20/01/2014
MESSAGE AUX FORCES DE L'ORDRE DE LA PART DES MANIFESTANTS POUR LE 26 JANVIER 2014
POUR QUE JOUR DE COLERE LE 26/01/2014 SOIT PLUS EFFICACE !!
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MESSAGE AUX FORCES DE L'ORDRE
https://www.youtube.com/watch?v=MJrDviPzTcY
05:05 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, Arnaques, Mensonges, Propagande, Banques, Banksters, Paradis fiscaux, Dollar, Bours, Censure, Facebook, Google, LICRA, CRIF, Conspiration mondiale, Conspiration, Complot, Corruption, Crimes contre l'humanité, Eugénisme, Franc-Maçonnerie & Jésuites Lucifériens, Grand rassemblement contre le N.O.M., La dictature mondiale, Manifestations, Le réveil des populations, Monsanto, Rockefeller, Rothschild et Bill Gates, Nouvel Ordre Mondial, Pédocriminalité, Pédophilie, Révolution, Sionisme, Oligarchie, LDJ, Survie, Réveillez-vous, Préparez-vous | Lien permanent | |
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Les Banquiers de chez Rothschild dirigent la France …
Voilà pourquoi, il ne suffirait pas de mettre Hollande dehors ! Il faut mettre dehors, toute la Grandee famille sioniste Rothschild et tous ses VRP dits politiques et toutes leurs officines sionistes !
Les Banquiers de chez Rothschild dirigent la France …
4 septembre 2013
Bienvenue ici le blog RS017, la Banque Rothschild dirige la france
TROP FORT …
QUI DIRIGE LA FRANCE LA BANQUE Rothschild SI SI PREUVE …
http://www.youtube.com/watch?v=Na3LlV5hoQA
Les deux secrétaires généraux adjoints de la présidence de la République nommés par François Hollande sont :
Emmanuel Macron qui s’occupe des questions économiques. Il a pour parrain Jacques Attali (il fut membre de sa commission sur la croissance) . Membre du PS il a milité dans le Pas-de-Calais dans les années 2000. Depuis des mois, M. Macron partageait son temps entre la Banque Rothschild, dont il a été nommé associé-gérant en 2011, et la préparation de l’alternance.
Dans le documentaire de Patrick Rotman, Le Pouvoir, il crève l’écran.
Brillant, sympathique, charmeur, le secrétaire général adjoint de l’Elysée, Emmanuel Macron, a les convictions de la gauche libérale. Mais les prudences de François Hollande l’obligent à la patience.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elysee-emmanue...
C’est un dîner comme Paris sait les mitonner. Des banquiers, des communicants, des conseillers de ministre… de droite et de gauche. Nous sommes à la fin de 2008, Nicolas Sarkozy dirige la France, tandis que François Hollande a pris le sombre corridor qui mène aux oubliettes de l’Histoire. Il n’est plus premier secrétaire du PS et les socialistes commencent à regarder Dominique Strauss-Kahn avec les yeux de Chimène.
Autour de la table, deux hommes font connaissance en parlant politique. « En 2012, ce sera François Hollande, je mise sur lui », dit le premier au second, qui le prend pour un fou. En Bourse, on appelle cela « acheter à la baisse » et il n’est pas étonnant que ce hollandais précoce soit directeur à Rothschild & Cie Banque. Il se nomme Emmanuel Macron. Moins de quatre ans plus tard, le 15 mai 2012, il devient, à 34 ans, secrétaire général adjoint de la présidence de la République.
Très vite, Macron se fait remarquer. Par son âge, un objet de curiosité – il fréquente l’école primaire à l’époque où Laurent Fabius habite Matignon. Par son parcours, une hyperbole de l’excellence: en sixième, il connaît déjà les racines grecques et latines de la langue française (1). Par ce supplément d’âme qu’il donne à son CV d’énarque en tâtant de la philosophie – il est un temps l’assistant de Paul Ricoeur – et de la politique – il milite dans le Pas-de-Calais dans les années 2000.
Emmanuel Macron, 35 ans, grand-père…
Par sa vie personnelle, pas banale. Quand il dit qu’il va rejoindre ses petits-enfants en week-end, le trentenaire ne parle pas de ses enfants en bas âge, mais bien de ses petits-enfants. En réalité, ceux de sa femme, vingt ans de plus que lui et mère de trois grands adultes. Cette professeure de français enseigne dans une institution religieuse réputée de la capitale. « Elle est de ces profs dont les élèves se souviennent longtemps, parce qu’elle leur a donné le goût de la littérature », relate l’un de ses collègues.
