêtant les ministres, le chef du gouvernement et le président de transition, Michel Kafando, a-t-on déclaré de sources militaires, cités par Reuters.

"L'ensemble du gouvernement, dont le Premier ministre, et le président, sont prisonniers d'un groupe de soldats de la garde présidentielle", a déclaré une source militaire. "Pour le moment, ils n'ont rien exigé".


Des élections présidentielle et législatives sont prévues normalement le 11 octobre au Burkina Faso, où Blaise Compaoré a été chassé du pouvoir par la pression de la rue en octobre 2014 après 27 années à la tête du pays
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Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20150916/1018205453.html#ixzz3lw8a8JBN

 

Et ce soir : Plusieurs membres du gouvernement et personnalités dont le président par intérim et son Premier ministre sont actuellement retenus dans le palais présidentiel de Ouagadougou. Le président du parlement parle d'une nation en danger.

URGENT: Burkina Faso: le président retenu dans son palais, des coups de feu tirés

16 sept. 2015, 20:00

Le Burkina Faso s'avance vers un nouveau coup d'état.

Le Burkina Faso s'avance vers un nouveau coup d'état.

Plusieurs membres du gouvernement et personnalités dont le président par intérim et son Premier ministre sont actuellement retenus dans le palais présidentiel de Ouagadougou. Le président du parlement parle d'une nation en danger.

La capitale burkinabaise est en effervescence. Selon plusieurs sources concordantes, les deux plus hauts personnages de l'Etat seraient retenus par la garde prétorienne de l'ex-président Blaise Compaoré.

Le président par intérim Michel Kafando ainsi que le Premier ministre Isaac Zida seraient enfermés dans le palais présidentielle de Ouagadougou.

 

Les militaires du Régiment de sécurité présidentielle (RSP) ont fait irruption dans la matinée pendant le Conseil des ministres et retiennent plusieurs personnalités et membres du gouvernement. Des militaires en armes ont pris position tout autour du palais et des coups de feu ont retentit pour disperser la foule.

Cheriff Sy, président du parlement intérimaire (CNT) a déclaré toute son inquiétude face à la situation. Il a parlé d'une «nation en danger».

«Le devoir nous appelle car la nation burkinabé est en danger. Nous en appelons au devoir de solidarité des forces vives, des forces politiques, de la société civile et de la communauté internationale avec tout le peuple burkinabé pour faire échec à cette opération» a-t-il déclaré.

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16/09/2015 | Lien permanent

La guerre du feu ! USA et le rôle de la Corée du Nord dans les attaques à impulsions électromagnétiques détruisant les

Après avoir lu le 1er article : USA : pannes majeures de réseaux de communications et d' internet lisez celui du 16 avril 2013: Etats Unis : Etat d'alerte concernant une attaque nucléaire sous forme d'impulsion électromagnétique

Tout s’éclaire un peu ! C’est bien la guerre du feu !

Et comme les attaques d’après la carte ci-dessous, sont concentrées sur plusieurs états américains, il se pourrait bien que l’opération Jade Helm était aussi liée à toutes ces attaques de la Corée du Nord.

La Californie semble être la cible principale visée par ces impulsions magnétiques. Pas étonnant que la terre s’enfonce et qu’il y règne une sécheresse intense depuis quelques années.

Allons savoir si toutes ces explosions et ces incendies aux USA, en Russie et en Chine, qui ont eu lieu cet été, ne sont pas dus à ces armes électromagnétiques ?

Des milliers de pompiers luttent contre une vingtaine d'incendies en Californie

USA : pannes majeures de réseaux de communications et de internet

On ne sait pas ce qui se passe, mais quelque chose se passe. Explosions à répétition, panne massive mobilisant le FBI… Et, bien évidemment, il ne faudra pas s’attendre à en savoir plus, ou alors les explications seront tirées par les cheveux, comme d’habitude.

USA : pannes majeures de réseaux de communications et de internet


Etats Unis : Etat d'alerte concernant une attaque nucléaire sous forme d'impulsion électromagnétique

mardi 16 avril 2013

Les autorités américaines s'inquiètent que la Corée du Nord pourrait utiliser son « lanceur spatial » pour exploser un engin nucléaire à haute altitude sur les États-Unis, la création d'une impulsion électromagnétique (emp) qui pourrait détruire des parties importantes du réseau électrique ainsi que des infrastructures critiques du pays.
 
L'inquiétude est si grande que les responsables américains qui regardent la Corée du Nord surveillent continuellement l'état du « lanceur spatial » de la Corée du Nord, dont le statut pourrait suggérer une frappe nucléaire préventive contre les États-Unis.
 
Les responsables connaissent le missile à trois étages, la Corée du Nord en a lancé un en décembre dernier qui a également mis en orbite un « package », dont les experts disent que ce pourrait être un test de mise en orbite d'une arme nucléaire, qui seraient ensuite désorbitée sur commande n'importe où sur les États-Unis pour exploser à une altitude élevée, créant un effet EMP.

guerre-nucleaire-coree

Cette préoccupation a récemment été renforcée par une étude peu médiatisé par l'US Army War College qui dit qu'une détonation nucléaire en altitude au-dessus, d'une ville des États-Unis pourrait anéantir le réseau électrique pour des centaines, peut-être des milliers de kilomètres à la ronde. (source wnd)
 
Tensions dans la péninsule coréenne
 
Début mars, en signe de protestation contre les exercices conjoints des Etats-Unis et de la Corée du Sud, Pyongyang a renoncé à tous ses accords de non-agression et de dénucléarisation conclus avec son voisin. Tout de même, les deux Corées n'iront pas jusqu'à la guerre bien que des conflits locaux soient possibles.
 
