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17/06/2009

Cheney "souhaite presque" que les USA soient attaqués

Dick la terreur" fait encore parler de lui... Ne seraient-ils pas encore en train de nous préparer de nouveaux attentats pour nous instaurer définitivement le Nouvel Ordre Mondial ?

WASHINGTON - Les critiques de l'ancien vice-président américain Dick Cheney visant l'administration Obama et en particulier sa gestion des questions de sécurité nationale laissent penser qu'il souhaite "presque" que les Etats-Unis soient attaqués, selon le directeur de la CIA.

M. Cheney, par ses critiques, agit comme le requin "qui renifle du sang dans l'eau sur les questions de sécurité nationale", déclare Leon Panetta, nommé à la tête de la centrale de renseignement américaine par Barack Obama, dans une interview publiée dimanche dans le dernier numéro de l'hebdomadaire The New Yorker.

"C'est un peu une manière macabre de faire de la politique. Si on lit entre les lignes, c'est presque comme s'il souhaitait que le pays soit à nouveau attaqué pour que les événements lui donnent raison. Je pense que c'est une politique dangereuse", estime M. Panetta.

M. Cheney, qui a joué un rôle important dans la mise en place sous l'administration Bush de techniques d'interrogatoire assimilées à de la torture, comme la simulation de noyade, a déclaré à plusieurs reprises récemment que la décision de Barack Obama de renoncer à ces méthodes et de fermer le camp de détention de Guantanamo avait rendu les Etats-Unis "moins sûrs".

Le mois dernier, il a qualifié l'abandon des interrogatoires musclés d'imprudence déguisée en vertu" et le contre-pied pris par l'administration Obama par rapport à celle de Bush quant à la politique antiterroriste d'"extrêmement téméraire".

Le vice-président actuel, Joe Biden, interrogé dimanche sur la chaîne NBC pour savoir s'il était d'accord avec les commentaires de M. Panetta, a refusé de se prononcer sur les motivations de M. Cheney. Mais "le jugement de Dick Cheney sur la manière de rendre l'Amérique plus sûre est erroné. Je pense que c'est notre jugement qui est correct", a-t-il dit.

Sollicité par l'AFP, un porte-parole de la CIA, Paul Gimigliano, a précisé lundi les propos attribués au directeur de l'Agence, largement repris dans les médias.

"Le directeur ne croit pas que l'ancien vice-président souhaite un attentat. Il n'a pas dit cela. Il exprimait seulement un désaccord profond avec l'affirmation selon laquelle les politiques de sécurité du président Obama ont rendu notre pays moins sûr. Il n'a pas non plus mis en doute les intentions de quiconque", a-t-il déclaré.

(©AFP / 16 juin 2009 00h10)


Source : Romandie

11 septembre : les New-yorkais veulent une nouvelle enquête

Sous l’impulsion de nombreux proches de victimes et de sauveteurs du 11 septembre 2001, plus de 40 000 électeurs new-yorkais* ont déjà signé une pétition qui pourrait conduire à la mise en place d’un référendum pour la constitution d’une nouvelle enquête sur les attentats aux élections de novembre 2009.

Vote for Answers
http://www.youtube.com/watch?v=TzC3QI8JenU


 

A la suite de la publication du Rapport de la Commission d’Enquête sur le 11 septembre en 2004, 66% des New-yorkais étaient en faveur d’une autre investigation à même de traiter les "questions toujours sans réponse".

Le Président de la Commission d’Enquête sur le 11 septembre, Thomas Kean, dira plus tard, dans une stupéfiante déclaration, que la Commission d’Enquête avait été, selon ses propres termes, "conçue pour échouer".

La NYCCAN (NYC Coalition for Accountability Now, coalition new-yorquaise pour un établissement des responsabilités maintenant) se mobilise pour offrir aux familles de victimes du 11 septembre, aux sauveteurs et à tous les new-yorkais ce à quoi ils ont droit : une investigation qui réussisse.

Comment ?

