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19/07/2009

Belgique : Grippe AH1N1: campagne de vaccination à l'automne

Des nouvelles de Belgique... !!!
Un avant-goût pour la France ?

L'instauration d'une petite "Loi d'exception" bien sympathique pour la rentrée serait-elle du goût du gouvernement Français ?

Maintenant le serrement de mains est aussi déconseillé !

Vous avez compris ce qu'il vous reste à faire.....!

S'il ne faut plus serrer la main de quiconque, imaginons si nous pourrons encore embrasser nos proches et cajoler nos enfants !!!

Il ne nous reste plus qu'à abandonner nos proches, nos enfants et nos animaux, commencer à penser qu'il va falloir aussi éliminer tous les cochons, les oiseaux et tous les autres porteurs de poisse....... à commencer par les manipulateurs qui dirigent la planète !!!! (Humour..!!)

Bonjour les divorces et les abandons !!!!!

Un bunker.......vite !!!!!!! Surtout pour les 40 % de moutons, heu.... de français qui se sentent également nettement plus concernés que la moyenne des populations par la grippe porcine.

Ne nous a-t-on pas dit que : dans chaque être humain, il y avait un cochon qui sommeillait ...?

Existe-t'il un vaccin contre la c........e humaine ?

Rappelons la célèbre phrase de Rabelais :
« L'Ignorance est mère de tous les maux. »

Pasteur a dit : "Claude Bernard avait raison, le microbe n'est rien, c'est le terrain qui est tout".


Belgique : Grippe AH1N1: campagne de vaccination à l'automne


Grippe AH1N1: campagne de vaccination à l'automne


Magazine - Sciences et Santé

La ministre de la Santé, Laurette Onkelinx, a expliqué vendredi à l'issue du Conseil des ministres que le gouvernement avait adopté un projet de loi d'exception qui lui donne les moyens d'agir vite et efficacement en cas de nécessité dans le cadre de la lutte contre la grippe AH1N1. Le projet est envoyé au Conseil d'Etat pour avis.

Quand elle sera votée, cette loi donnera au gouvernement une sorte de pouvoirs spéciaux qui lui permettront de prendre des mesures d'urgence, a souligné la ministre.

Mme Onkelinx a donné en exemple le fait que le projet donne la possibilité de réquisitionner des professionnels autres que du personnel de santé pour aider en cas de vaccination massive ou la possibilité d'organiser des distributions massives de médicaments par d'autres voies que les pharmaciens.

La ministre a aussi indiqué que le gouvernement avait passé un contrat pour l'achat de 12,5 millions de doses de vaccins. Elle a aussi annoncé une campagne de vaccination à l'automne. Le vaccin sera gratuit pour les groupes à risques et pour certaines professions.

Source : Rtlinfo


Des médecins et l'Unizo conseillent d'arrêter de donner des poignées de main pour dire bonjour pour éviter la contamination à la grippe A/H1N1. Une recommandation que certains tempèrent.

La poignée de main, ce geste de politesse si usuel, devra-t-elle être évitée à l’avenir sur le lieu du travail ? A l’heure où le gouvernement prend des mesures pour renforcer la protection contre le virus de la grippe A/H1N1, des médecins et l’Unizo vont plus loin. Sur son site internet, le pendant flamand de l’Union des classes moyennes (UCM) recommande aux employés de ne pas se serrer la main pour éviter toute contamination.

Démesuré

Un conseil que certains estiment démesuré. "Il ne faut pas créer de panique. Aujourd’hui, on n’est pas dans une situation d’épidémie. Il faut suivre les conseils de l’agence interministérielle officielle. Et aujourd’hui, je crois que l’on peut continuer à encore se serrer la main", a considéré Thierry Evens, porte-parole de l’UCM.

De 12 à 35 % de la population belge pourrait être touchée. Dans les entreprises, on se prépare dès lors à l’éventualité d’une recrudescence du nombre de malades. Afin d’éviter un ralentissement de l’économie, une "task force" a été créée pour coordonner la prise en charge des personnes contaminées par le virus.

Loi d'exception et campagne de vaccination

Les autorités publiques s’organisent également afin de réagir assez rapidement, en cas d’urgence. La ministre de la Santé, Laurette Onkelinx, a expliqué vendredi à l'issue du Conseil des ministres que le gouvernement avait adopté un projet de loi d'exception qui lui donne les moyens d'agir vite et efficacement en cas de nécessité dans le cadre de la lutte contre la grippe A/H1N1. Le projet a été envoyé au Conseil d'Etat pour avis.

"On va pouvoir réquisitionner des professionnels autres que des personnes travaillant dans le domaine de la santé. Pourquoi ? Un exemple simple : si on doit organiser une vaccination massive dans les écoles, il faudra parfois éventuellement réquisitionner du personnel administratif", a expliqué la ministre socialiste.

Laurette Onkelinx a aussi indiqué que le gouvernement avait passé un contrat pour l'achat de 12,5 millions de doses de vaccins. Elle a aussi annoncé une campagne de vaccination à l'automne. Le vaccin sera gratuit pour les groupes à risques et pour certaines professions.

Attention à l'absentéisme

De leur côté, les entreprises veulent avant tout éviter la panique et l’absentéisme plus important qui pourrait en découler. "Nous conseillons de prévoir en ce qui concerne les fêtes de fin d’année d’être prudent en ce qui concerne l’octroi de jours de congé aux salariés. Il faut prévoir une marge de sécurité ou de pouvoir rappelé des gens pour assurer le fonctionnement de l’entreprise", a conseillé Thierry Evens.

