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16/11/2015

Les USA envoient des bombardiers à capacité nucléaire près des îlots chinois

Les provocations US contre la Chine continuent tout comme contre la Russie.

Ils vont finir par provoquer une 3ème guerre mondiale nucléaire dont nous serons tous les victimes !

Qui va calmer ces psychopathes, une bonne fois pour toutes ?

 Voir aussi :

L’US Navy envoie un destroyer près des îlots artificiels construits par Pékin en mer de Chine

Clinton: la Russie et la Chine principaux adversaires des USA

Les USA envoient des bombardiers à capacité nucléaire près des îlots chinois

Par Peter Symonds
16 novembre 2015Les USA envoient des bombardiers B-52 à capacité nucléaire près des îlots chinois

A l’approche de sommets de haut niveau en Asie la semaine prochaine, le gouvernement Obama a de nouveau accru les tensions avec la Chine au sujet de la mer de Chine méridionale. Le Pentagone a annoncé jeudi que deux bombardiers B-52 stratégiques à capacité nucléaire avaient, les 8 et 9 novembre, effectué des missions à proximité d’îlots réclamés par la Chine.

Ces vols provocateurs ont eu lieu deux semaines à peine après que le destroyer lance-missiles USS Lassen eut délibérément pénétré dans la limite territoriale de 12 milles marins de Subi Reef, contrôlé et administré par la Chine. La détermination de Washington à intensifier son défi militaire des prétentions maritimes de Pékin augmente considérablement le risque d'une erreur ou d’un mauvais calcul menant à un affrontement entre les deux puissances nucléaires.

Le porte-parole du Pentagone Bill Urban a confirmé que les pilotes des B-52 avaient reçu et ignoré deux avertissements des contrôleurs au sol chinois. Il a dit que les vols avaient eu lieu « aux environs » des îles contestées Spratly, mais que les bombardiers ne s’étaient jamais aventurés « à moins de 15 miles nautiques de toute installation ». Cela contredit les commentaires d'un responsable américain anonyme qui a dit au Hill que les avions étaient passés une fois à l’intérieur des 12 miles nautiques.

Urban a insisté pour dire que les B-52 effectuaient « une mission de routine » avec décollage et retour à Guam et «se comportaient à tout moment conformément au droit international ». Washington déclare régulièrement que les prétentions territoriales de la Chine en Mer de Chine méridionale sont illégitimes, bien que les États-Unis n'aient pas ratifié la loi internationale de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer (UNCLOS).

Le ministère des Affaires étrangères a déclaré aux médias hier que la Chine respectait les droits des navires et aéronefs étrangers, mais « s’opposait fermement à la violation du droit international et à ce qu’on sape la souveraineté et la sécurité des intérêts chinois sous prétexte de liberté de navigation et de survol ». Des navires de guerre américains et des avions militaires ont déjà patrouillés près des côtes de la Chine et à proximité de bases militaires sensibles comme celles de l'île de Hainan voisine de la Mer de Chine méridionale.

Si les États-Unis critiquent régulièrement la récupération de sols « agressive » de la Chine en Mer de Chine méridionale, les actions de Pékin elles, sont le résultat de l'intervention grandissante de Washington dans les différends territoriaux opposant la Chine à ses voisins. Au sommet de l’Association des nations de l'Asie du Sud (ASEAN) en 2010, la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton avait dit que les Etats-Unis avaient « un intérêt national » à «la liberté de navigation» en mer de Chine méridionale. Le ministre chinois des Affaires étrangères Yang Jiechi avait répondu dans un essai en accusant Clinton de mener «pratiquement une attaque contre la Chine ».

La mer de Chine méridionale est juste une des poudrières que le gouvernement Obama a délibérément enflammées dans le cadre de son «pivot vers l'Asie», une stratégie diplomatique, économique et militaire globale visant à assurer l'hégémonie américaine dans la région, par une guerre avec la Chine si nécessaire. Ces cinq dernières années, Washington a encouragé les pays d'Asie du Sud-Est, en particulier les Philippines et le Vietnam, à poursuivre plus agressivement leurs revendications envers la Chine. Les États-Unis ont renforcé leur présence militaire en Asie, obtenu de nouveaux arrangements de bases militaires avec les Philippines et l'Australie, et renforcé leurs liens militaires avec les pays de toute la région.

Le moment des vols de B-52 a été soigneusement placé à la veille du sommet de la Coopération économique Asie-Pacifique (APEC) à Manille qui mènera à la réunion des dirigeants les 18 et 19 novembre. La Chine a pressé le gouvernement philippin de veiller à ce que la Mer de Chine méridionale ne soit pas à l'ordre du jour du sommet qui est traditionnellement limité aux questions économiques et commerciales.

