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11/10/2015

L’Arabie a envoyé 500 missiles anti-char aux terroristes, en Syrie. Valls se déplace en Arabie Saoudite !

Malgré les armes livrées par les Saoudiens aux terroristes, les forces syriennes continuent leurs avancées

Malgré les armes livrées par les Saoudiens aux terroristes, les forces syriennes continuent leurs avancées

Oct 10, 2015 16:29 UTC - IRIB- L’Arabie saoudite a envoyé 500 missiles anti-char Tow, de fabrication américaine, aux terroristes, en Syrie.

Citant des sources d’information opposées au gouvernement syrien, la chaîne de télévision Al-Mayadeen a annoncé que l’Arabie saoudite avait envoyé 500 missiles anti-char Tow, de fabrication américaine, aux terroristes, dans le Nord de la Syrie.

Et ce, alors que l’utilisation massive de ces missiles, par les terroristes, contre les chars et blindés de l’armée syrienne, n’a pas pu empêcher l’avancée des forces syriennes.

La participation des hélicoptères russes aux opérations, en Syrie, a changé le cours de la guerre, en faveur du gouvernement légal de ce pays.

 

 

Comment le Général Soleimani a préparé les frappes russes en Syrie ?

C'est là que l'on reconnaît encore le génie de Poutine !

La décision d'intervenir en Syrie et de créer la coalition entre l'Iran, l'Irak, la Syrie et la Russie était déjà prise depuis quelques mois avec l'appui du Général Iranien Soleimani quand Poutine s'est présenté à l'ONU, le 28 septembre 2015 pour tester les USA et la coalition internationale illégale et leur demander de s'allier pour le combat commun contre le "terrorisme", et ce qu'il continue de faire encore aujourd'hui. Nous savons désormais quelles étaient et quelles sont les réelles intentions de ladite coalition criminelle.

Poutine rentre de l'ONU et boum, déjà le 30 septembre, soit 2 jours après son retour des USA, les premières frappes russes ont lieu sur le sol Syrien !

Et la meilleure, c'est que personne n'a vu arriver les avions et les militaires en Syrie ! MDR !!!

Les USA peuvent désormais enquêter sur l'inefficacité de la CIA et de ses services de renseignements !

Comment le général Soleimani a préparé les frappes russes en Syrie
 Récit OLJ/Reuters /08/10/2015

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Le général iranien Qassem Soleimani. Photo AFP

Lors d'une réunion à Moscou en juillet, le général iranien Qassem Soleimani, commandant de la force d'élite al-Qods, a déployé une carte de la Syrie et expliqué à ses hôtes russes comment les revers du président Bachar el-Assad pouvaient être transformés en victoire – avec l'aide de la Russie.

La visite du général à Moscou a été la première étape préparant l'intervention militaire russe qui a rebattu les cartes dans la guerre en Syrie et donné naissance à une nouvelle alliance russo-iranienne en soutien au président Assad.

L'aviation russe a mené ses premières frappes en Syrie mercredi dernier à partir d'une base aérienne à Lattaquié, tandis qu'une offensive au sol des forces progouvernementales syriennes et de leurs alliés iraniens et du Hezbollah semble avoir commencé.

En ligne directe avec l'ayatollah Khamenei

Qassem Soleimani est le commandant de la force al-Qods, la force spéciale chargée des opérations extérieures des pasdaran, les gardiens de la révolution islamique. Il reçoit ses ordres directement du guide suprême de la révolution islamique, l'ayatollah Ali Khamenei. Ce militaire d'élite né en 1957 aurait accédé au commandement de la force al-Qods en 1997 ou 1998, selon une biographie diffusée par l'American Enterprise Institute.


Dans nombre de capitales arabes sunnites, qu'inquiète l'influence croissante de Téhéran en Irak, en Syrie, au Liban ou au Yémen, il incarne les aspirations à un nouvel empire perse et représente le bras armé d'une confrontation engagée entre la principale puissance chiite et les pays de l'islam sunnite.


Des sources dans la région indiquent que le général Soleimani a déjà supervisé des opérations au sol contre des insurgés en Syrie et qu'il est maintenant au cœur des préparatifs pour la nouvelle offensive soutenue par la Russie et l'Iran. En Irak, il a aussi coordonné les offensives menées par des milices chiites soutenues par Téhéran contre les jihadistes sunnites de l'État islamique (EI), notamment à Tikrit au printemps dernier. Son rôle dans la région comme commandant opérationnel s'en trouve accru.


Soleimani a mis « la carte de la Syrie sur la table »


Le général Soleimani est arrivé à Moscou alors que la situation se détériorait en Syrie : l'avancée des rebelles vers la côte constituait un danger pour le bastion des alaouites, la branche chiite à laquelle appartient la famille Assad. C'est aussi le secteur où se trouve, à Tartous, la seule base navale de la Russie dans toute la Méditerranée.


