Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

14/01/2016

L’État français complice de groupes criminels de Jean Loup Izambert - TOME 1

Des dirigeants politiques et hauts fonctionnaires à la tête de l’État français soutiennent des criminels et terroristes. Hier, ils ont protégé certains d’entre eux des recherches d’Interpol, aujourd’hui ils en soutiennent d’autres pour renverser le gouvernement syrien. De la « génération Mitterrand » à la « république exemplaire » de François Hollande, en passant par celle de Nicolas Sarkozy, 56 d’entre eux sont impliqués.

Avant-propos : Au cœur de l’État, ils protègent et arment des criminels

Chapitre 1 : « Confidentiel. À l’usage exclusif de la police et de l’autorité judiciaire »
De François Mitterrand à François Hollande en passant par Nicolas Sarkozy, les relations de dirigeants français avec des groupes criminels n’ont cessé de se développer.

Chapitre 2 : Frères musulmans, des dirigeants néocolonialistes
L’organisation criminelle des Frères musulmans soutenue par Paris est au cœur des conflits contre les pays arabes laïcs.

Chapitre 3 : Les deux faces de l’« opposition » anti-syrienne
La répartition des rôles au sein des organisations qualifiées d’« opposition » par les dirigeants français.

Chapitre 4 : Une « opposition » façonnée par des tueurs
Les principaux dirigeants de l’ « opposition » sont tous liés aux Frères et/ou aux milieux atlantistes et sionistes.

Chapitre 5 : Les « modérés » du président Hollande
Les activistes anti-syriens présentés comme « modérés » par les dirigeants français sont impliqués dans des activités délictuelles et criminelles. Portrait de famille.

Chapitre 6 : D’Alger à Damas, le même plan de subversion
La stratégie de destruction de l’État et de la société par les organisations des Frères musulmans.

Chapitre 7 : L’Élysée arme la main de l’ennemi
Chronologie du crime d’agression de la présidence et du gouvernement français contre la République arabe syrienne.

Chapitre 8 : Président ou trafiquant ?
François Hollande a décidé seul, avec l’état-major de l’Élysée, d’armer des organisations terroristes. Quid de la Constitution, du droit européen et international ?

56 - Tome 1 : L’État français complice de groupes criminels de Jean Loup Izambert
2015 - IS Edition 2015
prix : 20,00 €

 

 

ZOOM - IVAN BLOT : "LA RUSSIE DE POUTINE" (Vidéo)

Grâce à son livre, Ivan Blot, ancien parlementaire et haut fonctionnaire au ministère de l'Intérieur, permet aux Français de mieux connaître la Russie et donc de favoriser l'amitié franco-russe dont le pays a besoin. Pour l'auteur, la nouvelle Russie de Poutine jouera à l'avenir le rôle qu'ont pu jouer les Américains d'autrefois pour défendre les traditions et le patriotisme, le christianisme et la démocratie.

 

 

19/10/2015

Kling Anne - Révolutionnaires juifs, Les principaux acteurs des révolutions bolchéviques en Europe (Fin XI Xe-1950)

Quand l’histoire se répète.

Pourquoi croyez-vous qu’Hollande, BHL et Fabius, ont participé tous ensemble à placer un sioniste à la tête de l’Ukraine avec le Porochenko ?

Un livre à télécharger.

Voir aussi :

Russie : Le rôle des juifs dans la révolution bolchévique

Noblesse russe en émigration, portraits et souvenirs

Anne de Kiev (vers 1025 - avant 1080) princesse de Russie et reine de France

 

Kling Anne - Révolutionnaires juifs Les principaux acteurs des révolutions bolchéviques en Europe (Fin XIXe... by Pouvoir Mondial

 

Auteur : Kling Anne
Ouvrage : Révolutionnaires juifs Les principaux acteurs des révolutions bolchéviques en Europe (Fin XIXe-1950)
Année : 2008

Lien de téléchargement : Kling_Anne_-_Revolutionnaires_juifs


Avant-propos. Dans sa saga relatant l'histoire commune des Juifs et des Russes pendant la période soviétique, intitulée Deux siècles ensemble (tome 2, 1917-1972), Alexandre Soljénitsyne écrit ceci : '' ... Plus tard, en 1939, embrassant du regard les destinées du judaïsme sous le noir nuage de l'ère nouvelle qui s'annonçait, le même Biekerman écrivait : "La grande différence entre les Juifs et le monde qui les entourait était qu'ils ne pouvaient être que l'enclume, et jamais le marteau.

