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03/04/2013

Alerte - La Troïka veut ponctionner vos dépôts pour renflouer les banques!

Une alerte de Solidarité et réconciliation qui vient confirmer notre information précédente : ICI

 

Le braquage arrive en Europe sur les comptes des épargnants !

Voir l'article entier sous la vidéo.

A Chypre, la Troïka a sacrifié les dépôts et le crédit pour sauver le système spéculatif : c'est l'anti Glass-Steagall ! La proposition de directive européenne de Michel Barnier et la Réforme bancaire de Pierre Moscovici menacent de généraliser ce remède à l'ensemble de l'Europe...

Nos explications en vidéo :

Troïka : « Epargnons les contribuables... Volons les épargnants ! »

Après la ponction sans limite des dépôts non-garantis à Chypre, la proposition de directive européenne de Michel Barnier et la Réforme bancaire de Pierre Moscovici menacent de s’en prendre aux dépôts bancaires pour renflouer le système spéculatif : c’est le diabolique mécanisme de "résolution" bancaire...

http://www.dailymotion.com/video/xyopj0_troika-epargnons-les-contribuables-volons-les-epargnants_news


Troika: "Epargnons les contribuables..... par Solidarite_et_Progres

 

Comment la Troïka va mettre la main sur vos dépôts bancaires

lundi 1er avril 2013


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Suite au sauvetage de Chypre, le président de l’eurogroupe Jeroen Dijsselbloem a été fortement critiqué pour avoir dit ouvertement que l’UE compte s’arroger le droit de confisquer certains dépôts bancaires.

En vérité, la norme sur la résolution des crises bancaires en Europe, en discussion entre la Commission et le Parlement européen depuis le 6 juin 2012, comprend la proposition que les déposants qui ont plus de 100 000 euros (dites des dépôts non-garantis) soient impliqués dans les plans de sauvetage des banques et assument une partie des pertes.

Soulignons tout de même que comme on l’a vu dans le cas de Chypre, les ministres des Finances de toute la zone euro n’ont pas résisté à l’idée de mettre à profit tous les dépôts, y compris ceux en-dessous de la barre des 100 000 euros, bien que se rendant à l’évidence qu’il allait précipiter un bankrun dans toute la zone euro, ils ont dû faire marche arrière sur ce point.

Du bail-out au bail-in

La nouvelle politique de l’UE part de l’idée louable qu’il faut cesser de renflouer les banques en difficultés par l’argent du contribuable. A la place d’un « bail-out » (renflouement des banques en défaut grâce à un apport extérieur), l’UE passerait à une politique de « bail-in » (renflouement avec les ressources propres venant de l’intérieur de la banque).

En bref, un liquidateur nommé par l’Etat, une fois vendus les biens et les actions de la banque, renflouera celle-ci si besoin avec une partie ou tout l’argent des déposants. S’il était prévu que la norme entre en application en 2018, la crise bancaire à Chypre a permis d’avancer le calendrier.

Rappelons d’abord quelques déclarations publiques au niveau international :

  1. EUROGROUPE. Le 25 mars 2013, le président de l’Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, accordait au Financial Times et à l’agence de presse Reuters un entretien dans lequel il estimait que reporter les risques que prend le secteur financier sur les épaules du public n’était pas la bonne approche. « Si une banque à risque ne peut pas se recapitaliser elle-même, alors nous discuterons avec les actionnaires et les créanciers obligataires, nous leur demanderons de contribuer en recapitalisant la banque et, si nécessaire, nous ferons de même avec les détenteurs de dépôts non garantis », expliquait le président de I’Eurogroupe.
  2. BANQUE CENTRALE EUROPEENNE. Un membre du Conseil de la BCE, Klaas Knot a reconnu dans le quotidien néerlandais Het Financieele Dagblad que cette politique est « sur la table depuis un certain temps ».
  3. COMMISSION EUROPEENNE. La Commission européenne, pour qui Chypre est « un cas unique », a également admis que cette option est à l’ordre du jour. Chantal Hughes, la porte-parole du Commissaire européen Michel Barnier en charge du Marché intérieur pour les services financiers, a déclaré le 26 mars : « Nous voulons retrouver une situation où le contribuable arrête de payer pour les banques. » Ainsi, il n’est « pas exclu que les dépôts supérieurs à 100 000 euros soient des instruments éligibles à emporter. Il n’est pas exclu, c’est une possibilité », a-t-elle précisé.
  4. DEPUTES EUROPEENS. Les propos de M. Dijsselbloem « ne sont pas incongrus. Ce concept fait partie des idées de législation sur la restructuration des banques », a aussi réagi sur Twitter la présidente de la Commission des affaires économiques du Parlement européen, la libérale britannique Sharon Bowles. Un eurodéputé suédois membre du Parti populaire européen (conservateur), Gunnar Hökmarkva, va proposer au Parlement européen un texte faisant participer les dépôts à tout sauvetage bancaire. « Les dépôts inférieurs à 100 000 euros sont protégés. Les dépôts au-dessus de 100 000 euros ne sont pas protégés et doivent être traités comme une partie du capital qui peut être sollicité », a-t-il détaillé.
  5. CANADA. Au Canada, le gouvernement vient de présenter son Plan d’action économique 2013. Ce plan (pp.144-145) annonce lui aussi que le gouvernement va étudier comment « réduire l’exposition aux risques » pour les contribuables, par la mise en place d’une politique de « bail-in ».
  6. ETATS-UNIS ET ROYAUME UNI. Le 10 décembre 2012, le Fonds de garantie des dépôts américain (FDIC) et la Banque d’Angleterre (BoE) ont publié ensemble une note de 18 pages, intitulée « La résolution active et globale d’institutions financières d’importance systémique (G-SIFI) », où la même stratégie de spoliation des dépôts est proposée. Les pertes doivent être assumées par les actionnaires et ceux que la note appelle les « créanciers non-sécurisés », ce qui laisse une bonne marge d’interprétation pour savoir de qui l’on parle.

Ce que propose le Commissaire européen Michel Barnier

Présenté le 6 juin 2012 par Michel Barnier comme la pièce maîtresse pour créer une Union bancaire en Europe, son plan de résolution des crises bancaires se prétend capable d’éviter des sauvetages dans l’urgence et coûteux pour les contribuables. Le plan permettrait à une autorité nationale ad hoc d’obliger l’établissement à céder des activités sans l’accord des actionnaires, de créer une « bad bank » ou, solution extrême, de procéder à un « bail-in ». « L’objectif est de protéger les contribuables. Les banques doivent payer pour les banques », indiquait alors Michel Barnier.

Ainsi, la « Directive du Parlement européen et du Conseil établissant un cadre pour le redressement et la résolution des défaillances d’établissements de crédit et d’entreprises d’investissement » du 6 juin 2012 annonce d’emblée qu’il fait créer un « régime particulier pour la résolution », puisque « l’expérience acquise lors de différentes crises bancaires montre que les législations en matière d’insolvabilité ne sont pas toujours adéquates pour gérer efficacement la défaillance d’établissements financiers, dans la mesure où elles ne tiennent pas dûment compte de la nécessité d’éviter de compromettre la stabilité financière ».

Un régime de « résolution bancaire » permettrait de résoudre le problème et de « limiter l’exposition du contribuable ». « Dans ce processus, il faut aussi veiller à garantir la sécurité juridique, la transparence et la prévisibilité en ce qui concerne le traitement des actionnaires et des créanciers de la banque, et préserver la valeur qui, en cas de faillite, pourrait être détruite. De plus, en mettant fin à la certitude implicite d’un renflouement externe des établissements au moyen de fonds publics, l’option de la résolution devrait encourager les créanciers non assurés à mieux évaluer les risques liés à leurs investissements. »

La proposition précise que « Si les conditions de déclenchement de la résolution sont réunies, les autorités de résolution pourront employer les instruments de résolution suivants : (a) cession des activités ; (b) établissement-relais ; (c) séparation des actifs ; (d) renflouement interne (bail-in) ».