Les électeurs new-yorkais peuvent mandater la formation d’une nouvelle investigation avec pouvoir d’assignation en signant une pétition pour ajouter un référendum au bulletin de vote des élections générales de novembre 2009. Avec le passage de ce référendum, la ville de New-York va faire un pas de géant vers la vérité et la justice.

* Le nombre minimal de 45 000 signataires, permettant l’inclusion automatique du référendum dans la consultation de novembre 2009, sera largement dépassé. Les organisateurs espèrent atteindre un total de 75 000 signatures.

Plus d’information sur le site de la NYCCAN.

Source: Agoravox

A croiser avec cet autre sur Madoff et la connaissance préalable des attentats par plusieurs israéliens.
Jusque-là, on savait pour Odigo et Urban Moving, pas pour Madoff:

Madoff et le 9/11 : connaissance préalable des attentats

Le face à face tendu qui a eu lieu jeudi dernier entre Obama et Cheney donne à penser que l’on est dans une situation ou "ça passe ou ça casse". Repéré, formaté, instrumentalisé par le lobby, le président en exercice, qui manifeste recul et sang froid n’est pas homme à supporter longtemps d’être bridé comme il l’est, pas plus qu’il n’ignore qu’il risque sa vie. Et il a maintenant eu tout le temps pour prendre la mesure des pressions qui pèsent sur lui, organisées depuis longtemps, et aucunement décidées à lâcher. Dans pareil contexte, ouvrir une nouvelle enquête 9/11, en intégrant dans les modalités de constitution et de direction de la nouvelle commission, la connaissance préalable des attentats manifestée par les délits d’initiés qui les ont précédés et par l’avertissement donné à la Société israélienne Odigo 2 heures avant leur survenue, ainsi que l’explication par l’un des agents du Mossad surpris à se filmer pendant la chute de la première tour de ce qu’il voulait documenter l’évènement, et les révélations sur Madoff.



Amir Weitmann : "Madoff n’est pas fou"
envoyé par LEXPRESS. - L’info video en direct.


L’administration précédente ne tolère pas que l’on révèle quoi que ce soit de ses pratiques ni de ses violations de la loi, justifiées selon elle pas les attentats. Ainsi, le clash fut-il violent jeudi dernier entre un Dick Cheney manifestant clairement la multiplicité de ses soutiens et le nouveau président, loin d’être dépourvu de qualités, tout formaté qu’il fut par le lobby.

S’il est clair que BHO n’est pas un sanguin, il est difficile de concevoir qu’il ne mesure pas l’incapacité vers laquelle il se dirige en cas de non réaction. Dans ce contexte accorder l’enquête 9/11 que tant de professionnels demandent depuis si longtemps :

- Leaders politiques pour la vérité sur le 9/11
- Leaders religieux pour la vérité sur le 9/11
- Professionnels de santé pour la vérité sur le 9/11
- Chrétiens, juifs et musulmans pour la vérité sur le 9/11
- Architectes et ingénieurs pour la vérité sur le 9/11
- Pompiers pour la vérité sur le 9/11
- Pilotes pour la vérité sur le 9/11

en multipliant les protections, peut être la seule solution pour pouvoir exercer ses fonctions et tenir ses engagements.

Source : Agoravox

John KENNEDY - Discours sur les Sectes Secrètes et la Conspiration

Le Président qui disait la vérité ..... !
A lire et à écouter absolument jusqu'au bout... !!!


Le discours original prononcé par le
Président Johnn KENNEDY
Waldorf-Astoria Hotel -  New York City,
le 27 avril 1961

Pour télécharger le discours en mp3 128 kbps (17.5 Mo) :
http://web2.millercenter.org/speeches/audio/spe_1961_0427...

Le texte du discours dans sa version originale

The President and the Press: Address before the American Newspaper Publishers Association

President John F. Kennedy
Waldorf-Astoria Hotel
New York City, April 27, 1961

Mr. Chairman, ladies and gentlemen:

I appreciate very much your generous invitation to be here tonight.