" Je ne prétends pas creuser ici, dans cet ouvrage limité, les grandes destinées historiques, mais j'émets sur ce point une réserve catégorique: peut-être bien en fut-il ainsi depuis que le monde est monde, mais à partir de l'année 1918, en Russie, et pendant encore une quinzaine d'années, les Juifs qui ont adhéré à la révolution ont servi également de marteau - du moins une grande partie d'entre eux».

En d'autres termes, les révolutionnaires juifs jouèrent un rôle essentiel dans la révolution bolchevique, aussi bien dans sa gestation que dans la phase de consolidation qui suivit. ...dans la phase de consolidation qui suivit. ...

 

17/10/2015

Climat Investigation : LES DESSOUS D'UN SCANDALE PLANETAIRE par Philippe Verdier, Le livre

Climat Investigation

Philippe Verdier, M. Météo de France 2, privé d'antenne à cause de son livre

Auteur Philippe Verdier
Genre Document
Pagination 330 pages
Collection DOCUMENTS

LES DESSOUS D’UN SCANDALE PLANETAIRE


Le climat est aujourd’hui une guerre, une religion. Tout avis contraire sera éliminé. Quelle voix s’élèvera pour rompre le silence pour faire éclater la vérité avant le sommet de Paris ?

Il n’existe aujourd’hui plus de lien entre le climat et le discours alarmiste sur ce sujet. Les Français sont maintenus dans la peur par un matraquage sans précédent. Cette prise d’otages constitue un enjeu diplomatique pour la Conférence de Paris. Au plus haut sommet de l’Etat, l’échec de la COP 21 est diagnostiqué depuis longtemps mais la manipulation et le spectacle s’amplifient davantage.

Le GIEC, ultra politisé, se délite sous les scandales et ses méthodes critiquables. La parole scientifique est inaudible. Les Nations Unies plongées dans la corruption pataugent volontairement depuis une génération de pourparlers. Lobbies économiques, associations écologistes, gouvernements et religions tissent des liens dangereux. Les ambassadeurs du climat entretiennent cette crise aussi brûlante qu’impalpable.

La France figure pourtant parmi les pays les moins touchés par le changement climatique. Notre économie et notre société bénéficient déjà des avantages considérables du réchauffement. Le développement des énergies renouvelables menace notre sécurité et ne compensera aucunement l’explosion démographique identifiée comme une cause principale du problème. Qui osera ouvertement rompre ces tabous sous la pression extrême des dirigeants ?

Philippe VERDIER est journaliste-présentateur à France 2 et chef du service météo de France Télévisions. Diplômé d’un master en Développement Durable à l’Université de Paris Dauphine, il a couvert trois conférences sur le climat, dont celle de Copenhague.

Trailer Officiel : CLIMAT INVESTIGATION Philippe Verdier

 

 


 

14/10/2015

John Pilger : « L'acte révolutionnaire de dire la vérité »

John Pilger : « L’acte révolutionnaire de dire la vérité »

Publié le par Olivier Demeulenaere

« John Pilger, journaliste et documentariste notamment connu pour son soutien à Julian Assange, entame une réflexion sur l’information et la propagande en temps de guerre, ainsi que sur le rôle des médias.

L’article original ici

orwell telling truth revolutionary act

George Orwell disait : «A une époque de tromperie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire».

Nous vivons des temps sombres, dans lesquels une propagande de tromperies touche l’ensemble de nos vies. C’est comme si la réalité politique avait été privatisée et l’illusion légitimée. L’âge de l’information est un âge médiatique. Nous recevons la politique par les médias ; la censure par les médias ; la guerre par les médias ; le châtiment par les médias ; la diversion par les médias – un ensemble surréaliste de clichés et de fausses suppositions.

