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15/10/2014

Les Israéliens fuient la Palestine occupée!!

Quand les nazis ficheront la paix au monde entier, ce sera un grand jour !

Finalement même les officiers de  l'armée quittent Israël !

Les israéliens commenceraient-ils à comprendre qu'ils servent de boucliers humains et de chaire à canon aux sionistes/nazis, qui se servent d'eux pour finir de conquérir la Palestine, la Cisjordanie, le Liban, la Syrie, une partie de l'Egypte, de l'Arabie Saoudite et de l'Irak pour créer le Grand Israël dont ont se demande ce que cela rapportera aux Juifs ?

Depuis que Bibi ponctionne tous les budgets de son pays pour moderniser son complexe-militaro industriel, les israéliens fuient leur pays pour aller habiter ailleurs !

Et ils se demandent maintenant ce qu'ils font depuis des années dans un territoire occupé !

Les Israéliens fuient la Palestine occupée!!

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IRIB- Les organisations d’immigration disent que les noms de nombreux jeunes israéliens, d’étudiants, d’ingénieurs, de baby-sitters, d’officiers de l’armée, figurent sur la liste des candidats à l’immigration, pour quitter la Palestine occupée. 

Aujourd’hui, de nombreux Israéliens s’interrogent sur leur avenir et celui des terres qu’ils ont occupées, depuis des décennies. L’Exode historique semble se renouveler, mais, cette fois-ci, ce sont les problèmes économiques et sociaux qui font les Israéliens quitter la Palestine occupée. Les Israéliens font la queue, devant les consulats des pays étrangers. Ils veulent émigrer, pour vivre mieux, ailleurs. La hausse des prix, l’inflation, l’insécurité et la mauvaise situation économiques sont les raisons de cette fuite générale. Cette situation va changer le visage de la société israélienne. Une nouvelle vague de protestations populaires frappe Israël, en raison des problèmes socio-économiques, qui ont commencé, en 2011. Jusqu’à présent, le gouvernement israélien n’a trouvé aucune solution, pour résoudre ces problèmes. Trois ans après le début de la crise, le nombre des Israéliens, qui veulent émigrer aux Etats-Unis et en Europe, augmente.

Selon le quotidien libanais, "Al-Akhbar", les Israéliens critiquent de plus en plus leur gouvernement, et beaucoup d’entre eux font la queue, devant les consulats de pays étrangers, pour obtenir un visa d’immigration. Dans les réseaux sociaux, dont Facebook, les Israéliens écrivent de plus en plus des phrases pareilles : «Beaucoup d’Israéliens sont partis pour Berlin», ou «Le nombre de clients israéliens des supermarchés allemands augmente». Le taux moins élevé des coûts de la vie, un marché d’emploi florissant et les bonnes conditions de vie ont fait de Berlin la destination préférée des Israéliens, qui quittent la Palestine occupée.

En effet, le taux d’émigration des Israéliens vers l’Allemagne a, considérablement, augmenté, de manière, sans précédent. Beaucoup de ceux qui arrivent, en Allemagne, sont candidats à émigrer, dans d’autres pays de l’Europe. Les organisateurs d’immigration vers l’Allemagne sont appelés, souvent, «protestataires de Berlin». Ils disent que, jusqu’à présent, le gouvernement allemand a accepté la demande d’immigration de 93.000 Israéliens. La Chancelière allemande, Angela Merkel, a donné l’ordre de l’examen des milliers de dossiers d’Israéliens, qui souhaitent travailler, en Allemagne. Un responsable de ces organisations a dit à la chaîne 2 de la télévision israélienne que 25.000 Israéliens ont demandé au gouvernement allemand un permis de travail de trois ans, et que le gouvernement de Berlin est en train d’étudier ces dossiers. Ce responsable a ajouté qu’il existe, aussi, de nombreuses demandes similaires, déposées auprès du gouvernement espagnol. Madrid a donné l’ordre que les dossiers des Séfarades espagnols, dont le nombre s’élève à plus de trois millions, soient considérés comme prioritaires.

