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04/02/2010

N. SARKOZY, tenterait-t’il de contrôler Dailymotion ?

Nouveau venu chez Dailymotion, l'Etat investit 7 millons d'euros !

Bienvenue à la censure sur le net !

Jusqu'ici, le fonds souverain s'intéressait surtout à l'industrie. Surprise : il va investir plus de 7 millions d'euros dans Dailymotion. Après avoir supprimé 10% de ses effectifs, le site affirme qu'il est rentable. En finançant le concurrent français de YouTube, le contribuable réalise-t-il vraiment une bonne affaire ? Le Fonds stratégique d'investissement (FSI) va apporter 7,5 millions d'euros à Dailymotion, comme l'a annoncé le site du Figaro ce jeudi matin. Un investissement réalisé dans le cadre d'une augmentation de capital totale de 17 millions d'euros. Le reste provient des actionnaires historiques du site : les fonds Advent Venture Partners, AGF Private Equity, Atlas Venture et Partech International.

Le FSI, « c'est une arme anti-crise », avait expliqué Nicolas Sarkozy. Le chef de l'Etat voulait que la France dispose elle aussi de son fond souverain, comme Abu Dhabi ou Singapour, très offensifs sur les marchés internationaux. Le FSI avait, lui, un rôle surtout défensif : soutenir des PME en difficultés, notamment dans l'industrie. Pourquoi s'intéresse-t-il désormais à un des piliers du web français ?

Imaginons la France d’après... Ou le net serait aussi sous la même influence Sarkoziste que les médias officiels ? Attention danger! Cet homme veut tout contrôler... Si non pour quelle raison rentrait-t'il dans le capital d'une entreprise sans problème?

Quand on se souvient de la lenteur qu’avait mis le gouvernement à ordonner au FSI de déloquer l’aide nécessaire pour sauver Heuliez ? Sans la pression et la ténacité de la présidente de la région Poitou Charentes Ségolène Royal, sur N. Sarkozy, le FSI aurait sans doute laissé mourir une entreprise à la pointe de nouvelles technologies

Claude2frejus

http://www.lepost.fr/article/2009/10/22/1754622_n-sarkozy...




 

03/02/2010

Sarkozy vu par la presse russe !

Anniversaire de Nicolas Sarkozy: portrait de l’homme et du président

Article superbe au vitriol des journalistes Russes !

Nicolas Sarkozy
Nicolas Sarkozy
10:21 28/01/2010
© RIA Novosti. Sergei Guneev
Par Andreï Fediachine, RIA Novosti

L'infatigable Nicolas Sarkozy, président de la République Française, soufflera ses 55 bougies le 28 janvier.
L'hyper-énergique "Super-Sarko" fêtera son anniversaire à un moment où sa popularité n'est pas à son apogée: après deux ans et 9 mois de présidence (il est entré en fonction le 16 mai 2007), seuls 38% des Français approuvent son activité.
La cote de popularité du 6e président de la Ve République aurait été plus médiocre encore (à peine plus de 34% en décembre), si la France n'avait pas réagi en janvier avec tant de compassion à la tragédie haïtienne. Les électeurs ont apprécié. En France, il y a de nombreux immigrés, et entre autres, beaucoup d'immigrés d'Haïti francophone, ancienne colonie française.

Deux ans et 9 mois ne sont pas un prétexte pour analyser sérieusement les réalisations et les erreurs de Sarkozy.
Mais à l’occasion de son anniversaire, on peut dresser le portrait de Sarkozy, homme et président.
D'autant plus que certains détails de son comportement donnent à réfléchir.

Lorsqu'un pays réputé pour sa galanterie, son vin et ses  parfums est mécontent de son dirigeant (65% des Français sont mécontents de leur président), on peut se demander comment des éléments aussi raffinés que politesse et  délicatesse ont pu faire sa réputation.


Toute l'ingratitude française pour celui qui a été élu par la nation avec 53% des voix (Sarkozy a devancé sa concurrente de 6%) ressort dans les ouvrages des caricaturistes français. Sarkozy est leur pain quotidien.