La Corée du Nord a annoncé mardi qu'elle comptait remettre en service le réacteur du centre nucléaire de Yongbyon, arrêté en 2007. Les experts russes ont qualifié ces déclarations de « chantage visant à intimider les pays occidentaux ».
 
Une chance existe
 
Moscou pense qu'il est encore possible de négocier avec la Corée du Nord sur son programme nucléaire. Mais certains pays devront cesser de profiter de la situation dans la région.
 
« Il faut cesser toute rhétorique, renoncer à toute action pouvant aggraver la tension », a déclaré aux journalistes Grigori Logvinov, ambassadeur russe itinérant.
 
Pyongyang a déclaré le 30 mars que les relations entre les deux Corées étaient passées à « l'état de guerre » et qu'il agirait en conformité avec les lois idoines en cas de « provocations » hostiles, qui pourraient dégénérer en conflit « à part entière », voire « nucléaire ». Le communiqué précise que dans ce cas, la Corée du Nord attaquerait les bases américaines d'Hawaï et de Guam en Corée du Sud, ainsi que les bases sud-coréennes et la résidence présidentielle de Séoul.
 
Dans la nuit du 31 mars au 1er avril, les Etats-Unis ont envoyé en Corée du Sud deux chasseurs F-22 Raptor, qui participeront aux exercices américano-sud-coréens Foal Eagle. L'AFP a rapporté le 2 avril que les USA avaient déployé au large des côtes sud-coréennes leur destroyer USS Fitzgerald, équipé du système polyvalent de combat Aegis, capable d'intercepter des missiles.
 
Selon le diplomate russe,
 
« le pire serait de s'enliser dans des querelles pour savoir qui a tort ou raison (...) Il est primordial d'empêcher un scénario militaire sur la péninsule et de maintenir la situation dans un cadre politique et diplomatique ».
Il doute que l'une des deux Corée aille jusqu'à déclencher une guerre mais des conflits locaux restent possibles.
 
« L'important, c'est d'empêcher que cette guerre des nerfs dégénère en guerre tout court », ajoute le diplomate. (RIA Novosti)
 
Pyongyang bloque l'accès du complexe de Kaesong aux Sud-Coréens
 
Le 3 avril, Pyongyang a officiellement interdit aux spécialistes sud-coréens d'entrer dans le complexe industriel intercoréen de Kaesong, rapporte mercredi l'agence sud-coréenne Yonhap.
 
« Le Nord nous a indiqué ce matin qu'il n'autoriserait que les départs depuis Kaesong et interdirait les trajets vers le complexe », a déclaré Kim Hyung-Suk, porte-parole du ministère sud-coréen de l'Unification, en charge des relations entre les deux pays.
 
« Le gouvernement sud-coréen regrette profondément l'interdiction de l'entrée à Kaesong et appelle à la lever immédiatement », a souligné le porte-parole. Le complexe de Kaesong, situé en Corée du Nord et symbole de la coopération entre les deux pays, est ainsi devenu un nouveau foyer de confrontation dans la péninsule coréenne qui connaît un net regain de tension ces dernières semaines. Séoul a également prévenu qu'il disposait d'un plan d'urgence prévoyant un possible recours à la force militaire en vue de garantir la sécurité de ses citoyens travaillant à Kaesong. (RIA Novosti)
 
Pyongyang veut redémarrer ses sites nucléaires
 
La Corée du Nord a annoncé qu'elle allait redémarrer son site de recherches nucléaires de Yongbyon. Comme l'a déclaré un porte-parole du département général de l'énergie atomique de la RDPC, tous les réacteurs et installations seraient mis en service.
 
Yongbyon est le seul centre de la RDPC capable de produire du plutonium de qualité militaire. En 2000 Pyongyang a arrêté le réacteur de Yongbyon le jour suivant la livraison dans le pays d'un premier lot de mazout ?50 mille t. Il a commencé à être livré en Corée du Nord grâce au financement de la Russie, des Etats-Unis, de la Chine et de la Corée du Sud en échange de la suspension du programme nucléaire nord-coréen.
 
A présent l'histoire peut se répéter avec le site de Yongbyon. La RDPC a plus d'une fois usé de menaces d'accélérer ses programmes nucléaires pour obtenir de l'Occident de l'aide alimentaire et énergétique. Pyongyang a vivement réagi au durcissement des sanctions décidé par l'ONU. Le leader de la RDPC Kim Jong-eun a signé le 29 mars un :
 
« plan de préparation technique des troupes stratégiques pour frapper des bases militaires dans la partie continentale des Etats-Unis, à Guam, aux îles Hawaï, ainsi qu'en Corée du Sud ? en cas de provocation de la part de l'adversaire »

Pyongyang a de même annoncé la rupture du cessez-le-feu, conclu avec la Corée du Sud et les Etats-Unis en 1953, et la décision de résoudre par la suite tous les problèmes avec Séoul conformément aux lois martiales. Il faut dire que Washington a réagi avec assez de retenue à ces démarches de Pyongyang. Parler d'une quelconque possibilité de frappe préventive contre le Nord (de Corée) n'est tout simplement pas sérieux, a déclaré le porte-parole de la Maison Blanche Jay Carney.
 