Quant au commissariat interministériel Influenza, il ne déconseille pas les contacts et rappelle que se laver les mains très régulièrement est bien plus efficace pour se protéger de toute contamination.

L'Unizo conseille de ne plus se serrer la main pour éviter la grippe mexicaine.
52 élèves en quarantaine
Cela se passe en Chine. Un groupe de 52 élèves et enseignants britanniques en voyage scolaire a été mis en quarantaine à Pékin après que quatre jeunes furent tombés malades de la grippe porcine, a-t-on appris samedi auprès du British Council.

Source : RtlInfo

Grippe A(H1N1) : des opinions publiques assez peu inquiètes

Grippe A(H1N1) : des opinions publiques assez peu inquiètes
Les opinions nationales apparaissent globalement peu inquiètes de la nouvelle grippe A(H1N1) mais la France se sent nettement plus "concernée" que la moyenne, selon un sondage réalisé dans 19 pays et publié samedi dans Le Figaro.

Les opinions nationales apparaissent globalement peu inquiètes de la nouvelle grippe A(H1N1) mais la France se sent nettement plus "concernée" que la moyenne, selon un sondage réalisé dans 19 pays et publié samedi dans Le Figaro.

En moyenne seuls 28% des habitants des 19 pays interrogés (Argentine, Australie, Autriche, Bolivie, Brésil, Canada, Chine, France, Allemagne, Etats-Unis, Royaume-Uni, Islande, Italie, Corée du Sud, Pays-Bas, Suisse, Japon, Russie, Mexique) se sentent "personnellement concernés".

Dans seulement deux pays, la Chine (64%) et la Bolivie (59%), une majorité d'habitants se montrent "très concernés ou assez concernés". L'Argentine (41%) et la France (40%) se sentent également nettement plus concernées que la moyenne. L'Argentine est devenue cette semaine, avec 137 morts, le deuxième pays où le bilan de l'épidémie est le plus lourd après les Etats-Unis.

Excepté en France et en Italie (27%), dans tous les autres pays européens moins d'un habitant sur quatre se sent personnellement concerné par cette maladie, que ce soit au Royaume-Uni (21%), en Allemagne (14%), en Suisse (7%), aux Pays-Bas (7%) ou en Autriche (3%).

Globalement, 43% des habitants des 19 pays interrogés estiment leur pays "bien préparé". A l'exception du Royaume-Uni (38%), ce sont les pays européens qui se pensent les mieux préparés : 83% des Suisses, 75% des Autrichiens, 65% des Italiens, 65% des Français, 63% des Néerlandais, 60% des Islandais, 53% des Allemands.

Les Etats-Unis (32%), la Russie (28%), l'Argentine (14%) et la Bolivie (12%) sont ceux se sentant les moins préparés.

(Sondage BVA-réseau WIN réalisé entre fin juin et début juillet auprès de plus de 18.550 personnes interrogées dans 19 pays. En France le sondage a été réalisé par téléphone du 19 au 20 juin auprès d'un échantillon de 1.007 personnes représentatif de la population âgée de 15 ans et plus selon la méthode des quotas).

Source : Rtlinfo



18/07/2009

Grippe A : Faux vaccin contre épidémie fantôme ?

A lire avec la plus grande attention et à diffuser largement, merci.
juil 18 2009

À faire circuler au maximum :
Extrait du JMD, Journal de Michel Dogna N°73, juillet-août 2009, pp. 2-3.
© REPRODUCTION PARTIELLE AUTORISEE AVEC MENTION D’ORIGINE

http://www.infomicheldogna.net/

FAUX VACCIN CONTRE ÉPIDÉMIE FANTÔME
LE SON DE CLOCHE SANOFI / PASTEUR : Il faut vacciner la planète

Pour Sylvie Van der Werf, de l’Institut Pasteur, la progression rapide du virus A (H1N1) contraindra à utiliser massivement le vaccin, dès qu’il sera disponible, pour protéger l’humanité entière. Alors que l’OMS annonce que la situation est proche du niveau 6, c’est-à-dire l’alerte pandémique maximum, l’Institut Pasteur estime qu’une campagne mondiale de vaccination est inévitable. Dans un entretien accordé au Figaro, Sylvie Van der Werf, directeur d’une unité de recherches et du Centre national de référence pour la région Nord, explique que l’évolution future de l’épidémie de grippe A (H1N1) dépendra de la progression actuelle de la maladie dans l’hémisphère sud, où la saison hivernale est propice à la propagation du virus. Or, l’épidémie se répand assez vite en Australie et en Amérique du sud.

