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22/12/2014

La Bible dévoilée, les nouvelles révélations de l'archéologie

Quand et pourquoi la Bible a-t-elle été écrite? Que savons-nous des premiers patriarches? Quand le monothéisme est-il apparu? Comment le peuple d'Israël est-il entré en possession de la Terre promise? Jérusalem a-t-elle toujours été le centre de l'ancien Israël ? Pour la première fois, il est possible de répondre à ces questions avec un haut degré de certitude. Car les auteurs, Israel Finkelstein et Neil Asher Silberman, puisent leurs arguments dans les découvertes archéologiques les plus récentes, entreprises en Israël, en Jordanie, en Égypte, au Liban et en Syrie. Loin de sortir désenchanté de cette mise à plat historique du Livre des livres, le lecteur est d'autant plus fasciné par ces nomades et ces agriculteurs d'il y a trois mille ans, qui ont su fabriquer, en des temps de détresse ou de gloire, un récit dont la fécondité n'a cessé d'essaimer au-delà de ce peuple

La Bible dévoilée, les nouvelles révélations de l'archéologie
Israël Finkelstein, Neil Asher Silberman
Bayard, 432 p., 2002

Couverture La Bible dévoilée

Le texte biblique a été conçu en deux ou trois générations, autour de la fin du VII° siècle av. J.C., dans le petit royaume israélite de Juda, autour de la cour de Jérusalem, avec des intentions théologiques et politiques, dans un climat de peurs et d’espoirs face au puissant voisin égyptien. Sur le plan religieux, ces écrits tendent à fixer l’orthodoxie dans le monothéisme judaïque, en centralisant le culte d’un Dieu unique dans un lieu unique, le Temple de Jérusalem, sous l’autorité d’un descendant de la dynastie de David, premier souverain de la monarchie unifiée de l’histoire d’Israël. Sur le plan politique, la constitution d’une histoire nationale, l’origine glorieuse d’Abraham (« Ur en Chaldée »), la lutte victorieuse contre l’esclavage en Égypte et la conquête par Josué de Canaan (Syrie-Palestine) justifient pleinement les prétentions du roi Josias, dans cette période dramatique de la fin du VII° siècle : l’indépendance par rapport au pharaon Neko II, mais aussi la souveraineté sur l’ancien royaume rival d’Israël, au Nord.

Archéologues, les auteurs confrontent dans l’ouvrage la Bible aux données issues des fouilles et des documents égyptiens et mésopotamiens. Il en ressort que bien des épisodes de la Bible – parmi les plus connus – comme l’errance des Patriarches (Abraham, Isaac, Jacob), l’esclavage des Hébreux en Égypte, l’Exode sous la conduite de Moïse, l’errance de 40 ans dans le désert du Sinaï, la conquête victorieuse de Canaan par Josué, la monarchie unifiée sous l’autorité du grand David, la splendeur de Jérusalem dotée de son magnifique Temple par Salomon ne correspondent à aucune donnée archéologique ou historique et n’ont tout bonnement pas eu lieu ! Reprenons ces points successivement…

Les royaumes de Juda et d'Israël

Carte tirée de l'Atlas Hachette, Histoire de l'humanité, 1992

En quête des patriarches… Rappelant que la majorité des pionniers de l’archéologie biblique étaient des prêtres ou des théologiens, les auteurs montrent que tous les efforts pour retrouver les traces de la grande migration vers l’ouest d’Abraham, d’Ur à Harân, en Mésopotamie, puis vers Canaan (sa tombe se trouvant, selon la Genèse, à Hébron, dans les actuels territoires palestiniens) se sont révélés vains. « L’archéologie prouve de façon indubitable qu’aucun mouvement subit et massif de population ne s’est produit à cette époque », mouvementque les tenants d’une migration historique de tribus conduite par Abraham et sa famille situent d’ailleurs à des dates contradictoires, selon les découvertes (entre la moitié et la fin du III° millénaire, entre le début et la moitié du II° millénaire, au début de l’âge du Fer (1150-900 av. J.C.).