Les experts de l’immigration disent que ces demandes ne se limitent pas, seulement, aux villes, comme Berlin, et que, dans un proche avenir, plus d’Israéliens seront candidats à immigrer vers d’autres pays du monde. Déjà, plusieurs réseaux ont pris forme, pour organiser l’immigration des Israéliens vers des villes, comme New York, Londres, Washington, Miami, Los Angeles, Prague, Rome, etc. Les organisations d’immigration disent que les noms de nombreux jeunes israéliens, d’étudiants, d’ingénieurs, de baby-sitters, d’officiers de l’armée figurent sur la liste des candidats à l'immigration, pour quitter la Palestine occupée. Ils sont prêts à aller vivre, dans n’importe quel pays, à condition qu’ils puissent y acheter une maison ou payer le loyer, sans beaucoup de difficultés financières.

Le ministre israélien des Finances, Yaïr Lapid, dit : «J’admets que la mauvaise situation économique a créé de gros problèmes aux Israéliens. Je sais que c’est insupportable, mais tout le monde doit travailler, pour mettre fin à ce problème majeur». Il a promis que les marchandises de première nécessité feront l’objet d’exemption d’impôt, pour aider les foyers israéliens.

L’hebdomadaire allemand, "Der Spiegel", cite, à ce propos, un citoyen israélien : «Notre Premier ministre, Benyamin Netanyahu, parle, sans cesse, des menaces balistiques de l’Iran, mais il ne dit rien de la hausse des prix et des conditions de vie de plus en plus difficiles des Israéliens».

 

A l’université comme ailleurs, non à l’islamophobie !

Voilà comment, ils entendent alimenter le racisme en France et en Europe pour créer des guerres civiles et provoquer le soi-disant chocs des civilisations et des cultures !

"L’hystérie antimusulmane entretenue par le gouvernement n’a pas d’autres fonctions que de créer un rideau de fumée masquant son incompétence face à la crise économique. Il est plus facile de s’attaquer à l’Islam qu’à la finance… Le musulman est appelé à jouer une fois de plus les boucs émissaires et il excelle d’autant plus dans ce rôle qu’il en cumule toutes les qualités : fragile, visible et isolé. Tactique usée jusqu’à la corde mais toujours efficace pour masquer les vraies responsabilités qui sont avant tout celles des exploiteurs des peuples et des fauteurs de guerre : le racisme reste le meilleur moyen pour les maîtres de communier avec leurs serviteurs."

A l’université comme ailleurs, non à l’islamophobie !

 Un professeur de l’Institut d’études politiques d’Aix-en-Provence a désapprouvé publiquement durant un cours le port du voile par une de ses étudiantes. Violemment prise à partie par l’enseignant qui l’a accusée d’être un «cheval de Troie du salafisme», la jeune fille a alors quitté l’amphithéâtre accompagnée d’une bonne moitié des étudiants présents. Cet incident montre par l’absurde les ravages que peuvent produire dans la société française les campagnes islamophobes à répétition. Musulmans de France sommés de se désolidariser des djihadistes égorgeurs de chrétiens (comme si l’appartenance religieuse créait une solidarité de fait), campagnes incessantes contre le port de signes religieux assimilé à une atteinte contre la sacro-sainte laïcité, racisme au plus haut sommet de l’État… l’Islam ne quitte pas le viseur du gouvernement et de ses agents. Mais à qui profite donc le crime ?

Pas de répit pour les musulmans : après la loi de 2004 interdisant le port de signes religieux ostensibles à l’école, celle de 2010 interdisant la dissimulation du visage dans l’espace public, la circulaire Chatel qui interdit aux mères de porter le voile lors d’accompagements de sorties scolaires encore en vigueur, la loi anti-nounous voilées à domicile : le  rapport du 9 août 2013 du Haut comité à l’intégration (HCI) qui «proscrit le port de signe ostensible et ostentatoire d’appartenance à une religion quelle qu’elle soit» à l’Université. C’est sur ce dernier que s’est basé l’enseignant pour humilier son étudiante. Précisons tout de même que la loi de 2004 qui interdit le port de signes religieux à l’école ne s’applique pas aux établissements d’études supérieures et que celle proscrivant le port du voile à l’Université n’est pas (encore) votée. L’Observatoire contre l’Islamophobie, rappelait même que « la liberté d’expression reconnaît aux étudiants — par l’article 50 de la loi du 26 janvier 1984 — le droit d’exprimer leurs convictions religieuses à l’intérieur des universités », à condition toutefois d’éviter le prosélytisme.

