Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

01/06/2010

Les États-Unis préparent une occupation à long terme à Haïti

Un petit rappel des faits relatifs à la soi-disant aide humanitaire apportée par les USA à Haîti à la suite du tremblement de terre dévastateur.

Quand les USA et leurs alliés investissent et colonisent les pays sous couvert d'apporter leur aide humanitaire, il s'agit bien d'aide soi-disant humanitaire !

Quand la communauté internationale apporte son aide humanitaire à Gaza et à la Palestine, il s'agit d'attaques terroristes dirigés contre Israël !

Les exploits des sauveteurs de l'humanité qui viendront nous parler de Droits de l'homme et de démocratie !



« Selon CNN jeudi: “de grandes quantités de médicaments, des kits pour bébés et d’autres fournitures de secours traînent sur le tarmac et dans les entrepôts de l’aéroport de Port-au-Prince, mais personne ne s’en occupe”. Les militaires US, tout à fait mécontents du retour des medias étrangers, ont interdit jeudi  l’aéroport aux correspondants étrangers, les laissant se débrouiller pour trouver un point de chute dans les décombres de la capitale Haïtienne. Un autre exemple de l’inadaptation criminelle de l’opération de secours, les autorités des Nations Unies et US ont annoncé que les tentatives de secourir ceux qui gisaient encore sous les décombres à Port-au-Prince allaient cesser sous prétexte qu’il n’y avait pratiquement aucune chance de trouver encore des survivants. Toutes les équipes de secours – sauf 10 sur 43 – sont reparties. On peut prévoir qu’avec la fin des opérations de secours, les media alignés vont également s’éloigner d’Haïti, réduisant la couverture de la tragédie sans fin du peuple Haïtien et de tous les nouveaux morts à venir ».


Un soldat nord-américain se moque d'enfants irakiens et publie une vidéo sur Facebook

Socio13, 26 mai 2010

Un soldat nord-américain a pris une vidéo en Iraq, où il se moque de deux petits enfants Irakiens en leur demandant s'ils seront gays ou terroristes quand ils seront plus grands. Naturellement, les enfants ne parlent pas anglais. Ils sourient et lui répondent en faisant signe que  oui.

Le soldat, Robert A. Rodríguez, qui est basé à Fort Wainwright,  au Fairbanks (Alaska), a mis la vidéo sur sa page Facebook, puis  l'a supprimée pour que l'on ne puisse pas voir la vidéo complète qui est encore plus forte que la version courte  que publie le journaliste qui l 'a divulguée ce matin.

http://www.youtube.com/watch?v=pvXsJ6Om3N4&feature=pl...

Par : Cubadebate traduit par Danielle Bleitrach pour changement de société
date de publication :  25/05/10

http://www.futurquantique.org/?p=6729

« Les enfants du tiers monde meurent à cause des gangsters de la Bourse»

Ils ont échoué dans leurs plans de nous tuer avec la vaccination criminelle, faut bien nous tuer en nous  faisant crever de faim !

JEAN ZIEGLER interviewé par Michel Collon (crise, Bourse, faim, Obama, Israël...)


Jean Ziegler interviewé par Michel Collon :

« Les enfants du tiers monde meurent à cause des gangsters de la Bourse»

Dans ses livres qui ont marqué l'opinion, Jean Ziegler n'a cessé de dénoncer le caractère absurde et criminel des politiques du capitalisme envers les peuples du tiers monde. Il a été le rapporteur spécial pour le droit à l'alimentation du Conseil des droits de l'homme aux Nations unies de 2000 à 2008. Michel Collon l'a interrogé à Genève sur la crise, la Bourse, la faim, Obama, Israël...


LIRE L'INTERVIEW : <<« Les enfants du tiers monde meurent à cause des gangsters de la Bourse»>>


Le terrorisme, l’État et la mafia

Article placé le 31 mai 2010, par Frédéric Courvoisier (Genève)


Alors que, sur de nombreux sites et forums « spécialisés », les indices et rumeurs d’une « attaque terroriste » de grande ampleur s’intensifient depuis quelques semaines, il nous apparait utile, sinon même urgent, de replacer ce texte qui fut à l’origine de l’élaboration de notre site.

anton

« La société qui s’annonce démocratique semble être admise partout comme étant la réalisation d’une perfection fragile. De sorte qu’elle ne doit plus être exposée à des attaques, puisqu’elle est fragile ; et du reste n’est plus attaquable, puisque parfaite comme jamais société ne fut.
Cette démocratie si parfaite fabrique elle-même son inconcevable ennemi : le terrorisme. L’histoire du terrorisme est écrite par l’État, elle est donc éducative. Les populations ne peuvent certes pas savoir qui se cache derrière le terrorisme, mais elles peuvent toujours en savoir assez pour être persuadées que, par rapport à ce terrorisme, tout le reste devra leur sembler plutôt acceptable, en tout cas plus rationnel et plus démocratique. »
Guy Debord, Commentaires sur la société du spectacle, 1988


