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18/11/2015

Un Journaliste a annoncé les attentats préparés par la CIA sur Paris 4 jours à l'avance . !

Est-ce que les services secrets français, Hollande et la CIA peuvent répondre à ces accusations ?

Un Journaliste a annoncé les attentats préparés par la CIA sur Paris 4 jours à l’avance … !

17 Nov 2015

ISIS France

Voici ce qu’aurait écrit ce journaliste 4 jours avant les attaques de Paris, le 9 novembre, relayé par truthernews . L’info est en partie au conditionnel car dure à vérifier, mais l’article date bien du 9 novembre .  En tous cas Le cache Google le prouve, et on ne voit pas de mise à jour.

D’après ce qui est indiqué par la source, ce journaliste serait actuellement traqué. Il est maintenant réfugié en Suisse où il demande l’asile politique car il craint pour sa vie (source)

Le 09 Novembre 2015, 4 jours avant les Attentats de Paris, le journaliste David Chase Taylor a publié cet article  :

« Alerte terroriste en France. La CIA veut créer une vague d’attaques Terroristes Islamistes en Novembre. Des Attaques de type ISIS sont attendues ».

Quelques Extraits de cet étonnant papier :

SUISSE, ZurichBasé sur les dernières informations et événements, il semble que le siège de la CIA sous le lac de Genève se prépare à exécuter une vague d’attentats terroristes islamiques en France. Ces attaques seront très probablement mises sur le dos du groupe terroriste soutenu par l’Etat connu comme ISIS.

Cela étant dit, des attaques associés de type ISIS ou néo-nazies - sur des demandeurs d’asile / réfugiés, en France, et / ou des attaques terroristes en France par des terroristes islamiques se présentant comme des demandeurs d’asile / réfugiés semble désormais être en route.

Dans ce qui semble être l’une des cibles des terroristes français , on a appris le 19 Octobre, 2015, que l’ Eurotunnel a été fermée pendant 4 heures après que des centaines de migrants ont pris d’assaut le terminal en France. En conséquence, le tunnel et / ou les demandeurs d’asile et les réfugiés peuvent être ciblés.

Dans ce qui semble être de la propagande d’attaque terroriste en France , on a appris le 23 Mars, 2015, que « la France est confrontée aujourd’hui à une menace terroriste sans précédent » . Traduction: la CIA suisse se prépare maintenant à exécuter une nouvelle vague d’attentats terroristes en France.

On ne sait pas ce que sera Exactement ce type d’attaques terroristes qui est maintenant prévu pour la France mais les attaques sur des aéroports français, des repères (par exemple, la Tour Eiffel), des réacteurs nucléaires, des trains et des écoles sont les plus susceptibles. Cela étant dit, il semble maintenant qu’une attaque de type 9/11- ou Malaisie Airlines MH370 peut être imminente.

Comme l’a signalé ad nauseam, le vol MH370 précédemment détourné qui a disparu par un coup de la CIA le 8 Mars 2014, a explicitement servi à préparer une attaque liées aux ADM et / ou à transporter des centaines de terroristes ISIS de l’Irak, de Jordanie et de Syrie, vers un pays occidental tel que la France.

Peu après que Truther.org ait publié un rapport le 20 Août, 2015, intitulé « la CIA prépare une vague d’attaques terroristes islamiques en France, à Paris », il a été révélé le 22 Août, 2015, que 2 membres des forces spéciales américaine ont neutralisés un tireur islamique dans un train à grande vitesse en France.

La notion que la CIA avait arrêté une attaque était un coup de publicité de la CIA visant à agiter le spectre terroriste sur les trains français juste avant qu’une attaque entre en scène.

Afin de préfigurer la terreur islamique en France, Russia Today a publié un article  le 23 Août, 2015, intitulé «les islamistes connus doivent être expulsés de France, affirme Le Pen après l’attaque du train ». Les commentaires en temps opportun de  Le Pen ont été conçus pour en déduire que les islamistes étaient encore en France juste avant une autre attaque.

Environ un mois plus tard, le 25 Septembre, 2015, il a été signalé qu’un gardien de nuit a été arrêté en France après avoir  photocopié des papiers djihadistes. Inutile de dire que l’incident a été fabriqué par la CIA afin de préfigurer la terreur islamique en France.