« La rhétorique belliqueuse de Pyongyang n'était accompagnée d'aucune action militaire, que ce soit par une mobilisation à grande échelle ou dans le positionnement de ses forces. Mais nous prenons au sérieux l'annonce de la Corée du Nord. »

Certains experts russes disent que voir dans les menaces de Pyongyang un seul chantage pour obtenir de nouvelles livraisons de riz ou de combustible c'est simplifier trop les choses. Ecoutons Konstantin Asmolov, analyste du Centre coréen à l'Institut de l'Extrême-Orient auprès de l'Académie russe des sciences.
 
« Une opinion courante existe, suivant laquelle Pyongyang cherche à obtenir ainsi de l'aide. Je dirais que du moment que Pyongyang ne fera plus objet de sanctions et cessera d'être traité en pays voyou, il ne lui sera plus nécessaire de demander de l'aide. L'essentiel pour le pays réside dans le changement de statut.

Source : La voix de la Russie

 

 

 

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27/09/2015 | Lien permanent

Poutine : Israël n'a d'autre choix que de se soumettre au cessez-le-feu

Jeudi, 24 juillet 2014 11:16

Poutine : Israël n'a d'autre choix que de se soumettre au cessez-le-feu

IRIB- « la poursuite des opérations militaires aggravera davantage la situation humanitaire à Gaza »
a déclaré, le Président russe, Vladimir Poutine, lors d'un entretien téléphonique, avec le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu. « la poursuite des opérations militaires aboutira à la mort de davantage de civils » a-t-il précisé.
 
« Israël n'a d'autre choix que d'accepter le cessez-le-feu et de résoudre la crise actuelle par des voies politiques » a-t-il indiqué. « La Russie est, toujours, prête à mener des efforts de la médiation et contribuer à l'application des ententes entre les deux parties, ainsi que les plans pacifiques dans le cadre de l'ONU » a-t-il ajouté.

 

 

 

 


 

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24/07/2014 | Lien permanent

Le Parlement donne son feu vert à la prolongation de l'état d'urgence

Comme vous l'aurez sans doute compris, l'état d'urgence ou ce que l'on pourrait considérer comme  étant la Loi Martiale,  n'a pas été instauré pour assurer notre sécurité, mais bien pour nous empêcher de manifester et de nous révolter contre l'état mafieux qui a alimenté ses mercenaires en Syrie dans l'objectif de pousser Assad à démissionner, voire pire, pour leur permettre de créer le Grand Israël, de nous pondre dans ce délai de 3 mois, des lois anti-constitutionnelles et de priver les petits partis politiques dont l'UPR de François Asselineau, de mener leur campagne électorale pour les prochaines élections régionales qui se tiendront le 6 décembre 2015.

S'il existait vraiment des craintes d'attentats et d'attaques chimiques, pensez-vous qu'ils auraient maintenu, la conférence de la COP21, alors que près de 130 Chefs d'état devraient être présents en France à partir du 29 novembre prochain ? A moins qu'ils ne prévoient de prétexter un attentat pour éliminer un chef d'état gênant ?

Le Parlement donne son feu vert à la prolongation de l'état d'urgence

Le Sénat a largement adopté la prolongation pour trois mois de l’état d’urgence. Après le vote de l’Assemblée, le Parlement au complet a maintenant donné son accord.

Le régime d’exception mis en place à la suite des attentats du vendredi 13 novembre à Paris sera en place pour au moins trois mois de plus. La chambre haute du Parlement, à majorité de droite, a largement adopté le projet de loi annoncé lundi par le président François Hollande. 336 voix pour, 12 abstentions et aucune voix contre. Seuls onze sénateurs communistes et une écologiste n’ont pas donné leur blanc-seing.

Après l’Assemblée nationale

Hier, c’est la chambre basse qui votait. Là aussi, le plébiscite fut massif en faveur du projet de loi. 551 voix pour et seulement 6 contre. Trois députés PS et autant d’écologistes ne souhaitaient pas prolonger cette mesure exceptionnelle qui permet notamment aux autorités d’assigner à résidence des individus, d’effectuer des perquisitions jour et nuit ou encore de prendre des mesures de contrôle de la presse.

Plusieurs observateurs ont d’ores et déjà fait part de leurs inquiétudes contre une loi qu’ils considèrent dangereuse et liberticide. Du côté des Français, on soutient massivement la mesure. Selon un sondage réalisé récemment, 84% des citoyens se disent prêt «à accepter davantage de contrôles».

 

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22/11/2015 | Lien permanent

7 vérités choquantes sur l'Arabie Saoudite 'moderne' de feu le roi Abdallah

Voilà avec qui la France est alliée !