Depuis la fin de l'année dernière, l'image caricaturale « Le Sarko » s’est enrichi des attributs de Napoléon et a des notes évidentes de mégalomanie, de narcissisme, de vanité, d'arrogance, d'affection pour le luxe et la bravade.


Elle laisse un arrière-goût de méchanceté et de jalousie envers les hommes politiques mondiaux et les opposants intérieurs.

Si l'on croit les journalistes français au courant de ce qui se produit à l'Elysée, ces derniers dix-huit mois, le 23e président français a pris l'habitude d'exposer de façon longue et pathétique ses réalisations lors de réunions de cabinet; de souligner qui et comment il a incité à prendre des décisions historiques (suggérant des idées, aidant à éviter un fiasco foudroyant, sauvant, retirant de l'abîme, etc).
Ces monologues se terminent invariablement par des paroles péjoratives à l'adresse d'autres dirigeants mondiaux qui, si Sarko n'existait pas, "n'auraient pu faire, n'auraient pas compris ou n'auraient pas osé".

Ces derniers mois, Sarkozy est mécontent d'Obama. Les experts français affirment que Sarkozy est offensé de la conduite du président américain qui n'a pas réagi comme il se devait (avec enthousiasme et obséquiosité) à l'amitié proposée, n'a pas suivi les recommandations faites par Sarkozy pour venir à bout de la crise financière et de nombreux autres conseils dans le domaine de la politique étrangère.
A la "cour de Sarkozy" (selon l’expression des journaux français), on ne comprend pas. Sarkozy s’est mis à qualifier Obama de "surestimé", "malchanceux" et faible. En fin de compte, après avoir été un fervent atlantiste, Sarkozy s'est tourné vers l'Allemagne.

Dans les rapports avec la chancelière d'Allemagne, entre Merkel et Sarkozy, on entend de plus en plus « Lieber Nicolas » et « Chère Angela ».


Il est vrai, il y a aussi une autre échelle des valeurs, selon laquelle le tournant vers l'Allemagne est le résultat du désir naturel de renforcer le partenariat entre les deux plus grandes économies de l'Europe.


Certains experts disent même que le revirement de Sarkozy vers Berlin s'explique par la crainte que Berlin ne se rapproche de Moscou et que ce processus puisse se faire sans la France.


Certains reporters affirment que Sarkozy se plait à raconter comment, lors de sa première visite de travail à Moscou en octobre 2007, il a littéralement "hypnotisé" Vladimir Poutine, alors président.

On peut citer ses autres sujets préférés : "Comment j'ai sauvé l'Union européenne de l'échec total et prévenu, par la même occasion, l'irruption russe en Géorgie et la guerre dans tout le Caucase".


Cela correspond partiellement à la réalité, compte tenu du rôle joué par Sarkozy dans le sauvetage du traité de Lisbonne de l'UE et dans la médiation lors des pourparlers russo-géorgiens à l'automne 2008.

Comme tous ceux qui sont issus de familles d'immigrés (le père de Nicolas Sarkozy s'est enfui en 1944 de Hongrie après l'entrée des troupes soviétiques dans ce pays et s'est marié à Marseille avec la fille d'un célèbre médecin juif), Sarkozy peut se permettre à l'égard des immigrés ce qu'ils n'auraient pas toléré de la part d'un autochtone. Son approche des problèmes de l'immigration et de la criminalité des immigrés est très dure.

Parmi les dernières initiatives patriotiques du président, on peut citer celle qui ressemble beaucoup aux recherches russe de l'"idée nationale".


A la manière de Sarkozy, cela s'appelle le grand débat sur l'identité nationale, amorcé en novembre de l'année dernière et qui devrait s'achever fin janvier.


Ce débat se déroule sous la devise d’un retour à la "Douce France". Le "point de repère" est une chanson de 1943 (durant l'occupation) sur la bonne vieille France, plus idéalisante et nostalgique que réaliste. Sarkozy (un autre trait des immigrés) tâche d'être plus français que les Français. Ces derniers, selon lui, manquent actuellement de patriotisme.

