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19/11/2020

Didier Raoult réagit aux poursuites à son encontre et se dit victime d’un complot

Didier Raoult réagit aux poursuites à son encontre et se dit victime d’un complot

Florent Zephir

15:09 18.11.2020

 

 

Interrogé par CNews sur les mesures disciplinaires lancées à son endroit, Didier Raoult s’est dit victime d’un complot. L’infectiologue a par ailleurs critiqué la position des pouvoirs publics qui veulent « dire la science» à la place des scientifiques.

Poursuivi par l’Ordre des médecins, notamment pour «charlatanisme», Didier Raoult a affirmé sur CNews être la cible d’un complot. L’infectiologue a expliqué que ces manœuvres à son encontre remontaient «très haut», ajoutant ne pas être surpris de la tournure des événements.

 

«Je savais depuis longtemps qu'il y avait un petit complot très, très haut placé. Je sais ça depuis plusieurs mois. Je ne suis pas étonné du tout […] On m'avait prévenu il y a longtemps. On m'avait dit “Tu sais Didier, il va y avoir une plainte au Conseil de l'Ordre des médecins” […] C'est un complot médico-politique», a-t-il déclaré sur CNews.

 

Interrogé sur la possible implication d’Olivier Véran, Didier Raoult a cependant refusé de s’avancer.

L’exemple de Ceausescu

L’infectiologue a par la suite critiqué la gestion de la crise sanitaire en France, ainsi qu’une certaine vision de la science qui a prévalu durant la pandémie. Il a notamment fustigé ceux «pensant qu'il existe une autorité scientifique qui s'impose aux scientifiques».

Il a dénoncé l’attitude des pouvoirs publics, qui ont selon lui voulu se substituer aux scientifiques pour «dire la science». L’infectiologue a dressé le parallèle avec la propagande du régime de Ceausescu.

«J’ai l’exemple de Ceausescu, disant que c’est le ministère qui dit la science. La science ce n’est pas le ministère qui la dit […] La science est quelque chose qui se fait par étapes successives, avec des controverses. Dans ce pays, il semble qu’il y ait des gens qui s’octroient le droit de dire la vérité scientifique, qui viennent me la dire à moi, ce qui n’est pas raisonnable», a-t-il expliqué sur CNews.

Manque de sérénité

Dans le même ordre d’idée, Didier Raoult a regretté qu’une partie des pays occidentaux n’ait pas traité le Covid-19 «comme une maladie, mais comme une affaire purement politique». Une situation qui a amené à un retard au niveau des soins, notamment en début d’épidémie selon lui.

«Je pense qu’au niveau du soin on a pris beaucoup de retard au début de cette maladie […] Il y a trop de certitudes momentanées qui amènent d’ailleurs à des revirements, des changements d’opinions brutaux […] Tout ça manque de sérénité, de calme», a affirmé l’infectiologue sur CNews.

Le praticien de l’IHU Méditerranée Infection a par ailleurs appelé à revenir à une pratique plus «artisanale» de la médecine, amenant à «faire avec ce que l’on a, du mieux qu’on peut».

Le 12 novembre, le Conseil départemental de l’Ordre des Médecins des Bouches-du-Rhône avait annoncé poursuivre le professeur Raoult, lui reprochant notamment des manquements au code déontologique, dans le cadre de la promotion de l'hydroxychloroquine.

 

Source : ICI

 

 

23/05/2020

Coronavirus : Tout était prévu dans la Constitution européenne et le Traité Liberticide de Lisbonne : Des annexes inquiétantes...

Coronavirus : Tout était prévu dans la Constitution européenne et le Traité Liberticide de Lisbonne : Des annexes inquiétantes...

Peine de mort en cas d'émeute, d'insurrection, ou de "menace de guerre", Réquisition de citoyens pour des travaux forcés, Emprisonnement arbitraire, Surveillance électronique de la vie privée, Liberté d'expression et d'information, Clonage humain.

 

Constitution européenne: Des annexes inquiétantes... La Constitution européenne offre des libertés en trompe-l’œil et prépare le terrain à une dérive totalitaire et policière de l'Europe par le biais "d'annexes" ignorées du public et dont les médias ne parlent jamais. Ces annexes vident de son contenu la "Charte des droits fondamentaux" incluse dans la constitution et censée garantir les droits de l'homme en Europe. Le droit européen étant au-dessus des lois nationales, ces limitations s'appliqueront à tous les pays européens...

