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22/11/2015

Le Conseil de sécurité de l’ONU met Daesh au ban de la communauté internationale

Encore une victoire de Poutine qui a poussé depuis des mois, tous les pays qui entendaient agir militairement en Syrie de manière illégale, à obtenir un mandat de l'ONU !

Cet accord du Conseil de Sécurité de l'ONU, tombe à pic et la Russie pourra s'en servir contre la France et tous les pays agissant sous couvert de la coalition internationale US, parce qu'il vient de prendre "acte et date" selon le Droit International. Cet accord de l'ONU vient de reconnaître que toutes les frappes françaises et celles de la coalition internationale US, effectuées en Syrie, avant cet accord de l'ONU, étaient illégales !

De plus Poutine gagne, en faisant reconnaître que la France notamment aidait, finançait et armait des organisations terroristes, reconnues désormais en tant que telles par l'ONU et que la France appelait l'armée Syrienne Libre ou l'opposition modérée contre Assad !

La France n'a donc pas à se gargariser, d'avoir obtenu cet accord de l'ONU parce que désormais, à partir de la date de cet accord de l'ONU elle peut être reconnue coupable de crimes de guerre, de crimes commis contre l'humanité, de fournitures de moyens à une organisation terroriste, avec pour responsables, les personnes de Hollande, Fabius, Valls et toute la clique de mafieux ! Bravo Poutine !

Apparemment, la France n'est pas autorisée comme tous les autres pays de la coalition US à faire usage de la force, sauf Poutine qui a été appelé à l'aide par Bachar Al-Assad.


Extrait : La résolution adoptée souligne également la nécessité de coordonner les actions militaires entre les gouvernements de tous les Etats qui ont entamé des opérations anti-terroriste. Néanmoins, la résolution ne donne à personne l’autorisation légitime d’agir militairement contre Daesh car il n’y a pas de référence à l'article 7 de la charte de l'ONU qui autorise l'emploi de la force.

Le Conseil de sécurité de l’ONU met Daesh au ban de la communauté internationale

Les 15 membres du Conseil de Sécurité de l’ONU a adopté à l'unanimité une résolution proposée par la France pour lutter contre «une menace mondiale sans précédent pour la paix internationale et la sécurité».

La résolution «demande aux Etats qui en sont capables de prendre toutes les mesures nécessaires, en conformité avec le droit international, et en particulier avec la charte de l'ONU, sur les territoires contrôlés par Daesh en Syrie et en Irak». Car Daesh «constitue une menace globale et sans précédent pour la paix internationale et la sécurité», peut-on lire dans ce texte qui a fait l’unanimité.

La résolution adoptée souligne également la nécessité de coordonner les actions militaires entre les gouvernements de tous les Etats qui ont entamé des opérations anti-terroriste. Néanmoins, la résolutions ne donne à personne l’autorisation légitime d’agir militairement contre Daesh car il n’y a pas de référence à l'article 7 de la charte de l'ONU qui autorise l'emploi de la force. Mais grâce à son adoption, les pays ont reçu un soutien politique important pour leurs opérations militaires.

La Russie a déjà demandé plusieurs fois de couper les sources de financement du terrorisme. Lors du sommet du G20, le 16 novembre à Antalya en Turquie, le président russe Vladimir Poutine a même dévoilé que Daesh recevait de l’argent des 40 pays, dont certains membres du G20.

L’ambassadeur syrien auprès de l’ONU, Bashar Ja’afari, a remarqué juste avant le vote de la résolution condamnant Daesh proposée par la France qu’on aurait dû l’adopter il y a longtemps. «Bienvenue à tous ceux et à toutes celles qui se sont finalement réveillés et qui ont joint le club de la lutte contre les terroristes», a-t-il précisé.

Entretemps, la Russie continue à travailler sur un projet de résolution qui propose d’organiser des campagnes internationales pour combattre Daesh. Le texte adopté hier est une version renouvelée d’un document présenté le 30 septembre.