You bear heavy responsibilities these days and an article I read some time ago reminded me of how particularly heavily the burdens of present day events bear upon your profession.

You may remember that in 1851 the New York Herald Tribune under the sponsorship and publishing of Horace Greeley, employed as its London correspondent an obscure journalist by the name of Karl Marx.

We are told that foreign correspondent Marx, stone broke, and with a family ill and undernourished, constantly appealed to Greeley and managing editor Charles Dana for an increase in his munificent salary of $5 per installment, a salary which he and Engels ungratefully labeled as the "lousiest petty bourgeois cheating."

But when all his financial appeals were refused, Marx looked around for other means of livelihood and fame, eventually terminating his relationship with the Tribune and devoting his talents full time to the cause that would bequeath the world the seeds of Leninism, Stalinism, revolution and the cold war.

If only this capitalistic New York newspaper had treated him more kindly; if only Marx had remained a foreign correspondent, history might have been different. And I hope all publishers will bear this lesson in mind the next time they receive a poverty-stricken appeal for a small increase in the expense account from an obscure newspaper man.

I have selected as the title of my remarks tonight "The President and the Press." Some may suggest that this would be more naturally worded "The President Versus the Press." But those are not my sentiments tonight.

It is true, however, that when a well-known diplomat from another country demanded recently that our State Department repudiate certain newspaper attacks on his colleague it was unnecessary for us to reply that this Administration was not responsible for the press, for the press had already made it clear that it was not responsible for this Administration.

Nevertheless, my purpose here tonight is not to deliver the usual assault on the so-called one party press. On the contrary, in recent months I have rarely heard any complaints about political bias in the press except from a few Republicans. Nor is it my purpose tonight to discuss or defend the televising of Presidential press conferences. I think it is highly beneficial to have some 20,000,000 Americans regularly sit in on these conferences to observe, if I may say so, the incisive, the intelligent and the courteous qualities displayed by your Washington correspondents.

Nor, finally, are these remarks intended to examine the proper degree of privacy which the press should allow to any President and his family.

If in the last few months your White House reporters and photographers have been attending church services with regularity, that has surely done them no harm.

On the other hand, I realize that your staff and wire service photographers may be complaining that they do not enjoy the same green privileges at the local golf courses that they once did.

It is true that my predecessor did not object as I do to pictures of one's golfing skill in action. But neither on the other hand did he ever bean a Secret Service man.

My topic tonight is a more sober one of concern to publishers as well as editors.

I want to talk about our common responsibilities in the face of a common danger. The events of recent weeks may have helped to illuminate that challenge for some; but the dimensions of its threat have loomed large on the horizon for many years. Whatever our hopes may be for the future--for reducing this threat or living with it--there is no escaping either the gravity or the totality of its challenge to our survival and to our security--a challenge that confronts us in unaccustomed ways in every sphere of human activity.

This deadly challenge imposes upon our society two requirements of direct concern both to the press and to the President--two requirements that may seem almost contradictory in tone, but which must be reconciled and fulfilled if we are to meet this national peril. I refer, first, to the need for a far greater public information; and, second, to the need for far greater official secrecy.

I

The very word "secrecy" is repugnant in a free and open society; and we are as a people inherently and historically opposed to secret societies, to secret oaths and to secret proceedings. We decided long ago that the dangers of excessive and unwarranted concealment of pertinent facts far outweighed the dangers which are cited to justify it. Even today, there is little value in opposing the threat of a closed society by imitating its arbitrary restrictions. Even today, there is little value in insuring the survival of our nation if our traditions do not survive with it. And there is very grave danger that an announced need for increased security will be seized upon by those anxious to expand its meaning to the very limits of official censorship and concealment. That I do not intend to permit to the extent that it is in my control. And no official of my Administration, whether his rank is high or low, civilian or military, should interpret my words here tonight as an excuse to censor the news, to stifle dissent, to cover up our mistakes or to withhold from the press and the public the facts they deserve to know.