« Soleimani a mis la carte de la Syrie sur la table. Les Russes étaient très inquiets et ont eu le sentiment que les choses étaient en net déclin et qu'il y avait un réel danger pour le régime. Les Iraniens leur ont affirmé qu'il était encore possible de reprendre l'initiative », raconte un haut responsable régional.


Selon trois hauts responsables dans la région, le voyage de Soleimani en juillet a été précédé par des contacts à haut niveau entre Russes et Iraniens qui ont été d'accord sur la nécessité de renouveler le soutien à un Assad en mauvaise posture.

D'après le récit de ces trois personnes, la planification de l'intervention était dans l'air depuis plusieurs mois. Cela veut dire que pendant que les Occidentaux notaient ce qui leur semblait être une nouvelle souplesse de Moscou sur l'avenir du président syrien, Téhéran et Moscou discutaient de la manière de renforcer Assad.

La décision d'un effort russo-iranien conjoint en Syrie a été prise lors d'une réunion entre le ministre russe de Affaires étrangères Sergueï Lavrov et l'ayatollah Khamenei il y a quelques mois, explique un haut responsable d'un pays de la région, versé dans les questions de sécurité.


« Soleimani, chargé par Khamenei de diriger la partie iranienne de l'opération, s'est rendu à Moscou pour discuter des modalités. Et il s'est aussi rendu en Syrie plusieurs fois depuis », a dit ce responsable. 

« OK, nous interviendrons. Envoyez Soleimani », dit Poutine

Le gouvernement russe affirme que son déploiement en Syrie s'est fait à la demande d'Assad, qui a lui-même présenté sans ambages les problèmes auxquels était confrontée l'armée syrienne, notamment en termes d'effectifs.

L'ayatollah Khamenei a également envoyé un émissaire spécial à Moscou pour y rencontrer le président Vladimir Poutine, a déclaré un autre responsable régional. « Poutine lui a dit : "OK, nous interviendrons. Envoyez Qassem Soleimani". Il y est allé pour expliquer la carte du théâtre des opérations. »


Début août, la chaîne américaine Fox News avait révélé un récent voyage à Moscou du général iranien, information à l'époque confirmée par des sources des services de sécurité américains. Fox précisait que Soleimani était arrivé en Russie le 24 juillet, dix jours à peine après la conclusion de l'accord de Vienne sur le nucléaire iranien qui a remis Téhéran dans le jeu diplomatique.


Une source iranienne avait confirmé sous le couvert de l'anonymat que le commandant de la Force al-Qods s'était bien rendu dans la seconde quinzaine de juillet à Moscou. 


Vieille connaissance des Occidentaux

L'intervention militaire en Syrie est décrite dans un accord entre Moscou et Téhéran qui dit que les frappes aériennes russes viendront en soutien aux opérations au sol par les forces iraniennes, syriennes et du Hezbollah, explique un des responsables régionaux interrogés.

L'accord prévoit aussi la fourniture d'armes russes plus sophistiquées à l'armée syrienne et l'établissement de salles d'opérations conjointes, qui regrouperaient ces alliés ainsi que les représentants du gouvernement irakien, qui est allié à la fois à l'Iran et aux États-Unis. Une des salles d'opérations est à Damas et l'autre à Bagdad.

 
« Soleimani habite pratiquement à Damas, ou disons qu'il y va beaucoup. On peut le trouver entre deux réunions avec le président Assad et des visites sur le théâtre des opérations comme n'importe quel soldat », dit l'un des responsables régionaux.


Le général Soleimani est une vieille connaissance des Occidentaux. Dans une interview en mars au Washington Post, David Petraeus, ancien commandant des forces américaines en Irak et en Afghanistan et ex-directeur de la CIA, mentionnait un message que Soleimani lui avait fait remettre au printemps 2008, en pleine offensive des forces irakiennes et de la coalition américaine contre les milices chiites d'Irak. « Général Petraeus, disait ce message, vous devriez avoir conscience que moi, Qassem Soleimani, je contrôle la politique iranienne en Irak, en Syrie, au Liban, à Gaza et en Afghanistan. »

 

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Frappes russes en Syrie: les médias occidentaux déconnectés de la réalité

Les merdias occidentaux aux ordres des lobbies ne sont payés que pour balancer de la propagande ! Est-ce nouveau ?

Frappes russes en Syrie: les médias occidentaux déconnectés de la réalité

11:15 10.10.2015 (mis à jour 11:23 10.10.2015)

Aviation russe en Syrie

Les tentatives de décrédibiliser l'intervention russe en Syrie semblent s'inscrire dans le cadre d'une "grosse opération de diversion", estime Benjamin Blanchard, cofondateur de l'association SOS Chrétiens d'Orient.