Lire aussi : «Pour Paris !» et «Pour les nôtres !» : message aux terroristes écrit sur des bombes russes (VIDEO)

L’ambassadeur russe à l’ONU, Vitaliï Tchourkine, a précisé que la myopie de certains membres du Conseil de sécurité avait empêché l’adoption du projet de résolution russe sur la lutte contre le terrorisme.

«Nous sommes persuadés que les essais de certains membres du Conseil de sécurité de l’ONU de bloquer notre travail sur le projet est une myopie politique. On peut lutter contre les terroristes avec une main et jouer avec eux avec l’autre», a souligné Vitaliï Tchourkine.

Après le vote, l’ambassadeur russe à l’ONU a déclaré que la délégation française avait inclus «des corrections importantes faites par la Russie» et ajouté que maintenant, le monde devait se mettre à faire des «pas concrets».

 

La Russie peut tous nous détruire : Général Mark Milleyl, chef d'état-major des armées US

Appréciation de l'armement Russe par un Général US ! En espérant que cela permettra de les calmer un bon moment, surtout que la Russie a créé un partenariat militaire avec la Chine !

Jusqu'à peu avant la démonstration (car il s'agit d'une petite démonstration pour le moment) de deux armées russes (il en reste encore deux autres, au moins) en Syrie, l'Empire du Chaos était considéré – et fanfaronné par nos journalistes aux ordres – comme la plus puissante armée du monde. Eh bien non, c'est la russe. Et sous toutes les coutures.

C'est le chef d'état-major des armées US le général Mark Milley. Et les généraux de l'OTAN le savent aussi bien, mais ils continuent à aboyer aux frontières du "grizzly", les cons va-t-en guerre……

L'article est en Anglais avec la traduction Google par le lien ci-dessous : 

Russia Can Destroy Us – Top U.S. Army General

Russia is the only country in the world with the nuclear capability to destroy the U.S., according to Army Chief of Staff General Mark Milley. The General called Russia an existential threat to the U.S., speaking in front of the audience at the Defense One summit in Washington, DC on Monday.

Russia General Mark Milley
Image Source: Wikimedia Commons

Milley also considers Russia “aggressive” and “adversarial to the interests of the United States,” which is why Moscow’s nuclear weapons are capable of destroying the U.S.

The General warned that Russian President Vladimir Putin’s recent behavior suggest the country would be willing to use nuclear weapons. Milley also noted that Russia has been violating “the Westphalian order” ever since it started invading “sovereign nations” in 2008.

Milley has already called Russia an existential threat during his confirmation hearing before the U.S. Senate back in July. Two weeks prior to his confirmation hearing, U.S. General James Dunford used the same phrasing during his own Senate confirmation hearing to become the Chairman of the Joint Chiefs of Staff.

“I would say that Russia’s recent behavior is adversarial to the interests of the United States,” Milley said, referring to Russia’s aggressive drills and patrols with its troops, aircraft and submarines for the past “four-five-six-seven” years. “Russia bears close watching,” he added.

The audience then asked whether Russia should be considered an enemy rather than a partner, but Milley responded with an urge to a “strength and balance sort of approach, which is our current policy.”

While diplomacy is very “nuanced,” Russia must be fought with sanctions and NATO’s confident stance, he noted. However, the General added that the U.S. must cooperate with Russia on matters that require involvement of both Washington and Moscow.

Russia’s military far more advanced than that of U.S. – American analyst

Russia is far more advanced and superior in terms of military technologies than the U.S., while the recent American missile tests were nothing but a “bluff” to trick people into thinking the U.S. military could easily counter even such a nuclear-powerful adversary as Russia, according to an American counter-terrorism analyst.

Scott Bennett, a former U.S. Army psychological warfare officer, said in an interview with Press TV on Monday that this is something Washington typically does: it tells its military brass to show off in front of its Russian counterparts, claiming that American missile technology is “the absolute end-all technology that can determine any war.”