La Constitution et sa version "simplifiée" (le traité de Lisbonne) contiennent de nombreuses annexes dont le rôle est d'indiquer de quelle façon les différents articles doivent être interprétés et appliqués.

Ces annexes font juridiquement partie de la Constitution:

article IV-442:
"Les protocoles et annexes du présent traité en font partie intégrante."

De plus, les annexes sont désignées comme référence pour l'interprétation devant éventuellement être faite par un tribunal:

article II-112, 7:
"Les explications élaborées en vue de guider l'interprétation de la Charte des droits fondamentaux sont dûment prises en considération par les juridictions de l'Union et des États membres."

Or, dissimulées parmi ces annexes, on trouve des "explications" qui permettent tout simplement de ne pas appliquer la Charte des Droits fondamentaux (la partie II de la Constitution) dans des cas dont la définition est délibérément floue et extensible.

Ces annexes à la Charte des Droits fondamentaux figurent à l'article 12 de la section A de "l'acte final" de la partie IV, à la fin du texte constitutionnel, à l'abri du regard des nombreux électeurs qui auront abandonné la lecture avant la fin.

Peine de mort en cas d'émeute, d'insurrection, ou de "menace de guerre"

En apparence, la Constitution reconnait le droit à la vie, et interdit la peine de mort:

article II-61
1. Toute personne a droit à la vie.
2. Nul ne peut être condamné à la peine de mort, ni exécuté.

Mais dans le paragraphe 3-a de l'article 2 de l'annexe 12 (intitulée "Déclaration concernant les explications relatives à la Charte des droits fondamentaux", section A de l'acte final de la partie IV), on peut lire une "explication" qui limite sérieusement la portée de l'article II-61:

"Les définitions «négatives» qui figurent dans la CEDH doivent être considérées comme figurant également dans la Charte:
a) l'article 2, paragraphe 2 de la CEDH:
«La mort n'est pas considérée comme infligée en violation de cet article dans les cas où elle résulterait d'un recours à la force rendu absolument nécessaire:
a) pour assurer la défense de toute personne contre la violence illégale;
b) pour effectuer une arrestation régulière ou pour empêcher l'évasion d'une personne régulièrement détenue;
c) pour réprimer, conformément à la loi, une émeute ou une insurrection.»
b) l'article 2 du protocole n° 6 annexé à la CEDH:
«Un État peut prévoir dans sa législation la peine de mort pour des actes commis en temps de guerre ou de danger imminent de guerre; une telle peine ne sera appliquée que dans les cas prévus par cette législation et conformément à ses dispositions»."

Ces limitations contestables instaurées par la CEDH (Convention Européenne des Droits de l'Homme) se trouvent ainsi constitutionnalisées.

En clair, les droits fondamentaux établis par la Charte ne s'appliquent pas en cas d'insurrection ou d'émeute. Mai 1968, une grève générale, une occupation d'usine ou une manifestation peuvent être assimilés à une insurrection ou une émeute, et peuvent donc servir de prétexte à l'annulation des droits civiques.

La Charte ne s'applique pas non plus en temps de guerre ou en cas de "danger imminent de guerre", ce qui est une définition très subjective et qui ouvre la porte à tous les abus. Demain, un Bush européen (Sarkozy ?) pourrait utiliser comme prétexte une "guerre contre le terrorisme", ou un "danger de guerre" pour ne pas appliquer la Charte.

Réquisition de citoyens pour des travaux forcés

On ne peut qu'approuver la Constitution quand on lit:

article II-65
1. Nul ne peut être tenu en esclavage ni en servitude.
2. Nul ne peut être astreint à accomplir un travail forcé ou obligatoire.

Trop beau pour être vrai... Et effectivement, les "explications" en annexe précisent que le travail forcé n'est pas interdit si il s'applique à des prisonniers. Les travaux forcés, tels qu'ils se pratiquaient il y a un siècle et tels qu'ils se pratiquent à nouveau aux Etats-Unis, sont donc possibles en Europe avec cette Constitution. N'importe quel citoyen est concerné depuis que les récentes lois répressives permettent d'emprisonner une personne sans jugement et pour une durée indéterminée si elle est soupçonnée de "terrorisme". Il est donc devenu très facile de passer du statut de "citoyen libre" à celui de prisonnier.