Avant d’entrer à l’Elysée, il a demandé à avoir la main sur l’économie, le social et l’Europe.REUTERS/Bertrand Langlois/Pool
Ces derniers temps, Emmanuel Macron est dans la peine: en avril, il a perdu sa grand-mère. Une passion. A 5 ans, le petit Amiénois demande à vivre avec cette directrice d’école. En pratique, elle l’élève autant que ses parents, tous deux médecins. Cet enfant de la bourgeoisie et de la province, formaté par les jésuites et les écoles de l’élite, n’a pas le cynisme de son profil. Il est (encore?) protégé par son enthousiasme, voire sa naïveté, et par son humour. A l’Elysée, pendant les réunions ennuyeuses – et il y en a -, il envoie des SMS aux autres conseillers, ceux qu’il aime bien, pour croquer une situation ou moquer un personnage. Il en expédie aussi à 2 heures du matin: le Mozart de l’Elysée dort de quatre à cinq heures par nuit, par obligation, par inclination.
A l’Inspection des finances (2004-2008), il ne se signale pas uniquement par un rapport sur la gestion de la trésorerie de l’Etat. Il fait rire ses camarades. « Il était mon voisin de bureau et, quand je rentrais de mission, j’allais le voir pour décompresser », raconte Sébastien Proto, le jumeau de Macron. Elèves de la promotion Léopold Sédar Senghor de l’ENA (2004), ces deux-là alternent cabinets et banque d’affaires. La gémellité s’arrête là où commence la politique: « Je suis de droite, sarkozyste, il est de gauche », affirme Proto, qui a travaillé avec Eric Woerth et Valérie Pécresse. Les deux hommes ont échangé beaucoup de textos durant la campagne. Ils continuent à se voir et à « se faire la bise ».
La Sarkozie l’a dragué en 2007, en vain
Macron aurait pu, lui aussi, embrasser la Sarkozie, qui l’a sollicité en 2007. « Mais il avait choisi la gauche, confirme un ancien conseiller de l’ex-président, bien que, intellectuellement, je ne voie pas très bien ce qui nous sépare. Du moins en matière économique. » Il n’est pas étonnant que deux tenants d’une gauche pétrie de réalisme, Jean-Pierre Jouyet, ami de Hollande, et Jacques Attali, recruteur du jeune François en 1981, l’aient repéré. Jouyet l’encourage à travailler pour Hollande. Attali aussi, qui l’a présenté au futur président au cours d’un dîner, en 2007, et le choisit pour être rapporteur général adjoint (puis membre) de sa Commission pour la libération de la croissance française. Un concentré d’expertises et d’ego que l’intelligence analytique de Macron réussit à harmoniser.
Au milieu des années 2000, le jeune technocrate produit quelques notes pour l’équipe de DSK. Il est de nouveau sollicité à la fin de 2010. En vain. Il appartient alors à la petite troupe qui se réunit tous les lundis matin du côté du Trocadéro, dans l’appartement parisien d’André Martinez, camarade d’HEC de François Hollande. Puis, de juillet à décembre 2011, il anime un cénacle d’experts et d’économistes, le groupe de la Rotonde, qui rapporte tous les quinze jours au candidat.
Je n’irai pas à l’Elysée pour faire des vieux trucs (Emmanuel Macron)
Déjà, on parle de lui comme du futur secrétaire général adjoint de l’Elysée. Sûr de sa valeur, il n’acceptera pas moins. Il veut avoir la main sur l’économie, le social et l’Europe, triptyque indissociable selon lui. Au début de mai 2012, il s’est déjà renseigné: le passage de Rothschild à l’Elysée n’est pas contraire aux règles déontologiques. La feuille de route est dans sa tête: redresser les comptes publics et retrouver de la compétitivité, y compris à coups de réformes dites libérales, qui font hurler la moitié des socialistes.
Marché du travail plus flexible, mise sous conditions de ressources des allocations familiales et des remboursements maladie, lutte contre les « rentes de gauche », celles de la fonction publique. Mais il croit aussi que l’on peut augmenter les impôts et qu’ »une société respire mieux quand chacun réussit selon ses mérites et quand l’Etat est présent dans les moments durs de la vie ». En mai 2012, il annonce à un proche: « Je n’irai pas à l’Elysée pour faire des vieux trucs. »
La Macron-économie, c’est quoi?
C’était il y a un siècle. Depuis, l’apprenti du pouvoir a compris la différence entre un rapport de la commission Attali et la politique version Hollande. « Certains jours, il s’en accommode, d’autres, il s’impatiente », dit l’un de ses amis. Pourtant, les grands choix vont dans son sens. La réduction de la dépense publique est engagée, comme la bataille de la compétitivité, certains excès fiscaux du début du quinquennat sont corrigés (mode de paiement de la taxe à 75% sur les très riches, fiscalité des plus-values mobilières), la flexibilité du marché du travail est lancée à travers la loi qui transpose un accord des partenaires sociaux. Macron s’y implique, rencontrant Jean-Claude Mailly, secrétaire général de Force ouvrière, à plusieurs reprises pour le convaincre de grogner avec parcimonie contre ce texte qu’il a refusé de signer.