« Nous allons être conduits à vacciner tout le monde, au Nord, comme au Sud, dans les pays riches comme dans ceux en voie de développement » avance-t-elle, estimant que le virus touchera l’ensemble de l’hémisphère nord cet hiver, sans exclure qu’il puisse se répandre bien plus tôt. (…)

UN MONTAGE NON CRÉDIBLE AUX OBJECTIFS INAVOUABLES

Le gouvernement français aurait engagé une dépense d’environ 1 milliard d’euros pour acheter des vaccins, destinés prétendument à lutter contre le virus H1N1 de la grippe A. Problème, à ce jour, ni l’OMS, ni le Center for Diseases Control (CDC) des États-Unis ne semblent l’avoir vraiment isolé, et même photographié au microscope électronique. Rien n’indique non plus que des virologistes français l’aient fait. Rendre obligatoire un vaccin dans ces conditions est pour le moins curieux. Encore plus étrange est l’aveu de la FDA (Food & Drug Administration USA), selon lequel, le «test» autorisé pour contrôler le virus, n’est pas éprouvé. Plus précisément, dans tous les décès soi-disant dus au virus H1N1 de la grippe A, il n’existe aucune preuve médico-légale de leur rapport avec ce virus. Ce que nous savons c’est que les gens qui sont morts ont souvent eu avant des complications respiratoires de nature non divulguée. Aux Etats-Unis, quelques 40.000 décès liés à la grippe banale sont enregistrés chaque année, sans inquiétude particulière. La plupart sont des personnes âgées ou des patients déjà atteints de maladies pulmonaires. À ce jour, dans toute la France, 58 personnes auraient été identifiées par les autorités de santé comme ayant les «symptômes» du H1N1. Il est intéressant de noter ce que citent l’OMS et le CDC comme symptômes du H1N1 : température, toux, maux de tête, écoulement nasal…

On notera aussi que, dans le suivi des cas de grippe A H1N1 «confirmés» dans le monde, la grande majorité a guéri spontanément en 3 à 7 jours, tout comme dans le cas d’un mauvais rhume. A noter encore qu’une grippe classique c’est environ 2.500 morts dans le monde, PAR JOUR ! On parle aussi de 300 000 à 500 000 morts chaque année (sur presque 7 milliards d’individus), une simple sélection naturelle en quelque sorte…Or, pour la A H1N1 : on en est à moins de 2 par jour (et encore, il faut croire les autorités sur parole… !
C’est un plan surréaliste et cauchemardesque qui se prépare devant nos yeux, et ses véritables objectifs sont inavouables…

ANALYSE DU DR MARC VERCOUTERE

http://bridge.over-blog.org/article-31850382.html

1 - le H1N1 est très contagieux mais non mortel (type grippe classique).

2 - le H5N1 est non contagieux mais mortel dans 90% des cas.

3 - les vaccins combinés en cours de fabrication sont fait pour le H5N1 et le H1N1.

4 - l’adjuvant des vaccins est du MF59 destructeur pour l’immunité.

5 - les antiviraux préconisés favorisent les commutations à savoir la transmission du patrimoine génétique d’un virus mort ou atténué à des cellules saines qui en retour ouvre la voie à une mutation génétique de virus in vivo.

En résumé si l’on combine le H1N1 très contagieux (non mortel) au H5N1 non contagieux mais mortel on obtient un HxNx très contagieux et mortel. Le tout est favorisé par la chute des défenses immunitaires à cause du MF59 et les mutations possibles sont amplifiées par les antiviraux.

RAPPEL des constituants de la soupe du diable actuellement associés aux vaccins courants :

(relisez bien ceci et diffusez-le)

Ce qui suit est tellement gros qu’on a du mal à y croire.
ALUMINIUM (adjuvant) :
Produit responsable de dommages cérébraux, suspecté d’être la cause de la maladie d’Alzheimer, de certaines démences, de comas et d’attaques. Responsable également d’allergies cutanées. Lourdement impliqué dans la myofasciite à macrophages.
SULFATE D’AMMONIUM :
Un poison suspecté d’attaquer le foie, le système nerveux, le système gastro-intestinal et respiratoire.
BÊTA-PROPIOLACTONE :
Produit connu pour ses propriétés cancérigènes. Un poison suspecté d’attaquer le foie, le système respiratoire et gastro-intestinal ainsi que la peau et les organes des sens.
LEVURES GENETIQUEMENT MODIFIEES (OGM),
ADN BACTERIEN OU VIRAL D’ANIMAUX :

Substances qui peuvent se combiner à l’ADN des vaccinés et entraîner des mutations génétiques inconnues.
LATEX :
Produit qui peut produire des réactions allergiques mettant en péril le pronostic vital
GLUTAMATE DE SODIUM:
Produit neurotoxique connu pour ses effets mutagènes, tératogènes- entraînant des malformations et monstruosités- et ses effets sur la descendance. Responsable d’allergies.
FORMALDEHYDE (formol) :
Constituant principal des substances employées dans l’embaumement ; carcinogène, impliqué dans les leucémies, les cancers du cerveau, du colon, des organes lymphatiques; suspecté d’occasionner des problèmes gastro-intestinaux; poison violent pour le foie, le système immunitaire, le système nerveux, les organes de reproduction. Utilisé pour inactiver les germes.
MICRO-ORGANISMES
: Des virus ou des bactéries vivants ou tués ou leurs toxines. Le vaccin polio contenait du SV40, virus de singe retrouvé ensuite chez les humains dans les os, l’enveloppe des poumons – mésothélium, dans les lymphomes et les tumeurs du cerveau.
POLYSORBATE 80 :
Connu pour causer des cancers chez les animaux.
TRI(N)BUTYLPHOSPHAT E :
Suspecté d’être un poison pour les reins et les nerfs.
GLUTARALDEHYDE:
Poison s’il est ingéré; responsable de malformations néonatales chez les animaux d’expérimentation
GELATINE:
Produite à partir de certaines parties de la peau des veaux ainsi que des os de bovins déminéralisés et de peau de porcs. Responsable d’allergies.
GENTAMYCINE ET POLYMYXINE B :
Antibiotiques toxiques pour les reins et le système nerveux; responsables d’allergies pouvant être mortelles.
MERCURE (conservateur) :
Une substance des plus dangereuses, qui a une affinité pour le cerveau, le foie, l’intestin, la mœlle osseuse et les reins. D’infimes quantités peuvent causer des dommages graves au cerveau. Les symptômes de l’intoxication au mercure sont multiples, et certains sont superposables aux désordres autistiques.
NEOMYCINE :
Antibiotique qui perturbe l’absorption de la vitamine B6. Un défaut d’assimilation de la vitamine B6 peut entraîner une forme rare d’épilepsie et de retard mental. Réactions allergiques pouvant être mortelles. Toxique pour les reins et le système nerveux.
PHENOL / PHENOXYETHANOL :
Utilisé comme antigel. Toxique pour toutes les cellules et capable de dérégler les réponses du système immunitaire.
BORATE DE SODIUM (Borax) :
Utilisé comme insecticide et comme raticide (mort aux rats !) - et contenu dans le très à la mode Gardasil.
CELLULES HUMAINES ET ANIMALES :
Des cellules humaines provenant de tissus de foetus; de l’albumine humaine, du sang de porc, de cheval, de mouton; de la cervelle de lapin, de cobaye; des reins de chien, du coeur de boeuf, des reins de singe, des embryons de poulets, des oeufs de poules (pouvant être contaminés par le virus de la leucose aviaire leucémie des poules, des oeufs de canards, du sérum de veau (pouvant être porteur des prions de Kreutzfeld Jacob) etc.