Les annexes de la Constitution vont même jusqu'à autoriser la réquisition de citoyens pour un travail forcé dans le cas "de crises ou de calamités qui menacent la vie ou le bien-être de la communauté". Encore une fois, ces conditions sont suffisamment vagues pour être interprétées de façon très extensives par des dirigeants du type Sarkozy ou Bush.

article 5 de l'annexe 12
"Au paragraphe 2, les notions de «travail forcé ou obligatoire» doivent être comprises en tenant compte des définitions «négatives» contenues à l'article 4, paragraphe 3, de la CEDH:
N'est pas considéré comme "travail forcé ou obligatoire" au sens du présent article:
a) tout travail requis normalement d'une personne soumise à la détention dans les conditions prévues par l'article 5 de la présente Convention, ou durant sa mise en liberté conditionnelle;
b) tout service de caractère militaire ou, dans le cas d'objecteurs de conscience dans les pays où l'objection de conscience est reconnue comme légitime, à un autre service à la place du service militaire obligatoire
c) tout service requis dans le cas de crises ou de calamités qui menacent la vie ou le bien-être de la communauté;
d) tout travail ou service formant partie des obligations civiques normales"

Emprisonnement arbitraire

Les "explications" relatives à l'article II-66 (qui affirme que "toute personne a droit à la liberté et à la sûreté") justifient d'ailleurs implicitement la détention sur simple soupçon, ou encore pour des personnes "contagieuses", des "aliénés", des "toxicomanes" ou des "vagabonds":

paragraphe 1 de l'article 6 de l'annexe 12
"Toute personne a droit à la liberté et à la sûreté. Nul ne peut être privé de sa liberté, sauf dans les cas suivants et selon les voies légales:
(...)
c) s'il a été arrêté et détenu en vue d'être conduit devant l'autorité judiciaire compétente, lorsqu'il y a des raisons plausibles de soupçonner qu'il a commis une infraction ou qu'il y a des motifs raisonnables de croire à la nécessité de l'empêcher de commettre une infraction.
(...)
e) s'il s'agit de la détention régulière d'une personne susceptible de propager une maladie contagieuse, d'un aliéné, d'un alcoolique, d'un toxicomane ou d'un vagabond;"

Le paragraphe 3 des mêmes "explications" semble néanmoins fixer des limites à la détention arbitraire, mais encore une fois, ces limites sont formulés dans des termes suffisamment imprécis pour laisser toute liberté d'interprétation à un futur régime autoritaire ou policier:

paragraphe 3 de l'article 5 de l'annexe 12
"Toute personne arrêtée ou détenue, dans les conditions prévues au paragraphe 1.c du présent article, doit être aussitôt traduite devant un juge ou un autre magistrat habilité par la loi à exercer des fonctions judiciaires [c'est à dire par un policier, ou un "juge de proximité" sans aucune formation judiciaire] et a le droit d'être jugée dans un délai raisonnable" [quel délai précisément?...]

paragraphe 4 de l'article 5 de l'annexe 12
"Toute personne privée de sa liberté par arrestation ou détention a le droit d'introduire un recours devant un tribunal, afin qu'il statue à bref délai [quel délai précisément?] sur la légalité de sa détention et ordonne sa libération si la détention est illégale." [mais compte-tenu des dispositions précédentes, peu de détentions pourront être déclarées illégales, puisque justifiées par la Constitution]

Surveillance électronique de la vie privée

On continue dans le même esprit avec la protection de la vie privée.
Ainsi, la Constitution semble protéger les citoyens de l'espionnage de leur ligne téléphonique et de leurs courriers électroniques, ou la pose de micros et de caméras au domicile (comme le prévoit la loi Perben en France). Au passage, on s'en étonne un peu car depuis le 11 septembre 2001, la plupart des états européens ont adopté des lois qui officialisent la "big-brotherisation" générale. Si l'on en croit la Constitution, la surveillance électronique des citoyens est interdite, bien qu'il n'y ait aucun recours prévu pour des personnes qui seraient victimes de ces pratiques:

article II-67, 1:
"Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de ses communications."