Par conséquent, ce que disent les journaux et les revues au sujet de Sarkozy n'est pas étonnant. Sarkozy est maintenant représenté (en couleurs et en collages) montant à l'assaut de la Bastille en 1789, assis à côté de Churchill et Staline en 1945 à Yalta, découvrant la pénicilline et l'Amérique, et même fondateur des Beatles.

Bref, les Français semblent montrer qu'ils en ont "assez" de Nicolas Sarkozy. Ils en ont assez de Sarkozy seul et de Sarkozy avec Carla Bruni (sa troisième épouse).


Ils en ont assez de Pal Istvan Sarkozy de Nagy-Bosca, son père, âgé de 81 ans qui s'essaie à la peinture et qui profite du nom de son fils. Il présentera même en avril une exposition à la galerie parisienne Espace Pierre Cardin, dont le clou sera un portrait de Carla Bruni et Nicolas Sarkozy-fils.

Les Français ne seraient pas autant lassés de leur président, s'il ne s'était pas adonné à la débauche aussitôt après son élection, irritant la France par son penchant pour la douceur de vivre, son amour démonstratif du luxe, ses actes pour épater, son divorce, son nouveau mariage, etc. Les Français en ont assez de la quantité d'escapades indignes du président.

La France de Sarkozy et la France des Français s'éloignent de plus en plus l'une de l'autre.
La France des Français comprend mal ce que le président attend d'elle, ce qu'il fait d'elle et ce qu'on peut attendre de lui.

Ce texte n'engage que la responsabilité de l'auteur.


http://fr.rian.ru/discussion/20100128/185948405.html

 

02/02/2010

Iran : Etats-Unis et France prônent la fermeté

Et bien sûr Sarkozy n'hésitera pas à nous faire entrer dans la 3ème mondiale !

Il n'est pas à un intérêt près pour suivre les USA et poursuivre l'instauration du Nouvel Ordre Mondial à leurs côtés !


Hillary Clinton, secrétaire d'Etat américaine à l'Elysée, le 29 janvier 2010.

Hillary Clinton, secrétaire d'Etat américaine à l'Elysée, le 29 janvier 2010.

France 2
Etats-Unis et France ont de nouveau prôné vendredi la fermeté pour que l'Iran renonce au nucléaire militaire

Les discussions en cours sur une nouvelle résolution au Conseil de sécurité de l'Onu et un renforcement des sanctions ont été évoqués par la secrétaire d'Etat Hillary Clinton avec Nicolas Sarkozy et Bernard Kouchner.

La sécurité de l'Europe "est une pierre angulaire de la politique étrangère américaine", a réaffirmé Hillary Clinton.

Selon l'Elysée, Nicolas Sarkozy et Hillary Clinton se sont accordés vendredi sur la nécessité d'une "résolution ferme". Bernard Kouchner a pour sa part fait état d'un "accord extrêmement précis" avec la secrétaire d'Etat sur la conduite à tenir dans deux directions : le dialogue avec les Iraniens mais également l'élaboration de sanctions."Nous avons déjà eu trois résolutions du Conseil de sécurité avec des sanctions", a-t-il ajouté. "Donc nous ne désespérons pas d'en obtenir, plus ferme encore, une quatrième." Américains et Français sont "extrêmement satisfaits" de la position des Russes et s'efforcent de convaincre les Chinois, a souligné le chef de la diplomatie française.

"Nous ferons tout notre possible pour obtenir la résolution la plus forte possible au Conseil de sécurité", a renchéri la secrétaire d'Etat américaine. "Ensuite, les pays qui ont des opinions très claires, comme la France et les Etats-Unis, pourront peut-être faire davantage s'ils le souhaitent."

Lors d'une intervention à l'Ecole militaire de Paris, elle avait déclaré que Washington mettait la pression sur la Chine pour que Pékin accepte de nouvelles sanctions contre l'Iran.