Parmi les outils du « bail-in », il est clairement noté que « les autorités de résolution devraient avoir le pouvoir de procéder au renflouement interne pour tous les engagements de l’établissement. Il existe toutefois certains engagements qui seraient exclus ex-ante (tels que les engagements garantis, les dépôts couverts et les engagements d’une durée résiduelle inférieure à un mois) ».

Par soustraction, cela veut clairement dire que les dépôts « non-garantis » (au-dessus de 100 000 euros) ne seront pas exclus.

Encore plus grave : le fait que dans chaque pays les Fonds de garantie des dépôts, qui sont supposés garantir tous les dépôts des citoyens à hauteur de 100 000 euros comme le préconise la Directive 94/19/EC de l’Union européenne, seront eux aussi mis à contribution pour participer financièrement aux plans de résolution bancaire, puisque grâce au mécanisme de résolution, tel est l’argument, l’on peut éviter la contagion et donc les dépenses du Fonds de garantie !

Ce que proposent Karine Berger et Pierre Moscovici

En France, le gouvernement, tout en évoquant le fait qu’il faut attendre une loi européenne dans ce domaine pour pouvoir aller plus loin, précise dans la loi de réforme bancaire certaines conditions d’un « bail-in » en cas de défaillance bancaire. Seront mis à contribution, d’abord les actionnaires, puis les SICAV, les FCP puis les créanciers obligataires.

En ce qui concerne les dépôts, rien dans la loi ne permet de soupçonner que les dépôts en-dessous de 100 000 euros ne soient pas protégés. Faut-il conclure qu’en l’absence de spécifications les autres le seront ?

De toute façon, il y a quelques petits détails à traiter pour que cette garantie puisse réellement être effective le jour où elle sera nécessaire. D’abord, l’on constate que chez nous, le Fonds de garantie des dépôts ne dispose que de 2 milliards d’euros : un peu léger pour couvrir les 1776 milliards d’euros éligibles à être couverts par le Fonds. Évidemment, en France, nos banques « universelles » sont si solides, que le cas ne se présentera pas...

Ensuite, en accord avec cette cuisine bruxelloise, la loi de réforme bancaire élaborée par Karine Berger et Pierre Moscovici (article 6) prévoit de fusionner l’argent de ce Fonds avec le Fonds de résolution bancaire géré par l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) !

Comme le regrette Olivier Berruyer sur son site, lors des discussions sur la réforme bancaire au Parlement, « l’amendement visant à séparer l’argent du Fonds de garantie des dépôts de celui du Fonds de résolution (visant à recapitaliser des banques mourantes) a été rejeté une 4e fois : j’ai peu de doutes, l’argent du fonds sera utilisé en priorité pour les banques et pas pour les déposants, cela a été dit clairement dans les débats. RIP votre épargne… »

http://www.solidariteetprogres.org/actualites-001/article/comment-la-troika-va-mettre-la-main-sur-vos.html

De l'affaire CAHUZAC à l'affaire SARKOZY. L'affaire DREYFUS et les 4 frères SARKOZY !

Affaire Cahuzac: les révélations d'un financier suisse. Et pour parler de l'affaire Dreyfus et des 4 frères SARKÖZY !

Instaurez les liens qui existent entre Asset Management International entre autres organismes de financement international et les détenteurs de la dette Française, et les frères de l'imposteur Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA.

Tout a été écrit dans la plainte déposée auprès du Parquet de Nice, le 9 février 2012 qui dort bien sûr !

Affaire Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA dit Nicolas SARKOZY.

Et notamment par le biais de ces articles :

Les 50 plus gros détenteurs de dette française
Guillaume SARKOZY,
Malakoff Médéric France (frère de Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa )
http://actuwiki.fr/speculation/17236


Olivier Sarkozy et le groupe carlyle

DANS LA FAMILLE SARKOZY, JE VOUDRAIS…. LE GROUPE CARLYLE
Pour comprendre pourquoi on se scandalise de cette “filiation” de Nicolas Sarkozy avec le Groupe Carlyle - nébuleuse opaque au service du complexe militaro-industriel atlantiste et disposant de “conseillers” prestigieux (Bush père, John Major, Henri Martre, Etienne Davignon président honoraire du Bilderberg Group, une création de l'OTAN…) dans le monde entier - jetez un coup d’oeil aux sitesStop Carlyle” : (http://stopcarlyle.ifrance.com/) ou encore cet article du Monde : L’Empire Carlyle ou du Réseau Voltaire : Le Carlyle Group, une affaire d’initiés

http://www.alterinfo.net/DANS-LA-FAMILLE-SARKOZY-JE-VOUDR...


Étienne Davignon, président honoraire du groupe Bilderberg, confirme l'invitation de Christine Lagarde à la réunion de 2011 à St-Moritz en Suisse

C'est le Bilderberg Group qui a élu à huis clos, Van Rompuy, le supposé président de l'Europe qui est un pion des Illuminati-sionistes 
http://www.dailymotion.com/video/xkcfe7_etienne-davignon-...



Étienne Davignon, président honoraire du groupe... par non-merci


Ce que vous ignorez sur le Groupe de Bilderberg
Depuis plusieurs années, l’idée s’est répandue que le Groupe de Bilderberg serait un embryon de gouvernement mondial. Ayant eu accès aux archives de ce club très secret, Thierry Meyssan montre que cette description est une fausse piste utilisée pour masquer la véritable identité et fonction du Groupe : le Bilderberg est une création de l’OTAN. Il vise à convaincre des leaders et à manipuler l’opinion publique à travers eux pour la faire adhérer aux concepts et aux actions de l’Alliance atlantique.
http://www.voltairenet.org/article169364.html

 

Le Groupe Carlyle ou Carlyle Group est une société de gestion d'actifs mondiaux américaine fondée en 1987 spécialisée dans le capital-investissement.
Basé à Washington, le groupe investit dans de nombreux domaines d'activités, comme l'aéronautique, la défense, l'industrie automobile et des transports, l'énergie, les télécommunications et les médias. Via sa filiale AlpInvest, il opère quatre métiers différents : le capital-investissement, l'immobilier, les stratégies de marché et les fonds de fonds. Ses investissements sont essentiellement situés en Amérique du Nord, en Europe et en Asie du Sud-Est.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Carlyle_group

François Sarkozy
http://sarkopitheque.wordpress.com/2007/05/15/francois-sa...


Les 4 frères Sarkozy : quand l'intérêt privé plombe l'intérêt général !
François Sarkozy.
Pédiatre de formation, François a abandonné la pratique de la médecine pour se consacrer à l’industrie pharmaceutique (principalement orientée vers la gériatrie) depuis 2001. Ainsi, il siège au conseil de surveillance de Bio Alliance Pharma et est devenu le président d’AEC Partners dont une des missions est le conseil aux fonds d’investissement.
http://www.gennevilliers-asso.org/fa-2012/Les-4-freres-Sa...

Les amis et soutiens de Nicolas SARKOZY
http://sarkopitheque.wordpress.com/2007/06/01/survol/

Extrait de l'article ci-dessous : L’autre élément qui, pour moi, crée un faisceau de présomption relativement fort, c’est qu’il y a une proximité très importante entre Hervé Dreyfus et son amie d’enfance Cécilia Ciganer (ex-Sarkozy). De ce fait, Hervé Dreyfus est d’ailleurs un des conseillers patrimoniaux de Nicolas Sarkozy, pour des investissements immobiliers ou autres et pour sa fiscalité.


En réalité, les liens entre Hervé Dreyfus – homme de réseaux, proche de Nicolas Sarkozy et de son ex-épouse Cécilia – et Dominique Reyl sont bien plus serrés que ne l’écrit Mediapart: ils sont demi-frères.