The analyst’s comments come just a day after the U.S. military carried out a $230 million test involving Lockheed Martin’s Terminal High Altitude Area Defense (THAAD) systems and the Aegis Ballistic Missile Defense (BMD) equipped onto the USS John Paul Jones destroyer.

 

The results of the test showed that the missile systems were capable of successfully hitting their targets in all but one of the tests. The tests with the missile systems involved a medium-range ballistic missile fired from C-17 aircraft.

During one of the tests, a SM-3 missile fired from the warship failed mid-air in its flight and missed the target. But the THAAD system was capable of taking the failed shot out.

“From a psychological warfare perspective, I see this as a massive bluff, as just a lot of feather puffing, and [it] really doesn’t have a lot of substance because the technology is not there and the Russian technology as we know is far superior,” Bennett said.

Bennett sees this elaborate $230 million missile test as a standard military test, while Washington wants to make it look as if it is more lethal than it really is.

U.S. will be responsible for deaths in Syria, not Russia – Analyst

The analyst also believes that the test is an attempt of the U.S. to assure its allies in the Middle East, who turn away from Washington one by one because of its incompetence in Syria, that the U.S. still has what it takes to maintain influence in the region. The tests seem to fall in line with U.S. President Barack Obama’s decision to send Special Operation forces to Syria.

Bennett expects Russia to call the bluff and warn the U.S. that if it sends American troops to Syria, “the Russian coalition will not be held responsible for any deaths that may result.”

Bennett also called Obama’s decision “a potential trap.” “It is an attempt to try and goad Russia, I think, into maneuvers and bombings that can kill a lot of American troops for the purposes of triggering a larger US action.”

The analyst also suspects that there might be a connection between the U.S. missile tests and the recent Russian plane crash over Egypt’s Sinai desert which killed 224 passengers on board, including 25 children and 7 crew members.

Russian navy presents threat to U.S.

Meanwhile, the U.S. is discussing the possibility to station more of its ships and naval objects in Europe as a response to Russia’s most threatening naval operations in two decades, according to the new U.S. Navy chief of naval operations.

The U.S. Navy is now reassessing its global stance to counter the aggressive activity of Russian warships and submarines, Admiral John Richardson, chief of naval operations said in an interview with the Financial Times.

“Their submarine force and their navy are as active as they have been in a long time, 20 years or so,” Admiral Richardson noted. “How are we going to posture our forces to make sure that we maintain the appropriate balance and are suitably engaged?”

The Admiral also said that the U.S. Navy is considering to step up its presence in Europe and the Pacific. “That’s the conversation we’re having right now.”

Russian Admiral Viktor Chirkov, the chief of the Russian navy, recently said that Russian submarine patrols have increased by 50 percent from 2013.

 

 

Le Parlement donne son feu vert à la prolongation de l'état d'urgence

Comme vous l'aurez sans doute compris, l'état d'urgence ou ce que l'on pourrait considérer comme  étant la Loi Martiale,  n'a pas été instauré pour assurer notre sécurité, mais bien pour nous empêcher de manifester et de nous révolter contre l'état mafieux qui a alimenté ses mercenaires en Syrie dans l'objectif de pousser Assad à démissionner, voire pire, pour leur permettre de créer le Grand Israël, de nous pondre dans ce délai de 3 mois, des lois anti-constitutionnelles et de priver les petits partis politiques dont l'UPR de François Asselineau, de mener leur campagne électorale pour les prochaines élections régionales qui se tiendront le 6 décembre 2015.

S'il existait vraiment des craintes d'attentats et d'attaques chimiques, pensez-vous qu'ils auraient maintenu, la conférence de la COP21, alors que près de 130 Chefs d'état devraient être présents en France à partir du 29 novembre prochain ? A moins qu'ils ne prévoient de prétexter un attentat pour éliminer un chef d'état gênant ?

Le Parlement donne son feu vert à la prolongation de l'état d'urgence

Le Sénat a largement adopté la prolongation pour trois mois de l’état d’urgence. Après le vote de l’Assemblée, le Parlement au complet a maintenant donné son accord.