But I do ask every publisher, every editor, and every newsman in the nation to reexamine his own standards, and to recognize the nature of our country's peril. In time of war, the government and the press have customarily joined in an effort based largely on self-discipline, to prevent unauthorized disclosures to the enemy. In time of "clear and present danger," the courts have held that even the privileged rights of the First Amendment must yield to the public's need for national security.

Today no war has been declared--and however fierce the struggle may be, it may never be declared in the traditional fashion. Our way of life is under attack. Those who make themselves our enemy are advancing around the globe. The survival of our friends is in danger. And yet no war has been declared, no borders have been crossed by marching troops, no missiles have been fired.

If the press is awaiting a declaration of war before it imposes the self-discipline of combat conditions, then I can only say that no war ever posed a greater threat to our security. If you are awaiting a finding of "clear and present danger," then I can only say that the danger has never been more clear and its presence has never been more imminent.

It requires a change in outlook, a change in tactics, a change in missions--by the government, by the people, by every businessman or labor leader, and by every newspaper. For we are opposed around the world by a monolithic and ruthless conspiracy that relies primarily on covert means for expanding its sphere of influence--on infiltration instead of invasion, on subversion instead of elections, on intimidation instead of free choice, on guerrillas by night instead of armies by day. It is a system which has conscripted vast human and material resources into the building of a tightly knit, highly efficient machine that combines military, diplomatic, intelligence, economic, scientific and political operations.

Its preparations are concealed, not published. Its mistakes are buried, not headlined. Its dissenters are silenced, not praised. No expenditure is questioned, no rumor is printed, no secret is revealed. It conducts the Cold War, in short, with a war-time discipline no democracy would ever hope or wish to match.

Nevertheless, every democracy recognizes the necessary restraints of national security--and the question remains whether those restraints need to be more strictly observed if we are to oppose this kind of attack as well as outright invasion.

For the facts of the matter are that this nation's foes have openly boasted of acquiring through our newspapers information they would otherwise hire agents to acquire through theft, bribery or espionage; that details of this nation's covert preparations to counter the enemy's covert operations have been available to every newspaper reader, friend and foe alike; that the size, the strength, the location and the nature of our forces and weapons, and our plans and strategy for their use, have all been pinpointed in the press and other news media to a degree sufficient to satisfy any foreign power; and that, in at least in one case, the publication of details concerning a secret mechanism whereby satellites were followed required its alteration at the expense of considerable time and money.

The newspapers which printed these stories were loyal, patriotic, responsible and well-meaning. Had we been engaged in open warfare, they undoubtedly would not have published such items. But in the absence of open warfare, they recognized only the tests of journalism and not the tests of national security. And my question tonight is whether additional tests should not now be adopted.

The question is for you alone to answer. No public official should answer it for you. No governmental plan should impose its restraints against your will. But I would be failing in my duty to the nation, in considering all of the responsibilities that we now bear and all of the means at hand to meet those responsibilities, if I did not commend this problem to your attention, and urge its thoughtful consideration.

On many earlier occasions, I have said--and your newspapers have constantly said--that these are times that appeal to every citizen's sense of sacrifice and self-discipline. They call out to every citizen to weigh his rights and comforts against his obligations to the common good. I cannot now believe that those citizens who serve in the newspaper business consider themselves exempt from that appeal.

I have no intention of establishing a new Office of War Information to govern the flow of news. I am not suggesting any new forms of censorship or any new types of security classifications. I have no easy answer to the dilemma that I have posed, and would not seek to impose it if I had one. But I am asking the members of the newspaper profession and the industry in this country to reexamine their own responsibilities, to consider the degree and the nature of the present danger, and to heed the duty of self-restraint which that danger imposes upon us all.

Every newspaper now asks itself, with respect to every story: "Is it news?" All I suggest is that you add the question: "Is it in the interest of the national security?" And I hope that every group in America--unions and businessmen and public officials at every level-- will ask the same question of their endeavors, and subject their actions to the same exacting tests.

