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Ne pas voter pour MACRON qui est l'ennemi du peuple français et le VRP des oligarques, de Rothschild et par voie de conséquence partisan de l'UE et du Nouvel Ordre Mondial, c'est un impératif, en revanche et même si nous ne sommes pas d'accord avec le programme de Marine LE PEN, ne pas voter pour elle, s'abstenir ou voter blanc, c'est laisser le champ libre à MACRON, l'abstention ou le vote blanc, n'étant pas comptabilisés dans les élections.
Voter pour Marine LE PEN, ne constituerait qu'un vote de blocage.
A réfléchir donc.... en attendant de voir rebondir François ASSELINEAU aux Législatives qui sortira la France de l'UE, de l'Euro et de l'OTAN.....
Pour l'heure, avec MACRON, nous avons le choix d'aller vers la 3ème guerre mondiale contre la Russie et tout est prêt pour cela, et avec Marine LE PEN, nous pourrions aller vers une guerre civile qui aura été savamment orchestrée par SARKOZY depuis 2005 qui nous a imposé notre entrée dans l'UE et le Traité Liberticide de Lisbonne qui prévoit l'instauration de la loi martiale en cas de débordements civils. Nous sommes déjà sous la dictature de l'état d'urgence, d'ici à nous instaurer la loi martiale pour nous imposer les choix de tous ces apatrides et traîtres à la Nation qui favorisent les projets des promoteurs du Nouvel Ordre Mondial, il n'y a qu'un pas.
Je constate avec étonnement que tout le monde se rue dans les bras d'#EmmanuelMacron. Je ne participerai pas à cette mascarade.
INTERVIEWJean-Frédéric Poisson, président du Parti chrétien-démocrate allié aux Républicains, explique à « 20 Minutes » pourquoi il n’appelle pas à voter Emmanuel Macron, contrairement à François Fillon dimanche…
Le député PCD Jean-Frédéric Poisson, candidat à la primaire de la droite et du centre, le 9 novembre 2016 à l'Assemblée nationale - PDN/SIPA
Propos recueillis par Anne-Laëtitia Béraud
Publié le
Mis à jour le
- Jean-Frédéric Poisson ne votera ni Macron ni Le Pen au second tour
- L'ancien candidat à la primaire à droite estime que le projet du candidat d’En Marche ! est synonyme de « catastrophe »
- Il appelle à une recomposition du paysage politique et souhaite prendre contact avec des membres d’autres partis, dont le FN ou le Debout la France, pour « occuper cet espace politique et d’offrir un nouveau projet »
« L’extrémisme ne peut apporter que malheur et division à la France », a déclaré le candidat François Fillon dimanche soir, avant d’annoncer qu’il voterait Emmanuel Macron au second tour de l'élection présidentielle. Un choix sur lequel s’oppose Jean-Frédéric Poisson, député des Yvelines et président du Parti chrétien-démocrate, allié aux Républicains. Le successeur de Christine Boutin n’appelle pas à voter Emmanuel Macron… sans pour autant donner sa voix à Marine Le Pen. L’élu appelle à une recomposition du paysage politique avec, pourquoi pas, des membres de la « droite hors-les-murs »…
Pourquoi refusez-vous d’appeler à voter Emmanuel Macron, contrairement à François Fillon dimanche ?
Je ne peux pas appeler à voter pour quelqu’un qui n’a eu de cesse de cogner sur notre candidat pendant trois mois. Ensuite, Emmanuel Macron est l’héritier, en ligne directe, de François Hollande. Il est coresponsable de la faillite totale que connaît la France dans ce quinquennat. Il a engagé un certain nombre de réformes qui ont aggravé les difficultés dans notre société. Son projet donne une place prédominante à la logique financière et à l’Europe comme espace commercial ouvert à tous les vents. Comme chef du Parti chrétien-démocrate, attaché à la famille et au respect de la dignité humaine, au dialogue social et au partage des richesses, je ne vois rien dans le projet d’Emmanuel Macron qui me permette de souhaiter qu’il devienne chef de l’Etat. Je ne veux pas appeler à voter pour lui parce que je pense qu’il aggravera les difficultés de la France. Par souci de cohérence avec ce que nous défendons, avec la position qui a été la mienne dans l’opposition pendant tout ce quinquennat, je ne vois pas ce qui me mènerait à voter pour lui. C’est une histoire de liberté et de cohérence.