L’exaltation idéologique peut conduire à toutes sortes de crimes, et l’héroïsme individuel comme les assassinats en série appartiennent à toutes les sociétés humaines. Ces sortes de passions ont contribué depuis toujours à construire l’histoire de l’humanité à travers ses guerres, ses révolutions, ses contre-révolutions. On ne peut donc être surpris qu’un mitrailleur, un kamikaze ou un martyre commettent des actes dont les résultats politiques seront exactement opposés à ceux qu’ils prétendent rechercher, car ces individus ne sont pas ceux qui négocient sur le marché des armes, organisent des complots, effectuent minutieusement des opérations secrètes sans se faire connaître ni appréhendés avant l’heure du crime.

Quoiqu’elle veuille s’en donner l’allure, l’action terroriste ne choisit pas au hasard ses périodes d’activités, ni selon son bon plaisir ses victimes. On constate inévitablement une strate périphérique de petits terroristes islamistes, dont il est toujours aisé de manipuler la foi ou le désir de vengeance, et qui est, momentanément, tolérée comme un vivier dans lequel on peut toujours pécher à la commande quelques coupables à montrer sur un plateau : mais la « force de frappe » déterminante des interventions centrales ne peut-être composée que de professionnels ; ce que confirme chaque détails de leur style.

L’incompétence proclamée de la police et des services de renseignements, leurs mea-culpa récurrent, les raisons invoquées de leurs échecs, fondées sur l’insuffisance dramatique de crédits ou de coordination, ne devraient convaincre personne : la tâche la première et la plus évidente d’un service de renseignements est de faire savoir qu’il n’existe pas ou, du moins, qu’il est très incompétent, et qu’il n’y a pas lieu de tenir compte de son existence tout à fait secondaire. Pourtant, ces services sont mieux équipés techniquement aujourd’hui qu’ils ne l’ont jamais été.

Tout individu notoirement ennemi de l’organisation sociale ou politique de son pays, et, d’avantage encore, tout groupe d’individus contraint de se déclarer dans cette catégorie est connu de plusieurs services de renseignements. De tels groupes sont constamment sous surveillance. Leurs communications internes et externes sont connues. Ils sont rapidement infiltrés par un ou plusieurs agents, parfois au plus haut niveau de décision, et dans ce cas aisément manipulable. Cette sorte de surveillance implique que n’importe quel attentat terroriste ait été pour le moins permis par les services chargés de la surveillance du groupe qui le revendique, parfois encore facilité ou aidé techniquement lorsque son exécution exige des moyens hors d’atteinte des terroristes, ou même franchement décidé et organisé par ces services eux-mêmes. Une telle complaisance est ici tout à fait logique, eu égard aux effets politiques et aux réactions prévisibles de ces attentats criminels.

Le siècle dernier, l’histoire du terrorisme a démontré qu’il s’agit toujours, pour une faction politique, de manipuler des groupes terroristes en vue de provoquer un revirement avantageux de l’opinion publique dont le but peut être de renforcer des dispositifs policiers pour contrer une agitation sociale, présente ou prévisible, ou de déclancher une opération militaire offensive, et son cortège d’intérêts économiques, à laquelle s’oppose la majorité de la nation.

Etat et Mafia

On se trompe chaque fois que l’on veut expliquer quelque chose en opposant la Mafia à l’Etat : ils ne sont jamais en rivalité. La théorie vérifie avec efficacité ce que toutes les rumeurs de la vie pratique avaient trop facilement montré. La Mafia n’est pas étrangère dans ce monde ; elle y est parfaitement chez elle, elle règne en fait comme le parfait modèle de toutes les entreprises commerciales avancées.

La Mafia est apparue en Sicile au début du XIXe siècle, avec l’essor du capitalisme moderne. Pour imposer son pouvoir, elle a du convaincre brutalement les populations d’accepter sa protection et son gouvernement occulte en échange de leur soumission, c’est-à-dire un système d’imposition directe et indirecte (sur toutes les transactions commerciales) lui permettant de financer son fonctionnement et son expansion. Pour cela, elle a organisé et exécuté systématiquement des attentats terroristes contre les individus et les entreprises qui refusaient sa tutelle et sa justice. C’était donc la même officine qui organisait la protection contre les attentats et les attentats pour organiser sa protection. Le recours à une autre justice que la sienne était sévèrement réprimé, de même que toute révélation intempestive sur son fonctionnement et ses opérations.

Malgré ce que l’on pourrait croire, ce n’est pas la Mafia qui a subvertit l’Etat moderne, mais ce sont les Etats qui ont concocté et utilisé les méthodes de la Mafia. Tout Etat moderne contraint de défendre son existence contre des populations qui mettent en doute sa légitimité est amené à utiliser à leur encontre les méthodes les plus éprouvées de la Mafia, et à leur imposer ce choix : terrorisme ou protection de l’Etat.

