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28/11/2015

Enterrement d’un Marine russe mort en tentant de sauver les pilotes du jet abattu par la Turquie

Encore un héros russe mort pour avoir voulu sauver les deux pilotes dont l'avion a été abattu par la Turquie. Son hélicoptère ayant été touché par un missile lancé par des militants syriens.

Paix à son âme ! Et merci pour son combat !

Enterrement d’un Marine russe mort en tentant de sauver les pilotes du jet abattu par la Turquie

27/11 17:30 CET | mis à jour le 27/11 - 19:06

Des centaines de personnes ont assisté à l’enterrement ce vendredi d’un soldat russe mort alors qu’il tentait de secourir l’un des deux pilotes de l’avion russe abattu par la Turquie mardi.

Alexandre Pozynich se trouvait à bord de l’un des deux hélicoptères partis à la rescousse des deux militaires en détresse sur le sol syrien.

Son appareil, atteint par un missile tiré par des militants syriens, peut-être turcmènes, a du faire un atterrissage d’urgence auquel n’a pas survécu le jeune Marine. Ses collègues ont été blessés dans l’incident.

Il a été enterré dans sa ville natale de Novocherkassk, dans le sud de la Russie.

 

Un deal Merkel-Erdogan: arrêt de mort pour l'Europe?

Encore une preuve que l'UE finance le terrorisme au Moyen-Orient !

Ils n'ont pas été mis au courant de l'avion russe abattu ni que Poutine a dénoncé Erdogan, dans les trafic de pétrole avec l'EI ?

Au lieu de demander une enquête internationale pour voir où sont les vrais faits et les responsabilités, il faut mieux aller remercier Erdogan avec l'argent des contribuables européens !

On va les mettre dehors quand tous ces terroristes que nous avons à la tête de l'UE et dans nos gouvernements ?

Un deal Merkel-Erdogan: arrêt de mort pour l'Europe?

Angela Merkel

Les chefs européens se rendront, ce dimanche, en Turquie pour discuter affaires: des milliards d'euros en échange du règlement de la crise migratoire. Une UE impuissante convoite un règlement rapide et voit en Recep Erdogan un sauveteur. Pourtant, c'est une grande illusion, selon Deutsche Wirtschafts Nachrichten.

Or il semble que les faits concernant la coopération turque avec Daech suffisent largement pour rendre la rencontre des chefs des pays-membres de l'UE avec le président turc Recep Tayyip Erdogan impossible, fait remarquer le journal allemand Deutsche Wirtschafts Nachrichten. Pourtant, la chancelière allemande Angela Merkel montre de plus en plus sa bienveillance à l'égard d'Ankara, bien que cette affaire soit déjà profitable pour M.Erdogan. Outre l'argent du contribuable européen, il aura un énorme bonus: le silence de la chancelière allemande sur tous les thèmes embarrassants. 

Plus de questions embarrassantes

Ainsi, le président pourra éviter les questions sur les raisons des frappes sur l'avion russe, ce qui a exacerbé la colère dans le monde. Il ne sera pas non plus obligé de s'expliquer sur les liens qu'entretient sa famille avec Daech et son financement, ni sur ce qui est arrivé aux journalistes qui avaient découvert la coopération d'Ankara avec Daech. Personne ne se posera plus la question de savoir sur quels fondements la Turquie demande de l'accueillir au sein de l'UE. Et, ce qui est le plus important, personne ne se souciera de savoir si les milliards de l'UE seront bien destinés aux besoins des refugiés, explique l'auteur de l'article. 

Mme Merkel ne peut pas garantir que son deal avec M. Erdogan, compte tenu de toutes ses relations opaques avec les djihadistes, ne transformera pas les citoyens européens l'ignorant en sponsors indirectes de Daech. L'accord avec Ankara, s'il a lieu, signera l'arrêt de mort de toutes ces personnes qui pourraient souffrir d'une nouvelle résurgence du terrorisme, déplore Deutsche Wirtschafts Nachrichten. Voilà pourquoi Angela Merkel doit éviter cette faute avant qu'il ne soit trop tard, conclut l'auteur.

Le 18 octobre, Mme Merkel s'était déjà rendue à Istanbul, où elle s'est entretenue sur la crise migratoire avec Recep Tayyip Erdogan et le premier ministre Ahmet Davutoglu. Selon le plan rendu public après le sommet, la Turquie devrait jouer un des rôles principaux dans la résolution de la crise migratoire.

 

Poutine refuse de rencontrer Erdogan

 

Nov 27, 2015 15:04 UTC - IRIB – Ayant déjà refusé de parler à son homologue turc au téléphone, le Président russe Vladimir Poutine a cette fois-ci refusé la demande de Recep Tayyip Erdogan pour un entrevue.

Selon la chaîne Al-Arabiya, le Président russe Vladimir Poutine a refusé la demande de son homologue turc Recep Tayyip Erdogan qui souhaitait un tête-à-tête avec lui à Paris. Erdogan avait déclaré jeudi que M. Poutine avait refusé de lui parler au téléphone.
 