Mais les explications en annexe annulent totalement ce droit dans la pratique. Il suffit pour cela que l'intrusion dans la vie privée soient encadrées par la loi, et qu'elles soit nécessaires "à la sécurité nationale" (Bush a montré que ce concept peut être utilisé pour justifier n'importe quoi), "à la sûreté publique", "à la défense de l'ordre" (deux notions très subjectives), "à la prévention des infractions pénales" (de mieux en mieux! cette disposition rend possible des arrestations préventives, comme dans "Minority Report", selon le même principe que les "guerres préventives" de Bush), ou tout simplement lorsque l'espionnage de la vie privée est nécessaire "au bien-être économique du pays" ou encore "à la protection de la morale":

paragraphe 2 de l'article 7 de l'annexe 12
"Il ne peut y avoir ingérence d'une autorité publique dans l'exercice de ce droit que pour autant que cette ingérence est prévue par la loi et qu'elle constitue une mesure qui, dans une société démocratique, est nécessaire à la sécurité nationale, à la sûreté publique, au bien être économique du pays, à la défense de l'ordre et à la prévention des infractions pénales, à la protection de la santé ou de la morale, ou à la protection des droits et libertés d'autrui."


L'article suivant est assorti d'explications absolument incompréhensibles du fait de la multitude de renvois et références à d'autres documents ou traités.

article II-68:
1. Toute personne a droit à la protection des données à caractère personnel la concernant.
2. Ces données doivent être traitées loyalement, à des fins déterminées et sur la base du consentement de la personne concernée ou en vertu d'un autre fondement légitime prévu par la loi.
Toute personne a le droit d'accéder aux données collectées la concernant et d'en obtenir la rectification.

explication à propos de l'article II-68, article 7 de l'annexe 12
"Cet article a été fondé sur l'article 286 du traité instituant la Communauté européenne et sur la directive 95/46/CE du Parlement européen et du Conseil du 24 octobre 1995 relative à la protection des personnes physiques à l'égard du traitement des données à caractère personnel et à la libre circulation de ces données (JO L 281 du 23.11.1995), ainsi que sur l'article 8 de la CEDH et sur la Convention du Conseil de l'Europe pour la protection des personnes à l'égard du traitement automatisé des données à caractère personnel du 28 janvier 1981, ratifiée par tous les États membres. L'article 286 du traité CE est désormais remplacé par l'article I-51 de la Constitution. Il convient de noter également le règlement (CE) n° 45/2001 du Parlement européen et du Conseil du 18 décembre 2000 relatif à la protection des personnes physiques à l'égard du traitement des données à caractère personnel par les institutions et organes communautaires et à la libre circulation de ces données (JO L 8 du 12.1.2001). La directive et le règlement précités contiennent des conditions et limitations applicables à l'exercice du droit à la protection des données à caractère personnel." [comprenne qui pourra...!]

Liberté d'expression et d'information

L'article II-71 garantit la liberté d'expression et d'information, mais ce droit est limité de la même façon que les précédents articles par les "explications" en annexe. Les restrictions à la liberté d'expression sont autorisées lorsqu'elles sont "prévues par la loi" et qu'elles constituent des mesures nécessaires "à la sécurité nationale, la sûreté publique, la défense de l'ordre et la prévention du crime", à la "protection de la santé ou de la morale".

article II-71:
1. Toute personne a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu'il puisse y avoir ingérence d'autorités publiques et sans considération de frontières.

explication à propos de l'article II-71, article 11 de l'annexe 12
"L'exercice de ces libertés comportant des devoirs et des responsabilités peut être soumis à certaines formalités, conditions, restrictions ou sanctions prévues par la loi, qui constituent des mesures nécessaires, dans une société démocratique, à la sécurité nationale, à l'intégrité territoriale ou à la sûreté publique, à la défense de l'ordre et à la prévention du crime, à la protection de la santé ou de la morale, à la protection de la réputation ou des droits d'autrui, pour empêcher la divulgation d'informations confidentielles ou pour garantir l'autorité et l'impartialité du pouvoir judiciaire."