And should the press of America consider and recommend the voluntary assumption of specific new steps or machinery, I can assure you that we will cooperate whole-heartedly with those recommendations.

Perhaps there will be no recommendations. Perhaps there is no answer to the dilemma faced by a free and open society in a cold and secret war. In times of peace, any discussion of this subject, and any action that results, are both painful and without precedent. But this is a time of peace and peril which knows no precedent in history.

II

It is the unprecedented nature of this challenge that also gives rise to your second obligation--an obligation which I share. And that is our obligation to inform and alert the American people--to make certain that they possess all the facts that they need, and understand them as well--the perils, the prospects, the purposes of our program and the choices that we face.

No President should fear public scrutiny of his program. For from that scrutiny comes understanding; and from that understanding comes support or opposition. And both are necessary. I am not asking your newspapers to support the Administration, but I am asking your help in the tremendous task of informing and alerting the American people. For I have complete confidence in the response and dedication of our citizens whenever they are fully informed.

I not only could not stifle controversy among your readers--I welcome it. This Administration intends to be candid about its errors; for as a wise man once said: "An error does not become a mistake until you refuse to correct it." We intend to accept full responsibility for our errors; and we expect you to point them out when we miss them.

Without debate, without criticism, no Administration and no country can succeed--and no republic can survive. That is why the Athenian lawmaker Solon decreed it a crime for any citizen to shrink from controversy. And that is why our press was protected by the First Amendment-- the only business in America specifically protected by the Constitution- -not primarily to amuse and entertain, not to emphasize the trivial and the sentimental, not to simply "give the public what it wants"--but to inform, to arouse, to reflect, to state our dangers and our opportunities, to indicate our crises and our choices, to lead, mold, educate and sometimes even anger public opinion.

This means greater coverage and analysis of international news--for it is no longer far away and foreign but close at hand and local. It means greater attention to improved understanding of the news as well as improved transmission. And it means, finally, that government at all levels, must meet its obligation to provide you with the fullest possible information outside the narrowest limits of national security--and we intend to do it.

III

It was early in the Seventeenth Century that Francis Bacon remarked on three recent inventions already transforming the world: the compass, gunpowder and the printing press. Now the links between the nations first forged by the compass have made us all citizens of the world, the hopes and threats of one becoming the hopes and threats of us all. In that one world's efforts to live together, the evolution of gunpowder to its ultimate limit has warned mankind of the terrible consequences of failure.

And so it is to the printing press--to the recorder of man's deeds, the keeper of his conscience, the courier of his news--that we look for strength and assistance, confident that with your help man will be what he was born to be: free and independent.

 

Source : http://www.jfklibrary.org/Historical+Resources/Archives/Reference+Desk/Speeches/JFK/003POF03NewspaperPublishers04271961.htm

 

Pour écouter le discours vocal :The President and the Press: President Kennedy's Address Before the American Newspaper Publishers Association, April 27, 1961.
Running time: 19:11 minutes


Le Président qui disait la vérité

Extrait du discours de J-F KENNEDY

« Mesdames et Messieurs »,

Le mot « secret » est en lui-même répugnant dans une société libre et ouverte.

Et en tant que peuple par nature et historiquement, nous nous opposons aux sociétés secrètes, aux serments secrets et aux procédures secrètes.

Parce que nous devons faire face tout autour du monde à une conspiration massive et impitoyable qui s'appuie d'abord sur des moyens déguisés permettant le déploiement de leur sphère d'influence basée sur l'infiltration plutôt que l'invasion, utilisant la subversion plutôt que les élections et l'intimidation au lieu du libre-arbitre.

C'est un système qui a nécessité énormément de ressources humaines et matérielles dans la construction d'une machine étroitement soudée et d'une efficacité remarquable. Elle combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignements (CIA, Mossad, etc..), économiques, scientifiques et politiques. Leurs planifications sont occultées et non publiées.