Dans une interview accordée à l'agence Sputnik, M.Blanchard a constaté "une offensive médiatique" menée depuis le début de l'opération russe en Syrie en vue de la discréditer aux yeux de la communauté internationale.

"Tout ce que tente la Russie en Syrie est soumis à la critique de la part des médias américains, anglais, occidentaux en général", souligne l'interlocuteur de l'agence.

Selon M.Blanchard, il est "étonnant" qu'une telle attaque médiatique "arrive juste après  le bombardement de l'hôpital de Médecins sans frontières à Kunduz en Afghanistan". Dans ce contexte, il évoque le récent débat au Parlement européen consacré à la situation en Syrie et à la politique de l'UE à l'égard de la crise syrienne.

"Le moins qu'on puisse dire, c'est que les parlementaires européens favorables à l'intervention russe en Syrie, favorables aux autorités syriennes se comptent encore sur les doigts de la main. Ce n'est pas quelque chose qui est majoritaire au Parlement européen, et d'ailleurs le discours dans la commission lors de ce débat est encore très opposé à la Syrie et à l'intervention russe, parce qu'ils continuent à mettre sur le même plan l'Etat islamique et les autorités de Damas ce qui est bien-sûr inacceptable pour les Syriens et qui ne correspond à aucune réalité quand on connaît un petit peu le terrain, comme je le connais", explique Benjamin Blanchard.

 Toujours d'après lui, les Syriens eux-mêmes éprouvent "une grande reconnaissance envers la Russie pour avoir évité à la Syrie d'être bombardée en septembre 2013 avec le triple veto aux Nations unies, au Conseil de sécurité des Nations unies" et sont "sûrement affectueux pour le président russe Vladimir Poutine".

"Ҫa c'était avant l'intervention russe. Autant dire que maintenant c'est le paroxysme en Syrie, on a bien vu des manifestations de joie à Damas avec des portraits du président Poutine et des drapeaux russes", souligne-t-il.

 

Frappes russes contre des positions fortifiées de l'EI (vidéo)

Avez-vous déjà suivi une guerre avec autant de transparence ?

Frappes russes contre des positions fortifiées de l'EI (vidéo)

Le ministère russe de la Défense a publié une vidéo des frappes de l'aviation russe contre des positions fortifiées du groupe terroriste Etat Islamique, à Alep, en Syrie.

Une bombe a atteint de plein fouet la fortification, provoquant la détonation des munitions qui s'y trouvaient et la destruction totale du point d'appui des rebelles.

 

 

 

«Poutine redevient le maître du jeu dans les affaires du monde», assure Frédéric Pons

Enfin un journaliste français, juste et objectif.

L’article de Frédéric Pons, de Valeurs actuelles repris par RT France.

«Poutine redevient le maître du jeu dans les affaires du monde», assure Frédéric Pons

9 oct. 2015

L'armée syrienne bombarde les positions de Daesh au sol

L'armée syrienne bombarde les positions de Daesh au sol

Le rédacteur en chef Monde à Valeurs Actuelles Frédéric Pons a décrypté dans son article intitulé «Poutine, qu’on le veuille ou non» la stratégie du président russe en Syrie, en soulignant qu’il redevenait le maître du jeu.

En dénonçant la politique de l’Occident au Moyen-Orient, Monsieur Pons a noté dans son blog que les résultats incertains de l’opération internationale contre l’État islamique donnent du crédit aux propositions russes.

En faisant référence à François Hollande, le journaliste pose la question de savoir si le président français «est dans la réalité quand il demande à son homologue russe d’épargner le Front al-Nosra et les autres groupes radicaux, ceux que les Occidentaux s’obstinent à croire «islamistes modérés», qu’ils arment, au risque de produire les mêmes catastrophes qu’en Irak ou en Libye».

Il a également fait savoir que le combat de l’Occident contre le président syrien Bachar el-Assad ne fait pas de ces «groupes galvanisés par leur religion totalitaire et leur mépris de la mort des amis de l’Occident».

Après avoir souligné la phrase de Poutine «ne pas se tromper d’ennemi», Pons prévient qu’en fait «la priorité n’est pas d’éliminer Assad mais d’anéantir l’armée islamiste».

Finalement pour assurer l’efficacité de l’opération antiterroriste, le journaliste de Valeurs Actuelles estime nécessaire «de stabiliser l’Etat syrien et de mobiliser toutes les forces de la région, dont l’Iran et l’armée syrienne». Ainsi, l’initiative appartient aujourd’hui à la Russie, «à la faveur des erreurs de Barack Obama, des illusions naïves de l’Europe, de la duplicité inquiétante de la Turquie et des pays du Golfe».