TOUTE LOI MARTIALE ÉCRASE LA CONSTITUTION ET LES DROITS DE L’HOMME

Notez qu’une loi d’exception ou une loi martiale, suspend «provisoirement» toutes les autres lois, y compris la constitution. .. À noter que la loi française menace déjà de 6 mois d’emprisonnement et de 3.750 € d’amende les parents qui ne font pas vacciner leurs enfants… Le gouvernement aura-t-il peur d’aller trop loin ? Pas sûr… Voyez plutôt : En novembre 2007 : Le procureur du Maryland a distribué des citations à comparaître à plus de 1600 parents d’enfants qui n’ont pas fourni de certificat de vaccination. Puis il a fait rassembler les enfants comme du bétail dans un palais de «justice», pour des vaccinations forcées, pendant que la police montait la garde avec des fusils d’assaut et des chiens d’attaque. À l’intérieur, les enfants ont été vaccinés de force.

L’État du Maryland utilise les tactiques de la Gestapo pour imposer sa volonté médicale sur la population, dépouillant ainsi les parents de leurs droits de décider comment ils souhaitent gérer la santé de leurs enfants. Les autorités sanitaires avaient annoncé leur intention d’arrêter les parents, de les jeter en prison, et de leur enlever leurs enfants, s’ils continuaient à refuser de les faire vacciner.

Comme de plus en plus de parents sont informés des dangers des vaccinations et de leurs liens avec l’autisme et autres maladies neurologiques redoutables, les autorités sanitaires des États se tournent de plus en plus vers la médecine «à la pointe du fusil», afin de forcer les gens à se soumettre. Même l’Association des médecins et des chirurgiens (AAPS) a annoncé en novembre 2007 sa très forte opposition à la campagne de vaccination de la médecine «à la pointe du fusil».

TROIS MILLIARDS D’HUMAINS A ÉLIMINER

Selon l’expert russe Leonid IVACH, la grippe A/H1N1 est un virus artificiel. Ce scientifique russe dit carrément que selon les renseignements américains, d’ici 2015, il y aurait 3 milliards de personnes de trop et que la création de virus devant entraîner la mort massive de gens est une stratégie globale de régulation démographique. Au moins, il n’a pas la langue de bois celui-là ! Leonid Ivachov est l’ancien chef de la Direction de la coopération militaire internationale du ministère russe de la Défense et président de l’Académie des problèmes géopolitiques. Il a déclaré le 25 mai dernier à RIA Novosti : «De mon point de vue, l’attention soutenue portée au problème nucléaire permet de détourner l’opinion publique des principales menaces que sont les épidémies»
Selon lui, toutes les épidémies actuelles ont été créées dans des laboratoires. «Les médecins militaires détiennent la formule de la pneumonie atypique qui a donné naissance au virus. La grippe aviaire a également une origine artificielle».

25/06/2009

Un plan européen pour "le scénario le plus effroyable"

Ce qu'ils oublient de dire dans cet article, c'est que lorsque les mafieux qui sont à la botte des élites Illuminati et à la tête des Gouvernements, il n'y aura plus de terroristes d'aucune sorte.

Ces manipulations de l'opinion publique n'ont d'autres buts que de détourner notre attention vers d'autres causes mythiques, plutôt que de laisser notre attention se fixer sur eux. Demeurons dans l'observation de leurs manoeuvres.

BRUXELLES BUREAU EUROPÉEN

La Commission européenne a publié, mercredi 24 juin, un plan d'action comportant 130 mesures et visant à "une approche globale" d'une menace terroriste particulière : celle d'une destruction massive à l'aide d'armes nucléaires, radiologiques, bactériologiques et chimiques (NRBC). Objectif : prévenir "le scénario le plus effroyable", selon Jacques Barrot, commissaire chargé de la justice et de la sécurité.

Le plan devrait être mis en oeuvre dès 2010 et se voir affecter 100 millions d'euros. Il résulte d'une concertation entre les Vingt-Sept, le monde universitaire, des industriels, Europol, Eurojust, etc.

Visant à coordonner l'action d'une série d'agences européennes, il envisage la prévention, la détection et la riposte à une éventuelle attaque à base d'armes dites non conventionnelles. Pour l'essentiel, son catalogue de mesures - dont peu sont détaillées - consiste à évaluer la menace et les mesures de sécurité à adopter mais aussi à renforcer la protection des sites sensibles et des systèmes de détection. Il s'agit, selon la Commission, de mieux former les personnels, mieux surveiller les transactions et mieux contrôler les frontières de l'UE.

Un chapitre particulier évoque la nécessité de négocier des accords avec certains Etats : 300 millions d'euros serviront à développer la "sécurité NRBC" dans des "pays tiers", affirme Bruxelles. Des évaluations réalisées au début des années 2000 indiquaient, par exemple, que 20 % seulement des sites russes contenant des armes nucléaires étaient correctement surveillés. Des centres de recherche civile ou militaire en Europe de l'Ouest seraient, eux aussi, mal gardés.

AGENTS BIOLOGIQUES

Les dernières évaluations de la menace terroriste suggèrent que des groupes cherchent toujours à se procurer des armes non conventionnelles. Le développement rapide des technologies et l'utilisation des matières NRBC dans de nombreux domaines d'activité accroissent ce risque.

Il reste à déterminer, au-delà de la communication, quel peut être l'effet d'un tel plan face à une menace réelle mais diffuse. Une trentaine de tentatives d'utilisation d'agents biologiques ou chimiques ont été recensées depuis les années 1970. L'acte le plus spectaculaire a été celui de la secte japonaise Aum, en 1995, qui avait libéré du gaz sarin dans le métro de Tokyo, tuant 12 personnes et en blessant 5 500 autres.

Les armes toxiques sont, en général, difficilement détectables. Leur fabrication et leur mode de dispersion nécessitent souvent des qualifications poussées. Les spécialistes sont cependant unanimes à estimer qu'une attaque entraînerait des pertes humaines considérables et aurait des conséquences psychologiques majeures.

Jean-Pierre Stroobants

Source : Le Monde

 

17/06/2009

11 septembre : les New-yorkais veulent une nouvelle enquête

Sous l’impulsion de nombreux proches de victimes et de sauveteurs du 11 septembre 2001, plus de 40 000 électeurs new-yorkais* ont déjà signé une pétition qui pourrait conduire à la mise en place d’un référendum pour la constitution d’une nouvelle enquête sur les attentats aux élections de novembre 2009.

Vote for Answers
http://www.youtube.com/watch?v=TzC3QI8JenU


 

A la suite de la publication du Rapport de la Commission d’Enquête sur le 11 septembre en 2004, 66% des New-yorkais étaient en faveur d’une autre investigation à même de traiter les "questions toujours sans réponse".

Le Président de la Commission d’Enquête sur le 11 septembre, Thomas Kean, dira plus tard, dans une stupéfiante déclaration, que la Commission d’Enquête avait été, selon ses propres termes, "conçue pour échouer".

La NYCCAN (NYC Coalition for Accountability Now, coalition new-yorquaise pour un établissement des responsabilités maintenant) se mobilise pour offrir aux familles de victimes du 11 septembre, aux sauveteurs et à tous les new-yorkais ce à quoi ils ont droit : une investigation qui réussisse.

Comment ?

Les électeurs new-yorkais peuvent mandater la formation d’une nouvelle investigation avec pouvoir d’assignation en signant une pétition pour ajouter un référendum au bulletin de vote des élections générales de novembre 2009. Avec le passage de ce référendum, la ville de New-York va faire un pas de géant vers la vérité et la justice.

* Le nombre minimal de 45 000 signataires, permettant l’inclusion automatique du référendum dans la consultation de novembre 2009, sera largement dépassé. Les organisateurs espèrent atteindre un total de 75 000 signatures.

Plus d’information sur le site de la NYCCAN.

Source: Agoravox

A croiser avec cet autre sur Madoff et la connaissance préalable des attentats par plusieurs israéliens.
Jusque-là, on savait pour Odigo et Urban Moving, pas pour Madoff:

Madoff et le 9/11 : connaissance préalable des attentats

Le face à face tendu qui a eu lieu jeudi dernier entre Obama et Cheney donne à penser que l’on est dans une situation ou "ça passe ou ça casse". Repéré, formaté, instrumentalisé par le lobby, le président en exercice, qui manifeste recul et sang froid n’est pas homme à supporter longtemps d’être bridé comme il l’est, pas plus qu’il n’ignore qu’il risque sa vie. Et il a maintenant eu tout le temps pour prendre la mesure des pressions qui pèsent sur lui, organisées depuis longtemps, et aucunement décidées à lâcher. Dans pareil contexte, ouvrir une nouvelle enquête 9/11, en intégrant dans les modalités de constitution et de direction de la nouvelle commission, la connaissance préalable des attentats manifestée par les délits d’initiés qui les ont précédés et par l’avertissement donné à la Société israélienne Odigo 2 heures avant leur survenue, ainsi que l’explication par l’un des agents du Mossad surpris à se filmer pendant la chute de la première tour de ce qu’il voulait documenter l’évènement, et les révélations sur Madoff.



Amir Weitmann : "Madoff n’est pas fou"
envoyé par LEXPRESS. - L’info video en direct.