Clonage humain

On retrouve le même procédé avec le clônage humain qui semble être interdit par l'article II-63:

article II-3
1. Toute personne a droit à son intégrité physique et mentale.
2. Dans le cadre de la médecine et de la biologie, doivent notamment être respectés (...) l'interdiction du clonage reproductif des êtres humains.

paragraphe 2 de l'article 3 de l'annexe 12
"Les principes contenus dans l'article 3 de la Charte figurent déjà dans la convention sur les droits de l'homme et la biomédecine, adoptée dans le cadre du Conseil de l'Europe (STE 164 et protocole additionnel STE 168) [encore des renvois à des documents extérieurs pour brouiller les pistes!] . La présente Charte ne vise pas à déroger à ces dispositions et ne prohibe en conséquence que le seul clonage reproductif. Elle n'autorise ni ne prohibe les autres formes de clonage [toutes les autres utilisations possibles du clonage humain sont donc possibles]. Elle n'empêche donc aucunement le législateur d'interdire les autres formes de clonage." [elle n'empêche donc pas non plus le législateur de les autoriser ! ].

Source

 

12:55 Publié dans 3ème guerre mondiale en préparation, Actualité, politique ou géopolitique, Economie, Armes silencieuses, Espionnage, Arnaques, Mensonges, Propagande, Banques, Banksters, Paradis fiscaux, Dollar, Bours, Banquise/Arctique/Antarctique, Bioterrorisme, Eugénisme, Boycott, Vaccination, Conspiration mondiale, Conspiration, Complot, Corruption, Constitution des Droits de l'Homme, Contrôle des populations, Crimes contre l'humanité, Eugénisme, Des atteintes à la santé, Dictature Française, Mondiale et religieuse, Escroquerie, Histoire secrète du monde, La dictature mondiale, La fin programmée de la démocratie, La Loi Martiale, La marque de la bête, La matrice, Laboratoires pharmaceutiques, Le Gouvernement occulte US ou MJ12, Le Bildengerg Group, Le Bohémian Club, Le Chiffre de la bête - 666, Le Club de Rome, Le Gouvernement Mondial, Le gouvernement satellite et occulte américain, Les ANNUNAKIS, Les Banques Mondiales, Les Illuminati-Reptiliens, Les Lobbies et la Politique, Les Maîtres du Monde, Les protocoles des Sages de Sion, Les Reptiliens, Les socialistes et l'euthasie, Les Sociétés Secrètes, Les Techniques de manipulation, Les Vaccins, Lobbying et Politique, Laboratoires Pharmaceutique, Manifestations, Le réveil des populations, Manipulations génétiques, Medias, Manipulations des Masses, Mondialisation, Monsanto, Rockefeller, Rothschild et Bill Gates, Nouvel Ordre Mondial, OGM et MONSANTO, OMS, ONU, OTAN, Religions, Inventions, Mensonges, Révolution, Rockfeller, Rothschild, Mafia Kazhar, Sionisme, Oligarchie, LDJ, Survie, Réveillez-vous, Préparez-vous, Urgence. Survie, USA, Israël, Victimes,Victimes de la vaccination, Virus Coronavirus, Virus, épidémies | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

20/09/2018

PROJET 2019 : UNE MARCHE DE LOURDES A COTIGNAC CONTRE LE PEDOSATANISME ET LES PLACEMENTS ABUSIFS, PAR EULALIE CRAVEIRO.

PROJET 2019 : UNE MARCHE DE LOURDES A COTIGNAC CONTRE LE PEDOSATANISME ET LES PLACEMENTS ABUSIFS, PAR EULALIE CRAVEIRO.

 

 

 