Mais le mal est déjà fait. Ces campagnes à répétition ont hissé le port du voile au rang d’un vrai problème de sécurité intérieure. Et puisque cette question monopolise à ce point les medias et les politiques, comment ne pas penser qu’elle pose problème ? Rien de plus facile que de réactiver les vieux réflexes coloniaux toujours vivaces dans notre société.

Le musulman n’est pas seulement considéré comme une menace pour la République, il est aussi traité comme un paria. Réduisant toujours plus le champ des espaces publics dans lesquels le port du voile reste autorisé, les textes, lois ou circulaires promulgués depuis 10 ans ont pour effet de créer deux types de citoyens : ceux qui ont le droit d’exprimer publiquement leur appartenance religieuse (les juifs, les catholiques et les protestants) et les autres (les musulmans) sommés de se plier aux lois de la République (dont les prétendues « racines judéo-chrétiennes » sont régulièrement rappelées dans les discours des élites politiques) qui leur interdisent tout signe religieux ostentatoire. Ces lois de Nuremberg des temps modernes se servent de la laïcité comme outil de stigmatisation des musulmans. Dès lors, comment s’étonner que le port du voile puisse devenir pour certain(e)s une revendication identitaire ?

L’hystérie antimusulmane entretenue par le gouvernement n’a pas d’autres fonctions que de créer un rideau de fumée masquant son incompétence face à la crise économique. Il est plus facile de s’attaquer à l’Islam qu’à la finance… Le musulman est appelé à jouer une fois de plus les boucs émissaires et il excelle d’autant plus dans ce rôle qu’il en cumule toutes les qualités : fragile, visible et isolé. Tactique usée jusqu’à la corde mais toujours efficace pour masquer les vraies responsabilités qui sont avant tout celles des exploiteurs des peuples et des fauteurs de guerre : le racisme reste le meilleur moyen pour les maîtres de communier avec leurs serviteurs.

http://bourgoinblog.wordpress.com/

14/10/2014

Fin de la 3ème guerre mondiale ?

C'est bien notre avis que c'est la Russie qui sauvera encore une fois le monde des nazis US/UE !

Il faudrait détruire le mythe que ce sont les américains qui ont sauvé l'Europe du Nazisme lors de la 2ème guerre mondiale, quand ce sont les Rothschild et  autres BANKSTERS de la FED qui avaient besoin de provoquer le prétexte de la SHOA pour aller s'accaparer la Palestine pour aller planter leur verrue d'Israël en plein moyen-orient, dans l'objectif de créer leur Grand Israël. Qui ont financé Hitler et toutes les guerres génocidaires à leurs seuls profits ! Si la Russie n'avait pas été là à sacrifier des millions de vies, nous serions encore sous le contrôle des nazis ! Quoi que, quand on voit qui a créé l'Europe et qui sont les mafieux criminels qui sont à sa tête, nous pourrions en déduire que le IVème REICH a pris le relais !

Fin de la 3ème guerre mondiale ?

par De Rivas lundi 13 octobre 2014

Une fois de plus, c'est la Russie qui sauvera le monde

 

 argent-en-feu-en-flammes-13299264-0ee81-bbfdf.jpgCette troisième guerre mondiale est très spéciale. Elle est commanditée par les oligarques aux ordres de l'industrie financière étasunienne. Ses moyens d'action sont répugnants et dirigés essentiellement contre les civils : sanctions économiques, bombardements des centres de vie. Ce sont surtout les femmes et les enfants qui meurent. Les militaires professionnels rémunérés sont pratiquement toujours épargnés.