Finalement avec l'instauration de l'état d'urgence pour 3 mois qui ne se justifiait pas et le renoncement de la France à la Convention européenne des droits de l'homme, nous sommes aussi sous la Loi martiale qui ne porte pas son nom et sous le même régime totalitaire !

7 vérités choquantes sur l’Arabie Saoudite 'moderne' de feu le roi Abdallah

Similitudes évidentes avec l’Etat islamique : 7 vérités choquantes sur l’Arabie Saoudite

© - FAYEZ NURELDINE / AFP

Plusieurs dirigeants mondiaux ont présenté leurs hommages au roi saoudien Abdallah, décédé la semaine dernière. Le Premier ministre britannique David Cameron a déclaré qu’il avait renforcé le dialogue entre les religions; Christine Lagarde, directrice générale du FMI, a souligné le féminisme « discret » du roi, tandis que Tony Blair voit dans le personnage, un « modernisateur habile qui a dirigé son pays vers l’avenir ».

Cependant, RT a dressé une liste de 7 points critiques sur le régime du roi Abdallah.

1. Pas d’élections, pas de partis, aucun parlement et aucune dissidence

L’Arabie Saoudite est apparue en 2014 dans le bas du classement annuel établi par Freedom House en ce qui concerne les libertés civiles et politiques à l'instar de pays tels que la Corée du nord, le Turkménistan ou encore certaines des plus violentes dictatures africaines. En Arabie Saoudite, il n’existe aucune élection nationale, les partis politiques sont absents, et il n’y a pas non plus de parlement. Seule fonctionne une chambre consultative symbolique, connue sou le nom de Majlis al-Shura. Toute critique du régime est strictement interdite. L’année dernière, le militant d’opposition Abd al-Karim al-Khoder est devenu prisonnier politique après avoir réclamé le passage à un gouvernement constitutionnel. Peu de temps avant la mort du monarque saoudien, le blogueur Raif Badawi a reçu 50 des 1000 coups de fouets auxquels il a été condamné pour prôner la liberté d’expression sur son site.

2. L’égalité saoudienne : des emplois pour les 7.000 princes de la Maison des Saoud

Plus de 7.000 princes portant le nom de famille al-Saoud résident en Arabie Saoudite, mais selon plusieurs experts, le nombre réel serait plus proche de 30.000. Chacun a le droit à un emploi qui correspond à sa lignée, ce qui crée des centaines de sinécures tandis que tous les talents d’Arabie Saoudite sont exclus des fonctions importantes s’ils n’ont pas la chance de porter ce nom.

3. Archaïsme de la succession du pouvoir

Outre l'existence d'une kyrielle de descendants susceptibles de prétendre accéder au pouvoir, la Maison des Saoud est paralysée par des lois de succession obsolètes. Ce n'est pas la primogéniture (selon laquelle le titre est hérité par le fils ainé du monarque) qui prévaut en Arabie saoudite, mais l’ancienneté patrilinéaire, qui privilégie la fratrie d’un individu. Cela signifie que Salmane ben Abdelaziz al-Saoud, âgé de 79 ans est devenu roi d'Arabie Saoudite à la suite du décès de son demi-frère Abdallah mort à 90 ans d’une pneumonie.

4. La loi en Arabie Saoudite : cimeterre et coups de fouets

Le parallélisme entre les systèmes juridiques de l’Arabie Saoudite et de l’Etat islamique est évident. Tous deux se basent sur le hanbalisme, l’école la plus conservatrice de l’islam sunnite. Beaucoup de juges de l’EI sont saoudiens car ils sont familiarisés avec ce type de jurisprudence. Parmi les sentences de ces tribunaux, on trouve entre autres des châtiments corporels tels que l’amputation des pieds et des mains pour vol, les coups de fouets pour l’adultère, la décapitation pour les accusations de sédition, de car-jacking, de sorcellerie ou de trafic de drogue. L’année dernière, 87 personnes ont été décapitées, ce qui correspond à la moyenne annuelle des 5 dernières années.

5. Absence des droits de l’homme

Il n’existe pas de code juridique en Arabie Saoudite. Les juges sont libres de dicter la sentence comme bon leur semble conformément à leur interprétation des écritures islamiques. Leur pouvoir est illimité, ce qui a pour conséquence de créer probablement l’un des systèmes juridiques les plus contradictoires au monde au sein duquel les condamnés n’ont aucun moyen de faire appel. Par ailleurs, une grande partie de la procédure judiciaire repose sur les aveux de l’accusé, ce qui encourage la torture. En pratique, la véracité des informations obtenues de cette manière est plus faible qu'à Guantanamo. Le roi Abdallah a tenté de rationnaliser ce système en créant davantage de cours d’appel et en sélectionnant de manière plus stricte les juges. Il n’a cependant pas remis en question l’ensemble du système et il a approuvé toutes les nominations des juges au cours des deux dernières décennies.

