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09/11/2008

USA : Lyndon Larouche : Non à la diplomatie britannique dans l'administration Obama !

Le nom de Samantha Power, proche conseillère diplomatique d'Obama, est instamment évoqué pour un poste au département d'Etat. Prenant la défense de l'institution présidentielle, Lyndon Larouche a immédiatement appelé à la tenir la plus éloignée possible de l'administration Obama. Et pour cause :

Depuis l'élection d'Obama au Sénat en 2004, Samantha Power est sa conseillère en politique étrangère et a façonné sa formation dans le domaine. Hors, cette ancienne journaliste du magazine impérialiste et libre-échangiste britannique The Economist, est devenue, avec le financement direct de Georges Soros et de son Open Society Institute, une experte dans l'ingérence humanitaire promue par un autre de ses mentors, Lord Malloch-Brown, ministre d'Etat au Foreign office britannique pour l'Afrique, l'Asie et l'Onu. Elle l'a d'ailleurs ardemment promu comme orateur dans des cycles de conférences à l'Université d'Harvard. Malloch-Brown, qui promeut actuellement l’envoi de troupes britanniques en RD Congo, est « le canal principal entre l'Angleterre et Obama », avait-elle déclaré au Times de Londres pendant les primaires démocrates, précisant qu’il « suscitait l'admiration d'Obama » et que le sénateur de l’Illinois était « réellement sous son charme ».

Lord Malloch-Brown est un proche collaborateur de George Soros, avec qui, en tant qu'administrateur du Programme des Nations unies pour le Développement, il a organisé en 2004 le financement privé des salaires de 5000 officiels géorgiens, dont celui du président Saakashvili lui-même, après avoir sponsorisé la fameuse « Révolution des roses ». Rappelons que le régime Saakashvili a ensuite été « détonné » pour provoquer un conflit militaire entre la Russie et l'Otan. Par la suite, et avant d'être nommé ministre et baron en 2007, Malloch-Brown est devenu vice-président du controversé Quantum Fund, le très opaque hedge fund de Soros situé dans le paradis fiscal de Curaçao, aux Antilles néerlandaises, une île spécialisée dans le blanchiment d’argent de la drogue. Ce fond finance les opérations de Soros grâce aux profits de la spéculation sur les matières premières et les monnaies nationales. Décidément confiant en ses vertus, Soros l'avait également nommé vice-président de son Open Society Institute.

Georges Soros, dont les investissementsphilanthropiques servent depuis toujours les fins géopolitiques de la diplomatie parallèle du Foreign Office, a été le principal organiseur des réseaux de financement d'Obama depuis 2006, au sein du club des millionnaires et milliardaires de la finance new-yorkaise.

LaRouche a donc déclaré : « J'appelle le président élu Barack Obama à virer Samantha Power de son équipe tout de suite, pour le bien de l'Afrique. Aucune personne associée à une personne comme Malloch-Brown, qui a potentiellement le sang de millions d'africains innocents sur ses mains, ne doit être autorisée à approcher la Maison Blanche. Après les huit années de génocide Bush-Cheney dans le monde, c'en est assez ! »



 http://www.solidariteetprogres.org

 

Crise financière : Jacques Cheminade le nostradamus de la finance mondiale

Krach 1995 - 2008 : Dire la vérité au peuple ! Edifiant !

Source : http://www.dailymotion.com/video/x72xdl_krach-1995-2008-d...

10/10/2008

Crise financière : L'Ecureuil et la Banque Populaire officialisent leur projet de fusion

Les deux institutions financières ont donné leur accord pour négocier leur rapprochement, qui donnera naissance au deuxième groupe bancaire français.

Les groupes Caisse d'épargne et Banque populaire, déjà partenaires à parts égales dans la banque d'investissement Natixis, durement affectée par la crise financière, ont officialisé leur projet de fusion.

L'opération vise à «sécuriser non seulement la capacité commerciale, mais aussi la solidité financière» des deux groupes coopératifs, indique la Caisse d'épargne.