Non. La catastrophe annoncée avec la dérégulation générale d’Emmanuel Macron n’est pas contrebalancée par une société bloquée et les grandes incohérences, notamment économiques, du projet de Marine Le Pen. Je ne vois donc pas davantage de raisons de voter Marine Le Pen. Je ne veux pas engager ma responsabilité et celle de ma formation politique à appeler à voter pour l’un ou l’autre des candidats.
Vous dites que François Fillon a perdu car « il n’a pas mené son combat jusqu’au bout ». Est-ce plutôt parce que sa stature de président n’était pas crédible pour les électeurs ?
Les historiens démêleront un jour les raisons pour lesquelles nous avons perdu cette élection alors qu’elle nous était promise. J’ai dit à François Fillon que son projet n’était pas suffisamment développé sur un certain nombre de valeurs traditionnelles, en particulier sur la famille. Et que certains points de ce projet étaient trop libéraux par rapport à ce que la France pouvait supporter en l’état. Il y a eu ensuite trois mois de déferlement d’affaires dans les médias qui ont abîmé l’image de François Fillon et occupé son temps de parole. Nous payons aussi une décennie de petits, de grands et de fréquents renoncements de la droite et du centre en France sur les valeurs que nous nous sommes engagés à défendre. La conjonction de ces éléments fait que nous avons perdu hier.
François Fillon évoquait le danger de l’extrême droite avant d’appeler à voter Emmanuel Macron. Vous évaluez différemment ce danger ?
Il y a une autre forme de danger avec Emmanuel Macron. Malgré nos efforts à l’Assemblée nationale et au Sénat, j’ai vu Emmanuel Macron démanteler les professions judiciaires et en faire des biens marchands comme les autres. Je l’ai vu vendre des aéroports français ou des sociétés d’armement français à des opérateurs étrangers au mépris de la souveraineté de notre nation et de son indépendance. Et je ne vois pas de cohérence dans les nombreux sujets sur lesquels il a changé d’avis…
Vous concentrez vos critiques sur Emmanuel Macron…
La famille politique dont je fais partie est en train d’apporter un soutien sans enthousiasme mais massif à Emmanuel Macron. Mais je crois que nous devons à nos électeurs une clarté : la société du tout-libéral et tout-financier voulue par Emmanuel Macron ne convient pas aux besoins de la France d’aujourd’hui.
Vous appelez à une recomposition politique à droite. Comment et avec qui ?
Pour l’instant, je ne sais pas. La défaite des deux formations politiques qui animent la vie politique de notre pays depuis plusieurs décennies est révélatrice de l’incapacité de ces deux partis à adopter une ligne claire, qui donne confiance aux Français. Au PS, au FN comme chez Les Républicains, il y a bien deux lignes politiques qui s’opposent : l’une qui considère que la logique de marché l’emporte sur toutes les autres, et une autre qui souhaite faire plus attention à la dignité humaine, aux relations sociales et à la justice. Cette fracture idéologique traverse toutes les familles politiques et chacune d’elles doit faire un effort de clarification. Il y a un besoin d’alternance en France et beaucoup d’électeurs demandent un projet politique qui soit tranquillement conservateur sur les questions sociales, animé par une volonté de partage, par le respect de l’environnement sans entrer dans les excès des écologistes, et enfin attentif à la souveraineté de la France. Tout cela constitue un espace politique qui n’est aujourd’hui pas occupé. Je pense qu’il est de ma responsabilité d’occuper cet espace et d’offrir un nouveau projet.
Président du parti chrétien-démocrate (PCD), vous pourriez quitter Les Républicains ?
Je suis au PCD qui est indépendant à côté des Républicains. Il n’y a aucune raison pour que nos relations avec LR changent. Nous sommes résolument dans le camp politique de la droite et du centre. Dès notre naissance, nous avons fait le choix stratégique d’une alliance avec les partis de gouvernement. Je ne vois pas de motif particulier de changer cette mécanique d’alliance à partir du moment où la constitution de cette nouvelle offre politique ne serait qu’une forme de rappel aux fondamentaux de cette famille politique qui les ont oubliés au fur et à mesure du temps. Il n’y a donc pas de problème de compatibilité et d’alliance aujourd’hui avec Les Républicains.
Qui voudriez-vous rassembler dans cette nouvelle offre politique ? Nicolas Dupont-Aignan, Philippe de Villiers, Marion Maréchal-Le Pen… ?