La technologie, si merveilleuse, est devenue à la fois notre amie et notre ennemie. Chaque fois que nous allumons un ordinateur ou saisissons un appareil numérique – nos chapelets laïcs – nous sommes sujets au contrôle : à la surveillance de nos habitudes et routines, et aux mensonges et à la manipulation.

Edward Bernays, qui a inventé le terme relations publiques comme euphémisme pour propagande, avait prédit cela il y a plus de 80 ans. Il avait appelé ça «le gouvernement invisible».


Il écrivait : «Ceux qui manipulent ce mécanisme social imperceptible [de la démocratie moderne] forment un gouvernement invisible qui représente la véritable force dirigeante de notre pays… Nous sommes gouvernés, nos esprits sont moulés, nos goûts formés, nos idées suggérées, en grande partie par des gens dont nous n’avons jamais entendu parler…»

L’objectif de ce gouvernement invisible est la conquête de notre être : de notre conscience politique, de notre sens du monde, de notre capacité à penser indépendamment, à séparer la vérité des mensonges.

« Les musulmans sont mauvais. Les bigots saoudiens sont bons. Les bigots de l’Etat Islamique sont mauvais. La Russie est toujours mauvaise. La Chine est en train de devenir mauvaise. Bombarder la Syrie est bon. Les banques corrompues sont bonnes. La dette corrompue est bonne. La pauvreté est bonne. La guerre est normale ».

Il s’agit d’une forme de fascisme, un mot que nous utilisons, et à raison, avec précaution, préférant le laisser au passé. Mais le danger d’un fascisme moderne insidieux se précise. Comme dans les années 1930, de grands mensonges sont délivrés avec la régularité d’un métronome. Les musulmans sont mauvais. Les bigots saoudiens sont bons. Les bigots de l’Etat Islamique sont mauvais. La Russie est toujours mauvaise. La Chine est en train de devenir mauvaise. Bombarder la Syrie est bon. Les banques corrompues sont bonnes. La dette corrompue est bonne. La pauvreté est bonne. La guerre est normale.

Ceux qui remettent en question ces vérités officielles, cet extrémisme, sont jugés comme ayant besoin d’une lobotomie – jusqu’à ce qu’ils soient diagnostiqués fidèles à la ligne du parti. La BBC fournit ce service gratuitement. La non-soumission se voit étiquetée de radicale – peu importe ce que cela signifie.

La dissidence réelle est devenue exotique ; et pourtant ceux qui font dissidence n’ont jamais été aussi importants. Le livre que je lance ce soir, The Wikileaks Files, est un antidote à un fascisme qui ne dit jamais son nom. C’est un livre révolutionnaire, de la même manière que Wikileaks est en soi révolutionnaire – exactement dans le sens qu’Orwell donnait au mot dans la citation du début de l’article. Car il dit que nous n’avons pas à accepter ces mensonges quotidiens. Ou comme Bob Marley le chantait : «Emancipe-toi de l’esclavage mental».

Dans l’introduction, Julian Assange explique qu’il n’est jamais suffisant de publier les messages secrets d’un grand pouvoir : que comprendre leur sens est crucial, de même que les replacer dans le contexte actuel et dans la mémoire historique.

La prouesse incroyable de cette anthologie est donc de remettre notre mémoire en état. Il connecte les raisons et les crimes qui ont causé tant de bouleversements humains, depuis le Vietnam et l’Amérique centrale, jusqu’au Moyen-Orient et à l’Europe de l’Est, avec comme matrice une puissance rapace, les Etats-Unis.

Actuellement, il y a une tentative américaine et européenne de détruire le gouvernement de Syrie. Le Premier Ministre David Cameron s’y montre particulièrement appliqué. Il s’agit du même David Cameron dont j’ai le souvenir d’émissaire mielleux employé par un dépeceur d’entreprise de la télévision privée britannique.