6. Absence de droits pour les femmes

Au cours de la dernière décennie, la lutte pour l’émancipation des femmes en Arabie Saoudite s’est principalement focalisée autour de leur revendication du droit à conduire un véhicule dans ce pays. Cette monarchie est le dernier pays du monde où les femmes n’y ont pas droit. Toutefois, la privation de ce droit est certainement le dernier des soucis des femmes saoudiennes. En effet, beaucoup d’entre-elles aimeraient pouvoir sortir de leur domicile, faire des courses, signer des documents juridiques, bref toute une série d’actes officiels sans pour autant avoir recours à l’autorisation d’un tuteur, mari ou père. En outre, devant un tribunal, leur témoignage n’équivaut qu’à la moitié de celui d’un homme. Le roi Abdallah a encouragé l’éducation des femmes et leur a attribué un cinquième des sièges au conseil de la Choura tout en leur permettant de voter et de se présenter aux élections 2015. Mais il s’agit de gestes purement symboliques qui n’ont pas eu de véritables conséquences sur l’existence de la plupart des femmes saoudiennes qui restent parmi les plus défavorisées du monde.

7. Ambiguïté de la lutte contre le terrorisme

L’année dernière, l’Arabie Saoudite a fait un don de 100 millions de dollars à l’ONU dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Toutefois, selon des câbles diplomatiques publiés par WikiLeaks en 2010, les Etats-Unis considèrent l’Arabie saoudite comme la plus grande source de financement du terrorisme dans le monde. Le pays est en quelque sorte la « tirelire » d’Al-Qaïda et d’autres groupes radicaux. Même si une majorité de ces financements est issue de particuliers, il est fort peu probable que cela ait été un secret pour le roi Abdallah.

 

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26/11/2015 | Lien permanent

Nouveau cessez-le-feu de 5 jours à Gaza. Poutine appelé et félicité par Abbas

Toutes ces négociations prouvent que les Droits des Gazaouis et des Palestiniens n'ont jamais été respectés et que la communauté internationale ne s'est jamais mobilisée pour faire respecter le Droit International ni la Charte Universelle des Droits de l'Homme. Si cela avait été le cas et si les Palestiniens avaient pu mener une vie normale depuis 66 ans, il n'y aurait pas eu lieu à négocier.

A quoi servent l'ONU et les organisations internationales ? A rien !!!

Et on attendant toujours depuis le début du conflit que l'ONU mette Gaza et la Palestine sous protection internationale ! Nous n'avons toujours rien venir de ce côté-là !

Vous avez dit totale impunité de l'état sioniste ?

 
Poutine semble être entré dans le jeu des négociations avec le Caire !

Aujourd'hui, 00:03
Le président palestinien a donné une haute estimation au rôle de la Russie

Par La Voix de la Russie | Une conversation téléphonique entre le président russe Vladimir Poutine et le président de l'Etat de Palestine, Mahmoud Abbas, a eu lieu mercredi à l'initiative de la partie palestinienne, déclare le service de presse du Kremlin.

« L'attention principale a été prêtée à la situation dans la bande de Gaza. Le président palestinien a donné une haute estimation au rôle actif de la Russie dans les efforts internationaux visant à mettre fin aux combats et à trouver un règlement politique », précise un communiqué.

En outre, Abbas a informé Poutine de pourparlers qui avaient eu lieu au Caire entre la délégation palestinienne unie et Israël sous médiation égyptienne. Abbas a salué la coopération de la Russie et de l'Egypte, en la qualifiant d’un facteur important dans le renforcement de la paix et de la stabilité au Moyen-Orient.

Nouveau cessez-le-feu de 5 jours à Gaza

PROCHE-ORIENT

Un accord a été trouvé entre Palestiniens et Israéliens pour prolonger le cessez-le-feu dans la bande de Gaza pour une nouvelle période de 5 jours.

Mis à jour à 22h50

 Palestiniens et Israéliens se sont mis d'accord pour prolonger le cessez-le-feu dans la bande de Gaza pour une période de cinq jours (Mercredi 13 août 2014) Image: Keystone

L'Egypte a annoncé mercredi soir une prolongation pour une durée de cinq jours de la trêve entre Israël et le Hamas palestinien dans la bande de Gaza. Deux heures avant l'expiration (prévue à 23 heures en Suisse) de la trêve de trois jours en vigueur depuis lundi, une roquette de la bande de Gaza s'est abattue sur le sud d'Israël, menaçant de relancer les hostilités.

La nouvelle trêve prendra donc fin mardi à 00H01, heure locale (lundi 23 heures en Suisse), un nouveau répit devant permettre la poursuite sous l'égide des services de renseignements égyptiens de difficiles négociations qui achoppent notamment sur la question, cruciale pour les Palestiniens, de la levée du blocus imposé depuis 2007 par Israël qui asphyxie l'économie d'un territoire exigu où s'entassent 1,8 million de personnes coincées entre Israël, l'Egypte et la Méditerranée.

Explosion accidentelle d'un missile

Dans la matinée, six personnes y ont été tuées par l'explosion accidentelle d'un missile israélien au cours de son désamorçage. Parmi elles, Simone Camilli, 35 ans, vidéaste d'Associated Press, le premier journaliste étranger tué en un mois d'une guerre qui a fait près de 2000 morts côté palestinien et 67 côté israélien, dont 64 soldats.