L’administration précédente ne tolère pas que l’on révèle quoi que ce soit de ses pratiques ni de ses violations de la loi, justifiées selon elle pas les attentats. Ainsi, le clash fut-il violent jeudi dernier entre un Dick Cheney manifestant clairement la multiplicité de ses soutiens et le nouveau président, loin d’être dépourvu de qualités, tout formaté qu’il fut par le lobby.

S’il est clair que BHO n’est pas un sanguin, il est difficile de concevoir qu’il ne mesure pas l’incapacité vers laquelle il se dirige en cas de non réaction. Dans ce contexte accorder l’enquête 9/11 que tant de professionnels demandent depuis si longtemps :

- Leaders politiques pour la vérité sur le 9/11
- Leaders religieux pour la vérité sur le 9/11
- Professionnels de santé pour la vérité sur le 9/11
- Chrétiens, juifs et musulmans pour la vérité sur le 9/11
- Architectes et ingénieurs pour la vérité sur le 9/11
- Pompiers pour la vérité sur le 9/11
- Pilotes pour la vérité sur le 9/11

en multipliant les protections, peut être la seule solution pour pouvoir exercer ses fonctions et tenir ses engagements.

Source : Agoravox

John KENNEDY - Discours sur les Sectes Secrètes et la Conspiration

Le Président qui disait la vérité ..... !
A lire et à écouter absolument jusqu'au bout... !!!


Le discours original prononcé par le
Président Johnn KENNEDY
Waldorf-Astoria Hotel -  New York City,
le 27 avril 1961

Pour télécharger le discours en mp3 128 kbps (17.5 Mo) :
http://web2.millercenter.org/speeches/audio/spe_1961_0427...

Le texte du discours dans sa version originale

The President and the Press: Address before the American Newspaper Publishers Association

President John F. Kennedy
Waldorf-Astoria Hotel
New York City, April 27, 1961

Mr. Chairman, ladies and gentlemen:

I appreciate very much your generous invitation to be here tonight.

You bear heavy responsibilities these days and an article I read some time ago reminded me of how particularly heavily the burdens of present day events bear upon your profession.

You may remember that in 1851 the New York Herald Tribune under the sponsorship and publishing of Horace Greeley, employed as its London correspondent an obscure journalist by the name of Karl Marx.

We are told that foreign correspondent Marx, stone broke, and with a family ill and undernourished, constantly appealed to Greeley and managing editor Charles Dana for an increase in his munificent salary of $5 per installment, a salary which he and Engels ungratefully labeled as the "lousiest petty bourgeois cheating."

But when all his financial appeals were refused, Marx looked around for other means of livelihood and fame, eventually terminating his relationship with the Tribune and devoting his talents full time to the cause that would bequeath the world the seeds of Leninism, Stalinism, revolution and the cold war.

If only this capitalistic New York newspaper had treated him more kindly; if only Marx had remained a foreign correspondent, history might have been different. And I hope all publishers will bear this lesson in mind the next time they receive a poverty-stricken appeal for a small increase in the expense account from an obscure newspaper man.

I have selected as the title of my remarks tonight "The President and the Press." Some may suggest that this would be more naturally worded "The President Versus the Press." But those are not my sentiments tonight.

It is true, however, that when a well-known diplomat from another country demanded recently that our State Department repudiate certain newspaper attacks on his colleague it was unnecessary for us to reply that this Administration was not responsible for the press, for the press had already made it clear that it was not responsible for this Administration.

Nevertheless, my purpose here tonight is not to deliver the usual assault on the so-called one party press. On the contrary, in recent months I have rarely heard any complaints about political bias in the press except from a few Republicans. Nor is it my purpose tonight to discuss or defend the televising of Presidential press conferences. I think it is highly beneficial to have some 20,000,000 Americans regularly sit in on these conferences to observe, if I may say so, the incisive, the intelligent and the courteous qualities displayed by your Washington correspondents.

Nor, finally, are these remarks intended to examine the proper degree of privacy which the press should allow to any President and his family.

If in the last few months your White House reporters and photographers have been attending church services with regularity, that has surely done them no harm.

On the other hand, I realize that your staff and wire service photographers may be complaining that they do not enjoy the same green privileges at the local golf courses that they once did.

It is true that my predecessor did not object as I do to pictures of one's golfing skill in action. But neither on the other hand did he ever bean a Secret Service man.

My topic tonight is a more sober one of concern to publishers as well as editors.

I want to talk about our common responsibilities in the face of a common danger. The events of recent weeks may have helped to illuminate that challenge for some; but the dimensions of its threat have loomed large on the horizon for many years. Whatever our hopes may be for the future--for reducing this threat or living with it--there is no escaping either the gravity or the totality of its challenge to our survival and to our security--a challenge that confronts us in unaccustomed ways in every sphere of human activity.

This deadly challenge imposes upon our society two requirements of direct concern both to the press and to the President--two requirements that may seem almost contradictory in tone, but which must be reconciled and fulfilled if we are to meet this national peril. I refer, first, to the need for a far greater public information; and, second, to the need for far greater official secrecy.

I

The very word "secrecy" is repugnant in a free and open society; and we are as a people inherently and historically opposed to secret societies, to secret oaths and to secret proceedings. We decided long ago that the dangers of excessive and unwarranted concealment of pertinent facts far outweighed the dangers which are cited to justify it. Even today, there is little value in opposing the threat of a closed society by imitating its arbitrary restrictions. Even today, there is little value in insuring the survival of our nation if our traditions do not survive with it. And there is very grave danger that an announced need for increased security will be seized upon by those anxious to expand its meaning to the very limits of official censorship and concealment. That I do not intend to permit to the extent that it is in my control. And no official of my Administration, whether his rank is high or low, civilian or military, should interpret my words here tonight as an excuse to censor the news, to stifle dissent, to cover up our mistakes or to withhold from the press and the public the facts they deserve to know.