Contacté, le directeur général de Reyl & Cie, François Reyl – fils du président et fondateur – n’a pas tenu à confirmer ces informations: «Nous n’avons pas pour habitude de commenter l’actualité, si ce n’est de notre propre initiative.»

Qui est le groupe REYL ?

REYL | Un groupe bancaire indépendant créé en 1973

Basé depuis 1973 à Genève en Suisse avec des bureaux à Paris, Zurich, Luxembourg, Singapour et Hong Kong, la banque Reyl est spécialisée dans trois ...

Élargir les compétences. Pour répondre aux exigences accrues de nos clients, les conseillers de REYL & CIE pratiquent leur métier avec une approche pluridisciplinaire et sont attentifs à replacer la gestion de portefeuille dans un contexte plus large.


Affaire Cahuzac: les révélations d'un financier suisse.

01 février 2013 Par antoine peillon

Cette haute personnalité des milieux financier et politique genevois, professionnel de la gestion de fortune privée depuis de nombreuses années, est un « témoin privilégié », selon ses propres termes, de l’organisation de l’évasion fiscale de nombreuses personnalités françaises. 

Il connaît parfaitement les établissements bancaires suisses comme l’UBS ou le Crédit Suisse, ainsi que les compagnies de gestion de fortune comme le groupe Reyl et les intermédiaires ou conseillers financiers indépendants tels que Hervé Dreyfus. Ses déclarations apportent un éclairage précis sur l’éventuel dépôt d’actifs financiers non-déclarés dans une banque suisse au bénéfice de Jérôme Cahuzac, actuel ministre français du Budget.

Pouvez-vous reconnaître la voix d'Hervé Dreyfus dans l’enregistrement publié par Mediapart[1] le 5 décembre 2012 ?

Il est très plausible que l’une des deux voix audibles est celle d’Hervé Dreyfus. L’interlocuteur de la personne qui semble être Jérôme Cahuzac est probablement Hervé Dreyfus. Il est aussi cohérent de penser que c’est Hervé Dreyfus, puisqu’il a eu, avant d’occuper ses fonctions professionnelles actuelles, des responsabilités au sein de différents établissements bancaires français, dont le Crédit commercial de France (CCF)[2], où il a assez naturellement et nécessairement côtoyé Antoine Cahuzac[3]. Il fait partie des réseaux des frères Antoine et Jérôme Cahuzac.

Quelles sont les activités professionnelles réelles d’Hervé Dreyfus ?

Hervé Dreyfus, en plus de ses activités transparentes de gérant d’actifs financiers à Paris, au sein de la société anglo-saxone Raymond James Asset Management International, a un lien avec le offshore (placement d’actifs à l’étranger) du fait qu’il est le demi-frère de Dominique Reyl, un Français qui a acquis la nationalité suisse et qui est présent à Genève depuis 1973, qui a fondé la Compagnie financière d’études et de gestion, laquelle est devenue Reyl & Cie en 1988. Il s’agissait d’une société de gestion d’actifs financiers pour le compte de clients privés sur le modèle genevois classique et qui, historiquement, a eu beaucoup, je dirais même essentiellement, des grandes familles possédant des actifs non-déclarés (au fisc français) comme base de clientèle française. La société Reyl & Cie est devenue banque en 2010.

Au-delà d’une relation d’ordre familial, quel est le rapport professionnel entre Hervé Dreyfus et le groupe Reyl ?

Hervé Dreyfus, de par ses réseaux personnels, professionnels et mondains, a été un porte-parole discret des services que pouvait rendre le groupe Reyl en Suisse pour l’accueil de clients français voulant protéger des actifs non-déclarés. Il était un peu le chasseur et le rabatteur discret qui accompagnait ces gens-là ici, à Genève, pour discuter des arrangements à mettre en place au travers de différents montages, différentes structures, différentes techniques. Hervé Dreyfus était un apporteur d’affaires et il est assez cohérent de penser que si Jérôme Cahuzac a eu besoin de dissimuler des actifs, il a pu le piloter et le guider.

D’après Mediapart, les actifs non-déclarés de Jérôme Cahuzac auraient été déposés sur un compte ouvert à l’UBS de Genève. Comment aurait été organisé, selon vous, ce dépôt ?

Reyl, à l’époque où Jérôme Cahuzac a dû arriver (à Genève)[4], n’était pas encore une banque[5]. Cette compagnie financière devait donc utiliser des banques pour déposer l’argent de ses clients. Reyl avait des comptes en son nom auprès de différents établissements bancaires suisses et chacun des clients privés de Reyl était en fait un compartiment de ces comptes master[6]. L’établissement de dépôt, par exemple l’UBS qui est un de leurs dépositaires, n’avait dans ses livres que Reyl comme client officiel.

Il est fort probable que le compte (dont Jérôme Cahuzac était l’éventuel bénéficiaire) n’a certainement pas été ouvert en (son) nom propre à l’UBS, mais qu’il a été ouvert via une société, parce que Reyl, comme toutes les banques et gérants indépendants qui ont voulu, depuis 2006, que leurs clients non-déclarés échappent aux nouvelles règles européennes de retenue à la source de l’épargne, a bien pris soin de faire en sorte que plus aucun compte de client aux actifs non-déclarés ne soit ouvert en nom propre[7]. Tous ces comptes non-déclarés ont été transférés dans des comptes de sociétés-écrans, lesquelles étaient des coquilles purement juridiques destinées simplement à être les détentrices officielles de ces comptes.

Toujours d’après Mediapart, les actifs non-déclarés de Jérôme Cahuzac auraient été transférés de Genève à Singapour en 2010. Est-ce crédible ?

Une deuxième vague de dissimulation a eu lieu à partir de 2008, du fait de ce qui s’est passé notamment aux Etats-Unis à propos de l’évasion fiscale (affaire UBS) et de la remise en cause conséquente du secret bancaire suisse. Reyl a fait exactement comme tous ses concurrents, en ouvrant une filiale, entre autres, à Singapour. Tous les clients qui avaient des actifs non-déclarés sont sortis des livres suisses de la compagnie pour être accueillis dans la filiale singapourienne ad-hoc. C’est ce qui, à mon avis, a permis à Jérôme Cahuzac de pouvoir dire qu’il n’était pas le titulaire d’un compte en Suisse. Il serait intéressant de lui poser la question en la formulant ainsi : « Êtes-vous, d’une façon directe ou indirecte, bénéficiaire d’un compte non-déclaré en Suisse, êtes-vous ce que les Suisses appellent un ayant-droit économique (ADE) d’un compte non-déclaré ? »

Dans toute cette organisation d’une éventuelle évasion fiscale de Jérôme Cahuzac, quel aurait été précisément le rôle d’Hervé Dreyfus ?

Hervé Dreyfus a amené un certain nombre de personnalités politiques et de grands capitaines d’industrie français dans les livres de Reyl, de façon discrète et subtile. Comme chez UBS, certains des gestionnaires de Reyl se déplaçaient en France pour organiser la venue à Genève de clients aux actifs non-déclarés. Cela ne se faisait jamais par l’intermédiaire du bureau parisien de Reyl, mais par l’intermédiaire de gestionnaires qui étaient basés à Genève et qui voyageaient régulièrement en France et dans d’autres pays.

Ceci étant dit, le fait que Jérôme Cahuzac ait un compte auprès de Reyl ou, via Reyl, auprès d’un autre établissement bancaire, me semble être une certitude à 95% du fait de l’implication d’Hervé Dreyfus. L’autre élément qui, pour moi, crée un faisceau de présomption relativement fort, c’est qu’il y a une proximité très importante entre Hervé Dreyfus et son amie d’enfance Cécilia Ciganer (ex-Sarkozy). De ce fait, Hervé Dreyfus est d’ailleurs un des conseillers patrimoniaux de Nicolas Sarkozy, pour des investissements immobiliers ou autres et pour sa fiscalité.