Son traducteur palestinien, Ali Abou Afash, 36 ans, a également péri. Outre son travail d'interprète pour la presse étrangère, Ali Abou Afash, père de deux jeunes enfants, collaborait aussi à temps partiel avec le bureau de l'AFP à Gaza comme assistant administratif.

Selon Reporters sans frontières, au moins 15 acteurs de l'information ont été tués dans ce conflit. Cinq personnes ont également été grièvement blessées, dont le photographe palestinien Hatem Moussa, également employé par l'agence de presse américaine.

Tir de roquette mercredi soir

Deux heures avant la fin de la trêve, une roquette de la bande de Gaza s'est abattue sur le sud d'Israël, sans faire de victime ni de dégât, menaçant de mettre le feu aux poudres.

Le Hamas a aussitôt démenti ce tir, premier incident signalé depuis l'entrée en vigueur lundi de ce cessez-le-feu, mais a rappelé que sa branche armée continuait à fabriquer des roquettes.

Israël avait assuré lancer cette nouvelle guerre le 8 juillet, la quatrième entre le Hamas et l'Etat hébreu en moins d'une décennie, pour faire cesser les tirs de roquettes.

«La 'résistance' est prête»

Dans le même temps, le chef d'état-major de l'armée israélienne Benny Gantz prévenait que «l'opération n'était peut-être pas terminée», tandis que l'armée annonçait «prendre les mesures nécessaires en cas d'agressions du Hamas».

Des «mesures» qui «ne font pas peur» au Hamas, a rétorqué un de ses porte-parole à Gaza, Fawzi Barhoum. «La 'résistance' est prête», a-t-il ajouté.

Après avoir manié les menaces, trois quarts d'heure avant l'expiration de la trêve, les belligérants se sont mis «d'accord pour donner plus de temps à la négociation», selon les mots de Azzam al-Ahmed, le chef de la délégation palestinienne au Caire.

Une condition sine qua non au cessez-le-feu

«Il y a un accord sur plusieurs points concernant une levée du blocus» qui asphyxie la bande de Gaza, a-t-il en outre affirmé.

Les Palestiniens, qui ont envoyé au Caire des représentants du Jihad islamique, du Hamas, qui contrôle Gaza, et de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) qui chapeaute l'Autorité palestinienne présidée par Mahmoud Abbas, font de la levée du blocus imposé depuis sept ans sur Gaza une condition sine qua non au cessez-le-feu.

Interrogée par la télévision de son mouvement, Ismaïl Haniyeh, le dirigeant du Hamas à Gaza, a répété mercredi soir qu'«il n'y aura cessez-le-feu qu'avec la levée du blocus», arguant que «les sacrifices de notre peuple nous interdisent de brader nos exigences».

Ci-dessous, les images de BFM TV: Ces Palestiniens qui vivent dans les ruines:

Démilitarisation de Gaza

Israël, lui, fort du soutien ultra-majoritaire de son opinion publique à la guerre, voudrait obtenir la démilitarisation de Gaza. Les Palestiniens refusent d'en entendre parler.

Les deux parties semblent cependant se diriger vers un compromis qui tendrait à confier à l'Autorité palestinienne, tout juste réconciliée avec le Hamas, la responsabilité des futures négociations et des frontières de Gaza.

Le Hamas et l'OLP ont récemment entamé une réconciliation et formé un gouvernement d'union nationale. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu accepte globalement de traiter avec l'Autorité palestinienne mais pas avec le Hamas, qui ne reconnaît pas l'existence de l'Etat hébreu.

Un sursis pour commencer

Selon un document que l'AFP a pu consulter, les Egyptiens proposent avant toute chose un sursis: après l'obtention d'un cessez-le-feu permanent, ils invitent à de nouvelles discussions dans un mois.

Alors seront discutés les principaux points de blocage: l'ouverture d'un port et d'un aéroport pour alléger le blocus et la restitution par le Hamas des corps de deux soldats israéliens tués contre la libération de prisonniers palestiniens.

Le Caire propose enfin que la zone-tampon le long de la frontière de la bande de Gaza avec Israël soit graduellement rétrécie et placée sous la surveillance des forces de l'ordre de l'Autorité palestinienne. Quant à la levée du blocus, le document égyptien reste vague, se contentant de dire que des points de passage fermés seraient ouverts en vertu d'accords entre Israël et l'Autorité palestinienne.

Compromis arrachés

Selon des négociateurs palestiniens, Israël consentirait à alléger les restrictions à deux points de passage de la frontière entre Gaza et le territoire israélien, l'un pour les personnes, l'autre pour les biens. Ce dernier serait sous supervision internationale.

Selon la presse israélienne, Israël accepterait aussi l'entrée d'argent sous de strictes conditions pour payer les dizaines de milliers de fonctionnaires qui attendent leur salaire depuis des mois, et d'étendre les zones de pêche. (afp/Newsnet)

http://www.lematin.ch/monde/israel-favorable-nouvelle-treve-gaza/story/27282998

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14/08/2014 | Lien permanent

Gaza: le stratagème de Netanyahu?!! Et la propagande médiatique sur le prétendu cessez le feu proposé au Hamas !