D’entrée de jeu, les auteurs affirment que le texte de la Genèse a été compilé, à partir de sources plus anciennes, au VII° siècle av. JC, sans qu’il soit possible d’en extraire un compte rendu historique exact. Par exemple, l’histoire des patriarches est remplie de chameaux transportant des marchandises, alors que l’archéologie révèle que le dromadaire n’est couramment utilisé comme bête de somme qu’à partir de l’an 1000 av. J.C., bien après l’existence supposée des patriarches. Avec Abraham, Isaac, Jacob – le père des 12 tribus d’Israël, la Genèse met en scène une ascendance commune à tout le peuple israélite, en insistant sur Juda. Sur son lit de mort, Jacob confie ainsi le droit d’aînesse à son fils Juda, qui donnera son nom à l’un des deux royaumes israélites du Levant, celui du Sud, où se trouve le tombeau, près d’Hébron, des trois patriarches.

L’Exode a-t-il eu lieu ?
Moïse se dressant face au Pharaon, déchaînant contre lui les 10 plaies d’Égypte, la fuite à travers la Mer Rouge, puis les Dix Commandements révélés au premier des Hébreux sur « le mont de Dieu », ces épisodes bibliques sont parmi les plus évocateurs et les plus significatifs de la Bible. Sont-ils pour autant historiques ? Au risque de décevoir leurs lecteurs, les auteurs affirment : « Nous n’avons pas la moindre trace, pas un seul mot, mentionnant la présence d’Israélites en Égypte : pas une seule inscription monumentale sur les murs des temples, pas une seule inscription funéraire, pas un seul papyrus. L’absence d’Israël est totale – que ce soit comme ennemi potentiel de l’Égypte, comme ami, ou comme peuple asservi. »

 

A l’époque supposée de l’Exode, au XIII° siècle av. J.C., l’Égypte de Ramsès II est une puissance considérable, qui contrôle parfaitement les cités-États de Canaan. Des forteresses égyptiennes balisent la frontière, d’autres sont bâties en Canaan. Pour Finkelstein et Silberman, il est inimaginable qu’une foule d’esclaves hébreux aient pu fuir vers le désert et la Mer Rouge sans rencontrer les troupes égyptiennes, sans qu’il en reste trace dans les archives étatiques. Or, la plus ancienne mention des Hébreux est une stèle commémorant, à la fin du XIII° siècle av. J.C., la victoire du pharaon Merneptah sur le peuple d’Israël, mais en Canaan-même. Même absence de vestiges archéologiques dans le Sinaï, où les compagnons de Moïse ont, selon la Bible, erré pendant 40 ans.


Toutefois, pour n’être pas exacte d’un point de vue historique, la Bible, dans sa description de l’Exode, n’est pas pour autant une fiction littéraire : les toponymes (les noms de lieu) en Égypte, dans le Sinaï ou à Canaan, désignent bien des territoires historiques, mais plus proches là encore du VII° siècle av. J.C. que de l’époque présumée de l’Exode. (Ce dernier fait peut-être allusion à l’expulsion d’Égypte, bien réelle celle-là, des Hyksos, qui étaient eux-mêmes des Cananéens). Dès lors, ce récit d’un affrontement victorieux entre Pharaon et Moïse a pu devenir une saga nationale, une toile de fond mythique et encourageante alors qu’au VII° siècle av. J.C., la renaissance de l’Égypte menace les ambitions du roi de Juda, Josias.

L’origine des Israélites…
Selon le texte biblique, Moïse confie la conquête de la Terre promise, Canaan, à son lieutenant Josué. Aidé par Dieu, Josué multiplie les victoires, comme à Jéricho, les murailles s’effondrant sous les trompettes de guerre. Là encore, la réalité archéologique contredit le Livre de Josué. Par exemple, les cités de Canaan n’étaient pas fortifiées ; aucune muraille ne pouvait donc s’écrouler… Surtout, l’idée même d’une invasion de Canaan par les Hébreux venus d’Égypte est contestée par nos auteurs. Pour eux, les Hébreux sont en fait des peuplades indigènes de Canaan, qui ont développé progressivement une identité ethnique israélite. Loin d’être de lointains immigrés, loin d’avoir violemment conquis le pays, les Hébreux sont donc surtout des pasteurs, des éleveurs de Canaan, dont le mode de vie s’est modifié au point de les distinguer des autres peuples autochtones, par exemple par leurs habitudes alimentaires (l’interdiction de consommer du porc). Aux alentours de 1200 av. J.C., lors d’une crise très grave de la société cananéenne du littoral, ils ont colonisé les hautes terres de Judée et les montagnes de Samarie, habitant des villages non fortifiés très rustiques.

