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22/05/2010

Et maintenant, l’euro-dollar ?


Article placé le 21 mai 2010, par Julian Diesdorf (Zürich)

 

Pour se maintenir, le projet mondialiste pourrait précipiter son calendrier et utiliser la crise actuelle pour « fusionner » l’euro et le dollar en une monnaie unique, écrit en substance Clovis Casadue, collaborateur de la revue Flash, dans l’article que nous plaçons ci-après. Cette perspective est plus que plausible, et la chute incessante de la devise européenne, qui se retrouvera bientôt a parité avec le dollar, l’accrédite. Comme l’indiquait le banquier Alexandre Wohlwend il y a quelques jours, la seule issue pour les pays de la zone euro passe par « un retour à leur souveraineté monétaire et territoriale », ce qui est inenvisageable pour les tenants de l’ordre mondial, qui, n’en doutons pas, utiliseront tous les moyens pour interrompre les velléités secessionnistes. De nouvelles informations, pour le moins surprenantes, nous parviennent ce soir sur les manipulations en cours. Nous les publierons dès que nous aurons pu effectuer les vérifications d’usage.

Julian Diesdorf, Mecanopolis

euro-dollar

 

La ratification du Traité de Lisbonne par les 27 États a donné le pouvoir de rompre avec les méthodes de la démocratie et d’imposer une mise sous “bonne gouvernance” des pays de la zone euro, au mépris des droits fondamentaux du Parlement européen et de la volonté des peuples.


Dans son discours du 13 mai dernier, le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso propose de placer l’ensemble des pays de la zone euro sous tutelle budgétaire. L’objectif : réduire le déficit public à 3 % du PIB en 2013, en les soumettant à des mesures d’austérité semblables à celles imposées à la Grèce. La mesure est en effet peu démocratique, puisque le Parlement européen n’entrera pas dans les décisions. Pas de problème pour la chancelière allemande, parlant d’un “pas important dans la bonne direction”. Même son de cloche du côté de la France, le secrétaire d’État aux Affaires européennes, Pierre Lellouche déclarant : “C’est la contrepartie du plan européen de sauvetage. La discipline de chacun devient l’affaire de tous. Bruxelles aura le droit de surveiller tous les comptes.” Résultat, cette aide de 750 milliards, votée lors du sommet européen des 8 et 9 mai. Son message : “Nous vous soutenons, mais vous devez abandonner votre souveraineté économique.”

Malgré ce qui a été annoncé, cette manœuvre n’a pas pour but de soutenir l’euro. C’est même le contraire qui devrait se passer, et la monnaie unique a déjà perdu plus de 7 % depuis sa mise en place. La nouvelle politique monétaire de la BCE devrait encore contribuer à son affaiblissement, puisqu’elle est maintenant autorisée à recourir à la “planche à billets”, de manière à émettre elle-même des Bons du Trésor sur les marchés financiers.

Plutôt que soutenir l’euro, sauver les banques…

En fait, ce dispositif permet surtout de soutenir en amont les banques européennes impliquées dans la dette grecque. Ce qui permet encore de

suggérer aux investisseurs ayant acquis des obligations qu’ils ne risquent rien. Ce sont donc les banques que l’on sauve, une fois de plus, et avec l’argent du contribuable. Ces 750 milliards n’existant pas dans les caisses européennes, il faudra donc les emprunter sur les marchés financiers pour les offrir aux États qui les offriront ensuite aux banques, tandis que les populations seront après mises à contribution…

Si l’on avait voulu aider la Grèce, et faire “la guerre aux spéculateurs”, comme l’a annoncé fièrement Nicolas Sarkozy, il aurait été préférable de restructurer sa dette. On aurait ainsi placé les

investisseurs devant leurs responsabilités et leur aurait fait assumer une partie des risques liés à leurs investissements. Mais pour cela, il aurait fallu sortir la Grèce de monnaie unique. En revanche, l’affaiblissement de l’euro bénéficie à l’Allemagne, et dans une moins large mesure à la France.

Cette crise est donc utilisée, comme le laissait récemment entendre le patron de l’Eurogroupe, Jean-Claude Juncker(1), afin de rendre l’Europe plus compétitive.

