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11/02/2010

Polémique sur le climat : qui veut écrire pour le très critiqué GIEC ?

Le très critiqué Giec, Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, accusé d'avoir falsifié des chiffres sur les risques de fonte rapide des glaciers himalayens, annonce ce mercredi qu'il a besoin d'auteurs pour préparer son cinquième rapport, prévu en 2014. Un rapport d'experts paru dans la revue Nature l'invite à se réformer ou à se transformer.

La Tribune du 6 février

Voilà qui va venir nourrir la polémique sur le climat et les éventuels mensonges sur le sujet concernant les dangers que court la planète, évoqué samedi dernier dans La Tribune numérique. Le très critiqué Giec, Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, prix nobel de la paix 2007 (avec Al Gore), accusé d'avoir falsifié des chiffres sur les risques de fonte rapide des glaciers himalayens, annonce ce mercredi qu'il a besoin d'auteurs pour préparer son cinquième rapport, prévu en 2014. Le quatrième, gros de 3000 pages écrites par 2500 experts, a été publié en 2007.

Dans un communiqué, le GIEC explique que "ce rapport établira le bilan mondial des connaissances scientifiques sur le changement climatique : la science du climat, les impacts, les vulnérabilités, l'adaptation, l'atténuation du changement climatique. Les travaux de rédaction mobiliseront plusieurs centaines d'experts de l'ensemble des Etats-membres des Nations-Unies et de l'Organisation météorologique mondiale, à partir de la mi-2010. Les gouvernements sont invités à nommer des experts susceptibles d'être "Coordinating Lead Author" (CLA), "Lead Author" (LA) ou "Review Editor" (RE). Ces fonctions consistent en coordination d'auteurs, rédaction ou travail éditorial.

En ce qui concerne la France, cet appel à candidature "concerne des experts français ou travaillant en France, reconnus au niveau international, auteurs de publications dans les revues scientifiques à comité de lecture, spécialisés dans les domaines de l'évolution du climat, de l'adaptation au changement climatique, ou de l'atténuation du changement climatique."

Le GIEC précise que l'Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique (Onerc), au sein du ministère de l'Ecologie, de l'énergie, du développement durable et de la mer centralisera les candidatures. Un comité français de nomination, dont le rôle sera principalement de vérifier la recevabilité des candidatures, établira la liste d'experts proposés au Giec par la France pour être auteurs du cinquième rapport. La désignation des auteurs sera faite par le Giec avant la mi-2010. Les candidats doivent remplir un formulaire et envoyer un CV avant le 1er mars 2010. Le Giec ne précise pas qu'une bonne insensibilité aux critiques, aux attaques, aux accusations de mensonge et aux polémiques de tout poil sera sûrement nécessaire.

Et justement, ce jeudi également, cinq climatologues renommés estiment dans l'édition de la très respectée revue scientifique Nature que le GIEC devrait se réformer. "Tout comme le secteur financier l'an dernier, le Giec connaît actuellement un déficit de confiance qui révèle des défauts dans sa structure", écrit Eduardo Zorita, du Centre de Recherche GKSS, en Allemagne. Il estime que le Giec devrait être remplacé par une "Agence internationale du Climat" doté de 200 personnes. A ses yeux, l'Agence internationale de l'Energie atomique, la Banque centrale européenne ou le Bureau du Budget du Congrès américain montrent qu'il est possible d'être indépendant et respecté.

John Christy, de l'Université de l'Alabama, propose plutôt de transformer le Giec en une encyclopédie vivante du type Wikipedia, constamment réactualisée sur internet et dont les chapitres seraient supervisés par des groupes de quatre à huit experts. Mike Hulme, de l'Université d'East Anglia, en Angleterre, estime que le Giec devrait opter pour des rapports courts, revus par des pairs, traitang de sujets très concrets (droits de douane sur le carbone, comment freiner la déforestation, comment limiter les émissions de suie qui risque d'accélérer la fonte des glaces de l'Arctique...).

latribune.fr

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Climat : nous a-t-on menti ?

Source : La Tribune.fr - 05/02/2010

Une nouvelle polémique touche les experts du GIEC et leurs travaux. Ce groupe d'experts en climatologie, co-prix nobel de la paix 2007 avec Al Gore, réputé à la pointe de la lutte contre le réchauffement climatique, multiplie les erreurs. Alors, nous dit-il la vérité ? Réponse ce samedi dans La Tribune numérique.

terre bombe

Données bidouillés, méthodes contestées, affirmations non vérifiées : la barque du GIEC, le groupe international d'expert sur le climat, se charge de plus en plus.

Une nouvelle affaire de chiffres intervertis sur la fonte des glaciers himalayens tirés d'un obscur journal indien apporte une cerise amère sur le gâteau des prix nobel de la paix 2007 (avec Al Gore).