Un royaume hébreu sous l’autorité de David et Salomon…
A l’époque présumée du premier grand souverain hébreu, David, vers l’an 1000 av. J.C., cette société israélite est encore peu développée, très peu peuplée, et n’a certainement pas la dimension d’une cité-État alphabétisée, capable d’encadrer de grands travaux sous le contrôle d’une bureaucratie de fonctionnaires. « Les fouilles entreprises à Jérusalem n’ont apporté aucune preuve de la grandeur de la cité à l’époque de David et de Salomon », écrivent nos auteurs, qui enfoncent le clou à propos du fameux Temple bâti par Salomon : « Les fouilles entreprises à Jérusalem, autour et sur la colline du Temple, au cours du XIX° siècle et au débit du XX° siècle, n’ont pas permis d’identifier ne serait-ce qu’une trace du Temple de Salomon et de son Palais ». Dans une Jérusalem qui ressemble plus à un village de montagne qu’à une capitale prestigieuse, David et Salomon ont certes existé, mais leur mémoire a surtout servi à construire le mythe d’un seul peuple puissant, d'une monarchie israélite unifiée sous la légitime dynastie davidienne. La réalité, telle qu’elle est rapportée par nos auteurs, est toute différente…


Deux royaumes israélites pendant toute l’histoire juive… En se fondant là encore sur leurs investigations archéologiques, Finkelstein et Silberman introduisent – contre le mythe d’une monarchie unifiée originelle - l’idée neuve de l’existence originelle et durable de deux entités israélites, deux sociétés distinctes, au Sud et au Nord des hautes terres, dont les rivalités et le destin historique ont commandé l’écriture de la Bible. Au Sud, le royaume de Juda, plus pauvre, moins peuplé, gouverné depuis Jérusalem par les héritiers de David. D’ailleurs, le Dieu d’Israël, dans les territoires du Sud, est appelé YHWH (que l’on prononce Yahvé). Au Nord, c’est le royaume d’Israël, beaucoup plus prospère, plus peuplé, plus influent, dont la capitale, Samarie, est un grand centre administratif, doté d’un palais et de son propre temple pour honorer El, ou Elohim.

Un nouveau monothéisme…Tout le propos du Livre des Rois est de montrer que seul le royaume du Sud, dans sa légitimité davidienne, a vocation à gouverner l’ensemble des territoires israélites, à partir d’un culte centralisé dans le Temple de Jérusalem. Bien que plus influent, avec de puissantes cités comme Samarie ou Megiddo, le royaume nordiste d’Israël, selon le texte biblique, était voué à la destruction du fait de l’incroyance de ses souverains et de la composition multiethnique de sa population : en 720 av. J.C., les Assyriens détruisent le royaume de Samarie et annexent la contrée. « Le royaume de Juda se retrouva soudain seul, cerné par un monde non israélite. Le royaume ressentit alors le besoin impérieux de posséder un document écrit qui le définît et le motivât. Ce texte, c’est le noyau historique de la Bible, compilé à Jérusalem au cours du VII° siècle av. J.C. »
La destruction du royaume d’Israël est l’occasion de proférer l’exigence, pour tous les Israélites, d’un monothéisme radical – celui du Deutéronome, le cinquième Livre de la Torah (le Pentateuque), qui prescrit l’observance des fêtes nationales (la Pâque, les Tabernacles), l’interdiction des « mariages mixtes », la protection des faibles et des indigents. Jusqu’à cette époque, bien des cultes, celui de divinités domestiques, du soleil, de la lune et des étoiles, de Baal ou d’Asherah (« épouse » de Dieu…) cohabitaient avec celui de YHWH, au sein même du Temple, mais aussi dans des sanctuaires de campagne ! En même temps, l’héritier de David, le roi Josias, est présenté comme un véritable messie, chargé de restaurer la monarchie unifiée et l’autorité davidienne sur tous les Israélites, alors même que les Assyriens se retiraient des provinces du Nord.