Afin de fournir un motif en temps opportun pour les attaques terroristes ISIS liées en France, il a été signalé le 28 Septembre, 2015, que la France a lancé ses premières frappes aériennes contre ISIS en Syrie. Considérant que la CIA a créé ISIS comme couverture pour des attaques terroristes nucléaires et biologiques, les frappes aériennes ne se produiront probablement jamais dans la réalité. (cf articles du jour où la France frappe des cibles fantômes)

source

 

 

« Monsieur le Président, vous êtes tombé dans le piège ! »

Sauf que Hollande n'est tombé dans un aucun piège sa rhétorique de guerre est voulue pour plusieurs raisons : pour récupérer politiquement les actions menées en Syrie par Poutine, tenter de faire le jeu des USA et de ses alliés, faire remonter sa popularité, tout en tenant la France en Otage, en instaurant l'état d'urgence pour se protéger lui-même !

« Monsieur le Président, vous êtes tombé dans le piège ! »

Le Monde.fr Le 16.11.2015 à 12h34 • Mis à jour le 17.11.2015 à 15h05

L'auteur et historien David Van Reybrouck.

David Van Reybrouck, d’expression néerlandaise, est l’auteur de nombreux ouvrages dont Congo, une histoire (Ed. Actes sud), pour lequel il a notamment reçu en 2012 le prix Médicis dans la catégorie « essai ». L’écrivain et historien interpelle le président français sur le champ lexical guerrier de son discours, samedi 14 novembre, lendemain des attentats qui ont endeuillé Paris. Et sur la surenchère que cela pourrait entraîner.

Monsieur le Président,

Le choix extraordinairement irréfléchi de la terminologie que vous avez utilisée dans votre discours de samedi après-midi [14 novembre 2015], où vous répétiez qu’il s’agissait d’un « crime de guerre » perpétré par « une armée terroriste » m’a interpellé. Vous avez dit littéralement :

« Ce qui s’est produit hier à Paris et à Saint-Denis, près du Stade de France, est un acte de guerre et, face à la guerre, le pays doit prendre les décisions appropriées. C’est un acte de guerre qui a été commis par une armée terroriste, Daech [l’acronyme arabe de l’Etat islamique], une armée de terroristes, contre la France, contre les valeurs que nous défendons partout dans le monde, contre ce que nous sommes, un pays libre qui parle à l’ensemble de la planète. C’est un acte de guerre qui a été préparé, organisé, planifié de l’extérieur et avec des complicités intérieures que l’enquête fera découvrir. C’est un acte de barbarie absolue. »

Si je souscris pleinement à la dernière phrase, force est de constater que le reste de votre discours est la répétition angoissante et presque mot à mot de celui que George W. Bush a tenu devant le Congrès américain peu après les attentats du 11-Septembre : « Des ennemis de la liberté ont commis un acte de guerre contre notre pays. »

Destabilisation de la région

Les conséquences de ces paroles historiques sont connues. Un chef d’Etat qui qualifie un événement d’« acte de guerre » se doit d’y réagir, et de rendre coup pour coup. Cela a conduit M. Bush à l’invasion de l’Afghanistan, ce qui était encore admissible parce que le régime avait offert asile à Al-Qaida. Même l’ONU avait approuvé. S’en est suivi alors l’invasion totalement démente de l’Irak, sans mandat de l’ONU, pour la seule raison que les Etats-Unis soupçonnaient que ce pays détenait des armes de destruction massive. A tort, s’est-il avéré, mais cette invasion a conduit à l’entière déstabilisation de la région, qui se prolonge jusqu’à aujourd’hui.

Le départ des troupes américaines en 2011 a laissé le pays dans une vacance du pouvoir. Et c’est peu après, lorsque, dans le sillage du « printemps arabe », une guerre civile a éclaté dans le pays voisin, que l’on a pu constater à quel point l’invasion militaire américaine avait été pernicieuse. Dans le nord-ouest de l’Irak déraciné et l’est de la Syrie déchirée, entre l’armée gouvernementale et l’Armée syrienne libre, assez d’espace s’était manifestement créé pour que se lève un troisième grand acteur : l’Etat islamique, ou Daech.

Bref, sans l’invasion idiote de Bush en Irak, il n’aurait jamais été question de Daech. C’est par millions que nous avons manifesté contre cette guerre en 2003, moi aussi, et la désapprobation était universelle. Et nous avions raison. Cela, non pas parce que nous étions capables de prédire l’avenir, nous n’étions pas clairvoyants à ce point. Mais nous en sommes pleinement conscients aujourd’hui : ce qui s’est passé dans la nuit de vendredi à Paris est une conséquence indirecte de la rhétorique de guerre que votre collègue Bush a employée en septembre 2001.

Et pourtant, que faites-vous ? Comment réagissez-vous moins de vingt-quatre heures après les attentats ? En employant la même terminologie que votre homologue américain de l’époque ! Et sur le même ton, bonté divine !