Cameron, Obama, et le toujours plus servile François Hollande veulent détruire la dernière autorité multiculturelle restante en Syrie, une action qui ouvrira certainement une brèche aux fanatiques de l’Etat Islamique.

C’est dément, naturellement, et le grand mensonge justifiant cette démence est qu’il s’agit de venir en aide aux Syriens qui se sont soulevés contre Bachar el-Assad durant le Printemps arabe. Or, comme le révèle The Wikileaks Files, la destruction de la Syrie est un projet cynique impérial de longue haleine, qui date d’avant le soulèvement du Printemps arabe contre Assad.

« Dans un monde détenu par les Etats-Unis, l’indépendance est intolérable. »

Pour les dirigeants du monde, à Washington et en Europe, le véritable crime de la Syrie n’est pas la nature oppressive de son gouvernement, mais bien son indépendance de la puissance américaine et israélienne – tout comme le véritable crime de l’Iran est son indépendance, et comme le véritable crime de la Russie est son indépendance, et comme le véritable crime de la Chine est son indépendance. Dans un monde détenu par les Etats-Unis, l’indépendance est intolérable.

Ce livre révèle ces vérités, l’une après l’autre. La vérité sur une guerre contre le terrorisme qui a en fait toujours été une guerre par le terrorisme, la vérité sur Guantanamo, la vérité sur l’Irak, l’Afghanistan, l’Amérique latine.

Jamais le fait de dire la vérité de la sorte n’a été si urgent. A quelques honorables exceptions près, ceux qui travaillent dans les médias, soi-disant payés pour s’en tenir aux faits, sont maintenant absorbés dans un système de propagande qui n’est plus du journalisme, mais de l’anti-journalisme. Cela est vrai du libéral et du respectable, comme ça l’est de Murdoch. A moins d’être prêt à surveiller et déconstruire chaque affirmation spécieuse, les soi-disantes informations sont devenues irregardables et illisibles.

En lisant The Wikileaks Files, je me suis souvenu des mots de feu Howard Zinn, qui faisait souvent référence à «un pouvoir que les gouvernements ne peuvent supprimer». Cela définit Wikileaks ainsi que les autres personnes tirant la sonnette d’alarme, qui partagent leur courage.


A titre personnel, je connais les gens de Wikileaks depuis maintenant un certain temps. Le fait qu’ils aient réalisé ce qu’ils ont réalisé dans des circonstances qu’ils n’ont pas choisies, est une source d’admiration constante. Leur aide dans le sauvetage d’Edward Snowden me vient à l’esprit. Comme lui, ils sont héroïques : rien de moins.

Le chapitre de Sarah Harrison, Indexing the Empire, décrit comment elle et ses camarades ont monté une bibliothèque publique intégrale de la diplomatie US. Celle-ci contient plus de deux millions de documents, désormais accessibles à tous. «Notre travail», écrit-elle, «est consacré à s’assurer que l’histoire appartienne à tout un chacun». Comme il est vibrant de lire ces mots, qui sonnent comme un hommage à son propre courage.

Depuis le confinement d’une pièce de l’ambassade équatorienne à Londres, le courage de Julian Assange apparait comme une réponse éloquente aux lâches qui l’ont sali, ainsi qu’à l’Etat voyou qui cherche à se venger de lui, et finance une guerre contre la démocratie.

Rien de tout cela n’a découragé Julian et ses camarades de Wikileaks : pas le moins du monde. C’est quelque chose, non ? »

John Pilger, le 30 septembre 2015 (via Russia Today)

Rappels :

Julian Assange : « Nous vivons sous un régime de surveillance de masse, parfaitement orwellien »

Les révélations fracassantes d’un ancien rédacteur en chef allemand sur ses liens et ceux de la plupart des journalistes occidentaux avec la CIA

Vers une guerre totale de l’information (A. Latsa)

Lire aussi :

Wikileaks : ces câbles qui révèlent l’action des Etats-Unis contre la Syrie depuis 2006