Le secrétaire général adjoint joue aussi, avec succès, un rôle protecteur des patrons d’entreprises publiques tour à tour menacés: Carlos Ghosn (Renault), Stéphane Richard (France Télécom), Henri Proglio (EDF) et, tout dernièrement, Jean-Paul Bailly (La Poste). Il est enfin le metteur en scène et le pédagogue de la stratégie de redressement des finances publiques, en particulier auprès de Berlin: plaider que la France respectera l’objectif de retour des déficits publics au-dessous de 3 % du PIB, mais plus lentement que prévu.
Dans le film Le Pouvoir, il émerge quand les autres se signalent par leur silence ou leur déférence.J.-C. Coutausse/Divergence
La Macron-économie semble à l’oeuvre, mais il faut un entomologiste très minutieux pour la déceler, tant les piétinements divergents des Ayrault, Moscovici, Montebourg, Le Foll ou Duflot brouillent les pistes. Peu de ministres portent le message de cette social-démocratie chère au secrétaire général adjoint. Si le premier d’entre eux s’en revendique, son expression est couverte par un président soucieux d’équilibres politiques.
Macron semble d’autant plus isolé que le naufrage de Jérôme Cahuzac l’a privé d’un allié. Les deux hommes se connaissent depuis 2008, Macron fait partie de ceux qui ont réconcilié le député de Lot-et-Garonne avec le candidat Hollande. « Pourtant Cahuzac se sentait mal aimé de l’Elysée, Macron y était sa seule attache », note un ministre. En décembre, quelques jours après les révélations de Mediapart, le conseiller de Hollande confie: « Je crois ce qu’il dit, c’est mon ami. ». Aujourd’hui, il conjugue cette amitié à l’imparfait.
Ce que François Hollande pense de lui…
La Macron-économie existe, mais François Hollande n’est pas homme à s’en remettre à un seul inspirateur. Il n’est pas Nicolas Sarkozy, pour qui Xavier Musca, secrétaire général adjoint puis secrétaire général, était le grand chambellan de l’économie. Et Emmanuel Macron n’a ni l’expérience administrative et politique ni la stature internationale d’un Xavier Musca, qu’Angela Merkel reconnaissait et appréciait. D’ailleurs, en Hollandie, les conseillers n’ont pas de vie propre.
C’est un bon élément, original et créatif (François Hollande)
C’est donc à titre exceptionnel que le président a accepté de parler de Macron à L’Express: « C’est un bon élément, original et créatif. » Les deux hommes s’aiment bien, ils partagent le goût des bons mots et la détestation des conflits. Mais, à l’Elysée, Macron n’est pas un enfant unique. S’il s’entend bien avec Aquilino Morelle, conseiller politique, il doit cohabiter avec Philippe Léglise-Costa, spécialiste des questions européennes, diplomate aussi discret que Macron est solaire. Et avec Pierre-René Lemas, le secrétaire général. Entre ce préfet, soucieux de préserver la France telle qu’elle est, et l’inspecteur des finances, qui la rêve telle qu’elle devrait être, le courant ne passe pas vraiment.
Dans le film de Patrick Rotman Le Pouvoir, sorti en salles le 15 mai, un seul collaborateur émerge quand les autres se signalent par leur silence ou leur déférence: Emmanuel Macron intervient avec naturel, insiste pour que le président donne de la profondeur à son action et se projette en 2020. Il parle avec familiarité d’Angela Merkel: « Elle veut danser le tango avec toi et elle pense que c’est elle qui doit mettre la jambe droite. Nous, on pense pareil. »
>> Lire aussi notre critique du documentaire de Patrick Rotman sur la première année de François Hollande à l’Elysée, Le Pouvoir
Macron écrit aussi de longues notes pour le chef de l’Etat, afin de préciser sa pensée, notamment sur la social-démocratie. Dans les réunions avec ministres, il lui arrive de presser son patron de réduire les dépenses. « Ah oui, mais il faut dire lesquelles! » rétorque le président.
Rien n’échappe à ce faux débonnaire qu’est François Hollande. « Tiens, on t’a beaucoup vu », remarque-t-il, lorsque son conseiller apparaît dans des articles. Et quand il apprend – très vite – que Macron vient de partager un petit déjeuner avec un grand patron étiqueté sarkozyste, il interroge: « Que faisais-tu chez lui? » Ces incartades et escapades sont constatées, mais tolérées, car utiles: « Macron est le lien avec une certaine économie que l’on n’aime pas, mais avec laquelle il faut composer », dit un PDG.