Risque monstrueux

Vous êtes tombé dans le panneau, et vous l’avez fait les yeux grands ouverts. Vous êtes tombé dans le panneau, Monsieur le Président, parce que vous sentez l’haleine chaude de faucons tels que Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen vous brûler la nuque. Et vous avez depuis si longtemps la réputation d’être un faible. Vous êtes tombé dans le panneau. Des élections se préparent en France, elles auront lieu les 6 et 13 décembre, ce ne sont que des élections régionales, mais, après ces attentats, elles seront placées sous le signe de la sécurité nationale, à n’en point douter. Vous êtes tombé dans le panneau tête baissée, parce que vous avez fait mot pour mot ce que les terroristes espéraient de vous : une déclaration de guerre. Vous avez accepté leur invitation au djihad avec enthousiasme. Mais cette réponse, que vous avez voulue ferme, fait courir le risque monstrueux d’accélérer encore la spirale de la violence. Je ne la trouve pas judicieuse.

Vous parlez d’une « armée terroriste ». Pour commencer, rien de tel n’existe. C’est une contradictio in terminis. Une « armée terroriste », c’est un peu comme pratiquer un régime boulimique. Des pays et des groupes peuvent avoir des armées ; s’ils ne parviennent pas à en former, ils peuvent opter pour le terrorisme, c’est-à-dire pour des actions ponctuelles dont l’impact psychologique est maximal, au lieu d’un déploiement structurel de forces militaires avec des ambitions géopolitiques.

Mais une armée, dites-vous ? Soyons clairs : jusqu’ici, nous ignorons si les auteurs des faits sont des combattants syriens revenus ou envoyés. Nous ne savons pas si les attentats ont été tramés au sein du « califat » ou dans les banlieues et « quartiers ». Et bien que certains indices laissent supposer qu’il s’agit d’un plan global émanant de la Syrie (la quasi-simultanéité de l’attentat-suicide au Liban et de l’attaque éventuelle d’un avion russe), force est de constater que le communiqué de Daech est venu bien tard, et qu’il ne contient pas d’autres éléments que ceux qui circulaient déjà sur Internet. Ne serait-il pas question de coordination ou de récupération ?

Rhétorique belliqueuse

Pour autant que l’on sache, il pourrait s’agir d’individus incontrôlés, sans doute pour la plupart des citoyens français revenus de Syrie : ils y ont appris à manier des armes et des explosifs, s’y sont immergés dans une idéologie totalitaire, cryptothéologique, et s’y sont familiarisés aux opérations militaires. Ils sont devenus des monstres, tous autant qu’ils sont. Mais ils ne sont pas une « armée ».

Le communiqué de Daech glorifait les « lieux soigneusement choisis » des attentats, vos propres services soulignaient le professionnalisme de leurs auteurs : sur ce point, remarquons que vous parlez la même langue. Mais qu’en est-il, en réalité ? Les trois hommes qui se sont rendus au Stade de France où vous assistiez à un match amical de football de la France contre l’Allemagne semblent plutôt être des amateurs. Ils voulaient sans doute pénétrer dans l’enceinte pour commettre un attentat contre vous, c’est fort possible. Mais celui qui se fait sauter à proximité d’un McDonald’s et n’entraîne « qu’une » victime dans sa mort est un bien piètre terroriste. Qui ne fait « que » quatre morts avec trois attentats-suicides, alors qu’un peu plus tard une masse humaine de 80 000 personnes sort de l’enceinte, est un bon à rien. Qui veut décimer le public d’une salle avec quatre complices sans bloquer les issues de secours n’est pas un génie de la stratégie. Qui s’embarque dans une voiture et mitraille des citoyens innocents et sans armes attablés aux terrasses n’est pas un militaire formé à la tactique, mais un lâche, un enfoiré, un individu totalement dévoyé qui a lié son sort à d’autres individus du même acabit. Une meute de loups solitaires, ça existe aussi.

Votre analyse d’une « armée terroriste » n’est pas probante. Le terme que vous avez employé, « acte de guerre » est extraordinairement tendancieux, même si cette rhétorique belliqueuse a été reprise sans honte aucune par Mark Rutte [premier ministre] aux Pays-Bas et par Jan Jambon [ministre de l’intérieur] en Belgique. Vos tentatives de calmer la nation menacent la sécurité du monde. Votre recours à un vocabulaire énergique ne signale que la faiblesse.

Il existe d’autres formes de fermeté que le langage de la guerre. Immédiatement après les attentats en Norvège, le premier ministre Jens Stoltenberg a plaidé dans détours pour « plus de démocratie, plus d’ouverture, plus de participation ». Votre discours fait référence à la liberté. Il aurait aussi pu parler des deux autres valeurs de la République française : l’égalité et la fraternité. Il me semble que nous en avons plus besoin en ce moment que de votre douteuse rhétorique de guerre.

