Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

28/10/2015

La racaille d’Obama perd son sang froid et devient arrogant face à la sérénité de V. Poutine

Qui est Poutine ?

Vladimir Poutine, le grain de sable dans la machinerie du Nouvel Ordre Mondial

G.20 de saint Petersbourg.. Obama insulte Vladimir Poutine face à son inflexibilité et se met à proférer des insultes…. Qui n’a aucune conséquence que celle de lui rétorquer le jugement qu’il a de ce pseudo marionnettiste des Illuminatis.


La racaille d’Obama perd son sang froid et devient arrogant face à la sérénité de V. Poutine


WikiLeaks dévoile un deal entre Obama et la CIA

Comme le dit un internaute en commentaire sous l’article :

"Ah bah on comprend mieux maintenant pourquoi la CIA a quadruplé la production d’héroïne en Afghanistan, et de cocaïne en Bolivie... Le prix Nobel de la Paix a été financé avec de l'argent sale !".

Et pourquoi les USA et la Grande Bretagne veulent conserver leurs troupes en Afghanistan.

WikiLeaks dévoile un deal entre Obama et la CIA

15:01 27.10.2015 (mis à jour 15:15 27.10.2015)

Directeur de la CIA John Brennan

WikiLeaks a publié un troisième ensemble de documents provenant de la boîte mail du directeur de la CIA John Brennan, selon lesquels il aurait financé la campagne électorale de Barack Obama. En revanche, les gens de "l'équipe Brennan" ont eu des postes dans la sécurité nationale, avec M. Brennan en tête.

Deux documents de plus qui viennent de la correspondance privée de John Brennan ont fuité sur Internet grâce à WikiLeaks. Toutes ces lettres datent de 2008 quand M. Brennan, était à la tête d'une société privée de renseignement et d'analyse, The Analysis Corp (TAC).

WikiLeaks fait remarquer qu'en 2008, John Brennan  avait financé la campagne électorale de Barack Obama qui a en retour embauché la TAC  comme conseiller en sécurité. En 2013, John Brennan est finalement devenu ce qu'il est aujourd'hui – directeur de la CIA.

Le "Groupe de Brennan"

L'autre document est une liste de 22 personnes qui appartiennent à ce que WikiLeaks appelle un "groupe actuellement non-identifié". Un regard plus attentif sur la liste suggère qu'il pourrait s'agir d'une équipe de M. Brennan proposée dans le cadre du contrat avec la TAC.

L'une des figures les plus connues de la liste est Jay Johnson, chef actuel de la Sécurité intérieure. En 2008, il n'était qu'un juriste travaillant dans une entreprise privée. En 2009, Barack Obama l'a nommé conseiller principal du ministère de la Défense.

D'autres personnalités connues de l'équipe Obama de transition sont Sarah Sewall qui avait travaillé comme conseillère en matière de politique étrangère lors de la campagne de Barack Obama, elle a supervisé le passage au département d'État et des ministères de la défense et de la sécurité intérieure. Sarah Sewall travaille actuellement comme sous-secrétaire d'Etat américain en charge de la sécurité des civils, de la démocratie et des droits de l’homme.

 Dans une correspondance avec la chaîne russe Rossiya 24, le hacker DerpLaughing a promis de publier de nouveaux documents le 5 novembre et a expliqué l'objectif de son attaque informatique.

"Notre objectif est de faire honte au gouvernement américain et faire en sorte que tout le monde comprenne qu'il ment. Nous voulons que le gouvernement des États-Unis cesse de financer Israël et d'espionner tout le monde. Quand nous y parviendrons, nous sauterons sur d'autres. On m'a dit que le gouvernement australien est également très corrompu", a dit le hacker.

Quelques jours plus tôt, le site lanceur d'alertes WikiLeaks avait publié des informations dont une note analytique de 2007 sur les forces politiques de l'Iran, avec des recommandations expliquant au président US "comment jouer avec les pièces de l'échiquier iranien".

D'autres documents rendus publics dévoilent des informations sur les méthodes d'interrogatoire des terroristes présumés.

 

 

24/10/2015

La différence entre Poutine et Obama

Y'a pas photo pour savoir lequel est le plus actif des deux.


20/10/2015

Syrie : L’armée russe affirme sa supériorité en guerre conventionnelle

Allez les amis, régalez-vous !