Macron est le lien avec une certaine économie que l’on n’aime pas (un PDG)
A quoi sert la Macron-économie ?
A calmer les patrons. Ils entrent, vibrants d’espoir, dans le bureau du secrétaire général adjoint, ils en sortent des étoiles plein la tête. « Vous êtes d’accord avec lui à 100%, cela en est même troublant », soupire l’un de ces visiteurs. Et après? Rien ou pas grand-chose à leurs yeux. Ils ne voient pas les dépenses publiques se réduire, malgré les promesses, ils redoutent de nouvelles hausses d’impôts. Laurence Parisot est l’une des rares à plaider en sa faveur. « Les patrons sont trop gourmands, Emmanuel est un précieux relais de la voix des entreprises. Il a été le premier, dès juin, à comprendre les exigences de la compétitivité », dit la présidente du Medef.
Trop politique pour les patrons, trop libéral pour les politiques…
La Macron-économie est donc condamnée à la suspicion: trop politique pour les patrons, trop libérale pour les politiques. Le secrétaire général adjoint, c’est son rôle, navigue entre ces mondes. Environ tous les deux mois, il continue de réunir le groupe de la Rotonde à l’Elysée. Il consulte ses aînés de l’Inspection des finances. Avant de choisir la banque d’affaires – il entre chez Rothschild en septembre 2008 -, il avait sondé Alain Minc, l’un des parrains de cette institution. Qui lui indique le chemin de la finance privée, avec ce commentaire: tu gagneras de l’argent et la liberté de faire ensuite de la politique.
Il interroge aussi Xavier Musca, qui lui donne l’avis inverse, préférer le service public. Marque de courtoisie, Macron téléphone à ce dernier après que Jean-Marc Ayrault a annoncé, le 23 mai 2012, que Xavier Musca ne serait pas nommé à la tête de la Caisse des dépôts. Les contacts n’ont pas cessé : de l’Elysée, Macron téléphone encore à Musca pour lui demander son avis au moment de la crise chypriote, en mars.
Passer de la banque à l’Elysée et vice versa, c’est très sarkozien… (Emmanuel Maurel)
Les ministres qui le connaissent l’aiment bien. Pierre Moscovici, sans surprise; plus curieusement, Arnaud Montebourg, alors que les deux hommes, c’est un euphémisme, ne sont pas tout à fait sur la même ligne. Avec Marisol Touraine, il prend un petit déjeuner environ tous les mois. Il a fait connaissance avec Cécile Duflot lors d’un déjeuner, en février, organisé par le directeur du cabinet de la ministre du Logement, Manuel Flam.
Pascal Canfin, lui, est encore surpris que Macron l’ait soutenu dans un combat peu orthodoxe: affecter une partie du produit de la taxe sur les transactions financières au développement des pays pauvres et non au seul désendettement de la France. Tous ne tombent évidemment pas sous le charme: Emmanuel Maurel, chef de file, au PS, du courant Maintenant la gauche, se dit gêné par ce parcours typique d’une « oligarchie qui passe de la banque à l’Elysée et vice versa; c’est très sarkozien ».
Président de la République dans vingt ans?
La banque, l’argent… Partageant un café avec Macron dans le bureau de celui-ci, un conseiller de l’Elysée ressent un choc en découvrant le montant du tiers provisionnel dû par son hôte – l’imprimé fiscal traîne sur la table : une somme à six chiffres ! Macron n’est pas resté assez longtemps chez Rothschild pour devenir riche à millions, mais il a très bien gagné sa vie en 2011 et pour les cinq premiers mois de 2012: 900 000 euros (550 000 après charges et impôts), à comparer à ses 156 000 euros annuels aujourd’hui, rémunération identique à celle du président de la République. L’ex-banquier ne paie pas l’ISF (à partir de 1,3 million d’euros).
A un ami il avait confié qu’il ne resterait pas plus d’un an ou un an et demi à l’Elysée. Et après? La politique? Les uns le verraient bien ministre de Hollande, mais la mode est aux poids lourds de la politique. D’autres suggèrent un retour vers la banque, la direction d’une grande entreprise. Jacques Attali fait plus simple: président de la République dans vingt ans. La rumeur dit que l’ancien conseiller de François Mitterrand cherche déjà le Macron de Macron!
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elysee-emmanue...
Nicolas Revel, fils de la journaliste Claude Sarraute, était jusqu’ici directeur de cabinet de Bertrand Delanoë. Il est plus particulièrement chargé des questions régaliennes.