 

Si on analyse un peu plus précisément les responsables de cette guerre, on arrive à trois entités : le Pentagone, l'industrie de l'armement et le monde de la finance. Tous les autres acteurs ne sont que des pantins manipulés, à commencer par les présidents successifs des États-Unis.

 

Et si on cherche vraiment quel est l'objet si fragile que cette guerre veut protéger, on arrive de façon assez logique au billet vert : ce morceau de papier qui assure la puissance des USA.

Depuis 1945, personne n'a pu contester l'hégémonie du dollar US dans les transactions internationales ou, s'il a tenté de le faire, il s'est fait éliminer. L'exemple le plus flagrant est celui de l'Irak : (2003) quand Saddam Hussein a décidé de vendre son pétrole en Euro, deux mois plus tard il était attaqué.

En 1971, Nixon décide d'abandonner l'indexation du dollar sur l'or afin de renforcer la stabilité de cette monnaie. Mais en réalité, le but était de l'indexer sur le pétrole et de créer ainsi le pétrodollar. En fait, ce nouveau système permettait aux États-Unis de faire fonctionner leurs presses à imprimer des billets sans aucunes contreparties puisqu'il n'y avait plus de convertibilité en or. Évidemment, Nixon avait pris la précaution de conclure auparavant un accord avec l’OPEP, afin que les prix du pétrole soient libellés en dollars américains dans toutes les transactions à travers le monde.

 

Jusqu'à présent, personne n'a osé indexer une nouvelle monnaie sur l'étalon or ou, s'il a tenté de le faire, il s'est fait éliminer. L'exemple le plus récent est celui de la Lybie : Mouammar kadhafi décide la création d’un étalon or pour le Dinar qui deviendrait devise des pays Africains, il est assassiné en octobre 2011.

 

Il existe également un autre sanctuaire financier étasunien apparemment inattaquable et qui permet aux pays riches de s'enrichir sur le dos des pays pauvres : ce sont les grandes institutions financières (FMI et Banque Mondiale) qui prêtent et qui endettent à vie les peuples des nations en difficulté.

 

Jusqu'à présent, aucun pays pauvre endetté n'a su se passer de ces aides de banksters, ou s'il a tenté de le faire, il s'est fait éliminer. L'exemple qui me vient à l'esprit est celui de la Roumanie : (1989) après avoir demandé 10 ans d’énormes sacrifices à sa population, Ceausescu rembourse entièrement la dette qu’il devait aux institutions financières occidentales par anticipation (la Roumanie dégage même des excédents budgétaires de plusieurs milliards de dollars). Aussitôt, la CIA décide de l'assassiner à travers une mascarade aussi ridicule qu'abjecte. Son bras droit, Iliescu, prendra le pouvoir et deux ans après, le niveau d’endettement du pays dépassera celui de 1979.

 

Dans cette guerre mondiale de l'hypocrisie, il restait un adversaire à abattre et pas le moindre : la Russie. Cela fait plus de 20 ans (depuis la chute de l'URSS), que les USA et l'empire britannique essayent de démanteler ce grand pays. Ils l'encerclent progressivement en élargissant l'OTAN et en mobilisant leur armée et leurs machines de guerre terrifiantes à ses frontières. De nombreuses tentatives d'agression par provocations interposées ont échoué mais, tentant le tout pour le tout, on assiste actuellement à la dernière bataille des USA et de leurs alliés contre Moscou.

En même temps, des informations essentielles tombent, on apprend que :

1) Les BRICS ont lancé leur Banque de Développement

 

2) La Russie a déjà expédié du pétrole par bateau vers l’Europe qui sera réglé en Roubles et non plus en Dollars. La Russie livrera du pétrole via le Pipeline Est-Sibérien / Océan Pacifique (ESOP) à destination de la Chine qui sera réglé en Yuans chinois et non plus en Dollars.

Autrement dit, (1) le FMI et la Banque Mondiale ne pourront plus continuer éternellement à enrichir leurs amis banksters au détriment des pauvres de la planète.

Mais surtout, (2) la Chine, première puissance économique du monde depuis 2014, et la Russie, premier producteur de pétrole et deuxième producteur de gaz de la planète, vont désormais réaliser leurs échanges dans leurs devises respectives. Cette attaque contre le pétrodollar va obliger les importateurs européens de gaz et de pétrole russes à régler Moscou en Roubles.