But I do ask every publisher, every editor, and every newsman in the nation to reexamine his own standards, and to recognize the nature of our country's peril. In time of war, the government and the press have customarily joined in an effort based largely on self-discipline, to prevent unauthorized disclosures to the enemy. In time of "clear and present danger," the courts have held that even the privileged rights of the First Amendment must yield to the public's need for national security.

Today no war has been declared--and however fierce the struggle may be, it may never be declared in the traditional fashion. Our way of life is under attack. Those who make themselves our enemy are advancing around the globe. The survival of our friends is in danger. And yet no war has been declared, no borders have been crossed by marching troops, no missiles have been fired.

If the press is awaiting a declaration of war before it imposes the self-discipline of combat conditions, then I can only say that no war ever posed a greater threat to our security. If you are awaiting a finding of "clear and present danger," then I can only say that the danger has never been more clear and its presence has never been more imminent.

It requires a change in outlook, a change in tactics, a change in missions--by the government, by the people, by every businessman or labor leader, and by every newspaper. For we are opposed around the world by a monolithic and ruthless conspiracy that relies primarily on covert means for expanding its sphere of influence--on infiltration instead of invasion, on subversion instead of elections, on intimidation instead of free choice, on guerrillas by night instead of armies by day. It is a system which has conscripted vast human and material resources into the building of a tightly knit, highly efficient machine that combines military, diplomatic, intelligence, economic, scientific and political operations.

Its preparations are concealed, not published. Its mistakes are buried, not headlined. Its dissenters are silenced, not praised. No expenditure is questioned, no rumor is printed, no secret is revealed. It conducts the Cold War, in short, with a war-time discipline no democracy would ever hope or wish to match.

Nevertheless, every democracy recognizes the necessary restraints of national security--and the question remains whether those restraints need to be more strictly observed if we are to oppose this kind of attack as well as outright invasion.

For the facts of the matter are that this nation's foes have openly boasted of acquiring through our newspapers information they would otherwise hire agents to acquire through theft, bribery or espionage; that details of this nation's covert preparations to counter the enemy's covert operations have been available to every newspaper reader, friend and foe alike; that the size, the strength, the location and the nature of our forces and weapons, and our plans and strategy for their use, have all been pinpointed in the press and other news media to a degree sufficient to satisfy any foreign power; and that, in at least in one case, the publication of details concerning a secret mechanism whereby satellites were followed required its alteration at the expense of considerable time and money.

The newspapers which printed these stories were loyal, patriotic, responsible and well-meaning. Had we been engaged in open warfare, they undoubtedly would not have published such items. But in the absence of open warfare, they recognized only the tests of journalism and not the tests of national security. And my question tonight is whether additional tests should not now be adopted.

The question is for you alone to answer. No public official should answer it for you. No governmental plan should impose its restraints against your will. But I would be failing in my duty to the nation, in considering all of the responsibilities that we now bear and all of the means at hand to meet those responsibilities, if I did not commend this problem to your attention, and urge its thoughtful consideration.

On many earlier occasions, I have said--and your newspapers have constantly said--that these are times that appeal to every citizen's sense of sacrifice and self-discipline. They call out to every citizen to weigh his rights and comforts against his obligations to the common good. I cannot now believe that those citizens who serve in the newspaper business consider themselves exempt from that appeal.

I have no intention of establishing a new Office of War Information to govern the flow of news. I am not suggesting any new forms of censorship or any new types of security classifications. I have no easy answer to the dilemma that I have posed, and would not seek to impose it if I had one. But I am asking the members of the newspaper profession and the industry in this country to reexamine their own responsibilities, to consider the degree and the nature of the present danger, and to heed the duty of self-restraint which that danger imposes upon us all.

Every newspaper now asks itself, with respect to every story: "Is it news?" All I suggest is that you add the question: "Is it in the interest of the national security?" And I hope that every group in America--unions and businessmen and public officials at every level-- will ask the same question of their endeavors, and subject their actions to the same exacting tests.

And should the press of America consider and recommend the voluntary assumption of specific new steps or machinery, I can assure you that we will cooperate whole-heartedly with those recommendations.

Perhaps there will be no recommendations. Perhaps there is no answer to the dilemma faced by a free and open society in a cold and secret war. In times of peace, any discussion of this subject, and any action that results, are both painful and without precedent. But this is a time of peace and peril which knows no precedent in history.

II

It is the unprecedented nature of this challenge that also gives rise to your second obligation--an obligation which I share. And that is our obligation to inform and alert the American people--to make certain that they possess all the facts that they need, and understand them as well--the perils, the prospects, the purposes of our program and the choices that we face.

No President should fear public scrutiny of his program. For from that scrutiny comes understanding; and from that understanding comes support or opposition. And both are necessary. I am not asking your newspapers to support the Administration, but I am asking your help in the tremendous task of informing and alerting the American people. For I have complete confidence in the response and dedication of our citizens whenever they are fully informed.

I not only could not stifle controversy among your readers--I welcome it. This Administration intends to be candid about its errors; for as a wise man once said: "An error does not become a mistake until you refuse to correct it." We intend to accept full responsibility for our errors; and we expect you to point them out when we miss them.