Voici l'ambiance qui règne réellement à TEL-AVIV après les attaques répétées des brigades militaires sur TEL-AVIV, Israël, le centre d'espionnage et la centrale nucléaire de DIMONA et qui ont poussé NETANYAHU à se reprocher de son ami : l'EGYPTE pour proposer un simulacre d'accord de cessez le feu au Hamas qui n'a jamais reçu la proposition officielle de la part l'état sioniste, accord fantôme qui a été rejeté par le HAMAS et le Jihad Islamique qui a poursuivi  ses opérations militaires et qui n'a donc violé aucun accord ni aucune trêve, comme Netanyahu et l'état sioniste voudraient nous le faire croire !

Le stratagème de NETANYAHU consistait à faire croire à l'opinion internationale par le biais de la propagande médiatique perfusée auprès des naïfs que l'état sioniste avait la bonne volonté de proposer des accords bidons de cessez le feu, au HAMAS et qu'en cas de refus de sa part, cela légitimerait auprès de l'opinion internationale qui ne manque pas de réagir contre les actes criminels commis par l'état sioniste contre les Palestiniens, sa légitimité à défendre Israël.

On vous laisse apprécier l'ambiance qui règne réellement dans l'état sioniste !

mardi, 15 juillet 2014 07:39

Israël : "Netanyahu, dégage"!!

IRIB- Les appels à la démission de Netanyahu se multiplient en Israël. le plus sérieux d'entre eux vient d'être lancé par le vice ministre israélien de la Guerre, Danny Danon . selon la chaine d'Al Aqssa, "le vice ministre israélien aurait affirmé : Israël a échoué dans sa guerre contre Gaza . Netanyahu devra démissionner"!!
 

Mardi, 15 juillet 2014 10:08

Gaza: le stratagème de Netanyahu?!!

 

Gaza: le stratégème de Netanyahu?!!

IRIB- Critiqué de toute part pour sa gestion catastrophique de la guerre, lâché par ses paires, heurté aux dizaines d'appels à la démission, Netanyahu cherche à sortir du guet-apen gazaouite la tête haute : sur qui peut -il compter?

Même les Etats-Unis viennent de le mettre en garde contre une aventure terrestre qui pourrait être l'occasion de la découverte des surprises encore plus grandes et plus désagréables que ceux dévoilées au cours de l'offensive aérienne contre Gaza!!

Netanyahu se tourne donc vers un vieil ami : l'Egypte.

 

 

Alors que certaines informations font état de sa disponibilité à acheter "l'arsenal militaire " du Hamas à 50 milliards de dollars, somme qu'il réunirait sans doute avec l'aide de ses amis qataris, ses propos de ce mardi trahissent le fond de sa pensée : Israël considère la trêve proposée par l'Egypte comme un prélude au désarmement" de la bande de Gaza!! " et heureusement qu'il ne manque pas d'air !

 

 Au cours de ses entretiens avec le ministre allemand des AE, Netanyahu a menacé "d'intensifier ses raids contre Gaza, si le Hamas n'acceptait pas le principe du cessez le feu" . " si le Hamas refuse ( la trêve, Israël aura la légitimité internationale nécessaire pour exacerber ses raids" !

 

Le problème est que légitimité ou pas, cela fait plus de 60 ans qu'Israël jouit du quitus occidental pour prendre d'assaut la Palestine et s'en sortir totalement indemne!

La réalité est que le cessez-le-feu en question qui consiste dans son ébauche à une cessation des attaques de part et d'autre et à une ouverture des points de passage de Gaza vers le monde extérieur ne peut masquer une chose : la défaite totale d'Israël . Le vice ministre de la Guerre l'a reconnu et a appelé à ce que Netanyahu rende son tablier, mais le PM sioniste n'est pas assez fin pour comprendre que l'époque où il menaçait Gaza et la Palestine est d'ores et déjà révolu... comme le dit l'un des hauts commandants du Jihad islamique, ce n'est plus désormais Israël qui décide du début et de la fin de la guerre : c'est la Résistance. Et la fin de la guerre, Netanyahu la souhaite-il vraiment ou toute cette histoire de trêve n'est qu'un échappatoire de plus pour "un rat piégé" qui cherche desespérément un bouée de sauvetage ?!!!

 

 

http://french.irib.ir/info/moyen-orient/item/332945-gaza-...

mardi, 15 juillet 2014 17:57

Netanyahu se venge de Danny Danon!!

 
IRIB- le premier ministre du régime d'Israël vient de limoger le vice ministre de la Guerre pour l'avoir critiqué sur sa "gestion catastrophique de la guerre" !! Danny Danon avait qualifié le feu vert de Netanyahu à la trêve d'humiliation avant d'appeler netanyahu de rendre tablier !

http://french.irib.ir/info/moyen-orient/item/333013-netanyahu-se-venge-de-danny-danon

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16/07/2014 | Lien permanent

ALERTE INFO. Russie – Ukraine: malmené au Donbass, Kiev accepte (enfin) un cessez-le-feu

Il était temps que cela cesse !

Merci à Poutine pour sa grande maîtrise de la situation et de nous éviter la guerre en Europe, et un grand MERCI aux êtres de Lumière et aux Hiérarchies Angéliques qui nous ont entendus et qui oeuvrent pour la Paix que nous réclamons sur le monde ainsi que pour la totale élimination des Illuminati/Sionistes/Reptiliens.