Je pense à toutes les personnes qui considèrent que, grosso modo, on ne peut pas continuer à ignorer la dignité de la personne dans la vie publique comme on le fait aujourd’hui ; à ignorer qu’il n’y a pas de société heureuse sans cellule familiale qui soit aidée et confortée quelle que soit sa composition ; à ignorer que la France doit être forte et souveraine dans une Europe entièrement refondée. Les personnes dont vous venez de citer les noms sont effectivement, sur un certain nombre de sujets, voire pour tous ces sujets, aussi attentives que nous le sommes. Nous allons donc prendre contact et voir comment les résultats d’hier doivent nous conduire à agir.
Le 23 avril, de nombreux électeurs ont découvert qu'ils ne figuraient plus sur les listes électorales après un changement d'adresse non signalé. Frustrés, parfois en colère, certains comptent même déposer un recours pour faire annuler le scrutin.
Depuis le 23 avril, les plaintes d'électeurs radiés des listes électorales et n'ayant pas pu voter au premier tour de la présidentielle se multiplient. Plusieurs témoignages font état d'une frustration d'autant plus grande que, pour la plupart de ces citoyens privés de vote, il ne sera pas non plus possible de voter au second tour le 7 mai prochain, ni aux législatives du mois de juin.
Dans certaines villes, comme Strasbourg (Bas-Rhin), il semble s'agir d'un phénomène d'ampleur. Dès le 23 avril au soir, comme le rapporte La Dépêche, la mairie a confirmé que pas moins de 16 000 personnes avaient été radiées des listes électorales, sur les quelque 270 000 habitants que compte la ville. A Asnières (Hauts-de-Seine), ce sont des centaines d'électeurs qui ont appris le jour même du vote qu'ils n'étaient plus inscrits, selon Le Parisien. Des cas identiques ont également été rapportés à Ris-Orangis (Essonne), à Nice (Alpes-Maritime), à Nancy (Meurthe-et-Moselle), à Clichy (Hauts-de-Seine) ou encore dans de plus petites villes, comme Saint-Germain-Laprade (Loire) ou La Queue-en-Brie (Val-de-Marne). Dans ce dernier département, 81 300 personnes ont été radiées, annonce la préfecture. Au Mans (Sarthe), 4 000 électeurs ont été radiés.
Ces radiations sur l'ensemble du territoire s'expliqueraient principalement par des changements d'adresse non signalés des électeurs et relèveraient donc d'une procédure administrative tout à fait normale. Selon France Bleu Alsace, d'autres cas pourraient être liés à des changements d'état civil, notamment ceux de jeunes filles ayant changé de nom après s'être mariées. Des internautes ont mis en ligne une carte collaborative permettant à chaque électeur ayant été privé du droit de voter de se signaler : outre les radiations des listes électorales, un certain nombre de cas semblent concerner des procurations non reçues.
Des électeurs radiés en colère entament des démarches au tribunal
Un certain nombre d'électeurs radiés des listes électorales ont manifesté – avec plus ou moins de finesse – leur colère de n'avoir pas pu voter. A Ris-Orangis, un homme a brisé deux vitres de son bureau de vote alors que les assesseurs lui refusaient le droit de glisser son bulletin dans l'urne, rapporte Le Parisien. D'autres ont rapidement exprimé leur frustration sur les réseaux sociaux.
Nous sommes plusieurs à avoir été radiés. Que s'est-il passé? Entre 2008 et 2012 il ne s'est pas passé une telle hécatombe, pourtant nous fûmes nombreux à changer d'adresse ou autre mais aucune radiation n'avait été faite. Pourquoi pour cette élection présidentielle, sommes-nous des milliers à avoir été radiés?
Ce sont des milliers de voix, des milliers de gens qui n'ont pas pu voter pour une élection aussi importante que celle ci! Le droit de vote est donné à chaque citoyen et on lui enlève pour une raison administrative!!!! Les impôts nous retrouvent, pourquoi pas les mairies? Il est impossible de vivre dans une telle "démocratie" qui ne travaille pas pour le peuple et pour entendre sa voix, mais contre.
Nous demandons à être réintégrés sur les listes électorales dans les plus bref délais.
Nous demandons l'annulation du vote du premier tour ou un autre vote ouvert à tous les radiés qui sera comptabilisé pour le premier tour.
Nous demandons que nous ne souffrions plus de cette gêne administrative, en enregistrant systématiquement les changements d'adresses via les impôts.
Pour une démocratie réelle.
Nous appelons tous les radiés à se mobiliser pour un recours au tribunal de grande instance de Paris. Contactez nous pour que l'on puisse se réunir et rétablir notre droit de vote.