Arnaud Montebourg a fait le choix, pour diriger son cabinet, de la plume de Laurent Fabius, ancien de la banque Rothschild, Stéphane Israël.
Le « conseiller spécial » de M. Montebourg sera Christophe Bejach, membre du directoire de la compagnie financière Saint Honoré, holding de tête du groupe Edmond de Rothschild.
Emmanuel Macron
Les dernières élections viennent de démontrer encore une fois que les Français ne savent plus à quel saint se vouer tant le manque de choix est manifeste.
Les partis actuels ne semblent-ils pas tous représenter les lobbies financiers ? François Hollande qui aimait pourtant clamer « que son adversaire était le monde de la finance » :
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&...!
Nomme néanmoins comme secrétaires généraux adjoints de la présidence de la République : Emmanuel Macron pour s’occuper des questions économiques. Il a pour parrain Jacques Attali (il fut membre de sa commission sur la croissance) . Membre du PS il a milité dans le Pas-de-Calais dans les années 2000. Mais depuis des mois, M. Macron partageait son temps entre la Banque Rothschild, dont il a été nommé associé-gérant en 2011, et la préparation de l’alternance ! Et Nicolas Revel, fils de la journaliste Claude Sarraute, qui était jusqu’ici directeur de cabinet de Bertrand Delanoë. Il est plus particulièrement chargé des questions régaliennes. Arnaud Montebourg, ministre du redressement, a fait le choix, pour diriger son cabinet, de la plume de Laurent Fabius, un ancien de la banque Rothschild, Stéphane Israël. Et son « conseiller spécial » est Christophe Bejach, membre du directoire de la compagnie financière Saint Honoré.
Ces étroits liens avec les financiers expliquent en partie les 44 % d’abstention lors du second tour d’élections législatives :
Et puis, n’est-il pas démotivant et injuste de voir par exemple qu’un député FN (Le Pen) représente 421 342 Français alors qu’un député Front de gauche (Mélenchon) seulement 24 952 ? Cela dit, un député aujourd’hui ne fait qu’entériner les décisions européennes. Des décisions qui ne sont plus prises indirectement par les peuples. Même la toute puissance présidentielle relève en grande partie de l’illusion. Lui non plus ne peut pas faire grand-chose car l’essentiel des compétences ont été transférées à Bruxelles. Il faut lire Verbatim de Jacques Attali, un précieux témoignage sur la vie politique française de 1981 à 1991. Les grands débats de politique monétaire, sur la question de la dévaluation du franc, sortir ou rester dans le SME, étaient toujours, in fine arbitrés par le chef de l’Etat. Avec l’euro, la politique monétaire échappe désormais entièrement au niveau national donc au Président. Il n’est plus question non plus d’appliquer une politique interventionniste pour aider l’industrie, Bruxelles l’interdirait. Compte tenu des règles européennes et du poids des dépenses publiques, les marges de manœuvre budgétaires du gouvernement sont désormais infimes. Les autorités nationales gardent, en gros, la possibilité d’augmenter et de baisser les impôts, mais cela ne suffit pas pour piloter une nation dans la tempête…
Comment en est-on arrivé là ?
Robert Schuman est considéré comme l’un des pères fondateurs de la construction européenne. Pourtant le 19 septembre 2000, le Daily Telegraph de Londres, par la voix d’Ambrose Evans-Pritchard, annonçait que les archives déclassifiées de l’administration américaine montraient que l’ancien premier ministre belge Paul Henri Spaak, Robert Schuman et bien d’autres étaient employés par les services américains. Les fonds étaient transités pour camoufler leur action, par le biais des fondations Rockefeller et Ford.
Le complot européen ou la fin de la démocratie 1/3
http://www.dailymotion.com/video/xeggd5_le-complot-europe...
Le complot européen ou la fin de la démocratie... par Antipenseunique
Le complot européen ou la fin de la démocratie 2/3
http://www.dailymotion.com/video/xeggk4_le-complot-europe...
Le complot européen ou la fin de la démocratie... par Antipenseunique
Le complot européen ou la fin de la démocratie 3/3
http://www.dailymotion.com/video/xehv39_le-complot-europe...
Le complot européen ou la fin de la démocratie... par Antipenseunique
Le passage en force du traité de Lisbonne alors que par référendum le peuple hollandais et français s’y opposait n’est pas surprenant. Car ce traité soulignait dorénavant la primauté du droit européen sur le droit national et donnait une personnalité juridique à l’Europe, au détriment des pays. La seconde mouture de ce texte entraîna de la même façon le « non » du peuple irlandais le 12 juin 2008. Il ne fut pas non plus respecté mais on lui demanda de revoter. Pour qu’il change d’avis, les stratèges de la propagande dépensèrent 10 fois plus que ceux qui défendaient le non. Ils ne bénéficièrent pas non plus du même temps d’antenne. Pendant ce temps, les 499 parlementaires européens ignoraient complètement le non irlandais et continuèrent la ratification du traité de Lisbonne. Ils balayèrent ainsi trois référendums d’un revers de manche. Difficile aujourd’hui de nous faire croire que nous sommes en démocratie ! C’est plutôt un pas en arrière pour l’humanité mais un pas en avant pour la dictature.