Que le nettoyage continue jusqu'à ce qu'ils soient définitivement maîtrisés et éliminés de notre Planète et de notre Galaxie.

On ne sait pas ce que Poutine a dit au téléphone à l'oligarque Sioniste, Porochenko, mais nous imaginons qu'il n'a pas dû être très tendre avec l'imposteur qui a pu prendre sa place grâce au coup d'état qui a été fomenté contre l'ancien président par les réseaux criminels sionistes dont BHL, Fabius, Hollande, la Pologne et l'Allemagne,  et leurs cliques de mafieux US/UE/Sionistes, parce qu'il  refusait de faire entrer l'Ukraine dans l'Europe au détriment des intérêts des Ukrainiens et des relations avec la Russie.

 

Nous continuons le travail de nettoyage total de la planète et de la Galaxie par la Lumière avec l'aide des êtres de Lumière et de toutes les Hiérarchies Angéliques !

 

 


Poutine et Porochenko

Poutine et Porochenko

Le "président" ukrainien Petro Porochenko et le président russe Vladimir Poutine se sont mis d’accord sur un cessez-le-feu permanent dans l’est de l’Ukraine, a annoncé mercredi la présidence ukrainienne à l’issue d’une conversation téléphonique entre les deux hommes.

"Le président ukrainien a discuté avec le président russe d’un cessez-le-feu total. Ils sont tombés d’accord sur un cessez-le-feu dans le Donbass", bassin minier de l’Est qui comprend les régions de Donetsk et de Lougansk en proie à de violents combats, selon ce communiqué.

Kiev semble revenir à la raison, après avoir compris que les salmigondis des dirigeants occidentaux ne sont que du pipi de chat sans consistance donc. Quand on voit Manuel Barroso le président de la Commission européenne, mentir tel un arracheur de dents en arguant que Poutine lui a dit: "Si je le veux, en deux semaines je prends Kiev", on est simplement mort de rire.

En effet, la réalité est tout autre. Poutine a dit ceci à Barroso, suite à la volonté européenne de sanctionner à nouveau la Russie: "Arrêtez de déclarer que la Russie joue un rôle dans l’est de l’Ukraine car, si on s’implique, sachez que, en deux semaines nous prenons Kiev".  Dans le journal italien La Repubblica, c’est devenu, "Si je le veux, en deux semaines je prends Kiev".

http://allainjules.com/2014/09/03/alerte-info-russie-ukra...

 

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03/09/2014 | Lien permanent

Gaza : Un cessez-le-feu unilatéral israélien se profile à Gaza

La "confrontation continuera" en cas de cessez-le-feu unilatéral, prévient le Hamas

"Ce cessez-le feu unilatéral ne prévoit pas de retrait" de l'armée israélienne et "tant qu'elle restera à Gaza la résistance et la confrontation se poursuivront", a déclaré un représentant du Hamas.

 

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18/01/2009 | Lien permanent

Gaza : Les non-dits du projet du cessez-le-feu révélés par un quotidien israélien

Une information qui confirme que NETANAHYU n'avait aucune intention de cessez le feu sur GAZA et la Palestine, un projet qu'il entendait faire avorter, et  tant il est vrai que le Hamas n'a jamais eu la proposition officielle entre les mains, et dont il a pris connaissance par la presse. Quand on veut s'approprier le gaz et le pétrole on a pas intérêt à faire cesser le feu, mais à le poursuivre !

L'article payant sur Haretz : Secret call between Netanyahu, al-Sissi led to abortive cease-fire

Gaza : Les non-dits du projet du cessez-le-feu révélés par un quotidien israélien

Gaza : Les non-dits du projet du cessez-le-feu révélés par un quotidien israélien

IRIB- les sources israéliennes parlent d'une totale et pleine coopération entre les responsables israéliens et l'Egypte dans l'élaboration du projet du cessez-le-feu, proposé par l'Egypte sous recommandation du Président de l'Autorité autonome palestinienne.

L'Egypte et le régime israélien s'étaient opposés à la présence américaine pour élaborer ce projet du cessez-le-feu. Selon le quotidien Haaretz, les groupes de résistance avaient été informés via l'Egypte de ce projet du cessez-le-feu, mais, le Caire n'avait pris aucun contact dans ce sens avec le Hamas. « Le Hamas et le Jihad islamique étaient au courant de l'existence des contacts entre l'Egypte et Israël, mais ils ne s'attendaient pas d'apprendre la nouvelle de l'élaboration de ce projet du cessez-le-feu par les médias » ajoute ce quotidien.

 

« L'Egypte, interrogée par les responsables israéliens au sujet de la réaction que pourrait avoir le Hamas à ce projet, avait dit que si Tel-Aviv accepte le projet du cessez-le-feu, le Hamas n'aura d'autre choix que de l'accepter », indique ce quotidien.

 

Selon Haaretz, même les Ministres israéliens des Affaires étrangères et des finances n'avaient été mis courant des contacts établis avec l'Egypte.

 

http://french.irib.ir/info/moyen-orient/item/333098-gaza-...

 
 

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18/07/2014 | Lien permanent

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