16/03/2010
Cohn-Bendit interviewé par Acturevue
Si vous en doutiez encore, tous pourris et tous pour UN : leurs Maîtres Illuminati.
La diversité politique n'est qu'une illusion pour faire croire aux citoyens qu'ils ont le choix au niveau des partis politiques et des votes, mais la vérité et le résultat sont ceux qu'ils sont tous reliés et financés par les banquiers Illuminati.
L'écologie et le fait de lutter soi-disant contre le réchauffement est un moyen pour nous instaurer le Nouvel Ordre Mondial de dictature, comme la tentative en a été faite lors du sommet de Copenhague. Dès lors il semble logique que les Ecologistes soient au côté de l'UMP et des promoteurs du Nouvel Ordre Mondial : Les Illuminati.
Interview de Daniel Cohn-Bendit, Par Acturevue
"L’UMP est incapable de rassembler. Il y a une diversité dans l’électorat, il faut mobiliser cette diversité".
02:56 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie | Lien permanent | |
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13/03/2010
De la servitude moderne
A voir absolument avant d'aller voter demain pour savoir pour qui vous votez : POUR CEUX QUI VOUS MAINTIENNENT EN ESCLAVAGE DANS L'OBJECTIF DE FAIRE AVANCER LES PLANS DE LEURS MAÎTRES : LES ILLUMINATI-REPTILIENS QUI SOUHAITENT VOUS PLACER SOUS CONTROLE ET INSTAURER LE NOUVEL ORDRE MONDIAL !
Boycotter les élections : VOTEZ BLANC ou pour celui ou celle qui n'a aucune chance d'être élu (e) !
Faites changer le paysage politique et débarassez-vous de vos PREDATEURS et DICTATEURS !
LIBEREZ-VOUS !
Un film documentaire de Jean-François Brient sur le système totalitaire marchand dans lequel nous vivons soumis(e)s. Il démonte les rouages des démocraties libérales qui forment le modèle dominant du monde occidental et comment celles-ci n'ont rien à envier aux systèmes totalitaires qu'elles semblent critiquer.
Plus d'informations et le film à télécharger : http://www.delaservitudemoderne.org.
Un autre lien pour télécharger le film complet : http://dl.free.fr/ooBcRc9lJ
"Toute vérité passe par trois stades :
En premier lieu on la ridiculise;
en deuxième lieu on s'y oppose violemment;
enfin on l'accepte comme si elle allait de soi."
Schopenhauer
De la servitude moderne est un livre et un film documentaire de 52 minutes produits de manière totalement indépendante ; le livre (et le DVD qu’il contient) est distribué gratuitement dans certains lieux alternatifs en France et en Amérique latine. Le texte a été écrit en Jamaïque en octobre 2007 et le documentaire a été achevé en Colombie en mai 2009. Il existe en version française, anglaise et espagnole. Le film est élaboré à partir d’images détournées, essentiellement issues de films de fiction et de documentaires.
L’objectif central de ce film est de mettre à jour la condition de l’esclave moderne dans le cadre du système totalitaire marchand et de rendre visible les formes de mystification qui occultent cette condition servile. Il a été fait dans le seul but d’attaquer frontalement l’organisation dominante du monde.
Dans l’immense champ de bataille de la guerre civile mondiale, le langage constitue une arme de choix. Il s’agit d’appeler effectivement les choses par leur nom et de faire découvrir l’essence cachée de ces réalités par la manière dont on les nomme. La démocratie libérale est un mythe en cela que l’organisation dominante du monde n’a rien de démocratique ni même rien de libérale. Il est donc urgent de substituer au mythe de la démocratie libérale sa réalité concrète de système totalitaire marchand et de répandre cette nouvelle expression comme une trainée de poudre prête à incendier les esprits en révélant la nature profonde de la domination présente.
D’aucuns espéreront trouver ici des solutions ou des réponses toutes faites, genre petit manuel de « Comment faire la révolution ? ». Tel n’est pas le propos de ce film. Il s’agit ici de faire la critique exacte de la société qu’il nous faut combattre. Ce film est avant tout un outil militant qui a pour vocation de faire s’interroger le plus grand nombre et de répandre la critique partout où elle n’a pas accès. Les solutions, les éléments de programme, c’est ensemble qu’il faut les construire. Et c’est avant tout dans la pratique qu’elles éclatent au grand jour. Nous n’avons pas besoin d’un gourou qui vienne nous expliquer comment nous devons agir. La liberté d’action doit être notre caractéristique principale. Ceux qui veulent rester des esclaves attendent l’homme providentiel ou l’œuvre qu’il suffirait de suivre à la lettre pour être plus libre. On en a trop vu de ces œuvres ou de ces hommes dans toute l’histoire du XXº siècle qui se sont proposés de constituer l’avant-garde révolutionnaire et de conduire le prolétariat vers la libération de sa condition. Les résultats cauchemardesques parlent d’eux-mêmes.
