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04/09/2011

Ben Peri et le Nouvel Ordre Mondial

Nous avions traité d'un sujet de Ben Peri qui avait réalisé un documentaire pour Arte intitulé "Le Grand Complot" avec Ben Peri, dont vous retrouverez l'article et les vidéos ICI

Depuis Ben Peri a fait du chemin et nous vous invitons à consulter son site, très bien documenté et ses livres par ce lien :

http://www.benperi.eu/

Pour vous informer, des fichiers à télécharger gratuitement ci-dessous :

 

Pour donner le ton sur ce qu'il pense, une image et une vidéo référencées sur son site.

Ahmadinejad_g.jpg

 We fuck the world

http://www.youtube.com/watch?v=pPdnBtqcNzM&feature=player_embedded



L'un de ses nombreux livres : Le Grand Procès des Banques

Ben peri et les gangsters de la mondialisation

Vous découvrirez ci-dessous son entrevue avec Nenki de Presse Libre Internationale en 4 vidéos.

Ben Peri sur Presse Libre Internationale avec Nenki

Une entrevue dans laquelle Ben Peri nous parle un peu de lui, du pouvoir des banques, des Rothschild, et du plan du Nouvel Ordre Mondial à travers les protocoles... 

Ben Peri sur Presse Libre Internationale avec Nenki partie 1/4

http://www.youtube.com/watch?v=MV6Ls26eiCI&feature=pl...#!


 

Ben Peri sur Presse Libre Internationale avec Nenki partie 2/4

 http://www.youtube.com/watch?v=zekzQFPd0fU&feature=related


Ben Peri sur Presse Libre Internationale avec Nenki partie 3/4

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=ru0UrzGBPW8


Ben Peri sur Presse Libre Internationale avec Nenki partie 4/ 4

http://www.youtube.com/watch?v=8OVGcuwWQzw&feature=ch...

 

 

 

25/04/2011

Louis Dalmas : “L’Etat ne contrôle plus le capitalisme, c’est le capitalisme qui contrôle l’Etat”

26 décembre 2010, 15:16 Jean 

 

Louis Dalmas, ancien FTP dans la résistance, ancien créateur de l’agence Dalmas, ancien présentateur à l’ORTF, actuel rédacteur en chef de B-I (ex-Balkans-infos), auteur de nombreux livres dont l’un préfacé par Jean-Paul Sartre, vient présenter son nouveau livre, Le bal des aveugles, aux éditions du Verjus.

Quart d'heure de célébrité de Louis Dalmas, fondateur de BI
http://www.dailymotion.com/video/xg91e8_quart-d-heure-de-...

 
Quart d'heure de célébrité de Louis Dalmas... par enquete-debat

 

Pour vous procurer le livre de Louis Dalmas :

Présentation de l'éditeur

La vie luxueuse des milliardaires, les fortunes brassées en bourse, l'univers clos de la haute finance et de l'autorité, la richesse des amateurs d'art ou les extravagances de la jet-set, autant de mirages qui font partie d'un autre monde. Le monde fastueux de l'argent, hors d'atteinte du commun des mortels. Il se confond avec le monde des abus, des injustices et du mensonge. Le monde grisant du pouvoir. Lui aussi fermé. Distant. Intouchable. Ce monde de l'argent et du pouvoir est celui des "élites" de notre société occidentale. Sa différence se creuse avec la réalité ordinaire. Le fossé s'approfondit entre les dominants et les dominés. Les gouvernants se sont éloignés de leurs gouvernés. En politique, leurs décisions ne reflètent plus la volonté des masses, leurs intérêts ne sont plus ceux du plus grand nombre. Pour se protéger, ils propagent une information faussée. Pour se justifier, ils imposent la pensée unique et réduisent au silence les voix discordantes. Cette profonde division inégalitaire est le thème de ce livre. Louis Dalmas l'évoque en analysant quelques grands problèmes de notre temps: l'hégémonie américaine, l'Europe, le terrorisme, la violence, la conception ethnique des groupes humains, le déclin de la justice, la dépendance des médias. Sa conclusion mérite réflexion. Coupé du concret, le couvercle des "élites" se fragilise: des explosions à venir s'annoncent, qui le feront peut-être sauter.

Biographie de l'auteur

Louis Dalmas, en tant que journaliste, a interviewé de nombreux chefs d'Etats et a dirigé pendant dix ans l'agence de reportages la plus importante du monde. En tant qu'écrivain, il est l'auteur de plusieurs livres dont l'un préfacé par Jean-Paul Sartre.

 

 

 

07/04/2011

La FED en faillite depuis le 6 janvier 2011...! Boursorama

On a compris pourquoi les USA partent en guerre contre les pays arabes, le Japon et la Lybie !

Qui a parlé du souhait des peuples arabes, d'oeuvrer pour l'instauration de la démocratie ?
Les peuples ou les ZILUS ?

Quand leur seule économie et celle de leurs chers alliés, dont la France, est celle de l'exportation des guerres génocidaires et fratricides à travers le monde pour alimenter le complexe industrialo-militaire et leurs caisses ?

La FED une banque privée qui a ruiné les américains et tous les peuples du monde depuis 1913 qui se met sous la protection du Trésor US ?

La complicité d'OBAMA avec les banquiers internationaux et le FMI n'est plus à établir !

Surtout votez pour DSK qui viendra finir le travail de sape de la France, savamment commencé à partir de Pompidou au profit de la généreuse famille Rothschild ! Préparez-vous à la 3ème guerre mondiale et aux guerres civiles en France, en Europe et dans le monde !
Il faut que les USA et ses alliés instaurent le NOM et renflouent leurs caisses avant le 21 décembre 2012 !

Mais aussi :

KADHAFI A REFUSÉ DE VENDRE SON PÉTROLE UNIQUEMENT EN $$$$$$



La Fed en faillite depuis le 6 janvier 2011... !

 

http://www.le-buzz-immobilier.com/wp-content/uploads/2009/11/fed-2.jpg

La Réserve fédérale américaine s'est placée sous la protection du Trésor. Ce dernier prendra désormais en charge les pertes de la Fed. Ce qui signifie que la banque centrale américaine n'est plus capable de faire face à ses engagements. En langage courant, cela s'appelle être en faillite.

La raison de ce changement est toute simple : la Fed a acquis tellement de titres pourris de créances immobilières qu'une modeste baisse de ces derniers lui serait fatale. La seule solution consistait donc à trouver quelqu'un d'autre pour payer les pots cassés. Et qui a été l'heureux élu ? Le contribuable américain, bien sûr, par l'intermédiaire du département du Trésor US.

*Cette petite révolution annoncée le 6 janvier dernier, en toute discrétion bien sûr, nous rappelle les pires heures de la crise financière et le plan de sauvetage de Wall Street à 300 milliards de dollars de l'automne 2008. A l'époque, la plupart des banques commerciales avaient été sauvées de la faillite grâce à l'argent public.

Pour ne parler que des mortgage-backed securities, les fameux MBS (des titres de créances adossées à des crédits immobiliers), la Fed en a acquis pour 1 250 milliards de dollars depuis le printemps 2008. Et, surtout, elle les a achetés à leur valeur nominale, et non à leur valeur de marché ; c'est comme si quelqu'un acceptait de payer le prix plein pour un lot de denrées avariées.

La Fed a donc racheté aux banques qui étaient techniquement en faillite les créances pourries que personne ne voulait plus leur rembourser (ce qui allait les mettre sur la paille, justement). Comme personne ne voulait de ces instruments financiers, leur valeur a diminué, voire s'est évaporée pour certaines catégories, faute d'acheteur.

1 dollar sur 40 en fonds propres


La banque centrale américaine dispose de 50 milliards de dollars de fonds propres. Ses engagements liés aux MBS -- de 1 250 milliards -- représentent donc 23 fois ses fonds propres. Ou 40 fois si l'on compte les autres actifs financiers qu'elle a récupérés. Voilà un effet de levier qui aurait fait rêver plus d'un banquier quand tout allait bien !

Bref : il suffit que son portefeuille de MBS perde plus de 4% de sa valeur pour que l'équivalent du capital de la Fed soit absorbé. Avec ses réserves, il suffirait probablement d'une baisse de 10% de la valeur des MBS pour que la Réserve fédérale soit à sec.

Et 10%, nous y serons vite, à voir les prix immobilier qui n'ont pas beaucoup progressé depuis 2008, malgré le triplement de la masse monétaire. Les MBS ont de toute évidence déjà perdu plus de 10% de leur valeur. Et donc la Fed est déjà en état de faillite technique. Faillite virtuelle, car les pertes à venir sur ces actifs pourris seront transférées au Trésor US. Plus exactement converties en dette à long terme de la Fed envers le Trésor US. Ce qui revient au même.

*Finalement, la Fed a dû sauver un secteur financier plombé par ses excès. Mais la méthode utilisée a provoqué sa propre faillite. Comment avoir confiance dans le système après de tels événements ? Il ne faut pas s'étonner que l'or vienne de toucher un nouveau record, à plus de 1 400 $ l'once. Il ne faudra pas s'étonner non plus si le métal jaune aligne bientôt les records. Nous profiterons de ces turpitudes étatiques par le biais de nos investissements aurifères.

http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_marches.phtml?num=a70f5241d1d16d0a859671db3ba305b2

 

08/12/2010

John F. Kennedy et les OVNIs, par Jim Marrs

Voilà sûrement ce que Julian Assange voulait révéler  sur JFK,  les OVNIS et les ET, qui ne plaît pas aux Grands Gris reptiliens et à la CIA !

Le Président qui disait la vérité !

 

samedi 7 mars 2009 par NewsOfTomorrow

(Traduction Jsf)

Le Président John F. Kennedy pourrait en avoir su davantage que la plupart d’entre nous à propos des OVNIs, selon plusieurs sources crédibles. Le niveau élevé de connaissance que Kennedy avait sur les OVNIs est confirmé par un ancien steward d’Air Force One qui a parlé d’une remarque cryptique du Président Kennedy.

Bill Holden, qui a également servi en tant qu’arrimeur de fret pour l’Air Force One, a voyagé avec Kennedy en Europe en été 1963. Il a dit qu’une conférence sur les OVNIs à Bonn, en Allemagne, avait déclenché une discussion sur le sujet dans un avion du président un matin. Holden a dit qu’il s’est adressé à Kennedy et a demandé, "Que pensez-vous des OVNIs, Mr. le Président ?" Il a dit que Kennedy est devenu plutôt sérieux et a réfléchi un moment avant de répondre :"J’aimerai parler de la situation extraterrestre au public mais, mes mains sont fatiguées."

Un document controversé du MJ-12 ayant pour titre "Aperçu de l’Unité de Phénomène Interplanétaire" a fait mention des connaissances "d’insider" de Kennedy. Ce document, apparemment écrit peu de temps après le crash au Nouveau Mexique en juillet 1947, déclare, "Le CIC [Counter Intelligence Corps] a su que certaines des opérations de récupération ont été partagées avec John F. Kennedy, démocrate du Massachusetts élu au Congrès en ’46, fils de Joseph P. Kennedy, Commission sur l’organisation de l’exécutif du gouvernement. [Jack] Kennedy avait des devoirs limités en tant qu’officier affecté aux services de renseignements de la Marine pendant la guerre. On croit qu’il a obtenu l’information [concernant les crashs de Roswell] [d’une] source dans le Congrès qui est proche [du] Secrétaire de l’armée de l’air." Kennedy était le seul membre du Congrès qui savait la vérité sur l’incident de Roswell en ces temps-là.

Pourtant, un autre document semble être une note écrite du président Kennedy au directeur de la CIA : "Examen de la classification de tous les dossiers du renseignement sur les OVNIs ayant lien à la sécurité nationale." Dans cette note, Kennedy déclare, "... J’ai engagé [noirci] et ai chargé James Webb [alors directeur de la NASA] de développer un programme spatial et d’exploration lunaire en commun avec l’Union Soviétique. Ce serait très utile si vous aviez les cas de grande menace examinés dans le but de l’identification de bonne foi, par opposition aux sources classifiées de la CIA et l’USAF. Il est important que nous fassions une distinction claire entre les connus et les inconnus au cas où les soviétiques prendraient notre coopération étendue comme une couverture pour la collecte de renseignements sur leur défense et leurs programmes spatiaux.” Kennedy a ensuite demandé à ce que tous les fichiers sur les "Inconnus" soient envoyés aux autorités de la NASA et qu’un rapport soit transmis à la Maison-Blanche au plus tard le 1er février 1964.

Ce document qui montre clairement que le président allait parler des secrets sur les OVNIs à des cercles plus extérieurs dans le gouvernement, et donc, allait probablement informer le public, est daté du 12 novembre 1963, 10 jours seulement avant son assassinat à Dallas le 22.

S’accrochant désespérément à leur conviction de l’inexistence des OVNIs, les débunkers mettent en doute l’authenticité de ce document, mais un document absolument authentique a été trouvé dans la bibliothèque de John F. Kennedy.

Le mémorandum No. 271 de la National Security Action a pour titre "Coopération avec l’URSS pour les questions spatiales" et est adressé au directeur de la NASA, à ce moment-là James Webb. Ce mémo signé ne mentionne pas les OVNIs en particulier, mais cependant, Kennedy charge Webb d"’assumer personnellement la responsabilité centrale et l’initiative dans le gouvernement du développement d’un programme de coopération avec l’Union Soviétique dans le domaine spatial, ce qui inclue l’élaboration de propositions techniques.." Kennedy a ajouté que ce plan était le résultat de sa "demande du 20 septembre pour une coopération élargie entre les États-Unis et l’Union Soviétique dans le domaine spatial, y compris une coopération dans les programmes d’alunissages." Ce document incroyable était également daté du 12 novembre 1963, mais qui aurait cru en 1963 que les États-Unis et l’Union Soviétique se seraient engagés dans des opérations communes d’exploration spatiale ? Le registre de la Maison Blanche pour ce jour montre qu’à 14h Kennedy a déjeuné et n’avait ensuite "pas de rendez-vous officiels" mais des "entretiens avec des membres divers de l’équipe pendant l’après-midi." De toute évidence, ce jour-là, Kennedy avait largement assez de temps pour traiter de problèmes spatiaux.

Il est aussi évident que cette apparente tentative de coopérer avec l’URSS s’est conclue par la mort de Kennedy à Dallas. Avec l’administration de Ronald Reagan, on était encore avertis du danger de "l’empire du mal" et la coûteuse guerre froide a perduré. Les opposants à JFK devenaient frénétiques en voyant ses tentatives de modifier le cours de la politique qu’avait entretenue auparavant les États-Unis. Selon une source informée, Kennedy jouait un jeu dangereux, "... après avoir mis au clair qu’il n’allait pas soutenir l’action contre les communistes dans le sens habituel - il planifiait de retirer les troupes du Sud-Vietnam, de fragmenter ou d’éliminer des filières de la CIA ; d’étendre le système judiciaire ; il n’avait pas soutenu l’invasion de la Baie des Cochons ; et désirait partager certains des secrets les plus sensibles avec les Russes et les Chinois – plates-formes spatiales, etc... Tout cela dans une époque où sa popularité grandissait à pas de géant dans le peuple américain – alors qu’il ne jouissait pas de l’appui de la majorité à son élection. Situation très dangereuse, laissant peu de méthodes de contrôle de disponibles autres que l’assassinat."

La même source continue, "Je crois que John F. Kennedy avait accès à suffisamment d’informations classifiés, qu’il avait évalué, pour en venir personnellement à la conclusion que les OVNIs et donc de possibles formes de vie extraterrestres vivent dans notre système solaire... Je pense que Kennedy en est certainement venu à cette conclusion... et cherchait à démontrer non seulement que l’humanité pouvait se réunir autour d’un but commun, mais prouver formellement que nous pouvions entrer et conquérir l’espace en tant qu’espèce. À l’époque, certains pourraient avoir pensé que c’était une folie (s’ils n’avaient pas eu accès aux informations) ou (s’ils y avaient eu accès) que c’était très prématuré et potentiellement dangereux.

Toute l’affaire JFK a changé autour de son discours prévu à Dallas Trade Mart, destination de son cortège funeste le 22 novembre 1963. Plusieurs chercheurs et quelques tabloïds ont affirmé qu’il avait prévu de changer son discours et utiliser des notes manuscrites, qui auraient pu contenir des commentaires sur les OVNIs. Ces notes n’ont jamais été rendues publiques et continuent de nourrir les théories.

Encouragés par de tels alléchants indices, certains chercheurs affirment même que l’assassinat de Kennedy avait pour fin de l’empêcher de révéler des informations sur les visites extraterrestres au public.

Bien que cette théorie soit certainement non prouvée et sans doute fausse, sa volonté de mettre fin à la guerre froide et partager les connaissances sur l’espace avec nos ennemis de l’époque a pu briser le dos du complexe Militaro-Industriel (et du Renseignement). Ce groupe avait déjà pensé que le jeune président était "doux avec le communisme" et dangereux pour leur structure de commandement et de contrôle.

Toutes les preuves maintenant en main, il fait peu de doutes que le président Kennedy en savait plus sur les OVNIs qu’on le croit d’habitude.

JFK-10 jours avant son assassinat

http://www.youtube.com/watch?v=Slf4_52kTw8&feature=pl...

Milton William Cooper déclare à ce sujet : Dans une certaine mesure, le président Kennedy découvrit des bribes de vérité au sujet des drogues et des aliénigènes. C’est pourquoi, en 1963, il posa un ultimatum à Majesty douze, leur enjoignant de faire place nette, sans quoi il se chargerait lui-même de faire le ménage dans le marché des stupéfiants. De plus, il informa Majesty douze de son intention de révéler l’existence des aliénigènes à toute la nation l’année suivante. Il leur ordonna donc de préparer un plan de divulgation conformément à cette décision. Or, Kennedy ne faisait pas partie du Conseil des relations étrangères (CFR). Aussi ne savait-il rien des solutions 2 et 3 ( bien que quelques personnes aient clamé que JFK était un membre du Conseil des relations étrangères, je n’ai pu trouver aucune liste légitime où son nom est cité). Au niveau international, les opérations secrètes étaient gérées par un comité de l’élite Bilderberg connu sous le nom de « Comité des politiques ». Aux Etats-Unis, ce comité était supervisé par le comité exécutif du Conseil des relations étrangères et en U.R.S.S., par une organisation homologue.

La décision du président Kennedy fit l’effet d’une pierre jetée dans un nid de frelons. Son assassinat fut aussitôt décrété par le Comité des politiques, puis l’ordre en fut transmis aux agents postés à Dallas. Le président John F. Kennedy a été assassiné par l’agent des services secrets qui conduisait sa voiture dans le cortège et l’acte est pleinement visible dans le film Zapruder. Regardez le conducteur et non pas Kennedy quand vous voyez le film. Tous les témoins oculaires qui se trouvaient aient à proximité de la voiture présidentielle ont très bien vu William Greer tirer sur Kennedy, mais tous ceux parmi eux qui ont cru bon en parler aux autorités ont subi le même sort que Kennedy dans les deux années qui suivirent son meurtre. Rien d’étonnant, du reste, à ce que la commission Warren n’ait abouti à aucun résultat concluant puisque la majorité de ses sièges était occupée par des membres du Conseil des relations étrangères. Par ailleurs, elle a fort bien réussi à obnubiler le peuple américain.

Jim Marrs, auteur d’Alien Agenda

NewsOfTomorrow

15/07/2010

Alerte : Les banques centrales liées à la FED commencent à abandonner le dollar US

Avertissement Final Systémique !

Prenez vos dispositions dès maintenant pour retirer votre agent des banques !
Les autres abrutis de la FED et leurs cliques mafieuses ne manqueront pas de nous déclencher une nouvelle guerre atomique pour se maintenir au pouvoir mondial monétaire !
Le FMI n'a pas été créé pour rien et DSK n'en est pas le directeur pour rien !
Ouvrez les yeux et regardez ce qui se passe dans le Golfe Persique depuis le mois de juin 2010.

 


US

DANGER , RUPTURE : Voici venir l’avertissement final livré par des (whistle blowers) économistes depuis 2008.

Les banques centrales du monde « liées » à la FEDERAL RESERVE américaine commencent à abandonner le dollar US.

Le Trésor américain pourrait donc se voir "obligé" de démonétiser le dollar. Cela signifierait une perte draconienne (approx : 90%) de sa valeur marchande et un retrait éventuel programmé des dollars mis en circulation. Se réfugier dans l’Euro pourrait être une très grave erreur.


DANGER , BREAK : Here is to come the final warning delivered by (whistle blowers) economists since 2008.

The central banks of the world « connected » to the FEDERAL RESERVED start to abandon the US dollar.

The American Treasury could thus be "obliged" to demonetize the dollar. It would mean a drastic loss (approx: 90 %) of its market value and a possible programmed retreat of the dollars in circulation. To take refuge with the Euro could be a very serious mistake.



L'article en Anglais
Following the money in banking and economics
July 9, 2010, 9:23 am

Central banks start to abandon the U.S. dollar

There's mounting evidence that central bankers have little faith in the greenback these days. Can we blame them?

by Heidi N. Moore, contributor

There are those who would argue that the financial crisis was caused by over-enthusiastic worship of the Almighty Dollar. Call it brutal financial karma, but that church is looking pretty empty these days.

A new report from Morgan Stanley analyst Emma Lawson confirms what many had suspected: the dollar is firmly on its way to losing its status as the reserve currency of the world. We already knew that central banks have preferred gold to dollars, and that they're even selling their gold for cash; now, according to Lawson's data, it seems that those central banks prefer almost anything to dollars.

Lawson found that central banks have dropped their allocation to U.S. dollars by nearly a full percentage point to 57.3% from 58.1%, and calls this "unexpected given the global environment." She adds, "over time we anticipate that reserve managers may reduce their holdings further."

What is surprising is that the managers of those central banks aren't buying traditional fall-backs like the euro, the British pound or the Japanese yen. Instead, she suggests they're putting their faith in other dollars - the kind that come from Australia and Canada. The allocation to those currencies, which fall under "other" in the data, rose by a full percentage point to 8.5%, accounting almost exactly for the drop in the U.S. dollar allocation.

Call it diversification, if you must, but the trendline indicates that central banks are finally putting their money where their anti-dollar mouths are. The dollar has been in free-fall since 2007.

Last year, both China and Russia have questioned why the dollar should be the world's reserve currency. (Naturally, they were advocating for the ruble and yuan).

And just last week, the United Nations released a report concluding that the dollar should no longer be the world's reserve currency because it is not stable enough. The dollar is down 5% over the past month, and even currency traders don't see it as a safe haven any more.

There is certainly an element of economic competitiveness in those statements from foreign bodies and governments, but at the same time, Americans shouldn't be surprised that, in these touchy times, central banks want more of a measure of security than the dollar can afford right now - particularly when we're running up an enormous deficit through the costs of stimulus programs and two simultaneous wars.

Just last week, America's debt lept $166 billion in a single day. That one-day run-up is greater than the entire U.S. annual deficit in 2007. And Americans, the world's consumers, continue much of the behavior that helped the U.S savings rate drop so low.

The other options that reserve managers seem to be taking are also not a surprise. Canada's rude financial health - and robust banks - were bound to draw more attention. The Australian dollar is near a nine-month high because employment numbers there are strong.

The steady fall of the U.S. dollar is, while understandable, certainly nothing to be celebrated at home. The U.S. just has to make a stronger case - both to buyers and to its citizens - that it is on the right path.

http://wallstreet.blogs.fortune.cnn.com/2010/07/09/central-banks-start-to-abandon-the-u-s-dollar/