Afghanistan
"Nous disons aux Chinois que nous comprenons qu'il leur semble aujourd'hui contreproductif de sanctionner un pays dont ils tirent tant de ressources naturelles, dont leur économie en expansion a besoin", avait-elle expliqué. "Mais pensez aux implications à plus long terme."

Lors d'un entretien de près d'une heure et demie, Hillary Clinton et Nicolas Sarkozy ont également parlé de la situation en Afghanistan. Selon l'Elysée, le président français a plaidé pour un transfert aussi rapide que possible des responsabilités en matière de sécurité aux autorités afghanes.

Bernard Kouchner a réaffirmé pour sa part qu'il n'était pas question pour la France, qui a déjà près de 4.000 soldats en Afghanistan, d'y envoyer de nouvelles forces combattantes. Il a cependant admis qu'il pourrait y avoir des "ajustements".

Clinton : "Une Europe qui inclut la Russie"
La diplomate en chef des Etats-Unis a réitéré l'opposition de l'Amérique à l'indépendance des deux provinces séparatistes de Géorgie, l'Abkhazie et l'Ossétie du Sud, au nom de "la souveraineté et l'intégrité territoriale de chaque Etat", érigée en premier "principe".

Mais Washington "ne cherche pas a créer des divisions entre voisins et partenaires", a-t-elle ajouté à l'intention de Moscou. "Il n'y a qu'une Europe", a-t-elle lancé à son auditoire composé d'experts et de diplomates à l'Ecole militaire de Paris: "Une Europe partenaire des Etats-Unis, et une Europe qui inclut la Russie".

Assurant que la controversée défense antimissile "rendra le continent plus sûr", Mme Clinton a estimé que "cette sécurité pourrait s'étendre à la Russie, si la Russie décide de coopérer avec nous".

Mais plutôt que d'entériner l'offre russe d'un nouveau traité sur la sécurité européenne, qui lancerait "un processus long et compliqué", elle a jugé que l'objectif d'une "sécurité indivisible" du continent pouvait être atteint "dans le contexte des institutions existantes, l'OSCE et l'Otan".

La révision stratégique de l'Otan
Cette dernière doit évoluer pour affronter les menaces du XXIe siécle, a plaidé la secrétaire d'Etat, énumérant "le terrorisme nucléaire, le cyber-terrorisme, le changement du climat", ainsi que "les réseaux mafieux  trafiquant les armes, la drogue et les êtres humains". (On rigole ! Les plus gros trafiquants et mafieux sont au sein des organisations internationales !)


L'Otan a engagé une révision stratégique devant aboutir a la fin de l'année.


L'Amérique maintiendra quoi qu'il arrive, a-t-elle insisté, "un engagement inébranlable" envers l'article 5 du traité de l'Otan, au nom duquel une attaque visant un membre de l'Otan est considérée comme une attaque contre tous. (C'est ça ! Qu'il parle pour lui ! )

http://info.france2.fr/europe/Etats-Unis-et-France-pr%C3%...

 

Identité nationale : L'Appel de Mediapart: «Nous ne débattrons pas»

Signez la pétition

Mediapart lance avec deux cents personnalités un appel à refuser le «grand débat sur l'identité nationale» organisé par le pouvoir. Nous souhaitons que cet appel soit à l'origine d'une grande pétition citoyenne qui suscite un vaste rassemblement. Vous pouvez en cliquant ici le signer en ligne.

 

Nous ne débattrons pas

Par principe, nous sommes favorables au débat. A sa liberté, à sa pluralité, à son utilité. C'est pourquoi nous refusons le « grand débat sur l'identité nationale » organisé par le pouvoir : parce qu'il n'est ni libre, ni pluraliste, ni utile.


Il n'est pas libre car c'est le gouvernement qui le met en scène, qui pose les questions et qui contrôle les réponses. Il n'est pas pluraliste car sa formulation réduit d'emblée notre diversité nationale à une identité unique. Il n'est pas utile car cette manœuvre de diversion est une machine de division entre les Français et de stigmatisation envers les étrangers.


