Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

01/06/2010

Climat : Le CO2 lié à la fin de la dernière glaciation...Tiens donc, nous ne sommes pas les coupables !!!


Voilà quelque chose qui n'a pas été crié sur les toits par nos chers médias ; alors, vous les croyez toujours ?? Etes-vous toujours sûrs que les médias disent réellement les informations ??

A FAIRE SUIVRE..........NOUS NE SOMMES PAS LES COUPABLES !!

Le CO2 lié à la fin de la dernière glaciation

Des scientifiques ont fait une découverte au fond de l'océan antarctique. Qu'est-ce donc ? Les premières indications d'une énorme émission de dioxyde de carbone il y a environ 18.000 ans qui a contribué à la fin de la dernière période glaciaire. Ces résultats fournissent aussi la première indication concrète que le CO2 était piégé efficacement dans les grands fonds océaniques pendant la dernière glaciation.

Les émissions de CO2Ces chercheurs ont analysé une carotte de sédiments récupérée au fond de l'océan entre l'Antarctique et l'Afrique du Sud. Ils ont pu ainsi dater au carbone 14 les coquilles laissées par des foraminifères, de petites créatures marines, qui se trouvaient dans cette carotte.

Après avoir comparé la teneur du carbone 14 dans ces coquillages avec celle contenue dans l'atmosphère à la même époque, ils ont pu déterminer la durée pendant laquelle le CO2 était resté piégé dans l'océan, explique Luke Skinner de l'Université de Cambridge (GB). "Nos résultats montrent qu'au cours de la dernière glaciation, il y a environ 20.000 ans, le CO2 était dissous dans les eaux profondes circulant autour de l'Antarctique durant des périodes beaucoup plus longues qu'aujourd'hui" ajoute-t-il.

Les auteurs de cette étude, parue dans le journal Science daté du 28 mai, estiment que de vastes dégagements de CO2 provenant des fonds de l'océan Antarctique se sont produits tous les cent mille ans environ, contribuant à la fin de toutes les périodes glaciaires depuis les deux derniers millions d'années, soit la période qui correspond à l'ère quaternaire. L'ampleur de chacun de ces énormes "rots" de CO2 provenant des eaux situées dans les fonds antarctiques équivaut à l'accroissement de ce gaz observé depuis le début de l'ère industrielle, précisent les chercheurs.

L'océanL'alternance de période glaciaire et interglaciaire pendant ces deux millions d'années a correspondu à des variations de l'orbite terrestre autour du soleil, selon la théorie de Milankovic sur les changements climatiques.
Ces changements d'orbite ont provoqué des modifications dans l'équilibre énergétique global de la Terre, dans lesquelles les changements de la quantité de CO2 dans l'atmosphère jouent un rôle important, mais dont les scientifiques ne parvenaient pas jusqu'alors à vraiment expliquer le mécanisme.

Dans la mesure où les océans sont de gigantesques réservoirs de CO2, les climatologues suspectaient depuis longtemps que des changements dans la circulation des courants devaient jouer un rôle majeur dans le dégagement rapide de vastes quantités de gaz carbonique.

ENVIRONNEMENT - CO2 : Le CO2 lié à la fin de la dernière glaciation - Info de la planète - Ushuaia, la Terre et nous

Le CO2 océanique lié à la fin de la dernière glaciation

7s7 Sciences - Le CO2 océanique lié à la fin de la dernière glaciation (1110988)

Le CO2 océanique lié à la fin de la dernière glaciation - Ecololand

Comme "ils" devaient être informés avant que l'information ne sorte, ils doivent prendre l'argent autre part........Où donc ? .........Nul besoin de beaucoup chercher !!

 


17/04/2010

Climat: les principales économies mondiales dimanche et lundi à Washington

La bonne excuse du réchauffement climatique pour nous instaurer le Nouvel Ordre Mondial ! Et bien sûr en douce sans la présence de la presse ! Prions pour que les nuages du volcans islandais les empêchent de décoller et qu'ils nous fichent la paix avec leurs délires !