Mais il n’y a rien de nouveau à tout cela. Thucydide écrivait déjà, 400 ans avant Jésus-Christ, dans « La guerre du Péloponnèse » : « Qui plus est, ceux qui y prenaient la parole étaient du complot et les discours qu’ils prononçaient avaient été soumis au préalable à l’examen de leurs amis. Aucune opposition ne se manifestait parmi le reste des citoyens, qu’effrayait le nombre des conjurés. Lorsque que quelqu’un essayait malgré tout des les contredire, on trouvait aussitôt un moyen commode des les faire mourir. Les meurtriers n’étaient pas recherchés et aucune poursuite n’était engagée contre ceux qu’on soupçonnait. Le peuple ne réagissait pas et les gens étaient tellement terrorisés qu’ils s’estimaient heureux, même en restant muet, d’échapper aux violences. Croyant les conjurés bien plus nombreux qu’ils n’étaient, ils avaient le sentiment d’une impuissance complète. La ville était trop grande et ils ne se connaissaient pas assez les uns les autres, pour qu’il leur fût possible de découvrir ce qu’il en était vraiment. Dans ces conditions, si indigné qu’on fût, on ne pouvait confier ses griefs à personne. On devait donc renoncer à engager une action contre les coupables, car il eût fallut pour cela s’adresser soit à un inconnu, soit à une personne de connaissance en qui on n’avait pas confiance. Dans le parti démocratique, les relations personnelles étaient partout empreintes de méfiance, et l’on se demandait toujours si celui auquel on avait à faire n’était pas de connivence avec les conjuré ».

Aujourd’hui, les manipulations générales en faveur de l’ordre établi sont devenues si denses qu’elles s’étalent presque au grand jour. Pourtant, les véritables influences restent cachée, et les intentions ultimes ne peuvent qu’être assez difficilement soupçonnée, presque jamais comprises.

Notre monde démocratique qui, jusqu’il y a peu, allait de succès en succès, et s’était persuadé qu’il était aimé, a du renoncer depuis lors à ces rêves ; il n’est aujourd’hui plus que l’arme idéologique du projet mondialiste.

Mecanopolis

Les nazis préparaient un quatrième Reich « européen », selon un rapport secret

Au vu des évènements que nous observons et subissons depuis des décennies doutons-nous encore de cette réalité ?

Dailymail, 09 mai 2009, traduction partielle par L'Observatoire de l'Europe

Les comploteurs : le chef des SS Heinrich Himmler en compagnie de Max Faust, ingénieur chez I. G. Farben, société travaillant pour les nazis

Le document est ancien et fragile, les lettres typographiées s'estompent lentement. Mais le rapport « EW PA-128 » des services de renseignements militaires américain est aussi glacial que le jour où il fut rédigé en Novembre 1944.

Ce document, aussi connu sous le nom de rapport Maison Rouge, constitue un compte rendu détaillé d'une réunion secrète qui s'est tenue à l'Hôtel Maison Rouge à Strasbourg, le 10 août 1944.

Ce jour-là, les dirigeants nazis demandaient à l'élite industrielle allemande d'organiser la renaissance de l'Allemagne de l'après-guerre, de préparer le retour au pouvoir des nazis et d'oeuvrer pour « un empire allemand fort ». En d'autres termes : le quatrième Reich. Les trois pages de ce rapport rédigé en étroite collaboration, classé « secret », adressé en copie aux autorités britanniques et transmis par la valise diplomatique au secrétaire d'Etat américain Cordell Hull, détaille la façon dont les industriels devaient travailler avec le parti nazi pour reconstruire l'économie allemande grâce à des financements transitant par la Suisse.

Ils mettraient en place un réseau de sociétés écrans à l'étranger. Ils attendraient que les conditions deviennent meilleures. Et puis, ils reprendraient le pouvoir.

Les industriels comprenaient des représentants de Volkswagen, Krupp et Messerschmitt. Des hauts fonctionnaires américains de la Navy et du ministère de l'armement participèrent à cette réunion et, avec une incroyable clairvoyance, décidèrent ensemble que le quatrième Reich allemand, contrairement à son prédécesseur, serait un empire économique plutôt que militaire, mais pas seulement allemand (…)

L'Allemagne nazie a effectivement exporté des quantités massives de capitaux par le biais de pays neutres. Les entreprises allemandes ont mis en place un réseau de sociétés écrans à l'étranger. L'économie allemande s'est rapidement rétablie après 1945.

Le troisième Reich a été vaincu militairement, mais l'ère nazie des puissants banquiers, industriels et fonctionnaires remaquillés  en démocrates, prospéra bientôt dans la nouvelle Allemagne de l'Ouest. Là, ils travaillèrent pour une nouvelle cause : l'économie européenne et l'intégration politique. Est-il possible que le quatrième Reich que les industriels nazis avaient programmé, soit, du moins en partie, entré dans les faits ?

=> Lire la suite (en anglais)

http://www.futurquantique.org/?p=6719