Affaire publique, la nation ne relève pas de l'identité, affaire privée. Accepter que l'Etat entende définir à notre place ce qui nous appartient, dans la variété de nos itinéraires, de nos expériences et de nos appartenances, c'est ouvrir la porte à l'arbitraire, à l'autoritarisme et à la soumission.


La République n'a pas d'identité assignée, figée et fermée, mais des principes politiques, vivants et ouverts. C'est parce que nous entendons les défendre que nous refusons un débat qui les discrédite. Nous ne tomberons pas dans ce piège tant nous avons mieux à faire : promouvoir une France de la liberté des opinions, de l'égalité des droits et de la fraternité des peuples.

http://www.mediapart.fr/journal/france/021209/lappel-de-mediapart-nous-ne-debattrons-pas#petition

France : Villepin appelle la France à se retirer d'Afghnistan !

Nous n'avons rien à faire en Afghanistan !

 

PARIS - L'ancien Premier ministre Dominique de Villepin a souhaité lundi à Paris que la France prenne l'initiative d'engager un processus de retrait "maîtrisé, énergique et volontaire" de ses troupes en Afghanistan.

L'ancien Premier ministre Dominique de Villepin à son arrivée à une conférence sur le rôle des puissances occidentales en Afghanistan, le 1er fevrier 2010 à Paris

AFP/Patrick Kovarik

L'ancien Premier ministre Dominique de Villepin à son arrivée à une conférence sur le rôle des puissances occidentales en Afghanistan, le 1er fevrier 2010 à Paris

"L'intervention militaire en Afghanistan est aujourd'hui le problème. Ma conviction est qu'elle cristallise un certain nombre d'oppositions. On a aggravé le mal", a dit M. de Villepin lors d'un débat à SciencesPo sur le "rôle des puissances occidentales en Afghanistan organisé par l'association étudiante "Jeune République".

"Il faut revoir cette intervention et marquer les esprits des Afghans en posant que notre intervention n'est pas liée à une volonté d'occupation", a poursuivi l'ancien premier ministre de Jacques Chirac selon qui "il n'existe pas trente-six solutions"

"La condition absolue pour être efficace en Afghanistan, c'est d'engager un processus de retrait maîtrisé, énergique, volontaire", a-t-il affirmé.

"Ma conviction que c'est à la France de porter cette exigence de retrait, c'est à la France à marquer les esprits", a-t-il ajouté.

Pour Dominique de Villepin, "ce retrait militaire" devra s'accompagner d'une présence économique, d'une coopération en matière militaire et sociale". Cela veut dire "convertir le nombre de soldats en autant de coopérants, autant d'investissements dans le domaine économique et social".

"Il s'agit de faire basculer une présence militaire incomprise et de la transformer en un investissement au côté de l'Afghanistan", a-t-il ajouté.

Pour M. de Villepin l'annonce d'un départ programmé des troupes pourrait conduire le président Hamid Karzaï a "modifier sa politique, avec l'exigence d'une homme qui sait qu'il risque sa vie".

"Si le gouvernement karzaï sait qu'il doit pleinement assumer ses responsabilités, sa politique sera alors une vraie politique d'ouverture et de réconciliation", a-t-il fait valoir estimant que sa politique actuelle "d'acheter les Talibans" ne correspondait "ni à l'efficacité, ni à la morale".

"Le deuxième intérêt d'un calendrier effectif de départ, c'est qu'il met sur la sellette tous les états voisins. Il les place eux aussi face à leur responsabilité. Et, ni l'Iran, ni l'Inde, ni la Russie ni le Pakistan n'ont intérêt à un chaos en Afghanistan", a ajouté M. de Villepin.

"Ce qui me gène dans la diplomatie française, c'est son manque d'initiative, cette incapacité à inverser une situation où nous sommes entraînés à perdre nos soldats, sans savoir où nous allons", a-t-il dit.

"Oui, nous avons vocation à donner l'exemple, par rapport à la communauté internationale, à faire ce que les américains ne peuvent pas faire aujourd'hui", a-t-il conclu.

http://www.lexpress.fr/actualites/1/villepin-appelle-la-f...