Doté de fonds propres de plus de 40 milliards d'euros, de 480 milliards d'épargne et de dépôts, et d'un produit net bancaire de 17,5 milliards d'euros, le nouvel ensemble donnera naissance au deuxième groupe bancaire français derrière BNP Paribas, devenue récemment la première banque de la zone euro en terme de dépôts, depuis le rachat d'une grande partie des activités de Fortis.

Selon l'AFP, Philippe Dupont, président du groupe Banque Populaire, prendra la tête du nouvel ensemble, organisé en société anonyme à directoire et conseil de surveillance. Charles Milhaud, président du directoire des Caisses d'Epargne, présiderait alors le conseil de surveillance.

L'Elysée soutient la création d'un nouveau géant français

Le patron de l'Ecureuil a déclaré dans un entretien qui sera diffusé jeudi sur Radio Classique, que le président français Nicolas Sarkozy soutient «de toutes ses forces» le projet de fusion des deux établissements mutualistes. L'Elysée «considère qu'il est important pour la France, mais aussi pour l'Europe, qu'elle puisse s'appuyer sur des acteurs bancaires de forte dimension», a t-il ajouté.

Le statut des Caisses d'Epargne etant défini par une loi, cette fusion devra passer par une modification législative. Le Comité des établissements de crédit et des entreprises d'investissement (CECEI) devra en outre s'assurer que le nouvel ensemble n'occupe pas une position dominante.

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Source : http://www.lefigaro.fr/societes/2008/10/08/04015-20081008ARTFIG00630-l-ecureuil-approuve-la-fusion-avec-les-banques-populaires-.php

Crise financière : Une bulle spéculative prête à crever

Les «Subprimes» ce n'était encore rien. Voici les «CDS». On ne parle plus de 1000 milliards, mais de 60 000 milliards de dollars prêts à sauter en l'air

Mercredi soir, le Sénat votait pour le plan de sauvetage américain, qui prévoit la mise à disposition pour les établissements financiers en crise de 700 milliards de dollars. Le monde de la finance attend maintenant de façon plus angoissée le deuxième vote de la Chambre des représentants, ce vendredi. Il sera plus difficile, car les élections sont pour le 4 novembre. Les députés craignent la réaction de leurs électeurs s'ils approuvent le plan. «S'il voit le jour, nous éviterons la chute des dominos», analyse John Roux de la banque Hottinger Groupe. «Presque toutes les grandes banques et tous les instituts financiers majeurs sont liés entre eux. Suite à la faillite de Lehman Brothers, par exemple, de nombreux autres établissements avaient immédiatement perdu plusieurs milliards de francs.»

09/10/2008

Crise financière : L'Amérique latine injecte des milliards pour affronter la crise financière

SAO PAULO (AFP) - Le Brésil, le Mexique, l'Argentine et la Colombie, les principales économies d'Amérique latine ont injecté cette semaine plusieurs milliards de dollars sur leurs marchés pour maintenir leurs économies à flot et affronter la crise financière internationale.

Plusieurs pays ont pris en outre d'autres mesures, soit unilatéralement soit dans le cadre du G20, le groupe des pays avancés et des économies en développement qui doit tenir une réunion d'urgence à Washington samedi.

Le Brésil, première puissance économique d'Amérique latine, a vu sa Bourse de valeurs et son marché monétaire plonger au début de la semaine entraînés par la crise sur les places financières internationales en dépit des assurances données par le gouvernement qui estimait le pays suffisamment à l'abri des difficultés économiques américaines.

La Banque centrale du Brésil mercredi a annoncé l'injection de 7,7 milliards de dollars sur son marché monétaire pour faire face au resserrement du crédit, et se tient prête à encore injecter trois milliards le cas échéant.

Mercredi, la Banque centrale est également intervenue à trois reprises pour vendre un montant non précisé de dollars puisés dans sa réserve de 207 milliards de dollars, pour contenir la chute de sa monnaie, le real.

Jeudi, les effets positifs de ces mesures étaient ressentis aussi bien à la Bourse des valeurs que sur le real.