C’est ce que symboliquement représente le rétablissement de la peine de mort dans le traité :
Mais d’une manière discrète, car les conditions sont floues : seulement quand il faut assurer la défense de toute personne contre la violence illégale ; quand il faut effectuer une arrestation régulière ou pour empêcher l’évasion d’une personne régulièrement détenue ; quand il faut réprimer, conformément à la loi, une émeute ou une insurrection. Et pour devenir le bras armé de cette dictature, on créa l’Eurogendfor (European Gendarmerie Force) qui a un droit d’occupation dans n’importe quel pays européen. C’est un conseil de guerre, composé des différents ministères de la Défense des pays européens, qui gère leurs interventions (accord de Velsen), réduisant ainsi le droit et la souveraineté nationale des pays. Tous les bâtiments ou lieux de l’Eurogendfor jouissent de l’immunité les rendant inaccessibles aux autorités des pays concernés. Mais l’Eurogendfor ne dispose pas que de compétences policières mais aussi de celles des services secrets. Elle peut de même avoir pour mission de faire respecter l’ordre et le calme dans une zone en collaboration avec l’armée.
Le dernier ouvrage de C. Ferguson a été publié aux Etats-Unis le 21mai : « Predator Nation » (« Une nation de prédateurs », Crown Business Publishing).
Il explique parfaitement l’invraisemblable impunité des coupables de cette récession qui ravage aujourd’hui l’Europe. Depuis les années 80, l’essentiel du secteur financier s’est criminalisé. Une culture industrielle qui tolère, voire encourage la fraude systématique s’y est développée. Ce comportement se trouve à l’origine de la bulle des crédits immobiliers “subprimes” et de la crise financière de 2008. Cette dernière en est même le résultat direct. Elle n’est pas une sorte d’accident économique. Les occidentaux ont encouragé la dérégulation des marchés, ce qui a rendu le système financier encore bien plus puissant. Moins d’obstacles, moins de comptes à rendre, moins de règles à respecter : on se rapproche du pouvoir absolu. Et il devient de plus en plus acceptable de se comporter de façon malhonnête. D’énormes dissimulations volontaires de transactions financières ont certainement favorisé le terrorisme sous opération false flag, le blanchiment, la prolifération nucléaire et l’évasion fiscale à l’échelle du globe. Sans cette motivation criminelle, la crise n’aurait pas eu ce retentissement mondial. En Europe, que penser par exemple des conseils prodigués par la banque Goldman Sachs à la Grèce, pour aider le pays à maquiller ses comptes ? Cette crise économique est particulièrement grave. Même le PIB de la Chine ne progresse pas. Sa consommation d’électricité n’a augmenté que de 0,7%. Ce qui donne une idée de sa réelle croissance. Tous les autres chiffres donnés sont faux et ne servent qu’à encenser ceux qui ont le pouvoir en Chine. Même ses ventes de logements ont baissé de 25% !
Cependant, si on voulait éviter la récession, il existe des solutions rapides :
Pourquoi donc ne les prend-on pas ? Bien entendu à cause, encore une fois, du poids des lobbies financiers sur le politique. Déjà Sarkozy n’était-il pas conseillé principalement par Michel Pébereau, le patron de BNP Paribas ? Ce qui ne l’a pas empêché de faire des erreurs incompréhensibles :
http://cee.e-toile.fr/index.cfm/2011/12/13/Les-erreurs-in...
C’est ainsi que l’on a assisté sans pouvoir faire quoique ce soit, à ce scandale que fut de prêter 1 000 milliards d’euros aux banques privées au taux de 1% alors qu’à l’Espagne et à l’Italie on leur demandait de payer 10 fois plus cher d’intérêt ? Pourtant, sans changer les traités européens, la banque centrale européenne, si elle n’a pas le droit d’aider directement ces pays, peut par contre prêter à 1%, à la banque européenne d’investissement. Et celle-ci prêter ensuite à 1,1% à l’Espagne et à l’Italie. Ces pays se retrouveraient alors avec un petit excédent budgétaire. La récession serait évitée. N’est-ce pas l’augmentation de ces frais financiers exorbitants qui leur sont nocifs ?
La Crise va vraiment commencer - Juin 2012
http://www.dailymotion.com/video/xrg5hb_la-crise-va-vraim...
