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19/10/2015

Crise des migrants : l'Union européenne et la Turquie se mettent d'accord sur un "plan d'action commun"

Allez faisons, entrer la Turquie dans l'Europe, levons l'obligation de visas pour les mercenaires de l'EI/CIA/Mossad, en provenance de la Turquie, comme cela nous aurons directement leurs terroristes en Europe !

Ils doivent certainement se préparer à nous fabriquer quelques belles opérations sous fausse bannière en Europe, histoire de nous imposer plus de contrôles et pour nous museler définitivement !

Ils veulent vraiment leurs guerres civiles en Europe !

 

Merkel prête à soutenir la Turquie dans son processus d’adhésion à l’UE
18 oct. 2015

  • Angela Merkel et Ahmet Davutoglu

    Lors de la conférence de presse consécutive aux négociations avec le Premier ministre turc Ahmet Davutoglu, la chancelière allemande a parlé des relations entre la Turquie et l’UE en se disant prête à soutenir Ankara dans son processus d’adhésion.

Crise des migrants : l'Union européenne et la Turquie se mettent d'accord sur un "plan d'action commun"

Par Francetv info avec AFP
Mis à jour le 16/10/2015 | 01:01 , publié le 16/10/2015 | 00:45

L'Europe a également accepté d'ouvrir de nouveaux chapitres dans les négociations d'adhésion de la Turquie à l'UE.

 

François Hollande, à Bruxelles (Belgique), le 15 octobre 2015.

François Hollande, à Bruxelles (Belgique), le 15 octobre 2015.

L'Union européenne s'est mise d'accord avec la Turquie sur "un plan d'action" destiné à réduire l'afflux de réfugiés en Europe, a annoncé, jeudi 15 octobre, le président du Conseil européen, Donald Tusk, à l'issue d'un sommet des chefs d'Etats à Bruxelles (Belgique). L'Europe a également accepté d'ouvrir de nouveaux chapitres dans les négociations d'adhésion de la Turquie à l'UE. Elle s'est aussi dite prête à "accélérer" les négociations pour faciliter l'octroi de visas aux ressortissants turcs, en échange d'une meilleure coopération sur la crise des migrants.

Aucune aide décidée pour l'instant

Au même moment, la chancelière allemande Angela Merkel a évoqué une possible aide de 3 milliards d'euros à la Turquie pour l'aider à faire face à la crise migratoire causée notamment par la guerre civile en Syrie. François Hollande, lui, a assuré qu'aucun montant n'avait été pour l'instant décidé, renvoyant ce sujet à de prochaines négociations. Des pourparlers qui pourraient se tenir "dans les jours qui viennent", selon Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne.

 

18/10/2015

Des étudiants syriens se rendent à l'ambassade de Russie à Téhéran pour témoigner leur gratitude

«Les grands médias au service de leurs gouvernements sont des machines de propagande»

«Les grands médias au service de leurs gouvernements sont des machines de propagande»

Dès que la Turquie a annoncé avoir abattu un drone près de sa frontière avec la Syrie, les médias ont pointé du doigt la Russie. Selon Richard Becker de la coalition anti-guerre, ces informations ne servent qu’à alimenter la machine de propagande.

RT : Quelles sont vos réflexions sur la crédibilité des médias occidentaux qui utilisent des sources sous couvert d’anonymat pour affirmer dans leurs titres qu’il s’agit d’un drone russe que la Turquie a abattu ?

Richard Becker : Je juge cette crédibilité d’extrêmement basse. Etant donné qu’ils ont suivi la guerre en Syrie depuis plus de quatre ans en déformant régulièrement les faits, les grands médias, les médias occidentaux ainsi que ceux de la Turquie ont présenté de manière inexacte ce qui se passait et la nature des partis impliqués dans cette guerre. Ils ont fait tout ce qu’ils pouvaient pour tenter de discréditer ceux qui luttent contre les forces réactionnaires qui essaient de convertir la Syrie en un Etat sectaire où seulement certaines personnes auraient le droit de vivre. Et nous savons que le fabricant du drone que la Turquie affirme avoir abattu a indiqué qu’il ne venait pas de chez lui. Cela contribue à saper le peu de crédibilité qu’il leur restait [aux médias occidentaux en question].

RT : Il y a eu une réaction du fabricant russe qui a indiqué que la photo du drone différait clairement des drones produits en Russie. De plus, aucune confirmation de la Turquie n’a été rapportée. Et si le drone a été abattu par un missile, rien ne resterait de lui. Cependant, rien de tout cela ne figure dans les médias, pourquoi ?

Richard Becker : Je crois que dans la période de guerre dans laquelle nous nous trouvons aujourd’hui, les différentes puissances sont occupées à différentes tâches. Mais pendant ce temps-là, les grands médias et médias institutionnels agissent comme s’ils formaient une autre branche du gouvernement. Et cela se déroule depuis plusieurs décennies, des siècles en fait. Ils servent les intérêts du Pentagone, de la Maison Blanche, ou du président Erdogan dans le cas de la Turquie. Ils servent de machine de propagande lorsqu’il s’agit de la guerre.