Des rois aux prêtres… En 609 av. J.C., le roi Josias est tué par les troupes du pharaon Neko II. Mais ce sont les Babyloniens de Nabuchodonosor qui ravagent le royaume de Juda, incendient Jérusalem et détruisent le Temple en 586 av. J.C. (les fouilles archéologiques ont restitué pointes de flèches et traces d’incendie). Une partie des Israélites, faible selon nos auteurs, l’élite surtout, est déportée à Babylone. Cet exil, relativement court dans le temps puisque les Perses[1] de Cyrus détruisent l’empire babylonien en 534, est essentiel dans la mise en forme finale du Pentateuque. L’éloignement d’Israël réactive le souvenir de l’Exode. Le destin prestigieux d’Abraham choisi par Dieu pour offrir une Terre prospère à sa nation est un message d’espoir, tout comme le souci de bien marquer la séparation entre le peuple juif et ses voisins. Enfin, la reconstruction du Temple (qui inaugure la période dite du Second Temple) permet la conservation de l’identité israélite autour des prêtres, dont l’importance s’est réaffirmée pendant l’exil. En effet, les territoires israélites ne sont plus gouvernés par les descendants de David, la monarchie est hors-jeu : après les Perses viennent les Grecs d’Alexandre, puis ses généraux, puis les Romains (avec un certain Ponce Pilate), les Byzantins, les Arabes… Mais l’épopée biblique est devenue suffisamment cohérente pour permettre la survie identitaire du peuple juif, et son prolongement dans le christianisme.

 [1] Le royaume de Juda devient alors la province perse de Yehoud (en araméen). Les Judéens deviennent alors les Yehoudim, les Juifs…

21/12/2014

ILLUMINATI : Le culte qui a détourné le monde par Henry Makow Ph.D.

ILLUMINATI : Le culte qui a détourné le monde

Livre à télécharger : ICI ou à commander sur Amazon 

Une preuve du programme de dépopulation mondiale et de stérilisation qui date du 3/11/1969

Memorandum to Bernard Berelson (President, Population Council) found in  "Activities
Relevant to the Study of Population Policy for the U.S." 3/11/69 by Frederick S. Jaffe (Vice-president of Planned Parenthood - World Population).

A télécharger : ICI

NOUS SUBISSONS UNE ATTAQUE OCCULTE

“Le principe luciférien est l’art de dissimuler les ténèbres en pleine lumière, de provoquer la guerre à partir de la paix, et d’amener enfin à la servitude par la libération de toute contrainte. De cette façon, un peuple est suborné pour embrasser son propre destructeur.”(Eliezer)

“Le Sionisme politique est une question de Gros Sous. Il est utilisé par les financiers juifs et chrétiens de ce pays et de la Grande-Bretagne, pour faire croire que les Juifs en Palestine seront gouvernés par un descendant du Roi David, qui finira par dominer le monde. Quel délire! Cela conduira à la guerre entre les Arabes et les Juifs et, éventuellement, à la guerre entre les Musulmans et les non-Musulmans. Ce sera le tournant de l’histoire.”(Henry H. Klein, “Un Juif met en garde les Juifs” 1947)

“De tout temps, il y a eu deux sortes de Juifs, aussi différents que s’ils appartenaient à deux races différentes. Il y avait des Juifs qui ont vu Dieu et proclamé sa loi, et ceux qui adoraient le veau d’or et aspiraient aux butins de l’Egypte, il y avait les Juifs qui ont suivi Jésus et ceux qui l’ont crucifié…” Mme Z.A. Rogozin (“les Juifs de Russie et les Gentils” 1881)

HISTOIRE CACHÉE, SIONISME ET ANTISÉMITISME

Aussi bizarre et incroyable que cela puisse paraître, l’humanité a été colonisée par un culte satanique appelé les Illuminati. Ce culte représente les banquiers maçonniques et juifs qui ont usurpé un monopole sur le crédit du gouvernement, qui leur permet d’exiger des intérêts sur les fonds qu’ils créent à partir de rien.