Climat: les principales économies mondiales dimanche et lundi à Washington

17.04.2010, 09h33

Dix-sept des principales économies de la planète se réunissent dimanche et lundi à Washington, à l'invitation de l'administration Obama, pour préparer les prochains rendez-vous d'une diplomatie du climat bien mal en point.
Ce "Forum des principales économies" sera un "dialogue franc", a promis la diplomatie américaine qui espère des progrès sur les moyens de ralentir le réchauffement climatique et de développer les énergies propres.


La réunion s'inscrit presque à mi-chemin du sommet de Copenhague, en décembre, et de celui attendu à Cancun (Mexique) en fin d'année.
"Il reste un écart important entre les points de vue du monde développé et du monde en développement", a confié vendredi le porte-parole du département d'Etat, Philip Crowley, et le Forum est une étape pour les rapprocher.
L'Afrique du Sud, l'Allemagne, l'Australie, le Brésil, le Canada, la Chine, l'Union européenne, la France, l'Inde, l'Indonésie, l'Italie, le Japon, la Corée du Sud, le Mexique, le Royaume-Uni et la Russie sont invités.
Ensemble avec les Etats-Unis, ils produisent 80% des émissions que l'on accuse de chambouler le climat.
Leur réunion, la sixième du genre, intervient une semaine après un rendez-vous laborieux de 175 pays à Bonn (Allemagne), déjà consacré aux moyens de traduire concrètement les engagements de Copenhague.
Le sommet dans la capitale danoise, que l'on promettait historique, avait frôlé la catastrophe.
Le document qui en est sorti in extremis ne comporte pas de véritables obligations pour ses signataires.
Il prévoit une aide aux pays les plus exposés aux impacts du dérèglement du climat. Il envisage aussi des transferts de technologies "vertes", et la lutte contre la déforestation.
Jim Prentice, le ministre canadien de l'Environnement, travaillera à Washington pour préparer "un accord juridiquement contraignant" qui serait signé à Cancun, a prévenu vendredi Ottawa.
La plupart des invités de l'administration Obama admettent pourtant qu'il sera "très difficile de rapprocher les positions de pays tels que les Etats-Unis et la Chine sur la question de la forme légale du traité", explique Alden Meyer, de l'Union des scientifiques inquiets (UCS).
Pour ces pays-clés, ajoute-t-il, Washington sera une simple "occasion de se parler et de voir si l'on partage une même vision pour la suite du dialogue".
Un groupe d'organisations écologistes américaines et canadiennes a déjà invité le Premier ministre canadien Stephen Harper à mettre le climat de nouveau à l'ordre du jour du sommet du G20, en juin au Canada.
La réunion de Washington sera présidée par l'Américain Michael Froman, conseiller-adjoint du président Barack Obama pour la sécurité nationale, chargé de l'économie internationale.
La France, le Canada ou le Royaume-Uni par exemple, envoient leur ministre de l'Ecologie. Mais d'autres nations ont préféré se faire représenter par des hauts fonctionnaires, à l'instar du Japon ou des Etats-Unis.
La délégation américaine sera conduite par Todd Stern, l'émissaire de M. Obama pour le climat, et qui fut le négociateur en chef américain à Copenhague.
Tokyo a prévenu que la délégation nippone ne fera que réitérer l'engagement du Japon de réduire de 25%, d'ici à 2020, le niveau de ses émissions de gaz à effets de serre par rapport à 1990.
Les entretiens débutent dimanche soir par un dîner, avant une session plénière lundi.
Signe de prudence quant aux résultats attendus ? La réunion aura lieu sans la présence des journalistes et Todd Stern a seulement prévu une conférence téléphonique à son issue lundi.