RT : Récemment, les médias occidentaux ont fait références aux vidéos diffusées par les rebelles syriens rapportant le nombre de pertes humaines prétendument causées par les frappes russes. Aucune preuve indépendante n’a été présentée. Quelle est votre opinion sur la façon dont les raids russes sont menés ?

Richard Becker : Pour y répondre il faut noter que le gouvernement russe a entamé son opération à la demande du président Assad. De l’autre côté, nous voyons plusieurs pays soutenant les différentes factions rebelles ; ce sont les Etats-Unis, le Royaume-Uni, la France, l’Arabie saoudite, la Turquie, le Qatar, etc. Ainsi l’intervention de la Russie est considérée par ceux qui veulent renverser le gouvernement syrien et détruire l’Etat syrien comme quelque chose de contradictoire à leurs intérêts. Ainsi, on ne prend pas en compte les faits tels qu’ils sont, mais plutôt ce qui peut alimenter la machine de propagande dans la guerre contre le gouvernement syrien légitime.

Les opinions, assertions et points de vue exprimés dans cette section sont le fait de leur auteur et ne peuvent en aucun cas être imputés à RT.

 

 

Hollande: coopérer avec la Russie, les Etats-Unis et l'Iran pour régler le conflit syrien

Voilà la belle démocratie qu'imposent la France et la belle Europe non seulement aux Syriens qui doivent décider d'eux mêmes du sort de leur président et aux autres pays susceptibles d'entrer dans l'UE qui n'est autre qu'une émanation du Nouvel Ordre Mondial et qui espère encore phagocyter d'autres pays dans son giron y compris la Turquie !

Jusqu'où l'UE devra-t-elle s'étendre pour s'accaparer tous les pays du Monde au profit des Banksters internationaux  ?

Et si les solutions étaient celles que nous dégagions Holl'andouille du milieu et que nous sortions de l'Europe et de l'Euro, les prisons des peuples européens ?

Pour l'instant y'a rien à coopérer avec la Russie, l'Iran, l'Irak et la Russie !

Y'a surtout à laisser faire la Russie et que la coalition internationale criminelle dégage du ciel et du territoire syriens !

Voir aussi :

L’UE met la pression pour que la Serbie rejoigne les sanctions contre Moscou

09:08 16.10.2015

 Drapeaux de la Serbie et de l'UE

L'introduction de sanctions contre la Russie sera un préalable pour l'intégration de la Serbie à l'Union européenne, selon des sources diplomatiques.

L'UE condamne l'opération russe en Syrie

08:18 16.10.2015

 Drapeau de l'UE

Les dirigeants des pays membres de l'UE ont également confirmé que le règlement de la situation en Syrie est impossible tant que Bachar el-Assad reste au pouvoir.

Hollande: coopérer avec la Russie, les Etats-Unis et l’Iran pour régler le conflit syrien

11:15 16.10.2015 (mis à jour 11:18 16.10.2015)

François Hollande

Le président français François Hollande appelle la Russie, les Etats-Unis, l’Iran et les pays du Golfe à conjuguer leurs efforts afin de gérer la crise syrienne.

"Avec la Syrie, nous avons eu avant le Conseil une réunion à trois: Royaume-Uni, Allemagne, France pour prendre des positions qui nous paraissent être celles de l'Union européenne et qui ont d'ailleurs été reprises dans le communiqué", a-t-il précisé.

"Premièrement, il doit y avoir une lutte contre le terrorisme, contre Daech. Et toutes les initiatives qui peuvent être prises doivent aller dans cette direction", a poursuivi M. Hollande.

"Deuxième conclusion, nous devons rentrer dans un processus de transition politique et faire en sorte que toutes les composantes (de la société syrienne, ndlr) puissent être rassemblées dans l'esprit de Genève", a-t-il relevé.

"Enfin, troisièmement, il est très important que cessent les bombardements sur la population civile, notamment du régime syrien (…). Le processus politique doit se confirmer et les trois pays et l'UE agiront dans la même direction. Il y aura sans doute des contacts avec les pays qui sont les plus concernés, pays de la région, pays du Golfe, Iran, aucun ne doit être négligé. Mais aussi avec l'ensemble des puissances qui peuvent également être impliquées. Je pense à la Russie et aux Etats-Unis. Et c'est sur ces bases-là que le Conseil a également conclu", a souligné le président de la République.

Le 30 septembre, l'Armée de l'air russe a entamé une opération militaire contre l'EI en Syrie sur décision du président russe Vladimir Poutine et à la demande du président syrien Bachar el-Assad. Les frappes aériennes russes ciblent les sites militaires, les centres de communication, les transports, ainsi que les stocks d'armes, de munitions et de combustible appartenant à l'EI.

Le 7 octobre, des missiles russes ont également été tirés sur les sites de l'EI depuis des navires en mer Caspienne.


Au total, les Forces aérospatiales russes ont effectué plus de 450 frappes contre les positions de l'EI en Syrie depuis le début de l'opération aérienne le 30 septembre dernier. Les navires de la Flottille russe de la Caspienne ont en outre tiré 26 missiles de croisière Kalibr.