Dès lors, la question que posaient déjà nombre de leurs opposants - dont Claude Allègre, chercheur scientifique en géochimie et ex-ministre socialiste de l'Education nationale - devient criante : le GIEC dit-il la vérité ? Une ombre qui s'étend sur le débat sur le réchauffement de la planète et la protection de l'environnement après l'échec de la conférence internationale de Copenhague (elle aussi sous l'égide de l'ONU) censée préparer l'après Kyoto.

Pour tout savoir sur ce dossier, retrouvez sur Internet (www.latribune.fr), sur iPhone ou sur Blackberry (bb.latribune.fr) l'édition numérique de ce samedi de La Tribune qui cherchera à répondre à la question : climat : nous-a-t-on menti ?

latribune.fr

http://www.latribune.fr/green-business/l-actualite/201002...

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05/02/2010

Climategate : Les erreurs du GIEC !

Vidéo, réchauffement climatique : le professeur Vincent Courtillot expose les principales erreurs du GIEC

Le professeur Vincent Courtillot, de l'académie des sciences, n'est pas climatologue, mais géologue physicien, doté d'un CV académique très étoffé. Il a été amené à s'intéresser presque incidemment aux données du climat, car géologie et paléo-climatologie se rejoignent parfois. Sa qualité scientifique lui a permis de se mettre assez rapidement à niveau ! Dans la vidéo ci dessous, avec une clarté pédagogique et une brillance orale qui n'exclut pas la rigueur scientifique, il étrille littéralement la "science" contenue dans les rapports du GIEC.

Une personne de bonne foi ne peut pas ne pas être absolument convaincue que les conclusions du GIEC, induisant une relation majeure de cause à effet entre CO2 et températures terrestres, sont très fortement entachées d'erreurs graves après avoir vu cela. Moteur ! (durée 51 minutes)

Mise à Jour Jeudi 1/10/2009: les conférences de Nantes (la même que ci dessous) et Strasbourg (plus détaillée et à mon sens encore meilleure) sont désormais visibles en format "youtube" ou "daily motion", plus pratique que celui ci dessous - Je les ai regroupées ici -




Pour vous mettre l'eau à la bouche :

  • le Hadley Center, centre météologique britannique qui alimente le GIEC en mesures de températures globales "traitées", à toujours refuser de livrer aux équipes de M. Courtillot ses données brutes de mesure. Gênant, tout de même, pour la crédibilité du Hadley Center...


  • L'équipe Courtillot est donc allée à la pêche station par station. Or, les données au jour le jour des stations européennes et américaines qu'elle a collectées donnent des courbes de températures réellement mesurées totalement différentes de celles du GIEC.


  • Les techniques de dendrochronologie (étude des anneaux d'arbre) utilisées par Micahel Mann pour reconstituer les températures du passé et produire sa trop fameuse courbe en crosse de hockey, comportent de nombreuses erreurs qui "aplatissent" les courbes du passé. En réinjectant dans les calculs les résultats de travaux de botanique récents, qui prennent en compte comment les arbres réagissent vraiment aux variations de température, alors on retrouve l'optimum médiéval (période bien plus chaude que de nos jours vers l'an 1000) et d'autres périodes plus chaudes que sur la courbe de Mann avant le minimum de Maunder.


  • Les modèles du GIEC sous estiment d'un facteur 20 (!!) l'influence des variations solaires sur la température, à cause d'une erreur de calcul basique dans la calibration des signaux de satellites différents. (Et "accessoirement", dans une conférence plus détaillée car un peu plus longue, donnée à Strasbourg, visible ici, l'on apprend que les "forçages" liés au CO2 sont surestimés d'un facteur 6...)


  • Les modèles du GIEC ignorent les  nuages, ce qui est fâcheux, quand on sait qu'une variation de couverture nuageuse de 3% équivaut à une différence de flux énergétique nettement supérieure à celle induite par les variations de teneur en CO2.


  • M. Courtillot rappelle avec une précision jusqu'ici inconnue en langue française, que la variation de la température au cours des siècles, mesurée par des méthodes glaciaires ou géologiques, précède de 800 à 2000 ans la variation des concentrations de CO2. S'il y a causalité, ce ne peut être que dans le sens "variation de températures => variations du CO2" et non l'inverse.


  • D'une façon générale, tous les modèles du GIEC sous estiment gravement les incertitudes tant sur les données qu'ils utilisent que, c'est une lapalissade, celles qu'ils omettent. Leurs modèles ne peuvent donc qu'être très fortement entachés d'erreurs. Selon M. Courtillot, dans 10 ans, il sera largement admis que les thèses actuelles du GIEC étaient fausses.