Les dégâts d’une construction européenne anarchique

Pour les élites européennes, le problème majeur de la zone euro tient à sa construction anarchique et à la disparité des règles économiques, politiques et sociales qui régissent les pays membres. La crise peut leur permettre de reconfigurer l’économie de l’ensemble du bloc européen et le rendre plus concurrentiel, tout en élargissant la monnaie unique aux autres pays de l’Union, ce qui a d’ailleurs été proposé à l’Estonie la semaine dernière. La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (Berd) conseille d’avancer l’adhésion à la zone euro de la Lettonie, de la Pologne et de la Hongrie au 1er janvier 2011 au lieu de 2015. On joue donc à nous faire peur quand on nous indique que la monnaie unique est menacée. Elle en réalité en pleine expansion.

Bien sûr, cette unification se fera par le bas, et va nécessiter partout des mesures d’austérité qu’aucune résolution démocratique n’aurait permises, et qui finiront d’enterrer la souveraineté des nations et des peuples d’Europe au profit d’un régime central lié à une oligarchie financière. Toutes choses qui ont été rendues possibles par la ratification du traité de Lisbonne.

Les spéculations sur les dettes grecque, portugaise et espagnole vont donc se poursuivre et s’étendre à d’autres pays, sans que rien ne puisse enrayer le processus en cours. Dans le même temps, l’euro va continuer sa chute, pour arriver à parité avec le dollar, sans doute d’ici le mois de septembre – décembre au plus tard. La monnaie canadienne suit le même mouvement et aura sans doute atteint le niveau du dollar US au moment où vous lirez cette chronique. Car bien sûr, le projet de ce nouvel ordre économique est, in fine, de fusionner l’ensemble des monnaies, en commençant par celles de l’Europe et l’Amérique du Nord. En effet, l’Union européenne n’est qu’une composante d’un vaste plan conduisant à l’émergence de blocs économiques dotés chacun d’une monnaie, d’une citoyenneté, d’un parlement unique, etc ; l’ensemble de ces blocs étant éventuellement appelé à constituer une gouvernance mondiale.

Bien sûr, certains nous reprocherons d’avoir ici une vision “conspirationniste” des événements. Mais force est de constater qu’on ne conspirait autrefois que contre un ordre établi. Aujourd’hui, conspirer pour son maintien et son expansion est une activité en grand développement. Et à regarder la marche du monde, on doit reconnaître que cette conspiration fait partie de son fonctionnement même.

Clovis Casadue

Publié en exclusivité sur Mecanopolis avec l’aimable autorisation de Jean-Emile Néaumet, directeur de la rédaction du bimestriel Flash


21/05/2010

Et si DSK.....COM rachetait la France pour 100 Milliards d''euros ????

DSK, Sarko et le copinage sélectif

Et vous voulez voter pour DSK en 2012 ?

Texte libre de présentation sur le site :


Welcome on board,

"La propagande des médias aux ordres et la désinformation quotidienne de penseurs et pseudos philosophes, qui squattent les plateaux TV et ondes radiophoniques, ont triomphé de la lucidité des Français. Depuis hier, 16 mai 2007, le candidat du CAC 40, du MEDEF et des lobbies, est le président de la République. Sa victoire face à la candidate socialiste, Ségolène Royal, est nette ( sans bavures ???). La majorité des suffrages s'est portée sur son projet, celui d'une droite raciste et ultra-réactionnaire, ce n'est pas la présence de quelques Basanés à l'UMP ou dans le prochain gouvernement, voire les ralliements opportunistes de centristes et d'apparentés socialistes, qui démontrera le contraire. En criant aux loups et en sous-tendant qu'il existait des ennemis de l'intérieur, ceux là qui demandent la "repentance" de la France, comme l'ont suggéré le candidat de la peur et ses amis "intellectuels", les électeurs ont voté sans discernement pour un projet de société néoconservateur. On sait ce qu'il adviendra très bientôt. En clair, comme l'a rappelé le slogan choc de la campagne électorale, "Ensemble tout est possible". Oui, tout est possible, mais sans nous, c'est à dire une grande minorité ( 47%) qui croit en une société plus "juste" et plus "forte", fière de son identité "multiraciale", qui n'a pas honte de reconnaître toute son Histoire, celle qui est à la fois estimable et condamnable.

Ce n'est qu'à ce prix là que la France se réalisera et évitera de culpabiliser ceux des siens qui ne croient ni au mythe d'une grand ancêtre Gaulois commun, ni aux bienfaits de la colonisation, encore moins aux fables d'un historien de pacotille sorti de la botte d'un journaliste cumulard et chef de la propagande sur l'unicité de l'Histoire ( pas la sienne, bien entendu).