Par ailleurs, nous condamnons toutes les religions en cela qu’elles sont génératrices d’illusions nous permettant d’accepter notre sordide condition de dominés et qu’elles mentent ou déraisonnent sur à peu près tout. Mais nous condamnons également toute stigmatisation d’une religion en particulier. Les adeptes du complot sioniste ou du péril islamiste sont de pauvres têtes mystifiées qui confondent la critique radicale avec la haine et le dédain. Ils ne sont capables de produire que de la boue. Si certains d’entre eux se disent révolutionnaires, c’est davantage en référence aux « révolutions nationales » des années 1930-1940 qu’à la véritable révolution libératrice à laquelle nous aspirons. La recherche d’un bouc émissaire en fonction de son appartenance religieuse ou ethnique est vieille comme la civilisation et elle n’est que le produit des frustrations de ceux qui cherchent des réponses rapides et simples face au véritable mal qui nous accable. Il ne peut y avoir d’ambigüité sur la nature de notre combat. Nous sommes favorables à l’émancipation de l’humanité toute entière, sans aucune forme de discrimination. Tout pour tous est l’essence du programme révolutionnaire auquel nous adhérons.
Les références qui ont inspiré ce travail et plus généralement ma vie sont explicites dans ce film : Diogène de Sinoppe, Étienne de La Boétie, Karl Marx et Guy Debord. Je ne m’en cache pas et ne prétend pas avoir inventé l’électricité. On me reconnaîtra simplement le mérite d’avoir su m’en servir pour m’éclairer. Quand à ceux qui trouveront à redire sur cette œuvre en tant qu’elle ne serait pas assez révolutionnaire ou bien trop radicale ou encore pessimiste n’ont qu’à proposer leur propre vision du monde dans lequel nous vivons. Plus nous serons nombreux à diffuser ces idées et plus la possibilité d’un changement radical pourra émerger.
La crise économique, sociale et politique a révélé la faillite patente du système totalitaire marchand. Une brèche est ouverte. Il s’agit maintenant de s’y engouffrer sans peur mais de manière stratégique. Il faut cependant agir vite car le pouvoir, parfaitement informé sur l’état des lieux de la radicalisation de la contestation, prépare une attaque préventive sans commune mesure avec ce que nous avons connu jusqu’à maintenant. L’urgence des temps nous impose donc l’unité plutôt que la division car ce qui nous rassemble est bien plus profond que ce qui nous sépare. Il est toujours très commode de critiquer ce qui se fait du côté des organisations, des individus ou des différents groupes qui se réclament de la révolution sociale. Mais en réalité, ces critiques participent de la volonté d’immobilisme qui tente de nous convaincre que rien n’est possible. Il ne faut pas se tromper d’ennemis. Les vieilles querelles de chapelle du camp révolutionnaire doivent laisser la place à l’unité d’action de toutes nos forces. Il faut douter de tout, même du doute.
Le texte et le film sont libres de droits, ils peuvent être copiés, diffusés, projetés sans la moindre forme de contrainte. Ils sont par ailleurs totalement gratuits et ne peuvent en aucun cas être vendus ou commercialisés sous quelque forme que ce soit. Il serait en effet pour le moins incohérent de proposer une marchandise qui aurait pour vocation de critiquer l’omniprésence de la marchandise. La lutte contre la propriété privée, intellectuelle ou autre, est notre force de frappe contre la domination présente.
Ce film qui est diffusé en dehors de tout circuit légal ou commercial ne peut exister que grâce à l’appui de personnes qui en organisent la diffusion ou la projection. Il ne nous appartient pas, il appartient à ceux qui voudront bien s’en saisir pour le jeter dans le feu des combats.
Jean-François Brient et Victor León Fuentes
De la servitude moderne 1/3
http://www.dailymotion.com/video/xa2c34_de-la-servitude-moderne-1ère-partie_shortfilms
De la servitude moderne 2/3
http://www.dailymotion.com/video/x9v9kl_de-la-servitude-moderne-2ème-partie_shortfilms
De la servitude moderne 3/3
http://www.dailymotion.com/video/x9tlj5_de-la-servitude-m...
03:00 Publié dans Medias, Manipulations des Masses | Lien permanent | |
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Chavez interviewé par Larry King sur CNN
Il démolit, à cette occasion, les médiamensonges largement répandus sur lui et sa politique. Il évoque la tentative d’assassinat, ses relations avec l’Iran, la guerre contre Gaza…
Pour un Chavez à la française VOSTFR
http://www.dailymotion.com/video/xc5xc2_pour-un-chavez-à-la-française-vostf_news
02:41 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie | Lien permanent | |
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Israël et son autoflagellation perpétuelle
Telle une procession chiite avançant à pas de géant vers Kerbala (Irak) pour aller rendre hommage à Hussein, figure emblématique du chiisme, des pélerins qui se flagellent et sont parfois victimes d’attentats meurtriers, ainsi avance Israël, du moins, le Gouvernement actuel. Entre mépris de la paix et de son principal soutien, les Etats-Unis, le chantage à l’antisémitisme qui ne pourra plus vraiment marcher cette fois-ci tant, c’est énorme, comme le disait Norman Gary Finkielstein, "Israël roule à tombeau ouvert". Avec la même arrogance, Israël poursuit sa colonisation, s’appuyant un peu plus sur le mythe du désert que nous sert le mensonge abyssal de Joan Peters dans sa thèse de doctorat de 1984, From Time Immemorial, qui fait écho au mythe du « désert » dans lequel les premiers colons israéliens se seraient installés en Palestine. Décryptage.