L'ambassadeur de Syrie en Russie Riad Haddad a confirmé que les frappes ne visent pas les civils, mais les groupes terroristes. Selon le diplomate, l'aviation russe a déjà détruit plus de 40% de l'infrastructure de l'EI.

 

17/10/2015

Un pas de plus vers la dictature climatique

Nous vous laissons apprécier ce qui nous attend avec la cour de justice internationale climatique qui serait créée à l'initiative par la Grande Bretagne ( l'une des première places financières au monde) !

Qu'est-ce que ça signifie ? Tout simplement que nier le réchauffement climatique d'origine humaine va devenir illégal et passible de poursuites.

Un pas de plus vers la dictature climatique
Jacques Henry
dim., 11 oct. 2015 04:25 UTC

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Grâce à la sagacité exemplaire de la journaliste canadienne Donna Laframboise qu'il faut remercier ici, on découvre que le totalitarisme climatique planétaire se met progressivement en place sous l'égide des Nations-Unies. L'information a été reprise ce 11 octobre 2015 par The Telegraph, un quotidien britannique connu pour ses opinions de gauche modérée. Il s'agit d'un fait révélateur de ce qui attend la population de la planète entière (voir le lien).

À la fin du mois de septembre dernier, s'est tenue dans les locaux de la Cour Suprême britannique une conférence sponsorisée par le King's College, le gouvernement britannique, la Cour Suprême britannique, l'Asia Development Bank et l'UNEP (United-Nations Environment Program). Ce dernier organisme onusien est également le principal pourvoyeur de fonds de l'IPCC. Cette conférence réunissait des juges, des professeurs universitaires de droit, des avocats et naturellement, bien que jamais l'identité et la provenance des participants ne furent révélées, des représentants mandatés par la famille royale britannique. Il s'agissait de mettre en place une cour de justice internationale climatique.

Qu'est-ce que ça signifie ? Tout simplement que nier le réchauffement climatique d'origine humaine va devenir illégal et passible de poursuites. En d'autres termes puisqu'un accord global sur le climat est loin d'être acquis lors de la prochaine réunion COP21 à Paris, il faudra donc légiférer à l'échelle mondiale et ce sera l'affaire des Nations-Unies. Ça rappelle tout simplement la mise en place des tribunaux de l'Inquisition mis en place par la papauté. Ce sera, selon les informations recueillies par cette journaliste canadienne à la Cour Internationale de Justice de statuer sur les cas de déni climatique individuels, de la part de gouvernements ou d'entreprises industrielles et/ou commerciales.

Sans reprendre mots pour mots l'article du Telegraph, on peut imaginer que les Chinois et les Indiens vont doucement rigoler à Paris quand on leur demandera les larmes aux yeux de réduire leurs émissions de carbone alors que l'essentiel de l'énergie électrique produite par ces pays repose sur le charbon et le pétrole. Il en est de même du Japon qui a timidement redémarré un seul réacteur nucléaire depuis l'arrêt total de la production électronucléaire du pays après le grand tremblement de terre du 11 mars 2011. Idem pour l'Australie, le Canada, le Brésil et encore plus les USA qui n'accepteront jamais de sacrifier leur industrie pour satisfaire les lubies de l'IPCC et de l'UNEP. Le COP21 ne collectera que des déclarations de bonnes intentions qui ne seront jamais suivies d'effet, voilà quel en sera le résultat.

On comprend donc mieux qu'instaurer une loi climatique mondiale coercitive ne soit plus que le seul moyen restant pour imposer les vues totalitaires du 0,01 % de la planète. C'est un grand pas vers le retour aux heures sombres du nazisme et du totalitarisme bolchévique qu'on croyait disparues à jamais ...

« Bienvenue dans un monde meilleur », tel était le slogan en exergue des émissions de Nicolas Hulot sponsorisées par Rhône-Poulenc ...

Source : http://www.telegraph.co.uk/comment/11924776/Judges-plan-to-outlaw-climate-change-denial.html et http://nofrakkingconsensus.com (illustration)


Commentaire : Nous n'avons hélas jamais cru à la disparition d'un quelconque totalitarisme ; celui-ci change de forme, devient plus subtil ; il s'est modernisé. Prenons conscience de l'énormité de la situation : un groupe de personne voulant imposer par un texte de loi ce qu'il est interdit de dire, et autoriser, par là-même, ce qu'il convient de penser. Quand on y réfléchit un tant soi peu, avec le bon sens et le cœur qu'on s'attendrait à trouver chez un être humain normal, c'est insensé. Ce manque de conformité au bon sens et à la raison nous fait suspecter encore une fois que de telles idées ne peuvent être issu que d'un esprit malade.

Et nous n'abordons même pas encore le problème de la validité scientifique justifiant l'élaboration d'un tel délire :

- Propagande climatique : du biais des mesures aux biais cognitifs ; torturons les chiffres, il finiront par tout avouer !
- La nouvelle religion du « réchauffement climatique »
- Un petit goût de fascisme climatique