Leurs erreurs sont passées sous silence et non relayées par la presse.

Leurs détracteurs sont réduits au silence, et leur avis n'est pas sollicité.

Aucune dépense n'est remise en question, aucun secret n'est révélé. C'est pourquoi le législateur athénien Solon décréta comme crime tout citoyen de désintéressant du débat.

Je sollicite votre aide dans l'immense tâche qui est d'informer et d'alerter le peuple américain, avec la certitude qu'avec votre aide l'homme deviendra ce pourquoi il est né : Libre et indépendant.

Une autre source de son discours :

"President and the Press" Speech (April 27, 1961) - John Fitzgerald Kennedy
http://millercenter.org/scripps/archive/speeches/detail/3677


Intervention TV du président Dwight D. Eisenhower lors de son discours d'adieu, le 16 Avril 1953
Il met en garde les américains contre l'infiltration et l'influence du complexe militaro-industriel

http://www.dailymotion.com/video/x1qdr_le-complexe-militaro-industriel_news

 

Extrait du discours d'Eisenhower

Intervention TV du président Dwight D. Eisenhower lors de son discours d'adieu, où il met en garde contre ce qu'il appelle le complexe militaro industriel.

 

Bonsoir Chers compatriotes,

 

Ce soir je vous adresse un message d'adieu. Je voudrais partager quelques données avec vous.

Nous avons atteint la 6ème décennie d'un siècle qui a connu 4 conflits mondiaux impliquant de grandes nations. Notre pays a participé à 3 d'entre eux.

 

Nous avons dû développer une vaste industrie de l'armement permanente.

 

3,5 millions d'hommes pour le secteur de la défense. Son influence économique, politique et même morale se ressent dans chaque ville, chaque parlement des Etats, chaque bureau du Gouvernement.

 

Ce développement est certes nécessaire, mais nous devons aussi comprendre la gravité de ses conséquences.

 

Triste constat aujourd'hui.


« Chaque arme fabriquée, chaque guerre déclarée, chaque roquette mise à feu, signifie en fin de compte un vol envers ceux qui ont faim et qui ne sont pas nourris, ceux qui ont froid et qui ne sont pas habillés. »

 

Dans les services du Gouvernement, nous devons nous méfier d'une influence non justifiée, qu'elle soit voulue ou non, par le complexe militaro-industriel.

 

Le risque d'un accroissement funeste des abus de pouvoir existe et persistera.

 

Ne laissons jamais le poids de ce complexe mettre en danger nos libertés ou notre démocratie.

 

Seuls les citoyens vigilants et informés peuvent imposer le bon tissage entre la machine industrielle et militaire de la défense avec nos objectifs pacifistes, pour que la sécurité et la liberté prospèrent ensemble.

 

Président Dwight D. Eisenhower
16 Avril 1953

 

Source : Humanae Libertas

 

 

16/06/2009

Attentats du 9/11 aux USA du nouveau à la télévision US

L'architecte Richard Gage expose les preuves de démolition contrôlée du WTC en live à la télé américaine !


11 Sep.2001: les preuves d'explosifs en live à la TV U.S.
envoyé par ReOpen911. - Regardez les dernières vidéos d'actu.



Logo Association ReOpen911Invité le 28 mai 2009 sur le plateau de la chaîne de télévision américaine KMPH Fox 26 du groupe FOX TV, l’architecte et spécialiste des structures en acier Richard Gage y expose en direct les preuves de démolition contrôlée des tours du World Trade Center.  Saisissant !

Regardez également l'interview édifiante du scientifique Niels Harrit par la chaîne danoise TV2 après la publication le 6 avril 2009 d'une étude internationale démontrant la présence d’explosifs dans les décombres du WTC !

La version officielle de l'effondrement du WTC est désormais bel et bien invalidée par la science !