De ce fait aussi, tout un réseau politique a bénéficié des services financiers de Reyl. L’avantage d’Hervé Dreyfus, c’est qu’il fait partie de ces très rares personnes à avoir à la fois de hautes relations, notamment politiques, et à avoir la technicité financière. Hervé Dreyfus connaît parfaitement les problématiques particulières des fameuses personnalités politiquement exposées (PEP).

Ce que vous décrivez dévoile, au-delà du cas éventuel de Jérôme Cahuzac, un système d’évasion fiscale presque généralisé. Concerne-t-il d’autres personnalités politiques ?

Je connais très clairement des dossiers impliquant des gens qui ont des profils similaires à celui de Jérôme Cahuzac de par leur séniorité politique, ainsi que ceux touchant aux actifs non-déclarés de grands entrepreneurs français proches des différents pouvoirs politiques de gauche et de droite. Je peux en témoigner parce que je l’ai vu, entendu et vécu. Hervé Dreyfus a organisé un système de compensation pour certains clients français du groupe Reyl.

Quand des clients bénéficiaires de comptes non-déclarés à Genève avaient besoin de liquidités, Hervé Dreyfus transférait les liquidités d’autres clients qui avaient des excès de liquidités sur leurs comptes gérés en France vers les comptes français de ceux qui avaient des besoins de liquidités, et puis il compensait ces mouvements dans l’autre sens sur les comptes suisses non-déclarés des uns et des autres, de façon à ce que ça se rééquilibre.

C’était une façon ingénieuse de mettre à disposition des liquidités auprès de clients sans avoir à les faire traverser la frontière, simplement par des compensations-miroir entre des comptes non-déclarés ouverts en Suisse et des comptes français. Hervé Dreyfus a été en quelque sorte un porte-valises et je peux en témoigner.

Propos recueillis par Antoine Peillon, auteur de Ces 600 milliards qui manquent à la France... (Seuil, 2012), à Genève (Suisse), le 24 janvier 2013.

Vérifications d’usage

1/ Auprès de l'UBS

Extrait de mon message de questions à UBS (Suisse) :

- Pouvez-vous me confirmer que M. Jérôme Cahuzac (actuel ministre du Budget, en France) a été, au moins jusqu'en 2010, l'ayant droit économique (bénéficiaire) d'un compte ouvert à l'UBS, en Suisse ?

- Dans le cas ou vous ne pouvez ou ne voulez pas confirmer cette information, pouvez-vous la démentir catégoriquement ?

La réponde d’UBS :

« Monsieur, Comme vous le savez, nous ne pouvons pas donner suite à vos questions. »

2 / Auprès de M. Hervé Dreyfus

Extrait de mon message de questions à M. Hervé Dreyfus (Paris) :

Une source financière et politique suisse de haut niveau m'ayant informé complètement sur une éventuelle opération vous concernant, je me permets de vous poser ces deux questions :

- Pouvez-vous me confirmer que M. Jérôme Cahuzac a été l'ayant droit économique (bénéficiaire) d'un compte ouvert dans une banque suisse, destiné au dépôt d'actifs non-déclarés, avec votre aide ?

- Dans le cas ou vous ne pouvez ou ne voulez pas confirmer cette information, pouvez-vous la démentir catégoriquement ?

Pas de réponse de M. Hervé Dreyfus.

3 / Auprès du Groupe Reyl

Extrait de mon message de questions à MM. Dominique et François Reyl (Genève) :

Messieurs,

Une source financière et politique suisse de haut niveau m'ayant informé complètement sur une éventuelle opération bancaire concernant votre groupe, je me permets de vous poser ces deux questions :

- Pouvez-vous me confirmer que M. Jérôme Cahuzac (actuel ministre du Budget, en France) a été l'ayant droit économique (bénéficiaire) d'un compte ouvert à l'UBS par vos services ?

- Dans le cas ou vous ne pouvez ou ne voulez pas confirmer cette information, pouvez-vous la démentir catégoriquement ?

Pas de réponse de MM. Reyl.

4 / Auprès de M. Jérôme Cahuzac

Extrait de mon message de questions à M. le ministre du Budget (France) :

Monsieur le Ministre,

(…)

- Pouvez-vous me confirmer que les deux personnes entendues dans l'enregistrement publié par Mediapart le 5 décembre 2012 sont bien vous-même et M. Hervé Dreyfus ?

- Dans le cas ou vous ne pouvez ou ne voulez pas me confirmer cette information, pouvez-vous la démentir catégoriquement ?

- Pouvez-vous me confirmer que vous avez été l'ayant droit économique (bénéficiaire) d'un compte ouvert à l'UBS à travers les services de M. Hervé Dreyfus et/ou du groupe Reyl (Genève) ?

- Dans le cas ou vous ne pouvez ou ne voulez pas me confirmer cette information, pouvez-vous la démentir catégoriquement ?

La réponse de M. Cahuzac :

« J'ai déjà dit tout ce que j'avais à dire, les allegations me concernant sont fausses, j'attends avec serenite le travail de la justice » (sic)


NOTES

[1]http://www.mediapart.fr/journal/france/051212/cahuzac-lav...

[2] Le CCF est devenu HSBC (Hongkong and Shanghaï Banking Corporation) France le 1er novembre 2005, après son rachat en 2000 par ce groupe bancaire mondial notamment spécialisée dans la banque privée (gestion de fortune) pour une clientèle nationale et internationale.

[3] En 1985, Antoine Cahuzac, frère de Jérôme, a rejoint le service des swaps du Crédit Commercial de France (CCF) dont il prend la direction en 1988. Après un passage de trois ans chez Vinci, il revient au CCF en 1994 où il occupe successivement différentes fonctions au sein de la Banque d’Investissement du CCF puis d’HSBC à compter de 2000. De mai 2011 à décembre 2012, il est président de HSBC Private Bank France. De son côté, Hervé Dreyfus a été gérant sur le marché euro-obligataire au CCF, puis responsable de la gestion de portefeuille de la clientèle privée non résidente, avant 1994, date de son entrée chez Raymond James Asset Management International.

[4] Début des années 1990, moment où il commence sa carrière politique en tant que conseiller technique pour le médicament au cabinet de Claude Évin, ministre des affaires sociales des deux gouvernements Rocard, de 1988 à 1991. Il était, de ce fait, l’interface entre le ministère de la Santé et la Direction de la pharmacie et du médicament (DPHM), chargée de la fixation des prix des médicaments et de leur réglementation générale. La DPHM est remplacée en mars 1993 par l’Agence du médicament.

[5] Elle obtient une licence bancaire en 2010.

[6] « Master account », ou « compte maître », ou « compte racine », qui permet de gérer sous une seule identité plusieurs sous-comptes en protégeant ou même en dissimulant au mieux les informations personnelles des clients bénéficiaires des sous-comptes.

