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24/09/2015

Armement nucléaire : La Russie met en garde contre le plan américain !

Voilà, comme nous savons quels sont les pays européens et celui du Moyen orient qui stockent les armes nucléaires des USA/OTAN et à partir de quels pays les attaques nucléaires pourraient provenir  : l'Allemagne, la Belgique, les Pays-Bas, l'Italie et la Turquie.

Armes nucléaires US en Allemagne: Moscou pourrait se retirer du Traité FNI

21:45 23.09.2015

Moscou menace de se retirer du traité FNI en cas de déploiement de bombes nucléaires en Allemagne par le Pentagone.

Le déploiement de nouvelles armes nucléaires américaines en Allemagne pourrait contraindre la Russie à se retirer du Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (FNI), a déclaré à l'agence Sputnik le président de la Commission de la défense et la sécurité du Conseil de la Fédération (sénat russe), Viktor Ozerov.

 

La Russie met en garde contre le plan américain

Sep 22, 2015 12:39 UTC
 
 
 

 

IRIB - la Porte-parole du ministère russe des affaires étrangères a jugé inquiétante les plans de Washington consistant à mettre à niveau l’armement nucléaire américain en Allemagne et dans les autres pays européens.

«Nous considérons de tels plans comme des avertissements », a ajouté à la chaîne allemande ZDF Maria Zakharov. Selon ce rapport, les armes nucléaires américaines resteront actives en Allemagne, en Belgique, aux Pays-Bas, en Italie et en Turquie. Elle a rappelé une période de la décennie 1990 où la Russie a réduit de 75% son arsenal nucléaire non-stratégique et les a désactivés avant de les stocker sur son territoire national.
 

La Syrie préparerait deux nouvelles bases, pour accueillir des renforts russes

La Syrie, dans le collimateur de la Russie?

La Syrie, dans le collimateur de la Russie?

IRIB- La Syrie préparerait deux nouvelles bases, pour accueillir des renforts russes.

Signe que Moscou cherche à renforcer sa présence, dans le pays, pour lutter contre le groupe Etat islamique, affirme, mardi, l'institut IHS Jane's, spécialisé dans le renseignement.
 
Après l'analyse d'images satellite, IHS Jane's a identifié deux nouveaux sites, en Syrie, qui pourraient s'apprêter à accueillir des forces russes. Sur ces deux bases --le complexe de stockage d'armes Istamo et le complexe militaire Al-Sanobar, tous deux, au Nord de l'aéroport de Lattaquié-- les préparatifs semblent en cours, pour accueillir des forces russes, souligne l'institut, basé à Londres.
 
Cette activité inclut la construction de nouveaux bâtiments, le nettoyage de surface, ainsi que le nivellement et le pavage de terrain. On constate la présence de tentes, du même type que celles utilisées par les unités militaires russes, souligne l'organisation spécialisée.

 

23/09/2015

La Russie déploiera des " Iskandar" à Kaliningrad

La réponse de la Russie aux menaces nucléaires US  en Allemagne !

On voit comment les nazies US/UE/Sionistes sont heureux que la Russie et le l'OTSC arrivent en Syrie pour protéger Assad et éliminer les mercenaires payés par les USA et Cie, appelés l'EI !

Rappelons aussi que la Russie a intérêt aussi à protéger sa base militaire à Tartous en Syrie pour laquelle Assad lui a donné son accord en mars 2015.

Assad: Damas autorisera la création d'une base navale russe en Méditerranée

19:43 26.03.2015 Damas est prêt à autoriser la Russie à transformer son centre d'entretien naval de Tartous en une base militaire en Méditerranée orientale.

Les autorités syriennes ne s'opposeront pas à la décision de la Russie de moderniser son centre d'entretien naval de Tartous pour en faire une base militaire si une telle décision est adoptée par Moscou, a déclaré jeudi le président syrien Bachar el-Assad lors d'une rencontre avec des journalistes russes. 

Ainsi si nous comprenons bien, les nazis avaient et ont l'intention de priver la Russie de ses deux et uniques bases militaires, l'une en Crimée et l'autre en Syrie !

Kiev veut récupérer la Crimée de la Russie

L’Otan et l’Ukraine signent des accords de coopération techniques et défensifs

Allemagne: des ogives US d’une puissance équivalente à 80 bombes d’Hiroshima

Armes nucléaires US en Allemagne: Moscou promet de riposter

Moscou met en garde l’Ukraine contre un projet d'adhésion à l’OTAN

Moscou critique l’installation d’armes nucléaires américaines en Allemagne

 

La Russie déploiera des " Iskandar" à Kaliningrad

 

IRIB- La Russie a menacé les Etats-Unis de déployer des missiles balistiques à Kaliningrad.