LE PARISIEN


CLIMATEGATE (Climat-se-gate)

L’IMPOSTURE POLITICO-PSEUDOSCIENTIFIQUE DU 21ème SIÈCLE

L’imposture du milliardaire Al Gore et du GIEC réchauffistes

Climat-se-gate.pdf


Diaporama à télécharger : ICI


 


 


11:52 Publié dans ClimateGate/GIEC/COP21 | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

11/02/2010

Réchauffement climatique : les experts de l’ONU de plus en plus contestés

DEPUIS plusieurs semaines déjà, le Giec, Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat, est secoué par une série de polémiques mettant en cause la rigueur de ses prévisions en matière de réchauffement. Dans une tribune publiée hier dans la revue Nature, cinq climatologues reconnus publient une tribune avançant un certain nombre de propositions pour réformer le Giec. L’un d’entre eux, le Britannique Mike Hulme, propose même de dissoudre ce groupe, estimant que sa structure et ses procédures sont périmées.

http://lequotidien.lefigaro.fr/epaper/viewer.aspx

04:12 Publié dans ClimateGate/GIEC/COP21 | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

Le Giec, nébuleuse d'experts ou experts nébuleux ?

La Tribune - 06/02/2010

Ce groupe d'experts sur le climat regroupe des milliers de contributeurs internationaux. Une nébuleuse aux méthodes de travail complexes et controversées

Né en 1988 sous les auspices de l'Organisation météorologique mondiale (OMM) et du Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE), le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec) a pour mission d'évaluer les informations d'ordre scientifique, technique et socio-économique ayant trait au changement climatique d'origine humaine. Parmi ses priorités ? Cerner les conséquences possibles de ce changement et envisager d'éventuelles stratégies d'adaptation et d'atténuation.

Depuis son arrivée sur la scène internationale, le Giec a rédigé quatre rapports « événements » et en prépare un cinquième prévu pour 2014. Ils mobilisent à chaque fois des milliers d'experts. Point de départ de ce vaste « brain storming », un appel à candidatures est diffusé dans les milieux scientifiques un peu partout dans le monde via les points de contact nationaux du Giec et les organisations scientifiques. Puis le bureau du Giec fait son choix parmi les listes de candidats. Pour le cinquième rapport (en préparation), entre 500 et 600 auteurs devraient être retenus, répartis selon leurs spécialités en quatre groupes (aspects scientifiques, socio-économiques, solutions envisageables et régions). Une fois à pied d'oeuvre, les auteurs s'entourent dans un premier temps de « contributeurs » (de 2.000 à 3.000) chargés de rédiger les chapitres.

Entre 500 et 600 auteurs

Puis commencent les deux étapes les plus critiques du processus : la première version du rapport est soumise au feu des critiques d'un cercle large de « commentateurs », qui n'exclut pas les sceptiques ; chaque commentaire doit ensuite faire l'objet d'une réponse, ce dont s'assurent des « review editors ». La nouvelle version du rapport est de nouveau soumise aux experts et, de surcroît, aux représentants des gouvernements. Les auteurs établissent alors la dernière version du rapport qui doit être approuvée, dans le détail, par les instances du Giec. Jusqu'à présent, la méthode a fait ses preuves. À la suite du premier rapport du Giec en 1990, a été créée la convention climat de l'ONU lors du sommet de Rio (1992) ; cinq ans plus tard, le deuxième rapport rend possible l'adoption du protocole de Kyoto (1997) ; en 2001, le troisième rapport comporte pour la première fois une synthèse destinée aux décideurs politiques ; et en 2007, le quatrième enflamme les débats lors de la conférence sur le climat de Bali en recommandant aux pays industrialisés de réduire leurs rejets de CO2 de 25 % à 40 % d'ici à 2020 (par rapport à 1990) afin d'empêcher la température mondiale de grimper au-delà de 2 degrés celcius d'ici à la fin du siècle.

L. C.

http://www.latribune.fr/journal/edition-du-0602/evenement...


04:10 Publié dans ClimateGate/GIEC/COP21 | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |