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19/03/2014

Alexeï Pouchkov, président de la Commission des Affaires Étrangères de la Douma

Pour faire cesser la propagande sioniste et atlantiste contre la Russie.

 

Durée : 24min 51sec | Postée : Il y a 4 jours | Chaîne : Paroles d'élus

Paroles d'élus :

Alexeï Pouchkov :

  • Président de la Commission des Affaires Étrangères de la Douma
  • Journaliste, politologue, historien
  • Prix Bounine 2009, membre du Comité éditorial de la revue Foreign Policy
  • Membre de l'Institut International de Recherche Stratégique de Londres

http://www.prorussia.tv/Alexei-Pouchkov-president-de-la-Commission-des-Affaires-Etrangeres-de-la-Douma_v815.html

18/03/2014

Kosovo-Crimée : deux poids, deux mesures ?

Kosovo-Crimée : deux poids, deux mesures ?

La place Lénine à Simferopol, en Crimée, le 16 mars 2014.

VOX-HUMEUR- L'écrivain et journaliste au Figaro Magazine Jean-Christophe Buisson compare les réactions des pays occidentaux aux deux référendums qui ont eu lieu en 2008 au Kosovo et dimanche en Crimée. Il pointe quelques pertes de mémoire médiatique.

 

http://www.lefigaro.fr/medias/2014/03/17/PHO644ff5de-ada8-11e3-b601-d8522e57f5f4-100x100.jpg

J ean-Christophe Buisson est journaliste et écrivain. Il dirige les pages culture et art de vivre du Figaro Magazine. Il est notamment l'auteur d'Assassinés (Perrin, 2013).


C'était hier mais tout le monde semble l'avoir oublié. Le 17 février 2008, les parlementaires kosovars albanais votent par proclamation une déclaration d'indépendance du Kosovo, province méridionale d'un État souverain reconnu par l'ONU: la Serbie. Une décision unilatérale approuvée par certains membres de l'Union européenne, rejetée par d'autres comme l'Espagne, la Slovaquie, la Grèce, la Roumanie et Chypre - c'est encore le cas en 2014. Sur place, ce jour-là, des journalistes du monde entier multiplient les reportages sur une population qui «pleure d'émotion dans la liesse de l'indépendance proclamée». Partout, ce sont des visages d'hommes, de femmes et d'enfants heureux, soulagés, bonhommes, affables: la liberté en marche. Qui, alors, songe à interroger les quelques milliers de Serbes retranchés depuis 1999 dans des villages entourés de barbelés et de véhicules blindés de la force de protection internationale, la KFOR? Personne ou presque. Qui donne la parole aux moines et aux moniales des églises et des monastères orthodoxes locaux qui n'ont pas encore été attaqués ou brûlés par les extrémistes albanais rêvant de purification ethnique et religieuse? Personne ou presque. Qui s'intéresse à cette population minoritaire du Kosovo albanais? Personne ou presque.

Cette fois, il est décrété que le droit du peuple de Crimée à disposer de lui-même (en l'espèce : de demander son rattachement à la Russie) est « illégal » (Laurent Fabius) et qu'il ne saurait être identique à celui du peuple kosovar

Six ans plus tard, la Crimée, province méridionale de l'Ukraine, proclame, à l'issue d'un référendum populaire, son vœu de se détacher de la mère patrie, comme le Kosovo d'avec la Serbie. Va-t-on, dans les Chancelleries occidentales, saluer cette sympathique démarche démocratique approuvée par 96,6 % des électeurs? Va-t-on, sur les chaînes de télévision, montrer les mêmes images d'effusion de joie à Sébastopol et Simferopol comme naguère à Pristina et Prizren? Pas exactement. Cette fois, il est décrété que le droit du peuple de Crimée à disposer de lui-même (en l'espèce: de demander son rattachement à la Russie) est «illégal» (Laurent Fabius) et qu'il ne saurait être identique à celui du peuple kosovar (pas plus qu'à celui des peuples slovène et croate en 1991, bosniaque en 1992 et écossais, sans doute, en septembre prochain). Jamais évoqué en 2008, rejaillit même dans la bouche de certains commentateurs le principe d'intangibilité des frontières héritées de 1945 - comme si, depuis 1989, ce principe n'avait pas perdu toute pertinence avec la désintégration de l'empire soviétique et la naissance de dizaines de nouvelles nations sur ses décombres! Quant aux reporters dépêchés en Crimée ce funeste 16 mars 2014, entre deux interviews de babouchkas caricaturales se réjouissant de voir leur région revenir sous la protection de «saint Poutine», ils n'ont de cesse d'interroger ceux qu'ils considèrent comme les plus purs des Criméens: les Tatars. Ah, les opportuns Tatars! Si présentables, si attachants, si éloignés des horribles Serbes du Kosovo! Ils sont minoritaires dans la péninsule depuis son repeuplement russe au XIXe siècle puis leur déportation massive en Asie centrale sur ordre de Staline en 1944 ; on les plaint d'avance, on leur prédit un destin à l'abkhaze, on les suppose destinés demain aux pires pogroms. Et si on rappelle à l'envi qu'ils furent les premiers à habiter la Crimée (ce qu'on se gardait de souligner à propos des Serbes, qui avaient pourtant fait du Kosovo le cœur de leur empire médiéval dès le XIIIe siècle quand aucun chroniqueur byzantin ne mentionne la présence d'Albanais dans la région à cette époque), on oublie volontiers de noter combien ces musulmans sunnites aux mœurs aussi sauvages que violentes étaient considérés, jusqu'au XVIIIe siècle, comme des monstres absolus: pillards de villages chrétiens, marchands d'esclaves, ils avaient même brûlé Moscou en 1571. Seuls les Cosaques parvenaient alors à leur tenir tête - et encore.

Ainsi va la mémoire médiatique occidentale: à circulation alternée.

Dernier détail: l'Ukraine n'a jamais reconnu l'indépendance du Kosovo, donnant à son hostilité de principe à l'initiative unilatérale du Parlement de Crimée une certaine cohérence. Ce n'est pas le cas de la France et des États-Unis, qui, eux, furent les premiers pays à reconnaître le Kosovo comme un nouvel État dès février 2008. En même temps que l'Albanie, la Turquie et l'Afghanistan…

http://www.lefigaro.fr/vox/monde/2014/03/17/31002-20140317ARTFIG00067-kosovo-crimee-deux-poids-deux-mesures.php

 

 

Vive les émeutiers réacs à l’est, mais à bas les manifs populaires chez nous !

La démocratie à géométrie variable selon les US/UE/Sionistes !

Vive les émeutiers réacs à l’est, mais à bas les manifs populaires chez nous !

par Floréal

Jusqu’ici, quand un million de personnes manifestait à Paris pour défendre les retraites, notre libre presse et nos médias hyper-démocratiques déclaraient le lendemain « mobilisation en demi-teinte »… C’est fini, désormais, de TF1 à France Inter et de Libé au Figaro, on nous explique que 50 000 personnes à Kiev, encadrées par des paramilitaires, arborant les drapeaux européens et chantant des chants nazis, cela représente l’ « espoir de tout un peuple ». Bon à rappeler en temps utiles quand nous tenterons ici de manifester sur les Champs-Elysées, interdits depuis toujours aux manifs de prolos (faut pas rire, quand même !)…

Jusqu’ici, quand vous étiez chargés par les CRS à l’issue d’une manif de défense de l’emploi ou de la Sécu, ou quand vous affrontiez les flics dans les rues de Nantes parce que vous contestez l’Ayrault-port, vous étiez de la graine d’émeutier pratiquant la « violence urbaine ». C’est fini. Désormais, pourvu que votre but soit de frapper des communistes ou de réclamer – en anglais comme il se doit – « plus d’Europe ! », vous aurez le droit d’occuper des préfectures, de tirer sur les policiers, de renverser le gouvernement légal, d’incendier le mobilier urbain, d’abattre les statues qui vous déplaisent, d’interdire les partis que vous désapprouvez (en Ukraine, les « démocrates européens » ont interdit le PC ukrainien et le « parti des régions »). Si vous procédez ainsi, non seulement vous serez encensés par nos médias rose pâle et bleu-marial, mais vous recevrez la visite de Kerry, le soutien enthousiaste de Fabius, les déclarations urbi et orbi de BHL, l’homme qui à lui seul (ou presque…) a semé le chaos en Libye et en Afrique occidentale ; et tous ces hérauts de la Liberté trouveront tout naturel que vous disposiez de kalachs et que vous pilliez des dépôts d’armes puisque vous agissez « pour l’Europe » et pour l’ « Union transatlantique ». « Lebensraum », disait quelqu’un dans les années 30, « besoin d’aire » répond en écho le MEDEF, « élargissement de l’UE », pense en sourdine la Commission de Bruxelles… Car, voyez-vous, quand le sang coule pour l’U.E. atlantique, que ce soit à Belgrade, à Tbilissi ou à Kiev, demain à Minsk, cela s’appelle la  PAIX.

Les militants franchement communistes que nous sommes appelleront-ils pour autant à l’insurrection populaire immédiate en France contre cette « construction » européenne qui tue notre pays à petit feu avec la Kollaboration zélée du Parti Maastrichtien Unique ? Certes non ! car nous irions aussitôt en taule : l’appel à l’insurrection est en effet interdit par notre belle loi « républicaine » qui a oublié l’article 35 de la Constitution française de l’An I, inspirée par le « tyran » Robespierre : « quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour toute portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ».

Pour nos médias, cette phrase ne vaut que si on peut s’y référer pour faire tomber le Venezuela bolivarien, renforcer la tenaille militaro-politique contre la Russie, créer des troubles à Cuba, déstabiliser la Syrie, diviser la Bolivie et, prochainement sans doute, s’attaquer à la Biélorussie : qu’importent alors les « formes » démocratiques, on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs, que diable !

En réalité, s’agissant de la Franceurope, vous l’aurez compris, il faut inverser la phrase de Robespierre et la réécrire ainsi :

« quand le peuple conteste le gouvernement, la censure la plus totale et la répression la plus brutale sont, pour les eurogouvernants, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs »…

http://www.initiative-communiste.fr/billet-rouge-2/vive-les-meutiers-racs-lest-mais-bas-les-manifs-populaires-chez-nous/

 

16/03/2014

Crimée: la requête d'adhésion présentée lundi (officiel)

Une belle gifle pour les nazis qui mènent le monde à sa ruine !

 

Dossier: L’avenir de la Crimée

Crimée: la requête d'adhésion présentée lundi (officiel)
23:19 16/03/2014
SIMFEROPOL, 16 mars - RIA Novosti
La requête officielle d'adhésion à la Russie sera présentée lundi après l'énoncé des résultats officiels du référendum sur le statut de la Crimée, a fait savoir dimanche le vice-premier ministre criméen Roustam Temirgaliëv, cité par l'agence Kryminfo. 

"Demain à 10h00 (08h00 UTC), débutera une session du Conseil suprême de Crimée (parlement), lors de laquelle sera annoncé le résultat du référendum et adressé une demande d'adhésion à la Russie", a indiqué le responsable. 

Selon les sondages effectués à la sortie des urnes, près de 93% des électeurs ont voté pour l'adhésion de la Crimée à la Russie.  L'étude a été menée dans 150 bureaux de vote de la Crimée et dans 50 bureaux de Sébastopol auprès de 59.111 personnes.  

D'après le premier ministre criméen, Sergueï Aksenov, 85% des électeurs ont participé au référendum.

© REUTERS/ Vasily Fedosenko

Les Criméens ont été invités à répondre à deux questions: "Souhaitez-vous le rattachement de la Crimée à la Fédération de Russie en qualité de sujet fédéral?" et "Etes-vous pour le rétablissement de la Constitution de la République de Crimée de 1992 et du statut de la Crimée au sein de l'Ukraine?". 

Peuplée principalement de russophones, la Crimée a été rattachée en 1954 à l'Ukraine qui faisait alors partie de l'Union soviétique. Il s'agissait d'une décision purement formelle, car le transfert de ce territoire a été effectué à l'intérieur du même Etat. Après la chute de l'URSS en 1991, la Crimée est restée au sein de l'Ukraine, mais a reçu le statut de république autonome. Conformément à sa première Constitution de 1992, la Crimée définissait ses relations avec l'Etat ukrainien sur la base d'accords bilatéraux .

http://fr.ria.ru/world/20140316/200735798.html

 

 

Derrière l'Ukraine, c'est la Russie et Poutine qui sont attaqués dans une guerre de confrontation menée par l'Occident

Par Sam La Touch

Mondialisation.ca, 14 mars 2014

Le blog de Sam La Touch

usrussiaflag

Nous pouvons user contre Poutine des mêmes méthodes que contre Ianoukovitch” Bernard Henri Lévy.

Le coup d’état mené par les forces atlantistes [1] et israéliennes [2] en Ukraine ne consistait pas uniquement à ravir ce pays pour le placer sous la bannière de l’OTAN dans le giron européen mais visait directement les intérêts géopolitique,militaire et économique russes dans une guerre plus globale à grande échelle. La Russie est devenue le verrou à abattre pour la puissance militaro-industrielle et financière de l’Ouest. En effet le verrou que constitue la Fédration de Russie dirigée par Vladimir Poutine empêche les Etats-Unis, Israël et leurs supplétifs européens de l’emporter en Syrie et de porter le coup fatal à l’Iran protégé par Poutine. La stratégie atlantiste est donc d’aller provoquer délibérémment les russes à leur frontière ukrainienne pour leur faire payer leur affront au Proche-Orient et au Moyen-Orient et de les affaiblir pour le siècle à venir..

Ouvertement, il y a une alliance nouvelle entre atlantistes, européens, israéliens et néo-nazis ukrainiens pour affaiblir le géant russe qui est en train de se hisser à la hauteur de l’Empire de par son influence dans la région eurasienne. La Russie est le nouvel ennemi à abattre rappelant les alliances pour le moins surprenantes qui ont précédé la seconde guerre mondiale.

On le sait à présent, le Grand capital s’il a toujours toléré le nazisme, le fascisme et les dictatures qu’il a sécrété abondamment, a toujours été hostile au bolchévisme ou bien aux nationalismes protectionnistes entravant sérieusement son influence et son accès aux parts de marché. Si beaucoup signale que Poutine a agit avec doigté et a su préserver la Crimée d’un coup d’état atlantiste [3-4] visant à s’emparer de cette région pour entraver la main-mise russe sur la mer noire. La Russie semble acculer à sa frontière ouest. L’Ukraine est au bord du séparatisme, mais son nouveau gouvernement issu d’une révolte néonazie sponsorisée par les atlantistes [5-7] organise la plus grande répression à l’est du pays : enlèvements et assassinats sont passés sous silence et de nombreuses figures politiques pro-russes sont mises à mal [8].

Enfin aux dernières nouvelles, l’or ukrainien aurait été envoyé aux USA [9] pour achever le pillage de l’Ukraine désormais en proie aux prédateurs occidentaux du FMI et de la Banque mondiale [8]. Or, Poutine, si il a pu consolider sa main-mise sur la Crimée est en train de voir son voisin ukrainien lui échapper et constituer une nouvelle menace à sa frontière avec le déploiement de soldats et de mercenaires états-uniens dans le sud de l’Ukraine [10-12] ainsi que de navires dans la mer Noire [13] et sans doute ultérieurement de missiles à la frontière russe. Poutine a joué les accords bilatéraux entre la Russie et l’Ukraine au sujet de la Crimée pour redéployer les troupes russes en Crimée mais sa stratégie discrète et non agressive risque vite de vaciller face aux incursions armées étrangères et néonazis dans l’est et le sud de l’Ukraine.

Le semblant de sanctions politiques et économiques de la part de l’Europe a eu son premier effet psychologique : la bourse russe a dévissé de 10% la semaine dernière faisant perdre à l’économie russe des milliards de dollars assortis d’une dépréciation du Rouble [14]. De plus, les oligarques russes ont mis l’essentiel de leurs avoirs en Europe et aux USA fragilisant l’économie russe. Poutine va devoir compter sur un soutien sans faille de la population et de l’armée. La phrase de l’agent-”philosophe” atlantiste et impérialiste, BHL, prend à présent tout son sens : “Nous pouvons user contre Poutine des mêmes méthodes que contre Ianoukovitch”[15]. Poutine a essayé de calmer le jeu en demandant à traiter “d’égal à égal” avec l’Ouest mais ni les USA, ni l”UE ne veulent calmer la situation : une stratégie qui prend les russes à la gorge et qui risque de déboucher sur une guerre terrible ou c’est bien la capitulation totale du régime russe de Poutine qui est recherché. Si Poutine joue la carte du gaz pour menacer l’Europe, cette arme est à “double tranchant” [16], il a du faire baisser le prix du gaz pour la Grèce [17] tandis que l’UE pourrait se tourner vers d’autres fournisseurs et se lancer dans le gaz de schiste à tout va après avoir été confrontée à une crise sérieuse faisant le jeu des concurrents étatsuniens [16, 18].

La situation semble beaucoup plus problématique pour les Russes qu’elle n’y paraît au premier plan [19-23] et du résultat de cette confrontation se jouera sans doute l’avenir d’une grande partie du monde et des équilibres géopolitiques. Pour les USA et Israël et leurs influences dans le monde cela sera sans doute quitte ou double, mais ce sera surtout pour la Russie et l’UE que le prix de cette confrontation pourrait être terrible, celle-ci n’est pas sans rappeler l’aube d’une nouvelle guerre mondiale qui pourrait se jouer d’abord en Europe entre d’une part la Russie et les pays atlantistes avec au premier plan l’Allemagne qui elle aussi pourrait perdre beaucoup de cette confrontation (22, 24-26) sans compter l’Ukraine qui pourrait se retrouver complètement délabrée dans une situation à la Haïtienne ou bien à la Syrienne. Dans cette stratégie de la tension croissante, le jeu criminel atlantiste est de pousser la Russie à la faute. Contrairement à certains, on ose même pas songer au recours à l’arme atomique [27].

Sam La Touch

Références :

1. Russia Today Un candidat démocrate à la présidentielle accuse les Etats-Unis d’avoir provoqué la crise

2. Global Research Ukraine: Israeli Special Forces Unit under Neo-Nazi Command Involved in Maidan Riots

3. MoonofAlabama Comprendre le mouvement contre-insurrectionnel en Crimée et ses connexions avec la situation en Syrie

4. Zebrastation Ukraine. Rapatriés de la banlieue de Damas via la Turquie , des djihadistes Tatars dans les rues de Kiev

5. Z Communication Les médias états-uniens n’ont pas couvert les révélations faites par Urmas Paet à Catherine Ashton au sujet de l’identité des tireurs d’élite de la place Maidan

5bis. Qui étaient les snipers de la place Maidan ? (Vidéos)

6. Courrier International L’ineptie des Occidentaux pousse l’Ukraine vers le chaos
7. Ukraine: les combattants de Kiev formés en Lituanie et en Pologne ont été financés par les USA (RIA Novosti)

8. Paul Craig Le pillage de l’Ukraine par les USA et l’UE a commencé
9. Newswire Les réserves d’or ukrainiennes ont été chargées dans un avion à l’aéroport de Borispol de Kiev pour être envoyées au pays de l’Oncle Sam

10. Réseau Voltaire. Des mercenaires US déployés au Sud de l’Ukraine

11. Eutimes US Sends Warships To Crimea, Hundreds Of NATO Troops Land In Western Ukraine

12. Irib/BFM Des Marine US débarquent à Kiev et Poutine ordonne des manoeuvres à la frontière avec l’Ukraine

13. Le Parisien Ukraine : l’US Navy dépêche un navire de guerre en Mer Noire

14. Blog Finance. La Russie financièrement mise à mal par la crise en Ukraine (Blog Finance)

15. BHL :“Nous pouvons user contre Poutine des mêmes méthodes que contre Ianoukovitch”

16. Le Monde Ukraine : le gaz russe, arme à double tranchant
17. Blog Finance Gazprom : la Grèce obtient une baisse de tarif de 15 % sur le prix du gaz russe

18. Blog Finance Ukraine : rivalité Russie / Etats-Unis pour aides financières … et marché du gaz européen ?

19. WSWS La crise en Ukraine et les conséquences de la dissolution de l’Union soviétique

20. BAR Hillary Clinton et autres barbares, à la porte de la Russie
21. WSWS Les médias allemands font campagne pour la guerre en Ukraine

22. WSWS Le gouvernement français applaudit le coup d’état en Ukraine

23. Le Financial Times invite à utiliser la crise Ukrainienne pour renverser Poutine

24. Ukraine. Laurent Fabius évoque le coup d’Etat monté avec l’Allemagne et la Pologne

25. Horizon et débat Stratfor, le « cabinet fantôme de la CIA », au sujet de l’Ukraine : faire reculer la Russie et se tourner vers l’Allemagne

26. WSWS Conférence de Munich: L’Allemagne et les USA poussent à des politiques agressives

27. Solidarité et Progrès Marchand de peur : La City pousse à l’affrontement nucléaire avec la Russie

http://www.mondialisation.ca/derriere-lukraine-cest-la-ru...