[7] Depuis 1991, il n’est plus possible d’ouvrir un compte complètement anonyme (identité du détenteur inconnue de l’établissement bancaire) en Suisse. En revanche, il est toujours proposé de détenir des comptes numérotés et sous pseudonymes, à la condition que les identités réelles des bénéficiaires (ayant-droits économiques) soient tout de même connues par la banque où ces comptes sont gérés. En l’occurrence, lorsque le détenteur d’un compte n’est pas l’ayant droit économique ou lorsqu’il y a doute à cet égard, la banque doit exiger une déclaration écrite et signée par l’ayant droit économique, au moyen d’un « formulaire A » indiquant qui est cet ayant droit économique final, en vertu, entre autres, des « standards » de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), de la Loi sur le blanchiment d’argent (10 octobre 1997), de son principe du « know your customer », et surtout de la « Convention relative à l’obligation de diligence des banques » (avril 2008, articles 3 et 4 à propos du formulaire A) dont les objectifs sont de « préserver le renom du système bancaire suisse sur les plans national et international, (…) d’établir des règles assurant, lors de l’établissement de relations d’affaires et dans le domaine du secret bancaire, une gestion irréprochable, (…) de contribuer efficacement à la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme ». Cette obligation de signature de l’ayant droit économique ne souffre aucune possibilité de délégation. De plus, il est aussi hors de question, pour une banque suisse, de prendre le risque de faire passer la frontière à un formulaire A signé par un client ouvrant ou possédant des actifs non-déclarés. Cette double contrainte éclaire la discussion enregistrée par la messagerie du téléphone de Michel Gonelle et cet échange en particulier : « Moi, ce qui m’embête, c’est que j’ai toujours un compte ouvert à l’UBS, mais il n'y a plus rien là-bas, non ? La seule façon de le fermer, c’est d’y aller ? » (http://www.mediapart.fr/journal/france/051212/cahuzac-lav...)

http://blogs.mediapart.fr/blog/antoine-peillon/010213/affaire-cahuzac-les-revelations-dun-financier-suisse

29/03/2013

La pieuvre Goldman Sachs finalise sa prise de contrôle économique sur l’Europe et le monde ! Ce n'est pas une crise que nous vivons, c'est une escroquerie mondiale !

Un petit retour en arrière en novembre 2012 pour comprendre ce que nous vivons aujourd'hui avec la crise de Chypre notamment.

Après Chypre, le Luxembourg montré du doigt pour son secteur financier
http://www.liberation.fr/economie/2013/03/27/apres-chypre...

Thierry Meyssan : L’affaire chypriote sert à attirer les fonds européens vers Wall Street
Au sein de l’Union européenne, la crise financière chypriote n’est à nulle autre pareille. Pour la première fois des principes fondateurs de l’Union ont été mis en cause. Cette brèche ouvre un processus de décomposition politique qu’il sera difficile d’arrêter. Pour Thierry Meyssan, c’est un choix de Washington de privilégier la captation des capitaux pour résoudre sa propre crise financière, plutôt que de maintenir une organisation politique structurée de sa zone d’influence.
http://www.voltairenet.org/article177950.html...

Et à présent les Etats-Unis s'attaquent à la Suisse via le Liechtenstein

Les Etats-Unis attaquent la Suisse via le Liechtenstein
http://www.paradisfj.info/spip.php?article3085

 

Comme vous l'aurez compris les banksters s'attaquent aussi aux paradis fiscaux que Nicolas SARKOZY visait soi-disant lors de son mandat, pour braquer les détenteurs de fortunes qui devront se taire, surtout si les fonds ont une origine douteuse. L'effet boumerang est garanti !

Vous remarquerez que les Banksters ont oublié de mettre sur la sellette, la plus grande lessiveuse d'argent sale au Monde : la Banque du Vatican qui compte 44 000 comptes bancaires mafieux, en lui permettant d'aller abriter ses comptes en Suisse et que pour donner l'apparence de la déité, nous ne serions pas étonnés une fois les fonds placés en sécurité ou braqués, que la Banque du Vatican ne soit tout simplement fermée.

 

Surveillons ce qu'il se passera avec les Banques de l'Ile de Malte qui doivent appartenir en partie à l'Ordre Militaire Souverain de l'Ordre de Malte, l'une des armées secrètes du Vatican.

 

A qui le tour ensuite ?

A la France avec un président mis en place par ses amis banksters sionistes pour lesquels il œuvre, tel qu'il l'a démontré lors de son discours d'hier soir et qui est téléguidé par ses maîtres Illuminati-sionistes-reptiliens.

François Hollande: les adieux à la gauche
http://www.mediapart.fr/journal/france/280313/francois-hollande-les-adieux-la-gauche

Le fromage de Hollande, n'est plus à gauche, ni à droite, ni au centre, il est pour la promotion du Nouvel Ordre Mondial comme son prédécesseur Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA, avec pour objectifs de terminer de ruiner la France et les Français,  de ruiner l'Europe et les européens pour finir par instaurer le Nouvel Ordre Mondial.

L'un a mis le clou et l'autre l'enfonce !

Cessez de croire que vous avez élu un président de la Ripouxplique bananière qui œuvre dans les intérêts du Peuple.

La politique est une métier très lucratif surtout lorsque l'on est mis en place et que l'on travaille pour les banksters.

Encore une fois, ce ne sont pas les politiques qui mènent le monde, mais les banksters avec le complexe militaro-industriel et leurs multinationales.

La présence du Groupe sioniste promoteur du Nouvel Ordre Mondial, le Bilderberg Group à l'Europe et dans le monde est faite pour s'accaparer les finances mondiales.

Le Bilderberg Group qui place tous "ses salariés directeurs de banque à la tête des états" et qui se réserve le droit de les limoger s'ils ne rendent pas les meilleurs services ou pour les protéger de la vindicte populaire après services rendus.

CHYPRE. Le directeur de la principale banque du pays limogé
Yiannis Kypri a été renvoyé sur instruction de l'Union européenne, de la Banque centrale européenne et du Fonds monétaire international.
http://tempsreel.nouvelobs.com/economie/20130327.OBS7625/...


Chypre n'aura été qu'un délit d'initiés de plus, tout comme les attentats du 11 septembre 2001 aux USA

Délits d’initiés à Chypre : 4,5 milliards d’€ se sont envolés avant le blocage des comptes
http://www.alterinfo.net/Delits-d-inities-a-Chypre-45-milliards-d-se-sont-envoles-avant-le-blocage-des-comptes_a88168.html

Tout comme les attentats du 11 septembre ont été un délit d'initiés.

Les Initiés du 11-Septembre par Hicham Hamza journaliste indépendant
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2013/03/29/les-in...

Ce n'est pas une crise que nous vivons, c'est une escroquerie mondiale qui vise à braquer tous les citoyens du monde au profit du Nouvel Ordre Mondial et de l'organisation de ses guerres génocidaires.
 

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Goldman Sachs finalise sa prise de contrôle économique sur l’Europe

A la surprise générale, le chancelier de l’Échiquier britannique, Georges Osborne, a annoncé lundi 26 novembre la nomination de Mark Carney, 47 ans, actuel gouverneur de la Banque centrale du Canada, au poste de gouverneur de la Banque d’Angleterre. Le nouveau patron de la Bank of England (BoE) doit succéder à l’actuel gouverneur Mervyn King en juin 2013.

 

Mark Carney a fait des études à Harvard et Oxford, puis travaille treize ans pour la compagnie Goldman Sachs International à Londres. Il s’impliquera notamment dans l’économie post-apartheid de l’Afrique du Sud ainsi que dans les opérations de Goldman Sachs liées à la crise financière russe de 1998 , en conseillant la Russie de parier contre la capacité du pays à rembourser sa dette.

La nomination de Carney survient à peine six mois après sa participation à la conférence du Groupe Bilderberg de 2012 à Chantilly, en Virginie, une réunion annuelle de plus d’une centaine de personnes les plus puissantes de la planète, qui usent régulièrement de leur position afin d’imposer certains choix … ou  nominer certains hommes.

La présence de Carney à la réunion du Bilderberg de cette année lui a sans aucun doute permis de gagner les faveurs des membres du groupe pour le poste de gouverneur de la Banque d’Angleterre, tout comme pour d’autres sommités, comme Herman Van Rompuy, qui a été choisi comme président de l’Union européenne, quelques jours après avoir assisté à un dîner avec le Groupe Bilderberg.


L’ascension de Mark Carney à la tête de la Banque d’Angleterre représente également la dernière pièce du puzzle pour le contrôle de Goldman Sachs sur pratiquement toutes les grandes économies à travers le continent européen.