Without debate, without criticism, no Administration and no country can succeed--and no republic can survive. That is why the Athenian lawmaker Solon decreed it a crime for any citizen to shrink from controversy. And that is why our press was protected by the First Amendment-- the only business in America specifically protected by the Constitution- -not primarily to amuse and entertain, not to emphasize the trivial and the sentimental, not to simply "give the public what it wants"--but to inform, to arouse, to reflect, to state our dangers and our opportunities, to indicate our crises and our choices, to lead, mold, educate and sometimes even anger public opinion.

This means greater coverage and analysis of international news--for it is no longer far away and foreign but close at hand and local. It means greater attention to improved understanding of the news as well as improved transmission. And it means, finally, that government at all levels, must meet its obligation to provide you with the fullest possible information outside the narrowest limits of national security--and we intend to do it.

III

It was early in the Seventeenth Century that Francis Bacon remarked on three recent inventions already transforming the world: the compass, gunpowder and the printing press. Now the links between the nations first forged by the compass have made us all citizens of the world, the hopes and threats of one becoming the hopes and threats of us all. In that one world's efforts to live together, the evolution of gunpowder to its ultimate limit has warned mankind of the terrible consequences of failure.

And so it is to the printing press--to the recorder of man's deeds, the keeper of his conscience, the courier of his news--that we look for strength and assistance, confident that with your help man will be what he was born to be: free and independent.

 

Source : http://www.jfklibrary.org/Historical+Resources/Archives/Reference+Desk/Speeches/JFK/003POF03NewspaperPublishers04271961.htm

 

Pour écouter le discours vocal :The President and the Press: President Kennedy's Address Before the American Newspaper Publishers Association, April 27, 1961.
Running time: 19:11 minutes


Le Président qui disait la vérité

Extrait du discours de J-F KENNEDY

« Mesdames et Messieurs »,

Le mot « secret » est en lui-même répugnant dans une société libre et ouverte.

Et en tant que peuple par nature et historiquement, nous nous opposons aux sociétés secrètes, aux serments secrets et aux procédures secrètes.

Parce que nous devons faire face tout autour du monde à une conspiration massive et impitoyable qui s'appuie d'abord sur des moyens déguisés permettant le déploiement de leur sphère d'influence basée sur l'infiltration plutôt que l'invasion, utilisant la subversion plutôt que les élections et l'intimidation au lieu du libre-arbitre.

C'est un système qui a nécessité énormément de ressources humaines et matérielles dans la construction d'une machine étroitement soudée et d'une efficacité remarquable. Elle combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignements (CIA, Mossad, etc..), économiques, scientifiques et politiques. Leurs planifications sont occultées et non publiées.

Leurs erreurs sont passées sous silence et non relayées par la presse.

Leurs détracteurs sont réduits au silence, et leur avis n'est pas sollicité.

Aucune dépense n'est remise en question, aucun secret n'est révélé. C'est pourquoi le législateur athénien Solon décréta comme crime tout citoyen de désintéressant du débat.

Je sollicite votre aide dans l'immense tâche qui est d'informer et d'alerter le peuple américain, avec la certitude qu'avec votre aide l'homme deviendra ce pourquoi il est né : Libre et indépendant.

Une autre source de son discours :

"President and the Press" Speech (April 27, 1961) - John Fitzgerald Kennedy
http://millercenter.org/scripps/archive/speeches/detail/3677


Intervention TV du président Dwight D. Eisenhower lors de son discours d'adieu, le 16 Avril 1953
Il met en garde les américains contre l'infiltration et l'influence du complexe militaro-industriel

http://www.dailymotion.com/video/x1qdr_le-complexe-militaro-industriel_news

 

Extrait du discours d'Eisenhower

Intervention TV du président Dwight D. Eisenhower lors de son discours d'adieu, où il met en garde contre ce qu'il appelle le complexe militaro industriel.

 

Bonsoir Chers compatriotes,

 

Ce soir je vous adresse un message d'adieu. Je voudrais partager quelques données avec vous.

Nous avons atteint la 6ème décennie d'un siècle qui a connu 4 conflits mondiaux impliquant de grandes nations. Notre pays a participé à 3 d'entre eux.

 

Nous avons dû développer une vaste industrie de l'armement permanente.

 

3,5 millions d'hommes pour le secteur de la défense. Son influence économique, politique et même morale se ressent dans chaque ville, chaque parlement des Etats, chaque bureau du Gouvernement.

 

Ce développement est certes nécessaire, mais nous devons aussi comprendre la gravité de ses conséquences.

 

Triste constat aujourd'hui.


« Chaque arme fabriquée, chaque guerre déclarée, chaque roquette mise à feu, signifie en fin de compte un vol envers ceux qui ont faim et qui ne sont pas nourris, ceux qui ont froid et qui ne sont pas habillés. »

 

Dans les services du Gouvernement, nous devons nous méfier d'une influence non justifiée, qu'elle soit voulue ou non, par le complexe militaro-industriel.

 

Le risque d'un accroissement funeste des abus de pouvoir existe et persistera.

 

Ne laissons jamais le poids de ce complexe mettre en danger nos libertés ou notre démocratie.

 

Seuls les citoyens vigilants et informés peuvent imposer le bon tissage entre la machine industrielle et militaire de la défense avec nos objectifs pacifistes, pour que la sécurité et la liberté prospèrent ensemble.

 

Président Dwight D. Eisenhower
16 Avril 1953

 

Source : Humanae Libertas