Non seulement Poutine a mis un terme à la doctrine Wolfowitz, en allant défendre la Syrie, mais tout le monde y est isolé grâce à la technologie militaire russe et à son système de brouillage des communications, de telle sorte que seuls Damas et l’armée Russe savent ce qui se passe réellement sur le terrain !

La coalition mafieuse et illégale, des USA et Cie, est rendue sourde et aveugle sur tout ce qui se passe sur le terrain et les mercenaires ne peuvent plus communiquer avec leurs chefs criminels de la CIA/Mossad et Cie !

On a compris pourquoi le porte-avions US a mis les voiles du Golfe Persique !

Bravo Poutine !

 

L’armée russe affirme sa supériorité en guerre conventionnelle

par Thierry Meyssan

Réseau Voltaire | Damas (Syrie) | 19 octobre 2015

L’intervention militaire de Moscou en Syrie n’a pas simplement retourné le sort des armes et semé la panique parmi les jihadistes. Elle a montré au reste du monde, en situation de guerre réelle, les capacités actuelles de l’armée russe. À la surprise générale, celle-ci dispose d’un système de brouillage capable de rendre l’Alliance atlantique sourde et aveugle. Malgré un budget bien supérieur, les États-Unis viennent de perdre leur domination militaire.

JPEG - 42.9 ko

L’intervention militaire russe en Syrie, qui devait être un pari risqué de Moscou face aux jihadistes, s’est transformée en une manifestation de puissance qui bouleverse l’équilibre stratégique mondial [1] Conçue au départ pour isoler les groupes armés des États qui les soutiennent en violation des résolutions pertinentes du Conseil de sécurité, puis les détruire, l’opération a conduit à aveugler l’ensemble des acteurs occidentaux et leurs alliés.

Stupéfait, le Pentagone est divisé entre ceux qui tentent de minimiser les faits et de trouver une faille dans le dispositif russe et ceux qui, au contraire, considèrent que les États-Unis ont perdu leur supériorité en matière de guerre conventionnelle et qu’il leur faudra de longues années pour la récupérer [2].

A Transatlantic Talk with General Philip Breedlove on NATO’s
Next Steps: Warsaw and Beyond


On se souvient qu’en 2008, lors de la guerre d’Ossétie du Sud, les Forces russes étaient certes parvenues à repousser l’attaque géorgienne, mais avaient surtout montré au monde l’état déplorable de leur matériel. Il y a dix jours encore, l’ancien secrétaire à la Défense Robert Gates et l’ancienne conseillère nationale de sécurité Condoleezza Rice parlaient de l’armée russe comme d’une force de « second rang » [3].

Comment donc, la Fédération russe est-elle parvenue à reconstruire son industrie de Défense, à concevoir et à produire des armes de très haute technologie sans que le Pentagone ne mesure l’ampleur du phénomène et qu’il se laisse distancer ? Les Russes ont-ils utilisé toutes leurs nouvelles armes en Syrie ou disposent-ils d’autres merveilles en réserve ? [4]

Le désarroi est si grand à Washington que la Maison-Blanche vient d’annuler la visite officielle du Premier ministre Dmitry Medvedev et d’une délégation de l’état-major russe. La décision a été prise après une visite identique d’une délégation militaire russe en Turquie. Inutile de discuter des opérations en Syrie, car le Pentagone ne sait plus ce qui s’y passe. Furieux, les « faucons libéraux » et les néo-conservateurs exigent la relance du budget militaire et ont obtenu l’arrêt du retrait des troupes d’Afghanistan.

De manière on ne peut plus étrange, les commentateurs atlantistes qui assistent au dépassement de la puissance militaire US dénoncent le danger de l’impérialisme russe [5]. Pourtant la Russie ne fait ici que sauver le Peuple syrien et propose aux autres États de travailler en coopération avec elle, tandis que les États-Unis lorsqu’ils détenaient la prééminence militaire ont imposé leur système économique et détruit de nombreux États.

Force est de constater que les déclarations incertaines de Washington durant le déploiement russe, avant l’offensive, ne devaient pas être interprétées comme une lente adaptation politique de la rhétorique officielle, mais pour ce qu’elles exprimaient : le Pentagone ignorait le terrain. Il était devenu sourd et aveugle.