L’an dernier, c’est l’ancien commissaire européen Mario Monti qui avait été choisi pour remplacer Silvio Berlusconi, le premier ministre italien. Monti était connu pour être un conseiller international de Goldman Sachs, président européen de la Commission Trilatérale et également un membre éminent du Groupe Bilderberg.

« Il s’agit des mêmes criminels qui nous ont mené vers cette catastrophe financière. C’est comme demander à des pyromanes d’éteindre le feu », a commenté Alessandro Sallusti, rédacteur d’Il Giornale.

De même, lorsque le Premier ministre grec George Papandreou a osé suggérer la possibilité pour le peuple grec de s’exprimer lors d’un référendum, il fût remplacé quelques jours après par Lucas Papademos, ancien vice-président de la BCE. Il a notamment été gouverneur de la Banque de Grèce qu’il occupera jusqu’à ce qu’il prépare son pays au passage à l’euro en 2001. C’est sous son mandat qu’a commencé le trucage des comptes publics de la Grèce, au moyen d’instruments financiers proposés par la banque d’affaires Goldman Sachs, qui a conduit à la crise de la dette publique. Aujourd’hui, c’est lui-même qui est à la tête du gouvernement grec pour mettre en place une politique d’austérité supposée résoudre cette crise.

Papademos et Monti ont été nommés en tant que dirigeants non élus pour la raison précise qu’ils « ne sont pas directement responsables aux yeux du public », souligne le Time Magazine, illustrant une fois de plus le caractère autoritaire et antidémocratique de l’Union Européenne dans son ensemble.

Peu de temps après, Mario Draghiancien vice-président de Goldman Sachs International – a été nommé en tant que président de la Banque Centrale Européenne.

Le géant bancaire international, connu pour sa corruption et ses délits d’initiés, a désormais une influence énorme sur presque toutes les grandes économies occidentales.

Source : http://lejournaldusiecle.com/2012/11/27/goldman-sachs-finalise-sa-prise-de-controle-economique-sur-leurope/

Les Initiés du 11-Septembre par Hicham Hamza journaliste indépendant (Partie 1).

Partie 2 : ICI
 
Voici une autre vision des choses sur les attentats du 11 septembre 2001 aux USA sur un travail de recherches et d'analyse effectué par Hicham Hamza journaliste indépendant.


Webdocumentaire en cours de réalisation. Notice explicative :
 
 
 
 LES INITIÉS DU 11-SEPTEMBRE

Webdocumentaire réalisé par Hicham Hamza
***** { Work in Progress, 2010-2013 } ***** 

Après 3 années de recherche, cette enquête multimedia, progressivement mise en ligne, vise à exposer -à travers la publication d’un ensemble de documents dont certains sont inédits- la réalité et la complexité d’un phénomène passé sous silence : l’impunité des « fondamentalistes financiers », au coeur de l’Occident, qui ont tiré profit des attentats du 11-Septembre.

Dans les prochaines semaines, vidéos, extraits sonores, interviews exclusives, documents pdf et analyses en rapport avec la question politico-financière des délits d’initié -survenus autour des actes terroristes de New York et du Pentagone- seront ainsi mis en ligne, au fur et à mesure, sur cette page .

Comme un jeu de piste, des éléments supplémentaires de compréhension viendront progressivement éclaircir -autour et à l’intérieur des vidéos- les ellipses de la narration, élaborée à l’instar d’un rébus.

Contrairement au format de la télévision, le webdoc permet en effet d’affirmer, à la fois de manière informative et artistique, un regard singulier sur un sujet controversé.

Tel est l’objectif assumé par ma publication : proposer à l’internaute de (re)découvrir un scandale politique étouffé depuis onze ans. Je conclurai également la mise en ligne par un texte exposant, en toute subjectivité, les « coulisses » de mon auto-production (enquête, tournage, montage) qui fut particulièrement délicate à mener jusqu’au bout (origine du projet, contacts, aléas et contre-temps, zéro budget, carences techniques, incidents, etc).

Rappeler qu’il existe un « cartel » de criminels financiers impunis qui auraient pu tenter d’empêcher le 11-Septembre mais qui ont préféré maximiser le profit engendré par la catastrophe sur les places boursières. C’est le but de la mise en ligne, qui commence en ce jour du 11 septembre 2012, de mon  webdocumentaire.

Bonne navigation à tous dans les méandres de l’affaire.

Présentation

Onze ans après les attentats du World Trade Center, l’ombre d’un gigantesque délit d’initié plane toujours sur l’événement. Des spéculateurs, pour le moins avisés, ont réalisé d’importants profits suite aux attaques terroristes, en ayant misé la veille au plus juste. Enquête.

Qui savait quoi et à quel moment? Au-delà des polémiques sur les causes de l’effondrement des tours ou les carences de l’enquête officielle, le soupçon de délit d’initié relatif au 11-Septembre constitue également une énigme incontournable autour de ces attentats.

Nous savons désormais que l’administration Bush avait été prévenue de l’imminence d’attaques terroristes, c’est un fait établi. De même, de nombreux services de renseignements à travers le monde étaient informés de la menace. On peut donc en déduire que certains acteurs de la finance, proches des lieux de pouvoir, auraient pu bénéficier de ces informations ultra-sensibles. Il n’est pas exclu non plus que les terroristes eux-mêmes aient pu faire profiter certains de leurs parrains boursicoteurs. Voilà où nous en sommes. A ce jour, concernant ces spéculateurs, rien ne permet de désigner un quelconque complot d’Etat ou, à l’inverse, quelque réseau financier d’Al Qaïda. Et là réside tout le problème : onze ans après, le doute persiste sur la nature et la provenance de ces transactions.

Une  étude scientifique, publiée en 2010 par l’Université de Zurich et dirigée par le professeur de finance Marc Chesney, confirme le mauvais pressentiment des analystes économiques, exprimé une semaine après la tragédie, lors de la réouverture des marchés. Des spéculateurs non identifiés, opérant depuis différentes places boursières à travers le monde, ont acquis, avant le 11 septembre, le droit de vendre à un prix prédéfini les actifs des principales compagnies aériennes et d’assurances qui allaient être affectées par les attentats terroristes, et dont les actions en bourse allaient s’effondrer. La vente effective dès la chute de la valeur boursière a permis à certains d’engranger des profits colossaux.

Coïncidence extraordinaire ou décision prise en connaissance de cause?  Seule une enquête exhaustive, internationale et transparente, permettrait de trancher la question. En cas de préméditation, un « délit d’initié », opération financière consistant à réaliser des gains illicites sur la vente ou le rachat d’actions en raison d’informations confidentielles, serait alors constitué.

Qui sont les spéculateurs ?

Sujet épineux, à la fois technique et politique, mais fondamental pour comprendre la genèse et le contexte des attentats. Identifier ces spéculateurs -dont certains ont opéré depuis de prestigieuses institutions financières telle la Deutsche Bank- est primordial. Il s’agit, en définitive, de remonter le circuit sinueux d’une information, plus ou moins détaillée, circulant durant l’été 2001 et concernant les cibles, les méthodes ainsi que la date d’exécution d’un acte terroriste à grande échelle. En cas d’enquête judiciaire, retracer la transmission de ce précieux secret permettrait de se rapprocher au plus près de sa source, située en amont, autour du réseau criminel constitué par les commanditaires des attentats, leurs exécutants et leurs complices. L’identité des «initiés» est un chaînon manquant, parmi tant d’autres, du 11-Septembre.

Je suis allé interroger les protagonistes qui ont tenté d’alerter l’opinion publique, ceux qui ont soulevé une partie du voile sur ce scandale politico-financier silencieux, ignoré ou réfuté par la plupart des « gendarmes boursiers ». Outre les analyses du professeur Marc Chesney, j’ai également recueilli les témoignages, entre autres, d’Eric Laurent, grand reporter et auteur de la  « Face cachée du 11-Septembre », et de Max Keiser, ancien trader de Wall Street, désormais reconverti dans l’édito économique pour chaînes tout-info et réalisateur d’un prochain documentaire sur ces délits d’initiés.