Le porte-parole de la Maison Blanche Josh Earnest a fortement suggéré que le président Barack Obama allait insister sur la question, contredisant ainsi le président chinois Xi Jinping qui sera présent à l'APEC. Earnest a dit qu'il ne savait pas si la Mer de Chine méridionale serait à l'ordre du jour officiel, mais a ajouté qu'elle serait « à l’esprit et sur les lèvres » des dirigeants qui y seront. Le sommet de l'APEC sera suivi par ceux de l'ASEAN et de l'Asie orientale à Kuala Lumpur.

L’agence Reuters a rapporté qu’Obama allait prendre part à ce que la Maison Blanche décrit comme « un événement mettant en valeur l’aide de sécurité maritime des USA aux Philippines ». Les responsables américains n'ont pas élaboré davantage. Les États-Unis ont fourni deux vedettes de garde côtes rénovées aux Philippines et aident à renforcer la surveillance maritime du pays. En vertu d'un accord sur les bases militaires signé en avril, l'armée américaine a un accès quasi illimité aux bases militaires philippines dont celles directement adjacentes à la Mer de Chine méridionale.

Washington a encouragé et aidé les Philippines à contester juridiquement les prétentions territoriales de la Chine sur lesquelles la Cour permanente d'arbitrage a décidé le mois dernier d'exercer sa compétence. Cette semaine, le ministre de la Sécurité de l'Indonésie Luhut Pandjaitan a suggéré que son pays pourrait emboîter le pas et lancer une affaire judiciaire, même si la Chine ne contestait pas la souveraineté de l’Indonésie sur ses îles Natuna.

Le Pentagone et les républicains de droite font pression sur le gouvernement Obama pour qu’il conteste encore plus agressivement les revendications territoriales de la Chine. Le sénateur John McCain, président de la commission sénatoriale des services armés, a écrit au secrétaire américain à la Défense Ashton Carter lundi appelant à une clarification publique de l'intervention de l'USS Lassen en Mer de Chine méridionale, pour répondre à des critiques qu'il avait effectué un « passage innocent » et non porté atteinte aux prétentions territoriales de la Chine.

Dans le quatrième débat présidentiel républicain, le candidat Chris Christie a dénoncé la politique étrangère d’Obama comme « faible » et « incapable ». Quant à la Chine il a dit: « Ils construisent ces îles artificielles en Mer de Chine méridionale et le président ne veut pas – ou jusqu’à récemment ne voulait pas envoyer un navire ou un avion dans les 12 miles qui les entourent. Je vous dis que la première chose que je ferais avec les Chinois est ... J’enverrais l’Air Force One [l’avion présidentiel] sur ces îles. Ils sauront que nous sommes sérieux ».

Obama est déjà en train de faire ce que McCain et Christie exigent – monter des actes délibérément provocateurs visant à forcer la Chine à reculer et finalement à accepter la domination de l'impérialisme américain en Asie. Ce chemin de plus en plus téméraire menace de plonger toute la région, et le monde, dans la guerre.

(Article paru en anglais le 14 novembre 2015)

Etat d'urgence de trois mois, quels changements pour les Français ?

Et pourquoi pas la loi martiale puisque l’on y est ?

Ces criminels soutiennent les terroristes, organisent des attentats pour s’octroyer le droit d’aller se confronter avec la Russie, faire partir Assad, et ce sont les français qui doivent trinquer !

Après la loi sur le renseignement voici, de quoi museler complètement les français et la presse libre !

Propagande de guerre à l’horizon !

Pour bloquer les manifestations des citoyens mécontents, bloquer les élections et faire régner la terreur sur le peuple, ils s’y connaissent un rayon !

Ensuite ils viendront nous parler de démocratie !

Etat d'urgence de trois mois, quels changements pour les Français ?

15 nov. 2015, 20:30

Des policiers place de la République à Paris le 15 novembre 2015.

Des policiers place de la République à Paris le 15 novembre 2015.

Le président François Hollande a indiqué dimanche aux responsables parlementaires qu'il souhaitait que l'état d'urgence, décrété après les attentats du 13 novembre, dure trois mois, ont indiqué plusieurs sources parlementaires.

La mise en état d'urgence s'applique depuis samedi 00H00 «sur le territoire métropolitain et en Corse», d'après le décret daté de samedi paru au Journal Officiel.

Il convient de noter que la prorogation de l'état d'urgence au-delà de 12 jours ne peut être autorisée que par une loi, votée par le Parlement, qui en fixe sa durée définitive.