Enfin, le nouvel occupant du château de l'Elysée n'empêchera pas au monde de tourner, même si l'on s'attend à subir, plus que jamais, ses coups de pression et autres intimidations. Il faut l'accepter, c'est le peuple qui l'a souhaité majoritairement ( 53%), mais regrettera très bientôt son choix à courte vue. En attendant la CENSURE promise par le monarque en puissance, au nom de la protection des "petits intérêts" d'une oligarchie de la finance et de lobbies politico-mafieux, vous pouvez continuer à vous exprimer ou visiter cet espace de liberté sans concession. Putain 5 ans !"



Jeudi 20 mai 2010 4 20 /05 /2010 18:37


La France est décidément dans de très sales draps. La propagande médiatico-sondagière pourra toujours enfumer les cerveaux disponibles, c'est à dire les Français qui regardent le JT de TF1, cela n'empêchera pas de dire qu'un duel présidentiel en 2012 entre Dominique Strauss Kahn, le bourreau du peuple grec, et l'accident électoral du 06 mai 2007 constituerait un HOLD UP mortel et la liquidation de la République. Et le hasard du calendrier politique devrait, espérons le, réveiller tous ceux qui sont victimes de l'opération de lobotomisation massive entreprise par les communicants respectifs du " messie du FMI" et du gesticulateur de l'Elysée. Jugez plutôt.


Premièrement, après avoir triplé les déficits des comptes publics, augmenté son salaire de  110%, acheté un avion " Air Sarko one", dévalisé les contribuables au profit de la bande du Fouquet's, mis la France au bord de la banqueroute, Nicolas Sarkozy se fait le chantre de la bonne gouvernance, après avoir été celui de la lutte contre l'insécurité, la protection de la nature et la refonte du capitalisme.
Désormais, il envisage de modifier la Constitution pour obliger le gouvernement à s'engager sur "une trajectoire" pour réduire les déficits, pour cinq ans. "Le redressement des finances publiques ne doit pas être l'engagement d'un gouvernement mais de la Nation. [...] C'est pourquoi je souhaite la mise en oeuvre d'une réforme constitutionnelle". Et de proposer le "le gel" des fonds versés aux collectivités locales.

En clair,il s'imagine remporter la prochaine présidentielle en dissimulant ses turpitudes derrière une rigueur qui ne veut pas dire son nom. Pire, il se livre à une opération de politique de caniveau en faisant croire que les collectivités territoriales sont responsables du bilan catastrophique de la droite. Pitoyable !

Martin Malvy accuse Nicolas Sarkozy d'entretenir "depuis des mois l'ambiguïté en mettant les collectivités locales en cause pour leur gestion". Et d'ajouter que la conférence de jeudi est "un simulacre de dialogue sur un problème dont nous ne portons ni l'origine ni la solution". Car "les 36 000 communes, les 100 départements, et les 26 régions n'atteignent pas, toutes ensemble, le seuil de 10 % de la dette nationale", écrit-il. "Elles sont toutes à l'équilibre. Aucune n'est en déficit. Elles portent 75% de l'investissement public", conclu t-il.

Cet dire si le guide suprême de l'UMP prend réellement les Français pour des CONS.
Deuxièmement, alors que les grecs dénoncent unanimement la politique prédatrice du FMI, Dominique Strauss Kahn, lui, se félicite de son " plan de rigueur", et s'offre même un passage dans l'émission " A vous de juger", France 2,  en prime-time, après son dernier passage du 28 mars 2009, SVP ! ( vidéo n° 3)

A quel titre y est-il invité ? N'a t-il pas assez de travail pour s'offrir des heures supplémentaires de confession cathodique en France ? Qu'a t-il donc d'intéressant à dire au point que France 2 lui consacre une soirée ?

Rien, si ce n'est que DSK et sa clique intoxiquent les Français à coups de manipulations diverses pour s'imposer comme " candidat naturel" de la gauche pour 2012. Comme l'a affirmé justement Malek Boutih: "Les enfants gâtés de Mitterrand veulent faire main basse sur le PS"

C'est  peu de dire que l'homme du FMI n'a rien à envier à celui qui l'a aidé à se refaire une santé à New York.( vidéo n°4) Comme quoi, qui s'assemble se ressemble, ce pour le plus grand malheur de la France. Pour enfoncer le clou, histoire de se moquer un peu plus des Français, et si Dominique Strauss...COM signait un chèque de 100 milliards d'euros pour racheter la France ? Au moins, ça éviterait que son jumeau saigne encore plus un peuple déboussolé et ruiné par 3 ans de gesticulations irresponsables et sudoripares.