Enfin, bien qu’il ait décidé de ne plus aborder publiquement le sujet controversé du 11-Septembre, un célèbre journaliste d’investigation américain, Michael C. Ruppert, qui a fait l’objet d’un film au cinéma et qui fut parmi les premiers à enquêter sur cette énigme, a accepté de rompre son silence afin de me confier, dans notre correspondance via Internet, son intime conviction.

Ces échanges avec différents experts ont affermi ma volonté initiale d’explorer une piste inédite: celle consistant à identifier les groupes et les individus qui se seraient prêtés à ces fructueuses spéculations depuis Paris. Selon le rapport d’enquête de la Commission des Opérations de Bourse, publié en 2002, «les éléments recueillis n’ont pas permis de mettre en évidence que des groupes financiers liés aux instigateurs des attentats aient pu utiliser le marché de la Bourse de Paris pour réaliser des opérations sur le marché». Une conclusion d’enquête pour le moins insuffisante, accompagnée d’un curieux raisonnement : puisque les personnes identifiées n’avaient pas de lien avéré avec les structures financières proches d’Al Qaïda, elles seraient donc insoupçonnables.

 Or, certains témoignages «de l’intérieur», comme une déclaration «off» de l’ex-trader de la Société Générale,
Jérôme Kerviel, ou la révélation méconnue d’un banquier allemand, s’exprimant le 20 septembre 2001, sous couvert d’anonymat, auprès du correspondant de l’agence Reuters, suggèrent bel et bien l’existence probable de personnes « bien informées », d’initiés, parmi les opérateurs français. Si ces confidences particulières, anonymes ou « off », ne constituent pas le début d’une preuve, elles encouragent cependant davantage l’investigation de la piste parisienne.

Il en va des enquêtes comme des voyages : il importe parfois d’improviser l’itinéraire, voire de s’égarer, pour faire certaines découvertes. Je n’avais pas soupçonné, en débutant mes recherches, que la problématique du délit d’initiés autour du 11-Septembre serait autant riche en révélations. Entre autres, ces deux constats inattendus:  d’une part, l’étonnante  «globalisation» des transactions suspectes, attestées en Amérique du nord, en Europe et en Asie du sud-est; d’autre part, l’existence d’un désaccord inhabituel entre les divers « gendarmes boursiers », prompts à enterrer officiellement l’affaire au travers d’enquêtes opaques, et la plupart des experts financiers qui jugent vraisemblable le délit d’initié autour des attentats.

Le but poursuivi à travers ce webdocumentaire est clair : pointer les incohérences et continuer à chercher, avec vous, à comprendre le 11-Septembre. Au regard de ses innombrables et funestes conséquences, il importe plus que jamais d’en dérouler toute la trame. L’enjeu, civique comme journalistique, consiste toujours à le démystifier. De toutes parts.

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La vidéo originale en intégralité :

LES INITIÉS DU 11-SEPTEMBRE
http://www.dailymotion.com/video/xti39a_les-inities-du-11...


LES INITIÉS DU 11-SEPTEMBRE par globereporter

Israël et le 11-Septembre: le grand tabou (TEASER)
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&...

La vidéo en 6 parties progressivement annotées :

PROLOGUE

Les initiés du 11-Septembre (1/6)
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&...

A  qui profite le crime? Onze ans après les attentats, certaines questions demeurent toujours sans réponse. Fataliste, le grand reporter Eric Laurent a néanmoins tenté d’y voir plus clair.

CONTRE-ENQUÊTE
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&...

Une enquête bâclée et verrouillée ? Au coeur des délits d’initiés, le mystère persiste sur l’identité des spéculateurs. Ces derniers ont fait fortune grâce aux attentats du 11-Septembre. L’organisation internationale de la commission des valeurs, qui coordonne l’ensemble des places boursières, a fait savoir, le 15 octobre 2001, que des centaines de millions de dollars ont été amassés à travers le monde en raison d’opérations financières estimées trop fructueuses pour être hasardeuses. Qui en furent les bénéficiaires? Seuls les « gendarmes boursiers » sont en mesure de pouvoir ouvrir la boîte de Pandore

J’ai interrogé Marc Chesney, professeur de finance et auteur d’une étude sur le sujet. Selon lui, seule une décision politique permettrait d’éclairer la question. A l’instar de ses collègues universitaires aux Etats-Unis, notamment Allen Poteshman et Paul Zarembka, ce spécialiste des transactions financières illégales a renforcé sa conviction au fur et à mesure que s’affinait son étude des opérations boursières.

Dans l’univers opaque des marchés financiers, ils sont malheureusement peu nombreux à vouloir s’exprimer sur le sujet. Une décennie plus tard, le tabou demeure. Si la plupart des acteurs économiques reconnaissent bien volontiers que le gigantesque délit d’initié autour du 11-Septembre est un secret de polichinelle, rares sont ceux prêts à témoigner publiquement à ce propos. Le silence est la règle. Sauf pour Max Keiser: cet ancien trader de Wall Street, reconverti dans l’analyse financière, est toujours intrigué par ce qu’il observa durant cet été de l’année 2001.

INSIDER
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&...

FRENCH CONNECTION
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&...


 
 

EPILOGUE-du-11-septembre/
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&...

 

21:16 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, Arnaques, Mensonges, Propagande, Attentats, Terrorisme, CIA, MOSSAD, Al-Quaïda, Conspiration mondiale, Conspiration, Complot, Corruption, Crimes contre l'humanité, Eugénisme, Empoisonnement, Franc-Maçonnerie & Jésuites Lucifériens, Génocide préparé, Histoire secrète du monde, Intrigues - Assassinats, Attentats, Israël, Palestine, Colonisation, La dictature mondiale, La FED et le FMI, La fin programmée de la démocratie, La Loi Martiale, La Trilatérale Commission, Le Gouvernement occulte US ou MJ12, Le Bildengerg Group, Le Bohémian Club, Le CFR, Le Chiffre de la bête - 666, Le Club de Rome, Le Gouvernement Mondial, Le gouvernement satellite et occulte américain, Le mythe du terrorisme, Le Pouvoir Mondial, Le Vatican & Les Jésuites Lucifériens, Le Vatican et la politique, Les Banques Mondiales, Les Cartels, Les Illuminati-Reptiliens, Les Lobbies et la Politique, Les Maîtres du Monde, Les Projets des Maîtres du Monde, Les protocoles de Toronto, Les protocoles des Sages de Sion, Les Reptiliens, Les secrets du Vatican & des Jésuites Lucifériens, Les Skull and Bones, Les Sociétés Secrètes, Médias et pouvoir, Medias, Manipulations des Masses, Monsanto, Rockefeller, Rothschild et Bill Gates, Nouvel Ordre Mondial, Révélations, Rockfeller, Rothschild, Mafia Kazhar, Sectes & Sociétés Secrètes, Sionisme, Oligarchie, LDJ, Tortures, Trafic d'organes, Fortabat Labatut, USA, Israël, Vatican, Mensonges, Politique | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

L'implication évidente d'Israël dans le 11 septembre. (Partie 2)

Partie 1 : ICI

 
Sur les travaux de recherches et d'analyse effectués par Hicham Hamza, journaliste indépendant.

Webdocumentaire en cours de réalisation. Notice explicative :

Site web:
http://hichamhamza.wordpress.com/

L’'implication évidente d’'Israël dans le 11 septembre

La contre-enquête.

La contre-enquête.

« Nous profitons d’une chose, ce sont les attaques contre les Twin Towers et le Pentagone, ainsi que les combats américains en Irak « . Selon Ma’ariv, l’ancien premier ministre israélien aurait déclaré que ces évènements ont « retourné l’opinion publique américaine en notre faveur".