C'est pourquoi le prochain Conseil des ministres examinera un projet de modification de la loi de 1955 sur l'état d'urgence pour en revoir le «périmètre» et la «durée».

Lire aussi : François Hollande annonce la fermeture des frontières suite aux attentats

Les deux commissions des Lois de l'Assemblée et du Sénat travailleront ensemble aux «adaptations» de cette loi après les attentats, a déclaré le président du Sénat, Gérard Larcher (Les Républicains), à sa sortie de l’entrevue. «La prolongation de l'état d'urgence sera aussi l'occasion d'ajuster le texte de 1955», a précisé l'intéressé.

L'état d'urgence permet aux autorités :

  • D'«interdire la circulation des personnes»
  • D'instituer «des zones de protection ou de sécurité» où le séjour des personnes est réglementé, selon la loi de 1955, qui a instauré cette procédure exceptionnelle au début de la guerre d'Algérie.

Un second décret comporte des dispositions spécifiques applicables «à l'ensemble des communes d'Ile-de-France». Ce dernier prévoit la possiblité:

* D'assigner à résidence toute personne «dont l'activité s'avère dangereuse pour la sécurité et l'ordre public».
* D'ordonner la fermeture provisoire de salles de spectacle, de débits de boissons ou de lieux de réunion de toute nature.
* De mettre en place la confiscation de certaines catégories d'armes.

Par ailleurs, le décret ou la loi déclarant l’état d’urgence autorise les autorités administratives à :

* Ordonner des perquisitions à domicile de jour et de nuit 
* Prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer le contrôle de la presse et des publications de toute nature, ainsi que celui des émissions radiophoniques, des projections cinématographiques et des représentations théâtrales.

Plusieurs fois mis en œuvre durant la guerre d'Algérie, l'état d'urgence n'a, depuis, été décrété qu'à deux reprises : en 1985, en Nouvelle-Calédonie, lors des affrontements qui avaient alors touché l'archipel, et en 2005, face aux émeutes dans les banlieues, à l'initiative du gouvernement de Dominique de Villepin. 

 

Clinton: la Russie et la Chine principaux adversaires des USA

L’aveu de faiblesse des USA face à l’armement Russe et Chinois !

Heureusement qu’ils ne peuvent pas toujours s’attaquer à tous les pays impunément.

Clinton: la Russie et la Chine principaux adversaires des USA

12:48 15.11.2015 (mis à jour 13:32 15.11.2015)

Former US Secretary of State Hillary Clinton

La candidate à la présidentielle américaine Hillary Clinton estime que la Russie et la Chine constituent les principaux défis militaires auxquels les Etats-Unis sont confrontés.

"Certains différends persistent toujours. Notamment, en mer de Chine méridionale où la Chine poursuit la construction de bases à des fins militaires. De même, la Russie présente des problèmes. Récemment, Moscou s'est lancé dans la construction d'un sous-marin sans pilote, susceptible de transporter des armes nucléaires tactiques, ce qui a été d'ailleurs capté par nos caméras", a-t-elle martelé lors de débats du Parti démocrate.

Soulignant la nécessité de "décisions pondérées" et d'une "approche plus souple et bien ciblée", Mme Clinton s'est toutefois abstenue de tout commentaire sur les mesures à prendre pour relever ces défis.

Les débats en question, impliquant l'ex-secrétaire d'Etat Hillary Clinton, le sénateur du Vermont Bernie Sanders et l'ex-gouverneur du Maryland Martin O'Malley, se sont tenus le 14 novembre à Des Moines, en Iowa.

 

Des candidats à la présidence US veulent une Troisième Guerre mondiale

Les psychopathes à l’œuvre de démence et du crime organisé !
Ils ne méritent que l’enfermement en hôpital psychiatrique, car ils représentent un danger pour l’humanité !

Des candidats à la présidence US veulent une Troisième Guerre mondiale

19:58 15.11.2015 (mis à jour 20:03 15.11.2015)

Chris Christie, candidat à la présidentiele US

Les candidats à la présidence américaine plaident pour la mise en place d'une zone d'exclusion aérienne au-dessus de la Syrie et promettent d'abattre les avions russes qui dérogeraient à cette interdiction. Ils oublient qu'un conflit armé avec la Russie pourrait dégénérer en guerre nucléaire.

De nombreux candidats américains fondent leur campagne électorale sur la promesse de créer une zone d'exclusion aérienne dans le ciel syrien et d'abattre les avions militaires russes. Chacun d'entre eux s'efforce de montrer qu'il est le "plus dur" et qu'il n'hésitera pas à affronter Vladimir Poutine, écrit le Guardian.