"Si les Etats-Unis renforcent leurs armes nucléaires en Allemagne, il sera possible que la Russie déploie ses missiles balistiques à Kaliningrad", a annoncé le Kremlin.

Selon l'agence de presse Interfax, citant une source militaire russe, si Washington met à niveau ses armes nucléaires déployées en Allemagne, la Russie déploierait ses missiles balistiques Eskandar à Kaliningrad.

"La décision finale sera prise après l'examen minutieux de la menace éventuelle", a écrit Interfax.
 
 

Syrie/Turquie : Négociations secrètes des jihadistes à Istanbul

| 23 septembre 2015

Des négociations secrètes impliquant l’Iran (représentant la Syrie) et des « groupes armés » (c’est-à-dire les jihadistes y compris al-Qaida) se tiennent à Istanbul, sous les auspices de la Turquie.

La proposition turque serait de déplacer les populations et de partitionner le pays : les combattants anti-République du district de Damas se rendraient à Idleb tandis que la population chiite du Nord se réfugierait à Damas, puis le Nord du pays ferait sécession avant d’être rattaché à la Turquie.

Cela impliquerait un cessez-le-feu de 6 mois dans la région de Damas (Zabadani, Madaya, Bakin et Serghaya) et dans celle d’Idleb (Foua, Kefraya, Binnich, Taftanaz, Taoum, Maarret Masrin, la ville d’Idleb elle-même, Ram Hamdan, Zaradna et Chalakh), mais pas dans le Sud (Deraa) les Israéliens ne participant pas aux négociations.

Si un tel projet ne risque pas d’être accepté par la République arabe syrienne, la tenue de ces négociations atteste de la volonté de la Turquie de trouver une solution avant que l’OTSC n’intervienne massivement contre les jihadistes qu’elle protège.

 

 

Oliver Stone : les États-Unis « ne sont pas menacés. Nous sommes la menace »

Bien vrai et qu'on se le dise, il va falloir éliminer tous les psychopathes qui sur cette planète passent leur temps à aller attaquer les autres pays et qui ensuite viennent gueuler "qu'il faut assurer leur sécurité" y compris lorsqu'ils se trouvent dans les pays qu'ils détruisent et qu'ils colonisent par la force ou à la frontière des autres pays, comme aux frontières de la Russie !

Allez qui sont les deux seuls pays au monde qui gueulent toujours qu'il faut assurer leur sécurité ?

Nous n'en voyons que deux pour notre part : Les USA et Israël !

Oliver Stone : les États-Unis « ne sont pas menacés. Nous sommes la menace »

sept 23, 2015


Alors qu’il lance une nouvelle série documentaire offrant un point de vue critique sur les actions américaines outremer, le réalisateur explique à MEE qu’il n’a pas toujours vu les choses de cette manière .

 

NATIONS UNIES – Les controverses américaines sont le fort d’Oliver Stone. Le réalisateur hollywoodien a braqué ses caméras sur l’assassinat de John F. Kennedy, la guerre du Vietnam et les attentats du 11 septembre 2001.

Lors de la préparation de sa nouvelle série documentaire pour la télévision, The Untold History of the United States (Une Autre histoire de l’Amérique), ce sont les « exploits » américains au Moyen-Orient qui l’ont le plus marqué, a-t-il déclaré à Middle East Eye mercredi dernier.

« En étudiant ces non-dits de l’histoire, une chose qui m’a vraiment beaucoup frappé a été l’histoire de notre implication au Moyen-Orient » a-t-il dit.

« Une implication abjecte. »

Stone retrace l’interventionnisme de Washington dans la région depuis les années 30, indiquant que celui-ci a atteint son apogée lors de l’envoi par l’ancien président George H. W. Bush de centaines de milliers de soldats américains pour libérer le Koweït après son invasion par l’Irak en 1990.

L’Union Soviétique s’était effondrée depuis peu et la porte était alors grande ouverte pour la domination de la région par une unique superpuissance, a-t-il expliqué.

« Nous n’en sommes jamais sortis. Une fois que nous y étions, nous y étions pour toujours. »

« Nous avons déstabilisé toute la région, semé le chaos. Et maintenant, nous accusons l’État islamique du chaos que nous avons nous-même créé »

a-t-il ajouté, en référence à la milice extrémiste qui contrôle désormais de larges pans de la Syrie et de l’Irak.

Stone a préparé et écrit la série et le livre qui l’accompagne en partenariat avec Peter Kuznick, un professeur de l’American University spécialiste de la question des frappes nucléaires américaines sur le Japon qui ont mis fin à la Seconde Guerre Mondiale.

« Tout tourne autour du pétrole. Vous vous souvenez de cet autocollant pour voiture où était écrit : ‘’Qu’est-ce que notre pétrole fait sous leur sable ?” », a demandé Kuznick à MEE.