La grande force de l'exposé de M. Courtillot est de n'être jamais polémique. Il ne traite jamais le GIEC  d'incapables, laissant à l'auditeur le soin de tirer cette conclusion lui même. Il se contente de critiquer la confiance excessive (d'autres diraient : "arrogance") que le GIEC affiche dans ses conclusions, car cet organisme minimise les incertitudes inhérentes à toute science jeune au corpus en cours de formation.

Il ne livre que très progressivement les pièces qui ont conduit à faire de lui un climato-sceptique, alors qu'il y a seulement quatre ans, il croyait, comme "tout le monde", que le GIEC disait "la" science.  Il se contente, à la fin de son exposé, de rappeler que peut être que tout l'argent public déversé sur la lutte contre les rejets de CO2 pourrait être mieux employé ailleurs, et d'émettre des doutes sur la pertinence du choix de la nature institutionnelle du GIEC (un organisme sous l'égide d'une institution politique, l'ONU, plutôt que sous le pilotage d'une instance scientifique elle même).

Ah, une dernière chose: M. Courtillot est, semble-t-il, proche politiquement de MM. Ayrault et Delanoë. (et de Claude Allègre ? Entre géophysiciens...). On ne peut donc pas l'accuser de faire de la propagande ultra-libérale. Simplement, un exercice brillant d'honnêteté scientifique.

Nb. L'exposé de M. Courtillot a été donné aux journées scientifiques de l'université de Nantes le 7 juin 2009, voir la page originale ici. L'université de Nantes fait honneur à la science et à l'université en diffusant un tel savoir. Je tape suffisamment sur l'université par ailleurs pour ne pas lui tirer mon chapeau quand elle fait oeuvre utile.
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Hat tip : Jean Louis Garnier

 

http://www.objectifliberte.fr/2009/09/rechauffement-clima...

29/01/2010

ClimateGate : La pression monte autour des experts du climat

Enquête
LE MONDE | 28.01.10 | 15h29

"Je veux dire aux sceptiques, qui me voient comme le visage et la voix de la science du changement climatique, que je ne suis pas disposé à les satisfaire. Je resterai président du GIEC jusqu'au terme de mon mandat." Dans un entretien accordé lundi 25 janvier à la BBC, Rajendra Pachauri, président du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), a exclu toute démission. La déclaration n'est pas inutile, tant le groupe de scientifiques - mandaté par les Nations unies pour synthétiser les connaissances sur le changement climatique - se trouve, depuis fin 2009, au centre de plusieurs polémiques ouvertes par la presse conservatrice britannique et la blogosphère.

"Climategate". La chasse commence deux semaines avant la conférence de Copenhague, avec l'affaire dite du Climategate. Mi-novembre, des hackers s'introduisent dans les serveurs de l'université d'East Anglia (Royaume-Uni) et divulguent sur Internet la correspondance privée de plusieurs climatologues - auteurs du GIEC pour certains. Les morceaux choisis de cette correspondance en circulation sur le Net entretiennent la rumeur de manipulations de données.

La divulgation frauduleuse de cette correspondance exhibe des discussions houleuses, des écarts de langage, une volonté de ne pas partager des données, une franche hostilité à l'égard des climato-sceptiques... Elle n'a cependant pas conduit à la remise en cause de résultats scientifiques.

L'American Geophysical Union (AGU) - qui rassemble quelque 50 000 chercheurs en géosciences - a estimé que "rien, dans ces courriels, ne remet en cause le fait scientifique que le réchauffement est réel et que les activités humaines en sont presque certainement la cause". La revue Nature a, quant à elle, qualifié l'affaire de "risible".

Le Climategate n'en a cependant pas fini de ternir l'image de la climatologie. Vendredi 22 janvier, la commission des sciences et technologies du Parlement britannique a lancé une enquête parlementaire sur l'affaire. Conclusions attendues en mars.

"Pachaurigate". Le 20 décembre 2009, The Sunday Telegraph accuse Rajendra Pachauri de profiter de sa position à la tête du GIEC pour accumuler, à son bénéfice personnel, des contrats avec des entreprises intéressées par les politiques liées au changement climatique.

Le centre de recherche à but non lucratif, TERI (The Energy and Resources Institute), que dirige par ailleurs M. Pachauri, a répondu que "par principe, en ce qui concerne les honoraires ou autres rémunérations reçus pour des conseils donnés à des organisations ou pour des conférences, M. Pachauri a scrupuleusement insisté pour que les paiements soient faits à TERI". Et non à son bénéfice personnel.