« Eulalie Craveiro a quitté le monde de l’entreprise et du commerce international pour se consacrer à la défense de l’enfance, et plus précisément pour combattre les placements abusifs qui sont une entrée en matière dans les plans maçonniques visant à séparer les enfants de leurs parents, surtout quand ceux-ci sont dissidents de la république. Qui peut penser aujourd’hui que la justice de la république pense à l’épanouissement de l’enfant ? Eulalie Craveiro qui mène un combat courageux, a entrepris cet été  avec succès une marche de Auch à Paris (cf. Carte) pour sensibiliser l’opinion sur les dangers des placements abusifs d’enfants. Cette marche a débouché aujourd’hui sur un autre projet. Entreprendre une seconde marche, en reliant deux points hautement symboliques, Lourdes à Cotignac, seul endroit, dans le Var où Saint Joseph est  apparu dans le monde. C’était le 7 juin 1660. Ainsi, si Dieu le veut, nous relayerons dans une démarche catholique traditionnelle Notre Sainte Mère à Saint Joseph, Père de notre Seigneur, qui commande au ciel plus qu’il ne supplie, comme l’enseigne la Sainte Église. Notre combat est surnaturel. C’est cette dimension que nous entendons donner à notre démarche pour défendre la petite enfance contre les placements abusifs mais aussi contre le pédosatanisme, cancer grandissant de notre société maçonne. Si ce projet réussit, nous entendrons le reconduire chaque année pour réunir les catholiques de la Tradition du monde entier, ainsi que tous ceux qui veulent défendre les droits de l’enfant contre les pièges de Satan et des loges. Dieu agit par miracle. C’est dans la prière et la pénitence que nous gagnerons et que la France redeviendra catholique. » (Laurent Glauzy)

CI-DESSOUS ARTICLE D’EULALIE CRAVEIRO

Le réseau national « Fraternité Parentale » a pour but de lutter contre les placements abusifs d’enfants, particulièrement en France.

Des enfants sont arrachés à leur famille alors que le placement n’est aucunement justifié.

L’enjeu en est essentiellement financier car les conseils départementaux touchent en moyenne entre 7 500 et 9 000 euros mensuels par enfant placé au minimum. Le placement d’enfant peut  rapporter à l’aide sociale à l’enfance une somme allouée pouvant aller jusqu’à 25 000 euros par mois et par enfant, dans le cadre notamment d’un handicap, reconnu pour l’enfant placé. Ce qui d’ailleurs permet aux services, dits de protection de l’enfance, pour le coup, de procéder à une reconnaissance d’un handicap des enfants pour augmenter leur financement.

Le budget global des aides sociales à l’enfance, ASE, nom du service chargé de gérer les placements se chiffrerait annuellement, à minima, à 8 milliards d’euros, et ce,  uniquement pour la part des placements d’enfants abusifs.

Fraternité parentale revendique principalement le respect strict de la loi notamment en ce qui concerne la possibilité de se faire accompagner dans les démarches avec l’ASE, et en ce qui concerne les rapports rédigés par les services sociaux qui doivent être transmis aux familles en copie, au minimum 15 jours avant les audiences, pratique impunément abandonnée par les ASE alors que consacrée par la loi et ne permettant aucun contradictoire, ni de refuser un rapport pouvant être mensonger. Par ailleurs, ces rapports sont rédigés par des personnes sans aucune habilitation ni homologation ni diplômes ni  parfois même de formation initiale.

En 2018, un simple citoyen peut faire un signalement infondé sur un/des parent(s) entraînant une procédure à charge où le(s) parent(s) se retrouvent « condamnés » en justice comme des criminels et privés de tous les droits fondamentaux, sans critère de danger !

Fraternité Parentale se veut donc aussi un pôle de soutien des mamans et des papas seuls face à l’ASE notamment en les accompagnant aux audiences du tribunal pour enfants  particulièrement en créant des groupes départementaux chargés entre autres de cette tâche primordiale.

Si votre enfant vous a été arraché, ou qu’une personne de votre entourage est concernée ou risque de l’être, contactez Fraternité parentale au 06 41 84 52 55 pour être mis en relation avec le correspondant de votre département.

SAINT JOSEPH A CONTIGNAC (VAR) ET NOTRE SAINTE MERE DE LOURDES

Cotignac

STE VIERGE

 

SOURCE : https://profidecatholica.com/2018/09/20/projet-2019...

 

 

 

04/05/2018

TRES URGENT : Marc Granié un CRS de la protection présidentielle, interné pour avoir témoigné à visage découvert !

Merci de diffuser largement cette information autour de vous.

Dans le silence complice des merdias, Marc GRANIÉ, un CRS retraité, qui appartenait à la protection présidentielle a été arrêté, placé en garde-à-vue et interné pour avoir fait des révélations fracassantes dans une vidéo qui appelait tous les français, les militaires et autres résistants français à se rassembler  le 5 mai 2018 à 11 h sur la place de la Concorde à Paris.  Un rassemblement de français, organisé par le Conseil National de Transition de France, dont l’objectif est celui d’obtenir l’interpellation de MACRON et de son Gouvernement, illégitimes, afin de permettre au Peuple Français de reprendre le pouvoir en France.