La Crise va vraiment commencer - Juin 2012 par khalem2012
Il y a donc volonté manifeste d’endetter les pays.
On retrouve ce piège avec la fameuse loi du 3 janvier 1973. Cette loi n’interdit pourtant pas à la Banque de France de faire ce que la loi appelle des « avances » à taux nuls à l’état, avances qui sont parfaitement encadrées. Cette loi interdit juste au Trésor d’être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la Banque de France, ce qui peut être contourné par le fait que la Banque de France peut agir sur le marché secondaire. Le fait de ne plus financer l’état français au travers de sa banque centrale n’est donc qu’une décision purement politique qu’on ne peut réduire à cette loi. En d’autre terme, cette loi est une bonne excuse pour exonérer les politiques depuis quarante ans de leurs responsabilités !
Pourquoi donc cet endettement volontaire des pays, si ce n’est pour donner le pouvoir à la haute finance ? En 1789, les banques avaient supprimé le roi pour mettre en place en France ce système des intérêts si lucratif mais interdit par l’église catholique. Aujourd’hui, c’est à l’échelle mondiale qu’ils rêvent d’avoir le pouvoir.
Lire aussi : le coup d’état européen, un pouvoir exécutif qui ne se plie pas au suffrage universel.
http://rso17.unblog.fr/2013/09/04/les-banquier-de-chez-ro...
02:01 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, Arnaques, Mensonges, Propagande, Banques, Banksters, Paradis fiscaux, Dollar, Bours, Bildenberg Group, Grand Reset Mondial, Davos, CIA, MOSSAD, Al-Quaïda, Conspiration mondiale, Conspiration, Complot, Corruption, Crimes contre l'humanité, Eugénisme, Dictature Française, Mondiale et religieuse, Europe, Euro, CEDH, Franc-Maçonnerie & Jésuites Lucifériens, France/Israël/Elections, Le Bildengerg Group, Le Gouvernement Mondial, Les Banques Mondiales, Les Cartels, Les Illuminati-Reptiliens, Les Lobbies et la Politique, Les Maîtres du Monde, Lobbying et Politique, Laboratoires Pharmaceutique, Manifestations, Le réveil des populations, Quenelle Dieudonné 2013/14, Révélations, Révolution, Rothschild, Mafia Kazhar, Sectes & Sociétés Secrètes, Sionisme, Oligarchie, LDJ, Survie, Réveillez-vous, Préparez-vous | Lien permanent | |
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13/01/2014
Journal hebdomadaire de la Voix de la Russie – 13 janvier 2014
Bienvenue pour cette nouvelle édition du journal télévisé de La Voix de la Russie. Ce rendez-vous hebdomadaire en français vous présente les actualités russes, françaises et internationales sous l’angle de la réinformation. Contrairement à une vision tronquée et manichéenne de l’information délivrée par le mainstream médiatique français, nous nous efforcerons de vous faire percevoir que la vérité n’est jamais toute entière du même côté…
Au sommaire de cette édition du 13 janvier 2014 :
- Affaire Dieudonné : le pathétique le disputerait au ridicule, si ce n'était de la censure totalitaire
- Un officier de gendarmerie met les élus face à la ruine du système judiciaire français
- Cela fait 20 ans que l'ALENA et Bruxelles promettent le paradis sur terre, et ils veulent récidiver avec le traité transatlantique.
- Israël met en place une politique d'apartheid contre les populations immigrées venues de l'Afrique noire
- Irak, Libye, Syrie : à chaque fois que les USA ont joué aux apprentis-sorciers, c'est l'obscurantisme qui gagne
- Les conséquences de la catastrophe de Fukushima dépassent largement les frontières du Japon et personne n'en parle
- "Lorsqu'un péché devient une norme de conduite, la société cesse d'être viable" c'est le message du Patriarche Cyril à l'occasion du Noël orthodoxe.
http://www.prorussia.tv/Journal-hebdomadaire-13-janvier-2...
10:54 Publié dans Arnaques, Mensonges, Propagande, Poutine, Russie, Crimée, Ukraine, Chine, BRICS; Sy, Quenelle Dieudonné 2013/14, Révélations, Révolution, Sionisme, Oligarchie, LDJ, Survie, Réveillez-vous, Préparez-vous | Lien permanent | |
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Quand le gouvernement craint le peuple, c’est la liberté !
Quand le gouvernement craint le peuple, c’est la liberté.
Quand le peuple craint le gouvernement, c’est la tyrannie.
Thomas Jefferson
http://www.youtube.com/watch?v=221UWotqwdo
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12/01/2014
Interdiction de Dieudonné : La France qui dérape n’est pas celle qu’on nous montre du doigt
Une réaction du Dr Christophe OBERLIN, aux interdictions de spectacles de Dieudonné qui se passe de commentaires.