Traduit du néerlandais par Monique Nagielkopf

 

 

Crash de l'A321 russe : la bombe placée sous un siège passager

Selon les experts, le crash aurait été provoqué par un explosif de forte puissance fabriqué en usine, donc identifiable sur ses origines.

Voir aussi :


Crash de l’A321: la bombe placée sous un siège passager

08:49 18.11.2015 (mis à jour 09:31 18.11.2015)

 

des débris de l`avion A321

La bombe ayant causé le crash de l’Airbus russe A321 aurait été placée sous un siège passager situé près d’un hublot.

D'après le journal russe Kommersant, les experts du Service fédéral de sécurité (FSB, services secrets russes), chargés d'enquêter sur le crash, ont découvert une partie du fuselage dont le revêtement était percé d'un trou d'environ un mètre de diamètre aux bords courbés vers l'extérieur. Selon les experts, il aurait été provoqué par un explosif de forte puissance fabriqué en usine.

"L'épicentre de l'explosion serait concentré au fond de la cabine. Selon l'enquête préliminaire, la bombe a été mise sous un siège passager situé près d'un hublot. Ainsi, son explosion a provoqué la destruction de l'empennage et la dépressurisation presque instantanée de la soute", écrit le journal.

Suite à l'explosion, l'Airbus "s'est désagrégé dans les airs et tous les passagers ont péri presque instantanément à cause d'une forte baisse de la pression".

Le journal a également ajouté que le comité d'enquête de la Fédération de Russie envisageait de lancer des poursuites pénales en lien avec l'attentat, dont les auteurs présumés sont des djihadistes de l'Etat islamique basés dans le Sinaï égyptien.

Un Airbus A-321 de la compagnie aérienne russe Metrojet (connue également sous le nom de Kogalymavia) s'est écrasé dans le Sinaï samedi 31 octobre peu après le décollage de l'aéroport de Charm el-Cheikh (Egypte). Aucune des 224 personnes se trouvant à bord de l'avion n'a survécu. Il s'agit de la catastrophe la plus grave dans l'histoire de l'aviation russe et soviétique.

 

Manoeuvres en Iran pour combattre notamment l'EI

Compte tenu de l'armada qui se pointe dans le Golfe persique, entre la France et les USA, et les sanctions qui ont été prolongées à son encontre, l'Iran se prépare à se défendre contre des attaques éventuelles notamment contre l'EI.

Voir aussi :

L’USS Harry S. Truman en route vers le golfe Persique

URGENT Syrie: Poutine ordonne au croiseur Moskva de prendre contact avec la Marine française

Washington prolonge ses sanctions contre l'Iran

Missiles russes S-300 pour l'Iran: le contrat entre en vigueur

Manoeuvres en Iran pour combattre notamment l'EI

14:44 17.11.2015 (mis à jour 15:06 17.11.2015)

 

Téhéran, Iran

 

L'Iran a commencé mardi des manoeuvres militaires dans le nord-est du pays pour réagir à d'éventuelles attaques de la part de groupes armés, dont l'organisation État islamique (EI), a déclaré un commandant militaire cité par l'agence Isna.

"L'un des objectifs des manoeuvres est de s'entraîner et de revoir les méthodes et moyens de faire face à d'éventuelles actions des groupes terroristes aux frontières", a déclaré le général Amir-Reza Azarban, commandant militaire de la province de Khorassan (nord-est) près de la frontière afghane.

Différents corps d'armées participent avec des chars, des hélicoptères et des avions à ces manoeuvres qui continueront mercredi, rapporte l`AFP.

 Lundi, le général Ahmad Reza Pourdastan, commandant de l'armée de terre, avait déclaré que si les combattants du groupe EI s'approchaient à moins de 40 kilomètres des frontières iraniennes aussi bien du côté irakien qu'afghan, l'Iran réagirait avec force.

"Les menaces de Daech (acronyme arabe de l'EI) ne sont pas nouvelles pour nous. En juin, nous avions déjà défini une ligne rouge à 40 kilomètres de nos frontières lorsque les combattants de ce groupe étaient arrivés dans la province de Diyala" en Irak et frontalière de l'Iran, avait déclaré le général Pourdastan.

"Nous savons aussi que Daech est présent dans le nord de l'Afghanistan (pays à l'est de l'Iran) et veut se rapprocher de nos frontières (…) notre stratégie est de détruire Daech s'il s'approche à moins de 40 kilomètres de nos frontières", a ajouté le général.