A la suite de son témoignage et de son appel au rassemblement, Marc GRANIÉ a été interpellé et placé en garde-à-vue puis interné.

 Ci-dessous les 2 vidéos d’Eric Fiorile, faites dans l’urgence.

Remous internationaux suite à la vidéo du CRS Marc Granié. Celui-ci a été arrêté et détenu en garde-à-vue.............puis d’après les dernières informations délivrées par Eric Fiorile, le représentant du Conseil National de Transition de France donne un dernier message : "J'avais exprimé dans mon premier post que le CRS Marc Granié risquait suite à sa garde-à-vue d'être interné pour être mis sous "traitement" psychiatrique... JE NE M’ÉTAIS PAS TROMPÉ !!! La France est revenue à la période du goulag !!!

MARC GRANIÉ VIENT D’ÊTRE INTERNÉ ! (Hôpital Henry Ey, avenue de Choisy dans le 13e). DIFFUSEZ CETTE INFORMATION AFIN QUE TOUS LES CRS ET AUTRES MEMBRES INTÈGRES DES FORCES DE L'ORDRE SACHENT CE QUI LES ATTEND SI ELLES REFUSENT D’ÊTRE COMPLICES DE LA CRIMINALITÉ INSTITUTIONNALISÉE PAR NOS DIRIGEANTS !"

 
5 Mai CNT INFO DERNIÈRE URGENCE !
Vu l'urgence : aucun montage de cette vidéo faite à la va-vite
(veuillez nous en excuser)


 

5 Mai CNT INFO DERNIÈRE URGENCE ! (partie 2)


 

Les révélations faites par Marc GRANIÉ qui ont amené à son internement abusif.


Un témoignage rare et accablant d'un CRS de la protection présidentielle.

Marc Granié, un flic des Présidents témoigne à visage découvert sur les criminels au pouvoir. Assassinats ciblés maquillés en accidents, en suicides, en morts naturelles… Haute trahison du peuple et du pays… une mafia a confisqué le pouvoir et fait forfaiture sur forfaiture…

 


 

Authentification : Les flics du Président à l’entraînement de tir à moto

« Un commentaire qui vaut son pesant de cacahuètes puisque voilà deux ans, lors de ce même exercice, Marc Granié (pilote émérite en rallye) avait pris une bastos de 9 mm dans le dos lorsque son collègue avait rangé son arme un peu précipitamment. La balle avait traversé à hauteur du rein droit pour finir sa course en lui ouvrant un deuxième nombril ou trou de balle, c’est comme vous voudrez. »

https://www.motard-geek.fr/les-flics-du-president-entrain...

Pour connaître les objectifs visés par le Conseil National de Transition de France :
https://www.conseilnational.fr

5 MAI, JOUR DE LA TRANSITION


 

23/10/2016

Les policiers et les pompiers strasbourgeois rejoignent le mouvement de protestation

Strasbourg : les pompiers rejoignent les manifestations des policiers qui décident de poursuivre leur mouvement

© France 3 Alsace 

Une centaine de policiers se sont réunis pour manifester leur mécontentement à Strasbourg, dans la soirée du vendredi 21 octobre 2016. Pour la première fois, ils ont été rejoints par un petit groupe de pompiers. Les policiers vont à nouveau défiler ce soir, à 21h15, place Kléber.

 


 

Les policiers strasbourgeois rejoignent le mouvement de protestation

Publié le 20/10/2016 à 08:38, mis à jour le 20/10/2016 à 08:51

Manifestation policiers

 

Claire Peyrot

Une centaine de policiers, dont la moitié en service (donc hors cadre légal) s'est rassemblée mercredi soir vers 21h30 devant l'hôtel de police de Strasbourg. Un mouvement spontané en soutien à leurs collègues blessés le 8 octobre dans l'Essonne et pour dénoncer le manque de moyens.

De nouvelles manifestations de policiers, jusque sur les Champs-Elysées, ont montré dans la nuit de mercredi à jeudi que leur colère restait forte, malgré la mobilisation du gouvernement et sa promesse de "concertations" sur leurs revendications.