« Aucun dialogue bilatéral ne se fait entre les deux pays », a affirmé le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov, en allusion aux tensions qui affectent les rapports turco-russes depuis que la Turquie a abattu un chasseur russe dans le ciel syrien. « Huit heures après le crash d’avion Sukhoï-24 frappé par la Turquie, en Syrie, M. Erdogan a essayé de contacter le Président russe », a ajouté Dmitri Peskov. De même, le Ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a déclaré jeudi aux journalistes que les dirigeants russe et turc n’avaient au aucun contact téléphonique.

En ce qui concerne la demande d’Ankara pour une rencontre entre les chefs d’Etat russe et turc en marge du sommet mondial sur les changements climatiques prévu la semaine prochaine à Paris, Lavrov s’est référé aux récentes déclarations des responsables russes qui ont exclu la possibilité de cette rencontre. Moscou a également annulé deux réunions des dirigeants et des Ministre des Affaires étrangères des deux pays.
 
Voir aussi :

 

URGENT ! Vladimir Poutine signe le décret mettant en œuvre les mesures économiques contre la Turquie

 

Vladimir Poutine signe le décret mettant en œuvre les mesures économiques contre la Turquie

Ce samedi, le chef d'Etat russe a signé un décret visant à renforcer la sécurité nationale et introduisant des mesures économiques contre la Turquie, après l'attaque du bombardier russe Su-24, rapporte le service de presse du Kremlin.

Après la suspension du régime sans visas annoncée vendredi 27 novembre, et signée aujourd'hui, le président russe a annoncé la mesure la plus douloureuse pour la Turquie. Selon le décret, les opérateurs touristiques ne sont plus autorisés à vendre des séjours en Turquie. 

"Stipuler que les tour-opérateurs et les agents touristiques doivent se garder de vendre aux citoyens russes des produits touristiques prévoyant la visite du territoire de la République turque", lit-on dans le décret.

Les vols charters entre la Russie et la Turquie sont également interdits.

De même, ces mesures du Kremlin "visant à assurer la sécurité nationale et celle des citoyens russes", interdisent aux employeurs russes d'embaucher des citoyens turcs à partir du 1er janvier 2016 et ordonnent d'interdire ou de limiter l'activité des organisations turques en Russie.

De surcroît, Vladimir Poutine a ordonné d'"interdire ou limiter les opérations économiques extérieures, prévoyant l'importation sur le territoire russe de certains produits provenant de la République turque selon la liste définie par le Gouvernement de la Fédération de Russie (à l’exception des produits importés pour la jouissance personnelle dans la quantité autorisée par l'Union économique eurasiatique)", selon le texte du décret publié par le Kremlin.

En attendant une éventuelle rencontre avec le chef d'Etat russe Vladimir Poutine lundi à Paris, le président turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré samedi que la Turquie avait besoin de la Russie et que la Russie avait besoin de la Turquie: "Nous ne pouvons pas ne plus être en contact", a-t-il dit.

Le 24 novembre, un chasseur F-16 de l'armée de l'air turque a abattu un bombardier russe Su-24 impliqué dans la campagne de frappes aériennes contre les positions de l'Etat islamique en Syrie. Selon Ankara, l'avion russe a violé l'espace aérien turc. Moscou dément ces allégations tout en soulignant que son bombardier ne présentait aucune menace pour la Turquie.

Suite à l'incident, le président russe Vladimir Poutine a accusé les autorités turques de complicité avec les terroristes dans la région. La Russie a en outre déployé en Syrie des systèmes antiaériens S-400 en vue d'assurer la sécurité de ses forces aériennes combattant les djihadistes de l'EI.

 

 

URGENT ! Défense syrienne : l’armée gouvernementale a été visée par des tirs depuis la Turquie

Encore une provocation de la Syrie et de la Russie par la Turquie ?

URGENT ! Défense syrienne : l’armée gouvernementale a été visée par des tirs depuis la Turquie

28 nov. 2015, 18:16

Les combattants de l’armée syrienne ont essuyé des tirs de mortier depuis le mont Jebel al-Aqra, qui se trouve sur le territoire de la Turquie, a annoncé aux journalistes le représentant officiel de l’armée syrienne, le général Ali Mayhoub.

«La nuit dernière, des tirs intenses visant un détachement de troupes gouvernementales syriennes ont été observés depuis le mont Jebel al-Aqra», a déclaré Mayhoud lors d’un point de presse, en ajoutant que le commandant suprême de l’armée syrienne «a prévenu des conséquences d’un tel comportement».

Le général a également accusé la Turquie d’acquérir du pétrole et des objets du patrimoine culturel depuis les terroristes syriens à des prix extrêmement bas en échange de son soutien militaire.

 En savoir plus : Etat des lieux à la frontière turco-syrienne

La Syrie «réclame à la communauté internationale de mettre une pression maximale sur la République turque pour les forcer à renoncer de soutenir, directement et indirectement, le terrorisme international», a déclaré le militaire. Selon lui, les véhicules circulent librement entre la Turquie et les territoires sous contrôle des terroristes, alors que le gouvernement syrien n’est pas pour le moment capable de contrôler ces parties de la frontière.

En savoir plus : Avec Erdogan, en route vers la Troisieme Guerre mondiale ?

Due à un «manque de responsabilité de la part des autorités turques», cette «porosité des frontières permet aux terroristes de pénétrer sans aucun obstacle dans les pays d’Europe et d’y organiser ses crimes odieux», a conclu Ali Mayhoub.