Voici donc la riposte suprême à l'agression étasunienne mise en place par Moscou avec l'appui de Pékin. La toute puissante Amérique sera détruite par la base et s'écroulera comme un château de cartes. Les US ne pourront plus simplement faire tourner la planche à billets pour rembourser leur dette colossale. Les américains ne pourront plus vivre à crédit sur le dos des autres pays.

Ce sera la débâcle complète pour cet empire impérialiste arrogant, la stratégie mise en place par Moscou étant bien plus redoutable que n'importe qu'elle action militaire. Et quand on sait que le plus gros détenteur d'emprunts d'état américains est la Chine, on peut se douter que la revanche tant attendue sera douloureuse pour les Yankees de l'oncle Sam.

De même que c'est la bataille de Stalingrad qui a provoqué le déclin de l'armée allemande, c'est une fois de plus la Russie qui déclenche le processus nécessaire pour mettre à genou ce nouvel envahisseur impérialiste que sont devenus les États-Unis d'Amérique.


 

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Accord des Banksters pour éviter l'effondrement de leur système mafieux

Quand les banksters refusent de faire faillite et qu'ils pensent nous faire peur en nous annonçant leur chute finale et celle de leur dollar de pacotille avec lequel ils se sont enrichis, en endettant les pays et les peuples, en fabriquant et en finançant les guerres génocidaires tous azimuts. Leurs petites affaires qu'ils réglaient jusqu'à présent en sortant leur planche à fabriquer de la monnaie de singe, se termine.

Alors, non, ce ne sera pas la fin du monde si les banques privées des banksters et notamment celles de la FED, font faillite, ce sera uniquement la fin et l'écroulement de leur système mafieux et criminel, et l'émergence de la libération des peuples, l'occasion de créer des banques d'état ou des banques des peuples pour leur redonner le pouvoir.

Nous pourrons remercier notamment la Russie,et la Chine d'avoir participé à provoquer depuis 2012, la chute du dollar et celle des banques privées des Banksters/Illuminati.

Et là encore, la Russie et la Chine lutteront contre le monopole du dollar.  D'autres pays sont en voie de les suivre, dont l'Iran et les pays des BRICS.

11 octobre, 21:41

La Russie et la Chine lutteront contre le monopole du dollar

La Russie et la Chine devraient renforcer la coopération dans le domaine des transactions de change afin d'éliminer le monopole du dollar. C'est ce qu'a déclaré le président de la Banque de Chine

.La Russie et la Chine lutteront contre le monopole du dollar

Selon lui, cela correspond aux intérêts stratégiques des deux côtés. Il a proposé, en particulier, d’élargir l'échelle des paiements directs dans les monnaies nationales de la Chine et de la Russie dans les secteurs du commerce, d'investissement et de crédit.

Accord des grandes banques contre un effondrement du système

 
 
 

Par: rédaction

12/10/14 - 08h02  Source: Belga  © belga.

Les grandes banques du globe se sont mises d'accord samedi pour modifier les règles de fonctionnement du marché de quelque 7.000 milliards de dollars de produits dérivés afin d'éviter que la faillite d'une d'entre elles ne provoque l'effondrement du système financier mondial.

 

Ces établissements, allant des américains aux asiatiques en passant par des européens, ont accepté d'abandonner le principe du débouclage automatique ("close out") des contrats si une institution financière se trouve en difficulté, a annoncé dans un communiqué l'ISDA.

L'Association internationale des swaps et dérivés (ISDA) est l'organisme représentant le secteur. C'est elle qui mène les négociations avec les autorités de régulation.

Selon elle, en cas de défaillance d'un grand établissement posant des risques pour le système financier ("Too big to fail") les banques vont mettre en place un délai pour donner davantage de temps aux régulateurs afin qu'ils trouvent une solution évitant une faillite "désordonnée" aux conséquences potentiellement explosives.

Cette solution contractuelle vise concrètement à suspendre temporairement le débouclage automatique des contrats.

La faillite de Lehman Brothers en septembre 2008 avait donné lieu à un débouclage massif de contrats dérivés avec la banque, ce qui avait provoqué le chaos sur les marchés financiers.

Cet accord sera effectif à partir du 1er janvier 2015, selon le communiqué. Les banques auxquelles il va s'appliquer sont: Bank of America, Bank of Tokyo-Mitsubishi, Barclays, BNP Paribas, Credit Agricole, Credit Suisse, Citigroup, Deutsche Bank, Goldman Sachs, JPMorgan Chase, HSBC, Mizuho Financial Group, Morgan Stanley, Nomura, Royal Bank of Scotland (RBS), Société Générale, UBS, Sumitomo Mitsui et UFJ.

 

 

13/10/2014

Ukraine/Boeing, Vol MH17, enquêter sur le rôle de l'oligarque sioniste Kolomoïski

Encore un oligarque sioniste qui bénéficie de 3 nationalités différentes et dont les merdias occidentaux ne parleront pas. Apparemment les sionistes avaient l'intention d'organiser une seconde révolution Bolchevich pour obtenir par le biais du coup d'état organisé en Ukraine avec le soutien de la France (Fabius, Hollande, BHL et la clique), de l'Allemagne et de la Pologne, l'affaiblissement et la déstabilisation de la Russie, le remplacement de Poutine y compris, s'ils avaient réussi leur coup, d'organiser son assassinat en s'attaquant à son avion qui revenait d'Amérique du sud, le 17 juillet 2014, après avoir participé au sommet des Brics.

Comme nous pouvons le constater encore à ce jour, les USA/UE/Sionistes, refusent d'enquêter sur les responsabilités de ceux qui avaient décidé de descendre le Vol MH17, qui a pu être abattu par erreur en lieu et place de l'avion de Poutine. L'oligarque sioniste Porochenko, ayant tout fait à partir de Kiev et l'oligarque sioniste, Kolomoïsky à partir de la Suisse, pour entraver l'enquête qui comme par hasard a été reportée au printemps 2015, participant ainsi à la cabale organisée à l'encontre de Poutine et de la Russie par les US/UE/Sionistes spécialisés dans les renversements des gouvernements et des chefs politiques qui résistent à l'empire du dollar et du Nouvel Ordre Mondial, et qui organisent les guerres génocidaires, exercent leurs pressions par le biais de leurs terrorismes : financier et économique, en imposant des sanctions aux dirigeants et aux pays qu'ils visent et convoitent pour leurs richesses. 

Pour suivre le dossier sur le : 
Crash d'un Boeing malaisien en Ukraine

Nous voici donc face à l'oligarque sioniste nazi, Ihor Kolomoïski, qui bénéfice en bon espion organisateur de troubles, de 3 nationalités : Ukrainienne, Israélite et Chypriote, et dont la spécialité est celle de mêler ses intérêts financiers et économiques, à ceux de la politique et de la goépolitique.  Ainsi, celui-ci qui réside en Suisse, Second ou troisième homme le plus riche d'Ukraine et 613e homme le plus riche du monde est propriétaire comme par hasard, de banques, de Télévisions et de plusieurs compagnies aériennes, en Ukraine, mais fait encore plus intéressant, il finance l'activité des services de contrôle aérien de Dniepropetrovsk, responsables du suivi du vol tragique, et l'aspect technique de l'activité des contrôleurs aériens de l'ensemble de l'Ukraine (…). C’est-à-dire qu'il pourrait avoir donné des ordres directs à certains services de contrôle aérien, notamment à ceux censés suivre le vol du Boeing malaisien le 17 juillet".

Il serait donc le financier participatif du coup d'état organisé à Kiev et de la soi-disant révolution du Meidan.
De l'armement de ses troupes nazies.
Igor Kolomoïski finance plusieurs bataillons spéciaux chargés de réprimer l'insurrection dans le sud-est de l'Ukraine, dont le tristement célèbre bataillon Nazi Azov. Il est poursuivi par la justice russe pour "organisation de meurtres et recours à des moyens et méthodes de guerre illégaux" entre autres.
 