"Cazeneuve t'as perdu, la police est dans la rue!" : comme lundi au premier soir du mouvement de contestation, des agents ont marché dans la nuit sur la célèbre avenue parisienne. Ils étaient environ 300, en civil, formant une chaîne compacte et dissimulant souvent leurs visages, ils sont montés jusqu'à l'Arc de Triomphe, sous lequel ils ont entonné la Marseillaise, avant de se disperser.

Les manifestants avaient été auparavant empêchés de faire route vers le ministère de l'Intérieur, comme ils l'ambitionnaient.
Ils étaient partis de la très symbolique place de la République, après un détour par l'hôpital Saint-Louis tout proche, où est soigné un adjoint de sécurité de 28 ans très grièvement brûlé dans une attaque au cocktail Molotov d'un véhicule de police à Viry-Châtillon (Essonne) le 8 octobre.

C'est cette agression qui a déclenché la fronde actuelle. Une gardienne de la paix de 39 ans, qui avait été également grièvement touchée, a quitté l'hôpital mardi soir.
Après Marseille et Nice mardi, le mouvement a gagné encore d'autres villes. Une centaine d'agents se sont retrouvés mercredi soir devant l'hôtel de police à Nancy, selon une source syndicale. Et quelque 120 policiers se sont rassemblés à Toulouse pour dire leur "malaise".

A quelques mois de la présidentielle, la fronde a viré à la polémique politique.
Le patron des socialistes Jean-Christophe Cambadélis a dénoncé la "patte" du Front national dans ces actions "hors la loi". "Pas de +patte+ mais un soutien sans faille, face à un pouvoir qui a manifestement de la haine pour la police", a répliqué le vice-président du FN Florian Philippot.

Sous le feu des critiques, l'exécutif s'est employé à calmer le jeu. François Hollande a réaffirmé son "soutien" aux policiers et appelé au "dialogue". Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a reçu "en urgence" dans l'après-midi les syndicats, à leur demande, pour leur annoncer le lancement dès lundi de concertations dans les départements sur les revendications policières.

Les conclusions seront remises "en décembre pour mise en oeuvre immédiate dès 2017". Un plan "de sécurité publique" sera lancé en novembre et "complété des résultats de la concertation", a assuré Bernard Cazeneuve, promettant un "dialogue riche", sur la dotation en nouveaux matériels ou l'amélioration des conditions de travail.

'Impunité' ou 'fermeté'

Les syndicats, confrontés eux-mêmes à la colère de la base, ont ensuite été reçus longuement par le garde des Sceaux. Alors que les policiers dénoncent régulièrement "l'impunité" dont jouiraient leurs agresseurs, Jean-Jacques Urvoas a promis "la plus grande fermeté".

A la sortie, le secrétaire général adjoint du syndicat Alliance, Frédéric Lagache, s'est cependant dit "déçu" par l'absence de "réponse", notamment sur un changement des règles de la légitime défense. Le syndicat demande désormais "une audience au président de la République".

Mais Yves Lefebvre, d'Unité-Police SGP-FO, s'est félicité d'"un bon dialogue". Ce syndicat a appelé à une manifestation silencieuse, "une marche de la colère policière et citoyenne", le mercredi 26 octobre.

Partie de l'Essonne lundi soir, la contestation a pris de court les autorités. Si une enquête de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN), la "police des polices", a été ouverte, Bernard Cazeneuve a là aussi voulu rassurer: "ce n'est pas pour entrer dans un cycle de
sanctions, c'est pour rappeler des principes
".

Alors que les forces de l'ordre sont très sollicitées en pleine lutte antiterroriste, les policiers exigent des renforts et des moyens, et se plaignent d'un surplus de gardes dites statiques.
Le directeur général de la police nationale (DGPN), Jean-Marc Falcone, qui avait rencontré mardi soir des policiers de l'Essonne à Évry, a dit comprendre "l'exaspération, les craintes et les angoisses" des agents, tout en déplorant que certains aient "utilisé des véhicules" et des "moyens" de la police "pendant leurs heures de service".

Le patron de la police, qui avait adressé mardi un ferme rappel à l'ordre à ses troupes, était reparti dans la soirée sous les huées de quelque 400 fonctionnaires venus soutenir leurs collègues menacés de sanctions.