"Glaciergate". Le 17 janvier, The Sunday Times publie un article attirant l'attention sur une polémique en cours dans la communauté scientifique. Le dernier rapport du GIEC (2007) donne dans un paragraphe une estimation erronée de la date de disparition des glaciers de l'Himalaya - châteaux d'eau de l'Asie (Le Monde du 26 novembre 2009). Le deuxième volet du rapport ("Impacts, adaptation et vulnérabilités") fait en effet état, à la page 493, d'une disparition de ces glaces d'altitude en 2035. Le chiffre, erroné, n'est pas issu de travaux scientifiques. Il provient d'un rapport de 2005 d'une ONG de protection de la nature - le WWF - qui lui-même s'inspirait d'un article de presse publié en 1999 par l'hebdomadaire New Scientist. Le GIEC a reconnu son erreur, faisant toutefois valoir que celle-ci ne figurait pas dans le "Résumé à l'intention des décideurs", le document d'une vingtaine de pages adressé aux politiques et qui résume les points clés du rapport.

"Il faut être clair, il y a eu une faute à propos de l'Himalaya, admet le climatologue Hervé Le Treut (Institut Pierre-Simon-Laplace), membre du GIEC. Mais la manière dont cette erreur est mise en avant est suspecte : il y a une campagne manifestement organisée." Une semaine plus tard, le 24 janvier, The Sunday Times poursuit l'offensive. Dans un nouvel article, le journal britannique fait un lien entre l'erreur commise par le GIEC sur les glaciers himalayens et les levées de fonds du TERI. L'institut de M. Pachauri aurait ainsi mis en avant une affirmation catastrophiste et fausse - la disparition des glaces himalayennes en 2035 - pour susciter une dotation de la Carnegie Corporation de New York, et une autre de l'Union européenne (UE) dans le cadre du projet High Noon.

Interrogé par Le Monde, le glaciologue Syed Hasnain, chercheur au TERI, assure que son institut "n'a jamais approché la Carnegie Corporationdans le cadre de son programme sur les glaciers". (pour obtenir des fonds)

George Soule, responsable de la communication de la Carnegie Corporation, confirme que celle-ci "a approuvé un financement unique de 500 000 dollars au Global Center, un centre de recherche à but non lucratif basé en Islande". Ce n'est qu'ensuite, ajoute en substance M. Hasnain, que le Global Center a proposé une association avec le TERI, pour former des glaciologues indiens. Quant au projet européen High Noon, "TERI en est en effet un partenaire, mais pas pour l'observation des glaciers", précise Eddy Moors (université de Wageningen, Pays-Bas), l'un des responsables du projet. "TERI est impliqué dans des travaux d'études sociales et économiques dans les vallées", précise M. Moors.

"Cyclonegate". Le 24 janvier, The Sunday Times ajoute une nouvelle suspicion au tableau. Le quotidien dominical croit savoir qu'une autre erreur s'est glissée dans le dernier rapport du GIEC. Cette fois-ci, celui-ci se serait appuyé sur une étude non publiée, menée par Robert Muir-Wood, pour affirmer que le changement climatique favorise les phénomènes extrêmes - tempêtes, cyclones, etc.

"Cette fois-ci, c'est l'erreur du Sunday Times, pas celle du GIEC, déclare son vice-président, Jean-Pascal van Ypersele. Le journal confond deux choses très différentes que sont le lien possible entre réchauffement et pertes économiques dues aux phénomènes extrêmes (objet des travaux de M. Muir-Wood) et le lien possible entre le réchauffement et les phénomènes extrêmes eux-mêmes..." Interrogé par Le Monde, M. Muir-Wood, assure en outre que le premier volet de son étude était "publié dans des actes de colloque" lorsqu'il a été cité par le GIEC. "Il n'y a pas de biais dans la procédure", ajoute-t-il.

Stéphane Foucart et Hervé Kempf

http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/01/28/la-press...

 

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ClimateGate : Nouvelles accusations contre le GIEC : le Climategate s'aggrave


Par Gilles Klein
le 29/01/2010

L'enquête ouverte en Grande Bretagne sur les universitaires spécialistes du climat (dont les emails ont été rendus publics par un pirate) montre qu'ils ont agi de manière illégale.

Une information qui s'ajoute aux nouvelles mises en cause du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) de l'ONU, et de son président Rajendra Pachauri faites par la presse britannique, sur fond d'accusations d'intérêt personnel.

"L'université a enfreint le Freedom Of Information dans la polémique sur les emails face aux sceptiques" titre le Guardian (ci-dessous, à droite).

"Les scientifiques ont enfreint la loi en cachant des données sur le climat, mais un problème juridique empêche qu'ils soient poursuivis" titre le Daily Mail (à gauche)


Un élément supplémentaire pour notre dossier Réchauffement : chaud le débat!



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