Naturellement, ils veulent protéger ce privilège en le traduisant dans un monopole politique et culturel. Cela prend la forme d’un gouvernement mondial totalitaire dédié à Lucifer, qui représente leur mépris de Dieu.

Ainsi, les gens qui contrôlent les cordons de notre bourse conspirent contre nous. Pour nous distraire et nous contrôler, ils ont utilisé un vaste réseau occulte (la franc-maçonnerie) pour infiltrer la plupart des organisations, en particulier le gouvernement, les agences de renseignement, le système éducatif et les médias de masse.

L’humanité est repensée pour servir les Illuminati. Ils portent atteinte à
des institutions comme celle du mariage et de la religion, et promeuvent la dépravation, le dysfonctionnement, la corruption et la division. Ils ont orchestré deux guerres mondiales et en planifient une troisième.

Henry Makow décrit cette conspiration et montre comment l’histoire humaine se déroule selon les plans des Illuminati.

 

 

ILLUMINATI 3 : La possession satanique par Henry Makow Ph.D.

 

ILLUMINATI 3: La possession satanique

Front Illuminati3

LA GUERRE SECRÈTE CONTRE DIEU ET L’HOMME

« Il avait été décidé que l’Angleterre devait être la première nation à subir toute une série de Révolutions qui ne sont pas encore arrivées à leur terme. » – Isaac Disraeli, Life of Charles I,publié en 1851.

« Le fondement de la famille Chrétienne est le sacrement du mariage, le socle de toute la morale publique et privée. Les sociétés antichrétiennes sont opposées au principe de la famille. Lorsqu’elles auront détruit le foyer, la moralité de la société toute entière périra. » – Benjamin Disraeli, Lothair, 1870

« Si cette hostilité, cette répugnance même, ne s’étaient exercées vis-à-vis des juifs qu’en un temps et en un pays, il serait facile de démêler les causes restreintes de ces colères ; mais cette race a été, au contraire, en butte à la haine de tous les peuples au milieu desquels elle s’est établie… il faut donc que les causes générales de l’antisémitisme aient toujours résidé en Israël même et non chez ceux qui le combattirent. » – Bernard Lazare, (Juif et Dreyfusard)L’Antisémitisme : son histoire et ses causes, 1894.

« Nous avons convertis les gens à notre philosophie de l’avoir et de l’acquisition pour qu’ils ne soient jamais satisfaits. Les insatisfaits sont des pions dans notre jeu de conquête mondiale… Au moment même où il cherche le bonheur en dehors d’eux-mêmes, ils deviennent nos zélés serviteurs. » -

L’HISTOIRE CACHÉE, L’HOMOSEXUALITÉ, LE COMMUNISME

Ce qui passe pour des « changements sociaux » spontanés, n’est en fait rien d’autre qu’un processus organisé de possession satanique.

Ce développement n’est pas un phénomène isolé ou récent. La société occidentale est basée sur une rébellion contre Dieu et l’ordre naturel et moral.

Les prétendues « Lumières » font références à Lucifer, le « porteur de lumière ». Il représente la détermination des Illuminati à rejeter la réalité, le Créateur et son Dessein, pour mieux construire une réalité solipsiste plus conforme à leurs intérêts et leurs croyances perverties, celles qui inversent le bien et le mal, la vérité et le mensonge, le sain et le malsain…

C’est ce qu’ils entendent par « réinventer le monde » ou « changer le monde ».

Il ne sert de rien de chercher à adoucir cette réalité. Des Juifs Satanistes (Kabbalistes) et des Francs-maçons mènent une guerre secrète contre Dieu et l’homme et sont proches de la victoire. Beaucoup de Juifs et de Francs-maçons ont constitué une force subversive – telle est la raison réelle de l’antisémitisme.

Bien sûr, la majorité des Juifs (et des Chrétiens) ne sont pas conscients de ce processus de possession satanique. Nous y avons tous succombé.