Le sempiternel poker menteur
Non, ce n’est pas Mahmoud Ahmadinejad qui détruira Israël avec ses diatribes. Primo, il n’a pas les moyens de sa supposée politique de mise à mort. Deusio, il n’a jamais en ces termes à lui prêté, déclaré qu’il voulait la destruction d’Israël. Tertio, in fine, il n’est simplement une personne sans pouvoir en Iran, pour peu qu’on se renseigne un tant soit peu sur ceux ou celui qui détient le pouvoir perse. Donc, Israël a en ses dirigeants actuels, l’arme absolu qui tend à détruire son propre peuple : vouloir coloniser Jérusalem-est. Un projet sordide qui risque à la fin de le couper de tous ses soutiens et qui plus est, l’hyperpuissance américaine, les Etats-Unis qui ne savent plus à quels saints se vouer avec les voltiges mensongères qui ne servent qu’à gagner du temps en violent la loi internationale. Aussi, le couper d’un dialogue définitif, avec les Palestiniens et des arabes. Est-ce le but ?
Cette fois-ci, Israël est-il vraiment allé trop loin ? De nombreux observateurs disent que oui. Mais, en réalité, du côté palestinien, certains cadres du Hamas comme du Fatah attestent que les Etats-Unis laissent simplement faire et font semblant d’être à côté de leur "peuple lésé et floué" (sic). En réalité, la maladresse du Gouvernement Benyamin Netanyahou qui annonce la construction de 1600 logements à Ramat Shlomo, quartier juif situé au-delà de l’ancienne « ligne verte » qui séparait Israël de la Cisjordanie en juin 1967 en pleine visite du vice-président américain, Joe Biden, est d’une provocation crasse et d’un cynisme abyssal. D’une part, vis à vis des Palestiniens, et d’autre part, vis à vis de Joe Biden qui a du protester en se rendant au dîner à lui offert, avec une heure de retard. A quoi joue Netanyahou, s’interroge la presse internationale ? On sait très bien qu’il n’a jamais dérogé à sa dialectique du refus d’un état palestinien fiable, fait pour lequel il s’est résolu, après les pressions de Barack Obama. Mais, jusqu’où ?
Palestine : pas de paix sans Jérusalem-Est.
Comme capitale de la future Palestine, Jérusalem-Est ne saurait passer à la trappe par le bon vouloir d’un Gouvernement, violant et triturant tout sur son passage, et ceci, en toute impunité. Les mots pour condamner cette nouvelle opération contre la paix ont été assez violant. Joe Biden, pourtant connu et reconnu pour son pro-israélisme - passez-moi l’expression-, n’est pas allé de main morte. Il a accusé Israël de "saper la paix", de "saper la confiance" de"mépriser ses interlocuteurs" et pire, il aurait même accusé le régime israélien, de "risquer d’embraser tout le Proche-Orient", et de "mettre en péril les vies des soldats américains qui se battent en Irak, en Afghanistan et au Pakistan". Rien que ça. Là au moins, venant d’un responsable américain de haut rang, Israël serait prudent de rabattre son caquet une fois pour toute. Son ennemi, le vrai, est à l’intérieur, dans son sein, et non ailleurs. D’ailleurs, cet amateurisme et cet aveuglement politique risque de voir Ehoud Barak, chef du Parti travailliste et ministre de la Défense, quitter la coalition au pouvoir.
La colère américaine dédouane de facto, toutes les critiques justifiées contre ce Gouvernement Netanyahou, qui tournent toujours en joutes verbales incroyablement hypocrites détournées en accusation d’antisémitisme. Le rapport du juge sioniste Goldstone avait connu un sort identique. Finalement, seuls les Etats-Unis peuvent faire plier Israël. la paix mondiale en dépend. La colère saine du vice-président américain Joe Biden a vu pour la première fois, la platitude des excuses de Benyamin Netanyahou dont les rêves d’un "Grand Israël" s’estompent. Malheureusement, la "victoire" palestinienne risque d’être de courte durée. En effet, Israël a planifié de construire encore 50 000 logements supplémentaires côté Est de la ville sainte qui, il faut le dire, est aussi sainte, pour les musulmans, de même que l’Egypte ancienne, contrairement aux idées reçues, est négro-africaine, malgré la falsification historique d’un Toutankhamon qu’on présente comme blanc. Pourquoi exclure donc les arabes de Jérusalem, l’un des préalables à la paix ?
(Crédits photo/Keystone)
02:36 Publié dans Israël, Palestine, Colonisation | Lien permanent | |
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01:10 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie | Lien permanent | |
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