Les manoeuvres interviennent après les attentats du vendredi à Paris et les déclarations du ministre irakien des Affaires étrangères Ibrahim Jaafari qui affirmait dimanche que son pays avait partagé des informations avec la France, les Etats-Unis et l'Iran sur de possibles attentats dans ces pays par l'EI.

Le président français François Hollande et son homologue iranien Hassan Rohani ont souligné lors d'un entretien téléphonique mardi, "l'importance vitale de lutter de toutes leurs forces contre Daech et le terrorisme", a indiqué la présidence française.

Puissance musulmane chiite régionale, l'Iran est déjà engagée dans le combat contre l'organisation extrémiste sunnite en Irak et en Syrie où Téhéran a envoyé des conseillers militaires et des volontaires pour aider les gouvernements de ces pays à combattre l'EI.

 

 

Washington prolonge ses sanctions contre l'Iran

Si vous aviez loupé l’info, voici la dernière d’Obama qui avait sans doute levé les sanctions contre l'Iran pour aller y envahir les marchés et y apporter des fauteurs de troubles dont les banques Rothschild et Cie  !

Voir aussi :

Washington prolonge ses sanctions contre l'Iran

10:09 11.11.2015 (mis à jour 17:44 11.11.2015)

Barack Obama, Maison Blanche

Selon le chef de l'Etat américain, "les relations entre l'Iran et les Etats-Unis ne sont pas encore normalisées".

Barack Obama a décidé de prolonger d'un an les sanctions contre l'Iran.

Le président américain a envoyé une lettre d'avis au Congrès (parlement américain, ndlr) stipulant qu'il était nécessaire de reconduire l'état d'urgence contre l'Iran, introduit il y a plus de 30 ans. Dans le document il a indiqué avoir décidé de "laisser en vigueur le décret présidentiel 12170 du 14 novembre 1979 qui introduisait l'état d'urgence lié à la menace pour la sécurité nationale, la politique externe et l'économie des Etats-Unis, et provoqué par la situation en Iran".

L'explication de cette décision est simple. Selon le président, "les relations entre l'Iran et les Etats-Unis ne sont pas encore normalisées", et "le processus de mise en œuvre des accords (bilatéraux, ndlr) du 19 janvier 1981 n'est pas encore terminé". Il s'agit des soi-disant accords d'Alger entre Washington et Téhéran ayant abouti à la libération des diplomates américains pris en otage suite à la révolution islamique de 1979.

A l'époque, le 39ème président Jimmy Carter a signé le décret 12170 en réponse à la prise en otage des diplomates américains à Téhéran. Le ministère américain des Finances a alors bloqué les avoirs iraniens aux Etats-Unis, y compris les comptes dans les banques américaines et leurs filiales à l'étranger. En pratique, cela signifiait l'introduction de la première série des sanctions économiques contre l'Iran. En 1980, le président Carter a rompu les relations diplomatiques avec Téhéran en interdisant les importations de toutes les marchandises américaines en Iran, dont les produits alimentaires et les médicaments. Par la suite, les présidents ultérieurs n'ont fait que durcir les sanctions contre l'Iran.

Ces sanctions ne font pourtant pas partie du paquet de sanctions que les Etats-Unis ont promis de lever suite à la réalisation de tous les dispositifs du Plan d'action global commun adopté à Vienne le 14 juillet entre l'Iran et les six grandes puissances (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Royaume-Uni et Allemagne).

Le président Obama fait donc une distinction nette entre les soi-disant "sanctions nucléaires" et les autres sanctions qui ne sont pas liées aux accords atteints à Vienne.

 Il est à noter que le 18 octobre dernier, Barack Obama a ordonné le début du processus de retrait des sanctions américaines contre l'Iran conformément aux accords sur le nucléaire iranien.

Dans ce contexte la nouvelle décision du président semble incohérente, voire étrange. Selon certains médias, la prolongation de l'état d'urgence en question octroie au président des Etats-Unis des pouvoirs plus vastes afin de maintenir les sanctions, voire prendre de nouvelles mesures contre la prétendue menace iranienne.

Ainsi, actuellement, un ensemble de nouvelles sanctions fait l'objet d'un examen par les parlementaires américains visant à priver l'Iran de transactions avec un grand nombre de pays du monde.

Il semblerait donc que Washington persiste sur son approche de pressions économiques en dépit de l'accord historique signé le 14 juillet, à Vienne. L'accord en question lève les obstacles pour le commerce extérieur de l'Iran, tout en maintenant l'embargo sur les armes et les missiles à destination de ce pays. L'Iran, pour sa part, ne pourra pas élaborer de combustible nucléaire pendant 15 ans.