Telle est l'impression qui se crée si l'on suit les débats électoraux aux Etats-Unis, souligne le journal.

Ainsi, Ben Carson n'a pas réfléchi longtemps avant de déclarer: "Nous abattrons les avions russes à coup sûr. Et quelles que soient les conséquences, nous trouverons toujours une solution". Il a semble-t-il oublié que la Russie est une puissance nucléaire.

Chris Christie a pour sa part promis d'appeler personnellement Poutine pour lui dire: "Ecoute, nous établissons une zone d'exclusion aérienne, et cela te concerne aussi. Donc, ne m'agace pas". Ce candidat républicain est visiblement prêt à déclencher une guerre nucléaire contre la Russie, car selon lui, ce n'est pas sans raison que les Etats-Unis "ont dépensé des trésors immenses et des mers de sang pour anéantir l'Union soviétique".

"Nous ne devons pas permettre qu'elle revienne", a ajouté le gouverneur du New Jersey.

Ceux qui sont plus "intelligents" que ce dernier n'annoncent pas leur intention d'abattre les avions russes. Ils se bornent à qualifier Poutine de "gangster". Tel est le cas de Marco Rubio, même s'il insiste, lui aussi, sur la mise en place d'une zone d'exclusion aérienne.

Jeb Bush n'est pas en reste, lui non plus. Bien qu'il appelle à créer une no-fly zone dans le ciel syrien, il ajoute néanmoins que les Etats-Unis ne doivent pas jouer le rôle de "gendarme du monde".

Rand Paul est, selon le Guardian, le seul candidat républicain à donner une réponse raisonnable à la question de savoir s'il faut abattre les avions militaires russes ou non. Cet homme politique reconnaît qu'une zone d'exclusion aérienne est une "idée dangereuse" et que la tendance à poursuivre l'armement de différents groupes terroristes liés à Al-Qaïda risque de créer des problèmes supplémentaires pour les Etats-Unis.

Certes, la position honnête de Rand Paul "mérite du respect". Malheureusement, "sa voix est noyée par les démangeaisons de ceux qui veulent déclencher une nouvelle guerre froide", constate le journal.

Ces candidats ont visiblement oublié qu'une zone d'exclusion aérienne ne s'installe pas "comme par enchantement": cette opération nécessite l'envoi d'un contingent militaire important (70.000 hommes, selon le général Martin Dempsey, ex-chef d’état-major interarmées US) et des milliards de dollars de dépenses. En outre, elle ne tardera pas à provoquer une guerre ouverte contre l'armée gouvernementale de Damas et les combattants de l'Etat islamique.

Selon le Guardian, l'expérience historique, notamment l'opération militaire en Libye, montre que la création d'une zone d'exclusion aérienne entraîne toujours une guerre ouverte. Or, aucun des candidats qui se targuent d'être prêts à engager un conflit armé avec la Russie n'a le moindre plan d'action pour le cas où cette guerre éclaterait, conclut le quotidien britannique.

 

Syrie : la France frappe un fief de l'EI, à Racca

Mais oui, nous allons croire que la France s'attaque à ses mercenaires après les avoir financés et armés !
Et ces frappes sont toujours faites de manière illégale, bien sûr !

Allons savoir sur qui et sur quoi ils effectuent leurs frappes ?

Syrie : la France frappe un fief de l'EI, à Racca

Un Rafale

Les chasseurs français ont largué 20 bombes dimanche sur le fief de l'organisation Etat islamique à Racca, dans l'est de la Syrie, détruisant un poste de commandement et un camp d'entraînement, a annoncé le ministère français de la Défense, cité par l'AFP.

"Le premier objectif détruit était utilisé par Daesh comme poste de commandement, centre de recrutement jihadiste et dépôt d'armes et de munitions. Le deuxième objectif abritait un camp d'entraînement terroriste", a précisé le ministère dans un communiqué.

Douze appareils, dont dix chasseurs, ont été engagés simultanément à partir des Emirats arabes unis et de la Jordanie et ont largué 20 bombes.

"Planifiée sur des sites préalablement identifiés lors des missions de reconnaissance réalisées par la France, cette opération a été conduite en coordination avec les forces américaines", précise le ministère.

L'EI a revendiqué la vague d'attentats du 13 novembre à Paris, qui ont fait 132 morts et 349 blessés, selon le bilan de dimanche.

"C'est un acte de guerre commis par une armée terroriste, Daesh, une armée jihadiste", avait déclaré le président français François Hollande, en avertissant que son pays serait impitoyable" sur tous les terrains, "intérieur comme extérieur".