A propos de Richard Gage

Richard Gage, figure centrale du mouvement pour la vérité sur le 11-Septembre, est le fondateur de l'association "Architectes et Ingénieurs pour la Vérité sur le 11 Septembre" qui rassemble à ce jour 700 ingénieurs et architectes.

Nous pouvons constater un certain frémissement médiatique depuis quelques mois sur cette question du 11 septembre 2001 … et ce même en France !

Chronologie des évènements médiatiques qui ont jalonné ces derniers mois :

Le 25 mars dernier, l’euro député et journaliste Giulietto Chiesa fut invité sur le plateau de la chaîne de télévision bordelaise TV7 pour présenter son film documentaire Zéro, Enquête sur le 11 Septembre. Plébiscité par les médias italiens et sélectionné pour le festival du cinéma de Rome en 2007, Zéro, Enquête sur le 11 Septembre est une rigoureuse enquête journalistique qui met en exergue les innombrables incohérences et inexactitudes de la version officielle des attentats du 11-Septembre.

Chiesa
Giuletto Chiesa invité sur la télévision bordelaise TV7

Deux semaines plus tard, le 6 avril 2009, le scientifique Niels Harrit fut l’invité du JT de TV2, l’une des deux chaînes danoises les plus respectées, suite à la récente publication dans la revue scientifique Open Chemical Physics Journal d’une étude internationale démontrant la présence d’explosifs de type nano-thermite dans les décombres du WTC. Ne passez pas à côté de cette interview édifiante sous-titrée par l’association Reopen911 ! La Télé Libre de John Paul Lepers relaya cette information explosive dans un article au sous-titre évocateur : “9/11: SUJET TABOU EN FRANCE!”. Une nouvelle brèche s’ouvrait alors dans le mur de l’omerta française sur la question du 11-Septembre.

Harrit
Niels Harrit, à gauche, au JT de TV2 (Danemark)

Ce fut ensuite France Inter qui courant mai consacra une série de 3 émissions sur les zones d’ombre des attentats du 11/9 (émission de Patrick Pesnot "les Rendez-vous avec X" des 9, 16 et 23 mai 2009). Pour un résumé de cette série d’émissions, lisez le très bon article de Taïké Eilée « France Inter égratigne la version officielle du 11-Septembre » publié sur Agoravox.

Le 28 mai outre-atlantique, alors que France Inter venait de clore sa série spéciale sur le 11-Septembre, l’architecte et spécialiste des structures en acier Richard Gage était l’invité de la chaîne de télé américaine KMPH, filiale du groupe … FOX TV ! Regardez cette interview saisissante durant laquelle Richard Gage expose les preuves de démolition contrôlée des tours du World Trade Center :

Dans la foulée, le 3 juin 2009, la chaîne publique américaine KBDI diffusa à 5 reprises le film documentaire 9/11 Press for Truth, une première nationale ! Aucun média de masse aux Etats-Unis n’avait jusqu’alors osé diffuser cette minutieuse enquête journalistique de 2006 qui révèle les mensonges de la thèse officielle des attentats du 11/9. Le vent serait-il en train de tourner ? Toujours est-il que les langues commencent à se délier aux Etats-Unis … et ce même parmi les membres de la commission d’enquête qui tour à tour prennent leurs distances avec le rapport officiel qu’ils ont pourtant co-produit. Effet Obama ?

Le dernier exemple en date est celui de John Farmer, l’avocat de la Commission sur le 9/11. Il a affirmé en avril dernier, en prélude à la sortie de son livre, qu’« à un certain niveau du gouvernement, (…) il y a eu un accord pour ne pas dire la vérité sur ce qui est arrivé » (voir à ce sujet l’article de la Télélibre susmentionné).

Farmer
John Farmer

Un mois plus tôt, en mars 2009, ce fut le sénateur et membre de la commission d’enquête Bob Kerrey qui, dans un article paru dans le très respectable Newsweek, affirma qu’il y a désormais de « bonnes raisons de suspecter que nous nous sommes trompés sur certains aspects du complot du 11/9 et sur al Qaida ». Kerrey ajouta qu’il faudrait une « Commission permanente pour résoudre tous les mystères du 11/9 ».

Déjà à l’époque de l’enquête en 2003, un autre membre de la commission, le sénateur Max Cleland, avait démissionné qualifiant l’enquête de « scandale national » et accusant Bush de vouloir masquer les faits.

Cleveland
Max Cleland

Même Thomas Keane et Lee Hamilton, respectivement président et vice-président de la Commission d’enquête du 11/9, ont pris leurs distances par rapport au rapport officiel en révélant dans leur livre Without Precedent: The Inside Story of the 9/11 Commission paru en 2006 que l’enquête « était vouée à l’échec » et qu’on leur avait menti (voir l’interview de Lee Hamilton par CBC News).

Y a-t-il encore des membres de la Commission d’enquête du 11-Septembre pour défendre la thèse officielle qui prend l’eau de toute part ? N’est-il pas grand temps de lancer le débat public en France ? Tôt ou tard, il devra avoir lieu comme il a déjà eu lieu dans plusieurs autres pays (1) .

Par Christo pour ReOpenNews


(1) Voir notamment le débat contradictoire diffusé par la 1ère chaîne de télé russe ORT le 12 septembre 2008 devant 32 millions de téléspectateurs et récemment sous-titré et mise en ligne sur l’Internet par l’association Reopen911.

 


Logo Association ReOpen911




Association ReOpen911
http://www.reopen911.info
http://www.reopen911.info/News/


 

14/06/2009

Meyssan - Effondrement des USA

Thierry Meyssan bien informé ou visionnaire ?

Thierry Meyssan sur Sahar.tv
Le monde en question

 

Meyssan - Effondrement des USA

http://www.dailymotion.com/video/x8ox5i_meyssan-effondrem...

 

 

Confirmations de l'analyse de MEYSSAN ?

Publié le 12 juin 2009 à 19h21 | Mis à jour le 12 juin 2009 à 19h27

Schwarzenegger: la Californie risque la banqueroute à la mi-juin


 

Schwarzenegger: la Californie risque la banqueroute à la mi-juin

Arnold Schwarzenegger - Photo: AP

Agence France-Presse
Los Angeles

Le gouverneur de Californie (ouest) Arnold Schwarzenegger a une nouvelle fois appelé les élus vendredi à adopter de nouvelles coupes budgétaires pour lutter contre un déficit massif, prévenant que l'Etat risquait d'être à court de liquidités vers le 15 juin.

Lors d'un discours près de San Diego (sud de l'Etat), M. Schwarzenegger a expliqué que les services publics de son Etat risquaient tout bonnement de fermer si jamais les législateurs ne réussissaient pas à se mettre d'accord sur la façon de combler un déficit budgétaire estimé à 24 milliards de dollars.

«Il n'y a vraiment pas de temps à perdre», a expliqué le dirigeant républicain de l'Etat le plus riche et le plus peuplé des Etats-Unis, mais touché de plein fouet par la crise immobilière, financière et économique. «Nous devons résoudre ce déficit maintenant ou nous allons manquer de liquidités».

Début juin, M. Schwarzenegger avait rappelé que les recettes de la Californie avaient chuté de «27% par rapport à l'année dernière» et affirmé que «le jour du Jugement dernier est là».


Les mesures drastiques envisagées par M. Schwarzenegger devraient entraîner le licenciement de 5.000 fonctionnaires et réduire les dépenses d'éducation de 5 milliards de dollars.

Par ailleurs, l'année scolaire serait raccourcie de sept jours par an, tandis que 38.000 détenus jugés non violents verraient leur peine commuée pour faciliter leur libération.

Le budget californien constitue un casse-tête en période de crise: la structure de dépenses et de recettes de l'Etat est très vulnérable aux soubresauts de la croissance, alors que les augmentations d'impôts ne peuvent être décidées qu'à la majorité des deux tiers du Parlement.

Source : Cyberpresse Canada