Un système de brouillage généralisé

On sait, depuis l’incident de l’USS Donald Cook en mer Noire, le 12 avril 2014, que l’armée de l’Air russe dispose d’une arme lui permettant de brouiller tous les radars, circuits de contrôle, systèmes de transmission d’information, etc. [6]. Dès le début de son déploiement militaire, la Russie a installé un centre de brouillage à Hmeymim, au nord de Lattaquié. Subitement, l’incident de l’USS Donald Cook s’est reproduit, mais cette fois dans un rayon de 300 kilomètres ; incluant la base Otan d’Incirlik (Turquie). Et il persiste toujours. L’événement s’étant produit durant une tempête de sable d’une densité historique, le Pentagone a d’abord cru que ses appareils de mesure avaient été déréglés avant de constater qu’ils sont brouillés. Tous brouillés.

Or, la guerre conventionnelle moderne repose sur le « C4i » ; un acronyme correspondant aux termes anglais de « command » (maîtrise), « control » (contrôle), « communications », « computer » (informatique) et « intelligence » (renseignement). Les satellites, les avions et les drones, les navires et les sous-marins, les blindés et désormais même les combattants, sont reliés les uns aux autres par des communications permanentes qui permettent aux états-major de commander les batailles. C’est tout cet ensemble, le système nerveux de l’Otan, qui est actuellement brouillé en Syrie et dans une partie de la Turquie.

Selon l’expert roumain Valentin Vasilescu, la Russie aurait installé plusieurs Krasukha-4, aurait équipé ses avions de conteneurs de brouillage SAP-518/ SPS-171 (comme l’avion qui survola l’USS Donald Cook) et ses hélicoptères de Richag-AV. En outre, elle utiliserait le navire espion Priazovye (de classe Project 864, Vishnya dans la nomenclature Otan), en Méditerranée [7].

Il semble que la Russie ait pris l’engagement de ne pas perturber les communications d’Israël —chasse gardée US—, de sorte qu’elle s’interdit de déployer son système de brouillage au Sud de la Syrie.

Les aéronefs russes se sont fait un plaisir de violer un grand nombre de fois l’espace aérien turc. Non pas pour mesurer le temps de réaction de son armée de l’Air, mais pour vérifier l’efficacité du brouillage dans la zone concernée et pour surveiller les installations mises à dispositions des jihadistes en Turquie.

PNG - 2.3 Mo

Si l’Otan a toujours la possibilité de photographier depuis des satellites la construction des bases militaires russes en Syrie, elle ne peut plus ni écouter les communications radio, ni visualiser les déplacements des hommes et des matériels. En outre, l’Otan ne peut plus contrôler à distance ses propres appareils, ni communiquer avec ses hommes lorsqu’ils entrent dans la bulle de protection russe.

Des missiles de croisière ultra-performants

Enfin, la Russie a utilisé plusieurs armes nouvelles, comme 26 missiles furtifs de croisière 3M-14T Kaliber-NK, équivalents des RGM/UGM-109E Tomahawk [8]. Tirés par la Flotte de la mer Caspienne —ce qui n’avait aucune nécessité militaire—, ils ont atteint et détruit 11 cibles situées à 1 500 kilomètres de distance, dans la zone non-brouillée —afin que l’Otan puisse apprécier la performance—. Ces missiles ont survolé l’Iran et l’Irak, à une altitude variable de 50 à 100 mètres selon le terrain, passant à quatre kilomètres d’un drone états-unien. Aucun ne s’est perdu, à la différence des états-uniens dont les erreurs se situent entre 5 et 10 % selon les modèles [9]. Au passage, ces tirs montrent l’inutilité des dépenses pharaoniques du « bouclier » anti-missiles construit par le Pentagone autour de la Russie —même s’il était officiellement dirigé contre des lanceurs iraniens—.


Sachant que ces missiles peuvent être tirés depuis des sous-marins situés n’importe où dans les océans et qu’ils peuvent transporter des têtes nucléaires, les Russes ont rattrapé leur retard en matière de lanceurs.

En définitive, la Fédération de Russie serait détruite par les États-Unis —et vice-versa— en cas de confrontation nucléaire, mais elle serait gagnante en cas de guerre conventionnelle.

Seuls les Russes et les Syriens sont en capacité d’évaluer la situation sur le terrain. Tous les commentaires militaires provenant d’autres sources, y compris des jihadistes, sont sans fondement car seuls la Russie et la Syrie ont une vision du terrain. Or, Moscou et Damas entendent profiter au maximum de leur avantage et maintiennent donc le secret sur leurs opérations.