Cie MNEMOZINA a lancé cette pétition avec seulement une signature au départ et il y a maintenant 40 794 signataires. Lancez votre pétition pour créer le changement que vous souhaitez voir.
Il est vrai que les consignes avaient été données par les adeptes de la Judéo-maçonnerie, dès le 14 avril 2017 !! Il fallait faire gagner MACRON au détriment des autres candidats et notamment contre Asselineau qui aurait sorti la France de l'UE, de l'Euro et de l'OTAN !
Le ministère de l’Intérieur français a annoncé Marine Lepen comme vainqueur du premier tour des élections en début d’après midi ce dimanche 23 avril. Les média ont, dans la soirée, annoncé Macron comme vainqueur sans parler du résultat du ministère de l’Intérieur. La presse russe, ayant lu la source de l’Intérieur, a aussitôt annoncé le FN victorieux du premier tour car Le pen était bien en tête de plusieurs points. Les électeurs du FN se lèvent tôt et les électeurs d’En Marche » se lèvent, donc, tard pour voter ? L’explication de la subite différence des résultats trouvée ? Le résultat des élections du 24 avril reste un mystère. Ces élections françaises nous rappellent celles qui ont eu lieu en Autriche en mai 2016 où le candidat du parti nationaliste, FPÖ, Norbert Hofer, était arrivé largement en tête du résultat du ministère de l’Intérieur autrichien… et avait bizarrement fini second en soirée… Avons-nous à faire à des élections truquées ? C’est connu, Bruxelles, Merkel, des personnalités comme Glucksmann, Federica Mogherini… ne veulent pas de partis « populistes » au pouvoir. On se souvient de l’appel de Cohn Bendit pour dénoncer le non au référendum sur le traité européen-nommé « contrat » en Allemagne. Le FPÖ a gagné une procédure pour « trucage » des élections ce qui avait conduit à de nouvelles élections…
Autriche mai 2016.
Les média européens annonçaient le résultat des élections en Autriche comme un tremblement de terre pour le monde européen. Le candidat du FPÖ, Norbert Hofer, et Alexander Van der Bellen (Grünen) étaient à égalité ce dimanche de mai 2016 devant les urnes ! Un peu plus tôt dans la journée le ministère autrichien de l’Intérieur annonçait la victoire de Norbert Hofer à plus de 10 points sur Van der Bellen. Dans la soirée les deux candidats, Norbert Hofer et Alexander Van der Bellen, étaient ex-æquo. Les Autrichiens ont dû attendre le lendemain des élections pour connaître le résultat définitif comme si à l’ère du numérique il n’était pas possible de connaître les résultats dans la nuit. Alors que dans les nouvelles élections de décembre 2016, les résultats étaient déjà donnés le soir même ! Van der Bellen fut déclaré gagnant en mai 2016. Le FPÖ a, donc, dénoncé des trucages dans les élections… « Les populistes du FPÖ ont obtenu une seconde chance au tribunal en obtenant de nouvelles élections en automne 2016 -élections qui eurent lieu en décembre 2016-. La Cour constitutionnelle avait annulé les élections de mai 2016 après avoir constaté de nombreuses erreurs dans le processus des élections », avait écrit le Zeit .
Le 4 décembre 2016 de nouvelles élections eurent lieu en Autriche pour désigner le président autrichien. De nouveau, Van der Bellen gagnait. Durant la campagne Van der Bellen était célébré comme le Obama autrichien par de vastes campagnes publicitaires dans les média et dans les rues. Van der Bellen était le candidat du pouvoir mondialiste et des banques.
Election française d’avril 2017.
Du matin au début d’après midi, à voir la publication du ministère de l’Intérieur, le FN menait contre Macron. Subitement dans la soirée, c’est Macron qui se trouvait en tête. Les électeurs du FN ne votaient plus dans l’après midi ? ou avons-nous à faire à un trucage des élections comme cela fut le cas en Autriche ? Dans les consulats étrangers l’affiche du FN n’était pas accrochée avec les autres affiches. Des témoins ont parlé de bourrage d’urnes, de bulletins Macron ou Fillon déjà placés dans les enveloppes ou que des personnes ontvoté deux fois! Les doublons avaient également été signalés. Federica Mogherini , Haute Représentante de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, chef de la diplomatie européenne, a officiellement donné son soutien à Macron dans un Tweet ! « voir les drapeaux de la #France et de l’#UE saluer le résultat de @emmanuelmacron, c’est l’espoir et le futur de notre génération ». Le pouvoir de la mondialisation aussi dans un trucage des élections françaises ?