La soif américaine de l’or noir est au fondement de l’alliance des États-Unis avec l’Arabie Saoudite, du coup contre le Premier ministre iranien Mohammad Mossadegh en 1953, appuyé par la CIA, et du soutien américain aux miliciens religieux qui combattaient les Soviétiques en Afghanistan dans les années 80, a-t-il poursuivi.

« Nous avons créé ces pagailles, et ensuite nous avons élaboré un plan militaire grandiose pour y mettre un terme. Mais les solutions militaires ne marchent tout simplement pas. »

Les opinions de Stone et de Kuznick ne risquent guère de faire froncer les sourcils dans les rues du Caire, de Moscou ou de Paris.

En revanche, aux États-Unis, elles sont loin d’être majoritaires.

Selon Stone, les Américains vivent dans un bulle, influencés par un système éducatif, une classe politique et des médias qui dépeignent les États-Unis comme un symbole de stabilité et une force bienveillante dans le monde.

Un exemple célèbre est la description faite par l’ancien président Ronald Reagan des États-Unis comme d’une « ville scintillante sur une colline ».

« Être américain est très confortable », a avancé Stone. « Vous avez le sentiment d’être en sécurité et de jouir de la prospérité des biens matériels. Mais en même temps, vous pensez que vous avez des ennemis partout – en Russie, en Chine, en Iran, en Corée du Nord.

« Vous habitez dans ce cocon qu’est ce grand pays entouré de deux océans, mais avec l’impression de vivre toujours sous la menace. »

Oliver Stone a déclaré comprendre ce sentiment pour l’avoir lui-même vécu.

Stone est né à New York, d’un père républicain exerçant la profession d’agent de change, Louis Stone. Oliver a toujours été créatif – il écrivait souvent de courtes pièces de théâtre pour amuser sa famille – mais n’avait jamais remis en question la manière dont ses professeurs d’histoire enjolivaient les actes des États-Unis, a-t-il raconté.

« J’avais toujours entendu une seule partie de l’histoire, celle qui met en valeur l’exceptionnalisme américain, qui présente l’Amérique comme un pays altruiste et bénéfique pour le reste du monde. »

En 1967, Stone se porta volontaire pour aller combattre dans l’armée américaine au Vietnam. Il fut blessé deux fois et, à son retour, il fut décoré de l’Étoile de bronze de l’héroïsme et d’un Purple Heart, une médaille accordée aux personnes blessées ou tuées au service de l’armée américaine.

« Je suis revenu du Vietnam perplexe, complètement désorienté vis-à-vis de ce qui s’y passait.

« J’avais été soumis à une lourde dose de langue de bois, de langage militaire. »

Il a commencé à poser des questions et à lire les travaux d’« historiens progressistes », tout en étudiant la réalisation de films à l’université de New York avec Martin Scorsese et d’autres enseignants.

Ces idées ont inspiré les films à caractère politique qu’il a produits dans les années 80.

Ainsi, l’un de ses premiers films, Salvador (1986), se déroule dans le contexte d’une guerre en Amérique centrale dans les années 80. Platoon (1986), l’opus qui l’a rendu célèbre, met en scène un jeune soldat, interprété par Charlie Sheen, servant au Vietnam. Il a continué à enquêter sur cette guerre dans Né un 4 juilet (1989), avec Tom Cruise.

Puis en 1991, il a réalisé JFK, un film qui expose ses théories sur l’assassinat de l’ancien président, et qui sera suivi par deux autres portraits de commandants en chef des États-Unis, Nixon (1995) et W (2008).

Quant à son dernier film sur le lanceur d’alerte de la NSA Edward Snowden, sa sortie a été ajournée à 2016, a-t-il indiqué.

Oliver Stone a également à son palmarès des interviews de chefs d’État étrangers ayant défié Washington – du révolutionnaire cubain Fidel Castro au président russe Vladimir Poutine, en passant par le président ukrainien déchu Viktor Ianoukovytch.

The Untold History of the United States, une série documentaire en dix parties et un livre de 750 pages, offre aux Américains une version alternative de l’histoire de leur pays depuis la Seconde Guerre Mondiale jusqu’à nos jours.

Oliver Stone a affirmé que l’un de ses objectifs était de combattre le « crime éducatif » consistant à tromper les écoliers américains.

« Nos programmes scolaires doivent être débarrassés de l’exceptionnalisme américain », a-t-il insisté.

« Nous ne sommes pas menacés. Nous sommes la menace. »

Bonus : l’intégralité « Une autre histoire de l’Amérique, par Oliver Stone » disponible sur news360x : http://news360x.fr/category/web-tv/une-autre-histoire-de-...