Des quelques communiqués officiels et des confidences des officiers, on peut conclure qu’au moins 5 000 jihadistes ont été tués, dont de nombreux chefs d’Ahrar el-Sham, d’al-Qaïda et de l’Émirat islamique. Au moins 10 000 mercenaires ont fui vers la Turquie, l’Irak et la Jordanie. L’Armée arabe syrienne et le Hezbollah reconquièrent le terrain sans attendre les renforts iraniens annoncés.

La campagne de bombardements devrait se terminer à la Noël orthodoxe. La question qui se posera alors sera de savoir si la Russie est autorisée ou non à terminer son travail en poursuivant les jihadistes qui se réfugient en Turquie, en Irak et en Jordanie. Faute de quoi, la Syrie serait sauvée, mais le problème ne serait pas résolu pour autant. Les Frères musulmans ne manqueraient pas de chercher une revanche et les États-Unis de les utiliser à nouveau contre d’autres cibles.

À retenir :
- L’opération russe en Syrie a été conçue pour priver les groupes jihadistes du soutien étatique dont ils disposent sous couvert d’aide à des « opposants démocratiques ».
- Elle a exigé l’usage d’armes nouvelles et s’est transformée en une démonstration de force russe.
- La Russie dispose désormais d’une capacité de brouillage de toutes les communications de l’Otan. Elle est devenue la première puissance en matière de guerre conventionnelle.
- Cette performance a attisé la discorde à Washington. Il est trop tôt pour dire si elle sera favorable au président Obama ou si elle sera utilisée par les « faucons libéraux » pour justifier un accroissement du budget militaire.

Video : missiles russes traversant le territoire iranien vers leurs objectifs en Syrie.
Vitesse et basse altitude entre les montagnes, très étonnant !

[1] “Russian Military Uses Syria as Proving Ground, and West Takes Notice”, Steven Lee Myers & Eric Schmitt, The New York Times, October 14, 2015.

[2] “Top NATO general : Russians starting to build air defense bubble over Syria”, Thomas Gibbons-Neff, The Washington Post, September 29, 2015.

[3] “How America can counter Putin’s moves in Syria”, by Condoleezza Rice, Robert M. Gates, Washington Post (United States), Voltaire Network, 8 October 2015.

[4] La seule étude disponible est bien en dessous de la réalité : Russia’s quiet military revolution and what it means for Europe, Gustav Gressel, European Council on Foreign Relations, October 2015.

[5] « Russisches Syrien-Abenteuer : Das Ende der alten Weltordnung », Matthias Schepp, Der Spiegel, 10. Oktober 2015.

[6] « Qu’est-ce qui a tant effrayé l’USS Donald Cook en Mer Noire ? », Réseau Voltaire, 14 septembre 2014.

[7] « Cu ce arme ultrasecrete a cîstigat Putin suprematia în razboiul radioelectronic din Siria ? », Valentin Vasilescu, Ziarul de gardã, 12 octobre 2015. Version française : « L’arme ultrasecrète qui permet à Poutine d’assoir sa suprématie dans la guerre radio électronique en Syrie ? », Traduction Avic, Réseau international.

[8] “KALIBRating the foe : strategic implications of the Russian cruise missiles’ launch”, by Vladimir Kozin, Oriental Review (Russia), Voltaire Network, 14 October 2015.

[9] Après avoir annoncé le contraire, les États-unis ont dû admettre les faits : “First on CNN : U.S. officials say Russian missiles heading for Syria landed in Iran”, Barbara Starr & Jeremy Diamond, CNN, October 8, 2015. Moscow rejects CNN’s report on Russian missile landing in Iran”, IRNA, October 8, 2015. “Daily Press Briefing”, John Kirby, US State Department, October 8, 2015. “Пентагон не комментирует сообщения о якобы упавших в Иране ракетах РФ”, RIA-Novosti, October 8, 2015.

Thierry MeyssanThierry Meyssan

Consultant politique, président-fondateur du Réseau Voltaire et de la conférence Axis for Peace. Dernier ouvrage en français : L’Effroyable imposture : Tome 2, Manipulations et désinformations (éd. JP Bertand, 2007). Compte Twitter officiel.

 

 

17/10/2015

François Gervais - L'effet de serre remis en question

François Gervais - L'effet de serre remis en question

Conférence-débat avec François Gervais, physicien, spécialiste de thermodynamique, dénonce la théorie officielle sur le réchauffement climatique. Primé par l’Académie des Sciences, il a récemment été choisi comme rapporteur critique par le GIEC.