Le régime d’exception mis en place à la suite des attentats du vendredi 13 novembre à Paris sera en place pour au moins trois mois de plus. La chambre haute du Parlement, à majorité de droite, a largement adopté le projet de loi annoncé lundi par le président François Hollande. 336 voix pour, 12 abstentions et aucune voix contre. Seuls onze sénateurs communistes et une écologiste n’ont pas donné leur blanc-seing.

Après l’Assemblée nationale

Hier, c’est la chambre basse qui votait. Là aussi, le plébiscite fut massif en faveur du projet de loi. 551 voix pour et seulement 6 contre. Trois députés PS et autant d’écologistes ne souhaitaient pas prolonger cette mesure exceptionnelle qui permet notamment aux autorités d’assigner à résidence des individus, d’effectuer des perquisitions jour et nuit ou encore de prendre des mesures de contrôle de la presse.

Plusieurs observateurs ont d’ores et déjà fait part de leurs inquiétudes contre une loi qu’ils considèrent dangereuse et liberticide. Du côté des Français, on soutient massivement la mesure. Selon un sondage réalisé récemment, 84% des citoyens se disent prêt «à accepter davantage de contrôles».

 

21/11/2015

Une étude affirme que 81% des individus en lien avec Daesh aux USA sont des citoyens américains

Une étude affirme que 81% des individus en lien avec Daesh aux USA sont des citoyens américains

Alors que de nombreux politiciens US voudraient suspendre l'accueil des réfugiés syriens et irakiens par crainte d'une recrudescence du terrorisme, une étude montre que la majorité des personnes inculpées pour lien avec Daesh sont des Américains.

Selon des chiffres récemment publiés par le Centre pour la Sécurité Nationale, de l’université de Fordham, seules trois personnes sur 68 (soit 4,4%) soupçonnées d’être en relation avec des membres de l’Etat Islamique sont des demandeurs d’asile. Aucun des suspects n’est passé par la Syrie.

55 individus (80,9%) sont en revanche des citoyens américains, parmi lesquels 44 sont nés sur le territoire national. Quant aux autres, six proviennent de Bosnie, quatre d’Ouzbékistan, trois de Somalie et deux du Soudan.

Sur l’ensemble des gens poursuivis aux Etats-Unis pour des liens qu'ils entretiendraient avec l'organisation terroriste Daesh, on dénombre 10 femmes et 58 hommes. La moyenne d’âge est, elle, relativement jeune puisqu’un tiers des personnes ont moins de 21 ans, et que la moyenne est de 26 ans.

Selon la directrice du centre qui a mené l’enquête, Karen Greenberg, les différents jugements prononcés semblent plutôt accréditer la thèse de jeunes gens en manque de «distraction» plutôt que de terroristes purs et durs posant une menace sévère à la sécurité nationale.

Alors que les Etats-Unis prévoyaient, pour l'année 2016, l’accueil de quelques 30 000 réfugiés venant de Syrie, de nombreux politiciens évoquaient un risque terroriste.

Le 19 novembre, la Chambre des Représentants des Etats-Unis a voté une loi qui accroît les procédures de vérifications concernant les réfugiés qui rentrent sur le territoire. Avant d’être adoptée définitivement, la mesure devra passer par le vote du Sénat, puis par l’accord de la Maison Blanche, qui a d’ores et déjà fait savoir que le président mettrait son véto.

Entretien avec François Asselineau – Questions d’actualité – 17 novembre 2015 (Vidéo)

Entretien avec François Asselineau – Questions d’actualité – 17 novembre 2015

Entretien avec François Asselineau – Questions d’actualité – 17 novembre 2015

François Asselineau revient sur les attentats de Paris du 13 novembre 2015 et sur la décision de François Hollande de déclarer l’état d’urgence et ses conséquences sur la campagne des élections régionales de décembre 2015.