Allez, Dominique sors ton carnet de chèque FMI, le peuple t'attend tel un messie !
A2N





DSK en route vers le nouvel ordre mondial !

Si vous voulez l'instauration du Nouvel Ordre Mondial, voici après Sarkozy, le candidat rêvé pour 2012 !

DSK en route vers le nouvel ordre mondial !






La crise européenne menace l'économie US, selon la Fed : On va se mettre à pleurer pour la FED !

WASHINGTON (Reuters) - La crise de la dette européenne constitue un risque "potentiellement important" pour la reprise économique américaine car elle menace les marchés de crédit et le commerce mondial, a estimé jeudi Daniel Tarullo, un des gouverneurs de la Réserve fédérale.

Pour ce responsable de la Fed, si la crise de la dette européenne n'est pas contenue, cela pourrait entraîner un gel des marchés financiers et provoquer une crise mondiale semblable à celle de la fin de 2008.

Jusqu'à la semaine dernière, les représentants de la banque centrale américaine avaient minimisé les effets potentiels des difficultés européennes sur l'économie américaine.

"Les problèmes européens de dette souveraine sont un contretemps potentiellement important", a déclaré Daniel Tarullo selon le texte d'un témoignage destiné à deux sous-commissions parlementaires.

L'intervention de ce gouverneur intervient alors que les marchés financiers internationaux sont plombés par la confusion et le manque d'unité affichés par les dirigeants politiques européens pour régler leurs difficultés.

"Les investisseurs sont conscients que ce plan ne peut pas supprimer en fin de compte la nécessité de véritables, et probablement douloureuses, réformes budgétaires dans la zone euro", estime Daniel Tarullo en référence au plan de stabilisation de 750 milliards d'euros mis en place par l'Union européenne avec l'aide du Fonds monétaire international (FMI).

RISQUE DE PERTES ACCRUES POUR LES BANQUES US

"Si les problèmes des Etats périphériques européens s'étendent jusqu'à créer de nouvelles difficultés au sein de l'Europe, les banques américaines seront confrontées à des pertes accrues sur leur exposition d'ensemble au crédit qui est très importante", a-t-il prévenu.

"En plus d'occasionner des pertes directes aux institutions américaines, un accroissement des tensions financières en Europe pourrait se transmettre aux marchés financiers à travers le monde."

Dans une certaine mesure, les marchés financiers montrent déjà des signes de tension accrue, étayant l'idée d'un maintien des taux d'intérêt américains, proches de zéro, jusqu'à l'année prochaine.

La reprise de l'économie américaine pourrait être menacée par une réduction des échanges internationaux si les perspectives européennes se détériorent, a prévenu Daniel Tarullo.

Ted Truman, ancien responsable au Trésor américain et qui doit témoigner devant une sous-commission du Congrès après Daniel Tarullo, juge la menace très réelle.

"Le risque est que la situation européenne devienne incontrôlable, se répande à travers l'Europe au-delà de la Grèce, replonge l'Europe en récession et cause de nouveaux dommages à l'économie américaine et mondiale ainsi qu'au système financier", estime-t-il selon le texte de son témoignage.

Alexandre Boksenbaum-Granier pour le service français, édité par Danielle Rouquié

http://www.lemonde.fr/depeches/2010/05/20/la-crise-europe...

 

20/05/2010

La fraternité de la mort

"Comme vous le savez, de nos jours, des groupes satanistes ou lucifériens (idem) gouvernent le monde : Théosophes, Rose-Croix, Illuminés, francs-maçons de hauts grades et autres sectes et clubs avec leurs énormes pouvoir financier et industriel...


Peut être difficile à croire, mais c'est un fait.
Une secte peu connue, l'ordre des Skull & Bones, surnommée aussi "Fraternité de la mort", est l'une des plus puissante d'amérique... et du monde.


Issue de l'ordre des Illuminés de Bavière - Adam Weishaupt - , cette secte, dont la loge mère, ou "loge noire", se trouve à l'université de Yale, "sélectionne" des fils de la haute société protestante et israélite américaine (WASP).


Les membres sont recrutés au sein des plus grandes universités américaines, et définitivement sélectionnés au cours de rituels sataniques dans la loge mère, ou "loge noire", à Yale, portant le numéro 322."

La suite ici : http://www.barruel.com/fraternite-de-la-mort.htm