Un grand remerciement pour avoir le courage de remettre les choses à leur place !
10 janvier 2014 | Thèmes (S.Cattori) : Etat juif d’Israël Lobbies Liberté d’expression Désinformation
Dr Christophe Oberlin
Interdiction de Dieudonné : La France qui dérape n’est pas celle qu’on nous montre du doigt
Lorsqu’on dit aujourd’hui en France « qu’on n’aime pas les Américains », tout le monde comprend qu’il ne s’agit évidemment pas de tous les Américains en tant qu’individus, mais qu’on désigne par-là la politique et les guerres américaines qui ont fait un million de morts en quelques décennies. Et « ne pas aimer les Américains », ne tombe pas sous le coup de la loi. Quand on dit qu’on n’aime pas les Corses, ce n’est évidemment pas très intelligent, mais tout le monde comprend qu’on entend par là une certaine ambiance xénophobe qui règne en Corse. Ca ne tombe pas sous le coup de la loi.
Quand on dit qu’on n’aime pas les juifs, il est évident que cela désigne ceux qui soutiennent un état raciste dans ses lois et ses actes. Ce qui veut dire qu’on n’aime pas les juifs racistes, rien d’autre. C’est le message de Dieudonné. Et voilà qu’on voudrait faire tomber cela sous le coup de la loi. C’est déloyal et stupide.
J’ai personnellement des gens de ma famille qui sont morts en déportation. Quand Desproges dit « On se demande pourquoi les juifs se précipitaient à Auschwitz ? D’abord parce que c’était gratuit ! » C’est du deuxième degré, ça me fait rire, et ça ne porte en rien atteinte à la mémoire de ma famille. Quand quelqu’un se fait photographier devant Auschwitz en faisant une quenelle, ça ne porte pas atteinte à ma dignité ni à celle de ceux qui sont morts en déportation. Par contre c’est un geste fort à l’encontre de tous ceux qui tentent de masquer les crimes d’Israël derrière les crimes nazis. C’est à eux que ce discours s’adresse.
Et voilà que nos politiques, les plus tristes que la France ait connus depuis longtemps, voudraient expliquer à un humoriste ce qui est drôle et ce qui ne l’est pas ! Et on voudrait nous faire croire que les millions de personnes qui rient sont des idiots ou des antisémites, y compris ceux qui soutiennent les Palestiniens dans leur lutte contre l’apartheid ! C’est méprisant, et aussi effrayant. Et les commentaires à sens unique de nos radios et télévisions nationales donnent le frisson.
Ceux qui condamnent Dieudonné n’ont pas assisté à ses spectacles, et n’ont pas réalisé qui est son public : un public de jeunes, extraordinairement diversifié, qui représente une France fraternelle, fondamentalement antiraciste, la France de demain.
Alors il y a heureusement quelques poches de résistance dans les tribunaux. Et le jugement prononcé à Nantes, cassant l’interdiction d’un spectacle de Dieudonné, rassure. Toutes les barrières n’ont pas cédé.
Et voilà qu’un juge unique du Conseil d’Etat, sur simple convocation du gouvernement, dans un texte d’une pauvreté affligeante, dépourvu du moindre fondement juridique, impose son opinion à toutes les lois existantes, à tous les arrêts précédents français et européens !
La France qui dérape, elle est là.
Christophe Oberlin
10 Janvier 2014
URL de cet article :
http://www.silviacattori.net/article5272.html
Christophe OBERLIN, né en 1952. est chirurgien des hôpitaux et professeur à la faculté Denis Diderot à Paris ; il enseigne l’anatomie, la chirurgie de la main et la microchirurgie en France et à l’étranger. Parallèlement à son travail hospitalier et universitaire, il participe depuis 30 ans à des activités de chirurgie humanitaire et d’enseignement en Afrique sub-saharienne, notamment dans le domaine de la chirurgie de la lèpre, au Maghreb et en Asie. Depuis 2001, il dirige régulièrement des missions chirurgicales en Palestine, particulièrement dans la bande de Gaza où il a effectué près d’une trentaine de séjours. Il est le coauteur avec Jacques-Marie Bourget de Survivre à Gaza, (éditions Koutoubia, 2009) la biographie de Mohamed al-Rantissi, le chirurgien palestinien frère du dirigeant historique du HAMAS assassiné par l’État d’Israël… Il est également le traducteur du livre Gaza, au carrefour de l’histoire du journaliste anglais Gerald Butt (aux éditions Encre d’Orient).
http://www.silviacattori.net/article5272.html
Voir aussi du même auteur :
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