Ci-dessous quelques articles pour vous rendre compte de l'envergure du Nazi protégé par Interpol et les US/UE/Nazis !

Ukraine/Boeing: enquêter sur le rôle de l'oligarque Kolomoïski (député russe)

MOSCOU, 23 juillet – RIA Novosti/La Voix de la Russie L'oligarque et gouverneur de la région de Dniepropetrovsk Igor Kolomoïski, qui finance en partie les services de contrôle aérien d'Ukraine, pourrait avoir donné des ordres aux opérateurs chargés du vol du Boeing 777 malaisien qui s'est écrasé le 17 juillet, a déclaré mercredi le vice-président de la Douma (chambre basse du parlement russe) Sergueï Neverov.

"L'oligarque Igor Kolomoïski possède plusieurs compagnies aériennes ukrainiennes: Lignes aériennes internationales de l'Ukraine, Dnepravia, Aerosvit, mais fait encore plus intéressant, il finance l'activité des services de contrôle aérien de Dniepropetrovsk, responsables du suivi du vol tragique, et dans une certaine l'aspect technique de l'activité des contrôleurs aériens de l'ensemble de l'Ukraine (…). C’est-à-dire qu'il pourrait avoir donné des ordres directs à certains services de contrôle aérien, notamment à ceux censés suivre le vol du Boeing malaisien le 17 juillet", a indiqué M. Neverov sur la chaîne Rossia.

Selon lui, l'activité de Kolomoïski doit faire l'objet d'une attention soutenue, et peut-être même être évoquée par la commission internationale chargée d'éclaircir les circonstances du drame.

Le vice-président de la Douma a également proposé aux leaders occidentaux de vérifier les armements des bataillons punitifs financés par Kolomoïski, et de chercher à savoir s'ils possèdent des systèmes Buk (armement soupçonné par les Etats-Unis d'avoir causé le crash, ndlr). Les troupes de Kolomoïski possèdent des tanks, des véhicules de transport de troupes et des lance-roquettes multiples, a-t-il rappelé.

Un Boeing 777 de Malaysia Airlines reliant Amsterdam à Kuala Lumpur s'est écrasé le 17 juillet dans la région de Donetsk. L'avion avec 283 passagers et 15 membres d'équipage volait à 10.050 mètres d'altitude.

Les autorités de Kiev accusent les forces d'autodéfense de Donetsk d'être à l'origine du crash, mais les insurgés affirment ne pas disposer de systèmes capables d'abattre un avion à cette altitude. Le fait que l'avion ait survolé une zone de guerre a soulevé de nombreuses questions chez les observateurs internationaux.

Igor Kolomoïski finance plusieurs bataillons spéciaux chargés de réprimer l'insurrection dans le sud-est de l'Ukraine, dont le tristement célèbre bataillon Azov. Il est poursuivi par la justice russe pour "organisation de meurtres et recours à des moyens et méthodes de guerre illégaux" entre autres.

La « grande muraille d’Ukraine » de Kolomoïsky

Interpol a refusé de chercher Kolomoiskïy


Liachko a accusé Kolomoïskiy d’une tentative de corruption

Par La Voix de la Russie | Le député de la Verkhovna Rada, également le chef du parti radical de l'Ukraine, Oleg Liachko a déclaré que le gouverneur de la région de Dnepropetrovsk, Igor Kolomoïskiy lui avait proposé un pot de vin d’un montant de 50 millions de dollars.

Selon le député ukrainien, pour ces fonds l'oligarque a proposé d’inclure ses hommes dans la liste électorale du parti radical. Cependant, Liachko a indiqué qu'il avait refusé ce pot de vin, ce qui explique les critiques à son encontre de la part de la chaîne de télévision 1 +1 qui appartient à Kolomoïskiy.

Précédemment, Liachko a menacé de tuer l’entrepreneur ukrainien si quelque chose arriverait à sa famille après les outrages.

Pour lire la biographie du Nazisioniste Ihor Valeriovitch Kolomoïsky
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ihor_Kolomo%C3%AFsky

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