 

C’est ce que disait Benjamin Nethanyahu avant de redevenir premier ministre. Et Nethanyahu ne disait pas cela au hasard puisqu’en 1995 il l’avait déjà écrit pour dénoncer le danger islamique radical pour Israël  et pour la civilisation occidentale dans son ensemble. Implique la civilisation au côté d’Israël est le meilleur outil de propagande pour assurer à Israël la protection et la sympathie de l’opinion publique, alors qu’il est menacé par les « barbares ».

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Mais comme la propagande n’était pas suffisante il a donc fallu un attentat pour faire basculer cette opinion publique ainsi qu’impliquer définitivement l’administration américaine. Pour assurer la sécurité éternelle d’Israël dans cette région où son implantation féroce et violente passe pour être une intrusion, il fallait que les américains débarrassent Israël de ses plus dangereux ennemis 2 . D’abord l’Irak, puis la Syrie et enfin l’Iran. C’est à cela que pousse Nethanyahu et à cela exclusivement. C’est le seul sens donné à son nouveau mandat de premier ministre. Il veut la guerre de toutes ses forces, il veut détruire l’Iran peu importe les conséquences pour le monde, tout ce qui compte c’est Israël.

Évidemment les attentats du 11 septembre n’ont pu être perpétrés sans une complicité à l’intérieur de l’administration américaine en place à cette époque. Or en 2001 l’administration Bush portait au pouvoir les faucons, les néo-conservateurs US, les juifs haineux, qui avaient un plan pour le nouveau siècle américain et qui avaient déjà écrit qu’il fallait nécessairement un événement majeur pour permettre le déclenchement de ce plan diabolique. Ce sera donc le 11 septembre.

On peut donc faire partir la contre-enquête sur le 11 septembre en s’intéressant à ces deux sources principales: l’administration Bush et Israël. En mettant un calque l’un sur l’autre on constate que les intérêts convergeaient ensemble pour:

  1.  Nettoyer l’Afghanistan pour permettre la création du pipeline d’UNOCAL 3  et ainsi permettre aux compagnies pétrolières américaines de continuer leur profit sans dépendre de l’Iran. Le 11 septembre en accusant Ben Laden, agent américain, permettra donc à l’armée US d’investir l’Afghanistan pour sécuriser le territoire, mettre la main sur ce sous-sol regorgeant de matières premières et, cerise sur le gâteau, contrôler la production du pavot qui n’a jamais autant produit que depuis l’invasion US…
  2.  Attaquer l’Irak. Ennemi déclaré d’Israël et avec un leader qui commençait un peu trop à se penser indépendant des USA. On se dépêchera de le juger et le condamner à la pendaison sans procès mondial pour éviter que celui-ci raconte comment avant d’être jeté aux orties il avait été mis en place et soutenu par l’occident. C’est le même cas pour Bachar El Assad puisqu’ils appartiennent tous deux au parti laïc Baas qui a pour doctrine le nationalisme arabe et le socialisme (le vrai pas le communisme). Bref le baasisme est national-socialiste 4 .
  3.  Faire disparaître les fonds perdus du pentagone qui se chiffraient en trillions de dollars et qui faisaient polémique avant le 9/11. Les comptes étaient situés dans la tour 7 du WTC, celle qui s’est effondrée toute seule constituant ainsi une grande première mondiale…
  4.  Déclencher la guerre mondiale contre le terrorisme islamique et plus largement contre l’Islam puisque le combat se fait de l’extérieur et de l’intérieur avec une volonté de réforme pour rendre cette religion compatible avec les exigences du nouvel ordre mondial: consumérisme, humanisme, féminisme, modernisme. Ce en quoi en tant qu’homme éduqué en occident on peut adhérer sans problèmes, mais ce qui se refuse sont les moyens que l’on va employer et le résultat que l’on veut obtenir: le noachisme. Soit une nouvelle religion mondialiste qui regroupera les religieux du monde entier en faisant disparaître les religions mondiales existantes. Le futur gouvernement mondial a besoin de la religion mondiale pour contrôler les esprits et les orienter dans son sens. La religion catholique est déjà infiltrée dans cet objectif.
  5.  Donc créer ce nouvel ordre mondial par la force s’il le faut. Instituer les valeurs portées par cet ensemble marchand au monde entier. L’objectif étant de nous voir tous bouffer du mac-do et des OGM, de nous habiller en Nike, d’écouter du rap US et de nous abrutir devant le cinéma hollywoodien tout en acceptant de travailler plus pour gagner moins. Les Illuminati profitent donc du 11 septembre pour imposer leurs règles au monde par la force à ceux qui résistent.

Voici donc comment l’on peut retracer les informations précédant le 11 septembre impliquant Israël 5 . Tout est détaillé de l’utilisation de nano-thermite, des agents du mossad jusqu’à l’identité des amis de Nethanyahu qui ont pris contrôle du WTC avant sa destruction.
Voici la piste suivie pour impliquer le gouvernement américain et les compagnies pétrolières qui aiment bien avoir le contrôle des dirigeants pour s’assurer de leurs bénéfices dans le temps
6 .

Toutes ces preuves irréfutables montrent la convergence d’intérêts pour exploiter le terrorisme à son avantage. Pire encore cet attentat programmé va permettre le plus grand délit d’initié mondial de l’histoire de l’humanité 6 :

LES INITIÉS DU 11-SEPTEMBRE
http://www.dailymotion.com/video/xti39a_les-inities-du-11-septembre_news#from=embediframe


LES INITIÉS DU 11-SEPTEMBRE par globereporter

Ainsi toutes les puissances financières du monde étant impliquées elles se chargeront d’imposer à leurs marionnettes aux gouvernants le silence sur les zones d’ombre et notamment les signaux d’alerte de leur propre service de sécurité qui ont été ignorés par le FBI et la CIA. Quoi de mieux que de faire croquer une part du gâteau à tout le monde pour avoir la paix? C’est bien une technique judéo-maçonnique en tout cas.

A qui profite le crime? Aux islamistes vraiment? Aux musulmans du monde entier vraiment? On se rend bien compte que non puisqu’aujourd’hui ils sont livrés à la vindicte populaire mondiale. Bien que je ne sois pas un adepte du Coran et de l’Islam, je préfère dénoncer ceux qui sont la cause plutôt que de pointer du doigt les conséquences. Or la cause est bien identifiée et elle implique les intérêts supérieurs d’Israël, des financiers et des industriels mondialistes. Pendant 10 ans la croissance des investissements militaires va faire le bonheur de Dick Cheney et Bush qui ont des parts dans Allyburton et autres entreprises militaires qui vont voir leur commandes augmenter en flèche. Ces attentats seront donc du gagnant-gagnant pour cette oligarchie mondialiste travaillant à l’instauration du NOM contre les intérêts des peuples.

Note: Je vous invite à suivre avec intérêt la contre-enquête de Hicham Hamza sur le 11 septembre 7 :

Israël et le 11-Septembre: le grand tabou (TEASER)
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&...


Liens du billet

  1. Référence n°1
    http://www.netanyahu.org/glenbecinwit.html
  2. Référence n°2
    http://www.antiwar.com/justin/j030802.html
  3. Référence n°3
    http://en.wikipedia.org/wiki/Trans-Afghanistan_Pipeline
  4. Référence n°4
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_Baas
  5. Référence n°5
    http://www.takeourworldback.com/fr/911realitydeniers_fr.htm
  6. Référence n°6
    http://esaie.free.fr/pdv/articles/A397_bush_11_09.htm#haut
  7. Référence n°7
    http://hichamhamza.wordpress.com/les-inities-du-11-septembre/
  8. Référence n°8
    http://larevolutioncitoyenne.blogspot.fr/