Se faisant passer pour de la « laïcité » et de « l’humanisme », le Satanisme est la religion secrète de l’Occident.

 

 

Livre : L'arnaque cruelle : Féminisme & Nouvel Ordre Mondial: L'attaque contre votre identité humaine par Henry Makow Ph.D.

L'arnaque cruelle : Féminisme & Nouvel Ordre Mondial:
L'attaque contre votre identité humaine

cruelhoax-french

LE FÉMINISME, L’HOMOSEXUALITÉ & COMMENT FONCTIONNE L’HÉTÉROSEXUALITÉ

Le féminisme, notre idéologie officielle du genre, se fait passer pour un mouvement en faveur du droit des femmes. En réalité le féminisme est une arnaque cruelle, disant aux femmes que leurs instincts naturels sont « fabriqués » par la société pour les oppresser.

Le féminisme stérilise les deux sexes et rend les femmes inaptes au mariage et à la maternité, et les hommes incapable de diriger et de se sacrifier pour leur famille.

Les Rockefeller et les Rothschild ont créé la seconde vague du féminisme pour empoisonner les relations homme-femme (diviser pour régner). Leurs buts jumeaux sont la dépopulation et un gouvernement mondial totalitaire. Ils créent l’argent à partir de rien et pensent qu’ils doivent remplacer Dieu.

« L’Arnaque Cruelle » montre la connexion entre le féminisme, le Communisme et le 11/09. Il examine les relations hommes-femmes et décrit comment nous pouvons retrouver notre hétérosexualité.

LE POUVOIR EN ÉCHANGE DE L’AMOUR (Le Contrat Hétérosexuel)

« Le geste d’un homme ouvrant la porte à une femme illustre comment les hommes et les femmes devraient se comporter. Nous savons tous qu’une femme peut ouvrir la porte elle-même. Mais lorsqu’un homme le fait, il affirme sa féminité, sa beauté et son charme. Lorsqu’elle accepte ce geste, elle valide son pouvoir masculin. Cet échange, une femme abandonnant le pouvoir physique en échange de la protection de l’homme (c’est-à-dire l’amour) est l’essence de l’hétérosexualité. Afin de se développer émotionnellement, les hommes et les femmes ont besoin de cette validation mutuelle autant qu’ils ont besoin du sexe lui-même. La relation sexuelle est l’expression de ce contrat exclusif. »

« Sous l’influence toxique du féminisme, les femmes ouvrent leurs propres portes. Aucune identité sexuelle n’est validée ; aucun des deux sexes ne mature émotionnellement. Les hommes se sentent inutiles et impuissants ; les femmes se sentent rejetées et non aimées. »

 

 

02/12/2014

Hervé RYSSEN : Les Milliards d'Israël ! ça va chier ! Vidéo

A rapprocher de l'article précédent :

Des escrocs (juifs ?!) soutirent 14 M€ à une entreprise en un coup de fil!

Ajoutée le 27 nov. 2014

Mon dernier livre, Les Milliards d'Israël, fait l'objet d'une action en justice intentée par la Licra. Mais ce procès-là, ils l'ont déjà perdu !

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23/10/2014

LES MILLIARDS D’ISRAËL, Escrocs juifs et financiers internationaux. Entretien avec Jérôme Bourbon

Entretien paru dans l'hebdomadaire Rivarol du 9 octobre 2014.

Jérôme Bourbon : Hervé Ryssen bonjour. Vous venez de faire paraître votre nouveau livre… Les Escrocs juifs… Une fois de plus, vous mettez le doigt “là où ça fait mal”, comme on dit.

Hervé Ryssen : Je passe d’abord le bonjour à tous mes lecteurs de Rivarol. Je n’oublie pas que Rivarol et (avec la revue Réfléchir et Agir), le seul journal qui m’a soutenu depuis le début, en 2005.  L’étude que je publie aujourd’hui était nécessaire. J’ai déjà abordé le sujet des grandes escroqueries dans mon livre de juin 2008 sur la “Mafia juive”, mais les records en la matière ne cessent d’être pulvérisés, au point que les affaires précédentes paraissent relever d’une autre époque.

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